Dimanche, à l’âge de 81 ans, Jidéhem s’est éteint.
De son vrai nom Jean de Mesmaeker, Jidéhem fut l’un des piliers de la bande dessinée franco-belge. Du bout de son crayon, il exerca au coeur du Journal Spirou, collaborant avec André Franquin entre 1957 et 1969, dessinant les célèbres Gaston Lagaffe et Spirou et Fantasio pour ne citer qu’eux.
L’une de ses plus grandes réussites fut le personnage Starter. C’était Franquin, père de Gaston Lagaffe, qui avait créé le trait du petit mécano mais débordé, il avait laissé le personnage à son ami Jidéhem. Passionné par l’automobile et exemplaire dans la mise en scène de voitures, avions et autres motos, le Belge en avait dressé pas moins de 700 essais automobiles en tous genres, régalant les petits et grands de ses histoires et de son trait reconnaissable entre tous.
Ma bédéthèque en a pris un coup aujourd’hui… Starter, Gaston, Spirou, Fantasio et consorts sont orphelins…
Ce jeudi à Bruxelles, avait lieu la conférence de presse de la manche belge du FIA WEC, qui se tiendra le premier week-end de mai à Spa-Francorchamps. Là, au Club des V, café emblématique dédié à Michel Vaillant, et par la même occasion, était dévoilée la livrée officielle de la LMP2 engagée par l’équipe Vaillante Rebellion.
Voilà quelques mois que le projet Vaillante Rebellion est en marche, et cette fois, cette livrée inédite réalisée par Gaazmaster lance véritablement l’équipe sur les rails. Bleue, blanche, rouge, la livrée des numéros 13 et 31 est belle et bien là et on assiste ici à une véritable transformation de la LMP2 de l’équipe Vaillante Rebellion. Exit la livrée blanche et quelques stickers, voici ici une jolie robe bien réussie. Sans doute l’un des plus belles du FIA WEC. Sublime.
La rencontre de deux mythes. Chacun à leur façon, chacun dans leur dimension, mais avec le sport automobile indéniablement commun.
Du 4 au 9 mai 2017, Michel Vaillant, le plus rapide des héros de papier, s’expose à Monaco. Dans une scénographie originale, pas moins de 20 planches originales et 20 Art Strips seront exposées, rendant hommage au sport auto en terres monégasques, son l’évolution, ses héros.
Car Michel Vaillant, pilote des plus éclectiques de la galaxie automobile, a le luxe d’avoir participé à deux des plus grands évènements du sport automobile mondial : le Grand Prix de Monaco et le Rallye Monte-Carlo. Là, à Monaco début mai, ce sera donc la plus belle période de Jean Graton, de 1957 à 1975, qui illustrera ces deux évènements majeurs. A noter que le rendez-vous était programmé de longue date : « Bon sang ne peut mentir« , la première histoire courte de Michel Vaillant, se passe au Rallye Monte-Carlo, il y a 60 ans.
Certains rendez-vous ne sera ratent pas, à dix jours du Monaco ePrix et trois semaines du Grand Prix de Monaco… Les célèbres VROOAR vus à la sortie du tunnel seront cette fois à découvrir au sein du Grimaldi Forum Monaco Espace INDIGO, du 4 au 9 mai 2017 . Entrée libre et gratuite.
Quand un constructeur tel qu’Audi souhaite passer à la mode des monospaces, multispaces, 4X4, SUV et autres utilitaires avec des fenêtres un peu hauts sur roues, ne comptons pas sur lui pour faire comme les autres. Chez Audi, on aime autant la finesse d’une R8 que l’imposant format d’un SQ7. Car il faut le dire, SQ7 est imposant. Costaud, fort, charpenté, aux épaules larges, SQ7 est un peu un ours. Au premier abord, il peut faire peur tant il est baraqué. Mais une fois à son bord, on retrouve là un confort, un accueil qui fait du bien, qui fait plaisir, qui rassure, tout en étant très loin des habituels SUV.
Car sous ses airs bourrus, ajoutons la finition Audi, les équipements « confort », les aides à la conduite en tous genres, l’ensemble Virtual Cockpit (qui devient de plus en plus compliqué avec le temps), un système audio Bang & Olufsen 3D et 7 places. SQ7 en devient exclusif dans le paysage automobile, dans un parfum de cuir et de finition au cordeau.
