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  • Spectre : Aston Martin DB10 contre Jaguar C-X75

    Spectre : Aston Martin DB10 contre Jaguar C-X75

    Avant les pirates, Jaguar Land Rover a officialisé la présence de trois de ses modèles dans le 24e épisode de la saga James Bond. Aux côtés de l’Aston Martin DB10, il y aura le concept Jaguar C-X75, un Defender et un Range Rover Sport SVR.

    Concept hybride dévoilé en 2010, le C-X75 a été développé par Jaguar et Williams. Quatre roues motrices, il est équipé d’un moteur 4 cylindres 1,6 litre turbo de 509 chevaux couplé à des moteurs électriques générant l’équivalent de 390 chevaux.

    La Jaguar et l’Aston Martin DB10 seront mises en scène dans une course-poursuite dans les rues de Rome.

    Un Land Rover Defender – avec des roues de 37 pouces ! – et un Range Rover Sport SVR ont déjà été vus lors de scènes tournées en Autriche.

  • Quand une Ferrari bleue gagnait le Championnat du Monde de F1 !

    Quand une Ferrari bleue gagnait le Championnat du Monde de F1 !

    Les F1 alignées par Ferrari n’ont pas toujours été rouges… Pire ! L’un des pilotes de la Scuderia a conquis un titre mondial au volant d’une Ferrari bleue.

    Nous sommes en pleine saison 1964. Enzo Ferrari est en conflit ouvert avec la Fédération Automobile Italienne. L’autorité sportive n’a pas homologué la 250 LM proposée par la Scuderia.

    Fou de rage, le Commendatore décide de ne pas engager « ses » Ferrari au départ des deux dernières courses de la saison, aux Etats-Unis et au Mexique.

    Pourtant, ses pilotes sont encore en lice pour remporter le titre Pilotes et Ferrari est en tête du classement des Constructeurs. A deux Grands-Prix de la fin de la saison, ils sont encore six à pouvoir être titrés : Graham Hill (BRM), Jim Clark (Lotus-Climax), John Surtees (Ferrari), Lorenzo Bandini (Ferrari), Richie Ginther (BRM) et Bruce McLaren (Cooper-Climax).

    Les 158 F1 (moteur V8) et 1512 F1 (V12) sont pourtant envoyées de l’autre côté de l’Atlantique. Mais Enzo Ferrari tient sa promesse. Ferrari n’engage pas ses pilotes. Ils confient ses voitures à NART, le premier concessionnaire Ferrari des Etats-Unis.

    Les Ferrari sont donc aux couleurs américaines : bleue et blanche. Graham Hill et sa BRM s’imposent à Watkins Glen devant la Ferrari de John Surtees.

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    Au Mexique, ils ne sont plus que trois à pouvoir rêver du titre. Graham Hill compte 39 points mais doit en décompter potentiellement trois, John Surtees a 34 points et Jim Clark 30.

    Clark doit gagner et espérer un résultat blanc de ses rivaux. Le pilote Lotus signe la pole et s’élance en tête. Durant quelques tours, il est même virtuellement champion ! Graham Hill est au 10e rang avec l’élastique de ses lunettes cassé et Surtees est 13e avec des coupures moteur.

    Après douze tours, Hill est sur le podium provisoire et reprend la tête de la course au titre. Mais Lorenzo Bandini, l’équipier de Surtees chez Ferrari, l’attaque et les deux voitures partent en tête-à-queue avant de repartir.

    Débarrassé de ses problèmes moteur, Surtees en profite et s’installe en troisième position. Graham Hill fait un passage par les stands et revient en piste avec deux tours de retard.

    Toujours en tête, Clark voit la situation tourner à son avantage. Surtees troisième et Hill hors des points, il n’a qu’à atteindre l’arrivée sur la plus haute marche du podium pour décrocher le titre. Chez NART, on laisse Lorenzo Bandini, dont la Ferrari 1512 F1 à moteur V12 est plus rapide, passer devant John Surtees.

    Mais coup de théâtre à sept tours de l’arrivée. La Lotus de Jim Clark commence à perdre de l’huile. Dans le tout dernier tour de la saison, Jim Clark doit s’arrêter, moteur cassé. Dan Gurney passe et s’impose. Derrière, les bleus et blancs (et rouges) réagissent en quelques secondes. Lorenzo Bandini se range pour laisser la deuxième place à John Surtees. Le Britannique marque six points et devient le premier pilote à remporter un titre mondial en moto et en auto… Sur une Ferrari bleue !

  • Le record Top Gear pour Daniel Ricciardo !

    Le record Top Gear pour Daniel Ricciardo !

    On ne refera pas Top Gear… Mais entre les folies britanniques de conducteurs d’ambulances à l’intérêt plus que limité, une séquence valait le visionnage de l’épisode d’hier soir : Daniel Ricciardo au volant de la Suzuki Liana.

