Étiquette : Giulia

  • Victoire d’une Alfa Romeo Giulia au Rallye Monte-Carlo Historique 2025

    Victoire d’une Alfa Romeo Giulia au Rallye Monte-Carlo Historique 2025

    Alfa Romeo inscrit une nouvelle ligne glorieuse à son palmarès en sport automobile en s’imposant au 27e Rallye Monte-Carlo Historique. À bord de leur Alfa Romeo Giulia TI de 1965, Michel Decremer et Jennifer Hugo ont dominé cette édition de bout en bout, confirmant leur statut d’intouchables dans cette épreuve mythique. Déjà vainqueurs à deux reprises, les Belges réitèrent leur exploit en franchissant la ligne d’arrivée en tête dans la nuit de mardi à mercredi, au terme d’un parcours aussi exigeant que spectaculaire.

    Partis de Reims, Decremer et Hugo ont rapidement pris les commandes de la course avant d’asseoir leur suprématie dès le samedi après-midi. Ils ont conclu leur démonstration en remportant les deux dernières spéciales de régularité, dont l’emblématique passage par le Col de Turini, offrant à Alfa Romeo une victoire éclatante. Cette performance confirme la compétitivité et la fiabilité de la Giulia TI, symbole intemporel du savoir-faire et de la passion de la marque italienne.

    Un rallye exigeant, une Alfa Romeo souveraine

    Cette édition 2025 du Rallye Monte-Carlo Historique s’est déroulée dans des conditions extrêmes, débutant sous la neige autour de Valence avant de se conclure sous un soleil printanier à Monaco. Face à une concurrence relevée et un plateau de 219 équipages, Alfa Romeo s’est imposé avec autorité, démontrant une fois encore que l’histoire et la performance vont de pair pour la marque au Biscione.

    Avec quatre victoires de spéciale (SR10, SR12, SR16 et SR17), l’équipage Decremer-Hugo a porté haut les couleurs d’Alfa Romeo. Ce succès témoigne de la richesse du patrimoine sportif de la marque et de sa capacité à briller sur les terrains les plus exigeants.

    Une victoire qui renforce l’héritage sportif d’Alfa Romeo, avec un futur électrique !

    L’histoire d’Alfa Romeo en rallye s’enrichit avec ce triomphe, qui fait écho aux grandes heures de la marque en compétition. Cette victoire au Rallye Monte-Carlo Historique célèbre l’engagement d’une marque dont l’ADN reste résolument tourné vers la performance et l’émotion. Des Alfa Romeo Junior 100 % électrique seront engagées cet automne au départ du prochain e-Rallye Monte-Carlo, épreuve majeure des compétitions zéro émission.

  • Roadtrip : 2500 km au volant de l’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio

    Roadtrip : 2500 km au volant de l’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio

    Pour ce roadtrip, ce n’étaient ni Alex, ni moi qui tenions le volant de l’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio mais bien Saad et Guillaume, copains du Garage des blogs. Leur périple s’est établi sur 2500 kilomètres, entre Paris et Arese, ville originelle de la marque Alfa, via les Alpes et le mythique col de Turini, suivi du Col de Braus. L’objectif de leur voyage était d’apprendre à prononcer Quadrifoglio. Une idée, un programme qui leur ressemble bien.

    Pour illustrer leur aventure, ils ont sorti trois épisodes qui sont à mes yeux parmi les vidéos les plus réussies que j’ai pu voir ces dernières années. Il faut dire que le sujet le plaisait avant d’appuyer sur play. Je vous conseille donc de vous installer  confortablement et de visionner ce triptyque : une vidéo essai, une vidéo histoire & musée et une vidéo débat. Bien joué GDB.

     

    Roadtrip 2500 km au volant de l'Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio ambiance Garage des blogs
    Ambiance sur le tournage Quadrifoglio – © Garage des blogs / GDB.tv
    Roadtrip 2500 km au volant de l'Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio ambiance Garage des blogs
    Ambiance sur le tournage Quadrifoglio – © Garage des blogs / GDB.tv
    Roadtrip 2500 km au volant de l'Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio ambiance Garage des blogs
    Ambiance sur le tournage Quadrifoglio – © Garage des blogs / GDB.tv
    Roadtrip 2500 km au volant de l'Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio ambiance Garage des blogs
    Ambiance sur le tournage Quadrifoglio – © Garage des blogs / GDB.tv

     

  • Contact : Alfa Romeo Giulia

    Contact : Alfa Romeo Giulia

    J’ai récemment lu qu’une école de pensée affirmait que chaque amoureux d’automobiles devait posséder – un jour ou l’autre – une Alfa Romeo. Cette école de pensée n’est pas particulièrement récente et ne pouvait pas s’appliquer à tous les modèles. Les Alfistes citeront forcément l’Alfasud.

