Auteur/autrice : Rédaction

  • Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 : quatre roues motrices, comme les autres Alfa Romeo

    Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 : quatre roues motrices, comme les autres Alfa Romeo

    L’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 marque une nouvelle étape dans la gamme du constructeur italien. Avec l’introduction d’une transmission intégrale hybride intelligente, la marque au Biscione élargit son offre et entend séduire un public en quête d’un SUV compact capable d’affronter toutes les conditions de route. Après Stelvio, Giulia et Tonale, c’est au tour de Junior d’adopter la technologie Q4. Cette version Premium, affichée à 37 000 euros, se positionne comme une alternative sportive et polyvalente sur un segment très disputé.

    Un SUV compact au look affirmé

    Dès le premier regard, l’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 impose sa personnalité. Son design conserve l’ADN Alfa Romeo avec une face avant expressive, une calandre triangulaire emblématique et des projecteurs full LED effilés. La silhouette musclée repose sur des jantes alliage « Petali » de 18 pouces, renforçant l’aspect dynamique du véhicule. La version Q4 arbore en prime des éléments distinctifs comme des badges spécifiques et un diffuseur arrière redessiné.

    L’habitacle se veut tout aussi séduisant avec un cockpit centré sur le conducteur. L’instrumentation numérique de 10,25 pouces en configuration télescopique rappelle l’héritage sportif de la marque. Les sièges en tissu et vinyle Spiga, chauffants et massants, offrent un confort appréciable, tandis que l’éclairage d’ambiance et les inserts en aluminium renforcent le caractère premium de l’ensemble.

    Une transmission Q4 intelligente et réactive

    L’une des grandes nouveautés de cette version réside dans son système de transmission intégrale hybride Q4. Contrairement à un dispositif conventionnel, l’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 repose sur une architecture innovante à trois moteurs : un bloc thermique 1.2 turbo de 136 chevaux, couplé à deux moteurs électriques de 21 kW. Le premier, intégré à la boîte de vitesses automatique à double embrayage, agit sur les roues avant, tandis que le second, monté sur l’essieu arrière, garantit la motricité en toutes circonstances.

    La gestion électronique permet une répartition optimisée du couple en fonction des conditions d’adhérence. En mode normal, la traction avant est privilégiée pour optimiser l’efficience énergétique. Dès que les capteurs détectent une perte d’adhérence, le moteur arrière s’active instantanément pour garantir un grip optimal. Ce système fonctionne même lorsque la batterie est faible grâce à la technologie Power Looping, où le moteur électrique avant joue le rôle de générateur.

    Un comportement routier affûté

    Alfa Romeo a toujours mis l’accent sur le plaisir de conduite, et la Junior Ibrida Q4 ne fait pas exception. Dotée d’une suspension arrière indépendante MultiLink, cette version Q4 gagne en agilité et en précision de pilotage. Sur routes sinueuses, le châssis réactif et le poids contenu (moins de 1 500 kg) procurent un excellent dynamisme.

    Le sélecteur DNA permet d’adapter le comportement de la voiture selon trois modes distincts :

    • Dynamic : Exploite toute la puissance du système hybride pour des accélérations vives et une réponse de l’accélérateur affûtée.
    • Natural : Offre un équilibre entre performances et consommation, idéal pour une utilisation quotidienne.
    • Advanced Efficiency : Favorise une conduite souple et économe en carburant, avec une prédominance du mode électrique.
    • Q4 : Active la transmission intégrale pour maximiser l’adhérence sur surfaces glissantes.

    Sur autoroute, le confort est de mise, avec une insonorisation travaillée et une suspension absorbant efficacement les irrégularités. La direction, précise et communicative, participe pleinement au plaisir de conduite.

    Performances et efficience

    Avec une puissance cumulée de 145 chevaux, l’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 affiche des performances honorables pour un SUV compact hybride. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 8,9 secondes, tandis que la vitesse maximale culmine à 190 km/h. Mais c’est surtout par son efficience que ce modèle se distingue, avec une consommation mixte annoncée sous les 5,2 L/100 km et des émissions de CO₂ inférieures à 120 g/km, un atout indéniable pour les entreprises et les particuliers soucieux de leur impact environnemental.

    Technologie et équipements haut de gamme

    L’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 ne se contente pas d’être dynamique et efficace, elle embarque également un arsenal technologique complet. La version Premium inclut de série :

    • Système d’infodivertissement 10,25 pouces avec navigation intégrée et compatibilité Apple CarPlay/Android Auto.
    • Assistant de conduite semi-autonome de niveau 2 (régulateur adaptatif, maintien dans la voie, reconnaissance des panneaux).
    • Caméra de recul 360° avec radars avant/arrière.
    • Hayon électrique mains libres.
    • Chargeur à induction pour smartphone.
    • Accès sans clé avec détection de proximité.

    Verdict : une offre séduisante et cohérente

    Avec cette version Q4, Alfa Romeo enrichit son catalogue avec un SUV compact à transmission intégrale, répondant aux besoins des conducteurs exigeants en quête de polyvalence et de sportivité. En combinant une motorisation hybride efficiente, une transmission intégrale intelligente et un design fidèle à l’ADN de la marque, l’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4 se positionne comme une alternative séduisante aux références du segment.

    Proposée à partir de 37 000 euros en finition Premium, elle se distingue par son rapport prix/prestations intéressant, face à des concurrentes souvent plus onéreuses. Pour les amateurs de conduite dynamique et de technologie embarquée, ce modèle coche toutes les cases d’un SUV compact performant et polyvalent. Alfa Romeo signe ici une réussite qui ne manquera pas de séduire les Alfistes et les nouveaux adeptes de la marque.

