Catégorie : Constructeurs

  • Le retour de Citroën ?

    Le retour de Citroën ?

    DS a donné un nouvel élan à la marque Citroën… Mais ni la DS3, ni la DS4, ni la DS5 ne resteront véritablement dans l’histoire des doubles chevrons. Avec C4 Cactus, Citroën tient peut-être son nouveau modèle charnière.

    Voici une élucubration, prise d’une pointe excessive de positivisme ! Citroën est une des marques automobiles les plus attachantes. Pour les Français, elle est la preuve que l’on peut être tout à la fois.

    Citroën est un constructeur très parisien… Et tellement ancré dans nos campagnes. Une marque qui a toujours proposé des modèles à la pointe de l’innovation et d’autres d’une désuétude la plus totale. Un constructeur qui compte autant d’adorateurs que de réfractaires.

    Au-delà de l’homme André Citroën, la marque a vécu une histoire invraisemblable. Sa première révolution s’est faite avec la Traction Avant, une automobile hors norme. Sa commercialisation ratée a obligé son fondateur à abandonner son empire et à se laisser mourir.

    Il n’aura jamais pu contempler ce qu’apporta la Traction à la France. Pas plus qu’il n’aurait pu imaginer ce que les projets TPV et VGD de Pierre Boulanger et André Lefebvre allaient devenir.

    Les 2 CV, les DS, les Type H… Elles ont marqué la seconde moitié du XXe siècle. A la C4 Cactus de réinventer la Gamme Citroën. D’en offrir plus pour moins et d’attirer une clientèle aussi large que possible, comme les Traction, 2 CV, DS et Type H avant elle.

    (Et tout ça avant même d’avoir fait le premier kilomètre à son volant !)

  • Carlos Tavares conserve sa licence

    Carlos Tavares conserve sa licence

    Sa présence sur les circuits énervait certains au cœur même du Groupe Renault… Elle forge aussi une partie de la légende qui accompagne l’amoureux d’automobile qu’est Carlos Tavares. Le nouveau patron de PSA Peugeot Citroën prévoirait un nouveau programme sportif pour sa saison 2014.

    Alors qu’il a mis en vente la Mégane Trophy acquise l’an passé, Carlos Tavares est annoncé en Trophée Tourisme Endurance par Endurance-Info.com. Il devrait être au volant d’une Peugeot RCZ, accompagné par Denis Gibaud.

    Avant les courses d’endurance, Carlos Tavares avait roulé en monoplace. On l’avait notamment vu à bord d’une Dallara GP2/05 de 600 chevaux et 585 kilogrammes.

  • Darwinisme : Mazda MX-5

    Darwinisme : Mazda MX-5

    Nous célébrons le 25e anniversaire de la Mazda MX-5. Depuis 1989, seules trois générations de MX-5 ont été proposées alors que le succès ne s’est jamais démenti. Un faible renouvellement expliqué par une ligne et une idée vraiment intemporelle.

    Première génération en 1989

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    Deuxième génération en 1998

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    Troisième génération en 2005

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  • Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Voici le modèle qui a atteint un sommet lors de la vente Artcurial qui s’est tenue au cœur du Salon Rétromobile 2014 la semaine dernière. Une Ferrari 166 MM/55 a été adjugée pour 2 550 000 euros.

    Après la Tipo 125 S, la 166 est le second modèle à porter l’écusson Ferrari. Présenté en 1948, il s’est imposé sur les routes du Mille Miglia puis aux 24 Heures du Mans.

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    Au total, 70 exemplaires de la 166 ont été construits, carrossés par Touring, Vignale ou Stabilimenti Farina, en barquette, berlinette et cabriolet.

    Le châssis vendu à Rétromobile est sorti des ateliers le 1er avril 1953 avec un moteur V12 de 2 litres, puis envoyé à la Carrozzeria Vignale. Un mois plus tard, la voiture est livrée au Garage Francorchamps pour être réceptionnée par son acquéreur Jacques Herzet.

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    Après une première saison sportive sur des épreuves en Belgique et en Amérique du Sud, Herzet confie sa voiture à Martial Oblin pour en faire une barquette. Durant les trois années suivantes, son propriétaire la pilote sur des courses belges et l’expose au Salon de Bruxelles 1955.

    A partir de 1957, cette Ferrari 166 MM change de mains à plusieurs reprises. Une restauration totale est entreprise en 2012 pour la remettre en configuration Salon de Bruxelles. A Rétromobile 2014, elle fut la voiture la plus chère vendue aux enchères.

