Catégorie : MINI

  • Ian Callum réinvente la Mini en hot hatch de 110 chevaux

    Ian Callum réinvente la Mini en hot hatch de 110 chevaux

    Le designer britannique ressuscite l’esprit Wood & Pickett avec une Mini restomod radicale. Un hommage à la culture anglaise de la personnalisation, entre nostalgie et modernité.

    Ian Callum n’en finit plus d’explorer les chemins du passé pour mieux réinventer l’automobile. Après avoir signé certaines des plus belles Aston Martin, puis redonné des lettres de noblesse au restomod avec sa propre société de design (CALLUM), le styliste écossais s’attaque à un monument : la Mini. Mais pas n’importe laquelle. En s’associant à Wood & Pickett, carrossier de légende dans l’univers de la personnalisation britannique, Callum propose une relecture ultra-premium et résolument sportive de la citadine iconique.

    Une base très « late classic »

    Le projet repose sur une carrosserie de Mini Mk5 Sportspack, la version à ailes élargies produite de 1997 à 2001. C’est l’un des derniers avatars de la Mini classique, celle qui gardait l’esprit originel d’Alec Issigonis tout en adoptant quelques atours modernisés à la veille du passage de flambeau à BMW. Mais si la ligne générale reste inchangée, tout le reste est repensé.

    Le moteur A-Series, cœur battant de la Mini depuis 1959, passe de 1275 cm³ à 1310 cm³. Il reçoit une nouvelle culasse, une injection électronique bi-point et une ligne d’échappement sur mesure à double sortie. Résultat : la puissance grimpe de 63 à 110 ch. De quoi transformer cette Mini en véritable petite GTI, au sens noble du terme. La boîte de vitesses est renforcée pour encaisser ce regain de couple, et l’ensemble châssis-freinage-suspension est entièrement retravaillé selon des standards proches du rallye.

    Une hot hatch à l’anglaise

    Les jantes Minilite d’origine cèdent la place à un dessin inédit signé Callum : des roues à quatre branches de 13 pouces qui évoquent l’univers du sport automobile des années 1960, tout en apportant une signature visuelle contemporaine. À l’extérieur, les modifications restent subtiles mais efficaces : élargisseurs d’ailes Wood & Pickett, boucliers avant et arrière au style plus agressif, feux à LED intégrés avec discrétion.

    L’intérieur est un hommage à l’âge d’or des Mini personnalisées. Le tableau de bord reçoit une nouvelle planche de bord en bois inspirée de la Mini Margrave des années 1960, avec ses inserts façon noyer, ses interrupteurs métalliques pour les phares et le chauffage, et – clin d’œil à la modernité – un petit écran tactile compatible Apple CarPlay. Le luxe rétro dans toute sa splendeur.

    Une exécution artisanale, à prix fort

    Chaque exemplaire sera construit à la main selon les spécifications précises de son propriétaire. Le ticket d’entrée ? 75 000 livres sterling (environ 88 000 euros). À ce tarif, le client accède à une personnalisation poussée dans les moindres détails, mais aussi à un pan de l’histoire automobile britannique. Ian Callum insiste : « Ce projet est autant un hommage qu’une réinterprétation. Nous voulons capturer l’esprit des Mini Wood & Pickett des années 1960, tout en les adaptant aux attentes d’aujourd’hui. »

    Le tout premier exemplaire de cette Mini Callum x Wood & Pickett a été commandé par le mannequin et créatif britannique David Gandy. Une figure médiatique très attachée à la culture automobile britannique, lui-même collectionneur de Jaguar et ambassadeur de la modernité avec style.

    Wood & Pickett, retour aux sources

    Fondé en 1947 par Bill Wood et Les Pickett, le carrossier londonien s’est taillé une solide réputation dans les années 1960 avec ses Mini sur-mesure. Véritables objets de luxe roulants, elles séduisaient les célébrités de l’époque : Mick Jagger, Elton John, Paul et Linda McCartney… tout le Swinging London avait sa Mini personnalisée. Dans les années 1980, Wood & Pickett se recentre sur le Range Rover de première génération, alors à la mode dans les quartiers huppés de Chelsea. Puis l’entreprise change plusieurs fois de mains.

