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  • 75 ans de Combi : Volkswagen célèbre son utilitaire emblématique

    75 ans de Combi : Volkswagen célèbre son utilitaire emblématique

    Le 8 mars 1950, le premier Transporter, ou T1, sortait des chaînes de montage de Wolfsburg. 75 ans plus tard, ce modèle utilitaire est devenu une icône, le plus vendu en Europe et le plus long en production de l’histoire automobile. Pour célébrer cet anniversaire, Volkswagen Véhicules Utilitaires a prévu une campagne spéciale avec des spots TV, des supports papier et une initiative Instagram innovante.

    De l’utilitaire au modèle culte

    Plus de 12,5 millions d’exemplaires du Combi ont été produits depuis 1950, d’abord à Wolfsburg, puis à Hanovre à partir de 1956. Du T1 au T6.1, toutes les générations du modèle ont conservé le même concept de base, qu’il s’agisse des versions fourgon ou des vans aménagés.

    L’arrivée de l’électromobilité a toutefois entraîné une transformation du modèle. L’ancien concept « un Combi pour tous » a cédé la place à une gamme plus diversifiée, avec « le bon Combi pour chaque client ». L’actuel Multivan, lancé en 2021, a inauguré cette nouvelle ère, avec une motorisation hybride rechargeable disponible en option. L’ID. Buzz, premier Combi VW entièrement électrique produit en grande série, a suivi en 2022. Et en 2025, la nouvelle gamme Transporter fera son apparition, complétant l’offre avec trois variantes de base et six modèles : Multivan/California, ID. Buzz/ID. Buzz Cargo et Transporter/Caravelle.

    Les différentes générations du Combi

    • T1 (1950-1967) : Lancé en 1950, le T1 a rapidement conquis le marché grâce à sa polyvalence et son prix abordable. Il a été décliné en plusieurs versions, dont le célèbre « bus Samba » avec ses 23 fenêtres et son toit ouvrant.
    • T2 (1967-1979) : Le T2 a marqué une évolution stylistique et technique par rapport au T1, avec un pare-brise monobloc et une porte coulissante de série. Il est devenu un symbole de liberté et de voyage, notamment grâce à sa popularité auprès des hippies.
    • T3 (1979-1992) : Le T3 a été le premier Combi VW à proposer des motorisations diesel et une transmission intégrale. Il a également servi de base à des modèles emblématiques comme le California et le Multivan.
    • T4 (1990-2003) : Le T4 a marqué une rupture technologique avec le passage à la traction avant. Il a gagné en espace intérieur et en confort de conduite.
    • T5 (2003-2015) : Le T5 a poursuivi l’évolution du modèle en termes de design, de confort et de technologie. Il a été décliné en de nombreuses versions, dont des éditions spéciales devenues des collectors.
    • T6 et T6.1 (2015-2024) : Le T6 et le T6.1 ont introduit le Combi VW dans l’ère du numérique, avec des systèmes d’aide à la conduite et d’infodivertissement de pointe.

    Le Combi du futur

    Aujourd’hui, le Combi VW se décline en une gamme complète de modèles, du Multivan familial à l’ID. Buzz électrique, en passant par le Transporter utilitaire. Volkswagen Véhicules Utilitaires continue d’innover pour répondre aux besoins de ses clients, tout en conservant l’esprit qui a fait du Combi un modèle emblématique.

    Les célébrations du 75e anniversaire

    Pour fêter cet anniversaire, Volkswagen Véhicules Utilitaires a prévu de nombreux événements, dont :

    • Une campagne de communication avec des spots TV, des supports papier et une initiative sur Instagram.
    • Un événement spécial à Wolfsburg les 24 et 25 mai 2025, avec une exposition de Combis de toutes les générations.
    • Une rencontre « Combi VW & Coffee » à Hanovre le 1er juin 2025, pour les passionnés du modèle.
    • Des rassemblements internationaux de passionnés.

    Le Combi VW continue de séduire les générations, et son avenir s’annonce prometteur.

  • F1 2025 : une génération de rookies prête à bouleverser la grille

    F1 2025 : une génération de rookies prête à bouleverser la grille

    La saison 2025 de Formule 1 s’annonce comme un tournant pour une nouvelle génération de pilotes. Après une saison 2024 de Formule 2 extrêmement relevée, pas moins de cinq rookies rejoignent la catégorie reine, une vague de fraîcheur qui marque un véritable changement de génération.

    Un tremplin vers la F1

    Le niveau de la grille de F2 en 2024 a été particulièrement impressionnant, à tel point que plusieurs équipes de F1 n’ont pas hésité à faire confiance aux jeunes talents issus de la discipline. Isack Hadjar, Ollie Bearman, Jack Doohan, Andrea Kimi Antonelli et Gabriel Bortoleto sont les cinq nouveaux venus qui feront leurs débuts en 2025. À cela s’ajoute Liam Lawson, qui entame sa première saison complète chez Red Bull après une année passée en tant que pilote de réserve.

    Ce phénomène illustre non seulement la qualité de la F2, mais aussi la volonté des équipes de miser sur des talents prometteurs capables de s’adapter rapidement à l’élite du sport automobile.

