Catégorie : Actualités

  • Le top 30 des marques en Europe au premier semestre

    Le top 30 des marques en Europe au premier semestre

    Voici les chiffres des six premiers mois de l’année 2021. Quels sont les constructeurs qui immatriculent le plus en Union Européenne ?

    1 Volkswagen 625 094

    2 Peugeot 380 796

    3 Renault 347 641

    4 Toyota 318 070
    5 Skoda 298 797
    6 BMW 293 330
    7 Mercedes 274 614
    8 FIAT 266 125
    9 Audi 263 296

    10 Citroën 242 078
    11 Ford 227 437
    12 Opel 218 238
    13 Hyundai 204 550 (+1)
    14 Kia 200 169 (-1)
    15 Seat 197 145
    16 Dacia 181 528

    17 Volvo 127 097

    18 Nissan 95 840

    19 MINI 68 224
    20 Jeep 68 059
    21 Mazda 62 688

    22 Land Rover 30 308
    23 Mitsubishi 30 203
    24 Porsche 28 740
    25 Lancia 27 118
    26 DS 20 693
    27 Honda 19 064
    28 Smart 17 356
    29 Lexus 16 480
    30 Alfa Romeo 12 168

    Source : ACEA. Ces données ne concernent que les membres de l’association.

  • Morgan passe au clubsport

    Morgan passe au clubsport

    La Morgan Motor Company, la School of Engineering de l’Université de Wolverhampton et l’équipe de course de l’Université (UWR) poursuivent leur partenariat technique de longue date avec la création d’une variante axée sur le sport automobile du Morgan Plus Four.

    Il s’agit de la première utilisation en compétition d’un Morgan basé sur la plate-forme CX-Generation en aluminium collé et vise à valider les performances et la durabilité du Plus Four. Cela englobe la plate-forme susmentionnée – qui ne pèse que 97 kg mais offre le double de la rigidité structurelle de la plate-forme en aluminium précédente de Morgan – ainsi que la suspension à double triangulation sur mesure du modèle et le groupe motopropulseur d’origine BMW.

    Les deux voitures, qui ont été conçues pour participer à une multitude de championnats de sprint et d’endurance de niveau club, tels que le Morgan Challenge, courront pendant le reste de la saison 2021 et au-delà. Après avoir terminé les modifications de course sur les deux voitures, l’équipe UWR fournira un soutien technique sur piste et en atelier aux voitures et aux pilotes, perfectionnant les compétences vitales des étudiants et les préparant à une carrière dans le sport automobile ou l’ingénierie automobile.

    En 1962, Morgan a remporté sa catégorie aux 24 heures du Mans et la voiture a été ramenée chez Morgan à Malvern après la course. Suivant cette philosophie de «clubsport», la variante de sport automobile de la Morgan Plus Four reste entièrement légale sur route, pouvant être conduite vers et depuis le circuit si vous le souhaitez.

    Le projet fait partie intégrante du programme RSE (responsabilité sociale des entreprises) de Morgan. Morgan et l’Université de Wolverhampton travaillent en partenariat depuis cinq ans, soutenant l’éducation et la formation avec des opportunités de recrutement direct pour les diplômés. Les anciens étudiants de l’université travaillant dans l’équipe de course Morgan ont ensuite obtenu des postes à temps plein dans l’entreprise. D’autres plans, en collaboration avec le partenaire caritatif désigné de Morgan, Mission Motorsport, seront annoncés en temps voulu.

  • DS 9 donne des couleurs à la Paris Fashion Week

    DS 9 donne des couleurs à la Paris Fashion Week

    Un exemplaire unique de DS 9 évolue en ce moment dans Paris. Habillée d’une robe aux millions de reflets finement pailletés et nacrés, une DS 9 s’invite dans les défilés de la Haute Couture Week.

    Basée sur une DS 9 E-TENSE 225 RIVOLI + Intérieur OPERA Rouge Rubis, ce prototype se pare d’une teinte aux effets électrisants. Drapée d’un film coloré dans lequel se mélangent des paillettes dorées et des particules de nacre, la carrosserie diffracte la lumière pour refléter les composantes de l’arc-en-ciel. D’abord jaune, DS 9 voit sa teinte tendre vers le bleu marine ou le rouge-orangé selon l’angle des regards.