  • Essai Alfa Romeo MiTo Twin Air : bipolaire

    Essai Alfa Romeo MiTo Twin Air : bipolaire

    Si elle n’est pas la plus récente des citadines proposées sur le marché français, l’Alfa Romeo MiTo reste celle qui affiche le plus de caractère. Très ancrée dans ces racines milano-turinoises, elle hérite d’un nouveau moteur bicylindre à technologie TwinAir délivrant 105 chevaux.

    Pour lancer l’année 2014, Alfa Romeo a donné un petit coup de jeune à ses modèles. Après la Giulietta, voici l’évolution de la Mito.

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    Extérieurement, la marque milanaise n’a fait que de minimalistes retouches. Un peu de chrome et l’adoption des phares de l’ancienne QV. C’est dans l’habitacle que le style est le plus profondément modifié. La qualité de fabrication fait un bond en avant avec l’ajout de nouveaux revêtements et de nouveaux sièges plus enveloppants.

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    La principale nouveauté se situe sous le capot. L’Alfa Romeo hérite d’un nouveau petit bicylindre de 875 cm3. Ce TwinAir a reçu le prix de meilleur moteur de l’année 2011. Dans cette version, sa puissance est portée à 105 chevaux.

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    En mode « Natural » du DNA Alfa Romeo, il faut jouer à l’éco-conducteur pour profiter des technologies visant à maximiser l’efficacité énergétique. Dans ces conditions, la consommation peut descendre vers les 4 litres / 100 kilomètres. Mais les fameux 105 chevaux ne sont jamais sollicités. C’est juste parfait pour le cycle d’homologation… Histoire d’afficher 99 grammes d’émissions de CO2 par kilomètre. C’est aussi suffisant pour se déplacer en toute concentration, mais est-ce l’idée de la conduite que peut (doit ?) se faire un acheteur d’Alfa Romeo ?

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    C’est bien là que réside le caractère si particulier de ce moteur bicylindre. Il affiche une vraie capacité à se montrer peu énergivore pour déplacer une citadine de 1 130 kilogrammes. Il s’avère aussi capable de sportivité couplé à une boîte manuelle à six rapports. Sollicités, les 105 chevaux réclament des tours et de l’essence contre des décibels.

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    Ces décibels sont typiques d’un moteur à deux cylindres. Un son qui m’a fait revivre mon essai de Citroën 2CV il y a quelques semaines ! En prenant des tours, les vibrations et le « tac tac » de bicylindre s’intensifient. Sur les routes de Champagne, avec le DNA sur Dynamic, la Mito chante et danse. Danse car le châssis n’est pas destiné à affronter des spéciales de rallye. Les trains, les très grosses roues et la direction ne sont pas conçus pour ça.

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    L’AUTO est-elle cult ?
    Dans cette Alfa Romeo MiTo munie du système « D.N.A. », le TwinAir montre deux visages. Elle sait rester placide, simple citadine donc les deux petits cylindres gardent un appétit mesuré… Mais elle sait aussi exposer sa rage en montant dans les tours. Nous voulions une voiture avec du caractère, la MiTo et son TwinAir en propose deux. Il ne manque qu’une planche de bord un peu plus actuelle et une tenue de route plus efficace (version d’essai avec des jantes de 18 pouces en option !)… Elle est proposée à 19 800 euros (22 850 avec le toit ouvrant électrique, les jantes 18 pouces, le système de navigation et la peinture métallisée).

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :

    Moteur : Essence 2 cylindres en ligne, turbocompressé
    Cylindrée : 875 cm3
    Puissance : 105 chevaux / 77 kW à 5 500 tours/min.
    Couple : 145 Nm à 2 000 tours/min.
    Transmission : roues avant motrices, boîte de vitesses manuelle à six rapports
    L/l/h (mm) : 4 063 / 1 720 / 1 446
    Poids à vide : 1 130 kg
    Capacité du coffre (l.) : 270 / 950
    Vitesse maximale : 184 km/h
    0-100 km/h : 11,4 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 6,0 / 3,8 / 4,2
    Emissions de CO2 : 99 g/km

  • Rétromobile 2014 : Citroën C10

    Rétromobile 2014 : Citroën C10

    Au milieu d’une collection consacrée aux voitures familiales, Citroën a sorti le Prototype C10 de son Conservatoire. L’étude réalisée par André Lefebvre n’a jamais débouché sur un modèle de série. Le projet de l’Ami 6 lui avait été préféré.

    Dans les années 1950, André Lefebvre lance une série de prototype visant à imaginer les véhicules du futur. Le dernier de cette série, le C10, est surnommé Coccinelle.

