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  • Essai Skoda Octavia RS : cuisine tchèque

    Essai Skoda Octavia RS : cuisine tchèque

    Vous rêvez d’une Golf GTI mais votre raison vous incite à préférer un modèle plus habitable ? Skoda vous apporte la solution rêvée ! Cette nouvelle génération d’Octavia RS Combi reprend la motorisation et les équipements de la star des compactes pour les installer dans un très spacieux break.

    Afin de suivre son engagement en Championnat du Monde des Rallyes, Skoda se dote d’une gamme RS en 2002. L’Octavia RS de première génération est équipée d’un 1,8 litre turbo de 180 chevaux. Son succès encourage la marque tchèque à continuer. Les deuxièmes Octavia RS berline et Combi arrivent en 2005 avec un 2,0 litres essence TSI de 200 chevaux, un 2,0 litres Diesel TDI de 170 chevaux et la boîte DSG en option. L’an passé, l’Octavia RS de troisième génération est passée au TSI de 220 chevaux et au TDI de 184 chevaux, toujours disponibles en DSG.

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    Pourquoi cette Octavia RS fonctionne-t-elle ? La berline s’affiche à 29 900 euros, le break est disponible à partir de 31 000 euros… Alors qu’une Golf GTI – même si elle s’avère plus performante – débute à 32 500 euros. Dans la galaxie Volkswagen, Skoda parvient à proposer des modèles reprenant les composants du groupe à des tarifs très attractifs.

    Cette Octavia de troisième génération dévoile la nouvelle identité de la marque, plus angulaire. La version RS se distingue par des boucliers spécifiques avec des prises d’air en nid d’abeille, des antibrouillards positionnés plus hauts et des phares au Xénon. A l’arrière, un bandeau réfléchissant rouge accompagne les deux sorties d’échappement et un spoiler prolonge le toit.

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    L’habitacle est également travaillé pour offrir une touche un peu plus sportive. Le volant est spécifique à la RS, comme le pédalier et les sièges en cuir et tissu. Sans être aussi beau que des vrais, les inserts de « type carbone » ajoutent une touche originale.

    En dehors de la conduite, le vrai point fort de l’Octavia RS reste son extraordinaire habitabilité. A l’avant et à l’arrière, l’espace est équivalent à un modèle de la catégorie supérieure tout en proposant un coffre immense de 610 litres (590 litres pour la berline) et plus 1740 litres avec les sièges rabattus.

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    Un système de double plancher particulièrement bien pensé permet de compartimenter l’immense coffre selon les besoins.

    Au volant, les lettres RS prennent le dessus. On oublie l’incroyable espace pour s’amuser. Le 2,0 litres TSI profite avantageusement de son turbo pour répondre à la moindre sollicitation avec 350 Nm de couple. Et un petit artifice, un « générateur de bruit solidien », permet d’amplifier les sensations acoustiques à l’intérieur de l’habitacle. Les 220 chevaux font le reste pour atteindre 100 km/h en 7,1 secondes avec la boîte DSG et une vitesse maximale de 244 km/h.

    Et si vous n’avez pas envie de ‘rouler’, cette Octavia RS propose une large série d’équipements dédiés à l’aide à la conduite. A tel point que l’on peut jouer à se laisser guider par une voiture partiellement autonome. Une petite aventure entre Paris et Auvers-sur-Oise à relire sur AUTOcult.fr.

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    L’AUTO est-elle cult ?
    Une Skoda Octavia Combi en version RS est un mélange un peu étrange, mais peut-être aussi le meilleur de deux mondes. Un immense break proposé à 32 500 euros capable de procurer un vrai plaisir de conduite avec un moteur essence turbocompressé de 220 chevaux et une boîte de vitesses DSG fidèle à sa réputation. L’ajout de nombreux équipements d’aide à la conduite en fait un choix particulièrement sûr.