    Aujourd’hui, elle renaît sous la houlette de Motaclan, un acteur bien connu des amateurs de youngtimers britanniques puisqu’il détient aussi l’ex-division pièces détachées de MG Rover. Motaclan ne compte pas s’arrêter là : un catalogue de pièces Wood & Pickett dessinées par Ian Callum sera bientôt proposé aux propriétaires de Mini classiques, permettant à chacun de recréer, à sa mesure, cette Mini néo-rétro.

    L’avenir de la restomod à l’anglaise

    Alors que le restomod devient une industrie à part entière, cette Mini incarne une autre voie que celle des surenchères technologiques ou des conversions électriques parfois trop radicales. Ici, on sublime l’existant, on respecte les fondamentaux, tout en insufflant un peu de modernité et beaucoup de style. Ce projet illustre à merveille la philosophie de Callum : « faire du neuf avec du vieux, sans trahir l’esprit d’origine ».

    Et dans le cas de la Mini, l’esprit est intact : petite, vive, impertinente et incroyablement britannique.

  • L’importance de s’appeler Cooper

    L’importance de s’appeler Cooper

    Le nom Cooper évoque autant la révolution technique en Formule 1 que les exploits inattendus d’une minuscule citadine dans les Alpes. Il incarne une vision, une passion, un style. Et aujourd’hui, il vit encore à travers un homme : Charlie Cooper. Ni ingénieur, ni pilote, ce quadragénaire britannique reste pourtant un acteur clé de la préservation d’un patrimoine mécanique et émotionnel inestimable.

    Charlie n’a pas suivi le chemin de ses illustres aïeux. Il a étudié l’économie et le marketing, bien loin des circuits ou des bancs d’essai. Son destin, pourtant, était scellé dès l’enfance : il serait le garant d’un nom, d’un esprit. Celui de la Cooper Car Company, de John Cooper, de la Mini Cooper.

    Un héritage de génie

    Son grand-père, John Cooper, a changé à jamais le visage de la Formule 1. En 1957, il place le moteur derrière le pilote sur la Cooper T43. Une intuition de génie, qui bouleverse la hiérarchie. Deux titres mondiaux plus tard (1959 et 1960), la formule est adoptée par tous. Mais c’est une autre voiture, bien plus modeste en apparence, qui fera entrer le nom Cooper dans la légende populaire.

    L’alliance entre John Cooper et Alec Issigonis transforme la Mini en bête de course. Trois victoires au Rallye de Monte-Carlo (1964, 1965, 1967) face à des bolides bien plus puissants démontrent l’efficacité du concept. Légèreté, agilité, audace : la Mini Cooper incarne une autre idée de la performance, plus rusée que brutale. Ce cocktail séduit, encore et toujours.

    Un ambassadeur au nom chargé d’histoire

    Charlie Cooper n’était pas destiné à reprendre le flambeau. Son grand-père, marqué par les drames de la course, lui interdit de piloter. Mais les souvenirs d’enfance tracent une voie irrésistible : à quatre ans, il découvre l’étroit cockpit d’une Cooper T51. À onze, il voit Ron Dennis déambuler dans le salon familial. Il grandit dans une maison où l’odeur d’huile moteur se mêle à celle des souvenirs glorieux. Et lorsque l’heure vient de choisir une voie, il ne peut se résoudre à abandonner le nom qui est aussi le sien.

    Depuis sept ans, Charlie Cooper est l’ambassadeur de Mini pour les modèles John Cooper Works. Il porte le flambeau avec fierté, multipliant les interventions publiques, les participations à des événements, les récits pleins d’enthousiasme et d’anecdotes. Il a même dessiné le tout premier logo JCW, preuve tangible de son engagement personnel.

    De l’héritage à la piste

    Mais l’appel du pilotage finit par se faire entendre. Gentleman driver assumé, Charlie prend le volant en compétition : Mini Challenge, Goodwood Revival au volant de Mini historiques, et jusqu’à la mythique Nürburgring 24H en 2023, avec le prototype de l’actuelle Mini JCW. Un clin d’œil aux racines sportives du nom qu’il porte, mais aussi un témoignage vivant de la continuité entre passé, présent et futur.

    Son père, Mike Cooper, avait déjà repris le flambeau à sa manière, lançant les premiers kits d’amélioration pour Mini sous le label John Cooper Works dès les années 1990. En 2002, la collaboration officielle avec BMW débute. En 2008, le groupe allemand acquiert entièrement la marque JCW, intégrée à l’univers Mini. Mais la filiation reste forte, même au sein d’un groupe multinational. Parce que Mini a compris une chose essentielle : on ne peut pas vendre une voiture iconique sans en préserver l’âme.

