Catégorie : Sport Automobile

  • Equipe Bleue et AUTOcult gagnent la Roma Eco Race

    Equipe Bleue et AUTOcult gagnent la Roma Eco Race

    À l’occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité, EQUIPE BLEUE et AUTOcult ont gagné la première édition de la Roma Eco Race, épreuve du Trofeo Green Challenge Cup organisé par la fédération italienne Aci Sport !

    Suivant le précepte d’Ambroise de Milan « si fueris Rōmae, Rōmānō vīvitō mōre », EQUIPE BLEUE a engagé une FIAT 500e au départ de la première édition de la Roma Eco Race.

    Nouvelle épreuve tracée entre Rome et Castel Gandolfo, le rallye partait de Solum Roma et suivait l’historique Via Appia vers les magnifiques lacs Albano et de Nemi, avant de revenir à Rome durant la seconde journée.

    Quinze équipages, à bord de voitures à énergies alternatives (100 % électriques ou hybrides), étaient alignés au départ de la Roma Eco Race et du Memorial Fiammetta La Guidata.

    Alexandre Stricher : « Pour cette première édition, le défi était intéressant. Entre Rome et Castel Gandolfo, au cœur de la circulation, assurer chacun de ses pointages étaient la clé pour s’imposer. Nous avons pris la première place du classement dans le deuxième secteur de régularité et nous avons pu creuser l’écart durant toute la première étape. Nous terminons avec près de quatre fois moins de points de pénalité que le deuxième du classement, un record. »

    Avec l’unique équipage étranger engagé, EQUIPE BLEUE signe une nouvelle victoire et remporte le trophée du Memorial Fiammetta La Guidara : « Un grand merci à l’équipe organisatrice et aux partenaires qui ont participé à la création de cette première Roma Eco Race. Les lieux étaient magnifiques et particulièrement adaptés à la promotion d’une mobilité décarbonée. L’ambiance de la région et le plaisir de rouler 100 % électrique dans les petites ruelles de Castel Gandolfo, de Frascati ou d’Albano Laziale ont marqué notre expérience. Il est certain que la progression de la part de voitures 100 % électriques dans la région renforcera son attractivité. »

  • A la recherche des meilleurs pneumatiques hiver pour les voitures électriques

    A la recherche des meilleurs pneumatiques hiver pour les voitures électriques

    EQUIPE BLEUE – la meilleure équipe de sport automobile 100 % électrique en voiture de série – prépare déjà sa saison 2024 de FIA ECORALLY CUP… Si le calendrier ne diffère pas trop de celui présenté cette année, la saison devrait débuter à la fin du mois de janvier par l’Ostersund Winter Eco Rally. Et c’est l’occasion de jeter un coup d’œil sur Les pneus hiver d’Allopneus.

    Ostersund, ville située au centre de la Suède, est connue pour sa manche de coupe du monde de biathlon et son festival du trot. Elle accueille une manche de la FIA ECORALLY CUP depuis 2023.

    L’an passé, c’est le membre d’EQUIPE BLEUE Artur Prusak qui s’était imposé aux côtés de Guido Guerrini dans une KIA NIRO EV en terminant aux premières places des classements régularité et consommation. A la moitié du championnat, ils occupent actuellement la deuxième place du classement général.

    Sur des routes totalement enneigées, inutile de croire que l’on peut circuler sans des pneumatiques hiver, vraiment adaptées aux conditions : avec une gomme particulièrement tendre qui permet d’avoir de l’adhérence sur un sol froid ou enneigé, avec une meilleure stabilité transversale pour les courbes et longitudinale pour les accélérations et les freinages. Les lamelles s’enfoncent dans la neige pour conserver une vraie motricité.

    En janvier 2023, les routes étaient froides pour aller jusqu’à Ostersund et l’ecorallye s’était disputé sous un beau soleil et -9°C. Sur le parcours suédois, Guido et Artur avaient consommé moins que l’homologation WLTP de leur KIA NIRO EV (un ratio de 0,98) sur les 398 kilomètres de l’itinéraire ! Tous les autres concurrents étaient au-dessus de l’homologation WLTP de leur propre véhicule.

    Certains manufacturiers commencent à proposer des pneumatiques hiver pensés pour des voitures électriques, notamment Hankook avec son Ion Winter. Ce pneumatique avec un motif de la bande de roulement en V réduit le bruit avec une technologie de chambre sourde. L’optimisation de la vulcanisation offre une faible résistance au roulement pour améliorer l’autonomie des voitures électriques.

  • Quels records Verstappen peut-il encore battre en 2023 ?

    Quels records Verstappen peut-il encore battre en 2023 ?

    Il ne s’agit pas de savoir si Max Verstappen décrochera le titre cette année, mais quand. En cours de route, voici ce qu’il peut accomplir d’autre.