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Moteur : Essence 4 cylindres en ligne, turbocompressé
    Cylindrée : 1 984 cm3
    Puissance : 220 chevaux / 162 kW à 4 500 tours/min.
    Couple : 350 Nm à 1 500 tours/min.
    Transmission : roues avant motrices, boîte automatique séquentielle à six rapports
    L/l/h (mm) : 4 685 / 1 814 / 1 452
    Poids à vide : 1 462 kg
    Capacité du coffre (l.) : 610 / 1 740
    Vitesse maximale : 244 km/h
    0-100 km/h : 7,1 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 7,7 / 5,3 / 6,2
    Emissions de CO2 : 149 g/km

  • Pub Super Bowl : Nissan The Pigeons

    Pub Super Bowl : Nissan The Pigeons

    Voici un spot un peu plus accessible que ceux de Chrysler ! En 1997, Nissan doit faire face à une armada de pigeons entraînés à nous pourrir la vie et nos carrosseries…

  • Pub Super Bowl : Chrysler Halftime in America

    Pub Super Bowl : Chrysler Halftime in America

    La semaine dernière, je vous avais avoué que la publicité de Chrysler diffusée durant le Super Bowl 2011 m’aurait fait acheter une Chrysler 200 si j’étais Américain… Et bien j’en aurais acheté une seconde en 2012.

    Voici ce que j’avais écrit l’an passé au sujet de « Halftime in America ».

    Le culte automobile ne se transmet pas uniquement par un volant et des pédales. Ce sont aussi des images, des sons, des odeurs, des textures… Et des coups marketing. Pour terminer l’année, voici l’un de mes coups de cœur de 2012. Une publicité de deux minutes à faire décrocher une larme. Quand l’automobile n’est pas seulement un moyen de locomotion, que c’est un moteur de l’économie globale, un équilibre – aussi bien macro-économique que micro-économique dans notre monde capitaliste…

    Contexte économique
    En 2008, au cœur d’une crise bancaire profonde, la consommation américaine plonge. Le groupe Chrysler – racheté par un fonds d’investissement en 2007 après le retrait de Daimler – voit ses livraisons baisser de 30 % en un an.

    Avant même la publication des résultats, l’Etat américain (administration Bush) décide d’octroyer un prêt de 4 milliards de dollars à Chrysler pour « poursuivre ses réformes structurelles ». Dans la culture américaine, cette décision provoque un énorme séisme. L’Etat providence sauve Chrysler et General Motors alors qu’aucun groupe privé n’était pas à prendre ce risque.

    La situation économique ne s’arrange pas. En 2009, les ventes chutent encore de 36 % aux Etats-Unis alors que Chrysler est repris à 20 % par le Groupe Fiat. Des milliers d’emplois sont supprimés et le groupe passe en « Chapter 11 » (procédure de sauvegarde) qui lui permet de continuer ses activités en étant sous la protection de la faillite. Fiat prend des options pour monter au capital alors que le gouvernement américain hérite de 8 % et que le gouvernement canadien prend 2 % du capital.

    En 2011, après deux années de nouvelle croissance, Fiat profite de multiples options de rachat d’actions pour monter à 58,5 % du capital.

    Pour continuer à parler chiffres, Chrysler était valorisé à 36 milliards de dollars en 1998 lors de sa fusion avec Daimler. En 2007, le groupe de Detroit valait moins de 7 milliards de dollars. Aujourd’hui, la valorisation fait débat (10 milliards ?). Fiat veut qu’elle soit la plus faible possible pour pouvoir racheter les parts de son coactionnaire VEBA à un prix favorable. L’affaire se réglera certainement au tribunal. Au final, le sauvetage de Chrysler aura coûté 1,3 milliard de dollars aux contribuables américains.

    Car, désormais, Fiat a besoin de Chrysler. Si le groupe italien a sauvé Chrysler, il en est maintenant dépendant pour faire des bénéfices. A l’image de l’alliance réalisée entre Renault et Nissan.

    (Mise à jour du 30 janvier 2014 : Fiat a désormais racheté la totalité des parts de Chrysler pour une valorisation globale de 10,5 milliards de dollars).

    Contexte marketing
    Le Super Bowl est devenu le moment incontournable de l’année pour la diffusion de campagnes publicitaires à la télévision. L’évènement est le plus regardé sur le petit écran américain avec un record à plus de 140 millions de téléspectateurs.

    Les annonceurs se bousculent pour montrer leur création dont la diffusion est facturée près de 3 millions de dollars pour trente secondes. (4 millions de dollars en 2014)

    En 2011, Chrysler choisit de s’offrir ce passage tant convoité avec le lancement de la campagne « Imported from Detroit » menée par Eminem.

    Un an plus tard, Chrysler récidive avec Clint Eastwood. Cette fois, le spot est beaucoup moins orienté produit. Au contraire, il est interprété comme un message politique. Malgré son attachement au parti républicain, Clint Eastwood lit un texte aux accents de lancement de campagne pour la réélection du démocrate Barack Obama.