Mécaniquement aussi il est exclusif, car avec 435 chevaux, SQ7 est le SUV diesel le plus puissant du marché. Tant qu’à faire, pourquoi s’embêter… On pourrait crier, se poser la question de savoir quel est l’intérêt d’avoir autant de puissance mais lorsqu’en consommation moyenne, on se retrouve à seulement (oui seulement, je précise le mot) 8 litres aux 100 kilomètres, on a là un résultat qui pourrait faire rougir bien des voitures de plus petits segments.
Pour arriver à cela, l’entente moteur/transmission quattro est parfaite, avec la boîte de vitesses Tiptronic à 8 rapports des plus douces et deux turbos. Oui, deux. L’un à bas régime, le second en soutien, lorsque les accélérations franches sont demandées par le chauffeur. SQ7 s’en retrouve dynamique, fort, puissant et… presque économique pour un tel engin. Au fait, il abat le 0 à 100 km/h en seulement 4,8 secondes et n’est pas le SUV diesel le plus puissant du marché pour rien. Et j’aime bien.
Fiche technique :
V8 diesel, biturbo
Cylindrée : 3956 cm3
Puissance : 435 ch entre 3750 et 5000 tr/mn
Couple max., Nm à tr/mn: 900/1000 à 3250 tr/mn
Poids à vide : 2345 kg
Volume du réservoir: 85 l
Transmission : boîte de vitesses Tiptronic à 8 rapports & quattro
Performances
Vitesse maximale: 250 km/h
Accélération 0-100 km/h: 4,8 s
Consommations l/100 km (suivant 1999/100/CE) (infos constructeurs, nous avons constaté une moyenne à 8 litres au 100)
Carburant: Diesel
Urbaines: 8,7–8,4 l/100km
Routières: 6,9–6,5 l/100km
Mixtes: 7,6–7,2 l/100km
Emissions CO2 **: 199–189 g/km
l’efficacité: B
Photo de dos de famille : Audi TT RS Roadster & Audi SQ7 V8 TDi
Après le Terre des Causses il y a quelques semaines, le Volant 207 faisait sa halte du côté de Calvi, Corte et Ajaccio pour le célébrissime Tour de Corse. Un Germain Bonnefis tacticien, un Cyril Audirac en grand revenant et vainqueur, un Rémi Jouines des plus rapides et un Ghislain De Mevius surprenant, telle fut la recette d’une manche Volant 207 de toute beauté, sur l’île du même nom.
Devant les 207 RC Rallye, d’autres Peugeot 207 étaient en course, Super 2000 celles là. Au sein de l’Intercontinental Rally Challenge la bataille faisait rage. Là, deux petits belges, Thierry Neuville et Nicolas Gilsoul n’amusaient pas la galerie. Ils dominaient, de la tête et des épaules, ce rallye depuis la première spéciale. Durant le rallye, les mauvaises langues parlaient… « Ils ne tiendront pas » … « Il va se sortir » mais pas moi. Pour une fois, je n’étais pas de celles là. Je suis pourtant spécialiste au rayon grande gueule, à moins que mon âge m’ait calmé. Bref. Pour moi, Thierry et Nicolas étaient sur la bonne voie. Leurs huit meilleurs temps sur les quatorze possibles en étaient l’illustration parfaite, pas besoin d’un dessin pour cela.
Dernière ES. Sarrola-Plage du Liamone. 26,70 kilomètres. 26,70 les plus longs de la carrière de notre duo d’outre-Quiévrain. 26,70 kilomètres des plus longs pour la poignée de suiveurs dont j’avais la chance de faire partie. Bryan Bouffier sort de la route, et nous remet une couche de pression. Pierre Campana crève, et nous remet deux bar de pression dans la figure. Ou Bryan sort après que Pierre ne crève, je ne sais plus. Puis il y eut les kilomètres en onboard. Thierry est au volant, Nicolas aux notes. J’adore son phrasé, j’en écoute chaque mot, concentré, je m’en délecte. On doit être une paire de passionnés à suivre chacune de ses notes, chacune de ses intonations. On doit être une paire à être avec eux, dans cette 207 Super 2000 aux couleurs des drapeaux belge et luxembourgeois. Une paire à imiter la valse de la 207 comme si nos mimes allaient les aider.