    Imaginée pour bousculer les codes de la grande berline statutaire, cette teinte présente un effet dichroïque qui rend les lignes de DS 9 encore plus sculpturales, en exacerbant ses arêtes acérées et en soulignant l’évolution de ses courbes douces.

    Vincent Lobry, Chef de Projet Couleurs, Matières et Finitions Concept-cars DS Automobiles : « Nous avons cherché à créer un habillage inattendu sur pour une grande berline statutaire comme la DS 9. En nous penchant sur les codes de la Haute Couture et de lieux parisiens dédiés à l’art contemporain comme le Palais de Tokyo, nous avons conçu une teinte aux effets électrisants. Selon l’angle, la perception change pour refléter les composantes de l’arc en ciel. Cette démarche s’inscrit aussi dans un profond travail de recherche et de développement des teintes de demain. »

  • Un siège de DS 9 dans le porte-avions Charles de Gaulle

    Un siège de DS 9 dans le porte-avions Charles de Gaulle

    Rencontre au sommet du savoir-faire et de l’excellence française : un siège inspiré de DS 9, berline statutaire et porte-drapeau de la gamme, est désormais installé en passerelle de navigation pour le commandant du porte-avions Charles de Gaulle, le fleuron de la Marine française.

    Portés par l’excellence française, DS Automobiles et la Marine Nationale sont animés par les mêmes valeurs : précision, rigueur et savoir-faire caractéristique. Forts d’une grande expertise et guidés par la volonté d’être à l’avant-garde, les maîtres selliers de DS et les équipes du porte-avions Charles de Gaulle ont collaboré pour créer un siège exclusif, inspiré de celui installé dans l’habitacle d’une DS 9, vaisseau amiral de DS Automobiles.

    L’alliance du raffinement et de la technologie a donné naissance à ce siège en cuir Nappa Noir Basalte confection bracelet proposé habituellement dans l’habitacle de DS 9 RIVOLI + Intérieur OPERA Noir Basalte.

    Disposant d’une alimentation propre, cette création unique bénéficie des mêmes fonctionnalités en passerelle de navigation du porte-avions Charles de Gaulle que dans la grande berline française. La prestation de massage à cinq modes et trois intensités est conservées (pattes de chat, vagues, étirements, lombaires et épaules), comme le chauffage et la ventilation au travers du cuir perforé ; une première pour le porte-avions de la Marine Nationale.

    Installé en début d’année 2021, le siège a déjà été validé à l’occasion de la mission opérationnelle de 4 mois du porte-avions Charles de Gaulle. Passé entre les mains des selliers de DS Automobiles, il est brodé de l’insigne du Charles de Gaulle R91 : la croix de Lorraine jaillit de l’ancre du navire, dont le diamant suggère l’étrave du bâtiment. Le bras de l’ancre se divise en trois envolées pour symboliser l’aviation embarquée. Une plaque métallique frappée du logo DS Automobiles est apposée au dos et des accoudoirs ont été ajoutés de part et d’autres du dossier.

    Thierry Metroz, Directeur du Style de DS Automobiles : « Le porte-avions Charles de Gaulle incarne l’extraordinaire savoir-faire de notre industrie avec une prestance incomparable et une technologie d’exception. Installer une création unique de siège DS travaillé par nos propres maîtres selliers sur le vaisseau amiral de la flotte française est plus qu’un clin d’œil, c’est la rencontre de deux mondes où se côtoient l’excellence et la fierté nationale. »

    Capitaine de Vaisseau Guillaume Pinget, commandant du porte-avions Charles de Gaulle : « Après 20 ans de bons et loyaux services, le siège du commandant devait être remplacé. Grâce à DS Automobiles, c’est la toute première fois qu’un siège de commandant propose un tel niveau de confort et une technologie aussi évoluée. C’est un atout précieux car ce siège est d’une manière ou d’une autre un outil de travail, qui a un rôle important lorsque nous sommes en mission, même dans les situations les plus éprouvantes. Comme dans une voiture, le siège doit offrir un bon maintien et un excellent confort. Dès lors, il était tout à fait normal de collaborer avec une marque automobile française au savoir-faire reconnu en la matière. Comme le Charles De Gaulle, DS Automobiles représente l’excellence française. »

