Catégorie : Sponso

  • Le pit bike pour le plaisir

    Le pit bike pour le plaisir

    D’abord imaginé pour les enfants et les adolescents déjà mordus de motocross, le pit bike a largement entamé sa mue pour devenir un objet de plaisir mécanique pour les adultes. Bien moins gros et délicat à piloter qu’une motocross, le pit bike permet de découvrir de belles sensations à deux roues, sur des pistes dédiées. (car les pit bikes ne sont pas homologués pour rouler sur les routes)

    Les constructeurs les mieux représentés sont pour la plupart français. Les gammes s’étendent de la petite machine de loisir, facile à prendre en main par un grand débutant avec un moteur généralement limité à 125 cm3 et les modèles de compétition peuvent atteindre des vitesses folles avec des blocs de 190 cm3. Pour les enfants, les premiers modèles débutent à 50 cm3.

    Bastos Bike, YCF, CRZ, GUNSHOT ou APOLLO pour les marques françaises ou Bucci pour les Italiens proposent de larges gammes adaptées à tous les besoins.

    Pour vous donner une idée des dimensions d’un pit bike, il faut imaginer une mini moto avec une hauteur de selle de 80 cm, une garde au sol de 30 cm, un empattement de 120 cm et une masse de 60 kg. Les tarifs sont à découvrir sur https://www.wkx-racing.com/312-pit-bike-ycf

    Au-delà d’une pratique récréative, un Championnat de France de Pit Bike a vu le jour il y a un peu plus de dix ans, sous le contrôle de la Fédération Française de Motocyclisme. Imaginée par un ancien pilote Supercross international, la compétition agrège un calendrier de quatre à huit épreuves selon les années.

    Les catégories sont dictées par la puissance des pit bikes, mais aussi l’âge et le niveau des concurrents. Au sommet, la catégorie OPEN regroupe l’élite française. Il y a aussi une catégorie SEMI AUTO pour les pit bikes semi-automatiques, une catégorie AMATEUR pour les débutants, une catégorie GIRLS pour les gilles, KIDS pour les enfants et VETERAN pour les moins jeunes. Plusieurs autres compétitions, au niveau régional, existent également. Et au niveau international, la France est reconnue pour être le pays de référence de la discipline, avec les États-Unis.

    Car loin de nos frontières, le pit bike fête déjà son soixantième anniversaire. Même avant les Etats-Unis, c’est au Japon que l’histoire a débuté, lorsque Honda a conçu la Z100 et un parc d’attraction dédié à la moto à côté du tracé de Suzuka. La première Z100 était équipée d’un moteur 50 cm3 4 temps et réservée aux activités de Honda. Quelques années plus tard, la première pit bike commercialisée était la Z50M.

    Plus d’infos sur sur moto-station.com

    Le calendrier du Championnat de France de Pit Bike 2019
    19 mai Autichamps (26)
    9 juin Loche sur Ource (10)
    30 juin Argenton sur Creuse (36)
    28 juillet Le Cellier (44)
    15 septembre Messiex (63)

    Les inscriptions sont en cours. L’an passé, pour la finale de Messeix, un total de 92 pilotes étaient inscrits !

  • Le guide de la fiabilité : qui aura besoin de pièces détachées ?

    Le guide de la fiabilité : qui aura besoin de pièces détachées ?

    Cette semaine, Auto Plus publie un grand guide de la fiabilité. Comme au début de chaque année, l’hebdomadaire partage son propre hit-parade des vingt marques les plus représentées en France.

    Ce classement est unique. Il se base sur les messages reçus par la rédaction. A chaque fois qu’un lecteur se plaint de sa voiture, âgée d’un maximum de huit ans, l’intervention est prise en compte pour ce palmarès très spécifique.

    Résultat : Suzuki devance Toyota et Kia. Pour Suzuki, c’est une confirmation, car la marque japonaise était déjà en tête du classement en 2018. A l’autre bout de l’échelle, Nissan, Audi et Skoda sont montrés du doigt…

    Pour les marques premiums, c’est un coup dur. Outre Audi, seulement 19e sur 20 marques, Mercedes ou MINI sont très mal classés.

    Dernier constructeur en 2018, BMW fait un bond en avant pour se placer en tête des marques premiums (12e du général) devant DS (encore mélangé avec Citroën, car DS n’a pas encore huit ans) et Volvo.

