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  • L’International Auto Film Festa : le festival de films automobile à ne pas manquer en 2025

    L’International Auto Film Festa : le festival de films automobile à ne pas manquer en 2025

    Lancé en 2023 au Japon, l’International Auto Film Festa s’apprête à entamer sa troisième édition, attirant les passionnés d’automobile et de cinéma du monde entier. Ce festival unique en son genre met à l’honneur des courts-métrages dédiés à l’univers automobile, avec une ambition simple : célébrer la créativité et la passion pour la culture auto à travers l’image. Si vous rêvez de mêler votre amour des voitures à celui du cinéma, c’est l’occasion rêvée de vous lancer.


    Des films courts pour des histoires riches

    Contrairement aux blockbusters hollywoodiens remplis d’effets spéciaux, les courts-métrages présentés à l’International Auto Film Festa privilégient l’authenticité. Les œuvres soumises doivent être d’une durée maximale de 15 minutes, permettant à chacun, même avec des moyens limités, de participer. Qu’il s’agisse d’un documentaire, d’une fiction ou d’un récit introspectif, le festival invite toutes les formes d’expression tant qu’un thème automobile est au cœur de l’histoire.

    « Si vous avez un court-métrage incorporant un thème automobile ou que vous prévoyez d’en réaliser un dans les semaines à venir, pourquoi ne pas le soumettre ? », encouragent les organisateurs. La participation est gratuite, et les films doivent être en anglais ou en japonais, ou sous-titrés dans l’une de ces langues.


    Un succès croissant

    L’année dernière, le festival a reçu plus de 470 candidatures en provenance de 65 pays. Le Grand Prix a été attribué au réalisateur portugais Mario Bock pour son film documentaire Gears & Dunes: The Old Road to Dakar, qui suivait une équipe revivant le tracé mythique du rallye Paris-Dakar en Afrique du Nord. Ce genre de productions, qui marie passion, aventure et découverte, représente l’esprit du festival.

    D’autres films finalistes sont également disponibles sur le site du festival (autofilmfesta.net). Parmi eux, Get Up and Go, relatant les aventures de quatre musiciens voyageant à bord d’un camping-car bon marché, ou encore un documentaire sur un surfeur français ayant construit une moto BMW 1600 en fibre de carbone équipée d’un moteur M3.


    Un jury prestigieux

    Le festival bénéficie d’un jury international comprenant des personnalités de renom :

    • Yoshiyuki Shimizu, fondateur du festival et vidéaste automobile japonais.
    • Tetsuya Kato, rédacteur en chef de l’influent magazine japonais Car Graphic.
    • Ukyo Katayama, ancien pilote de Formule 1.
    • Mario Bock, réalisateur primé l’an dernier.
    • Peter Lyon, auteur australien basé au Japon, spécialisé dans l’automobile.
    • Jaclyn Trop, journaliste automobile américaine.
    • Mike Rutherford, journaliste britannique spécialisé dans l’automobile.

    Cette diversité dans la composition du jury reflète l’ambition internationale du festival, qui cherche à réunir des perspectives variées sur la culture automobile.


    Votre chance de participer

    Si vous souhaitez soumettre votre film, vous avez jusqu’au 28 février 2025 pour le faire via le site officiel (autofilmfesta.net/entry/). Les délibérations auront lieu en mars, et la cérémonie de remise des prix se tiendra à Tokyo le 26 avril 2025.

    Pour ceux qui hésitent encore, sachez qu’un simple smartphone suffit souvent à capturer des moments authentiques. Qu’il s’agisse de documenter une course amateure, de filmer des restaurations de véhicules, ou même de raconter une anecdote personnelle liée à une voiture, tout est permis. Comme le disent les organisateurs, « Pourquoi ne pas transformer votre passion en une œuvre cinématographique ? »


    Vers une reconnaissance mondiale

    En 2026, le festival espère s’associer à un salon automobile majeur au Japon pour devenir un événement de trois jours, avec des projections multiples pour les juges et les amateurs. Cette évolution pourrait faire de l’International Auto Film Festa un rendez-vous incontournable pour les passionnés d’automobile et de cinéma.

    Pour toute question, contactez : contact@autofilmfesta.net.