    Max Verstappen a une chance de réécrire le livre des records de Formule 1 en 2023 après avoir écrasé ses rivaux au cours de la première moitié de la saison. Quels records pourraient tomber d’ici à Abu Dhabi ?

    Victoires
    Verstappen a remporté 10 des 12 premiers grands prix de la saison, un taux de 83 %, actuellement le plus élevé de l’histoire.

    La saison dernière, il a dépassé le record de 13 en une seule année, atteint par Michael Schumacher en 2004 et Sebastian Vettel en 2013, alors qu’il terminait la campagne avec 15 victoires sur 22 départs.

    Compte tenu de la forme de Verstappen, il est difficile d’imaginer qu’il ne remporte pas au moins cinq des 10 courses restantes pour battre son propre record – et il y a suffisamment de courses prévues pour que Verstappen atteigne 20.

    Verstappen est entré dans la trêve estivale avec une huitième victoire consécutive. Il est à une distance d’égaler le record de neuf, établi par Vettel en 2013.

    Si Verstappen devait triompher lors de son Grand Prix à domicile aux Pays-Bas, où il a gagné en 2021 et 2022, il aura alors l’opportunité de devenir le premier pilote à atteindre 10 d’affilée une semaine plus tard en Italie.

    Points
    Tracer des points à travers l’histoire de la Formule 1 est un défi en raison de l’évolution du système de notation, notamment en 2010, lorsque 25 points ont été attribués pour une victoire au lieu de seulement 10. En 2023, plus de points sont offerts que jamais en raison de l’expansion. de F1 Sprint de trois à six épreuves.

    Verstappen détient déjà le record absolu après avoir marqué 454 points en 2022, bien qu’en pourcentage, il soit inférieur à plusieurs autres saisons victorieuses par d’autres pilotes.

    Jusqu’en 1990, la Formule 1 laissait des jokers, avant que toutes les courses ne soient comptées à partir de 1991. Par conséquent, à travers l’histoire, il y a eu des pourcentages gonflés en raison des moins bons scores perdus.

    La valeur la plus élevée depuis l’abandon du programme appartient à Michael Schumacher, qui a marqué 144/170 en 2002, ce qui lui donne un pourcentage de 84,7%, mais Verstappen a actuellement tendance à battre cela.

    Verstappen a marqué 314/336 au cours des 12 premières courses, ce qui le place à 93,5%, et signifie qu’il battra confortablement son propre total individuel et le record de pourcentage net de Schumacher s’il continue sur sa forme actuelle.

    Podiums
    Verstappen a conquis 12/12 podiums en 2023 – une seule fois auparavant, grâce à Schumacher lors d’une saison 2002 de 17 courses, un pilote a terminé dans les trois premiers à chaque course.

    Verstappen a également de la marge pour battre son propre record de 18 podiums en une saison, établi en 2021.

    Le champion en titre est également sur une série de 13 podiums successifs et est à six du record établi par Schumacher fin 2001 et jusqu’en 2002.

    Tours menés
    Si vous pensiez que la vue de la voiture n ° 1 de Verstappen en tête d’un Grand Prix était extrêmement courante cette saison, alors vous auriez raison.

    Verstappen a fait face au peloton pendant 567 tours cette saison (ce décompte n’inclut pas les courses de sprint), un total qui le placerait déjà 11e sur la liste même s’il n’a pas réussi à mener un autre tour.

    Le record date de 2011, lorsque Vettel a mené 739 des 1133 tours de course, un pourcentage de 65,2.

    C’est en deçà du pourcentage de référence de 71,5 atteint par Jim Clark en 1963, lorsqu’il a mené 506 tours sur 708.

    Il reste 603 tours de course cette année, il est donc fort probable que Verstappen puisse battre les deux records car il tend actuellement à 78,3% et n’a besoin que de 172 tours supplémentaires pour dépasser le décompte de Vettel.

    Quand pourra-t-il remporter le titre ?
    Son deuxième titre avait été scellé au Japon, bien qu’en 2022 il y ait eu quatre événements après la manche à Suzuka, et grâce aux remaniements du calendrier cette année, il en reste encore six à courir après le voyage de la Formule 1 vers le Japon. Il y a également trois événements Sprint au cours des étapes finales de la campagne, dans lesquels il y a plus de points disponibles.

    L’avance de points de Verstappen est actuellement de 125 et il a besoin de l’avantage suivant après chacune des courses respectives pour décrocher la couronne :

    Japon : 180
    Qatar Sprint : 172
    Qatar : 146
    Austin Sprint : 138
    Austin : 112
    Mexico : 86
    Sprint de São Paulo : 78
    São Paulo : 52
    Las Vegas : 26
    La trajectoire actuelle de Verstappen l’amène à décrocher le titre au Qatar, le 8 octobre.

    Dans le championnat des constructeurs, la situation est similaire, avec Red Bull loin devant, à hauteur de 256 points, avec plus du double du total de Mercedes deuxième.