    Pour Suzuki, l’explication est simple : les modèles de plus de cinq ans ne font pas parler d’eux et la nouvelle génération est exempte de reproches.

    Vingtième, Nissan paie de fréquents soucis de turbo, de filtres à particules et des casses moteur sur les diesels des Juke et des Qashqai. Les boîtes CVT réclament aussi des remplacements. Personnellement, j’ai dû remplacer l’embrayage de mon Qashqai essence en 2018…

    Pour ceux qui ont des problèmes et qui sont à la recherche de pièces détachées, voici des liens à suivre : Autodistribution.fr et 123automoto.fr

  • Crédit auto, LOA, LLD ?

    Crédit auto, LOA, LLD ?

    Vous ne pouvez pas acheter une nouvelle voiture comptant ? Quelle est la meilleure option ? À crédit, une location avec option d’achat ou une location longue durée ?

    L’achat à crédit

    C’est la solution de financement la plus courante dans l’achat d’une voiture par les particuliers. Contrairement à ce qui sera présenté par la suite, l’achat à crédit vous permet d’être vraiment propriétaire de votre voiture. En étant propriétaire, vous n’êtes pas tenu de payer d’éventuels frais de remise en état et vous pouvez revendre la voiture à tout moment.

    Dans le cas d’une revente, l’argent vous permettra alors de rembourser directement votre crédit auprès de l’organisme avec lequel vous avez pris votre contrat.

    Dans le cas de l’achat à crédit, il n’y a aucun apport. Vous contractez votre crédit en choisissant la durée du contrat et le montant des mensualités. Comme pour la plupart des contrats et des crédits, plusieurs options sont proposées : il est possible d’effectuer un remboursement anticipé et de faire une pause dans les mensualités en cas de besoin. Des assurances vous protègent également de certains aléas. A consulter en allant vers un comparatif de crédit auto

    La location avec option d’achat (LOA)
    Désormais proposée par tous les constructeurs automobiles pour les voitures neuves, la location avec option d’achat (LOA) est l’appellation de ce que l’on connaissait auparavant sous le nom de Leasing automobile. En concession, vous choisissez la longueur du contrat (généralement de deux à cinq années) et, en fin de contrat, vous avez le choix entre rendre votre voiture au constructeur ou de verser un loyer supplémentaire pour acquérir la voiture. Il s’agit bien de l’acquérir, car durant la durée du contrat, c’est l’organisme qui gère la location qui est officiellement propriétaire du bien.

    Généralement, un premier loyer est assez élevé, puis chaque mois, vous devez payer un loyer qui correspond à la voiture et au kilométrage signé au préalable. Au terme du contrat, il faut s’attendre à quelques frais de remise en état si vous ne levez pas l’option d’achat…

    La location longue durée (LLD)
    Si la location avec option d’achat vous impose une décision au terme du contrat signé, à savoir terminer le paiement du véhicule pour l’acquérir ou le rendre, la location longue durée est signée pour une durée définie. Au bout de cet accord entre les deux parties, la voiture est restituée. Point.

    L’avantage de cette possibilité est que l’entretien et l’assistance sont compris dans le tarif proposé pour la location longue durée. En revanche, il est nécessaire de prévoir les frais de remise en état au terme du contrat et, éventuellement, un rattrapage en cas de dépassement du kilométrage prévu dans le contrat.

  • Que faire avec une voiture en panne ?

    Que faire avec une voiture en panne ?

    Vous possédez une voiture en panne et vous ne savez plus quoi en faire ? Impossible d’entamer une profonde campagne de réparations qui coûterait vraiment trop cher ? Impossibilité de trouver une solution ? Voici peut-être une nouvelle piste…

    Vendre une voiture en parfait état de marche est une chose qui s’avère plutôt facile. Postez une petite annonce, gérez les rendez-vous, négociez… Après quelques rencontres, quelques discussions, quelques offres, vous aurez réussi à trouver un acheteur et à valider la transaction.