    Avec des opportunités accessibles à tous et une ambiance célébrant l’amour de l’automobile, l’International Auto Film Festa s’impose comme un événement unique et inspirant pour les créatifs du monde entier. Alors, prêt à raconter votre histoire sur grand écran ?

  • Land Cruiser 70 Series : 40e anniversaire de l’icône tout-terrain

    Land Cruiser 70 Series : 40e anniversaire de l’icône tout-terrain

    Le Land Cruiser 70 Series célébrera son 40e anniversaire en 2024, mais cela n’a pas empêché Toyota de lui offrir un autre lifting. Bien que le modèle mis à jour ait déjà été dévoilé, le légendaire tout-terrain est maintenant réintroduit au Japon après une absence de neuf ans du marché intérieur de Toyota. Les clients japonais ont le choix du style de carrosserie traditionnel en SUV cinq portes du Land Cruiser 70 Series, mesurant 4 890 mm de long. Il est à noter que Toyota a déjà dévoilé une version pick-up double cabine plus longue pour le marché australien, ainsi qu’un SUV trois portes plus court et un pick-up cabine simple pour les Émirats arabes unis.

    Plutôt que de réinventer la roue, le rafraîchissement a amélioré le design extérieur intemporel du Land Cruiser classique. L’avant redessiné, avec des phares ronds à LED et de grands clignotants faisant saillie de la carrosserie, offre une interprétation modernisée avec goût du design original de 1984. Les pare-chocs et les passages de roue non peints mettent en valeur son aspect utilitaire, accompagnés du rétroviseur monté sur l’aile. Un couvercle en plastique noir sur le côté du capot abrite le réservoir AdBlue, essentiel pour les moteurs diesel modernes. À l’arrière, les feux arrière ont été intégrés dans le nouveau pare-chocs, avec les unités régulières dissimulées par des panneaux de couleur carrosserie. L’accent sur le tout-terrain se manifeste dans la conception de l’échappement, soigneusement conçu pour éviter d’interférer avec l’angle de départ.

    L’équipement de série est relativement basique, avec des équipements limités à la climatisation manuelle, des ports USB-C, des vitres électriques et une fermeture centralisée. Le nouveau groupe d’instruments analogiques comporte un écran de 4,2 pouces, mais l’écran tactile du système multimédia est en option. Heureusement, le lifting a ajouté quelques systèmes avancés d’assistance à la conduite, tels que le freinage automatique d’urgence, l’alerte de sortie de voie, l’assistance aux panneaux de signalisation et les feux de route automatiques.

    Les ingénieurs de Toyota ont amélioré les fondations de l’échelle du châssis du Land Cruiser 70 Series, introduisant un nouveau système de suspension et diverses améliorations électroniques. Ces améliorations visent à renforcer le confort de conduite et la stabilité tout en préservant les capacités tout-terrain emblématiques du véhicule. Plus précisément, le système 4WD, équipé d’un différentiel électronique, est complété par des fonctionnalités telles que le Hill Start Assist Control, le Downhill Assist Control, l’Active Traction Control et le Vehicle Stability Control.

    La version JDM (Japanese Domestic Market) de la 70 Series est équipée d’un nouveau moteur turbodiesel quatre cylindres de 2,8 litres (1GD-FTV), représentant une amélioration significative des émissions par rapport aux versions précédentes du SUV. La motorisation, également présente dans le tout nouveau Land Cruiser Prado (250), produit 201 ch (150 kW / 204 ch) et 500 Nm (368,9 lb-pi) de couple. La puissance est exclusivement transmise aux quatre roues via une boîte de vitesses automatique Super ECT à 6 rapports. Au Japon, le Toyota Land Cruiser 70 Series 2024 commence à partir de 4 800 000 yens (environ 30 600 euros). Avec ce lifting, Toyota honore l’héritage de l’emblématique Land Cruiser tout en offrant des améliorations modernes pour répondre aux attentes des conducteurs d’aujourd’hui.

  • Kangoo Jamboree : la passion débordante des Japonais pour le Renault Kangoo

    Kangoo Jamboree : la passion débordante des Japonais pour le Renault Kangoo

    Au pied majestueux du Mont Fuji, une passion singulière prend vie chaque année : le Kangoo Jamboree, plus grand rassemblement de Renault Kangoo au monde. Depuis 14 ans, des milliers de passionnés japonais se réunissent pour célébrer le ludospace français qui a conquis leur cœur. L’édition 2023, particulièrement spéciale, a été marquée par la présentation du Nouveau Grand Kangoo au public japonais.