    Durant la dernière décennie, la gamme milanaise s’est contentée de deux modèles de grande distribution et une 4C en série restreinte. Enfin, après des années d’attente, Alfa Romeo nous sert un nouveau modèle avec une Giulia imaginée pour conquérir le monde, plus encore que la France.

    Sergio Marchionne a promis que l’Alfa Romeo Giulia n’avait aucune concurrente. Soit ! Mais l’Italo-Canadien aura bien du mal à vendre ses voitures à ceux qui ne cherchent pas une berline moyenne.

    Les premiers mois de commercialisation seront d’une importance capitale pour l’avenir d’Alfa Romeo – et du patron du Groupe FCA. Très clairement, la Giulia profite de l’énorme cote d’amour de la marque. Enfin, Alfa revient avec une concurrente pour les BMW Série 3 ou Audi A4. Contrairement à Sergio, je suis persuadé que la Giulia sera très directement confronté aux créations allemandes. Et c’est bien là que toute la difficulté réside.

    Alfa parviendra à convaincre les Alfistes (sous réserve de l’essayer). Mais qu’en est-il de ceux qui auront reçu une offre pour s’offrir la nouvelle A4 bardée de technologies ? Est-ce que les acheteurs qui n’ont pas un peu d’Alfa dans les veines se laisseront convaincre ? Il en faudra peut-être davantage pour porter la Giulia, même si l’initiative d’une QV V6 biturbo et son 0 à 100 m/h en 3,9 secondes va dans le bon sens.

    Reste qu’en n’étant proposée qu’en Diesel pour entamer sa carrière, la Giulia ne s’adresse pas forcément aux vrais de vrais. Et c’est bien cette ambivalence qui caractérise tant cette marque !

  • Quelle berline a marqué le début de l’été ?

    Quelle berline a marqué le début de l’été ?

    Trois lancements en quelques jours, trois façons différentes de s’attaquer à un segment qui n’a plus la côte en France. Alfa Romeo, Audi et Renault ont dévoilé leurs nouvelles berlines qui devraient se retrouver avec un prix d’appel comparable dans quelques petits mois. Trois façons, aussi, de se projeter vers l’avenir.

    Ces trois voitures sont restées campées sur leurs roues, sans bouger. Inutile de vouloir comparer les prestations de chaque modèle. Ce sont surtout les ambiances et les premiers commentaires autour des nouvelles Alfa Romeo Giulia, Audi A4 et Renault Talisman qui peuvent donner le ton d’une présentation réussie.

    24 juin – Alfa Romeo Giulia : l’attente était trop longue

    À 24 heures de la présentation officielle, quelques photos volées fuitent. Les fans de la marque se déchainent contre une berline qui leur rappelle trop la concurrence.

    Dans la salle, au moment de la révélation, Alfa Romeo n’a pas tenu compte de ces premiers commentaires. Le discours se veut affirmatif. « Une Alfa doit être différente ! » Autour de la voiture, les réactions sont pourtant tranchées. Cette Giulia ressemble à beaucoup d’autres modèles de la catégorie. Des bouts de BMW, d’Audi, d’Infiniti…

    Les puristes, qui n’ont pas acheté de berlines neuves badgées Alfa Romeo depuis quelques années, crient à la trahison. Mais que devions-nous attendre ? Ils voulaient une berline italienne, ils ne l’ont pas reconnu dans cette Alfa Romeo Giulia Quadrifolio Verde.

    D’autres ont adoré cette approche directe qui consiste à dévoiler un modèle (dont le premier prix devrait être inférieur à 30 000 euros) dans une version folle de 510 chevaux.

    Il convient donc d’attendre la version « 99 grammes »…

    Alfa Romeo a cherché (et très réussi) à renforcer son image de marque, notamment avec la 4C. Désormais, on attend des modèles toujours plus emblématiques, oubliant que les Milanais étaient aussi à l’origine des Alfasud, 33, 75, 90… C’est une habitude, certains se souviendront que l’accueil avait aussi été mitigé pour la 156 !

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    29 juin – Audi A4 : toujours la même

    Face aux Alfa Romeo et Renault, Audi fait figure de référence. Pas question de révolutionner le concept, il faut asseoir une certaine domination.

    La nouvelle A4, car Audi martèle l’idée que c’est une nouvelle voiture, est plus large, plus longue, plus légère, plus technologique, plus tout que la précédente. Tous les codes de la marque, et plus encore ceux de l’A4, sont conservés.

