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  • Renault engage cinq R8 Gordini au Monte-Carlo Historique 2014

    Renault engage cinq R8 Gordini au Monte-Carlo Historique 2014

    Quintette au losange

    Une auto mythique pour un rallye mythique. Pour fêter les 50 ans de celle qu’on appelle la « Gorde », Renault engage cinq R8 Gordini au Monte-Carlo : quatre 1300 et une 1100. On retrouvera au volant de ces cinq belles Jean Ragnotti (qu’on ne présente plus), Alain Serpaggi (pilote Alpine & Renault dans les années 70/80), Michel Leclere (ancien pilote de F1 révélé par la Coupe R8 Gordini), Thierry Chancel et Gilles Zaffini. Pour ce quintette au losange, le départ s’effectuera de Reims le vendredi 24 janvier pour arriver à Monaco le mercredi 29 janvier. Ils rejoindront tout d’abord Valence comme arrivée de l’étape de concentration, samedi soir. Cette étape de concentration permettra aux concurrents de villes de Monte-Carlo, Barcelone, Reims, Glasgow, Stockholm & Oslo de se regrouper, pour ensuite disputer tous ensemble les étapes de classements, les étapes communes et l’étape finale.

    Étapes de concentration : de jeudi à samedi
    Étapes de classement : Valence – Valence, 156,14 km
    Étapes communes : Valence – Valence, 165,21 km puis Valence – Monaco, 434,94 km
    Étape finale : Monaco – Monaco, 183,87 km

    La 8 Gordini : entre circuit et rallyes

    Si la Renault 8 Gordini a marqué les esprits sur circuit avec sa célèbre Coupe R8 Gordini qui a révélé bien des champions entre 1966 et 1970, en rallyes, son palmarès est conséquent. Jean Vinatier marquera l’histoire de la 8G en remportant un mois après son lancement le Tour de Corse 1964, avant que Pierrot Orsini et Jean-François Piot ne l’imitent les deux années suivante. D’autres rallyes, et non des moindres sont à mettre au palmarès de la 8G : Rallye du Maroc 1968, Rallye du Portugal , Rallye de Pologne 1968, Rallye Côte d’Ivoire Bandama 1969, sans compter les victoires de groupe, comme celles du Groupe 1 acquises lors du Monte-Carlo 1968 et 1969.

    Histoire de la Gorde

    L’histoire de la R8 Gordini commence en 1956, bien avant son lancement. Amédée Gordini cherche de nouvelles voies de développement pour sa firme, quand il rencontre Pierre Dreyfus, patron de la Régie Renault. Moins d’un an aura suffit aux deux hommes pour que l’affaire soit faite : la Dauphine Gordini apparait en 1957, précédant la 8 Gordini en 1964. Celle ci sera produite jusqu’en 1970 à Flins. Et l’histoire de Gordini avec Renault continue après la Gorde. En 1970 apparait la R12 Gordini, qui ne connaîtra pas le même succès que son prédécesseur, tout comme la R17 Gordini en 1975.

    Bleu 418, bandes blanches et quatre phares

    Techniquement, la R8 Gordini est dérivée de la R8 classique, à laquelle quelques options et modifications sont amenées. Tout d’abord, la Gorde revêt une robe bleue, agrémentée de deux bandes blanches dans sa longueur, ce qui la rend reconnaissable entre cent. Sur la 1100, les deux phares avant sont conservés, quand sur la 1300 deux phares sont ajoutés. La Gorde est une propulsion dont le moteur est passé à 95cv sur le 1100 puis 103cv sur le 1300. Sur cette dernière, un cinquième rapport de boîte est ajouté, ainsi qu’un réservoir additionnel situé à l’avant, dans le coffre, qui a une contenance de 25 litres.