  • Un Nissan Juke en hommage à la 240Z du Safari Rally

    Un Nissan Juke en hommage à la 240Z du Safari Rally

    Cinquante ans après la victoire d’une Nissan 240Z sur le Safari Rally, Nissan a dessiné un Juke « hommage ».

    Le retour du Safari Rally au calendrier du Championnat du Monde des Rallyes après 19 saisons d’absence a donné des idées à Nissan. Les équipes du design ont créé des visuels d’un concept de Juke.

    Au programme des dessins : garde au sol surélevéee, passages de roue élargis, pneus tout-terrain spécifiques, phares longue-portée sur le capot et le toit + une teinte qui rappelle la 240Z qui s’était imposée en 1971.

    Le coupé 240Z était piloté par Edgar Herrman et Hans Schüller. Il était équipé d’un moteur six-cylindres en ligne de 2,4 l., offrant une puissance de 210 chevaux transmise aux roues arrière. La voiture victorieuse a été restaurée en 2013 et fait partie de la collection d’héritage de Nissan conservée à Zama, près du siège de Nissan, dans la préfecture japonaise de Kanagawa.

  • La révolution Jaguar

    La révolution Jaguar

    Transféré de Boulogne à Coventry l’an passé, Thierry Bolloré a travaillé avant de communiqué. Presqu’un an après s’être installé dans ses nouveaux bureaux, le Français s’est confié en tête à tête aux journalistes d’Autocar.

    L’avenir de Jaguar est décidé. A partir de 2025, la gamme deviendra totalement électrique, avec l’objectif de monter en gamme. L’idée de Bolloré est de positionner JLR là où personne n’est actuellement. Comprenez que Jaguar va copier le segment créé par Range Rover, dont les tarifs sont considérés comme bien supérieurs à ses rivaux, sans pour autant se mettre en face de Porsche, Bentley ou Aston Martin.

    « Regardez Range Rover », explique Bolloré. « C’est satisfaisant au niveau des prix et des bénéfices, et nous n’avons pas encore atteint le plafond. Le prix est extraordinaire, et nous avons les volumes. Range Rover est unique dans son positionnement. (…) Pour Jaguar,
    Nous voulons des voitures distinctes sans chevauchement, Des voitures de luxe vraiment modernes qui ne sont la copie de rien dans le style ou le design, le top de la technologie et du raffinement, mais sans regarder en arrière. »

    « En désir, c’est similaire au Range Rover. Nous apprécions ce type de positionnement pour Range Rover », a-t-il poursuivi, ajoutant que, bien qu’il ne « recherche pas de volume » pour la marque Jaguar relancée, il pense qu’il y a de la place pour des chiffres de vente plus élevés.

    Et d’assurer que Jaguar ne multipliera pas les segments pour se concentrer sur « des voitures de forme unique, surbaissées, sans rivaux directs. »

    Bolloré a expliqué que Gerry McGovern, directeur de la création de JLR, a organisé un concours de design au sein de la nouvelle équipe de conception unie pour créer l’inspiration pour les futures Jaguar. L’équipe a été divisée en trois, et en seulement trois mois ils ont créé des conceptions et des modèles qui prendraient normalement 18 mois.

    « Les proportions sont cruciales pour obtenir ce que nous voulons de Jaguar », continue Bolloré pour Autocar. « La plate-forme est une conséquence des proportions que nous avons décidées. Ils sont absolument sur mesure. » À cette fin, Jaguar recherche maintenant une architecture tout électrique qui est « facile à modifier en taille si nécessaire » et prendra en charge ses plans de modèle, mais il n’a pas encore décidé de créer la sienne ou de s’en procurer une auprès d’un tiers.