    Pour avoir côtoyer l’Australien durant sa saison en Eurocup Formula Renault 2.0, j’étais particulièrement impatient de le voir à l’œuvre sur le circuit de Top Gear.

    Inutile de commenter son tour tant les trajectoires sont belles (surtout pour une Liana qui n’est plus commercialisée depuis 2006)… La réelle information était de connaître sa performance.

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    Et même s’il est difficile de comparer les temps d’une année sur l’autre, selon les essais et les conditions météorologiques, Daniel Ricciardo a battu le record précédemment établi par Lewis Hamilton !

    En 1’42’’2, Daniel Ricciardo devance désormais Lewis Hamilton (1’42’’9), Mark Webber (1’43’’1), Sebastian Vettel (1’44’’0), Rubens Barrichello (1’44’’3) et Nigel Mansell (1’44’’6). Pour comparer, le classement des stars est dominé par Ellen MacArthur en 1’46’’7.

  • Rétromobile 2015 : Alpine Willys-Interlagos

    Rétromobile 2015 : Alpine Willys-Interlagos

    Jean Rédélé possédait une réelle fibre marketing. Afin de vendre un maximum de voitures, il multipliait les engagements en compétition. Et pour aller plus loin, le père d’Alpine misait aussi sur un développement international.

    Freiné par un manque de moyens, Jean Rédélé ne pouvait pas développer un réseau d’exportation… Il choisit donc une autre voie en proposant à des partenaires industriels de fabriquer ses automobiles sous licence.

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    Une première tentative est menée en Belgique. Cinquante A106 sont assemblées chez Small, mais l’aventure se termine rapidement. C’est au Brésil que Rédélé trouve un débouché. La société Willys-­Overland, qui fabrique déjà des Dauphine sous licence Renault, lance une production à partir des outillages fournis par l’usine de Dieppe. À partir de 1960, l’usine de Sao Paulo livre les Interlagos, du nom du célèbre circuit brésilien. De prime abord, seul un oeil exercé peut distinguer une Interlagos de sa soeur jumelle Alpine A108.

    Le partenariat se poursuit avec l’A110. Au total, 1 500 coupés, berlinettes et cabriolets sont produits jusqu’en 1966.

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    Les liens sont très forts entre le Brésil et Dieppe. A tel point que lorsque Jean Rédélé inscrit ses premières voitures au 24 Heures du Mans, Christian Heins, Directeur Sportif de Willys-Overland, est l’un des pilotes de la M63 numéro 48 avec José Rosinski. Ce grand espoir brésilien se tua en course. Le pilote de F1 Christian Fittipaldi, fils de Wilson et neveu d’Emerson, porte ce prénom en son hommage.

    Cette collaboration a servi de modèle à d’autres accords au Mexique (Dinalpine), en Espagne (Fasa) et en Bulgarie (Bulgaralpine). Près de 15 % des Alpine ont été fabriquées sous licence à l’étranger.

  • Rétromobile 2015 : Renault Scénic Concept

    Rétromobile 2015 : Renault Scénic Concept

    Scénic n’est pas un nom anglais ! Bien avant de devenir une déclinaison monospace de la Mégane, Scénic était un concept car dévoilé lors du Salon de Francfort 1991.

    Mais que veut dire Scénic ? C’est l’acronyme de Safety Concept Embodied in a New Innovative Car, soit Concept de Sécurité Intrinsèque dans une Nouvelle Voiture Innovante. Et Scénic passait mieux que Csinvi !

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    Vrai cocon, Le Scénic Concept donnait une première idée du monospace compact Mégane Scénic commercialisé en 1996.

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    L’accès à bord se faisait par des portes coulissantes et s’ouvrait sur un espace faisant appel à des matériaux recyclés. De nombreux équipements de sécurité étaient proposés, tels que des ceintures adaptées aux enfants, l’ABS couplé à la transmission automatique, ou un dispositif de détection de la somnolence.

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  • Rétromobile 2015 : 50 ans de Renault 16

    Rétromobile 2015 : 50 ans de Renault 16

    Déjà, en 1965, Renault proposait des lignes très marquées. Cette année-là, la Régie présente la Renault 16 avec une silhouette très innovante. Cette berline deux volumes va participer à l’évolution de l’automobile en Europe.

    Le dessin de la Renault 16 est l’œuvre de Gaston Juchet. Ce designer industriel, qui cumule aussi la qualité d’ingénieur aérodynamicien, suit les consignes de Pierre Dreyfus, PDG de l’époque. Deux décennies avant les voitures à vivre, le patron annonce : « Une voiture ne doit plus être quatre sièges et une malle, elle doit être un volume ».