    Moteur : 4 cylindres en ligne refroidis par eau, arbre à cames latéral, 2 carburateurs double corps horizontaux, 8 soupapes, 95 ch SAE à 6500 (103 ch SAEà 6750) tr/mn.
    Cylindrée : 1108 (1255) cm3.
    Transmission : aux roues arrière. Boîte manuelle à 4 (5) vitesses.
    Suspension : 4 roues indépendantes. Ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques Allincant.
    Direction : à crémaillère.
    Freinage : 4 disques Lockeed. Servofrein Hydrovac.
    Dimensions : longueur 4,00 m ; largeur 1,50 m ; hauteur 1,37 m.
    Capacité du réservoir de carburant : 38 l (38 l + 25 l).
    Poids (à vide) : 795 (855) kg
    Vitesse maxi : 170 (175) km/h.

    Aujourd’hui, la Renault 8 Gordini fait le bonheur de bien des passionnés. Je vous conseille d’ailleurs de lire chez Inside Motorsport la rencontre que j’ai faite avec l’un deux, non loin de Lucéram, sur la route du Monte-Carlo : La rencontre en descendant de Lucéram : Louis et sa Renault 8 Gordini.

    A bientôt,
    Jean-Charles

  • Il y a 80 ans, Citroën engage un bus au Rallye Monte-Carlo

    Il y a 80 ans, Citroën engage un bus au Rallye Monte-Carlo

    Rallye Monte Carlo 1934 : André Citroën engage un bus et créé le marketing sportif. Bien avant d’écrire l’Histoire du rallye Monte Carlo avec ses ID19 et DS21 (victoires 1959 et 1966) ou avec son triplé Loeb / McRae / Sainz en 2003, Citroën a marqué à sa façon ce rallye aujourd’hui plus que centenaire.

    En 1934, André Citroën a 56 ans. Patron respecté et innovant, il marque le début du siècle de ses modèles de série mais aussi de ses coups de pub et ce, bien en avance sur son époque. Précurseur, il souhaite engager au rallye Monte Carlo un des véhicules de sa marque afin de porter haut ses couleurs sur ce rallye qui était déjà un événement. A une époque où le Monte Carl’ n’était pas à proprement parler une épreuve sportive mais surtout un moyen d’attirer la jet set européenne à Monaco, André Citroën propose à François Lecot et Maurice Penaud d’être son équipage pour l’édition 1934, chose que le duo ne mit pas longtemps à accepter. Mais bien avant la création du mot buzz, André Citroën savait créer le buzz. On pourrait par exemple penser à la Tour Eiffel aux couleurs de la marque, aux croisière jaune noire ou blanche, aux jouets à son effigie, ou encore aux records avec Petite Rosalie. Là, sur la classique du mois de janvier, André Citroën allait engager un bus, oui un bus, le modèle  T45, petit dernier des usines de Javel. L’équipage Lecot/Penaud allait alors être complété de quelques équipiers des Croisière jaune et Croisière noire, histoire de faire plus… « équipe officielle. »

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    Le bus était un Citroën T45, modèle de pré-série, préparé pour l’occasion par les usines de Javel. La course, si on peut dire, partait de Varsorie pour un parcours de concentration de 2614km à travers la Pologne (Varsovie, Cracovie), la Tchécoslovaquie (Prague), l’Allemagne (Francfort), la France (Strasbourg) puis Monte-Carlo. Monte-Carlo qu’allait rejoindre sans soucis particuliers notre équipage, malgré le froid et les routes défoncées par les pluies. Avant de rejoindre Monaco, le bus fut astiqué et nos 10 hommes d’équipages se changèrent, délaissant leurs combis de mécano pour revêtir de plus élégants costumes, dignes d’une remise de prix avec Louis II de Monaco, alors Prince de Monaco. Leurs tenues dénotaient bien de celles des autres concurrents après 2614 kilomètres de course… Si notre embarcation n°144 allait se classer à la 90ème place, là n’était pas l’important, le but avait été de créer l’événement, de créer le buzz dirait-on aujourd’hui. André Citroën l’avait bien compris et avait marqué le coup. Il avait créé le marketing sportif, et ce bien avant les autres…

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    Autre anecdote au sujet de Monte Carl’ 1934, le numéro 145 était une autre Citroën aussi atypique que le bus. Il s’agissait d’une Kégresse, une autochenille Kégresse, qu’on avait pu voir quelques années auparavant dans les croisières jaunes, noires ou blanches. A son volant, ce n’était que ni plus ni moins que le concepteur de la Kégresse, Alphonse Kégresse lui-même.