    Bortoleto vs Hadjar : le duel de la F2 exporté en F1

    Le duel entre Gabriel Bortoleto et Isack Hadjar en Formule 2 a marqué la saison 2024. Si Bortoleto a décroché le titre, son rival français a démontré un rythme impressionnant. Adrián Campos, patron de l’écurie Campos Racing qui a terminé vice-championne en F2, ne tarit pas d’éloges sur Hadjar :

    « Il est très complet et sa gestion de la pression m’a surpris. Il avait le rythme pour être champion, mais nous avons commis plus d’erreurs et eu un peu moins de chance. »

    Bortoleto, quant à lui, a impressionné par sa régularité et sa capacité à engranger des points même lorsqu’il n’avait pas la voiture la plus rapide. Mattia Binotto, aujourd’hui directeur des opérations de Sauber, voit en lui un pari sûr pour Audi :

    « Nous nous demandions s’il fallait l’intégrer dès 2025 ou attendre 2026, mais les performances des jeunes en F1 nous ont convaincus. Il a un talent naturel et un grand potentiel. »

    Ollie Bearman, la confirmation après des débuts en fanfare

    Si certains rookies doivent encore faire leurs preuves, Ollie Bearman a déjà montré l’étendue de son talent en F1. Le jeune Britannique a eu l’opportunité de disputer plusieurs Grands Prix en 2024 avec Ferrari et Haas, impressionnant dès ses débuts à Djeddah et à Bakou. Son approche méthodique et sa compréhension technique lui permettent d’aborder 2025 avec une base solide.

    Andrea Kimi Antonelli : l’héritier désigné de Mercedes

    À seulement 18 ans, Andrea Kimi Antonelli s’apprête à relever l’un des défis les plus exigeants du paddock : succéder à Lewis Hamilton chez Mercedes. Toto Wolff a misé sur lui dès l’annonce du départ du septuple champion du monde vers Ferrari, voyant en lui une future star de la discipline.

    Antonelli est reconnu pour son instinct et son agressivité en piste, mais il sait qu’il doit encore progresser dans la gestion des courses :

    « Je roule beaucoup à l’instinct, mais il faut aussi savoir analyser la situation. C’est un point sur lequel je travaille pour être encore plus complet. »

    Jack Doohan : le rookie sous pression chez Alpine

    Contrairement à ses camarades, Jack Doohan n’aura pas le luxe d’une saison d’apprentissage en douceur. Après une année 2024 à se préparer en tant que pilote de réserve chez Alpine, il doit immédiatement performer face à une concurrence féroce. Avec Franco Colapinto en embuscade dans l’écurie, l’Australien sait qu’il devra se montrer à la hauteur dès les premières courses.

    « Il y a beaucoup de battage autour de certains rookies, mais je suis content d’arriver sans trop d’attentes. Je vais simplement faire mon travail et prouver ma valeur sur la piste. »

    Une nouvelle ère pour la Formule 1 ?

    Avec un quart de la grille composé de rookies, la saison 2025 marque un tournant pour la F1. Ces jeunes talents ont prouvé leur valeur en F2, mais la catégorie reine du sport automobile est impitoyable. S’ils disposent tous d’un immense potentiel, la manière dont ils géreront la pression et l’exigence du plus haut niveau déterminera leur avenir.

    Reste à voir qui parviendra à s’imposer comme un futur champion… et qui disparaîtra aussi vite qu’il est arrivé.

  • Jeep Academy : plaisir et apprentissage

    Jeep Academy : plaisir et apprentissage

    Depuis plusieurs années, la Jeep Academy s’est imposée en France comme une référence pour les passionnés de conduite tout-terrain. Cette initiative offre aux propriétaires et aux amateurs de la marque l’opportunité de découvrir et de maîtriser les capacités hors route des véhicules Jeep, le tout encadré par des professionnels expérimentés et avec des véhicules entretenus par des experts Jeep, comme les 4×4 Ford peuvent être entretenus avec des pièces détachées pour 4×4 Ford

    Origines et objectifs de la Jeep Academy

    Lancée pour permettre aux participants de s’initier aux techniques de conduite tout-terrain, la Jeep Academy a pour mission principale de familiariser les conducteurs avec les spécificités techniques de leurs véhicules. Que ce soit pour comprendre le fonctionnement des systèmes 4×4, appréhender les techniques de franchissement ou assurer une conduite sécurisée en milieu naturel, l’académie propose une formation complète adaptée à tous les niveaux.

    Déroulement typique d’une session

    Une journée à la Jeep Academy est structurée pour offrir une expérience enrichissante et immersive. Le programme type comprend :

    • Accueil et briefing : Les participants sont accueillis autour d’un café, suivi d’une présentation des objectifs de la journée et des consignes de sécurité.

    • Ateliers pratiques : Répartis en sous-groupes, les participants alternent entre différents ateliers. Ces sessions pratiques permettent de mettre en application les notions théoriques abordées, avec des exercices sur des terrains variés pour tester les capacités des véhicules.

    • Déjeuner convivial : Un moment de détente pour échanger entre participants et instructeurs, souvent organisé dans un cadre pittoresque.