Nous étions là, dans cette salle de presse, quelques représentants de chez Peugeot Sport. Les mots ne sortaient pas, mais nos gestes révélaient une certaine tension. Les onglés rongés, je m’entendais souffler. Nous regardions sans cesse le grand écran du live puis le classement en direct. Nicolas annonçait, Thierry s’appliquait. Je reconnais les derniers kilomètres d’ES, repérés lors des passages des précédents concurrents. Les notes défilaient, défilaient… « Gauche 10 de suite en frein, 60 droite 30 surtout pas corde. » D’un coup d’œil, j’observe la trajectoire prise par la 207 jaune, on ne sait jamais, la corde… Et Nicolas annonce les dernières notes, dernières lignes de cette page quadrillée. « Et gauche 30+ dur … pour sommet / droite 127+ 80 gauche 30- dur tenir… et OK ! » Le OK libérateur. Ca y est, notre duo passe la ligne d’arrivée, on peut souffler les 12 bar emmagasinés ! L’émotion est palpable à l’instant, la pression retombe… On ferme les yeux quelques centièmes de secondes, on reprend notre souffle… Ils l’ont fait. Un regard s’échange entre nous, une tape dans le dos. Je suis un peu expansif, l’adrénaline qui réside en moi depuis des mois ressort ici… Les représentants du meilleur ennemi du monde, Skoda, témoignent et nous félicitent, nous, qui n’avons pas fait grand chose dans la victoire du duo belge, au final. C’est ce qu’on appelle une victoire… en équipe.
Ce weekend, j’ai pu assister aux premières loges à la première victoire de Thierry Neuville et Nicolas Gilsoul au niveau mondial. Voilà un bout de temps que je suivais le duo, qui n’existait pas encore il y a quelques semaines. Thierry, le jeune pilote fou, doté d’un talent d’autant plus fou. Nicolas, le copilote des plus sympathiques qu’il soit, pro et passionné comme pas deux, toujours le sourire aux lèvres.
Un regard, un clin d’œil, un pouce en l’air, une poignée de main… C’est pour des moments pareils qu’on aime notre sport… Des moments à hauteur humaine, tout simplement.
Un article originellement publié chez DinoRallyTeam.
Tour de Corse 2011 – Thierry Neuville Nicolas Gilsoul Peugeot 207 S2000Tour de Corse 2011 – Thierry Neuville Nicolas Gilsoul Peugeot 207 S2000
Vous rappelez-vous du film Le Mans avec Steve McQueen ? Un scénario plat comme l’encéphalogramme d’un paresseux au repos, avec les 24 heures du Mans en fond et une histoire d’amour insipide et inutile, imposée par la production du film. Ici, nous en sommes proches. Le clip de Cloud 9, single du dernier album de Jamiroquai, c’est l’histoire d’un homme (Jay Kay, leader du groupe) et d’une femme (l’actrice Monica Cruz) qui dansent ensemble dans une pseudo boîte à lumière un peu trop fuchsia. Et ces gens se cherchent, visiblement. Voilà. Et après ça, elle part. Enfin, on pense qu’elle part. Elle roule, au volant de sa voiture. ET C’EST LA QUE CA DEVIENT INTERESSANT. Parce qu’avant, il est vrai qu’on s’en fiche éperdument. Le plus important, c’est les bagnoles. Et deux d’entre elles ont dans ce clip un rôle plus important que Jay Kay et Monica Cruz réunis.
Voyez-vous la photo qui illustre cet article ? Au dessus là. Voooiilà. Donc, à gauche, mesdames messieurs, voici la superbe Mercedes Benz 280 SE Cabriolet de madame Cruz, suivie à droite par la Ferrari 275 GTB de Jay Kay. Deux autos sublimes, mythiques, aux couleurs anthracites. On retrouve là l’amour de Jay Kay, de son vrai nom Jason Kay Luís Cheetham, pour les belles créatures. Se souvient-on du clip de Cosmic Girl (l’immat de la Merco !), avec Jay au volant d’une rutilante Lamborghini Diablo, suivi par ses potes en Ferrari F355 et Ferrari F40? Bien entendu. Et pour vous mettre une petite claque au sujet du temps qui passe, ce clip date de 1996. Voilà voilà.
A noter que nos copains de chez Start and stop ont parlé du clip de Cloud 9 fin février. Mais vu que j’ai un mois et demi de retard, je me devais d’en parler. Et parce que j’en avais envie, aussi. Allez, poussez les watt dans les potards. Et j’aime toujours les expressions d’une autre époque. 1996 quand même…
A l’occasion du Salon du mobilier de Milan, BMWi et Garage Italia Customs ont présenté deux BMWi aux livrées inédites. Aux couleurs du courant artistique « Memphis Design », ce sont ici une i3 et une i8 qui se sont vues retravaillés par les équipes de Garage Italia Customs, société de Lapo Elkann.