    Ne jamais renier son passé

    Dans un monde automobile en mutation rapide, entre électrification, connectivité et refondations de marque parfois brutales, l’histoire de Charlie Cooper est un rappel précieux. Oui, l’innovation est nécessaire. Mais elle ne peut se faire au prix de l’amnésie. La force d’une marque comme Mini réside précisément dans son enracinement. Dans sa capacité à émouvoir en évoquant une course de rallye des années 1960 ou une silhouette devenue culte.

    Charlie incarne cette mémoire active. Il ne la fige pas dans la nostalgie, il la prolonge. Il la transmet. Avec sincérité, avec passion. Et avec une lucidité bienvenue : « On ne peut pas prétendre être une marque authentique sans raconter d’où l’on vient. »

    Dans un clin d’œil final, le journaliste italien à l’origine de cette rencontre évoque Jaguar, qui a récemment remercié une agence publicitaire coupable d’avoir trop violemment rompu avec l’héritage de la marque. Une décision qui résonne comme un avertissement. À vouloir trop gommer le passé, on finit parfois par effacer ce qui faisait la valeur du nom.

    Charlie Cooper, lui, l’a bien compris. Porter un nom, ce n’est pas seulement un privilège. C’est une responsabilité. Et pour Mini, c’est un gage d’authenticité.

  • Les routes d’Europe en MINI Cooper : un voyage inoubliable de France en Slovénie

    Les routes d’Europe en MINI Cooper : un voyage inoubliable de France en Slovénie

    Imaginez-vous en train de parcourir les paysages pittoresques de l’Europe, des charmantes rues de France aux panoramas époustouflants de Slovénie. La liberté de la route, le frisson de la découverte et le confort d’une voiture fiable vous garantissent un voyage inoubliable. Mais avant de prendre la route, la préparation est essentielle pour garantir un voyage agréable et sans accroc.

    La Mini Cooper 

    La Mini Cooper, une voiture à la fois emblématique et moderne, a une riche histoire qui remonte aux années 1960. Connue pour sa taille compacte, son design distinctif et ses performances agiles, elle est une favorite parmi les passionnés de voitures. Selon 01net.com a parlé des mises à jour de Mini Cooper, la Mini Cooper comprend des fonctionnalités technologiques avancées et une efficacité énergétique améliorée, ce qui en fait un excellent choix pour un long voyage sur la route. Sa petite taille la rend parfaite pour se déplacer dans les rues étroites d’Europe tout en offrant un intérieur étonnamment spacieux et confortable.

    Voyager en voiture : le charme des road trips

    Les voyages en voiture ont quelque chose de particulièrement charmant. Contrairement à l’avion ou au train, un voyage en voiture offre la liberté d’explorer à son propre rythme, de s’arrêter dès que quelque chose attire votre attention et de vous immerger véritablement dans le voyage. La route ouverte offre de nombreuses possibilités, transformant le trajet en lui-même en une partie mémorable de l’aventure.

    Préparation du voyage

    La préparation est la base d’un road trip réussi, auto-doc.fr donne des conseils utiles pour préparer sa voiture pour un voyage, en insistant sur l’importance d’un entretien minutieux et de réparations ponctuelles. Ces conseils vous permettent de vous assurer que votre véhicule est dans un état optimal avant de prendre la route, réduisant ainsi le risque de panne et améliorant votre expérience de voyage globale. Leurs conseils d’experts couvrent les contrôles et tâches d’entretien essentiels qui peuvent faire une différence significative dans la sécurité et le confort de votre voyage. Commencez par planifier votre itinéraire, assurez-vous que votre voiture est en parfait état et rassemblez tous les documents nécessaires.

    Vérification de la voiture Assurez-vous que votre Mini Cooper est prête à prendre la route

    Avant de vous lancer dans votre voyage, il est essentiel de vous assurer que votre Mini Cooper est en excellent état technique. Commencez par une liste de contrôle détaillée :

    • Huile : Vérifiez le niveau et la qualité de l’huile et changez-la si nécessaire.
    • Freins : Inspectez les plaquettes et les disques de frein pour détecter toute trace d’usure.
    • Pneus : Assurez-vous que les pneus sont correctement gonflés et que leur profondeur de bande de roulement est suffisante.
    • Embrayage : L’embrayage d’une voiture est un dispositif mécanique qui connecte et déconnecte la puissance du moteur de la transmission, vous permettant de changer de vitesse en douceur. C’est un composant essentiel des transmissions manuelles, auto-doc.fr a parlé de l’embrayage de cette voiture, soulignant son importance pour assurer une conduite souple et efficace. Ils fournissent des conseils détaillés sur la façon de vérifier les signes d’usure de l’embrayage et recommandent des inspections régulières pour éviter des problèmes inattendus pendant votre trajet. Maintenir l’embrayage en parfait état améliore non seulement le confort de conduite, mais contribue également à la longévité globale de votre Mini Cooper.

