Étiquette : Opel

  • Vidéo : la séquence qui a fait de Jeremy Clarkson une star

    Vidéo : la séquence qui a fait de Jeremy Clarkson une star

    Entre 1988 et 1995, Top Gear n’est qu’une émission sur les automobiles… Et Jeremy Clarkson se voit confier l’essai d’une Vauxhall Vectra. En six minutes, Top Gear devient culte !

    Imaginez la tête de la direction de Vauxhall devant sa télévision au moment de sa diffusion…

  • Nouveauté : Opel Corsa

    Nouveauté : Opel Corsa

    Comment qualifier une nouvelle voiture ? Faut-il que la plateforme soit vraiment nouvelle ? Peut-on considérer qu’un simple lifting entraine un changement de génération ? Opel vise entre les deux avec la « nouvelle » Corsa.

    Il y a quelques mois, General Motors et PSA avaient signé un accord pour développer leurs citadines en commun. Le projet n’a jamais vu le jour… Opel a donc dû sortir une nouvelle Corsa par ses propres moyens.

    Faire du neuf avec du vieux

    Pas de nouvelle plateforme, pas de modules chers aux autres marques allemandes, Opel a repris sa Corsa et l’a remise au niveau. La tâche est importante. La marque compte sur sa citadine pour un quart de ses ventes… Et le segment est surchargé en Europe.

    Centre de gravité abaissé, suspensions et direction revues… Le comportement routier diffère totalement de l’ancienne génération. Et si les Diesel restent les 1,3 litre 75 et 95 chevaux, un 3 cylindres essence de 1,0 litre turbo de 115 chevaux emprunté à l’ADAM est tout à fait dans l’air du temps.

    Si le profil ne progresse pas, les faces avant et arrière héritent d’un coup de jeune. Le dessin de la calandre et des phares ne laissent aucun doute sur l’origine de cette nouvelle Corsa…

    Premier prix à 11 990 euros… Et 17 990 euros pour la version 1,0 litre turbo.

  • Quelle sera la plus belle voiture de l’année ?

    Quelle sera la plus belle voiture de l’année ?

    Comme chaque année, le Festival Automobile International propose d’élire la plus belle voiture de l’année. En quart de finale, il reste sept modèles… Pour laquelle allez-vous voter ?

    Mazda MX-5
    Une réussite depuis sa première génération. Un peu plus de 25 ans après son lancement, la quatrième MX-5 arrive sur le marché. Des courbes, des angles, un profil vraiment réussi… Quand on parle de « belle » voiture, la Mazda MX-5 est en pole position.

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    Citroën C4 Cactus
    Peut-être pas la plus « belle »… Mais clairement très innovante. Il sort de l’ordinaire au cœur d’un marché des petits SUV qui réclame une réelle distinction. Avec ce C4 Cactus, Citroën renoue avec les voitures clivantes. On aime ou on n’aime pas. Et moi, j’aime.

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    FIAT 500X
    Comme réussir à sauver une marque avec un seul modèle ? FIAT le réussit en déclinant sa 500 en de nombreuses versions. Et la 500X est très clairement la plus intéressante. Sous la forme d’un SUV, elle affiche une jolie mise à jour des codes de la « nouvelle » 500. Sur mon podium final…

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    Renault Espace
    Née Initiale Paris, cette nouvelle génération d’Espace arrive très prochainement sur le marché. Placé en haut de gamme, le nouveau monospace reprend des codes de crossovers. L’intérieur est encore plus marquant que la ligne extérieure. Pour les défenseurs du « haut-de-gamme » français.

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    Jaguar XE
    La marque britannique revient sur le marché des berlines à « grande » diffusion. Bien marquée Jaguar avec des phares acérés et une large calendre, elle affiche un profil particulièrement sportif. Le choix des amoureux du luxe à l’anglaise.

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    Mercedes Classe C Estate
    Inscrite dans le renouveau de Mercedes, le break Classe C affiche de belles proportions. Par rapport à la concurrence, elle se démarque par un habitacle particulièrement travaillé. A choisir pour les fans de voitures allemandes.