    Premier indice de la future gamme : l’I-Pace sera le seul à survivre, après une profonde mise à jour. Les autres disparaîtront.

    Il ajoute : « Les voitures n’ont jamais été aussi bonnes qu’en 2021, mais les points positifs de la marque ne sont pas appréciés par rapport à la concurrence. Aujourd’hui, quand vous écoutez les clients, ils voient [une Jaguar], aiment la voiture et testent la voiture, et ils vont toujours acheter une Audi ou une BMW. C’est le problème. Les gens achètent les originaux, alors. Nous ne sommes pas les originaux. Nous devons obtenir le positionnement de Jaguar bien différent, plus haut et plus original. Concernant la décision de supprimer la XJ électrique juste avant le lancement, Bolloré a déclaré que c’était la « décision la plus difficile du processus, absolument », mais que la seule chose qu’elle avait en commun avec l’avenir de Jaguar était qu’elle était entièrement électrique.

  • Quels sont les trente constructeurs qui immatriculent le plus en Europe en 2021 ?

    Quels sont les trente constructeurs qui immatriculent le plus en Europe en 2021 ?

    Voici les chiffres des cinq premiers mois de l’année 2021. Quels sont les constructeurs qui immatriculent le plus en Union Européenne ?

    1 Volkswagen 495 199

    2 Peugeot 315 575

    3 Renault 268 878
    4 Toyota 255 404
    5 Skoda 243 425
    6 BMW 241 110
    7 Mercedes 230 087
    8 FIAT 214 623
    9 Audi 210 961
    10 Citroën 196 628
    11 Ford 193 037
    12 Opel 175 152
    13 Kia 159 792
    14 Hyundai 159 272
    15 Seat 157 246
    16 Dacia 139 141

    17 Volvo 105 077
    18 Nissan 81 440

    19 MINI 55 913
    20 Jeep 55 013
    21 Mazda 49 525

    22 Land Rover 25 729
    23 Mitsubishi 23 831
    24 Porsche 23 625
    25 Lancia 22 782
    26 DS 15 674
    27 Honda 15 258
    28 Smart 14 411
    29 Lexus 12 956
    30 Alfa Romeo 9 789

    Source : ACEA. Ces données ne concernent que les membres de l’association.

  • Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    L’ADAC Opel e-Rally Cup est prête pour sa première saison. Les dix premières Opel Corsa-e Rally viennent d’être livrées.

    A l’occasion de la livraison du véhicule, les équipes ont reçu un briefing complet sur la nouveauté technique que constitue la motorisation électrique. Des tests fonctionnels approfondis ont ensuite été réalisés avec les voitures électriques de 100 kW (136 ch). En outre, les clients ont pu se convaincre du fort potentiel de la Corsa-e Rallye en montant aux côtés du légendaire pilote Opel, Volker Strycek, sur la spectaculaire piste d’endurance du centre d’essais.

    Après l’annulation de l’ADAC ACTRONICS Rally Sulingen en raison du corona, l’ouverture de la saison de l’ADAC Opel e-Rally Cup aura lieu les 11 et 12 juin au rallye ADAC Stemweder Berg. Pour se préparer, les teams de l’ADAC Opel e-Rally Cup participeront à une épreuve d’essai au préalable afin de se familiariser avec le véhicule et l’infrastructure de recharge. En outre, les équipes recevront une formation sur la haute tension, qui sera conduite et certifiée par le TÜV Thüringen.

    Des teams d’Allemagne, de France, d’Autriche, de Belgique, du Royaume-Uni et des Pays-Bas se sont inscrits pour l’ADAC Opel e-Rally Cup 2021. De plus amples détails sur les participations seront donnés à une date ultérieure.