    Documents nécessaires

    Voyager dans plusieurs pays nécessite plusieurs documents importants :

    • Passeport et visa : Assurez-vous que votre passeport est valide et vérifiez les conditions de visa pour chaque pays.
    • Permis de conduire : Un permis de conduire valide est indispensable, et un permis de conduire international (PCI) peut être très utile.
    • Immatriculation et assurance du véhicule : Munissez-vous des papiers d’immatriculation de votre véhicule et d’une preuve d’assurance.

    Plan d’itinéraire

    Planifier votre itinéraire est à la fois passionnant et essentiel. Un itinéraire suggéré de la France à la Slovénie pourrait inclure des escales en Suisse et en Italie, offrant un mélange de paysages magnifiques et d’expériences culturelles. La flexibilité est essentielle, vous permettant d’ajuster votre itinéraire selon vos besoins en fonction du temps et des intérêts.

    Bagages et équipement

    Pour un voyage confortable, il est essentiel de bien préparer ses bagages. Prévoyez des articles essentiels comme des vêtements, des articles de toilette et une trousse de premiers secours. N’oubliez pas une trousse d’urgence avec une roue de secours, un cric et des outils de base. Préparez vos bagages de manière efficace pour tirer le meilleur parti de l’espace de rangement de la Mini Cooper.

    Itinéraire et arrêts principaux

    Votre voyage de la France vers la Slovénie peut être enrichi de plusieurs étapes clés :

    France : Explorez la charmante campagne et les villes historiques.

    Suisse : Profitez des paysages alpins à couper le souffle et des villes animées comme Zurich.

    Italie : Découvrez la riche histoire et les paysages époustouflants, de Milan à Venise.

    Slovénie : Découvrez la beauté de Ljubljana et la tranquillité du lac de Bled.

    Chaque étape offre des attractions uniques, des monuments culturels aux merveilles naturelles.

    Conseils pour les conducteurs

    Conduire en Europe s’accompagne de son lot de défis et de réglementations. Voici quelques conseils à garder à l’esprit :

    • Pratiques de conduite sécuritaires : portez toujours votre ceinture de sécurité, respectez les limitations de vitesse et évitez les distractions.
    • Réglementation de la circulation : soyez conscient des différentes lois de conduite dans chaque pays, telles que les péages et les zones à faibles émissions.
    • Restez vigilant : faites des pauses régulières pour vous reposer et rester hydraté. Conduire sur de longues distances peut être fatigant, donc partager les tâches de conduite peut aider.

    Un road trip entre la France et la Slovénie en Mini Cooper vous promet une aventure inoubliable, jalonnée de paysages époustouflants, de cultures diverses et de la liberté de la route. Avec une préparation minutieuse, notamment en vous assurant que votre voiture est en parfait état et que vous disposez de tous les documents nécessaires, vous pourrez profiter d’un voyage sûr et mémorable.

  • Une mini MINI électrique

    Une mini MINI électrique

    La MINI Cooper version 100 % électrique de nouvelle génération est en route… Mais une autre nouvelle Mini, bien plus mini, arrive via le préparateur David Brown Automotive. Comme de coutume, c’est beau et très cher.

    David Brown Automotive, dont vous vous souvenez peut-être pour le curieux mashup Speedback, a dévoilé son premier modèle électrique. Et malgré les conventions familières du genre EV, il pèse en réalité le même poids que l’ancien.

    Surnommée Mini eMastered, cette Mini électrique troque son ensemble essence contre une batterie de 18,8 kWh et un moteur électrique de 96 chevaux, tous deux rangés sous le capot. Cela lui donne une autonomie de 180 miles, ainsi qu’un poids à vide de seulement 640 kg, ce qui lui permet de s’en tirer avec une très petite batterie par rapport aux normes modernes des véhicules électriques.