    Quand votre voiture (roulante ou non) a un problème (accident, batterie, boîte de vitesses cassée, problèmes mécaniques divers, etc.), la relation entre l’acheteur et le vendeur n’est plus du tout la même et la loi se place au cœur de la transaction. C’est la raison pour laquelle des plates formes comme Rachat-voiture.fr, Spécialiste de rachat voitures en panne, existent…

    En un coup de téléphone, vous pouvez entrer en contact avec un service qui s’attachera à racheter votre véhicule en panne, avec la rapidité et la sécurité que l’on est en droit d’atteindre d’un tel service.

    Un processus simple

    Rachat-voiture.fr se présente avec une équipe d’experts automobile qui prend en charge le client. Dans un premier temps, une estimation gratuite et sans engagement est proposée. Vous pourrez alors étudier cette proposition.

    Au lieu de vous déplacer, ce sont les équipes du site qui se déplacement pour expertiser votre voiture. En cas d’accord, tous les démarches sont prises en charge. Vous pouvez déléguer la réalisation des démarches administratives. La vente se réalise alors avec votre simple signature, sans passer des jours et des jours dans les papiers.

    Spécialiste du rachat de voitures, rachat-voiture.fr est en mesure de d’effectuer toutes les démarches en moins de 24 heures. Le paiement est réalisé par chèque ou par virement bancaire. Selon la voiture, le paiement peut aussi être effectué en argent liquide si le montant de la transaction ne dépasse par les 1 000 euros. La loi n’autorisant pas de dépasser 1 000 euros en liquide pour une vente.

    Pour ne rien laisser au hasard et garantir une entière satisfaction, rachat-voiture.fr s’engage à enlever le véhicule dès le transfert de propriété, lors de la reprise de voitures en panne. Vous pouvez même entamer l’estimation du montant du rachat de votre voiture en ligne dès maintenant.

  • Pneu recyclé : Michelin se lance dans un nouveau projet

    Pneu recyclé : Michelin se lance dans un nouveau projet

    L’enjeu environnemental prend aujourd’hui de plus en plus d’importance. Aussi, de grands constructeurs ont compris l’importance de préserver la planète et mettent en place des technologies nouvelles, dans le but de réduire leur empreinte carbone. C’est le cas du spécialiste du pneu Michelin, qui se lance dans la conception de pneumatiques recyclés. On vous en parle un peu plus.

    Pneu recyclé : Michelin propose une avancée considérable

    Lors du sommet Movin’on de Montréal, le constructeur français de Clermont-Ferrand a annoncé son souhait de ne fabriquer que des pneumatiques recyclés d’ici 30 ans. L’idée est simple : collecter l’intégralité des pneus Michelin usagés, afin de les réutiliser dans la fabrication de nouveaux équipements. L’objectif du constructeur ? Imaginer un pneu à 80% conçu à partir de matériaux recyclés.

    Tout aussi qualitatif, ce produit plus écoresponsable posséderait les mêmes caractéristiques qu’un modèle classique, la protection de l’environnement en plus !

    Quelques chiffres autour de la conception de pneus

    Pour bien comprendre le processus de fabrication d’un pneu, il est nécessaire d’en savoir un peu plus concernant les chiffres.

    – 200, c’est le nombre de composants indispensables pour fabriquer un pneumatique de la marque Michelin.
    – 1,7 milliard de pneus sont fabriqués tous les ans.
    – 70% des pneus sont récupérés par les constructeurs, mais seulement 50% sont véritablement recyclés.
    – 39% des composants d’un pneu sont issus du pétrole et 40 produits chimiques rentrent dans sa fabrication.
    – 4 siècles sont nécessaires à un pneumatique pour se biodégrader.
    – 28%, c’est le pourcentage de matériaux renouvelables et recyclés qui compose un pneu Michelin. Le constructeur s’engage, pour l’année 2048, à proposer un équipement qui sera composé de 80% de matière recyclée. Un véritable défi pour la marque.

    A la lumière de ces chiffres, on peut donc aisément affirmer que l’industrie du pneumatique représente une source de pollution notable. Même si le constructeur Michelin propose depuis 1991 des pneus verts permettant de consommer moins de carburant, cela ne suffit pas à faire baisser significativement l’impact de cette industrie sur l’environnement.
    Aussi, on peut se demander si l’objectif de la firme de Clermont-Ferrand est véritablement réalisable. Faisons le point dès maintenant.

    Le pneumatique recyclé : un objectif réaliste ?