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    Au fil des mois, le projet de remplacement de la Frégate par une berline trois volumes à moteur 6 cylindres est abandonné. Le Projet 114 devant Projet 115, puis Renault 1500.

    En charge du style, Juchet choisit une silhouette bicorps à hayon, un profil à six glaces, une ceinture de caisse basse, un pavillon haut sans gouttières, avec des lignes tendues et anguleuses. La ligne est littéralement clivante, mais Pierre Dreyfus tente le pari. Selon lui, la Renault 16 doit être « la voiture des familles attirées par les modernités de la société de consommation ».

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    L’époque est à la révolution. La Renault 16 s’inscrit pleinement dans cette période. La banquette arrière coulisse, se rabat, s’enlève. On y empile, on y entasse. Techniquement, la 16 est aussi un laboratoire pour Renault. Traction à moteur central avant, elle inaugure une boîte de vitesses et une culasse coulées en aluminium sous pression, une première en Europe.

    La TS va encore un peu plus loin avec la lunette arrière dégivrante, les phares additionnels à iode, les essuie-glaces deux vitesses avec lave-glace quatre jets, le rétroviseur intérieur avec réglage jour/nuit, les feux de recul, les vitres avant électriques, le toit ouvrant électrique et la sellerie cuir… Son propriétaire devient la cible de la société de consommation.

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    Lancée avec un moteur 1 470 cm3 de 55 chevaux, la TS reçoit un moteur 1 565 cm3 de 85 chevaux. La Renault 16 inaugure aussi la première boîte de vitesses automatique française dans la TA. De 1973 jusqu’à sa fin de carrière en 1980, la Renault 16 se voit dotée d’un moteur 1 647 cm3 de 93 chevaux pour la finition TX, capable d’une vitesse de pointe de 175 km/h.

    Décalée, avec un coup d’avance, la Renault 16 reçoit le prix de voiture de l’année 1966. Elle aura été produite à 1 851 502 exemplaires principalement dans l’usine de Sandouville, spécialement bâtie pour elle, en Normandie. Près de la moitié a été exportée.

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  • Alain Delon, viens nous servir à boire !

    Alain Delon, viens nous servir à boire !

    16,3 millions d’euros frais inclus… La Ferrari 250 GT SWB California Spider 1961 a été vendu cet après-midi lors d’une vente Artcurial au cœur du Salon Rétromobile 2015.

    Voilà qui ne va pas faire plaisir à notre cher Alain Delon. L’acteur s’est fendu d’un communiqué destiné à l’AFP pour se plaindre du tapage organisé autour de l’une des pièces maîtresses de la Collection Baillon.

    « La maison de vente se sert de mon nom pour faire monter les prix », annonce Alain Delon. « J’ai eu cette Ferrari de 1963 à 1965, au moment du film Le Guépard. Je l’ai revendue il y a donc 50 ans ! Elle m’a appartenu pendant deux ans seulement. Cela n’a rien à voir avec mes collections de tableaux, mon vin ou mes armes. »

    Le travail remarquable d’une maison telle qu’Artcurial consiste justement à pister l’historique de chaque lot. Oui, cette Ferrari a été la propriété d’Alain Delon et il en est fait mention dans le catalogue de vente, comme des autres propriétaires.

    Cet après-midi, Alain Delon n’était pas la star. La star était la Collection Baillon.

    PS : Dans ces magnifiques collections qu’il aime tant, Alain Delon a récemment vendu une Winchester à canon scié ayant appartenu à Steve McQueen… Et oui, il avait été fait mention du nom de l’ancien propriétaire de l’arme. Le nom de Steve McQueen serait-il plus abordable que celui d’Alain Delon ?

  • Au revoir Caterham F1 Team

    Au revoir Caterham F1 Team

    C’est toujours l’âme en peine que nous apprenons la fin d’une équipe. Cette fois, c’est à Caterham F1 Team de tirer sa révérence, les problèmes de personnel, de management, d’appellation et surtout de fonds, en auront eu raison. S’en est fini pour l’équipe nommée Lotus F1 Team à ses débuts, qui du changer de nom pour celui de Caterham; Lotus GP ne se laissant pas faire.

    Depuis le 5 février dernier c’est décidé, les actifs des verts et jaunes seront vendus aux enchères, par Wyles Hardy & Co, suite à la décision des administrateurs de Smith & Williamson. Les biens se verront vendus en 6 ventes, étalées entre le 11 mars et le 14 mai.

    Après n’avoir jamais su être réellement performante et ne marquer un seul point, peut être que Caterham F1 battra des records… aux enchères. Une autre question se pose : Caterham nous manquera-t-elle ? A ces deux questions, la réponse négative me parait bien juste…

  • Rétromobile 2015 : 60 ans de DS

    Rétromobile 2015 : 60 ans de DS

    A quelques mois du 60e anniversaire du lancement de la Citroën DS, la « nouvelle » marque DS entame les célébrations lors du Salon Rétromobile 2015.