    • Continuation des ateliers : L’après-midi est dédiée à d’autres exercices pratiques, renforçant les compétences acquises et explorant des situations de conduite plus complexes.

    • Clôture de la journée : La session se termine par un pot de départ, la remise de diplômes attestant de la participation et des échanges sur les expériences vécues.

    Sites emblématiques en France

    La Jeep®Academy sélectionne des sites variés à travers la France pour offrir des expériences diversifiées aux participants. Parmi les lieux notables ayant accueilli l’académie :

    • Château de Lastours : Situé près de Perpignan, ce domaine viticole est également réputé pour ses infrastructures dédiées aux sports mécaniques. Avec ses 90 km de pistes sur 900 hectares, il offre un terrain idéal pour les sessions de la Jeep Academy.

    • Domaine de Sigalous : Ce site a également été le théâtre de certaines éditions de la Jeep Academy, offrant aux participants un cadre unique pour s’initier au tout-terrain.

    Une présence internationale

    La France n’est pas le seul pays à bénéficier de la Jeep® Academy. En effet, des programmes similaires existent dans d’autres régions du monde, adaptés aux spécificités locales et aux attentes des participants.

    • Jeep® Adventure Academy aux États-Unis : Destinée aux propriétaires de Jeep 4×4, cette académie propose des formations pratiques en conduite tout-terrain. Encadrées par des instructeurs expérimentés de Jeep Jamboree USA, les sessions couvrent des aspects tels que les techniques de conduite, la préparation du véhicule et la sécurité.

    • Camp Jeep® en Europe : Événement annuel majeur pour les passionnés de la marque, le Camp Jeep® offre des activités variées, incluant des essais off-road, des cours théoriques et pratiques organisés par la Jeep Academy, ainsi que des présentations de nouveaux modèles. Par exemple, l’édition 2018 a été marquée par la présentation en avant-première du nouveau Jeep Wrangler.

    Perspectives et évolutions récentes

    Face à l’évolution du marché automobile et à la montée en puissance des technologies hybrides et électriques, la Jeep Academy a su adapter son programme. Les participants ont désormais l’opportunité de tester les modèles hybrides rechargeables de la gamme Jeep, tels que le Renegade, le Compass, le Wrangler et le Grand Cherokee 4xe. Des ateliers spécifiques sont également dédiés à la découverte de l’Avenger, le premier modèle 100% électrique de la marque, permettant aux participants de se familiariser avec les modes de recharge et le fonctionnement général des véhicules hybrides et électriques.

    La Jeep Academy s’affirme comme une expérience incontournable pour tous ceux qui souhaitent découvrir ou approfondir leurs compétences en conduite tout-terrain. Grâce à une organisation rigoureuse, des sites sélectionnés pour leur pertinence et une adaptation constante aux évolutions technologiques, elle offre aux participants une immersion complète dans l’univers Jeep, alliant passion, apprentissage et aventure.

  • Alpine arrive en FIA EcoRally Cup avec l’A290 !

    Alpine arrive en FIA EcoRally Cup avec l’A290 !

    Après la F1 et le WEC, Alpine arrive dans un troisième championnat FIA grâce à Manu Guigou. L’ambassadeur de la marque aligne une Alpine A290 en FIA EcoRally Cup.

    Collectionneur de titres en rallye, notamment avec l’Alpine A110 Rally, Manu Guigou étrennera la nouvelle Alpine A290 en compétition en participant à la FIA EcoRally Cup.

    « L’industrie automobile subit une très profonde transformation et le sport automobile suit la même tendance », commente Manu Guigou. « La FIA EcoRally Cup parvient à respecter l’histoire des sports mécaniques tout en ouvrant de nouvelles perspectives. Réservée aux voitures 100 % électriques, cette compétition offre un terrain de jeu unique à l’Alpine A290. Nous allons rouler partout en Europe, sur des routes qui ont fait l’histoire du rallye, jusqu’au Monte-Carlo cet automne. »

    Copilote, Emilien Le Borgne est déjà l’une des références des compétitions 100 % électriques avec un palmarès composé d’un titre national en 2024 et de huit victoires conquises au Portugal, en République tchèque et en Allemagne. Son expérience sera un atout précieux dans cette compétition de spécialistes.

    FIA EcoRally Cup : le pilote le plus efficace gagnera !

    En FIA EcoRally Cup, les équipages s’affrontent à bord de voitures 100 % électriques strictement de série sur des parcours tracés sur des routes ouvertes, où la régularité (jugée au dixième de seconde) et la gestion de l’énergie (enregistrée uniquement dans les zones de régularité) sont primordiales. L’objectif prioritaire est ainsi de jouer aux avant-postes en régularité, tout en s’assurant de ne pas gaspiller d’énergie.

    La FIA EcoRally Cup est la discipline qui se rapproche le plus de l’histoire ancestrale du sport automobile. Les concurrents viennent par la route, disputent l’épreuve, et rentrent chez eux en utilisant leur propre voiture. Deux à trois mille kilomètres peuvent ainsi être parcouru en un week-end.