    Le Kangoo, connu pour son design unique avec une porte latérale coulissante, est devenu une « success story » mondiale, avec plus de 4,4 millions d’exemplaires vendus au cours des 25 dernières années, dans 50 pays à travers le monde. Depuis 1997, la manufacture de Maubeuge, dans les Hauts-de-France, accorde une attention particulière à la fabrication des exemplaires destinés au Japon, où l’engouement pour le Kangoo a atteint des sommets extraordinaires.

    Le Japon, parmi tous les pays qui ont adopté le Kangoo, se distingue par la passion unique qu’il voue à ce ludospace. Dès 2009, les admirateurs japonais ont pris l’initiative de créer un rassemblement annuel, le Kangoo Jamboree, pour partager leur amour du véhicule avec le plus grand nombre. Ce qui a commencé avec une centaine de participants est maintenant devenu une véritable fête automobile, attirant plus de 5 000 visiteurs pour admirer près de 2 000 Kangoo exposés.

    L’édition 2023 du Kangoo Jamboree a été inaugurée par le président de Renault Japon, Junpei Ogawa, accompagné de Heinz-Jürgen Löw, responsable des véhicules utilitaires du groupe. Cet événement a également été l’occasion de révéler le Nouveau Renault Grand Kangoo et la série limitée « Urban Grey », spécialement développée pour le marché japonais.

    Heinz-Jürgen Löw, Directeur Véhicules Utilitaires de la marque Renault, a exprimé son honneur de participer au Kangoo Jamboree édition 2023 : « C’est un honneur pour moi de participer au Kangoo Jamboree édition 2023 et de révéler Nouveau Renault Grand Kangoo pour la première fois au public japonais. Je tenais à remercier tous les fans qui participent à ce rassemblement et qui partagent leur passion de Kangoo et les valeurs de ce véhicule : la famille, la modularité et l’innovation. Je suis convaincu que la 3ème génération va être aussi populaire que les précédentes et que nous continuerons de célébrer ce véhicule lors du Kangoo Jamboree ! »

    Le Kangoo Jamboree demeure un témoignage vibrant de l’attachement des Japonais au Renault Kangoo. Cette passion débordante promet un avenir brillant pour le ludospace emblématique sur l’archipel nippon. Le Kangoo continue de rouler sur les routes japonaises non seulement comme un moyen de transport, mais aussi comme une véritable icône célébrée année après année au pied du Mont Fuji.

  • Les Jeux olympiques de Tokyo sur le Fuji Speedway

    Les Jeux olympiques de Tokyo sur le Fuji Speedway

    Les Jeux olympiques de Tokyo sur le Fuji Speedway

    Javelot ? Non.
    Saut en hauteur ? Non.
    Hockey ? Non.
    Cyclisme ? Oui !

    Je me suis toujours dit certains sports étaient proches, même sans être en lien direct. J’ai par exemple pensé à sports qui m’intéressent particulièrement : le sport auto et particulièrement les rallyes, le cyclisme et particulièrement les courses sur route et la voile, avec les grandes courses au large. Ces trois sports ont une chose en commun, rouler et/ou avancer avec un objectif, à travers les éléments, avec un cap, une destination. Les virages tortueux d’une spéciale de rallye, les Alpes d’une étape de montagne à vélo, la mer déchainée de la route du Rhum.

    Cette fois, ce ne seront que deux de mes sports favoris qui ont rendez-vous. Cela se déroulera en 2020 à Tokyo et c’est le cyclisme sur route qui a rendez-vous avec l’un des plus beaux circuits automobiles au monde : celui de Fuji.

    Car en 2020, le Japon et particulièrement Tokyo accueilleront les Jeux Olympiques d’été. Ce ne seront pas moins de 34 sports et 44 disciplines qui seront présents sur l’archipel. Le cyclisme, le vélo comme vous dites, aura sa part belle, avec 22 épreuves réparties entre BMX, VTT, cyclisme sur piste, cyclisme sur route. C’est cette dernière discipline qui retiendra notre attention. En effet, l’étape sur route qui partira de la capitale japonaise verra son arrivée célébrée sur le Fuji Speedway, célébrissime circuit nippon, une grande première.