    Red Bull, qui est sur une série record de 13 victoires successives, pourrait s’assurer de la couronne des constructeurs dès Singapour, le 17 septembre, bien qu’un emplacement plus probable soit le Japon ou le Qatar.

    Singapour : 353
    Japon : 309
    Qatar Sprint : 294
    Qatar : 250
    Austin Sprint : 235
    Austin : 191
    Mexico : 147
    Sprint de São Paulo : 132
    São Paulo : 88
    Las Vegas : 44

  • Comment choisir son stage de pilotage en formule Renault ?

    Comment choisir son stage de pilotage en formule Renault ?

    Vous rêvez de prendre le volant d’une voiture de sport sur un circuit et de vivre une expérience de conduite mémorable ? Le stage de pilotage est exactement ce qu’il vous faut. Formule, prix, véhicule, circuit, aucun stage de conduite ne se ressemble. Qu’il s’agisse d’un cadeau ou non, bien choisir peut devenir un vrai casse-tête.

    L’expérience vous tente ? Découvrez nos conseils et avis pour bien choisir son stage de pilotage en formule Renault.

    Qu’est-ce qu’un stage de pilotage ?

    Durant un stage de pilotage, vous serez au volant de la voiture de sport de votre choix. Avant de parcourir la piste à toute allure, vous recevrez un briefing avec un instructeur chevronné qui vous donnera les consignes de sécurité et quelques astuces de pilotage.

    Seul ou accompagné d’un copilote, vous pourrez ensuite expérimenter les sensations fortes que procure la conduite d’un bolide. Après votre session de pilotage, vous aurez l’opportunité de débriefer votre expérience avec le moniteur.

    Qu’est-ce qu’une formule Renault 2.0 ?

    La Renault FR 2.0 est une monoplace offrant un rapport poids/puissance supérieur aux voitures de type GT et aux Formule 3 école. Sa coque 100 % carbone assure à la fois sécurité et performance grâce à sa solidité et sa rigidité. Conçue selon la philosophie de la Formule 1, elle a été pilotée par les plus grands pilotes automobiles de F1, tels qu’Olivier Panis, Kimi Räikkönen ou encore Lewis Hamilton.

    Chacune des 8 Formule Renault 2.0 de CD-Sport est dotée d’un moteur 4 cylindres de 16 soupapes de 1 998 cm³ pour une puissance maximale de 200 ch. Avec un poids de seulement 490 kg, cette voiture peut atteindre une vitesse de pointe impressionnante de 250 km/h.

    Comment choisir le bon stage de pilotage en formule Renault 2.0 ?

    Choisir son circuit de pilotage

    La sélection d’un circuit de pilotage dépend totalement du profil du pilote stagiaire. Plusieurs paramètres sont à prendre en compte comme la distance avec votre domicile ainsi que le tracé.

    Là où les passionnés de drift apprécieront les circuits avec des virages et des courbes, ceux qui préfèrent la puissance et les cylindrées élevées auront tout intérêt à choisir les grandes lignes droites pour pleinement profiter de la puissance du moteur.

    Vous pouvez profiter d’un stage en Formule Renault sur 8 circuits mythiques du territoire français, dont :

    • La piste de la Ferté Gaucher en région parisienne : accessible à tous les profils et d’une longueur de 3,5 km, ce circuit date de 2009 et figure parmi les plus récents en France.
    • Les circuits de Nogaro et d’Albi : situés dans le sud-ouest de la France, à proximité de Toulouse, Pau et Mont-de-Marsan, ces deux circuits mythiques sont très appréciés par les pilotes amateurs comme les plus aguerris. La piste de Nogaro possède une ligne droite de 800 m. Le circuit d’Albi offre un tracé sinueux avec des courbes, des chicanes et deux lignes droites pour des frissons garantis.
    • Le circuit de Haute-Saintonge : situé à La Genétouze en Charente-Maritime, Nouvelle-Aquitaine, et homologué pour les voitures comme les motos, il dispose en plus d’une piste de karting. Avec une longueur de 2,2 km et une largeur de 11 à 15 mètres, ce circuit est réputé pour être l’un des plus rapides de France.

    Choisir le nombre de tours à effectuer

    Notez que chaque stage de pilotage offre un moment inédit avec un nombre de tours qui varie alors considérablement, allant de quelques tours à plusieurs dizaines.

    Ainsi, prenez en compte que certaines voitures ou circuits nécessitent un temps d’adaptation plus long, quelques tours supplémentaires sont conseillés.

    Choisir les options de son stage pilotage

    Certains stages de pilotage offrent des options supplémentaires, facultatives ou non. Vous pouvez ainsi retrouver des options du type :

    • Caméra embarquée pour graver ce souvenir à jamais et en faire profiter vos proches.
    • Pass accompagnateur VIP, où un proche du pilote a accès aux voies de sécurités avec les moniteurs tout au long de la journée de stage.
    • Rachat partiel de franchise pour un stage plus serein, elle permet de réduire considérablement votre franchise en cas de casse sur la monoplace lors d’une sortie de piste.
    • Coaching, pour atteindre encore plus vite vos objectifs sur la piste et améliorer vos performances. Des coachs diplômés BPJEPS vous accompagnent et corrigent votre technique de pilotage.