    Résultat ? « On tourne en rond côté design », c’est ce qui ressort de cette présentation sous forme de l’envoi du dossier de presse et de vidéos. Et même de petites vannes, « ils n’ont pas copié l’ancienne A4 pour l’arrière, mais l’A4 de 1994 ! ».

    La filiation qui va si bien aux Audi, et qui fonctionne si bien pour les bons de commande, commence à sérieusement user les médias… Mais rassure les clients.

    Là où Audi se place plusieurs crans au-dessus de ses concurrentes du mois, c’est sur la présentation intérieure. Dans l’habitacle, il est acquis que l’Allemande ne chasse pas les mêmes clients que les deux autres modèles.

    L’envie d’être plus direct se ressent aussi dans la communication autour des différents modèles. Sept moteurs et trois boîtes de vitesses ont été annoncés. Audi n’était pas là pour taper dans l’œil, mais surtout pour présenter son nouveau modèle.

    Pour ce non-événement, Audi attend le mois de septembre pour organiser sa présentation à la presse. Avant les vacances, il ne fallait qu’occuper tranquillement le terrain.

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    6 juillet – Renault : la grande réussite

    Il ne s’était passé que quelques jours après la pluie de commentaires acerbes autour de la Giulia et du non-événement qu’avait créé l’A4… Qu’allait proposer Renault pour passer au travers de cette envie de critiquer ?

    La lente fin de vie de la Laguna et sa faible cote d’amour en version berline avaient considérablement réduit les attentes autour de la future berline de Renault.

    Et bien lorsque l’on n’attend pas l’extraordinaire, on se retrouve conquis par un modèle qui se place entre une A4 déjà connue et une Giulia trop QV. Le design a marqué l’assistance par son ambition et son équilibre.

    Les commentaires ont été très majoritairement positifs, plus que lors des deux précédentes présentations… La Renault n’a souffert qu’en montrant son habitacle. La comparaison avec l’Audi donne un clair avantage à l’A4. Quant à l’Alfa, programmée pour une sortie plus tardive, elle était présentée portières bien fermées.

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    Avantage Renault !

    La Renault Talisman n’est pas une meilleure voiture. Mais le rapport entre l’attente générée par le nouveau modèle et la réalisation de la présentation font que l’opération menée par Renault a pleinement réussi, là où Alfa Romeo a davantage subi l’extraordinaire pression que les médias et le public mettent sur la marque. Le design de la nouvelle A4 n’est pas suffisamment « nouveau » pour créer l’événement. D’ailleurs, la révélation de ce début d’été trouvera un écho avec une présentation plus classique à Francfort. Les gens heureux n’ont pas d’histoires…

  • Quelles sont les chances de succès de la nouvelle Giulia ?

    Quelles sont les chances de succès de la nouvelle Giulia ?

    Comment Alfa Romeo a pu survivre aussi longtemps avec une gamme restreinte à seulement deux modèles ? La question mérite d’être posée tant la situation défie le marché… L’arrivée de la 4C a permis de faire oublier que les MiTo et Giulietta commençaient à vieillir. Aujourd’hui, la Giulia doit frapper un très, très grand coup pour sauver la marque et peut-être même le groupe.

    Après des années d’attente, Alfa Romeo sort enfin un nouveau modèle de grande diffusion. Fiat Chrysler Automobiles s’est décidé à replacer la marque milanaise face à BMW…

    Sergio Marchionne a trouvé 5 milliards d’euros pour alimenter son ambition de voir Alfa Romeo vendre 400 000 voitures dès 2018. Pour rappel, les MiTo, Giulietta et 4C ont atteint le record de 68 000 ventes en 2014 !

    La Giulia doit donc lancer un vent de modernité au cœur de la gamme. SUV, coupé, cabriolet et Giulietta suivront rapidement.

    Mais la tâche est énorme pour la Giulia. Présentée aujourd’hui, elle doit donner confiance en externe autant qu’en interne. Les photos qui ont fuité depuis hier soir alimentent pourtant la déception.

    Tandis que les analystes s’attaquent au plan beaucoup trop ambitieux de Sergio Marchionne, les fans regrettent déjà leurs rêves de Giulia à quelques heures de sa présentation. Trop copiée sur une BMW, la berline italienne est même comparée à une vulgaire déclinaison chinoise des réalisations allemandes.

    Si la Giulia ne réussit pas dans son segment, les chances des futurs modèles de la marque seront d’autant moins importantes. Et l’investissement de FCA ressemblera à des pertes. De quoi forcer Sergio Marchionne à intensifier ses recherches pour parvenir à la concentration qu’il réclame depuis longtemps…

    Faîtes donc que la Giulia soit une voiture exceptionnelle et qu’elle se vende !