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    Opel Adam Rocks
    Evolution de l’Adam, la Rocks est 15 millimètres plus haute que la version de base et proposée avec des roues de 18 pouces. Elle s’inscrit dans l’idée d’offrir un véhicule très urbain à l’allure (un peu) sauvage. Peut-être que les urbains branchés voteront pour.

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    A vous de voter !

  • Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Avec 100 000 commandes signées ces sept derniers mois (300 000 en carrière), le Mokka permet à Opel d’occuper le troisième rang européen dans la catégorie des « SUV urbains », juste derrière les Renault Captur et Peugeot 2008.

    Sur le marché continental, le Mokka occupe 15 % du marché. La part monte à 27 % en Finlande, 22 % en Allemagne et en Autriche.

  • Opel prépare son retour en compétition

    Opel prépare son retour en compétition

    Opel possède une grande histoire en rallye… connue surtout par les fans de la discipline. Car depuis que la marque appartient à General Motors, les activités sportives ont toujours été confiées à des préparateurs. Certes, des titres ont été conquis, mais une marque qui se veut aussi dynamique mérite un peu plus.

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    Ascona, Manta, Kadett, Calibra puis Corsa… Avec plus ou moins de réussite (les plus belles victoires sont à mettre à l’actif de Walter Röhrl avec un titre de Champion du Monde des Pilotes en 1982 en Opel Ascona 400 devant l’Audi quattro de Michèle Mouton), Opel n’est jamais resté éloigné très longtemps des épreuves routières.

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    Pour rappeler quelques belles pages de son histoire, Opel a participé au Grand Prix Oldtimer sur le Nurburgring ce week-end. Dix-sept véhicules de compétition étaient en piste. Le véhicule le plus ancien était une Opel Motorwagen 10/12 PS de 1903. Les modèles qui ont marqué les championnats de tourisme et le rallye au cours des 1960 et 70, comme la Rekord C « Veuve Noire », la Kadett Rallye, la Manta A Irmscher, l’Ascona B Groupe 2 et ou la Kadett C GT/E étaient présentes pour faire le lien entre passé et présent. « Présent », car Opel va certainement se servir du lancement de la nouvelle génération de Corsa pour faire son retour en rallye.

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    Après l’abandon du programme Corsa Super 2000, Opel avait lancé la commercialisation de l’ADAM R2… Et en Finlande, on a cru comprendre qu’un programme R5 était à 95 % validé. Nous verrons donc certainement une Opel rouler en Championnat du Monde des Rallyes (même en WRC2) très prochainement !

  • Up and Down : des Opel de dessus et de dessous

    Up and Down : des Opel de dessus et de dessous

    2012, Thomas von Salomon, photographe de son état, réalisé une série de photos pour Opel. Son objectif est alors de photographier une sélection d’Opel de compétition. Comme il nous dit : Je me suis principalement intéressé à ces voitures sous des angles changeants. Habituellement, nous les voyons de face ou de côté, rarement du dessus ou du dessous. Ces angles du dessus révèlent les formes épurées et les décorations des voitures, qui sont souvent très graphiques. On le rejoint. Huit Opel sont ici à découvrir : Opel 1903, Opel Ascona 400 groupe 4, Opel Calibra DTM, Opel Ecospeedster Diesel, Formule 3 Opel, Opel Gruenes monster « le monstre vert », Opel Kadett GTE, Opel Kadett 4×4 Dakar, Opel Vectra DTM, et Opel Diesel Rekord Wagen.

    Opel 1903

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    Opel Ascona 400 groupe 4

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    Opel Calibra DTM

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    Opel Ecospeedster Diesel

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    Formule 3 Opel

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    Opel Gruenes monster « le monstre vert »

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    Opel Kadett GTE

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    Opel Kadett 4×4 Dakar

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    Opel Diesel Rekord Wagen

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    Opel Vectra DTM

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  • Dessin : Opel Astra

    Dessin : Opel Astra

    Et si l’Opel Astra avait dû garder la silhouette imaginée par ce sketch au moment de sa conception ? De quoi inventer une ligne de coupé cinq portes sous forme de break au coeur du segment des berlines compactes.

  • Le sacrifice de Chevrolet Europe servira-t-il ?