  • Les 10 modèles les plus vendus en France en 2021

    Les 10 modèles les plus vendus en France en 2021

    Voici le détail des dix modèles les plus vendus en France depuis le début de l’année 2021

    1 – Peugeot 208

    La Peugeot 208 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle a été élue voiture de l’année 2020 et elle succède à la Peugeot 208 de première génération, produite de 2012 à 2019. Des Peugeot 208 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Kénitra (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 33 370
    Part de marché : 5,7 %

    2 – Renault Clio

    La Renault Clio est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Clio de quatrième génération, produite de 2012 à 2019. Des Renault Clio sont assemblées à Bursa (Turquie), Novo Mestro (Slovénie) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 29 037
    Part de marché : 5,0 %

    3 – Peugeot 2008

    La Peugeot 2008 est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Peugeot 2008 de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Peugeot 2008 sont assemblées à Vigo (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 27 269
    Part de marché : 4,7 %

    4 – Citroën C3

    La Citroën C3 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2016. Elle succède à la Citroën C3 de deuxième génération, produite de 2009 à 2016. Des Citroën C3 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 24 464
    Part de marché : 4,2 %

    5 – Dacia Sandero

    La Dacia Sandero est une voiture de segment B commercialisée depuis 2021. Elle succède à la Dacia Sandero de deuxième génération, produite de 2012 à 2021. Des Dacia Sandero sont assemblées à Pitesti (Roumanie), Tanger et Casablanca (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 22 848
    Part de marché : 3,9 %

    6 – Peugeot 3008 (+1)

    La Peugeot 3008 est une voiture de segment C-SUV commercialisée depuis 2016. Elle a été élue voiture de l’année 2017 et elle succède à la Peugeot 3008 de première génération, produite de 2009 à 2016. Des Peugeot 3008 sont assemblées à Sochaux (France), Oran (Tunisie), Walvis Bay (Namibie) et Gurun (Malaysie).

    Nombre d’immatriculation : 20 446
    Part de marché : 3,5 %

    7 – Renault Captur (-1)

    La Renault Captur est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Captur de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Renault Captur sont assemblées à Valladolid (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 18 679
    Part de marché : 3,2 %

    8 – Toyota Yaris

    La Toyota Yaris est une voiture de segment B commercialisée depuis 2020. Elle succède à la Toyota Yaris de troisième génération, produite de 2011 à 2020. Des Toyota Yaris sont assemblées à Onnaing (France) et Kanegasaki (Japon).

    Nombre d’immatriculation : 13 483
    Part de marché : 2,3 %

    9 – Renault Twingo

    La Renault Twingo est une voiture de segment A commercialisée depuis 2014. Elle succède à la Renault Twingo de deuxième génération, produite de 2007 à 2014. Des Renault Twingo sont assemblées à Novo Mesto (Slovénie).

    Nombre d’immatriculation : 13 382
    Part de marché : 2,3 %

    10 – Renault Mégane

    La Renault Mégane est une voiture de segment C commercialisée depuis 2016. Elle succède à la Renault Mégane de troisième génération, produite de 2008 à 2016. Des Renault Mégane sont assemblées à Palencia (Espagne).

    Nombre d’immatriculation : 11 773
    Part de marché : 2,0 %

  • Conseils pour choisir un tapis de voiture pour votre confort

    Conseils pour choisir un tapis de voiture pour votre confort

    Une voiture correctement équipée est indéniablement plus agréable à conduire. Parmi les accessoires à prioriser, on peut citer les tapis qui vont optimiser l’adhérence de vos pieds au plancher, ce qui a automatiquement des répercussions positives sur la sécurité. Attention, le tapis ne se choisit pas au hasard ! Voici donc les critères et options pour un confort garanti.

    Le sur-mesure comme base de sélection

    Quand on parle de tapis voiture, il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas vraiment de modèle passe-partout. Les habitacles sont configurés différemment, du sol au plafond. Il est donc important de veiller à l’ajustement parfait du tapis qui devra s’adapter aux formes et aux dimensions du sol. Cette règle est autant valable pour les modèles successivement élus voiture de l’année que pour les véhicules ayant potentiellement rencontré moins de succès.

    Pour bien choisir, il faudra ainsi commencer par identifier la marque et le modèle exact de votre voiture. Vous pourrez alors accéder à des offres compatibles avec le véhicule, ce qui va vous garantir que votre tapis restera en place, sans glisser. Un système de fixation sera éventuellement livré pour optimiser l’adhérence de l’accessoire.