    Bien faire attention à la qualité de l’accompagnement

    Pour profiter au maximum de votre cours de pilotage, renseignez-vous en amont sur l’équipe encadrante. Vérifiez que les instructeurs sont des professionnels qualifiés et expérimentés, capables de fournir des conseils adaptés à votre niveau de pilotage.

    Si besoin, privilégiez les stages en petits groupes qui facilitent l’interaction avec l’instructeur et fournissent une expérience de course plus personnalisée.

    L’expérience de pilotage sur circuit est une occasion unique pour les amateurs de sport automobile de ressentir l’adrénaline de la vitesse en toute sécurité. Que vous soyez débutant ou pilote chevronné, une école de pilotage vous fournit un programme sur mesure pour vous aider à améliorer vos compétences de conduite.

    Le pilotage sur circuit peut être une activité passionnante à partager avec vos amis et votre famille, ou même une idée de cadeau originale pour un anniversaire ou une occasion spéciale. Les baptêmes en voiture de course peuvent également être une option pour ceux qui souhaitent simplement profiter de la conduite à grande vitesse sans avoir à piloter eux-mêmes.

  • Jim Clark : Le pilote écossais qui a dominé son époque

    Jim Clark : Le pilote écossais qui a dominé son époque

    Jim Clark est sans aucun doute l’un des plus grands pilotes automobiles de tous les temps. Né en Écosse en 1936, il a commencé sa carrière de pilote de course en 1956. Rapidement, il a attiré l’attention grâce à ses performances impressionnantes sur la piste. Mais c’est au cours des années 1960 que Jim Clark a véritablement marqué l’histoire de la course automobile.

    Palmarès :

    Clark a remporté deux titres de champion du monde de Formule 1 en 1963 et 1965. Il a également remporté de nombreuses courses importantes, notamment les 500 miles d’Indianapolis en 1965 et le Grand Prix de Monaco à trois reprises. Clark est également le détenteur du record du nombre de pole positions en Formule 1, avec 33 en carrière.

    Performances sur la piste :

    Jim Clark était un pilote extrêmement talentueux, connu pour sa grande maîtrise de la voiture et sa capacité à naviguer sur des circuits difficiles. Il était également très rapide, capable de remporter des courses avec des marges importantes sur ses concurrents. Comme l’a dit Jackie Stewart à son sujet : « Jim Clark était un pilote très, très rapide. Il avait un don pour ressentir le comportement de la voiture, et il était capable de faire des choses que personne d’autre ne pouvait faire. »

    Clark était également connu pour sa modestie et son humilité. Il était très respecté dans le paddock pour sa gentillesse et sa détermination, ainsi que pour son approche professionnelle de la course automobile. Comme l’a dit un journaliste à son sujet : « Jim Clark était l’un des rares pilotes qui ne pensait pas qu’il était le meilleur pilote du monde. Il savait qu’il était bon, mais il était toujours prêt à apprendre. »

    Citations :

    Voici quelques-unes des citations les plus mémorables de Jim Clark :

    • « Si vous vous concentrez sur le résultat final, vous risquez de manquer l’essentiel de ce qui se passe sur la piste. »
    • « La course automobile est un sport dangereux, mais il faut accepter ce risque si vous voulez être un pilote de course. »
    • « La victoire n’est pas seulement une question de talent. Il faut aussi avoir une voiture compétitive, une équipe compétente et une bonne dose de chance. »
    • « Je ne suis pas un pilote qui prend des risques inutiles. Je préfère être sûr de finir la course plutôt que de risquer un accident. »
    • « La course automobile est un art, pas seulement une question de vitesse. C’est l’harmonie entre le pilote et la voiture qui compte. »

    Héritage :

    Jim Clark a laissé un héritage durable dans le monde de la course automobile. Sa domination de la Formule 1 dans les années 1960 a été un tournant dans l’histoire de la course automobile. Il a inspiré de nombreux autres pilotes avec son style de conduite fluide et précis, ainsi qu’avec son approche professionnelle de la course.

    Malheureusement, la carrière de Jim Clark a été tragiquement interrompue en 1968, lorsqu’il a été tué dans un accident de course en Allemagne. Mais son héritage est resté intact, et il est toujours considéré comme l’un des plus grands pilotes de l’histoire. En hommage à sa mémoire, le circuit de Brands Hatch, en Angleterre, a été rebaptisé en son honneur.