    A bientôt,
    Jean-Charles

  • La Renault 5 Alpine du Rallye Monte-Carlo 1978

    La Renault 5 Alpine du Rallye Monte-Carlo 1978

    A l’approche du Rallye Monte-Carlo, je vous propose de redécouvrir une des voitures qui a marqué cette classique, lors de l’édition 1978. Il s’agit de la Renault 5 Alpine Groupe 2.

    Dérivée de la Renault 5 classique arrivée en 1972, la 5 Alpine est présentée au Salon de Paris 1976. A cette époque, nous sommes toujours dans l’ambiance de crise pétrolière, et les petits moteurs peu énergivores sont à la fête. Sous son capot, on retrouve le moteur Cléon-Fonte de 1397 cm³ dont la culasse provient des R8 Gordini. A l’époque, Renault sait que la promotion d’un tel modèle passe forcément par la compétition. La petite voiture, produite à plus de 5 millions d’exemplaires, arrive donc en circuit et en rallyes, respectivement via une coupe sur circuit et un engagement officiel.

    1978, dans les conditions climatiques extrêmes du Monte-Carlo, la petite Renault 5 Alpine tire son épingle du jeu par sa maniabilité et sa légèreté. Face à elle, les Porsche 911, Fiat 131 Abarth ou Lancia Stratos, plus de deux fois plus puissantes que la petite au losange, ont bien du mal, si bien que durant toute le rallye, les Renault 5 Alpine font sensation. On les retrouve sur le podium final, signant par ailleurs un superbe doublé en Groupe 2. Jean Ragnotti se classe deuxième du Rallye Monte-Carlo 1978, devant son coéquipier Guy Fréquelin.

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    L’impact est incroyable pour celle qu’on appelle au Royaume-Uni la R5 Gordini. Fière de cette performance devant les plus grands, la Régie Renault créé une série limitée nommée Monte-Carlo, tout simplement. Produite à 2400 exemplaires, elle est commercialisée dès le 25 Mars 1978 au tarif de 27 100 francs (source & plus d’infos ici).

    Mais ce Monte-Carlo 1978 ne sera pas la seule grande performance de la « Planche à Roulettes ». Toujours en 1978, Jean Ragnotti se classe troisième du difficile Rallye du Bandama Côte d’Ivoire puis troisième du Tour de Corse 1979. Cette année 1979 sera d’ailleurs déterminante  dans l’histoire de Renault Sport. Déjà membre de l’épopée R5 Alpine, on retrouve Guy Fréquelin au Giro (Tour Auto italien), alors seule compétition routière à autoriser les prototypes, au volant du premier prototype de course de la Renault 5 Turbo. La livrée de cette première 5 Turbo allait être la même que celles des R5 Alpine : Calberson, orange et rouge. Mais ça, c’est une tout autre histoire…

    Caractéristiques techniques

    Moteur : 4 cylindres en ligne, 1 397 cm3, 140 ch
    Transmission : aux roues avant – boîte 5 rapports + marche arrière
    Freins : disques sur les quatre roues
    Dimensions : longueur : 3, 56 m – largeur : 1,52 m – poids 870 kg
    Vitesse maxi : environ 190 km/h

    Dans la galerie suivante, vous trouverez des photos d’époque mais aussi des photos réalisées à l’occasion du Rallye Monte-Carlo 2012, alors que Renault engageait 3 Renault 5 Alpine d’époque, pour fêter les 40 ans de la Renault 5. Bel hommage ! En 2014, Renault Classic engagera 5 Renault 8 Gordini. On en reparle ?