    Le sacrifice de Chevrolet Europe servira-t-il ?

    Dans un marché hautement concurrentiel, et de surcroît en crise, il est nécessaire de multiplier les modèles pour conquérir des parts de marché. Mais il est aussi indispensable d’atteindre un volume minimal par carrosserie pour atteindre une certaine rentabilité… Multipliant ces constats à travers ses marques, General Motors a décidé de retirer Chevrolet du marché européen pour se concentrer sur le développement d’Opel… Et de Cadillac.

    A partir de 2016, General Motors va se concentrer sur Opel (Vauxhall dans les îles britanniques) pour faire ces fameux volumes et tenter de retrouver un bilan positif. Cadillac et quelques modèles de niche, la Camara ou la Corvette par exemple, devraient survivre. Pas Chevrolet en tant que marque.

    En France, Chevrolet était en progression constante depuis l’arrivée de ses nouveaux modèles sur le marché en 2008. Plus de 21 000 voitures avaient été immatriculées en 2009 et plus de 24 000 en 2012, mieux que MINI, Seat ou Skoda. Opel, car c’est bien à Opel que cette décision doit profiter, n’est pas sur la même tendance. Alors que la marque allemande vendait 133 000 véhicules en 2000, il n’y a eu que 71 000 ventes en 2012. Des chiffres aujourd’hui comparables à ceux de Nissan et Toyota.

    Quatrième marque mondiale en termes de volume, Chevrolet ne sera plus disponible en Europe que par la Corvette. General Motors veut aussi renforcer la présence de Cadillac dont le réseau est appelé à se densifier sur le continent avec l’arrivée de nouveaux modèles haut-de-gamme.

    En 2012, Chevrolet avait conquis un peu plus de 1 % de part de marché en Europe là où le couple Opel / Vauxhall cumule 6,7 %. Et c’est bien la stratégie de conquête de Chevrolet mise en place en quelques années seulement qui cause aujourd’hui sa perte. Le positionnement de la marque américaine est désormais trop proche et fait de l’ombre à Opel.

    Chevrolet-Camaro

    C’est surtout une très grande marque de confiance accordée par General Motors à Karl-Thomas Neumann, patron d’Opel depuis le printemps. Il demandait une réorganisation globale des marques de GM en Europe. Et pour sauver ses usines et sa marque, il militait pour le retrait de Chevrolet.

    Cette restructuration va coûter entre 500 et 750 millions d’euros à General Motors… Et on peut imaginer que les points de vente Chevrolet (environ 1 900 en Europe dont la moitié partagée avec Opel) vont se vider ces deux prochaines années. Si Neumann atteint son objectif de tirer des bénéfices d’Opel dès 2016, la manœuvre sera « réussie »…

    Les 200 000 Chevrolet qui ne seront plus vendues chaque année en Europe deviendront-elles des Opel ? Les acheteurs de Trax et Volt se retrouveront dans la gamme au Blitz. Mais ceux des Spark, Aveo, Cruze, Malibu, Orlando et Captiva risquent de s’évaporer vers tous les autres généralistes.

    Si Opel veut reconquérir des parts de marché, c’est – comme pour tous les autres constructeurs – par la qualité de ses modèles que la marque y parviendra !

    Et en ce qui concerne les Américains, il semble bien difficile de venir s’implanter en Europe. Il ne reste que Ford !

  • Dis-moi ton nom, je te dirai qui tu es (les ratés)

    Dis-moi ton nom, je te dirai qui tu es (les ratés)

    Choisir le nom d’un modèle est un moment capital dans la vie d’une voiture. Il peut, à lui seul, être un atout déterminant sur le plan marketing. Prenons l’exemple de Twingo qui est sans doute l’une des plus belles réussites. Mais parfois, au jeu des exportations, de jolis noms deviennent des vraies barrières à la commercialisation.

    Mitsubishi est l’une des victimes les plus connues. Son 4×4 Pajero devait être une arme de son développement international avec un engagement au Rallye Paris-Dakar. Problème, dans les pays hispanophone, Pajero peut se traduire par « branleur ». Le Pajero conservera son nom sur de nombreux marchés et deviendra Montero dans les pays posant problème.