    En 2019, un monument en l’honneur de Jim Clark a été inauguré dans sa ville natale de Chirnside, en Écosse. La statue, qui représente Jim Clark dans sa Lotus, a été réalisée par le sculpteur David Annand. La cérémonie d’inauguration a rassemblé de nombreux fans du pilote, ainsi que des membres de sa famille et des personnalités du monde de la course automobile. Peter W. Barron, ami de longue date de Jim Clark, a déclaré lors de la cérémonie: « C’est une journée fantastique pour Chirnside et pour l’Écosse. Jim était un grand champion, mais il est resté humble et fidèle à ses racines tout au long de sa vie ». Le monument est désormais un lieu de pèlerinage pour les fans de Jim Clark et de la Formule 1 en Écosse et dans le monde entier.

    Jim Clark était un pilote de course exceptionnel qui a marqué l’histoire de la Formule 1. Son talent, son humilité et sa gentillesse ont inspiré de nombreux autres pilotes au fil des ans. Malgré sa mort prématurée, son héritage est resté intact et continue d’inspirer de nouvelles générations de pilotes de course.

  • 5 000 Porsche 911 « Cup » !

    5 000 Porsche 911 « Cup » !

    En novembre, la 5 000e Porsche 911 version Cup est sortie de la ligne d’assemblage de Zuffenhausen. Tout a commencé en 1990 avec les premiers modèles destinés à la Porsche Carrera Cup Deutschland. Depuis, la Cup 911 devenue l’une des voitures de course monotype les plus produits au monde. Le modèle anniversaire sera utilisé lors de la saison 2023 de la Porsche Mobil 1 Supercup pour des VIP.

    « Plus de 5 000 911 Cup – ce nombre impressionnant symbolise le succès mondial de nos coupes monotypes Porsche comme aucun autre. Il témoigne également du niveau de popularité dont bénéficie Porsche auprès des équipes, des professionnels de la course, des jeunes pilotes et des pilotes amateurs du monde entier. Aucune autre voiture de course Porsche n’a été produite en aussi grand nombre ou n’a été utilisée aussi fréquemment », déclare Oliver Köppen, Manager One-Make Series and GT Sport de Porsche Motorsport.

    Ce qui a commencé en 1990 avec la première 911 Cup de la Porsche Carrera Cup Deutschland est devenu une success story avec un total de 34 séries de coupes monotypes Porsche approuvées disputées dans le monde entier. Au fil des décennies, le concept de la Cup s’est étendu du centre de développement de Weissach à presque tous les continents. Les Porsche Carrera Cup sont actuellement disputées en Europe, en Amérique, en Asie, au Moyen-Orient et en Australie. La Porsche Supercup internationale est au sommet depuis 1993.

    « Depuis les débuts de la Porsche Carrera Cup Deutschland en avril 1990, les coupes monotypes Porsche ont évolué de manière remarquable. Cette saison, le nombre est passé à 34 séries dans le monde entier, et presque toutes reposent sur la dernière génération de la Porsche 911 GT3 Cup, la 992. Ce succès est largement dû à nos équipes clientes, à qui je tiens à exprimer ma gratitude », souligne Michael Dreiser, Directeur des Ventes Porsche Motorsport.

    Les coupes monotypes Porsche ont également acquis une réputation de formation pour les jeunes pilotes de course. De nombreux pilotes professionnels de renom ont commencé leur carrière dans une coupe Porsche, notamment Patrick Long, Jörg Bergmeister et Timo Bernhard. Les coupes monotypes Porsche sont également appréciées des amateurs de course automobile, qui peuvent acquérir une voiture de course de haute qualité à un prix abordable et participer à des compétitions nationales et internationales.

    Il y a plusieurs pilotes qui ont remporté la Porsche Carrera Cup France avant de devenir pilotes officiels de Porsche. En voici quelques-uns :

    • Patrick Pilet : il a remporté la Porsche Carrera Cup France en 2007 et a ensuite signé avec Porsche en tant que pilote officiel en 2008. Il a remporté de nombreuses victoires avec Porsche, notamment les 24 Heures du Mans en 2018.
    • Kévin Estre : il a remporté la Porsche Carrera Cup France en 2011 et a ensuite signé avec Porsche en tant que pilote officiel en 2013. Il a remporté plusieurs courses en GT et a également remporté les 24 Heures du Nürburgring en 2018 et 2019.
    • Frédéric Makowiecki : il a remporté la Porsche Carrera Cup France en 2010 et a ensuite signé avec Porsche en tant que pilote officiel en 2014. Il a remporté plusieurs courses en GT et a également participé aux 24 Heures du Mans à plusieurs reprises avec Porsche.
    • Mathieu Jaminet : il a remporté la Porsche Carrera Cup France en 2016 et a ensuite signé avec Porsche en tant que pilote junior en 2017. Il est depuis devenu pilote officiel Porsche et a remporté plusieurs courses en GT.

    Ces pilotes sont des exemples de la réussite du programme de développement de pilotes de Porsche, qui offre une opportunité aux jeunes pilotes de faire leurs preuves dans des séries monotypes telles que la Porsche Carrera Cup France, avant de passer à des catégories plus élevées et de devenir des pilotes officiels Porsche.