  • Découverte : Alfa Romeo Giulia Ti Super

    Découverte : Alfa Romeo Giulia Ti Super

    Nous proposer un tour sur un circuit aussi historique que celui de Balocco est une chose qu’on ne refuse pas. Si j’avais préféré tester les Giuletta et Mito sur routes ouvertes plutôt que sur circuit, quelle ne fut pas ma joie lorsqu’on me proposa de tester l’Alfa Romeo Giulia Ti Super sur le circuit de Balocco. Une antique Giulia, dans son jus.

    A son bord, une chose nous marque de suite. L’odeur que dégage la patine du temps. Entre cuir et huile, entre plastique délicatement vieilli et vapeur d’essence. Non pas de voiture hors d’âge et d’usage, cette Giulia est juste bien conservée, chouchoutée par le département histoire de la marque milanaise, quasi neuve et bien entretenue. Je m’en délecte.

    A son volant, surprise, pas de ceinture de sécurité. On se sent nu, d’autant que le siège n’a pas vraiment une assise étudiée. A l’époque, l’assise et le dossier étaient plutôt plats, sans réel maintien étudié. Il n’est pas prévu que nous battions un record de la piste de Balocco, au rythme promenade, cela devrait aller.

    Contact. Le moteur démarre sans broncher, au quart de tour. Première étape, trouver la marche arrière. Pas évident. D’un tour de son grand volant de bakelite noir, demi-tour et c’est parti. Le petit moteur essence demande à être soutenu en régime, dans un doux son d’une autre époque. Les rapports passent facilement « à la montée » mais « à la descente », les rapports craquent un peu. Prudence donc à bien décomposer le rétrogradage, voire à utiliser le double débrayage.

    Côté châssis, la direction un peu large mais les petits pneus étroits tiennent bien la route. Lorsqu’on roule un peu plus vite, le train arrière se dodeline un peu, tout doucement, parfait pour placer la belle dans le virage suivant.

    Au final, j’ai pu faire quelques tours sur le circuit de démonstration de Balocco. Juste assez pour se faire une idée rapide de la Giulia, bien peu pour la découvrir réellement. Un essai plus approfondi prochainement ? L’appel est lancé.

     

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  • Livre : Alfa Romeo Giulia GT Coupé Bertone

    Livre : Alfa Romeo Giulia GT Coupé Bertone

    L’Alfa Romeo Giulia Sprint GT est l’un des modèles les plus prisés des amateurs des véhicules de collection italiens. Julien Lombard en a fait un livre référence qui vient d’être réédité par E-T-A-I.

    Des premiers coupés Alfa Romeo d’après-guerre, avec les 6C, 1900 puis Giulietta Sprint, à la Giulia TI, la première partie du livre montre l’idée qui a conduit la marque à sortir ce coupé qui a marqué l’histoire de l’industrie italienne.

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    Les anecdotes sont nombreuses… Le trait de Giorgetto Giugiaro, tout nouveau responsable du Centro Stile de Bertone, est fixé alors que le futur maître effectue son service militaire dans la région du Turin.

    Et le manuel d’entretien indique : « N’exigez pas de votre voiture des performances élevées tant que l’huile du moteur, de la boîte de vitesses et du différentiel n’est pas chaude. »

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    Tous les modèles de la gamme, GT Junior, GTC, GTV ou des versions plus spéciales comme la Spider Biposto, GTA ou les carrosseries Zagato sont largement présentés comme les résultats en compétition et une large partie consacrée à la publicité.

    Dernier point indispensable : l’art et la manière de différencier les versions de Giulia GT.

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    Titre : Alfa Romeo, Giulia GT coupé Bertone
    Auteur : Julien Lombard
    224 pages, 450 photos
    ISBN : 978-2-7268-9784-3
    Prix public : 44,00 € TTC

  • Alfa Romeo engage deux Giulia au Tour Auto

    Alfa Romeo engage deux Giulia au Tour Auto

    Apparue il y a cinquante-deux ans, l’Alfa Romeo Giulia devrait être l’une des pièces maîtresses de la nouvelle gamme annoncée dans quelques semaines. Pour nous faire patienter, Alfa Romeo France engage deux Giulia d’époque au prochain Tour Auto. Le programme a été présenté au MotorVillage sur les Champs-Elysées.

    En vrai amoureux de l’automobile classique, Grégory Galiffi a répondu à l’invitation d’Alfa Romeo pour participer à l’épreuve organisée du 7 au 12 avril entre Paris et Marseille.

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    Le présentateur de Direct Auto sur Direct 8 se voit confier une Giulia Super de 1971. La seconde voiture est une Giulia 1600 1970 pour Jean-Christophe Batteria de France 3 et Isabelle Léouffre de Paris-Match.

    Trois cents voitures sont attendues au Tour Auto 2014.