    Une vitesse de pointe de 150 km/h lui permet de conserver la convivialité d’une voiture moderne, tandis qu’un sprint de 8,5 secondes de 0 à 100 km/h lui donne suffisamment d’agilité pour suivre le trafic moderne.

    Mais l’échange de groupe motopropulseur n’est qu’une partie d’un programme plus vaste. La société basée à Silverstone a transformé l’intérieur de l’Austin Mini, plutôt spartiate, en une expérience rétro, qui conserve encore un certain lien avec le modèle d’antan. Une certaine mesure de retenue a été exercée en transformant une Mini classique en un modèle de luxe, doté d’un écran d’infodivertissement Pioneer de 7 pouces et de la climatisation.

     

    Si vous avez encore le sentiment tenace d’avoir déjà vu quelque part une petite Mini neuve, vous pensez probablement à la Mini Remastered Oselli Edition, dévoilée en 2021 par la même société. Ce modèle, cependant, utilisait un BMC Série A alésé à 1 450 cm3, lui donnant une puissance fringante de 123 ch.

    La Mini eMastered, en revanche, ne se préoccupe pas autant des chiffres de puissance que de l’autonomie, qui se situe carrément aux côtés de la MINI Cooper SE électrique sortante avec sa batterie beaucoup plus grosse. Mais c’est une BMW moderne, ne l’oublions pas, avec des éléments comme des zones de déformation et des airbags.

    Néanmoins, comme ces véhicules seront destinés aux acheteurs des quartiers les plus chics de Londres, les vitesses routières ne seront probablement pas trop ambitieuses.

    La seule chose qui n’est pas petite dans cette voiture, c’est le prix. Avec l’autocollant indiquant 143 000 euros au taux de change actuel, la Mini eMastered donnera aux acheteurs la possibilité d’acheter au moins trois Mini Coopers électriques bien optionnées…

  • Darwinisme : MINI

    Darwinisme : MINI

    La MINI est une petite voiture emblématique qui a marqué l’histoire de l’automobile. Conçue par Alec Issigonis pour British Motor Corporation (BMC), elle a été produite pour la première fois en 1959. La Mini a connu un succès immédiat, notamment en Grande-Bretagne, où elle est devenue une voiture populaire pour les jeunes et les familles.

    La première génération

    La première génération de Mini était disponible en deux versions : la Morris Mini Minor et l’Austin Seven. Ces deux voitures étaient équipées d’un moteur quatre cylindres de 850 cm3 qui développait 34 ch. La Mini était une voiture très compacte, avec une longueur de seulement 3,05 mètres. Elle était également très maniable, ce qui en faisait une voiture idéale pour la ville.

    La Mini a connu un succès commercial important, avec plus de 5 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle a également été très populaire dans le monde du sport automobile, notamment en rallye. La Mini Cooper S a remporté le Rallye de Monte-Carlo à trois reprises, en 1964, 1965 et 1967.

    La deuxième génération

    En 2001, la Mini a été relancée par BMW, qui avait racheté Rover Group, la société mère de BMC. La nouvelle MINI était plus grande et plus puissante que la première génération, mais elle conservait le même style et la même maniabilité.

    La deuxième génération de MINI a été un succès commercial, avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle est toujours produite aujourd’hui, et elle est disponible en une variété de versions, notamment la MINI Cooper, la MINI Cooper S et la MINI John Cooper Works.

  • MINI Recharged par Paul Smith

    MINI Recharged par Paul Smith

    Le designer britannique Paul Smith s’est penché sur une icône en réinterprétant une MINI Paul Smith Édition de 1998. Ce modèle sur mesure est passé entre les mains expertes des techniciens du programme MINI Recharged qui allie tradition et technologie avant-gardiste grâce à l’installation d’un moteur électrique dans une Mini Classic.

    L’esprit créatif de Sir Paul Smith, connu depuis longtemps des fans de la marque britannique, est à l’origine d’un nouveau projet au style inimitable. L’été dernier, Paul Smith a présenté la MINI STRIP au Salon IAA Mobility de Munich : un concept-car radicalement épuré et durable. La MINI Recharged par Paul Smith reprend aujourd’hui cette idée de design durable. « Trois caractéristiques décrivent parfaitement cette voiture : qualité, durabilité et fonctionnalité », explique le designer.