    A bientôt,
    Jean-Charles

    Photos : Renault et rallyemontecarlo1978.unblog.fr

  • 1959 : Coltelloni remporte le Rallye Monte-Carlo avec la Citroën DS de sa femme !

    1959 : Coltelloni remporte le Rallye Monte-Carlo avec la Citroën DS de sa femme !

    La première grande victoire de Citroën dans une épreuve sportive internationale date de la fin des années 50. A cette époque, un ancien marchand de chaussures est approché par Citroën pour aller gagner le Monte-Carlo…

    Salon de l’Auto de Paris 1955 : Citroën présente en grandes pompes la DS.

    Rallye Monte-Carlo 1956 : Paul Coltelloni dispute le Rallye automobile Monte-Carlo sur une des premières DS, confiée par Citroën et soutenu par Yacco.

    Rallye Monte-Carlo 1959 : Paul Coltelloni s’engage au Rallye Monte-Carlo avec la DS de sa femme et remporte le rallye !Le pilote parisien apporte ainsi à Citroën sa première grande victoire. Il fait alors le choix d’être secondé par deux copilotes : Claude Desrosiers et Pierre Alexandre. Deux copilotes, cela lui permet de gagner du temps, épargnant la fatigue, même si un homme de plus dans la voiture c’est du poids en plus. Mais la force de cet équipage réside dans sa voiture : la DS. D’ailleurs, une petite erreur réside dans bien des mémoires : ce n’est pas une DS qui a remporté le Monte-Carl’ 59 mais bien une ID.

    Mais l’ID c’était quoi ?

    L’ID était une version allégée de la DS, presque low-cost dirions nous aujourd’hui. Sur cette DS low-cost, pas de champignon comme pédale de frein mais une pédale comme une voiture « classique ». Une troisième pédale fait son arrivée : celle de l’embrayage. Le gros de cette différence ID/DS est la boîte mécanique installé en lieu et place de la boîte semi-automatique à assistance hydraulique. Cela dit, la boîte méca était aussi dispo sur la DS. Enfin, et ce n’est pas une petite chose : l’ID n’a pas de direction assistée. On imagine les bras du pilote à la suite de secteurs chronométrés du Rallye Monte-Carlo ou du Tour de Corse ! Enfin, petit détail : à l’arrière de l’ID, son coffre arbore un double chevron argenté, quand la DS l’a doré.

    Des DS privées à l’origine de Citroën Racing

    A la suite de cette victoire 1959, Citroën exploite tardivement les retombées d’un tel succès. Jacques Wolgensinger, alors directeur de la presse et des relations extérieurs y voit l’occasion de créer un Service Compétition. La maison-mère Citroën n’est pas vraiment partante pour cela mais accorde un officieux budget à l’écurie Paris-Ile de France, qui a à sa tête René Cotton. Leurs DS et ID accumulent les victoires en cette année 1959, si bien que Paul Coltelloni remporte le Championnat d’Europe des Rallyes. 1966, Pauli Toivonen et Ensio Mikander montent sur la première marche du podium à Monaco, en Citroën DS 21, après la disqualification des MINI. Bien que peu puissante, les DS et ID se révèlent agiles, bien suspendues, endurantes, si bien que du Monte-Carlo au Tour de Corse en passant par le Rallye du Maroc, elles glanent de nombreuses victoires. L’histoire est en route. S’en suit la création du service Compétition de Citroën, avec à sa tête René Cotton. A sa mort, il sera remplacé par sa femme Marlène. L’équipe se professionnalise, les DS évoluent, de la série aux prototypes. Jusqu’à aujourd’hui, l’histoire de ce service Compétition renommé Citroën Sport puis Citroën Racing, sera l’une des plus denses qu’il soit.