    La création d’un pneu totalement recyclé implique la coopération de tous les constructeurs, dans le but de récupérer l’intégralité des équipements usagés. D’après le président de Michelin, Jean-Dominique Senard, cette perspective est tout à fait réalisable à condition d’entraîner tous les manufacturiers dans l’aventure du pneumatique recyclé.

    Cela nécessite également la collaboration avec des start-up innovantes, mais également des entreprises expertes dans le domaine du recyclage. Un autre obstacle au projet du constructeur, c’est l’utilisation de pneus usagés dans la production de chauffage. Il est alors nécessaire de convaincre, et Michelin s’est donné comme date butoir l’année 2048.

    Précisions également que le groupe français prévoit d’utiliser ces équipements usagés pour la conception d’autres accessoires et matériaux : les tapis de sol pour voiture, mais également l’asphalte. Les pneumatiques recyclés pourraient également intervenir dans les constructions antisismiques. Les perspectives sont nombreuses, mais cela nécessite de mettre en place un pôle de recherche important, afin de déterminer le potentiel des pneumatiques recyclés.

    De plus, Cyrille Roget à la charge des techniques innovantes Michelin, informe de la complexité de prélever chacun des composants d’un pneumatique, en raison du peu de moyens qui existent à l’heure actuelle. Le projet du constructeur semble difficile à mettre en place, mais le président semble confiant quant aux chances de réussite.

  • Peugeot 3008 : France n°1

    Peugeot 3008 : France n°1

    Quand les deux grands groupes automobiles français tentent de lancer des modèles emblématiques pour casser le plafond de verre qui stoppe les ventes de véhicules tricolores au-delà des 50 000 euros avec l’Alpine A110 et le DS 7 CROSSBACK, c’est un autre modèle qui tire les gammes vers le haut…

    « On n’a pas beaucoup de dimanches tranquilles ». C’est la phrase de Stéphane Dubs dans Les Echos du jour. Le patron de l’usine PSA de Sochaux est un homme très occupé. Lui qui gère la transformation de l’usine ancestrale de la famille Peugeot voit des 3008 sortir du site à une cadence infernale.

    Le constat ne peut pas être totalement idyllique. Depuis dix ans, la balance commerciale du nombre de véhicules importés / exportés est négative. En 2017, la France a importé 400 000 véhicules de plus qu’elle n’en a produits. Pire, depuis l’an passé, les pièces et les composants automobiles sont aussi davantage importés qu’exportés.

    Il faut dire que le marché français est typique d’un marché de pays pauvre. Les deux stars sont les citadines Renault Clio (produite majoritairement en Turquie) et Peugeot 208 (produite majoritairement en Slovaquie)… Et le modèle qui séduit le plus les clients particuliers est la plaie Dacia Sandero (produite majoritairement en Roumanie).

    Pourtant, le point médian évolue. Avec la folie SUV, le panier d’achat moyen augmente d’année en année. D’abord tiré par le Nissan Qashqai, puis le Volkswagen Tiguan, le marché profite désormais de l’entrée des constructeurs français sur le segment le plus porteur.

    Un tiers des véhicules vendus est rangé dans le fourre-tout que représente le terme SUV (Sport Utility Vehicle). En France, la référence est le Peugeot 3008, élu Voiture de l’Année 2017.

    Ce SUV compact comble les désirs les plus fous du client moyen : un modèle compact, avec une assise haute et un style mi-baroudeur mi-premium. De quoi avoir la sensation d’avoir réussi à passer dans une catégorie socioprofessionnelle supérieure.

    Ce coup de pouce au statut se paie. Plus gros, mieux équipé et mieux fini, les SUV Peugeot sont aussi un peu plus cher à l’achat et en coût d’utilisation.

    Malgré la baisse de la part de marché du Diesel et le succès de Dacia, le panier moyen d’un acheteur d’un véhicule neuf ne cesse d’augmenter. En 2017, la voiture « moyenne » des Français était achetée 26 717 euros, doit 3,4 % de plus qu’en 2016. Mieux, la part de marché des voitures de plus de 35 000 euros a atteint 19 %, en hausse de trois points.