    Quelques autres constructeurs ont dû procéder à des modifications de patronymes. Honda avait baptisé une citadine « Fitta ». Si l’Italie pouvait se contenter de sa traduction du mot français « épais », les Nordiques ont pu être choqués. En Norvège, en Suède et en Finlande – et même si leurs langues peuvent être différentes – fitta est utilisé pour désigner un vagin en argot. Depuis, c’est une Honda Jazz.

    Honda-Jazz

    D’autres marques ont choisi de tenter le coup…

    Chevrolet a lancé une « Nova » dans les années 60. Là encore, les clients hispanophones pouvaient comprendre ce « no va » par « n’avance pas ». Mais la voiture s’est bien vendue. Vingt ans plus tard, lorsque General Motors réutilise l’appellation Nova pour Vauxhall en Europe, le groupe choisit de baptiser « Corsa » l’Opel correspondante. Il n’était pas question de prendre le même risque à deux reprises.

    Chevrolet-Nova-SportCoupe

    En Amérique du Nord, on n’analyse pas toujours toutes les traductions possibles. Lorsque Buick présente la LaCrosse, il n’avait pas été imaginé que certains clients potentiels pouvaient être québécois. Et « se crosser » signifie « se masturber » chez nos cousins. La crosse étant aussi le nom d’un sport local, Buick n’a pas modifié le nom de sa berline. De quoi assurer quelques jeux de mots.

    Buick-LaCrosse

    Dodge a même sorti une Swinger, devenue aujourd’hui Dart… La première signification « personne à la mode » est gratifiante. Mais swinger est aussi utilisé pour désigner une personne libertine.

    En dehors de la Honda Fitta, les constructeurs japonais ont aussi donné des noms tendancieux à certains modèles. Heureusement, ils ne furent pas importés… Mazda a sorti une kei baptisée Laputa et Nissan commercialise une Moco, morve en espagnol.

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    Autre défaut, celui de la traduction automatique. Isuzu a osé présenter un SUV nommé Mysterious Utility Wizard et Suzuki a baptisé un petit van Every Joypop Turbo, Mazda a tenté la Carol Me Lady, Geely nous offre la Rural Nanny. Enfin, imaginer les anglo-saxons dans une Renault LeCar.

    Les Daihatsu Naked (même s’il existe une vraie explication), Volugrafo Bimbo (qui n’est pas vraiment une voiture), la Mazda Scrum, voire la AMC Gremlin sont d’autres exemples.

    Certains modèles ont été commercialisés en France avec des noms parfois tendancieux. Toyota proposait un petit coupé MR2, Alfa Romeo vend sa Mito et Audi propose l’appellation e-tron…

    Note : ça a bien failli arriver à ce blog. Avant le drame, un « t » a été ajouté !

  • Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Les journées presse sont terminées… Désormais, le Salon de Francfort va être ouvert au public. Voici ce qu’il faudra voir si vous passer quelques heures dans cette immensité dédiée à la mécanique (et à la mécanique allemande).

    Entrée par le Hall 2… Ce premier bâtiment est entièrement consacré à l’univers Mercedes. Conférence de presse lancée par un DJ très funk avec batteur, saxophoniste et trompettiste à bretelles. La marque à l’étoile travaille sa nouvelle image jeune, branchée, très dandy.

    L’ambiance change avec l’arrivée de l’homme à la moustache. Si Mercedes veut se rajeunir par le design de ses nouveaux modèles (voire nouvelles niches), Dieter Zetsche place l’ingénierie au cœur des priorités avec une longue présentation de la voiture autonome, sans grand intérêt dans le contexte de journées presse dédiées aux premières mondiales et à la découverte de concepts (c’est dit !). Heureusement, des GLA et surtout l’arrivée du concept Classe S Coupé ont redonné des raisons de se promener autour des voitures.

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    Départ vers le Hall 3. Volkswagen y impose sept marques avec Skoda, Seat, Bentley, Bugatti, Lamborghini et Porsche (en plus de Volkswagen !).