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    Débuté en 1953, le travail s’achève en 1956 avec la présentation d’un modèle particulièrement aérodynamique. Les solutions techniques seront transposées sur différents modèles de la gamme. On y retrouve une répartition des masses vers l’avant, une carrosserie en forme de goutte d’eau et un essieu arrière plus étroit que l’avant.

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    Avec une carrosserie en aluminium, la C10 ne pèse que 382 kilogrammes pour un Cx de 0,258. Le petit moteur 2 cylindres de 425 cm3 lui permet d’atteindre 110 km/h.

  • Nouveauté : BMW X3

    Nouveauté : BMW X3

    2003, première génération du BMW X3. 2010, deuxième génération du BMW X3… Cette fois, BMW n’a attendu que quatre ans pour renouveler l’un de ses modèles phares, vendu à plus d’un million d’exemplaires.

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    La ligne s’adapte aux nouveaux canons du style BMW. De nouveaux pare-chocs soulignent des phares retravaillés autour d’un double haricot plus marqué.

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    Sous le capot, BMW lance deux nouveaux moteurs Diesel pour accompagner deux Diesel déjà connus et trois moteurs essence. Cette large gamme offre un delta de puissance de 150 à 313 chevaux.

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    L’accent est mis sur le BMW X3 xDrive20d et son quatre cylindres 2,0 litres dont la consommation en cycle mixte peut atteindre 5,0l/100 km avec des émissions de CO2 à 131 g/km) pour 190 chevaux.

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  • Rétromobile 2014 : Mercedes Grand Prix

    Rétromobile 2014 : Mercedes Grand Prix

    Six jours après l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand à Sarajevo et vingt-quatre jours seulement avant le début de la première guerre mondiale, Mercedes signait un triplé retentissant lors du Grand Prix de France disputé à Lyon.

    Le 4 juillet 1914, l’Allemand Christian Lautenschlager, le Français Louis Wagner et l’Allemand Otto Salzer terminaient aux trois premières places du septième Grand Prix de France.

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    La course se déroulait sur un circuit de 37,6 kilomètres au sud de Lyon, à parcourir à 20 reprises. Toutes les plus grandes marques de l’époque étaient représentées : Peugeot et Delage pour la France, Sunbeam pour l’Angleterre et Fiat pour l’Italie.

    Le véhicule engagé par Daimler-Motoren-Gesellschaft était spécialement conçu pour les Grands Prix. Le règlement imposait une cylindrée maximum de 4,5 litres. La Mercedes Grand Prix était dotée d’un moteur quatre cylindres entièrement imaginé pour l’occasion, avec un arbre à cames en tête et deux soupapes d’admission et d’échappement par cylindre, faisant de ce moteur le premier Mercedes à 16 soupapes. Ce moteur développait une puissance maximale de 106 chevaux au régime révolutionnaire de 3 100 tour/minute.

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    La performance de Christian Lautenschlager, Louis Wagner et Otto Salzer offraient à Mercedes le premier triplé de l’histoire de la course automobile.

  • Rétromobile 2014 : Simca Comète Monte-Carlo

    Rétromobile 2014 : Simca Comète Monte-Carlo

    Quelques belles pièces sont présentées sur le stand Peugeot du Salon Rétromobile. La marque au Lion a invité le CAAPY (Collection de l’Aventure Automobile à Poissy), une association dont le but est de valoriser l’histoire du site PSA de Poissy, a présenté l’un de ses modèles.

    Celui qui a été retenu date de 1955. C’est une Simca Comète Monte-Carlo. D’abord lancée par Ford SAF, la troisième génération de Comète est présentée en août 1951. La Monte-Carlo est dévoilée lors du Salon de Bruxelles de 1954. En fin d’année, elle devient Simca.

    Le dessin est signé Stabilimenti Farina et la conception et la fabrication avaient été confiées à Facel Metallon de Jean Daninos.

    La version Monte-Carlo reçoit un V8 Mistral de 3 924 cm3 à soupapes latérales développant 105 chevaux pour une vitesse maximale de 152 km/h.

    Pour l’anecdote, le châssis présenté à Rétromobile a subi deux crues de la Seine. Un millier d’heures a été nécessaire à sa restauration.

  • Rétromobile 2014 : Skoda

    Rétromobile 2014 : Skoda

    Rétromobile est devenu un rendez-vous incontournable pour Skoda France. Ces dernières années, la marque tchèque a toujours été particulièrement bien représentée. En 2014, elle propose un stand dédié à la restauration de son patrimoine.