    La production en série de plus de 5000 voitures de course impose un processus de production exceptionnel. Les voitures de course développées par Porsche Motorsport à Weissach sont fabriquées sur la même chaîne de montage que les modèles de production 911 à l’usine principale de Stuttgart-Zuffenhausen. Il ne faut pas plus de huit heures pour construire une Porsche 911 GT3 Cup, un record de production remarquable.

    La Porsche 911 GT3 Cup n’est pas seulement l’une des voitures de course les plus populaires et les plus produites au monde, mais aussi l’une des plus performantes. Avec son moteur six cylindres à plat de quatre litres et une puissance de 510 chevaux, elle offre des performances impressionnantes et une expérience de conduite inoubliable. La 5000e voiture de course basée sur la Porsche 911 sera utilisée pour la première fois en compétition lors de la saison 2023 de la Porsche Mobil 1 Supercup, avec des pilotes invités au volant.

  • Le prochain Grand Prix de France sera organisé à Paris

    Le prochain Grand Prix de France sera organisé à Paris

    Ce qu’il y a de bien avec la France (terme bien générique qui nous regroupe tous), c’est qu’elle ne déçoit jamais. Vous savez : ce petit côté hautain et suffisant qui met à mal notre position dans chaque négociation.

    La France, sans entrer dans des considérations trop politiques, est un grand pays centralisé dans lequel l’État manœuvre au cœur d’une version évoluée (de façon erratique) de la collectivisation.

    Si le Grand Prix de France est installé au Castellet – pour la seconde fois –, c’est grâce à Paul Ricard. Cet industriel de l’alcool a voulu un circuit de très, très haut niveau, pour prouver à ses « amis » politiques qu’il était possible de créer des structures très sûres (entre autres). Il a tout payé de A à Z pour convaincre Bernie Ecclestone de signer un contrat et inviter les camions des Lotus, Ferrari, Brabham, McLaren, Tyrrell, BRM ou Matra à s’installer en Provence. Les pilotes, Jackie Stewart en tête, furent totalement convaincus par la réalisation de Paul Ricard et le Grand Prix a eu lieu d’abord tous les deux ans, avant d’être présent chaque année au calendrier jusqu’en 1990. Une poignée de mains et un chèque et c’était réglé.

    Sans refaire toute l’histoire, le second septennat de François Mitterrand a tué le Circuit Paul Ricard pour promouvoir la Nièvre du futur Premier Ministre Pierre Bérégovoy. Tout le monde a grogné, sauf le financier de la F1 qui recevait le chèque signé au plus haut sommet de l’Etat. Deal. Une poignée de mains et un chèque et c’était réglé. Mais Saint-Parize-le-Châtel, c’est le bout du monde dans les années 1990 ! L’autoroute promise n’arrive pas et l’ambiance de plus en plus glamour de la F1 (même à l’époque) vit assez mal l’absence totale de ville à caractère international et les longues soirées avec les vaches. Ce qui peut être accepté ailleurs ne l’est pas en France.

    La France s’est désintéressée de son Grand Prix et de la F1 et tout s’est effondré. Les promoteurs ont quitté le navire et la FFSA a tenté une perfusion durant quelques années avant de jeter l’éponge.

    Durant des années, des projets plus ou moins farfelus ont tenté de faire revenir la F1 dans l’Hexagone : retour à Magny-Cours, Disneyland Paris, Paris intramuros… Mais c’est finalement sur le Circuit Paul Ricard que les politiques ont porté leur choix pour remettre la France au calendrier. Abandonné, devenu base d’essais, le circuit du Castellet reste presque parfait pour la sécurité, mais critiquable sur bien des points. Comme ailleurs, les accès sont compliqués, comme ailleurs, les attentes sont interminables pour accéder au moindre service dès que l’on s’approche de la jauge, comme ailleurs, il n’y a pas de grande ville adossée au paddock. Le Circuit Paul Ricard étant un circuit européen, il souffre de quasiment tous les mêmes mots que les circuits européens.

    A l’approche du terme du contrat entre le GIP (encore un truc très français qui permet à l’État et aux collectivités de financer des projets avec le soutien d’entreprises privées, mais toujours avec un contrôle politique), le jeu de la critique a atteint un niveau supérieur. Comment peut-on concevoir que la F1 vienne sur un circuit qui porte le nom d’un alcool fort (alors que la F1 s’affiche avec Heineken), comment peut-on accepter de mettre autant de temps à accéder à l’enceinte sportive (vous n’imaginez même pas pour Silverstone), comment peut-on être aussi loin de villes touristiques (les Autrichiens s’en amusent et les Britanniques – encore eux – présentent Marseille comme un coupe gorge et préfèrent la Côte d’Azur et Nice, hein Nice, vous comprenez les dernières sorties !) ?