    Chez VW, l’ambiance est très « e » avec une longue liste de modèles électriques et hybrides à venir autour des Golf R et Golf Sportsvan dont l’allure est pourtant moins « sportive » que l’ancienne Plus.

    Petit moment sympa chez Skoda lorsque Jozef Kaban, patron du design extérieur de la marque, a pris une tablette – reliée à un écran géant – pour dessiner la partie avant de la Rapid Spaceback, l’une des premières mondiales du salon. En face, Seat mise beaucoup sur la Leon ST.

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    Chez Bugatti, on s’arrête devant la Jean Bugatti Vitesse Legend Edition. « La même en mieux. » Pas de grande nouveauté non plus chez Lamborghini et Porsche qui déclinent des versions déjà existantes ou connues.

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    Dans le 3.1, Mitsubishi est voisin de Chang’an. La seule marque chinoise venue à Francfort présente un gros SUV, le CS75, sans la moindre ambition de le vendre en Europe !

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    Passage par l’Agora où s’est installé Audi. L’A3 Cabriolet et A8 sont mis en avant mais ce sont les Sport quattro concept et nanuk quattro concept qu’il faut aller voir dans un environnement très réussi de ville retournée.

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    Changement d’ambiance dans le Hall 5. Quelques préparateurs stars accompagnent les « Britanniques » Jaguar, Land Rover et Aston Martin, Infiniti et Volvo.

    Chez Jaguar, il faut s’arrêter devant la C-X17. Comme pour d’autres, l’idée est d’explorer le marché très porteur des SUV. Et contrairement à d’autres, le concept est très réussi avec une vraie filiation au sein de la marque. Plus loin, Infiniti et Volvo présentent deux des plus belles réalisations du salon.

    En Allemagne, Infiniti a profité de ses accords avec Red Bull Racing pour faire venir Sebastian Vettel. Le triple Champion du Monde de F1 était présent pour dévoiler la très belle Q30. Et Infiniti a clôturé sa journée par une soirée assez jet-set.

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    Chez Volvo, c’est le Concept Coupe qui a attiré tous les regards. Garée sous une extraordinaire P1800, cette nouveauté hybride reste très loin d’être commercialisable en l’état mais on ne peut que pousser Volvo à avancer sur cette voie.

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    L’Italie et Hyundai sont installés dans le Hall 6. Rien d’inoubliable chez Lancia, Maserati, Fiat, Abarth, Alfa Romeo ou Jeep. Hyundai présente sa nouvelle i10.

    Ferrari propose sa 458 Speciale. Sur le papier, c’est très convaincant. Mais ce n’est pas franchement une nouvelle voiture.

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    On entre dans la seconde partie du salon après, déjà, quelques kilomètres de marche. Le Hall 8 est celui des marques françaises, avec un peu de japonaises et Opel.

    Arrivée au cœur de l’espace réservé à Citroën où la Cactus Concept, DS Wild Rubis et C-Elysée WTCC sont les plus en vue. Le stand met en valeur les nouveaux modèles. La marque aux chevrons continue d’être parfaitement en ligne avec ses ambitions commerciales. Le Cactus s’avère plutôt massif et encore très éloigné de ce que l’on peut attendre d’un modèle de série. Mais j’aime !

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    Un couloir DS est particulièrement réussi avec toute la gamme et un artisan en train de travailler du cuir devant les passants.

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    On continue chez Peugeot sur un stand moins impressionnant. Là, il faut vendre la nouvelle 308. Belle déclinaison 308 R, même chose pour la 208 Hybrid FE. Et l’Onyx, toujours apprécié, est encore là.

    Petit espace pour Dacia qui montre son Duster mis à jour. On passe Subaru pour filer chez Toyota, attiré par la Yaris Hybrid-R. C’est une vraie belle réussite avec, sous le capot, le nouveau Global Racing Engine 1,6 litre turbo de 300 chevaux et une commande de boîte du plus bel effet.

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    Chez Lexus, difficile de dire que le LF-NX Crossover Concept n’est pas réussi. Mais il est profondément conceptuel ! Nissan prouve encore sa faculté d’innovation. La marque japonaise propose une montre Nismo Watch qui pourrait faire un tabac chez les early adopters. Le X-Trail est la grosse nouveauté produit mais la vraie réussite vient du concept Friend-Me.