    Selon les analyses de L’Argus, un SUV compact coûte 4 600 euros de plus que la berline compacte à laquelle il peut être rattaché. Et c’est en roulant que les données sont encore plus brutales. Alors que les consommations et les émissions de CO2 étaient à la baisse chaque année jusqu’en 2016, les moyennes de 2017 repartent à la hausse à 4,6 litres / 100 km et 111 grammes de CO2 / kilomètre, car la masse augmente légèrement à 1 262 kg et la puissance monte aussi à 117 chevaux.

    Sur les six premiers mois de l’année 2018, si les Clio et 208 restent en tête des ventes avec respectivement 70 040 et 56 272 voitures vendues, le Peugeot 3008 suit de près avec 46 737 ventes. Le SUV est même le plus gros modèle du top 14 composé aussi des Citroën C3, Renault Captur, Dacia Sandero, Peugeot 2008, Peugeot 308, Renault Twingo, Renault Mégane, Dacia Duster, Citroën C3 Aircross, Volkswagen Polo et Toyota Yaris… Et la quinzième place est réservée au Peugeot 5008, version volumineuse du 3008. Le Renault Kadjar, pendant du 3008 chez Renault, est plus loin avec 15 827 voitures vendues en France en six mois. Et derrière les deux constructeurs français, ce sont les Nissan Qashqai et Volkswagen Tiguan qui restent les plus présents sur le segment.

     

    Voilà comment tirer le marché vers le haut…

  • Le pari des garages

    Le pari des garages

    Combien existe-t-il de garages dans Paris ? Dans une capitale où l’on ne fait que de parler d’un cauchemar automobile, où la mairie annonce clairement son intention de diminuer drastiquement la place de la voiture au nom de la lutte contre la pollution, il est assez frappant d’apprendre qu’il reste 194 garages à Paris.

    La moyenne est donc de près de dix garages par arrondissement. Dès lors, comment choisir son garage dans les rues de Paris ? Vroomly propose un moteur de recherche très complet pour trouver le professionnel qui vous séduira.

    La première étape consiste à identifier sa propre voiture grâce, soit à sa plaque d’immatriculation, soit à sa marque, son modèle, son année et sa version. Ensuite, afin de programmer un entretien facile, il est nécessaire de choisir l’intervention souhaitée.

    Des plaquettes de freins

    Imaginons une soudaine envie d’un changement des disques et des plaquettes de freins avant… L’intervention comprend une dépose et pose des disques et plaquettes de frein avant, un contrôle du niveau du liquide de frein et un essai du véhicule.

    En visant le XIVe arrondissement, un garage Midas est proposé sur le Boulevard Brune pour une intervention à 352,24 euros, certifié par Garage Paris Vroomly. D’autres offres sont proposées à Bagneux, Villejuif ou dans le XVIe arrondissement de la capitale à des tarifs compris entre 354 et 385 euros.

    La distribution

    Autre idée, où faire changer un kit de distribution sur une Twingo lorsque l’on habite dans le IIe arrondissement ? Huit adresses sont proposées pour faire une dépose et pose de la courroie de distribution, une dépose et pose des galets tendeurs, une dépose et pose de la pompe à eau, un changement du liquide de refroidissement et un essai du véhicule…

    Les tarifs s’échelonnent entre 427 et 588 euros, toujours auprès de garages certifiés et avec la possibilité de contacter directement le garage. Les horaires d’ouverture sont spécifiés avec, en prime, un petit mot du gérant des lieux.

    Le tarif étant annoncé, aucune mauvaise surprise à craindre. Tous les garages proposés respectent une charte incluant un juste prix vérifié, une prise en charge moins de 10 minutes, un respect du carnet d’entretien et des interventions garanties 1 an.

    Illustration : billknock

  • L’hybridation des chaines neige

    L’hybridation des chaines neige

    Hybridation, hybridation, on entend ce mot un peu partout dans le monde automobile. Il existe aussi dans le domaine de la chaine neige. Et ça ne veut pas dire que nos chaînes deviennent électriques !

    Face aux difficultés qu’ont pu avoir certains automobilistes qui ne s’étaient jamais entrainés à monter des chaînes neige, les chaussettes à neige sont arrivées sur le marché. Des chaussettes textiles pour remplacer les habituelles chaînes métalliques traditionnelles… Qui n’ont pas toujours été du goût des gendarmes postés en bas des stations de ski. Certains conducteurs ont pu avoir à discuter pour avoir l’autorisation de s’attaquer à des routes enneigées avec cet équipement.

