Étiquette : Rétromobile

  • _CULT – la Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon

    _CULT – la Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon

    La Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon : elle sera l’une des stars du salon Retromobile de Paris, organisé à la Porte de Versailles du 4 au 8 février prochains. Nous vous en avions parlé lors de la révélation de l’extraordinaire collection Baillon, forte de 60 automobiles des débuts de l’automobile aux années 70. Cette Ferrari mérite bien un zoom.

    L’historique et la « traçabilité » de cette Ferrari sont exceptionnels. Il s’agit là du châssis n° 2935GT, du moteur n° 2935, ayant pour numéro interne n° 610 E, avec la boîte de vitesses n° 8.61 et le pont n° 383F. Oui, à Maranello comme chez ArtCurial et AUTOcult, on aime la précision.

    Pièce rare s’il en est, ce sublime cabriolet est d’une des 37 California Spider SWB « phares carénés » construite. Elle est ici entièrement originale, jamais restaurée, avec son lot de bord, ses guides d’époque et sa carte grise française.

    Il s’agit d’un châssis court, de couleur bleu foncé, hard-top bleu foncé, intérieur simili noir. Il fut terminée le 27 septembre 1961 avant son envoi dans la foulée de Maranello à l’importateur Ferrari de l’époque Franco-Britannic Autos, à Paris. Elle sera exposée la deuxième semaine du Salon de l’Auto 1961. L’acteur Gérard Blain l’achète et l’immatricule dans la semaine suivant le Salon à son nom et adresse (9 rue de Siam, Paris XVIe arrondissement), sous le numéro 88 LR 75. Delon, amateur du cheval cabré qui se serait souvent rendu à Maranello, lui rachète en 1963, la voiture n’a que deux ans et un faible kilométrage. Elle passe d’une immatriculation française à l’immatriculation monégasque 4452 MC le 23 mai 1963. Les plaques d’immatriculation monégasques d’époque et papiers aux noms d’Alain Delon ont d’ailleurs été retrouvé durant les recherches d’historique. Passerons deux autres propriétaires parisiens pour cette Ferrari un peu spéciale. En 1971, celle qu’on appelle « 2935GT », du numéro de son châssis, devient propriété de Jacques Baillon, l’aujourd’hui célèbre collectionneur.

    Cette Ferrari sera vendue aux enchères lors de la vente ArtCurial lors de la vente 2651, à Rétromobile, hall 2.1, le 6 février 2015 prochain à 14h00. Il s’agira de l’évènement de ce salon consacré à l’automobile ancienne.

     

    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_2

    Alain Delon;Shirley Maclaine

    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_4

    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_5

    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_6

    COLECTION BAILLON NIORT 17 / 11 /2014

    1961 Ferrari 250 GT SWB California Spider, Collection Baillon - © Artcurial

     

  • La collection Corrado Lopresto au prochain Retromobile

    La collection Corrado Lopresto au prochain Retromobile

    Collectionneur unique, l’Italien Corrado Lopresto va déplacer quelques-unes de ses plus belles pièces lors du prochain Salon Retromobile, dont la quarantième édition aura lieu du mercredi 4 au dimanche 8 février 2015.

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    Architecte promoteur, Corrado Lopresto a passé sa vie de collectionneur à traquer aux quatre coins du monde prototypes et automobiles à
    carrosseries uniques. Depuis l’âge de 16 ans, cette passion pour la carrosserie italienne lui a permis de réunir une collection unique au monde.

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    Ce Milanais a glané plus de 180 prix lors des Concours d’Elegance de Pebble Beach, Villa d’Este, Amelia Island, Goodwood ou, très récemment, Chantilly… Sa passion était de dénicher des prototypes de carrossiers italiens…

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    Sa collection exceptionnelle est composée des Lancia Florida, Sibilo, Aurelia B52 Vignale et Flaminia Specile Pininfarina, des Alfa Romeo Giulietta Giulietta Bertone et Pininfarina, 6C 1750 Aprile, Praho Touring, 2500SS Bertone et 2500 SS Pininfarina, de l’Autobianchi A112 Giovani Pininfarina et de l’Osca 1600 GT Touring…

  • 100 000 visiteurs pour le prochain Rétromobile ?