    Alpine A290 : la meilleure voiture électrique pour les rallyes 100 % électriques

    Élue Voiture de l’Année 2025, l’Alpine A290 fait ses débuts dans la compétition avec l’objectif de se mesurer aux meilleurs constructeurs automobiles

    « Quel plaisir de piloter l’Alpine A290 ! » ajoute Manu Guigou. « C’est un jouet particulièrement compact. Elle réagit très vivement grâce au couple délivré instantanément par le moteur électrique, le dynamisme de son châssis et les pneumatiques Michelin. Les milliers de kilomètres que nous allons parcourir cette année s’annoncent particulièrement excitants ! »

    « Rejoindre la FIA EcoRally Cup avec Alpine est une opportunité unique », continue-t-il. « L’Alpine A290 a un énorme potentiel en termes de performance et d’efficience. Avec Emilien Le Borgne, nous avons pour ambition de jouer rapidement les premiers rôles. »

  • Illusion d’optique : quand les voitures en 3D deviennent des dessins en 2D

    Illusion d’optique : quand les voitures en 3D deviennent des dessins en 2D

    L’artiste californien Joshua Vides a présenté le week-end dernier à Los Angeles une exposition fascinante qui a complètement brouillé les repères visuels. Trois voitures de sport, entièrement recouvertes de noir et de blanc, étaient mises en scène dans un décor du même ton, donnant l’impression qu’elles n’étaient que de simples dessins en deux dimensions. Et pourtant, il était possible de tourner autour, comme si l’on avait pénétré dans un univers parallèle où l’automobile devenait une œuvre d’art vivante.

    Baptisée « Check Engine Light », l’exposition était une expérience unique, déroutante et immersive. Joshua Vides n’en est pas à son coup d’essai : on lui doit notamment la livrée en noir et blanc des Ferrari de Formule 1 lors du Grand Prix de Las Vegas, ainsi que les combinaisons de course de Carlos Sainz et Charles Leclerc. Son style, basé sur un jeu de contours et de contrastes très graphiques, s’est également exprimé à travers des collaborations avec des marques de sneakers, des terrains de sport entièrement redessinés et bien d’autres installations artistiques.

    L’exposition n’a duré que quatre jours et est désormais terminée, mais il est toujours possible de suivre son travail sur Instagram : @joshuavides.

  • Alfa Romeo Tipo 103 : l’inattendue berline compacte qui aurait pu bouleverser l’histoire

    Alfa Romeo Tipo 103 : l’inattendue berline compacte qui aurait pu bouleverser l’histoire

    Dans l’histoire d’Alfa Romeo, certains modèles sont devenus des icônes intemporelles, tandis que d’autres n’ont jamais dépassé le stade du prototype. C’est le cas de la Tipo 103, un projet de berline compacte ultramoderne qui, malgré des caractéristiques techniques prometteuses, a été abandonné en 1961. Pourtant, son influence s’est faite sentir bien au-delà des murs de l’usine milanaise, jusqu’à inspirer des modèles d’autres constructeurs, dont Renault.

    Le contexte : Alfa Romeo en pleine mutation

    Après la Seconde Guerre mondiale, Alfa Romeo évolue d’un statut de constructeur de voitures sportives et luxueuses vers celui d’un fabricant d’automobiles de grande série. Sous l’égide de l’IRI (Istituto per la Ricostruzione Industriale), l’entreprise milanaise lance la 1900 en 1950, puis la Giulietta en 1954, qui rencontre un grand succès auprès du public. Ces modèles marquent une transition vers des véhicules plus accessibles, accompagnant la croissance économique italienne des années 1950 et le développement d’une nouvelle classe moyenne avide de mobilité.

    Cependant, la demande pour des voitures encore plus compactes et économiques se fait sentir. Le succès de la Fiat 600, lancée en 1955, en est la preuve éclatante. Alfa Romeo, qui cherche à étendre sa gamme vers le bas, réfléchit alors à une nouvelle citadine innovante. La Finmeccanica, division industrielle de l’IRI, voit dans cette opportunité un moyen d’accroître la rentabilité de la marque et de toucher un public plus large.

    Une berline révolutionnaire en gestation

    Dès 1958, l’ingénieur Rudolf Hruska, consultant pour Finmeccanica et figure clé du développement de l’Alfasud quelques années plus tard, évoque l’idée d’un modèle compact à traction avant avec Giuseppe Busso, alors directeur des études d’Alfa Romeo. Les premiers plans de ce projet, baptisé Tipo 103, voient rapidement le jour.

    La voiture se distingue par une conception avant-gardiste : elle adopte une architecture monocoque, une traction avant (une rareté chez Alfa Romeo à l’époque) et un moteur quatre cylindres double arbre de 900 cm³, dérivé des mécaniques sportives de la marque. Son châssis bénéficie de quatre roues indépendantes et de quatre freins à disque, une prouesse technique pour un véhicule de cette catégorie dans les années 1960.

    Le design de la Tipo 103, bien que fonctionnel, est également élégant et moderne. Avec ses lignes anguleuses et ses proportions équilibrées, elle affiche un style qui n’est pas sans rappeler la future Giulia. Mais plus surprenant encore, certains observateurs estiment que son influence stylistique se retrouvera plus tard sur la Renault 8.