     

    Les hommes disputeront donc l’épreuve cycliste longue 230 km et forte de 5000 mètres d’ascension. Elle partira du Parc Musashinonomori situé dans la ville de Chofu (Tokyo) pour une arrivée à Fuji Speedway. Durant cette course, trois préfectures seront traversées : Kanagawa, Yamanashi, et Shizuoka, en passant part les rives du lac Yamanakako. Durant cette épreuve, différents cols seront à passer : le Doshi Road (Yamabishu Tunnel) à 1121m d’altitude, le Kagosaka Pass à 1111m, le Fuji Saroku à 1451m et le Mikuni Pass, à 1171m. Ce dernier sera le plus difficile, avec une ascension longue de 6,8 km, dont 4 km à 12%. Les coureurs repasseront par le Kagosaka Pass, avant de redescendre vers le circuit. Plusieurs tours du circuit qui a accueilli 4 fois la F1 seront à disputer avant la ligne d’arrivée finale. Nous aurons donc le luxe d’entendre la cloche lors de l’avant dernier passage sur la ligne d’arrivée. Reste à voir si le drapeau à damier sera de circonstance… :)

    La compétition féminine sera, elle, plus courte, avec 137 kilomètres. Partant toujours du Parc Musashinonomori, elles passeront elles aussi par  la Doushi road avant d’arriver au sommet du Kagosaka Pass à 1111 m d’altitude. Elles descendront vers Fuji, pour l’arrivée finale.

    Hâte de voir ça !

    Allez bisous,
    JC

    PS : Le saviez-vous ? Le circuit de Fuji a même un « bank », partie inclinée à 30°, aujourd’hui abandonné.

  • Tamotsu Futamura, l’empreinte japonaise

    Tamotsu Futamura, l’empreinte japonaise

    Imaginez le, au bord d’une spéciale du Rallye de Grande-Bretagne, sur les trottoirs de Monte-Carlo, lors du célèbre grand-prix de Monaco.

    Tamotsu Futamura est un photographe japonais de ce qu’on pourrait appeler « la belle époque ». Si je n’aime pas cette expression, estimant que la nostalgie a tendance à nous faire croire que tout était mieux avant, je dois avouer que ce photographe a le talent de nous montrer de belles choses, sous un angle particulier.

    Né à Yokohama où il grandit, puis basé à Tokyo, Vienne et Monaco, il traverse le monde son boîtier à la main, parcourant le Championnat du Monde des Rallyes comme fréquentant le F1 Circus, se perdant dans les méandres de l’endurance des années 60/70 et son célèbre « World Sportscar Championship », oeuvrant pour la presse particulièrement, les bobines à la main, les diapos sous le compte-fil, les planches en pagaille.

    Tamotsu Futamura’s Transparency Slides, 1970’s © TFG

    J’ai fait sa découverte il y a quelques semaines, alors que les copains Quentin Champion et Thuillier Brothers likaient ses photos sur Instagram. Car bien que décédé depuis 2011, le photographe a son compte Insta, géré et actualisé par l’agence nippone TFG qui gère ses droits.

    Les droits d’une oeuvre large et profonde, à l’oeil décalé, d’une époque où le photographe avait le temps de faire d’autres photos que celles du contrat. Une époque où le flou était artistique, non voulu, parfois maitrisé. Une époque durant laquelle le métier de photographe était à son juste niveau, estimé dans son savoir-faire. Je vous jure, je ne suis pas nostalgique, mais j’aurais aimé voir cela.

    Tamotsu Futamura nous permet au moins de découvrir cela aujourd’hui. Comme un témoignage, j’aime beaucoup ce qu’il a fait.

    Petite découverte : 

    Daytona 24 Hours 1970 © Tamotsu Futamura/TFG
  • Le WRC avec la plus petite auto engagée

    Le WRC avec la plus petite auto engagée

    Si on ne parle que des Latvala, Ogier, Neuville, Meeke et Lefebvre, le WRC et les rallyes en général ont la particularité d’accueillir toutes sortes de voitures. Bien qu’il faille qu’elles soient homologuées, tout est possible : du WRC à la R1, la plus petite voiture peut être engagée.

    A ce petit jeu, une équipe japonaise a choisi de disputer quelques rallyes du WRC avec une originale Toyota Yaris, dont cette année le Rallye de Finlande. Flanquée du numéro 114, cette Yaris, nommée Vitz au Japon, est engagée au sein de la classe RC4. A son volant, nous retrouverons le Nippon Kohei Izuno, secondé par Osamu Yoda.