    « Ce véhicule est également un hommage au passé » ajoute-t-il. En effet, avec cette pièce unique, Paul Smith reprend un projet encore plus ancien qui le lie à MINI depuis plus de 20 ans : en 1998, il a donné vie à la MINI Paul Smith Edition, série limitée à 1 800 exemplaires. Le prototype de cette édition unique était peint dans un bleu caractéristique, identique à celui de la chemise préférée du créateur. Cette nouvelle pièce unique conserve cette couleur distinctive et historique. Avec le couvercle de protection de la batterie vert citron, le designer ajoute une autre couleur des années 90. Ces éléments de personnalisation se marient parfaitement avec l’essence de la Mini originelle.

    En effet, le projet est aussi une question de respect du patrimoine de la marque, de l’œuvre emblématique de Sir Alec Issigonis, le créateur de la première Mini. « Quand tu emménages dans l’appartement de ta vieille tante, tu ne fais pas tout à neuf par respect, mais tu le modernises par petites touches », explique Sir Paul Smith. Sir Alec Issigonis a développé la Mini classic en réponse au choc pétrolier de 1959. Une consommation minimale, une utilisation maximale de l’espace – telle était l’idée qui a convaincu des millions de personnes pendant des décennies et qui explique aujourd’hui le succès de MINI.

    Dans l’habitacle de ce nouveau projet, Paul Smith poursuit son concept minimaliste et durable initié avec la MINI STRIP. En renonçant délibérément aux éléments de design intérieur, la carrosserie brute domine dans l’habitacle avec la tôle de plancher nue et non habillée, sur laquelle sont posés des tapis de sol au style authentique en caoutchouc recyclé. Outre les matériaux innovants et respectueux de l’environnement, le design de Paul Smith permet de se passer de quelques équipements : un aimant à côté du volant peut accueillir un smartphone qui, hormis le compteur de vitesse, remplace presque tous les anciens boutons et fonctions du tableau de bord. Le volant de ce modèle exclusif peut être complètement retiré pour faciliter l’entrée et la sortie dans la voiture – une solution innovante et un clin d’œil à l’image de l’esprit de Paul Smith.

    « Nous avons rendu une voiture des années 90 totalement pertinente pour aujourd’hui », résume le designer. Et de poursuivre fièrement : « Les idées ne sont jamais un problème, tu en trouves partout. Le défi est de les mettre en œuvre. Ici, ça a fonctionné, un rêve est devenu réalité », déclare Sir Paul Smith. Les ingénieurs de « Recharged Heritage Limited » sont également les artisans de cet accomplissement. En tant que nouveau partenaire de MINI, ils ont transformé la Mini Classic en un véhicule zéro émission en y installant un moteur électrique de 72 kW. La gamme actuelle du constructeur britannique propose déjà la MINI Cooper SE* entièrement électrique et le MINI Countryman Cooper SE ALL4** avec une motorisation hybride rechargeable. Ces deux modèles perpétuent le traditionnel plaisir de conduire responsable et ouvrent la voie à un avenir entièrement électrique.

  • Où va MINI ?

    Où va MINI ?

    Hier, coup de téléphone depuis Londres. Comme il arrive que je reçoive des coups de téléphones « pro » depuis l’étranger, je décroche. Me voilà parti dans une conversation de 25 minutes au sujet de la réputation du Groupe Renault…

    Je vous passe les détails… Car c’est « confidentiel » ! Mais avec le défilé des questions, je me rends compte que j’ai insisté sur la réussite du Groupe Renault à travers Dacia durant ces dix dernières années. Et lorsque l’on m’a demandé ce que Renault devait faire pour l’avenir, j’ai simplement dit : « La même chose, mais avec Alpine ! ». Si Alpine suit le succès de Dacia (dans son domaine), tout le Groupe Renault sera porté vers le haut !

    Je cite souvent Dacia parmi les énormes réussites récentes de l’industrie automobile… Mais ce n’est pas la seule. Penchons-nous sur le cas de MINI.

    Sous la direction de BMW, MINI a été ressorti de nulle part en 2001. Le modèle emblématique de Sir Alec Issigonis avait disparu avec le reste de l’industrie britannique après des décennies d’histoires.

    Aujourd’hui, le MINI allemand est souvent cité en exemple pour la réussite du design neo-retro et du développement d’un concept de marque et de marketing. MINI a participé à la création de la mode de la personnalisation pour augmenter les tarifs de vente. Tout ce que les autres marques cherchent à reproduire.