    Chrysler s’en défend même si l’on peut entendre un encouragement pour un second mandat…

    « Je veux rappeler que j’ai remboursé les prêts de l’état avec 19,7 % d’intérêt. Je crois que je n’avais pas besoin d’y ajouter une publicité en plus » lança même Sergio Marchionne.

    Attaqué sur le coût d’un tel spot, le même Marchionne avait affirmé que le coût global de cette campagne avait été inférieur à 9 millions de dollars.

    Le texte lu par Clint Eastwood, en version originale :
    « It’s halftime. Both teams are in their locker room discussing what they can do to win this game in the second half. It’s halftime in America, too. People are out of work and they’re hurting and they’re all wondering what they’re going to do to make a comeback and we’re all scared because this isn’t a game. The people of Detroit know a little something about this. »

  • Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Citroën vend les bijoux de famille ! Le département Citroën Héritage se sépare d’un prototype unique « ECO 2000 ». Présenté en 1982, il avait pour vocation d’explorer de nouvelles voies pour permettre, dès la seconde moitié de la décennie, de proposer un véhicule dont la consommation aurait été inférieure à 3 litres / 100 km.

    Quatre prototypes ont été réalisés : SA 103, SA 109, SA 117 et SL 10. C’est le tout premier qui est mis en vente le mois prochain lors de Rétromobile.

    Selon Citroën, il s’agit d’une « première synthèse des travaux théoriques entrepris, principalement axée sur le poids et l’esthétique. La volonté de n’exclure aucune solution a priori est illustrée par l’adoption d’une architecture de type « propulsion ». Dans le souci de gagner du temps, le moteur bicylindre à plat a été retenu. »

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    Le prototype ne pèse que 430 kg, avec un Cx de 0,267 et une consommation de 3,5 litres aux 100 km. Le moteur de 704 cm3 développe 26 ch DIN et la voiture atteint 140 km/h en pointe.

    Cette Citroën ECO 2000 réclame une restauration pour être remise sur la route et est immatriculable en carte grise de collection.

    Aucun prix de réserve et estimation entre 10 000 et 15 000 euros.

  • Bentley Continental Flying Spur Wagon : le faux parfait

    Bentley Continental Flying Spur Wagon : le faux parfait

    Les petits créatifs ont parfois de bonnes idées. Bien loin des bureaux d’études de Crewe, un ingénieux a réalisé une Bentley Continental Flying Spur Wagon, sur base de Bentley Continental Flying Spur. Bien que cette illustration date un peu, espérons que ça donne quelques idées aux créateurs de Crewe !

    Un jour je partagerai mon Citroën XM break de chasse ;-)
    Jean-Charles

     

  • Un fil à la roue

    Un fil à la roue

    Ah l’automobile… Ce symbole de liberté ! Les embouteillages de la Nationale 7 lors de la conquête des congés payés, les premières escapades seul (ou accompagné) sans les parents dès l’obtention du permis… Ce pouvoir de rouler des heures dans toutes les directions. Et cette liberté que l’on veut restreindre aujourd’hui avec des « véhicules » à l’autonomie dérisoire !

    Il m’est arrivé de prendre le volant et de m’enfuir, de rouler. Non pas que je voulais échapper à quelque chose (pas consciemment en tout cas) mais je voulais juste aller loin, plus loin. Jusqu’à trouver le bout d’une route et un endroit à voir… Le voir et repartir. Aller à la mer, aller dans les vignes, aller dans les villages, prendre des photos, écouter tout et rien grâce à l’autoradio… Avoir cette liberté de faire ce que je voulais et d’aller où je voulais sans avoir à demander une permission ni me soucier d’une quelconque organisation.

    Et la voiture électrique est arrivée… Non, pas « voiture électrique », c’est un « véhicule électrique ». Car une voiture reste un symbole de liberté. Et l’électrique promet une autonomie juste suffisante pour ne pas s’éloigner de son point d’attache.

    Qui donc partira sans réfléchir le long d’une Nationale pour aller voir un peu plus loin s’il y a quelque chose d’intéressant ? Avec une autonomie promise de 180 kilomètres et effective d’une centaine ?

    Quel intérêt à devoir s’arrêter au bout de 40 minutes pour se donner la chance de revenir ? Et qui tenterait de faire cent kilomètres pour rester tanké huit heures avant de pouvoir repartir ?