    Pensez à la personnalisation du design

    Les tapis de sol offrent toujours un rendu très élégant, quel que soit le modèle que vous souhaitez équiper. Si vous avez envie d’une touche plus personnelle, il est conseillé de vous adresser à des spécialistes de la customisation. L’option la plus courante consiste à broder le texte de votre choix sur le tapis. Faites inscrire votre nom, optez pour un texte complètement décalé qui représente votre vision de la vie, ajoutez le logo de la marque automobile… Le résultat sera exactement comme vous le souhaitez.

    Ne négligez pas le coffre

    Le tapis de sol est sans doute le premier qui vient à l’esprit, ce qui n’a rien d’étonnant. Le coffre mérite cependant la même attention. Vous y déposez vos bagages, vos courses, vos animaux… ce qui peut endommager le revêtement à plus ou moins long terme. Le caoutchouc est beaucoup plus simple à nettoyer en plus de résister à l’humidité. D’autre part, la moquette offre un rendu beaucoup plus chic et protège efficacement contre les chocs. C’est donc une question de goûts avant tout, sans que l’utilisation ne doive être négligée.

    On n’y pense pas forcément mais les tapis sont aussi des atouts pour provoquer des coups de cœur en cas de vente du véhicule car ils jouent un rôle important sur l’aspect esthétique en plus du confort !

  • Le Grand Prix Historique de Monaco 2021

    Le Grand Prix Historique de Monaco 2021

    A l’occasion de la diffusion du Grand Prix de Monaco Historique sur l’antenne d’Automoto La Chaine, notre ancien rédacteur Alexandre Stricher faisait partie des consultants.

    Retour sur quelques anecdotes au sujet de la série F Niki Lauda avec trois thèmes particuliers : la McLaren M23, Hesketh et le V8 Ford Cosworth DFV.

    La McLaren M23

    Toutes les monoplaces ont de magnifiques histoires, mais s’il faut parler d’un modèle en particulier, je pencherais sur la McLaren M23 qui est pilotée par l’Autrichien Lukas Halusa et le Britannique Stuart Hall. C’est un bel exemple des Wedge Cars très cunéiforme qui était à la mode à cette époque. Je dis un bel exemple et pas le plus beau, car la M23 a toujours été considéré comme une copie de Lotus. Elle a été pensée aux Etats-Unis sous les traits de la M16 faite par Gordon Coppuck pour gagner sur les ovales.

    Alors je passe un peu les détails, mais McLaren ne fait pas que copier Lotus. Il y a aussi des solutions maison au niveau des freins (disques Lockheed outboard placés dans les roues) et des suspensions (flexibilité variable à l’avant) qui font que cette M23 va marquer l’histoire.

    Le premier à rouler avec cette voiture est Denny Hulme. L’Australien avait un vrai physique et il avait beaucoup de mal à s’installer et à s’extraire. C’est là que McLaren invente le volant amovible. Une autre anecdote, Hulme avait été champion du monde en 1967 avec Brabham… Et bien c’est en 1973 avec la M23 qu’il signe sa première pole position !

    Là, on parle de 1973, mais la M23 a roulé jusqu’en 1978 en évoluant constamment : plus d’empattement, voie arrière élargie, différentes tailles de nez, boite à air en cheminée, puis en V, et première boîte 6 Hewland.

    Et la liste des pilotes est incroyable : Hulme, Hunt, Fittipaldi (Champion 74), Piquet, Scheckter et même Ickx et Villeneuve. On l’a vu sur 83 GP, le plus souvent avec 3 monoplaces au départ.

    Hesketh Racing

    Durant cette période, des écuries se créent chaque année. La plupart reste dans l’anonymat. Mais ce n’était pas la façon de penser de Lord Alexander Hesketh.

    L’histoire commence avec Bubbles Horsley, un pilote de second plan, ami d’un Lord anglais adepte de la jet-set, dont le domaine est à moins de 10 km de Silverstone. Un soir, Horsley lance l’idée de créer un team de Formule Ford. L’idée plait à Hesketh qui la transforme un peu : il s’engage en F3 à Monaco. Avec Horsley, le résultat n’est pas bon. Mais une rencontre entre Hunt et Hesketh ouvre de nouvelles opportunités : aller en F1. Notre Lord n’a que 22 ans, mais son immense fortune et son envie de faire la fête l’emportent.