    100 000 visiteurs pour le prochain Rétromobile ?

    Rétromobile en juillet ? Rassurez-vous, nous parlons bien du salon parisien qui se déroule traditionnellement au mois de février. Les organisateurs viennent de dévoiler l’affiche de la 40e édition… Et leur intention d’accueillir 100 000 visiteurs dans le Pavillon 1 de la Porte de Versailles, entre le 4 et le 8 février 2015.

    Avec le soutien des organisateurs de l’événement, AUTOcult.fr a été très fier d’inviter vingt personnes lors de l’édition 2014 du plus beau salon de l’automobile de collection. Nous ne manquerons pas non plus le prochain cru programmé du 4 au 8 février 2015.

    500 véhicules sont annoncés sur 46 000 m2 d’exposition avec l’objectif d’attirer 100 000 visiteurs sous une nouvelle signature « Le Passé a toujours un futur ».

    Les différentes animations seront prochainement annoncées. On sait déjà qu’Artcurial sera de la partie pour une nouvelle vente aux enchères exceptionnelles le vendredi 6 février.

  • Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Voici le modèle qui a atteint un sommet lors de la vente Artcurial qui s’est tenue au cœur du Salon Rétromobile 2014 la semaine dernière. Une Ferrari 166 MM/55 a été adjugée pour 2 550 000 euros.

    Après la Tipo 125 S, la 166 est le second modèle à porter l’écusson Ferrari. Présenté en 1948, il s’est imposé sur les routes du Mille Miglia puis aux 24 Heures du Mans.

    ferrari-166MM-1953-volant

    Au total, 70 exemplaires de la 166 ont été construits, carrossés par Touring, Vignale ou Stabilimenti Farina, en barquette, berlinette et cabriolet.

    Le châssis vendu à Rétromobile est sorti des ateliers le 1er avril 1953 avec un moteur V12 de 2 litres, puis envoyé à la Carrozzeria Vignale. Un mois plus tard, la voiture est livrée au Garage Francorchamps pour être réceptionnée par son acquéreur Jacques Herzet.

    ferrari-166MM-1953-moteur

    Après une première saison sportive sur des épreuves en Belgique et en Amérique du Sud, Herzet confie sa voiture à Martial Oblin pour en faire une barquette. Durant les trois années suivantes, son propriétaire la pilote sur des courses belges et l’expose au Salon de Bruxelles 1955.

    A partir de 1957, cette Ferrari 166 MM change de mains à plusieurs reprises. Une restauration totale est entreprise en 2012 pour la remettre en configuration Salon de Bruxelles. A Rétromobile 2014, elle fut la voiture la plus chère vendue aux enchères.

  • Rétromobile 2014 : Citroën C10

    Rétromobile 2014 : Citroën C10

    Au milieu d’une collection consacrée aux voitures familiales, Citroën a sorti le Prototype C10 de son Conservatoire. L’étude réalisée par André Lefebvre n’a jamais débouché sur un modèle de série. Le projet de l’Ami 6 lui avait été préféré.

    Dans les années 1950, André Lefebvre lance une série de prototype visant à imaginer les véhicules du futur. Le dernier de cette série, le C10, est surnommé Coccinelle.

    citroen-c10-avant

    Débuté en 1953, le travail s’achève en 1956 avec la présentation d’un modèle particulièrement aérodynamique. Les solutions techniques seront transposées sur différents modèles de la gamme. On y retrouve une répartition des masses vers l’avant, une carrosserie en forme de goutte d’eau et un essieu arrière plus étroit que l’avant.

    citroen-c10-prototype

    Avec une carrosserie en aluminium, la C10 ne pèse que 382 kilogrammes pour un Cx de 0,258. Le petit moteur 2 cylindres de 425 cm3 lui permet d’atteindre 110 km/h.