    Une annulation aux raisons stratégiques

    Alors que la Tipo 103 est quasiment prête à entrer en production en 1961, Alfa Romeo décide d’abandonner le projet. Officiellement, plusieurs raisons sont avancées. Tout d’abord, des doutes émergent quant à la rentabilité d’un modèle aussi sophistiqué destiné à un segment de marché où les marges sont plus faibles. Alfa Romeo, réputé pour ses mécaniques performantes et ses voitures haut de gamme, hésite à s’aventurer trop loin dans la catégorie des citadines, un marché dominé par Fiat.

    D’autre part, un accord tacite semble exister entre Alfa Romeo et Fiat : ce dernier s’engage à ne pas concurrencer directement les modèles haut de gamme d’Alfa Romeo, à condition que celle-ci n’envahisse pas le marché des petites voitures. Or, depuis 1958, Alfa Romeo distribue en Italie la Renault Dauphine, concurrente de la Fiat 1100. Lorsque Fiat dévoile en 1961 la 2300 S Coupé, un modèle en concurrence directe avec l’Alfa 2600 Sprint, certains y voient un avertissement adressé à Alfa Romeo pour qu’il reste à sa place.

    Une influence insoupçonnée sur Renault

    Malgré son annulation, la Tipo 103 ne tombe pas totalement dans l’oubli. Son influence stylistique transparaît dans plusieurs modèles ultérieurs d’Alfa Romeo, notamment la Giulia, mais aussi chez un constructeur français inattendu : Renault.

    À l’époque, Renault et Alfa Romeo entretiennent des liens étroits. Les échanges techniques et industriels entre les deux marques permettent à certains éléments de design et de conception de voyager entre l’Italie et la France. La Renault 8, lancée en 1962, présente des similitudes frappantes avec la Tipo 103, notamment au niveau de son capot nervuré et de son allure générale. Une coïncidence ? Peut-être pas.

    Une Alfa Romeo qui aurait pu tout changer

    Si elle avait vu le jour, la Tipo 103 aurait sans doute bouleversé l’histoire d’Alfa Romeo, en faisant entrer la marque sur le marché des compactes plus tôt et avec une approche bien plus moderne que celle de la Fiat 128 ou même de l’Alfasud. Son abandon marque un tournant stratégique, confirmant la volonté de la marque de rester sur un positionnement plus premium, tout en laissant le segment des petites voitures aux autres constructeurs.

    Aujourd’hui encore, la Tipo 103 reste une fascinante « what if » de l’histoire automobile, une Alfa Romeo compacte et avant-gardiste qui aurait pu modifier le destin du constructeur milanais. Un projet oublié, mais dont l’influence s’est discrètement fait sentir bien au-delà de ses prototypes.

  • Le Jeep Recon annoncé

    Le Jeep Recon annoncé

    Le 4×4 électrique au look carré, alternative au Wrangler, s’apprête à faire ses débuts commerciaux cette année aux Etats-Unis, mais plusieurs détails restent encore mystérieux.

    Jeep a dévoilé les premières images réelles du Recon, son SUV électrique aux allures de baroudeur, dont la commercialisation est prévue d’ici la fin de l’année. Ce nouveau modèle constitue une offre inédite pour la marque américaine.

    Une plateforme partagée avec les modèles électriques de Stellantis

    D’une taille similaire au Wrangler, le Recon repose sur la plateforme STLA Large, déjà utilisée par le Dodge Charger Daytona et le Wagoneer S. Jeep prévoit d’équiper ce SUV d’une batterie de 100,5 kWh, avec une architecture bi-moteur dès l’entrée de gamme, garantissant des performances solides sur et hors route.

    Une alternative 100 % électrique au Wrangler

    Grâce aux nouvelles images dévoilées, on découvre plusieurs éléments inédits du design du Recon, notamment ses portes amovibles, confirmant ainsi son positionnement axé sur l’aventure. Son gabarit est similaire à celui du Wrangler, mais l’accent semble être mis sur un intérieur plus spacieux et confortable.

    La calandre dévoilée s’éloigne des rendus numériques montrés auparavant, offrant un design plus proche du modèle de production.

    Des équipements typiques de l’ADN Jeep

    Le Recon reprend plusieurs éléments distinctifs du Wrangler, notamment une roue de secours montée sur un hayon latéral, des crochets de remorquage avant et arrière, des pneus tout-terrain, des passages de roue élargis, ainsi que des porte-à-faux courts pour optimiser les angles d’attaque et de fuite.

    Ce SUV électrique, bien que plus confortable, reste un véhicule conçu pour l’aventure et se distingue nettement du Wagoneer S, plus orienté vers la route.

    Autonomie et performances attendues

    Grâce à sa batterie de 100,5 kWh, le Recon devrait afficher une autonomie supérieure à 480 km, même si le Wagoneer S, doté de la même capacité et d’une puissance de 600 ch, est actuellement homologué pour 487 km avec la très restrictive homologation américaine.