    Depuis un peu plus d’un an, le Skoda Muzeum a subi une rénovation complète. Installé à Mlada Boleslav dans les premiers ateliers de Laurin et Klement, les fondateurs de la marque, ce musée expose les 117 ans d’histoire du constructeur tchèque sur 1 800 m².

    C’est une partie du savoir-faire de ce musée qui est présenté cette semaine à Rétromobile. Quatre modèles sont exposés dans un atelier de restauration.

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    Une Laurin & Klement 210 de 1924 est encore à l’état d’épave. Ce cabriolet 4 portes d’avant-guerre était motorisé par un 4 moteur cylindres de 2 413 cm3 et 30 chevaux. Récemment acquis par le musée, il entrera en restauration dès la fin du salon.

    En pleine phase de restauration, un prototype unique de Skoda 935 a quitté la République Tchèque. L’exemplaire original ayant disparu. Skoda a décidé de reconstruire le même modèle à l’identique, selon les plans d’époque. Les travaux ont commencé il y a plus de trois ans.

    C’est la première fois que cette voiture quitte les ateliers Skoda, et ce avant-même d’avoir terminé sa reconstruction. Elle est animée par un moteur 4 cylindres de 2,0 litres refroidi par eau avec une boite de vitesses Cotal à commande électromagnétique dont le fonctionnement se rapproche d’une boite de vitesses pilotée.

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    Une Skoda Superb R8 de 1938 est aussi présentée. Elle était le modèle préféré des dirigeants tchèques à la fin des années 1930 et dans les années 1940. Elle ne fut produite qu’à 275 exemplaires à cause de la seconde guerre mondiale.

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    Basée sur la Skoda 450 Octavia, la Felicia Cabriolet fut produite à plus de 14 000 exemplaires entre 1958 et 1962. Animée par un moteur 4 cylindres 1 089cm3 de 44 chevaux, elle est aujourd’hui en parfait état.

  • Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Il y a trente ans, avec l’appui de Matra, Renault tentait de proposer un modèle très novateur. L’Espace ressemble à une camionnette civilisée, faite pour transporter des passagers plutôt que des marchandises et ouvre la voie aux « Voitures à Vivre ».

    C’est la modularité qui étonne : les cinq sièges arrière peuvent être retirés et les sièges avant pivotent.  Après quelques mois à trouver sa clientèle, les commandes arrivent enfin. C’est le début d’une grande histoire.

    Au fil des générations, les lignes sont adoucies. La modularité continue de progresser et Renault installe un moteur V6 et une boîte automatique sous le capot. L’Espace monte en gamme.

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    D’autres Espace sont également présentés…

    Une étude de 1959 baptisée Renault Projet 900… Laissée de côté car trop avant-gardiste.

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    La Matra Projet P18 de 1981 prêté par le Musée Matra. Ce prototype avait servi de base à la maquette qui a été présentée en 1982 à Bernard Hanon par Philippe Guedon. Il est à l’origine du partenariat entre Matra et Renault.

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    Pièce maîtresse de la collection, le Renault Espace F1 avait été conçu pour le sixième titre de Renault en F1 avec son V10. Il avait fait une apparition au Salon de l’Automobile de Paris en 1994 et avait même servi de voiture de sécurité en F1.

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  • Nouveauté : Citroën C4 Cactus

    Nouveauté : Citroën C4 Cactus

    Nous l’avions vu sous la forme d’un concept très proche de la réalité. Voici enfin le Citroën C4 Cactus dans sa définition commerciale. L’intérieur et l’extérieur sont très proches de ce que l’on avait découvert avec le Cactus au Salon de Francfort l’an passé.

    Nous sommes le 5 février, date anniversaire d’André Citroën, date à laquelle Citroën a choisi de revenir aux fondamentaux de l’entreprise. Désormais, il y a la Gamme DS et la Gamme Citroën, auparavant baptisée « Essentielle » ou C.

    La philosophie est de se débarrasser du superflu. On divise par deux le nombre de pièces qui composent l’habitacle. Et cette chasse au superflu est aussi synonyme d’innovations.

    Déjà vu sur d’autres modèles, on se passe de boutons pour regrouper les commandes sur une interface tactile de huit pouces.

    A l’avant, une large banquette à deux places élimine le levier de vitesses, remplacé par des palettes au volant. La boîte à gants est une vraie boîte à gants, vraiment logeable car l’airbag passager est placé dans le pavillon. C’est une première mondiale.

    La carrosserie se pare des airbumps précédemment présenté. Sous le capot, on retrouvera le système Hybrid-Air dévoilé l’année dernière avec l’objectif de passer sous les 3 litres / 100 kilomètres.