    Mais le vrai problème est uniquement d’ordre financier. La France étant la France et le GIP étant dirigé par des politiques, il y a une certaine idée de la puissance de notre vieux pays. L’idée est, certes, partagée par la direction de la F1, mais elle n’est pas évaluée de la même manière.

    Que le Groupe Renault, deux pilotes et de nombreux partenaires d’écuries (mais aucun de la F1) soient originaires de France n’est qu’un argument de plus pour la FOM pour que le promoteur d’un Grand Prix paie « son » juste prix.

    Que l’évènement soit redevenu populaire, avec de (petites) tribunes pleines de drapeaux frénétiquement agités, n’est qu’un argument de plus pour la FOM pour que le promoteur d’un Grand Prix paie « son » juste prix.

    Finalement, c’est une négociation. La F1 vend son produit à un tarif exorbitant que beaucoup acceptent de payer. Aujourd’hui, la France ne l’accepte pas. Tout est question de ne pas trop vexer son interlocuteur afin de ne pas rompre les discussions. Car la France peut vivre sans F1, la F1 peut vivre sans la France. Ceux qui perdront le plus sont les spectateurs et les partenaires français directement impliqués en F1. Et comme les spectateurs ne peuvent pas couvrir les dépenses d’un Grand Prix, le GIP a fait venir près de la moitié des dirigeants du CAC40 au Castellet pour surfer sur l’extraordinaire vague mondiale que vit la F1.

    Car la F1 vit un âge d’or et abuse de cette position dominante. Pour avoir le droit à la F1, il faut apporter à la F1. Et ça se compte en dizaines de millions de dollars.

    Et voilà pourquoi le prochain Grand Prix de France sera organisé à Paris : soit dans une salle de réunion avec des dirigeants d’entreprises capables de sortir ces dizaines de millions d’euros, soit avec un circuit dans Paris pour convaincre Domenicali et ses « conseillers » que cette option (dont tout le monde rêve secrètement) serait la plus rentable pour la F1. Au calendrier en 2027, le temps que la Maire prenne sa retraite ?

  • Citation : Juan Manuel Fangio

    Citation : Juan Manuel Fangio

    Longtemps GOAT du sport automobile, Juan Manuel Fangio a dominé la discipline dans les années 1950 avec cinq titres de Champion du Monde de Formule 1 conquis avec quatre écuries différentes (Alfa Romeo, Daimler, Ferrari et Maserati).

    Extrêmement rapide, il était aussi l’un des pilotes les plus réguliers.

    « Mon approche de la course est comme le billard. Si tu frappes la boule trop fort, tu ne vas nulle part. Si tu manies correctement la queue, tu la diriges avec davantage de finesse. »

  • Les pilotes à suivre en F4

    Les pilotes à suivre en F4

    Premier échelon du sport automobile mondial, la F4 est un révélateur du potentiel des pilotes en monoplace. Avant d’arriver sur les circuits de F1 (en F3, puis en F2), les jeunes pilotes s’affrontent avec un seul objectif : confirmer les premiers espoirs placés en eux ou renverser les pilotes déjà suivis par les équipes F1 pour prendre leur place.

    En cette première moitié de saison, deux pilotes de 15 ans sont au sommet. Sans surprise, ils sont déjà couvé par des écuries F1.

    Andrea Kimi Antonelli (15 ans – Italie – Mercedes)

    Né à Bologne (Italie) en 2006, il débute en compétition dès l’âge de 8 ans. Détecté par les équipes de Toto Wolff, il intègre le programme junior du Mercedes-AMG Petronas Formula One Team en avril 2019, à 12 ans.

    Dès lors, il aligne plusieurs titres internationaux en karting – sans pour autant être dominateur – avant de passer à la monoplace en fin de saison 2021. Placé chez Prema, il signe ses premiers podiums pour préparer une grosse première moitié de saison 2022 : double programme en Italie et en Allemagne et la première place des deux championnats (8 victoires en 12 courses en Italie et 7 victoires en 9 courses en Italie). Son principal adversaire : le Brésilien Rafael Camara, membre de la Ferrari Driver Academy.

    Son père Marco Antonelli a participé à plusieurs courses en Voiture de Tourisme et GT, sans résultats notables.

    Nikola Tsolov (15 ans – Bulgarie – Alpine)

    Né en Bulgarie en 2006, Nikola Tsolov quitte rapidement les circuits de karting nationaux pour se tester dans les très relevés compétitions italiennes. Repéré par Fernando Alonso, il porte d’abord les couleurs du double champion du monde de F1 avant de l’accompagner sur le podium des 24 Heures de Dubaï 2021.

    En mars 2022, il est nommé pilote affilié de l’Alpine Academy avec un programme en F4 espagnole chez Campos. Il y domine le classement avec 9 victoires en 12 courses. Son principal adversaire : l’Australien Hugh Barter qui est aussi en tête du Championnat de France.