Mais qu’est ce que le Memphis Design ?
Il s’agit d’un groupe de designer italiens, fondé fin décembre 80 à Milan par le designer Ettore Sottsass. Il a compté parmi ses membres les graphistes, designers et artistes Michele De Lucchi, Matteo Thun, Marco Zanini, Aldo Cibic, Andrea Branzi, Shiro Kuramata, Michael Graves, Javier Mariscal, Barbara Radice, Martine Bedin, George J. Sowden, Masanori Umeda et Nathalie du Pasquier.
Il eut pour but d’ouvrir le design italien aux nombreux courants artistiques de l’époque, dont principalement le Pop Art. On retrouve d’ailleurs tout à fait cette tendance sur les deux BMWi présentées ici. Ce courant s’exprima principalement par l’utilisation de nombreuses couleurs intenses, les motifs et dans le mobilier, l’utilisation du stratifié dans les meubles, les luminaires ou les arts de table. Ce groupe fut dissout en 1988.
Pour en revenir aux i3 et i8 ici présentes, il est surprenant que ces deux modèles ne fassent pas partie des Art Car officielles chères à BMW. La précédente, réalisée par l’Américain John Baldessari, était belle et bien ratée. Il en est autrement ici, leurs créations étant certes osées mais réfléchies et maitrisées. Beau travail du Garage Italia Customs.
Le Salon du mobilier de Milan se tient du 4 au 9 avril 2017 (info). Les cafés Illy et eaux San Pellegrino en sont partenaires, c’est dire si ce salon est important à mes yeux.
BMW i8 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis DesignBMW i8 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis Design
BMW i8 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis DesignBMW i8 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis Design
BMW i3 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis DesignBMW i3 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis Design
BMW i3 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis DesignBMW i3 par Garage Italia Customs, hommage au Memphis Design
Nous l’avons tant attendu. Ne comptant pas sur Citroën pour honorer dignement son passé (j’ai la dent dure mais c’est parce que je l’aime), David Obendorfer (qui avait redessiné la Fiat 127) et Fabrizio Caselani, deux designer italiens ont fait renaître le HY de ses cendres.
Sur la base d’un Citroën Jumper, ces deux Italiens ont dessiné, créé, conçu un kit complet permettant de transformer l’actuel utilitaire Jumper en un HY, reprenant les codes du modèle lancé il y a 70 ans aujourd’hui. On retrouve donc ici un HY contemporain, original et au rendu superbe, sur base de Jumper, comme illustré ici :
La tristesse ? Que ce kit de transformation HY ne soit vendu qu’en Italie. Espérons que quelques irréductibles Gaulois fassent revivre dans nos contrées celui qu’on a appelé le Tub. Cela dit, le kit ne sera produit qu’à 70 exemplaires, pour les 70 ans du modèle, par la firme FC automobili. Les places seront chères. On voit d’ici le succès commercial, les nombreuses boutiques et food-truck s’équipant du bel HY version 2017. J’en suis jaloux tiens, j’aimerais tellement me balader avec un tel engin aux couleurs des TissusPapi…
Un modèle repéré par Julien Jodry, designer au magazine Auto-Moto, et que je vous invite à suivre. Merci à lui !
Je prenais cette semaine le volant du nouveau Skoda Kodiaq. Une première suite au lancement du nouvel SUV Skoda en septembre dernier. Découverte du premier grand SUV de la marque tchèque.
Le plus grand, le plus beau, le plus fort, Kodiaq se pose en bon père de famille, qui n’attendait que lui. A ses côtés, Octavia est la maman, Superb la grande fille de la famille et Fabia la petite dernière, Yeti et Roomster le duo jumeaux sales gosses grands frères. Rapid et Citigo ont été reniés. La famille est au complet.
Côté design, Kodiaq est à sa place, haut sur pattes, avec des designs extérieur et intérieur fidèles à la marque, sans excentricité. Sa face avant au regard full-LED nous permet d’identifier rapidement sa généalogie, malgré la nouvelle calandre, avec un bloc un peu trop massif à mon goût en son centre. Les lignes sont bien proportionnées, Kodiaq est équilibré. J’aime d’ailleurs assez ses feux anti-brouillards avants, qui se révèlent ici bien plus hauts qu’à l’accoutumée. On le retrouve de chaque côté des feux avants, bien joué.