  • Rétromobile 2014 : Sunbeam et Babs

    Rétromobile 2014 : Sunbeam et Babs

    Les œuvres de fous de vitesses sont présentées cette année à Rétromobile. Dans les années 1920, ces modèles ont détenu les records de vitesse sur terre. Voici la Sunbeam 350 cv et la Babs.

    sunbeam-profil

    En 1920, Louis Coatalen, chef du bureau d’études de Sunbeam, se lance le défi de battre le record de vitesse en automobile. Il construit la Sunbeam 350 cv en installant un moteur d’avion 12 cylindres Manitou de 18 322 cm3. Les premiers essais sont un échec, les pneumatiques ne résistent pas aux contraintes.

    sunbeam-face

    Deux ans plus tard, Lee Guinness – un pilote de course de la famille des brasseurs irlandais – bat le record à 216 km/h.

    sunbeam-avant

    Cette Sunbeam 350 cv est alors achetée par Malcolm Campbell qui la peint en bleu et la rebaptise Bluebird. En 1925, il prend le record avec une vitesse de pointe de 242,748 km/h.

    sunbeam-arriere

    Cette même année, John Godfrey Parry-Thomas, ingénieur en chef de Leyland Motors, décide de se consacrer aussi aux records de vitesse. Il récupère un châssis de voiture de course et entame l’assemblage de la Babs.

    Sous la carrosserie, il installe un moteur de bombardier de la première guerre mondiale. 12 cylindres en V et surtout 27 litres de cylindrées pour atteindre 500 à 600 chevaux.

    babs-avant

    Pour les premières tentatives, Parry-Thomas s’installe directement au volant. Le 27 avril 1926, il s’adjuge le record à 272,403 km/h. Le lendemain, il atteint 275,271 km/h.

    Dix mois plus tard, Malcolm Campbell présente une évolution de sa Bluebird et reprend son bien à 281,381 km/h.

    La course-poursuite continue. La Babs est démontée, la carburation et le refroidissement sont revus. Malgré une météo défavorable, Parry-Thomas s’élance pour une nouvelle tentative le 3 mars 1927 sur une plage du Pays de Galles. Il perd le contrôle de la Babs, fait un tonneau alors que la voiture prend feu. Il est tué sur le coup. Sa famille décide d’ensevelir la voiture sous le sable de la plage.

    babs-arriere

    42 ans plus tard, Owen Wyn Owen prend connaissance de la triste histoire de Parry-Thomas. Il se rend sur le lieu du drame et après avoir obtenu l’autorisation de creuser la plage, il fait apparaître, au bout de quelques heures, le long fuselage de la Babs. La carrosserie est en partie corrodée.

    La Babs est entièrement démontée, toutes les pièces réparées, contrôlées ou refabriquées. Après huit années de travail, la Babs s’élance à nouveau sur la plage de Pendine.

    Elle est exposée à Rétromobile aux côtés de son ancienne rivale.

  • Rétromobile 2014 : Mercedes Grand Prix

    Rétromobile 2014 : Mercedes Grand Prix

    Six jours après l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand à Sarajevo et vingt-quatre jours seulement avant le début de la première guerre mondiale, Mercedes signait un triplé retentissant lors du Grand Prix de France disputé à Lyon.

    Le 4 juillet 1914, l’Allemand Christian Lautenschlager, le Français Louis Wagner et l’Allemand Otto Salzer terminaient aux trois premières places du septième Grand Prix de France.

    mercedes-grand-prix-1914-arriere

    La course se déroulait sur un circuit de 37,6 kilomètres au sud de Lyon, à parcourir à 20 reprises. Toutes les plus grandes marques de l’époque étaient représentées : Peugeot et Delage pour la France, Sunbeam pour l’Angleterre et Fiat pour l’Italie.