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    Et pourtant, si BMW ne communique pas sur les résultats globaux de MINI, il y a fort à parier que la marque n’a pas fait le moindre bénéfice sur ces quatorze dernières années (un beau clin d’œil à la précédente génération !). Si l’on compte la totalité des investissements réalisés par BMW depuis que l’idée a germé, il est fort possible que les Allemands n’aient pas gagné le moindre euro (ou la moindre livre).

    Et c’est sans doute la raison des récentes décisions : des MINI de plus en plus grosses et des BMW aux seules roues avant motrices. Après plus d’une décennie réussie sur le plan commercial, mais sans profit, il était temps de donner la main aux financiers, plutôt qu’aux gardiens du temple.

    En ne vendant qu’un peu plus de 300 000 exemplaires, en majorité des citadines, MINI ne peut pas être profitable en tant que marque autosuffisante. Car même si les MINI sont parmi les plus chères du marché, BMW voudrait que le tarif payé par les clients soit encore supérieur. C’est la raison pour laquelle les MINI vont devenir de plus en plus maxi dans les années à venir. C’est aussi la raison pour laquelle les plus petites BMW vont partager de plus en plus d’éléments de MINI.

    Histoire de profiter de nouveaux profits…

  • MINI Clubman Vision Gran Turismo

    MINI Clubman Vision Gran Turismo

    Lorsqu’une marque aussi « fun » que MINI lance le développement d’une voiture dédiée au jeu Gran Turismo, on s’attend à la présentation d’un modèle vraiment craquant… Avec cette MINI Clubman Vision Gran Turismo, on ne peut que rester sur sa faim.

    Que MINI choisisse la Clubman, ce peut être un angle commercial. Admettons. Mais pourquoi ne dessiner qu’une version un peu sportive pour Gran Turismo ? Caisse abaissée, ailes élargies, grosses roues, on voulait beaucoup plus qu’une simple fiche technique : 395 chevaux, 0 à 100 km/h en 3,5 secondes, vitesse maxi à 290 km/h.

    MINI, ce devrait être plus fun que ça !

  • Neuf MINI Countryman au Dakar 2015

    Neuf MINI Countryman au Dakar 2015

    Si cela ne s’appelle pas une arrivée en force, je ne sais pas comment appeler cela. Sur le prochain Dakar, qui se déroulera du 4 au 17 janvier prochain, MINI engagera pas moins de neuf MINI Countryman, développé dans sa version ALL4 Racing par la structure allemande X-raid.

    Sur un parcours tracé entre l’Argentina, le Chili et la Bolovie, les « petites » MINI auront fort à faire avec un adversaire de taille : Peugeot, qui fait son grand retour au Dakar, après l’avoir quitté en 1990.

    Neuf MINI seront donc présentes, ce qui représente 18 membres d’équipages ! Parmi eux, on retrouve trois Français : Michel Périn, copilote de l’Espagnol Nani Roma; Xavier Panseri, copilote du Polonais Krzysztof Holowczyc et Mathieu Baumel, copilote du Qatari Nasser Al-Attiyah. Ces derniers disputeront la classique de début de saison aux couleurs Red Bull, comme Peugeot. La corrida sera sud-américaine cette année…

    MINI ALL4 Racing : les équipages Dakar 2015, réunis sous trois teams :
    Qatar Rally Team.

    #301  Nasser Al-Attiyah/Mathieu Baumel (QT/FR)

    Nasser Al Attiyah - Portrait

    Monster Energy Rally Raid Team.

    #300  Nani Roma/Michel Périn (ES/FR)
    #305  Orlando Terranova/Bernardo „Ronnie“ Graue (AR/AR)
    #306  Krzysztof Holowczyc/Xavier Panseri (PL/FR)

    X-raid MINI ALL4 Racing Crews.

    #310  Vladimir Vasilyev/Konstantin Zhiltsov (RU/RU)
    #314  Erik van Loon/Wouter Rosegaar (NL/NL)
    #319  Boris Garafulic/Filipe Palmeiro (CL/PT)
    #329  Aidyn Rakhimbayev/Anton Nikolaev (KZ/RU)
    #334  Stephan Schott/Holm Schmidt (DE/DE)

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  • Redécouverte : MINI Paul Smith

    Redécouverte : MINI Paul Smith

    De nouvellement aperçue lors du dernier Mondial de l’Automobile de Paris, la MINI Paul Smith valait le coup qu’on s’attarde un peu sur elle chez AUTOcult.fr. Mode et automobile sont rarement très éloignés. Ne parlons nous pas robes, de courbes, de formes en parlant de bolides ?