    Michelin a eu l’idée de marier les deux idées avec des chaînes neige composites baptisées Easy Grip, officiellement homologuées en « équipements spéciaux » comme un dispositif antidérapant, amovible, capable de garantir le démarrage, le guidage et le freinage du véhicule.

    Par rapport à des équipements plus anciens, l’Easy Grip s’adapte plus facilement à de grandes jantes et des passages de roues très étroits. Il permet de profiter d’une efficacité comparable avec les chaines traditionnelles, avec un montage et un démontage plus facile.

    Néanmoins, il ne s’adapte pas aux véhicules dits « non chaînable » qui ont une hauteur de moins de 4 centimètres entre le pneu et la coupelle d’amortisseur et entre l’intérieur du pneu et le bras d’amortisseur. Elles ne doivent pas non plus être utilisées en dehors des zones enneigées pour ne pas les déchirer en quelques kilomètres.

    Parmi les autres points forts, les vibrations sont beaucoup plus contenues et le dispositif abuse moins de l’ABS et de l’ESP. Un système réfléchissant accroît la vision latérale de votre véhicule. Elles sont livrées dans un sac de transport pratique à double compartiment pour éviter d’emmêler les 2 chaussettes. La notice de montage est plastifiée pour servir de bâche de protection lors de l’installation des chaussettes.

  • Qui peut le plus…

    Qui peut le plus…

    Il n’y a pas de justice… Si l’on écoutait les amoureux d’automobile, on ne roulerait qu’avec des V12 ou des 5 cylindres en ligne sous le capot, avec des modèles qui sortent de la monotonie pour s’affirmer pleinement. Au lieu de ça, nous n’avons que des SUV gris, blanc ou noir – même personnalisables – avec des moteurs 3 cylindres.

    Renault Avantime, Nissan Cube, Peugeot 1007… Dès qu’un constructeur a essayé de s’écarter des segments habituels, il a pris un sacré bouillon.

    Je ne voudrais pas être directeur du plan produits d’un constructeur en quête d’actions disruptives – comme on dit de nos jours. Ecouter ses futurs clients est le meilleur moyen de ne pas les mener à l’acte d’achat.

    Prenons l’exemple le plus récent : Citroën C4 Cactus. J’étais prêt à en acheter un. Il s’avère qu’un concours de circonstances fait que je n’ai plus besoin d’un véhicule neuf ces prochains mois. Toujours est-il que le Cactus était parfait. 4,15 mètres avec une habitabilité suffisante pour répondre à mes besoins (même si quelques dm3 de coffre en plus auraient été parfaits), un « gros » moteur de 110 chevaux pour la région parisienne, une boîte automatique dont on peut se contenter, une connectivité satisfaisante… Et surtout un tarif qui me semble tout à fait abordable avec un prix catalogue à 23 250 euros. Mieux, en cherchant un modèle de démonstration, on tombe à 18 200 euros pour un C4 Cactus Rip Curl 110 EAT6 de 2 900 km. Je vous laisse comparer avec le reste du marché et je vous rappelle que faire sa carte grise n’exige plus de se rendre à la préfecture

    Comment donc expliquer que ce modèle aussi attractif puisse ne pas être en tête du marché français ? C’est justement que notre Citroën C4 Cactus était un peu trop différent. Pas assez banal par rapport aux 2008 ou Captur et loin de la réussite exceptionnelle – et méritée – d’un 3008.

    Le résultat est une nouvelle génération de C4 Cactus… Fondamentalement, rien ne change. Et si la disparition des airbumps double les ventes (et qu’on me le prouve), il y a vraiment de quoi ne plus croire en rien.

    Rien ne change en dehors de la présentation textuelle du véhicule. La mode du SUV sympa et branchouille, jeune et déluré est passée. C4 Cactus est maintenant une berline compacte. On joue sur les mots. Oui, une berline. Et une petite ligne de chrome pour montrer que l’on n’est plus dans l’univers du jouet. Vous avez dit ludospace ? Ouf, l’arrière quitte sa touche de tristesse qui me faisait penser à une voiture à sortir uniquement par temps de pluie. Mais ça ne devait rester qu’un détail.