    Le véhicule engagé par Daimler-Motoren-Gesellschaft était spécialement conçu pour les Grands Prix. Le règlement imposait une cylindrée maximum de 4,5 litres. La Mercedes Grand Prix était dotée d’un moteur quatre cylindres entièrement imaginé pour l’occasion, avec un arbre à cames en tête et deux soupapes d’admission et d’échappement par cylindre, faisant de ce moteur le premier Mercedes à 16 soupapes. Ce moteur développait une puissance maximale de 106 chevaux au régime révolutionnaire de 3 100 tour/minute.

    mercedes-grand-prix-1914-interieur

    La performance de Christian Lautenschlager, Louis Wagner et Otto Salzer offraient à Mercedes le premier triplé de l’histoire de la course automobile.

  • Rétromobile 2014 : Simca Comète Monte-Carlo

    Rétromobile 2014 : Simca Comète Monte-Carlo

    Quelques belles pièces sont présentées sur le stand Peugeot du Salon Rétromobile. La marque au Lion a invité le CAAPY (Collection de l’Aventure Automobile à Poissy), une association dont le but est de valoriser l’histoire du site PSA de Poissy, a présenté l’un de ses modèles.

    Celui qui a été retenu date de 1955. C’est une Simca Comète Monte-Carlo. D’abord lancée par Ford SAF, la troisième génération de Comète est présentée en août 1951. La Monte-Carlo est dévoilée lors du Salon de Bruxelles de 1954. En fin d’année, elle devient Simca.

    Le dessin est signé Stabilimenti Farina et la conception et la fabrication avaient été confiées à Facel Metallon de Jean Daninos.

    La version Monte-Carlo reçoit un V8 Mistral de 3 924 cm3 à soupapes latérales développant 105 chevaux pour une vitesse maximale de 152 km/h.

    Pour l’anecdote, le châssis présenté à Rétromobile a subi deux crues de la Seine. Un millier d’heures a été nécessaire à sa restauration.

  • Rétromobile 2014 : Skoda

    Rétromobile 2014 : Skoda

    Rétromobile est devenu un rendez-vous incontournable pour Skoda France. Ces dernières années, la marque tchèque a toujours été particulièrement bien représentée. En 2014, elle propose un stand dédié à la restauration de son patrimoine.

    Depuis un peu plus d’un an, le Skoda Muzeum a subi une rénovation complète. Installé à Mlada Boleslav dans les premiers ateliers de Laurin et Klement, les fondateurs de la marque, ce musée expose les 117 ans d’histoire du constructeur tchèque sur 1 800 m².

    C’est une partie du savoir-faire de ce musée qui est présenté cette semaine à Rétromobile. Quatre modèles sont exposés dans un atelier de restauration.

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    Une Laurin & Klement 210 de 1924 est encore à l’état d’épave. Ce cabriolet 4 portes d’avant-guerre était motorisé par un 4 moteur cylindres de 2 413 cm3 et 30 chevaux. Récemment acquis par le musée, il entrera en restauration dès la fin du salon.

    En pleine phase de restauration, un prototype unique de Skoda 935 a quitté la République Tchèque. L’exemplaire original ayant disparu. Skoda a décidé de reconstruire le même modèle à l’identique, selon les plans d’époque. Les travaux ont commencé il y a plus de trois ans.

    C’est la première fois que cette voiture quitte les ateliers Skoda, et ce avant-même d’avoir terminé sa reconstruction. Elle est animée par un moteur 4 cylindres de 2,0 litres refroidi par eau avec une boite de vitesses Cotal à commande électromagnétique dont le fonctionnement se rapproche d’une boite de vitesses pilotée.

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    Une Skoda Superb R8 de 1938 est aussi présentée. Elle était le modèle préféré des dirigeants tchèques à la fin des années 1930 et dans les années 1940. Elle ne fut produite qu’à 275 exemplaires à cause de la seconde guerre mondiale.