    1998. A la veille de l’arrêt de la production de la MINI première génération, Paul Smith, designer de son état, rhabille la puce anglaise, alors propriété du groupe Rover. Deux institutions britanniques ont alors rendez-vous sur ce projet.

    Le créateur choisit donc les rayures bayadères qui sont la signature de sa collection 1997. La MINI se retrouve alors peinte des 86 bandes de 26 couleurs différentes. Deux MINI Paul Smith « rayées » sont produites. La première est propriété de Paul Smith himself, la seconde est au Design Museum de Londres. Cette MINI un peu spéciale est présentée lors du salon de l’auto de Tokyo 1998. Le succès est immédiat.

    MINI Paul Smith, 1800 exemplaires, commercialisés au Royaume-Uni et Japon.
    MINI Paul Smith, 1800 exemplaires, commercialisés au Royaume-Uni et Japon.

    A côté de cette MINI aux bayadères de couleurs vives, 1800 MINI série limitée Paul Smith sortent des usines de Birmingham. Elles sont d’un bleu au reflet violet, parsemé de détails d’un vert « Citrus Green » assez acidulé. Produite petite quantité, cette MINI disponible en Grande-Bretagne et au Japon est plus qu’un succès commercial mais un véritable phénomène.

    MINI aura eu de nombreuses séries limitées sur la fin de sa carrière, cette version Paul Smith n’en sera que l’une des plus prisées, recherchées, renforçant le mythe MINI.

    MINI Paul Smith
    MINI Paul Smith

    Si la MINI Paul Smith vous intéresse, je vous conseille la galerie du photographe Nick Dunmur, qui a mis la belle Anglaise dans de nombreuses situations. A voir.

    A noter que la MINI Paul Smith existe aussi de dernière génération. Rien d’officiel ici.

     

    Paul Smith, himself.
    Paul Smith, himself.

  • Design : MINI Superleggera Vision

    Design : MINI Superleggera Vision

    Révélée lors du concours d’élégance de la Villa d’Este et véritable succès du Mondial de l’Automobile, la MINI Superleggera Vision fait tourner  les têtes, auprès du grand public comme des professionnels. Elle est le fruit de la collaboration entre MINI et le carrossier milanais Touring Superleggera. Celle qu’on appelle la Superleggera est un roadster 2 places, esquissé en Italie, qui ne sera pas sans rappeler les MINI Marcos… En voici les études, les esquisses. Il est intéressant de voir l’évolution des traits entre le papier et le prototype.

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  • Joyeux 55e anniversaire à la MINI !

    Joyeux 55e anniversaire à la MINI !

    18 août 1959… la première MINI est mise sur le marché. Ce jour-là, personne ne peut prétendre qu’elle va révolutionner le paysage automobile mondial. Le concept est pourtant vraiment révolutionnaire. Et cette toute petite voiture va le prouver durant cinq décennies et demie.

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    Le jour de la présentation, deux modèles sont dévoilés. La Morris Mini Minor et l’Austin Seven ne diffèrent que par leur calandre, leurs enjoliveurs et leurs teintes. Ils sont tirés de la même idée imaginée par Alec Issigonis : un grand espace intérieur pour un minimum d’encombrement, quatre places, des vrais qualités dynamiques, une consommation raisonnable et un tarif contenu… Ce cahier des charges reste très actuel !

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    La MINI Classic est restée sur le marché en usant des générations de conducteurs et de rivales en concessions. Et, en 2001, BMW a tenté de relancer la marque. Parfaitement adaptée à une demande plus centrée sur le style et la mode, la nouvelle MINI a touché un nouveau public pour devenir, à son tour, une référence.

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    De plus en plus grandes et sous différentes formes, la MINI n’en oublie pas ses origines. Au début du mois, les membres de clubs se sont retrouvés en Angleterre pour célébrer le 55e anniversaire de la voiture britannique la plus populaire jamais construite.

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    Des modèles des années 1960, quelques exemplaires remarquables de Clubman et des voitures parmi les dernières construites en 2000 étaient rassemblés pour cet International Mini Meeting autour de Paddy Hopkirk, vainqueur du Rallye Monte-Carlo en MINI Cooper S il y a 50 ans.

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