    Certaines écuries ont été moquées pour mettre autant d’argent dans le marketing que dans la technique. Chez Hesketh, on mettait autant d’argent dans la fête que dans la technique. Et si James Hunt était la tête d’affiche, tout le monde était au diapason pour la fête. Les mécanos aussi, les sponsors, comme Penthouse, aussi !

    Pourtant, Hesketh Racing avait bien deux visages. Le Lord se baladait avec une belle chemise blanche brodée « Le Patron » en français et il s’occupait des soirées. Mais Hesketh Racing était aussi une relation exceptionnelle entre James Hunt, le premier pilote, et Harvey Postlethwaite, le directeur technique. Les deux hommes se sont compris et ils ont énormément travaillé pour passer d’une March client à une Hesketh 308 qu’ils ont fait gagner à Zandvoort en 1975.

    Si Hunt a été champion en 1976 avec McLaren, c’est un résultat du travail appris chez Hesketh. Postletwaite, même chose. Le directeur technique excentrique a eu une magnifique carrière. Il est parti chez Williams où il était accompagné par Patrick Head. Il est passé chez Ferrari où il a fait des 126 championnes du monde, avec John Barnard en bras droit. Ensuite, il a inventé le nez haut chez Tyrrell, qui a aussi été important dans l’histoire de la F1. Là, son assistance s’appelait Mike Gascoyne. Et puis en 1999, il était à la tête du projet Honda qui cherchait à reconstruite une écurie. Il est mort d’une crise cardiaque durant les essais et tout le projet a été arrêté.

    Chez Hesketh, Hunt et Postlethwaite n’ont jamais été remplacé. L’équipe brillait toujours pour la fête, moins par les résultats et notre Lord a compris qu’il ne pouvait plus bousculer la hiérarchie et après avoir dépensé beaucoup l’argent en F1, il est allé faire autre chose. Notamment Ministre !

    V8 Ford Cosworth DFV

    La F1 change en 1966 avec une nouvelle règlement moteur : on passe de 1,5 litre à 3,0 litres. Colin Chapman, qui a gagné deux des trois derniers titres avec Lotus, craint d’être dépassé par d’autres écuries. Il n’a pas les ressources pour faire lui-même un moteur et il ne veut pas qu’un constructeur vienne prendre une place trop importante dans son écurie.

    Chapman tente un coup. Il appelle l’un de ses anciens disciples : Keith Duckworth (le worth de Cosworth). Cosworth, à l’époque, monte des moteurs de F3 et de F2. Le défi est de taille et le problème reste le même : personne n’est en mesure de payer. C’est là que Colin Chapman réussit son coup. Il parvient à convaincre Ford de tout payer. Là, il faut faire des concessions. Chapman se réserve l’exclusivité durant un an. Ensuite, le Ford Cosworth pourra être vendu à d’autres écuries. Et comment Chapman a convaincu Ford ? En proposant un « petit » moteur. Car avec le règlement 3,0 litres, des équipes ont conçu des 12 (Ferrari) et même des 16 cylindres (H16 chez BRM). Pour Chapman, il fallait miser sur des V8. Ce « petit » moteur plait à Ford et Walter Hayes qui mise 100 000 livres (2 millions d’euros) et impose à tarif de vente de 7500 livres (un peu moins de 150 000 euros aujourd’hui)

    Côté Cosworth, on lance le projet du DFV : Double Four Valves. Ce sont deux quatre cylindres de F2 montés en V8. On commence un peu en dessous de 400 chevaux lors des premiers essais et ça se termine à 495 chevaux en 1983.

    Durant certaines saisons, le V8 Cosworth a gagné tous les GP, dans les années 70, il gagne quasiment tous les titres. Il n’y a que le Flat-12 Ferrari qui s’en sort.
    A la fin, en 1983, ce sont 155 victoires !