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    A Francfort, Opel joue à domicile et joue plutôt bien ! La nouvelle Insignia est accompagné du Monza Concept qui est l’une des révélations de ce salon.

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    Fin de ce Hall très fourni avec Renault. Nouvelle identité pour la Mégane (très légère), présence de Twin’Run et surtout Initiale Paris. Il faut avouer que le produit semble très abouti. L’intérieur ne sera sans doute pas aussi « futuriste », l’arrière sera peut-être retouché mais, dans l’ensemble, ce crossover pourrait rapidement donner une nouvelle vie à l’Espace.

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    Les jambes sont lourdes ? On attaque le Hall 9. Chez Ford, on est accueilli par les Coupes aux Grandes Oreilles. Enfin, la réplique ! Le S-Max Concept dispute la vedette à la Mondeo Vignale. Pas d’extravagance. Ford joue beaucoup sur les performances de son moteur EcoBoost avec une série d’animations.

    Chez Kia, on voit la nouvelle Soul et surtout le concept Niro.

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    Chez Honda, on met en avant les Civic Tourer et Type R au milieu du rappel de l’engagement sportif de la marque avec une Civic WTCC et une vielle McLaren-Honda.

    Touche sportive aussi chez Chevrolet avec les Camaro, Corvette Stingray et l’escargot de Turbo.

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    La touche américaine continue avec Cadillac et la très marquante Elmiraj… Un nom très « Golfe » pour une voiture qualifiée par le New York Times d’un peu britannique, un peu française et très américaine.

    Petit clin d’oeil chez Mazda avec la présence de Mazda 3 venue directement d’Hiroshima lors d’un long road-trip de 15 000 kilomètres. Trois des huit voitures, un peu sales, sont visibles à Francfort.

    Hall 11… C’est le dernier (enfin, ça dépend de votre entrée) et il est dédié au monde BMW. Les i3 et i8 prennent une place importante. Pour la première fois, l’i8 est présentée dans sa version définitive. Et ça ne déçoit pas. Série 4, Série 5, X5, eDrive… BMW a frappé fort à Francfort ! Et l’ambiance « bois » autour de la gamme i est très réussie.

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    Rolls-Royce et MINI nous font terminer la visite. Plein de personnalisation, dans des thèmes différents, pour les deux marques. Chez MINI, belle ambiance urbaine, des MINI actuelles, des MINI d’époque, mais pas de MINI de nouvelle génération. Non, MINI est NOT NORMAL et va créer son propre buzz à l’automne pour présenter son nouveau modèle. D’ici-là, on attendra avec les hot-dogs et les glaces (toutes petites, pardon mini) !

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    Voilà pour le résumé de deux jours virtuels à Francfort… A vous !

  • Lecture : Belles des années 80

    Lecture : Belles des années 80

    Quel point commun entre une Citroën BX et une Ferrari Testarossa, une Peugeot 205 et une Lada Niva ? Elles ont marqué les années 80. Les 50 modèles qui ont fait cette décennie sont regroupés dans un ouvrage disponible depuis cette semaine chez L’Autodrome Editions.

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    L’industrie automobile a pris un virage important durant les années 80. Comme dans d’autres domaines, l’époque a permis l’émancipation de certaines marques, de nouveaux modèles et d’une nouvelle énergie. La prise de pouvoir des citadines, la consécration des GTI, la multiplicité des finitions, des carrosseries et des séries spéciales… Cette décennie a façonné le marché tel que nous le connaissons aujourd’hui. Ayant grandi durant les années 80, j’ai eu envie de partager une sélection de modèles qui, à mes yeux, ont compté. Vous aurez certainement, vous aussi, l’occasion de retrouver des voitures qui auront marqué votre vie dans ce livre.

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    Disponible dès maintenant en librairies et sur le site du Groupe Hommell.

  • Publicité : Opel

    Publicité : Opel

    Bien avant d’être ministre de la république, Frédéric Mitterrand était « neveu de » et présentateur star de la télévision… A cette époque, il en profitait pour faire de la publicité pour Opel !

    Retour en 1988…