    Selon la presse américaine, la version de base du Recon devrait proposer une configuration bi-moteur développant environ 500 ch, une puissance plus modérée que celle du Wagoneer S, mais qui permettra de privilégier l’autonomie.

     

  • Formule 1 : sept grandes questions avant la saison 2025

    Formule 1 : sept grandes questions avant la saison 2025

    La saison 2025 de Formule 1 promet d’être riche en rebondissements avec des changements de pilotes, l’arrivée de nouvelles figures, des règlements en évolution, un film hollywoodien et une écurie américaine en gestation. AUTOcult.fr fait le point sur les grandes interrogations de cette nouvelle année de compétition.

    1. Quelqu’un peut-il empêcher Verstappen de décrocher un cinquième titre ?

    Max Verstappen a dominé la saison 2024 malgré un plateau plus compétitif que jamais. Le Néerlandais vise un cinquième sacre consécutif, ce qui le placerait aux côtés de Michael Schumacher dans l’histoire de la discipline.

    Lando Norris et McLaren, titrés au championnat constructeurs, ont montré des progrès mais restent trop irréguliers. Charles Leclerc a signé sa meilleure saison en 2024, tandis que George Russell a fini l’année en confrontation verbale avec Verstappen, malgré une saison compliquée chez Mercedes.

    Si la saison 2025 démarre sur les bases de la fin 2024, la lutte pour le titre pourrait être bien plus serrée.

    2. Comment Hamilton s’adaptera-t-il chez Ferrari ?

    Le transfert de Lewis Hamilton chez Ferrari est sans doute l’un des plus marquants de l’histoire de la F1. Avec ses sept titres, Hamilton rejoint la Scuderia qui n’a plus remporté le championnat pilotes depuis 2007.

    À 40 ans, le Britannique se retrouve face à un défi immense : redonner à Ferrari la gloire d’antan. S’il a remporté deux courses en 2024, sa saison a été marquée par des difficultés en qualifications et une séparation mouvementée avec Mercedes. Saura-t-il s’adapter rapidement à son nouvel environnement ?

    3. Quelle performance pour les rookies ?

    La grille de 2025 accueille plusieurs nouveaux visages, notamment Gabriel Bortoleto, Isack Hadjar, Ollie Bearman, Jack Doohan et Andrea Kimi Antonelli, ce dernier étant propulsé chez Mercedes dès sa première année en F1.

    À seulement 18 ans, Antonelli a bénéficié d’un programme d’essais intensifs, mais sa première saison pourrait être semée d’embûches. De son côté, Liam Lawson, malgré quelques apparitions en 2024, va disputer sa première saison complète chez Red Bull. Résistera-t-il à la pression aux côtés de Verstappen ?

    4. Quel accueil pour le film sur la F1 ?

    Après le succès de « Drive to Survive », la F1 franchit un nouveau cap avec un long-métrage mettant en scène un pilote fictif dans une écurie intégrée au paddock réel. Produit par l’équipe de « Top Gun: Maverick », ce film sortira en juin 2025.

    Si le scénario semble classique, la qualité des images et l’immersion devraient séduire les spectateurs. Reste à voir si ce film renforcera encore l’engouement pour la F1 ou s’il divisera les puristes.

    5. Comment les équipes géreront-elles la transition vers 2026 ?

    Avec l’entrée en vigueur d’un nouveau règlement en 2026, les écuries doivent jongler entre leur saison 2025 et le développement de leur prochaine monoplace. La réduction de l’effet de sol et l’introduction de l’aérodynamique active constituent des défis majeurs.

    Les équipes comme Williams ou Sauber (futur Audi) peuvent espérer rebattre les cartes, mais elles doivent équilibrer leur investissement entre la saison en cours et l’avenir.

    6. Quelle évolution sur le front politique FIA/F1 ?

    Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, termine son premier mandat et devrait être réélu sans opposition. Cependant, sa gestion, marquée par plusieurs polémiques (sanctions, relations avec les pilotes, gestion du règlement), a suscité des tensions.

    En 2025, la FIA a introduit de nouvelles règles, notamment des sanctions plus sévères pour des infractions comme les propos déplacés en public. Ces mesures seront-elles bien acceptées par les pilotes et les équipes ?

    7. Cadillac va-t-elle réussir son entrée en F1 ?

    Cadillac, soutenue par General Motors, poursuit son projet d’entrée en F1 pour 2026. L’écurie, issue d’Andretti Global et basée à Silverstone, doit encore franchir plusieurs étapes : recrutement de pilotes, développement du châssis et intégration de son unité de puissance.

    L’arrivée d’un constructeur américain en F1 marque une étape importante dans la mondialisation du championnat. Reste à savoir si Cadillac sera compétitive face aux géants déjà en place.

  • STLA AutoDrive : Stellantis présente son système de conduite autonome de niveau 3 avec un Jeep Wagoneer S

    STLA AutoDrive : Stellantis présente son système de conduite autonome de niveau 3 avec un Jeep Wagoneer S

    Stellantis rejoint le cercle restreint des constructeurs proposant une assistance à la conduite de niveau 3 avec son nouveau système STLA AutoDrive. Cette technologie promet une expérience de conduite sans intervention du conducteur dans certaines conditions, une avancée significative vers l’automatisation de la conduite.