    L’intérieur change autant que l’extérieur. C’est-à-dire si peu. Je regretterai encore que l’EAT6 ne soit pas couplée à une commande au volant (type DS ou… Rolls et Mercedes) pour profiter à nouveau de la banquette avant. Des petits détails pratiques qui peuvent donner le sourire et qui devraient être l’image même du « nouveau » Citroën.

    Non, Citroën C4 Cactus se place tout en bas des berlines compactes, en taille, en prestations (selon une première liste des équipements avec l’absence de régulateur adaptatif ou de climatisation bizone) et on ne peut que l’espérer, en tarifs. Mais c’était déjà le meilleur argument de la précédente génération.

  • Baissez le tarif de votre assurance auto

    Baissez le tarif de votre assurance auto

    Vous ne roulez plus autant qu’avant et vous ne trouvez pas logique de payer toujours aussi cher votre assurance auto ? De nouvelles solutions existent…

    Je m’intéresse de près à l’ajout d’une « boîte noire » dans ma prochaine voiture pour moduler le coût de mon assurance automobile. Mais si vous n’êtes pas forcément prêt à placer un petit mouchard dans votre véhicule pour laisser un organisme extérieur surveiller votre type de conduite, une nouvelle possibilité d’offre à vous : une assurance au kilomètre pour les petits rouleurs.

    Sur https://www.allianz.fr/assurance-auto/petit-rouleur/, vous pourrez découvrir cette offre… Grâce à l’assurance au kilomètre, vous payez moins tout en conservant les mêmes garanties qu’un contrat d’assurance auto classique.

    Deux forfaits kilométriques sont proposés. Au choix : 4 000 kilomètres et 7 000 kilomètres. Vous pouvez opter pour celui qui correspond l’utilisation de votre véhicule.

    En France, les véhicules essence ont parcouru 12 133 kilomètres en moyenne en 2015

    Une récente étude menée par L’argus montrait les différentes distances parcourues par les conducteurs français selon les motorisations de leur voiture. En 2015, un véhicule diesel parcourait en moyenne 18 555 kilomètres en une année. Les résultats étaient inférieurs pour les autres technologies avec 18 090 kilomètres en hybride, 14 049 kilomètres au gaz, puis seulement 12 133 kilomètres en essence et 10 137 kilomètres en électrique.

    L’équivalent de 134 kilomètres par semaine

    Pour un petit rouleur ou pour une voiture supplémentaire « plaisir », l’offre mérite d’être regardée… Si vous ne conduisez que le week-end, dans des conditions favorables, les distances sont particulièrement raisonnables.

    7 000 kilomètres, c’est l’équivalent de 583 kilomètres par mois, 134 kilomètres par semaine ou 19 kilomètres par jour. À 4 000 kilomètres, on tombe à 333 kilomètres par mois, 76 kilomètres par semaine ou 10 kilomètres par jour. Et je suis très convaincu que beaucoup de voitures ne roulent pas autant que ça, notamment en ville.

    Dernière offre : si vous vous abonnez avant la fin de l’année, le quatrième mois de votre première année de contrat sera offert. Et vous ? Vous couvrez combien de kilomètres chaque année ?

  • Mais qu’est-ce qu’un coussin berlinois ?

    Mais qu’est-ce qu’un coussin berlinois ?

    Nous sommes en crise. La sécurité routière va à vau-l’eau. Jamais les automobilistes n’ont remis autant d’argent dans les caisses de l’Etat à la faveur d’une multiplication des radars et des petites amendes… Et pourtant, jamais les conducteurs n’ont été aussi déçus de l’entretien des routes françaises !

    On pourrait rêver d’éclairages performants, de marquages au sol de nouvelle génération (je rêve d’une généralisation de réfléchisseurs intégrés à ces marquages horizontaux comme sur des pistes d’aéroport !), d’aménagement moins dangereux pour les 2 roues… Et pourtant, on ne nous promet que des radars évolués, des ronds-points et des dos d’âne.

    Vous les détestez ces dos d’âne, non ? Sur virages.com, j’ai trouvé de quoi conserver l’intérêt du « gendarme couché », sans être un casse voiture.

    Le dos d’âne du futur

    Combien de fois j’ai pu voir le conducteur typique, qui freine de plus en plus fort, mettre toute l’énergie cinétique dans l’impact des roues avant sur un dos-d’âne loin de la règlementation officielle. De quoi faire souffrir les pneus comme les amortisseurs.