    Ces véhicules électriques sont sympas à découvrir en ville, sans aucun doute. Ça accélère fort, ça ne fait pas de bruit. Mais s’il vous plait, avec un fil à la roue, n’appelez pas ça voiture !

    Les lobbyistes nous affirment encore et encore que le moteur électrique est l’avenir. Nous ne voulons pas de cet avenir qui nous empêcherait d’aller dans nos régions. Que les véhicules électriques restent dans nos villes et que l’on arrête cette communication à outrance. Non, l’essence ne manque pas. On trouve de plus en plus de moyen d’extraire du pétrole. L’avènement d’une nouvelle technologie capable de remplacer nos moteurs prendra plusieurs décennies. Jusque-là, il faudra compter sur les progrès de nos moteurs essence et Diesel pour nos « voitures », les vraies !

  • Pub Super Bowl : Audi The Prom

    Pub Super Bowl : Audi The Prom

    Et si conduire une Audi donnait un peu plus de confiance. Imaginez devoir aller à la soirée de fin d’année sans cavalière… Et puis puisez cette confiance en ayant le droit de conduire une Audi S6. Qu’aimeriez-vous faire ?

    Audi a réalisé un film typiquement américain pour l’édition 2013 du Super Bowl. Une situation qui permet à des millions de personnes de s’identifier à cet ado qui tente sa chance… Et qui passe la plus belle soirée de sa vie (malgré tout).

  • Festival Automobile : au pays des merveilles

    Festival Automobile : au pays des merveilles

    Face à l’Hôtel National des Invalides, un chapiteau de 3 000 m² est dédié à la passion automobile jusqu’à la fin de la semaine. De l’Alfa Romeo 4C, élue plus belle voiture de l’année hier soir, à l’Art Car réalisée par Costa pour OAK Racing en passant par Peugeot Onyx et bien d’autres, voici ce que vous pourrez découvrir.

    Préambule : il y a très peu de « protections » autour des différents concept cars présentés lors de cette exposition. Certains sont même très simplement présentés sans le moindre filin.

    Aucune grande nouveauté mais, pour beaucoup, ce sera l’occasion de voir « en vrai » des modèles d’exception qui ne trouvent généralement leur place que dans des salons.

    Peugeot est présent avec Onyx, 308 R Concept, 208 T16 Pikes Peak et 908 HDI FAP sur le stand RM Auctions. Onyx a vieilli depuis sa première présentation. Le cuivre s’est oxydé (c’est une volonté de la marque) et donne une nouvelle teinte au concept. Très réussi !

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    Ambiance particulièrement sportive chez Citroën avec C-Elysée WTCC (la voiture actuellement développée par Sébastien Loeb, Yvan Muller et Jose Maria Lopez) et DS3 R5 (la petite soeur de la WRC) qui accompagnent C-Cactus (à moins d’une semaine de la révélation du modèle de série) et Wild Rubis.

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    Twin’Z et Twin’Run sont présents pour continuer à propager l’idée que la troisième génération de Twingo arrivera cette année. Initiale Paris est aussi exposé.

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    Les BMW Gran Lusso Pinifarina, Opel Monza Concept, Kia Provo sont également présentées.

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    Il y a aussi d’autres choses plus exotiques comme l’Icona Vulcano ou la Giugiaro Parcour Concept.

    Quelques modèles en phase de commercialisation sont aussi exposés. Porsche montre son Macan et la 918 Spyder. Aston Martin présente une Vanquish Volante, BMW expose une i3 et une place de choix est réservée à Alfa Romeo pour sa 4C élue hier plus belle voiture de l’année.

    Déjà vue et présentée sur AUTOcult.fr, OAK Racing affiche à nouveau son Art Car basée sur une Morgan-Nissan LM P2.

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    Avant une vente aux enchères, RM Auctions aligne quelques modèles en vente : Mercedes 300 SL, Porsche 956 Groupe C, Gordini Type 24S, Peugeot 908 HDI FAP et Porsche 917-30 Can Am.

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    Le Festival Automobile International est ouvert du 29 janvier au 2 février. Tarif : 10 euros, tarif réduit : 6 euros et gratuit pour les moins de 10 ans.