    Un système de conduite « mains libres, yeux libres »

    Contrairement aux systèmes de niveau 2, qui exigent une surveillance constante du conducteur, STLA AutoDrive permet aux automobilistes de détacher leur regard de la route et leurs mains du volant, à condition que les conditions de circulation le permettent. Cela signifie que les conducteurs pourront lire, répondre à des messages ou regarder une vidéo tout en se déplaçant.

    Le système fonctionnera jusqu’à 60 km/h, ce qui le destine principalement à une utilisation en ville et dans les embouteillages. Cependant, Stellantis prévoit une évolution future permettant d’augmenter cette limite à 95 km/h, ce qui ouvrirait la voie à une utilisation sur autoroute.

    Une concurrence limitée en Europe

    Si Mercedes-Benz propose déjà un système de niveau 3 en Allemagne avec son Drive Pilot, Stellantis pourrait bien devenir un acteur majeur sur le marché européen. BMW et Honda ont également développé des solutions similaires, mais leur disponibilité reste limitée.

    L’une des particularités de STLA AutoDrive est qu’il pourra être utilisé en off-road sur certains modèles, laissant entendre qu’un futur Jeep pourrait bénéficier de cette technologie pour des trajets en terrain difficile.

    Une commercialisation encore floue

    Stellantis reste très discret sur la commercialisation effective de STLA AutoDrive. Aucun modèle n’a encore été confirmé pour intégrer cette technologie, même si la Jeep Wagoneer S EV semble une candidate naturelle.

    Alors que la réglementation sur la conduite autonome est encore en cours d’évolution aux États-Unis, l’Europe pourrait être la première à voir cette technologie déployée.

    Une révolution en attente d’un cadre réglementaire

    Si la technologie semble prête, son adoption à grande échelle dépendra de l’évolution des lois sur la conduite autonome. L’Union européenne a déjà posé les bases de la réglementation, mais chaque pays doit encore définir ses propres conditions d’utilisation.

    Avec STLA AutoDrive, Stellantis se positionne sur un marché en plein essor, mais la véritable question reste : quand et où pourra-t-on vraiment en profiter ?

  • Alfa Romeo Junior Elettrica brille à Hockenheim : endurance, efficience et performance au rendez-vous !

    Alfa Romeo Junior Elettrica brille à Hockenheim : endurance, efficience et performance au rendez-vous !

    2 500 kilomètres en un week-end, une course de 24 heures et une victoire en catégorie : l’Alfa Romeo Junior Elettrica a marqué les esprits lors de l’ADAC E-Competition 2025 sur le circuit d’Hockenheim. Une démonstration éclatante des qualités d’endurance, d’efficacité et d’efficience du modèle 100 % électrique de la marque italienne.

    Une course hors normes pour les électriques

    L’ADAC E-Competition, organisée depuis 2022, est une épreuve d’endurance inédite qui met à rude épreuve les véhicules électriques et leurs équipages. L’objectif ? Couvrir un maximum de tours en 24 heures avec une contrainte majeure : une seule borne de recharge pour deux véhicules, délivrant une puissance maximale de 19 kW. Avec 31 équipes engagées, dont neuf dans la catégorie des modèles dotés d’une batterie de moins de 72 kWh, la stratégie de recharge et l’efficience énergétique étaient au cœur de la compétition.

    Dans ce contexte exigeant, Alfa Romeo a aligné deux Junior Elettrica, qui ont décroché la première et la troisième place dans leur catégorie, tout en se hissant en haut du classement général.

    Des conditions extrêmes, une performance remarquable

    Sur une piste où le thermomètre est resté en dessous de zéro et où la neige a recouvert l’asphalte au lever du jour, les Alfa Romeo Junior Elettrica ont fait preuve d’une remarquable constance. À une vitesse moyenne de 80 km/h, elles ont affiché une consommation de seulement 18,5 kWh/100 km, démontrant un équilibre parfait entre performance et sobriété énergétique.

    « L’efficience n’était pas l’unique paramètre de cette épreuve », explique Artur Prusak, triple champion FIA en éco-rallye et vainqueur à Hockenheim. « Il s’agissait aussi de trouver le meilleur rendement sur un tracé aux nombreuses relances et de ne pas être gêné par le trafic. La météo a ajouté une difficulté supplémentaire avec des températures négatives toute la nuit et une tempête de neige au petit matin. »

    Malgré ces conditions hostiles, l’Alfa Romeo Junior Elettrica a su briller par son équilibre et sa tenue de route. « La voiture était parfaitement adaptée au circuit et très agréable à piloter en conduite dynamique. Les projecteurs adaptatifs Full-LED Matrix nous ont également beaucoup aidés durant la nuit », ajoute Prusak.

    Une efficience record face aux catégories supérieures

    Si l’Alfa Romeo Junior Elettrica a dominé sa catégorie, c’est bien son classement général qui impressionne : après 24 heures, elle termine à seulement 55 kilomètres du vainqueur toutes catégories, une Tesla dotée d’une batterie bien plus imposante. En termes d’efficience pure, la Junior Elettrica s’impose comme l’un des véhicules les plus sobres de la compétition.