    Le dos d’âne doit être bombé, d’une longueur maximale de quatre mètres et ne peut pas comporter de passage piéton. Pour un ralentisseur trapézoïdal, c’est un plateau de 2,5 à 4 mètres avec un passage piéton. Mais pour les deux, la hauteur maximale est de 10 centimètres. Oui, seulement dix centimètres ! Ce sont les deux seuls types de ralentisseurs réglementés par le décret n°94-447 du 27 mai 1994 et la norme Afnor NF P 98-300 de juin 1994.

    Je vous invite maintenant à aller vérifier ces installations qui pourraient être autour de chez vous. Histoire d’être sûr que tout est bien en règle. Si ce n’est pas le cas, voici une petite idée : comme il n’est pas question de débarquer à la mairie pour demander que le ralentisseur soit supprimé – vous n’aurez aucune chance – formulez une autre proposition. Installez des coussins berlinois !

    Inventé à Berlin

    Mais qu’est-ce que le coussin berlinois ? Disons que c’est un ralentisseur qui n’en a pas l’appellation officielle. Il se présente sous la forme d’un quadrilatère posé au milieu de la voie. Il est suffisamment étroit, pour permettre aux cyclistes de passer à droite et aux autobus de passer par-dessus sans le toucher avec leurs roues (en imaginant que les chauffeurs de bus soient suffisamment conscients du danger qu’ils représentent), mais assez large pour que les voitures doivent au moins faire passer deux roues dessus.

    On en voit souvent aux abords des écoles. Le coussin est berlinois, car c’est dans la capitale allemande – spécialiste des zones 30 – qu’il a été expérimenté.

    Peut-être que vous jouerez un peu moins à saute-mouton sur la route grâce à un tel dispositif.

  • Une fée s’occupe de votre voiture

    Une fée s’occupe de votre voiture

    Vous êtes allergique à la voiture électrique ? Pourtant, la fée électricité vous est indispensable lorsque vous voulez vous déplacer avec n’importe quel véhicule.

    La première batterie, un accumulateur au plomb, est inventée par Gaston Planté en 1859. Originaire d’Orthez, il fait ses classes au Conservatoire des Arts et Métiers. Planté découvre les premiers fossiles d’un oiseau préhistorique non volant qui est nommé d’après son nom « Gastornis parisiensis ». S’il n’est que l’assistance d’Edmond Becquerel, sa renommée grandit dans la communauté scientifique.

    Mais c’est lorsqu’il s’intéresse à l’électricité qu’il devient un inventeur de génie. Il met au point l’accumulateur plomb/acide. Grâce à un rouleau spiralé de deux feuilles de plomb pur séparées d’un tissu de lin plongé dans une solution d’acide sulfurique contenue dans des cuves de verre. En 1860, il présente une batterie rechargeable de neuf cellules. Ses recherches lancent la carrière de plusieurs petits constructeurs qui misent alors sur la voiture électrique. En 1899, la Jamais contente devient le premier véhicule à atteindre plus de 100 km/h !

    La masse des batteries et les problèmes d’autonomie bloquent le développement du véhicule électrique. Pourtant, la batterie ne quittera plus jamais l’automobile.

    Désormais, la batterie d’auto est sans entretien. Les cosses sont traitées anti-sulfatage, les plaques sont au plomb-calcium. Il n’y a plus de besoin de refaire le niveau de liquide.

    Les batteries constituent aujourd’hui la principale utilisation du plomb. Cette technique simple et robuste s’avère très compétitive et constitue toujours la principale technique pour démarrer une voiture.

    La batterie au plomb est l’une des technologies qui possèdent la plus faible énergie massique : 35 Wh/kg. Mais elle est capable de fournir un courant crête de grande intensité, utile pour le démarrage électrique des moteurs. Elle présente aussi l’avantage de ne pas être sensible à l’effet mémoire.

    La consommation électrique du véhicule s’exprime en ampère-heure (quantité d’électricité traversant une section d’un conducteur parcouru par un courant d’intensité de 1 ampère pendant 1 heure en Ah) et la puissance au démarrage est exprimée en Ampère (A).

    Ne pas confondre la batterie au plomb qui sert à alimenter les accessoires d’un véhicule et une éventuelle batterie lithium-ion d’un véhicule électrique.