    Grâce à l’aide des collectionneurs, trois DS d’époque sont exposées.

    Une DS 19 de 1959, présentée dans sa configuration d’origine. Habillée d’une robe gris-rosé et d’un pavillon aubergine, elle arbore un intérieur bleu royal. Adaptée à l’exportation en Allemagne, son tableau de bord se démarque avec la présence d’un thermomètre d’eau moteur ou encore celle d’une radio FM/LW. Equipée d’un moteur 3 paliers, sa boîte compte 4 vitesses avant à commande hydraulique.

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    Une DS 21 Cabriolet de 1968, équipée d’une boîte de vitesses à commande hydraulique. La finition comprend une sellerie en cuir rouge qui contraste avec le blanc Carrare de sa carrosserie et le noir de sa capote.

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    Une DS 20 Pallas de 1973, avec notamment des garnitures en cuir tabac, une carrosserie de couleur beige Tholonet, des vitres teintées et même un toit ouvrant. Elle est équipée d’une boîte de vitesses à commande hydraulique 4 rapports avant synchronisés et d’un moteur de 1985 cm3.

  • Rétromobile 2015 : Skoda 110 R Coupé

    Rétromobile 2015 : Skoda 110 R Coupé

    En cent ans d’histoire, Skoda révèle quelques bijoux dans sa collection. Dans les années 1970, on trouve la 110 R Coupé, une voiture de sport conçue pour s’illustrer en rallye.

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    En 1969, la Skoda 1000 évolue pour devenir plus compétitive, sous le nom Skoda 100. Un préparateur tchécoslovaque (AZNP) se penche sur ce nouveau produit. La 110 R succède alors aux versions MBX des 1000 et 1100.

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    A l’Est, elle est présentée comme une concurrente de la Porsche 911 avec un moteur quatre cylindres de 1 107 cm3 de 62 chevaux placé en porte-à-faux arrière et une boîte de vitesses manuelle à quatre rapports. Elle atteignait 145 km/h en vitesse de pointe et bouclait le 0 à 100 km/h en 18,5 secondes.

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    La 110 R a été produite à 57 085 exemplaires entre 1970 et 1980. Le modèle exposé au salon Rétromobile a été construit en 1980, et a été utilisé comme véhicule test par le service de développement technique, en particulier sur la carburation. Cette 110 R Coupé a rejoint le musée Skoda dès la fin de ses tests en 1981.

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  • Rétromobile 2015 : Mercedes-Benz 540 K Streamliner

    Rétromobile 2015 : Mercedes-Benz 540 K Streamliner

    Construit en 1938, à quelques mois seulement du début de la Seconde Guerre Mondiale, la Mercedes-Benz 540 K Streamliner peut-être considérée comme certainement l’une des plus grandes réalisations des années 1930.

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    Sa ligne est un exemple d’excellence aérodynamique de l’époque. Durant des décennies, le coefficient de trainée de 0,36 est resté une référence.

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    Accompagnée par un huit cylindres en ligne de 5 401 cm3 développant 180 chevaux avec une suralimentation, la 540 K et sa carrosserie en aluminium atteignaient 185 km/h en vitesse de pointe.

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  • GT4 : Cayman méchant !

    GT4 : Cayman méchant !

    Après être restée dans l’ombre de la 911, la Cayman prend enfin du grade, avec la GT4. Présentée à Genève, elle bouscule la calme Cayman habituelle. J’en suis déjà baba, moi qui avait succombé aux charmes de la Cayman GTS.

    Mécaniquement, c’est le Flat 6 de 3.8L qu’on retrouve sous le capot arrière. Associé à une boîte 6 manuelle, il délivre 385 cv, qui permettent de propulser la Cayman GT4 à une vitesse maxi de 295 km/h, pour un 0 à 100 km/h en 4,4 secondes.

    La caisse est abaissée de 30 mm comparé à une Cayman classique, avec la présence de nombreuses pièces de la 911 GT3. Le menu est annoncé, on apprécie. Question design, l’aérodynamique fait changer le tout, avec l’arrivée d’un aileron fixe aux airs artisanaux. Arrive aussi à l’arrière un diffuseur au centre duquel deux sorties d’échappement sont greffées. La face avant change aussi, avec un nouveau bouclier redessiné avec de plus grandes entrées d’air. Le capot se voit greffé d’une nouvelle entrée d’air aussi.

    Les options sont nombreuses. On retiendra particulièrement les freins céramiques. Miam miam miam.

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    Autodesk VRED Professional 2014 SR1-SP7

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