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    Basée sur la Skoda 450 Octavia, la Felicia Cabriolet fut produite à plus de 14 000 exemplaires entre 1958 et 1962. Animée par un moteur 4 cylindres 1 089cm3 de 44 chevaux, elle est aujourd’hui en parfait état.

  • Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Il y a trente ans, avec l’appui de Matra, Renault tentait de proposer un modèle très novateur. L’Espace ressemble à une camionnette civilisée, faite pour transporter des passagers plutôt que des marchandises et ouvre la voie aux « Voitures à Vivre ».

    C’est la modularité qui étonne : les cinq sièges arrière peuvent être retirés et les sièges avant pivotent.  Après quelques mois à trouver sa clientèle, les commandes arrivent enfin. C’est le début d’une grande histoire.

    Au fil des générations, les lignes sont adoucies. La modularité continue de progresser et Renault installe un moteur V6 et une boîte automatique sous le capot. L’Espace monte en gamme.

    renault-espace-2014

    D’autres Espace sont également présentés…

    Une étude de 1959 baptisée Renault Projet 900… Laissée de côté car trop avant-gardiste.

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    La Matra Projet P18 de 1981 prêté par le Musée Matra. Ce prototype avait servi de base à la maquette qui a été présentée en 1982 à Bernard Hanon par Philippe Guedon. Il est à l’origine du partenariat entre Matra et Renault.

    matra-p18

    Pièce maîtresse de la collection, le Renault Espace F1 avait été conçu pour le sixième titre de Renault en F1 avec son V10. Il avait fait une apparition au Salon de l’Automobile de Paris en 1994 et avait même servi de voiture de sécurité en F1.

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  • Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Citroën vend les bijoux de famille ! Le département Citroën Héritage se sépare d’un prototype unique « ECO 2000 ». Présenté en 1982, il avait pour vocation d’explorer de nouvelles voies pour permettre, dès la seconde moitié de la décennie, de proposer un véhicule dont la consommation aurait été inférieure à 3 litres / 100 km.

    Quatre prototypes ont été réalisés : SA 103, SA 109, SA 117 et SL 10. C’est le tout premier qui est mis en vente le mois prochain lors de Rétromobile.

    Selon Citroën, il s’agit d’une « première synthèse des travaux théoriques entrepris, principalement axée sur le poids et l’esthétique. La volonté de n’exclure aucune solution a priori est illustrée par l’adoption d’une architecture de type « propulsion ». Dans le souci de gagner du temps, le moteur bicylindre à plat a été retenu. »

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    Le prototype ne pèse que 430 kg, avec un Cx de 0,267 et une consommation de 3,5 litres aux 100 km. Le moteur de 704 cm3 développe 26 ch DIN et la voiture atteint 140 km/h en pointe.

    Cette Citroën ECO 2000 réclame une restauration pour être remise sur la route et est immatriculable en carte grise de collection.

    Aucun prix de réserve et estimation entre 10 000 et 15 000 euros.

  • Rétromobile : 20 invitations à gagner !

    Rétromobile : 20 invitations à gagner !

    AUTOcult.fr et Rétromobile vous invitent au salon référence de l’automobile de collection… 20 places sont à gagner en répondant simplement à la question suivante, avant le 30 janvier :

    Retromobile 2014

    Infos Rétromobile 2014
    Parc des Expositions : Paris-Porte de Versailles – Pavillon 1
    Horaires :
    – Mercredi 5 février : 11h-22h,
    – Jeudi 6 février : 10h-19h,
    – Vendredi 7 février : 10h-22h,
    – Samedi 8 février : 10h-19h,
    – Dimanche 9 février : 10h-19h.
    Prix d’entrée : 14€ en pré-vente, 16€ sur place – Gratuit pour les moins de 12 ans
    Site : www.retromobile.com