    Cette semaine donc ils disputeront l’un des plus beaux, si ce n’est le plus des rallyes du Championnat du Monde des Rallyes WRC, le Rallye de Finlande. Une chose bien rare, d’autant que pour des citoyens japonais, ce rallye se révèle être une véritable aventure. Bravo !

    Suivez toute l’actu du team sur leur site, sur leur compte twitter The zero car et leur page facebook.

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  • BMW, Subaru, Nissan, Ford à l’assaut du Mazda Turnpike, Japon

    BMW, Subaru, Nissan, Ford à l’assaut du Mazda Turnpike, Japon

    Le Mazda Turnpike est un cas à part dans le monde. Il s’agit ni plus ni moins que d’une nationale allant du bas de la montagne Hakone à son point culminant, façon course de côte. Le plus original est que son accès est géré par un péage.

    Ajoutez-y quelques voitures de course, façon BMW Z4 GT3, Ford GT40, Nissan GTR, Subaru Impreza WRX STI GrN. Mêlez le tout dans un show hors normes mais bien organisé, dans une débauche de chevaux bien maitrisés par les meilleurs pilotes locaux, provenant des disciplines automobiles et sportives les plus réputées du Japon.

    C’est à voir, du Super GT au rallye. Made in Japan. Presque Deep Purple mais en mieux tu vois :-)

     

  • Découverte : les Keijidōsha et la Honda Z

    Découverte : les Keijidōsha et la Honda Z

    Keijidōsha ? Qu’est ce donc ?

    Keijidōsha, 軽自動車, ou « véhicule léger » en japonais. Il s’agit de (toutes) petites voitures, vendues au Japon. On les appelle « K-Cars » en anglais ou parfois « Midget » en français, et sont le cadre d’avantages divers, comme des taxes réduites ou des tarifs d’assurances bas. Chose surprenante, dans les villes de plus de 100 000 habitants, on ne peut acheter une voiture qu’en ayant une place de parking. Les keijidōsha sont donc un réel succès commercial et phénomène sociétal : dans certaines grandes villes japonaises, plus de 50% de voitures sont des keijidōsha. Dans un pays où on manque de places, ces petites voitures ont toute leur place…

    L’un des keijidōsha les plus représentatives est la Honda Z. Il s’agit d’une petite Honda à trois portes, qui fut tout d’abord produite de 1970 et 1974 puis de 1998 à 2003. Le modèle export porte le nom de Z600 en référence à la cylindrée du moteur de 598 cm³.

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  • Visitez le Toyota Automobile Museum grâce à Street View

    Visitez le Toyota Automobile Museum grâce à Street View

    Nous sommes passés chez Lamborghini, Mazda et Honda… Continuons cette série de visites de musées chez Toyota, toujours au Japon. Cette fois, nous sommes à Nagoya, en mi-chemin entre Osaka et Tokyo.

    Le Toyota Automobile Museum a ouvert en avril 1989. 20 000 m² sont dédiés au premier constructeur mondial avec 120 véhicules exposés… Et pas seulement en provenance des usines Toyota.

    Attention, il y a trois niveaux et deux bâtiments…

    Bonne visite !

  • Visitez le Mazda Museum grâce à Street View

    Visitez le Mazda Museum grâce à Street View

    Continuons notre tournée mondiale des musées à visiter grâce à Google Street View. Nous avons eu le plaisir de découvrir Lamborghini en Italie avant de nous rendre au Japon pour Honda. Restons au Japon et partons un peu plus au sud, à Hiroshima, pour visiter le musée dédié à Mazda.

    Le hall d’entrée se situe au premier étage. Après avoir franchi des escaliers, on entre dans la partie historique de la marque avec les premiers véhicules datant des années 20.

    Marque d’ingénieurs, Mazda offre une place importante à ses moteurs rotatifs et à la technologie employée dans ses derniers modèles. La visite de ce musée permet même de découvrir une reproduction des chaines d’assemblages. Notre petit tour se termine par les concept-cars.

    Note : attention, on a vite fait de se perdre dans les couloirs ! Soyez attentifs et naviguez avec la carte en plus des déplacements à l’intérieur du musée.