  • Le premier aventurier en Citroën 2 CV

    Le premier aventurier en Citroën 2 CV

    La réputation de la 2 CV, voiture d’exception prête à tous les services et capable de tous les dévouements, n’est plus à faire. Mais au début des années 1950, il lui reste à acquérir la dimension de l’aventure, celle des exploits héroïques et des missions impossibles. Toute une jeunesse va lui offrir, partout dans le monde, des pages d’épopées à ajouter à sa légende. Michel Bernier sera le premier d’une longue liste de voyageurs.

    Pendant la guerre, bien des adolescents, prisonniers des frontières verrouillées, ont rêvé de s’évader au bout de l’horizon. La paix revenue, encore faut-il disposer d’un instrument permettant les grands voyages à des coûts accessibles à beaucoup de jeunes gens, aux rêves immenses, mais aux ressources limitées. La 2 CV est tout ce qu’il leur faut pour ça : robuste, pratique, facile à réparer, économique et par-dessus le marché, confortable.

    En 1952, Michel Bernier, vendeur chez un concessionnaire Citroën parisien, part avec un ami, le chirurgien Jacques Huguier, pour un tour complet de la Méditerranée en un mois. Personne n’y croit. Ils le bouclent pourtant en 37 jours, franchissant 100 postes de douane te parcourant 13 588 km. Leur seul regret : avoir emporté, par inexpérience et excès de prudence, 250 kg d’outils et de pièces de rechanges qui les handicapent dans les côtes et les douanes et qu’ils finissent par semer le long de leur chemin.

    Bernier veut aller plus loin. Un peu plus d’un an plus tard, il part avec un autre vendeur Citroën, Jacques Duvey. Au programme : le Cap – Alger. Pour corser l’affaire, ils inscrivent leur 2 CV au Rallye Monte-Carlo, avec un départ d’Oslo. C’est une hallucinante course contre la montre. Arrivés à Alger, ils embarquent dans un Bréguet deux-ponts qui les déposent à Paris, d’où ils partent vers Oslo. Et ils seront dans les temps pour le Monte-Carlo 1954 qu’ils terminent en 323e position !

  • IMSA : quatre constructeurs GTP attendus à Daytona

    IMSA : quatre constructeurs GTP attendus à Daytona

    Acura, BMW, Cadillac et Porsche sont les quatre premiers constructeurs GTP annoncés au départ du Rolex 24 à Daytona pour lancer la saison 2023 d’IMSA.

    Dans la cadre d’une convergence promise comme historique entre l’IMSA et l’ACO, la nouvelle génération de prototypes sera acceptée avec la même réglementation technique sur les manches de l’IMSA WeatherTech SportsCar Championship et du Championnat du Monde d’Endurance FIA.

    Lors du Festival of Speed de Goodwood, Porsche a présenté sa nouvelle 963. Conçue selon la règlementation LMDh, l’héritière des 917, 935, 956, 962 et 919 Hybrid présente une motorisation hybride avec un V8 de 4,6 litres intégrée à un châssis Multimatic.

    La Porsche 963 fera ses débuts officiels en compétition lors du Rolex 24 à Daytona, même si une apparition au Bahreïn, lors de l’ultime rendez-vous de la saison 2022 de FIA WEC, a été évoquée.

    Deux Porsche 963 seront alignées par Porsche Motorsport en IMSA et une troisième est déjà annoncée pour l’équipe privée JDC-Miller MotorSports.

    Si Porsche n’a pas encore annoncé la composition des équipages pour la Floride, on sait que Kévin Estre, Mathieu Jaminet, André Lotterer, Laurens Vanthoor, Michael Christensen, Matt Campbell, Dane Cameron et Felipe Nasr seront au volant des 963 durant la saison 2023.
    Chez BMW, peu d’informations ont été révélés jusqu’ici : un engagement en IMSA en 2023… Et rien de plus pour le moment. Cadillac vise un double programme en IMSA et en FIA WEC. Acura est allé un peu plus loin avec l’annonce de partenariats avec Wayne Taylor Racing et Meyer Shank Racing pour l’engagement de ses ARX-06 LMDh basées sur des châssis ORECA.

    Pour rappel, une LMDh est conçue sur un châssis LM P2 (provenant de quatre constructeurs Dallara, Ligier, Multimatic ou ORECA). Si le moteur thermique doit être fabriqué par le constructeur, la machine électrique, la batterie et la transmission sont des pièces standardisées (Bosch, Williams Advanced Engineering et Xtrac). La puissance est de 500 kW (680 chevaux) pour une masse minimale de 1 030 kg, une longueur maximale de 5,1 mètres, une largeur maximale de 2 mètres et un empattement de 3,15 mètres. Le coût d’une voiture sans moteur est estimé à 1 million d’euros.

    Rendez-vous pour le Roar entre le 20 et le 22 janvier, puis les 26 et 27 pour les essais et les 28 et 29 janvier 2023 pour le 61e anniversaire du Rolex 24 à Daytona !