Lors de cet essai, je prenais le volant du Kodiaq équipé de la motorisation TDI 150, accouplée à la boîte DSG7, sans palettes au volant, bien qu’elles soient disponibles en option. Encore une fois, l’ensemble mécanique est de bonne facture et est laaaaargement suffisant pour une utilisation quotidienne, pour partir en vacances ou si cela vous prend, sortir des sentiers battus. Mais je me dois tout de même de vous prévenir, j’ai eu l’impression d’un gap important dans le ressenti de la mécanique. Je m’explique. Pour être propriétaire d’une Octavia 150 DSG6, j’ai trouvé Kodiaq plus poussif, moins péchu. Je ne sais pas si le poids de la bête est en question comparé à une Octavia Combi ou si c’est la partie mécanique qui peine, mais peut être la mécanique 190 chevaux serait plus adaptée au Kodiaq. Je ne l’ai pas essayée. Cela dit, si pour vous le plaisir de conduite comme je le vois n’est pas nécessaire, que vous êtes à la recherche d’une SUV familial à très bon prix et très bien équipé : Kodiaq est fait pour vous, car il faut le dire, Kodiaq fait le job et le fait bien.h
Il fait le job et les équipements à bord y sont pour beaucoup. En vrac : baguettes de protection des arêtes de portes, appuies-tête type aviation, supports de tablettes, système InCarCommunication (quand papa et maman parlent aux enfants, Kodiaq amplifie le son vers l’arrière), système de verrouillage enfant, tablettes comme dans les avions, parapluie dans la porte, lampe de coffre amovible et roulement de tambour, mon gadget préféré : le gratte-givre rangé dans la trappe à essence. J’adore ! On ajoute un gadget ? Allez, l’application Skoda Connect pour le paramétrage et la planification d’itinéraire depuis le smartphone, en lien avec une Apple Watch aussi. J’aime bien. J’aime aussi son écran d’ordinateur de bord, devenu intégralement digital. Il se gère facilement, avec des touches rapidement mémorisables, chose bien assez rare pour le souligner.
A noter que s’il s’agit du premier gros SUV Skoda, ce n’est pas le premier 4×4 de la marque tchèque. En 2002, est apparue l’Octavia Berline, 2008 la Superb l’a rejointe, puis Yeti arrivait en 4RM. Aussi, mais nous sommes là plus proches de l’anecdote que d’un lien direct avec Kodiaq : de 1966 à 1972, un 4×4 Skoda fut construit en Nouvelle-Zélande : le Trekka, qui ressemblait d’ailleurs beaucoup au Land-Rover de l’époque. Quelques exemplaires subsistent encore à travers le monde. Un monde que Kodiaq ne tardera pas à conquérir. Il est en vente depuis le mois dernier dans le réseau Skoda France et nul doute qu’entre qualité de production, équipements à bord et agrément de conduite, son succès devrait être au rendez-vous.
Les années se suivent et se ressemblent pour AUTOcult!
Après avoir participé au Hoppeland Rally Carto 2016 avec MINI et s’être classé 2ème du rallye, AUTOcult.fr prend de nouveau la route des Flandres ce week-end. Cette fois, nous serons présents avec le soutien de Audi France, avec Audi S1 Sportback. Comme l’an dernier, Alexandre tiendra le volant de la belle Allemande, tandis que son acolyte que je suis tiendra les rennes dans le siège de droite, entre road-book et carte routière.
Malgré la difficulté du terrain nordiste, notre duo n’a qu’un seul objectif ce week-end : la victoire, mais nous savons ô combien l’équipe organisatrice du Hoppeland Rally sait tracer une course d’orientation de haut niveau. Ce rallye carte se déroulera samedi, au coeur de la Flandre, avec deux étapes : une première de jour, de 16h30 à 19h puis une seconde de nuit, de 20h à 23h. De quoi brouiller les pistes !
Vous pourrez suivre notre course sur nos réseaux sociaux (Facebook/Twitter/Instagram) avec le hashtag #AudiHoppeland.
Les programmes et compétitions s’enchainent. Après la DTM avec BMW GT4 DTM puis l’endurance avec BMW M6 GT3 et BMW M235i, BMW Motorsport développe une nouvelle bombinette bavaroise en la BMW M4 GT4. Créé pour succéder au GT3, le GT4 se base sur des voitures de série, ayant leurs apparences, en restant proche de leur mécanique montée et série.