  • Citation : Louis Schweitzer

    Citation : Louis Schweitzer

    Citation de Louis Schweitzer, Français, PDG de Renault entre 1992 et 2005, « Il y a des choix qui font de la peine. Renoncer au projet W71 fut de ceux-là. Le projet Alpine W71 était séduisant à beaucoup d’égards et aurait sûrement eu ses raisons d’être en d’autres circonstances. Là, nous étions assurés de perdre beaucoup d’argent en le menant à terme. Il a fallu sacrifier le plaisir à l’essentiel. »

    Ces phrases sortent de L’Action Automobile de juillet 1993. Elles annoncent la disparition de la marque Alpine en 1995.

  • La plus belle voiture de l’année est l’Alfa Romeo 4C

    La plus belle voiture de l’année est l’Alfa Romeo 4C

    Alfa Romeo remporte le prix de la plus belle voiture de l’année pour sa 4C à l’occasion de la soirée de remise des prix du Festival Automobile International. Elle succède à la Mercedes Classe A.

    Le concept de la plus belle voiture de l’année
    L’élection de la plus belle voiture de l’année a été créée en 1987. D’abord propriété d’un jury, le vote a été ouvert au public, par le minitel, le téléphone et désormais internet.

    Les modèles doivent être inscrits par son constructeur. La commercialisation doit avoir débuté durant l’année et le tarif doit être inférieur à 55 000 euros.

    Les candidats de cette édition 2013 étaient :
    – Alfa Romeo 4C
    – BMW Série 4
    – Jeep Grand Cherokee
    – Lexus IS 300h
    – Mazda3
    – Mercedes CLA
    – Peugeot 308
    – Renault Captur

    Depuis mi-décembre, les Peugeot 308, Jeep Grand Cherokee, Lexus IS 300h et Renault Captur ont été éliminés de la compétition. Ce soir, il n’en restait que quatre. Le public a donc désigné l’Alfa Romeo 4C à 40,7 %. Suivent les BMW série 4 (25,5%), Mercedes CLA (22,2%) et Mazda 3 (11,6%).

    Le palmarès complet :
    2013 : Alfa Romeo 4C
    2012 : Mercedes Classe A
    2011 : BMW Série 3
    2010 : Citroën DS4
    2009 : Peugeot RCZ
    2008 : Alfa Romeo MiTo
    2007 : Renault Laguna Estate
    2006 : Audi TT
    2005 : Alfa Romeo Brera
    2004 : Mercedes SLK
    2003 : Nissan 350 Z
    2002 : Mercedes CLK
    2001 : Mercedes Classe C Coupé Sport
    2000 : BMW Série 3 Coupé
    1999 : Jaguar S-Type
    1998 : Peugeot 206
    1997 : Peugeot 406 Coupé
    1996 : Mitsubishi Carisma
    1995 : Peugeot 406
    1994 : Renault Laguna
    1993 : Citroën Xantia
    1992 : Renault Safrane
    1991 : BMW Série 3
    1990 : Lexus LS 400
    1989 : Citroën XM
    1988 : Alfa Romeo 164
    1987 : BMW 735i

    Les autres prix décernés ce soir

    Grand Prix de la plus belle Supercar : Porsche 918 Spyder
    Grand Prix du plus beau concept car : Aston Martin CC100
    Grand Prix du plus beau livre : Voitures de rêve, les supercars du XXIe siècle par Ron Kimball et Massimo Mambretti, chez Gründ
    Grand Prix du plus beau film publicitaire : Wedding pour la Fiat 500L Trekking
    Grand Prix de l’art : Renault Art Collection pour l’exposition Machines fantastiques
    Grand Prix d’architecture : Lavigne-Cheron architectes pour le pont Chaban-Delmas à Bordeaux
    Grand Prix de la plus belle photographie : Last Action Hero par Lies de Mol
    Grand Prix de l’environnement : BMW Group pour la gamme BMWi
    Grand Prix du plus bel intérieur : Peugeot 308
    Grand Prix Creativ’ Experience : Audi eKurzinfo
    Grand Prix du design : Peter Schreyer pour Hyundai Kia Design Centers
    Grand Prix BMW Young Designer Award : iC2
    Palme d’Or : Vincent Bolloré

  • Pub Super Bowl : Chevrolet Happy Grad

    Pub Super Bowl : Chevrolet Happy Grad

    Aux Etats-Unis, les jeunes diplômés de bonnes familles se voient parfois offrir de jolis cadeaux… Chevrolet se sert de cette coutume lors du Super Bowl 2012 dans son film Happy Grad. Et le ton humoristique est très réussi !