    La DS au Monte-Carlo : de 1959 à 2013

    1959     Paul Coltelloni / Pierre Alexandre     Citroën ID 19
    1966     Pauli Toivonen / Ensio Mikander     Citroën DS 21
    2012    Sébastien Loeb / Daniel Elena     Citroën DS3 WRC
    2013    Sébastien Loeb / Daniel Elena     Citroën DS3 WRC

    2012, une autre DS remporte la classique monégasque : la DS3, avec à son volant un certain Sébastien Loeb, recordman à Monte-Carlo avec sept victoires. Il réédite cette victoire l’année suivante, toujours avec son acolyte monégasque Daniel Elena. 1959, 1966, 2012 puis 2013, la boucle était bouclée. Cette année, deux DS3 WRC officielles sont engagées avec Kris Meeke et Mads Ostberg. La DS en course pour une cinquième victoire ?

    A bientôt,
    Jean-Charles

     

  • Quand MINI revendique sa victoire au Rallye Monte-Carlo 1966

    Quand MINI revendique sa victoire au Rallye Monte-Carlo 1966

    2011, MINI revient en WRC. A cela, l’armada MINI, propriété de BMW arrive en force dans le monde du rallye. Le Monte-Carlo se révèle être une fantastique vitrine : le mythe qu’est ce rallye, le rôle qu’y a joué MINI, le rallye moderne et le rallye historique. Cette année là, MINI engage Rauno Aaltonen au Monte-Carlo Historique, lui le dernier vainqueur du Monte-Carlo avec une MINI, en 1967.

    Rauno Aaltonen & Henry Liddon, BMC Mini Cooper S, victorieux du Monte-Carlo 1967
    Rauno Aaltonen & Henry Liddon, BMC Mini Cooper S, victorieux du Monte-Carlo 1967


    En suivi de la belle MINI classique
    , une MINI Countryman moderne, arborant un fier « MINI MERCI MONTE 1964 1965 (1966) 1967 », avec le 1966 bien entre parenthèses. Entre parenthèses ? Pourquoi ? Récit.

    1966. Pour la troisième année consécutive, les MINI terminent le Rallye Monte-Carlo en tête. Après Paddy Hopkirk en 64, c’est en 66 comme en 1965 Timo Mäkinen qui entre à Monaco en tête. S’en suivent ses coéquipiers Aaltonen et Hopkirk qui trustent le podium. Lors des vérifications techniques d’après rallye, la sanction tombe. Les 3 MINI officielles sont disqualifiées : leurs quatre phares additionnels ne sont pas homologuées en France ! C’est la Citroën DS du Finlandais Pauli Toivonen qui remporte ce millésime 1966. Comme si des phares additionnels avaient permis à MINI de remporter la course… Cette « perte » empêchera la marque britannique de réaliser un superbe quatre à la suite 1964, 1965, 1966 et 1967. Cette année 1967, ce sera au tour de Rauno Aaltonen de gagner la classique monégasque. MINI rime encore et toujours avec Rallye Monte-Carlo, tant leur suprématie fut importante dans le milieu des années 60. Cette année 1966 reste encore en travers de la gorge de tout amateur de MINI, comme une épine dans le pied de l’histoire de MINI.

    Les phares non homologués...
    1966 : les phares non homologués coûtent la victoire à MINI.


    L’aventure moderne des MINI en rallyes
    fut elle bien moins glorieuse. En moins de deux ans, le projet prit l’eau, développé par Prodrive et à moitié soutenu par MINI et le groupe BMW. Les MINI officielles prirent le départ de 12 rallyes sur deux ans, avec Dani Sordo et Kris Meeke. Le potentiel des MINI John Cooper Works WRC était pourtant bien là. Leur meilleur résultat fut une deuxième place acquise lors du Rallye de France 2012, avec Dani Sordo.

    Vous retrouverez ci dessous la galerie de photos des MINI aux Rallye Monte-Carlo 1964, 1965, 1966 et 1967.

    A bientôt,
    Jean-Charles