BMW a pris le tournant de ce règlement dès 2016, pour arriver en 2018 sur les circuits internationaux, et particulièrement en GT4 European Southern Cup avec BMW France. Cette coupe se déroulera en France sur les circuits de Nogaro, Pau, Dijon, Magny-Cours et Paul-Ricard. Le cinquième rendez-vous dérogera à la règle et se tiendra à Barcelona. Un second championnat européen est par ailleurs créé : le GT4 European Series Northern Cup, qui se déroulera sur les tracés de Misano (Italie), Brands Hatch (UK), Red Bull Ring (Autriche), Slovakia Ring (Slovaquie), Zandvoort (Pays-Bas) et Nürburgring (Allemagne). Le GT4 promet.
Jens Marquardt, directeur de la compétition chez BMW nous parle de cette BMW M4 GT4 :
« Nous voyons un énorme potentiel dans le monde entier pour les équipes privées BMW. Le développement d’une voiture de course comme celle-ci et la proposer à nos clients a toujours été l’une des compétences de base de BMW Motorsport. Ce fut aussi le cas avec le modèle précédent, la BMW M3 GT4, qui est toujours en action dans plusieurs séries dans le monde. La BMW M4 Coupé offre la base idéale pour notre nouveau modèle de GT4. C’est une base solide pour nos ingénieurs pour combler le vide entre la BMW M6 GT3 et la BMW M235i Racing pour les nouveaux arrivants avec une voiture qui est très sportive dans sa version de production. »
Parmi ses concurrentes, la BMW M4 GT4 retrouvera des habituées des circuits : Aston Martin, Ford ou Porsche, mais aussi quelques raretés telle KTM X-Bow, SIN R1, Ginette G55. La liste non exhaustive des GT4 s’étoffe : Aston Martin Vantage GT4, Chevrolet Camaro GT4, EKRIS BMW M4 GT4, Ginetta G55 GT4, KTM X-Bow GT4, Lotus Evora GT4, Maserati Gran Turismo MC GT4, McLaren 570S GT4, Nissan 370Z GT4, Ford Mustang FR500C GT4, Porsche Cayman Clubsport GT4, Porsche 911 GT4, SIN R1 GT4.
Si la concurrence arrive, le développement de cette M4 GT4 va bon train. Après les premiers kilomètres en course lors des 24 Heures de Dubai mi janvier dernier avec le trio allemand Jörg Müller/Dirk Adorf/Nico Menzel, se sont succédés 4 jours d’essais sur le circuit de Miramas, en France. Auparavant, la BMW M4 GT4 roulait au Portugal, sur le circuit d’Estoril, en mi décembre dernier. Nul doute aussi que la M4 GT4 sera présente aux 24 heures du Nürburgring en juillet prochain. Sa grande soeur, la M6 GT3 y est déjà engagée, avec six exemplaires officiels présents. On ne fait pas dans la demi-mesure pour la classique de l’Eifel.
L’arrivée de la BMW M4 GT4 se fera pour 2018 et BMW France semble déjà avoir pris le tournant de ce nouveau championnat GT4. Pour notre plus grand plaisir.
BMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team FranceBMW M4 GT4, BMW Team France
L’éclair de Genève. Non il ne s’agit pas du nom prestigieux d’un train reliant Genève à Rome ou encore Paris-Brest. Il s’agit encore moins de la version alpestre équivalente au journal L’Eclair des Pyrénées.
Ce matin, Renault révélait une inédite ZOE. Loin la théorie d’économie des énergies propre à l’électrique, c’est une ZOE sportive, extrême, conceptuelle qui a été présentée en terres helvétiques. Au programme de ce modèle unique, on retrouve notre chère ZOE bodybuildée, transformée, aux ailes élargies, dont la caisse est faite d’un châssis tubulaire complété d’une coque en carbone. Pour finir la partie châssis, les trains sont suspendus par Ohlins, avec pneus slick au carré.
Sous la robe bleue de ZOE e-Sport Concept, identique aux Formula E de l’équipe Renault, la mécanique électrique est refroidie façon « air-eau », développant pas moins de 460ch et 640Nm de couple. Cette ZOE assume son physique et ses 1400 kilos, dont les 450 kilos de batterie permettent au petit monstre bleu d’atteindre les 100km/h en 3.2 secondes. Rapide, je suis Rapide…
On aime bien cette ZOE, elle nous rappelle TwinRun :)
Renault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de GenèveRenault ZOE e-Sport Concept : l’éclair de Genève