    « Si l’on prend en compte la capacité des batteries au départ, l’Alfa Romeo a été la plus efficiente durant ces 24 heures », souligne Artur Prusak. Un constat qui valide pleinement les choix techniques opérés par la marque italienne pour son modèle électrique.

    Avec cette performance remarquable sur un circuit emblématique du sport automobile, Alfa Romeo prouve que son passage à l’électrique ne se fait pas au détriment du plaisir de conduire ni de l’endurance. La Junior Elettrica s’impose déjà comme une référence en matière d’efficience et d’efficacité, tout en incarnant l’ADN sportif de la marque italienne.

  • Victoire d’une Alfa Romeo Giulia au Rallye Monte-Carlo Historique 2025

    Victoire d’une Alfa Romeo Giulia au Rallye Monte-Carlo Historique 2025

    Alfa Romeo inscrit une nouvelle ligne glorieuse à son palmarès en sport automobile en s’imposant au 27e Rallye Monte-Carlo Historique. À bord de leur Alfa Romeo Giulia TI de 1965, Michel Decremer et Jennifer Hugo ont dominé cette édition de bout en bout, confirmant leur statut d’intouchables dans cette épreuve mythique. Déjà vainqueurs à deux reprises, les Belges réitèrent leur exploit en franchissant la ligne d’arrivée en tête dans la nuit de mardi à mercredi, au terme d’un parcours aussi exigeant que spectaculaire.

    Partis de Reims, Decremer et Hugo ont rapidement pris les commandes de la course avant d’asseoir leur suprématie dès le samedi après-midi. Ils ont conclu leur démonstration en remportant les deux dernières spéciales de régularité, dont l’emblématique passage par le Col de Turini, offrant à Alfa Romeo une victoire éclatante. Cette performance confirme la compétitivité et la fiabilité de la Giulia TI, symbole intemporel du savoir-faire et de la passion de la marque italienne.

    Un rallye exigeant, une Alfa Romeo souveraine

    Cette édition 2025 du Rallye Monte-Carlo Historique s’est déroulée dans des conditions extrêmes, débutant sous la neige autour de Valence avant de se conclure sous un soleil printanier à Monaco. Face à une concurrence relevée et un plateau de 219 équipages, Alfa Romeo s’est imposé avec autorité, démontrant une fois encore que l’histoire et la performance vont de pair pour la marque au Biscione.

    Avec quatre victoires de spéciale (SR10, SR12, SR16 et SR17), l’équipage Decremer-Hugo a porté haut les couleurs d’Alfa Romeo. Ce succès témoigne de la richesse du patrimoine sportif de la marque et de sa capacité à briller sur les terrains les plus exigeants.

    Une victoire qui renforce l’héritage sportif d’Alfa Romeo, avec un futur électrique !

    L’histoire d’Alfa Romeo en rallye s’enrichit avec ce triomphe, qui fait écho aux grandes heures de la marque en compétition. Cette victoire au Rallye Monte-Carlo Historique célèbre l’engagement d’une marque dont l’ADN reste résolument tourné vers la performance et l’émotion. Des Alfa Romeo Junior 100 % électrique seront engagées cet automne au départ du prochain e-Rallye Monte-Carlo, épreuve majeure des compétitions zéro émission.

  • Harrison Ford avec Jeep au Super Bowl

    Harrison Ford avec Jeep au Super Bowl

    Lors du Super Bowl LIX, diffusé le 9 février 2025, la marque Jeep a dévoilé une publicité marquante mettant en vedette l’acteur emblématique Harrison Ford. Intitulé « Owner’s Manual » (Manuel du propriétaire), ce spot de deux minutes, réalisé par le cinéaste nommé aux Oscars James Mangold, propose une réflexion profonde sur la liberté et le bonheur.

    Dans cette publicité, Harrison Ford partage ses pensées sur le fait que la vie ne vient pas avec un manuel d’instructions, soulignant l’importance de choisir ce qui nous rend heureux. Il déclare notamment : « Choisissez ce qui vous rend heureux. Mes amis, ma famille, mon travail me rendent heureux. Cette Jeep me rend heureux… même si mon nom est Ford. C’est mon manuel du propriétaire. Sortez et écrivez le vôtre. »

    Ce message s’aligne parfaitement avec les valeurs fondamentales de la marque Jeep, qui depuis 1941, incarne la liberté, l’aventure et l’authenticité. Le choix de Harrison Ford, connu pour ses rôles aventureux et son esprit indépendant, renforce cette image. La publicité met également en avant le Jeep Wrangler 4xe, illustrant l’engagement de la marque envers l’innovation tout en restant fidèle à son héritage.

    Le Super Bowl est reconnu pour ses publicités percutantes, et cette année, les annonceurs ont misé sur des thèmes de nostalgie et de réflexion pour toucher le public. La participation de Harrison Ford dans cette campagne de Jeep a particulièrement retenu l’attention, offrant une perspective introspective qui contraste avec les approches plus humoristiques ou spectaculaires des autres spots.