  • Tour Auto 2025 : un spectacle historique sur les routes de France

    Tour Auto 2025 : un spectacle historique sur les routes de France

    Le Tour Auto 2025, 34e édition de cette épreuve mythique, s’annonce grandiose. Du 7 au 12 avril, les passionnés d’automobile pourront admirer un plateau exceptionnel de 240 équipages, réunissant des modèles emblématiques de l’histoire du sport automobile. Fidèle à l’esprit de Peter Auto, l’épreuve restera un savant mélange de compétition et d’élégance, où le plaisir de piloter et la beauté des machines priment avant tout.

    Un plateau prestigieux entre Ferrari, Alpine et Matra

    Les amateurs de belles mécaniques seront comblés par la présence de véhicules d’exception. Les Ferrari seront une fois encore à l’honneur avec des modèles aussi prestigieux que la 250 MM, la 250 GT SWB, la 275 GTB/4 et la 365 GTB/4 Compétition. Ces joyaux, propriétés de pilotes passionnés, ne resteront pas sagement stationnés dans des salons feutrés, mais affronteront les routes exigeantes du parcours.

    Alpine sera également largement représentée, avec six A110 engagées, ainsi qu’une A310 et une A106. Autre modèle rare et historique, une D.B HBR5 Barquette, construite par Deutsch-Bonnet, sera de la partie en catégorie Régularité. Cette voiture au châssis léger et au moteur Panhard avait notamment brillé aux 24 Heures du Mans et au Tour de France Automobile 1957, pilotée à l’époque par Paul Armagnac. Une présence d’autant plus symbolique que sa fille, Corine Armagnac, prendra le volant de cette mythique barquette.

    Des pilotes de renom et des mécaniques d’exception

    L’engagement de Richard Mille et de Pierre Fillon au volant d’une Lancia Stratos Groupe 4 de 1974 ne passera pas inaperçu. Le président de la Commission Endurance de la FIA et celui de l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) s’aligneront en catégorie Régularité, avec une Stratos à la décoration Alitalia, déjà aperçue au dernier Rallye Monte-Carlo Historique.

    D’autres Stratos seront également de la partie, accompagnées de machines de légende comme les BMW M1 Procar, les De Tomaso Pantera et même un prototype Matra MS650, cher au célèbre « Mr John of B ». Ce bolide à moteur V12, vainqueur du Tour de France Auto en 1970 et 1971, viendra rappeler aux spectateurs le glorieux passé de Matra, jadis emmené par des pilotes comme Jean-Pierre Beltoise, Jean Todt, Gérard Larrousse et Johnny Rives.

    Un parcours reliant Paris à Nice

    Le Tour Auto 2025 s’élancera depuis Paris Expo avant de traverser plusieurs villes et circuits emblématiques, pour une arrivée spectaculaire sur la Promenade des Anglais à Nice. Entre épreuves spéciales et roulage sur circuit, cette édition promet des moments d’anthologie pour les participants comme pour les spectateurs.

    Avec un plateau aussi riche et varié, cette nouvelle édition du Tour Auto restera fidèle à son ADN : une célébration du patrimoine automobile, du plaisir de conduire et de la compétition historique.

  • Ford Fiesta d’occasion : une citadine polyvalente et pleine de charme

    Ford Fiesta d’occasion : une citadine polyvalente et pleine de charme

    Depuis son lancement en 1976, la Ford Fiesta s’est imposée comme l’une des citadines les plus populaires en Europe. Appréciée pour sa fiabilité, son dynamisme et son excellent rapport qualité-prix, elle séduit autant les jeunes conducteurs que les familles en quête d’un véhicule urbain agile et économique. Aujourd’hui, acheter une Ford Fiesta d’occasion est une excellente alternative pour bénéficier de ces qualités tout en réalisant des économies.

    Un modèle polyvalent et bien équipé

    La Ford Fiesta a su évoluer au fil des générations pour proposer un niveau d’équipement digne des modèles du segment supérieur. Les versions récentes offrent des technologies modernes, comme un écran tactile avec SYNC 3, la connectivité Apple CarPlay et Android Auto, ainsi que des aides à la conduite telles que l’alerte de franchissement de ligne et le régulateur adaptatif.

    Côté motorisations, la Fiesta est disponible en essence, diesel et même en version micro-hybride sur les derniers modèles. Le célèbre moteur EcoBoost 1.0 est particulièrement apprécié pour son équilibre entre performances et sobriété.

    Pourquoi opter pour une Ford Fiesta d’occasion ?

    Acheter une Ford Fiesta d’occasion permet de profiter de son excellent agrément de conduite tout en évitant la décote importante des modèles neufs. En effet, dès la première année, une voiture neuve peut perdre jusqu’à 25 % de sa valeur. Avec un modèle d’occasion récent, vous accédez à un véhicule bien équipé à un tarif plus abordable.

    De plus, la Ford Fiesta jouit d’une bonne réputation en termes de fiabilité. Les versions produites après 2017, issues de la septième génération, affichent une finition en nette amélioration et une meilleure insonorisation, rendant les trajets encore plus agréables.

    Quelle version choisir ?

    Le choix d’une Ford Fiesta d’occasion dépend de vos besoins. Pour une utilisation urbaine, le moteur 1.0 EcoBoost 100 ch est un excellent compromis entre puissance et économie de carburant. Si vous cherchez une version plus dynamique, la ST-Line propose un design sportif et un châssis affûté. Enfin, pour les amateurs de sensations fortes, la Fiesta ST, avec son moteur 1.5 EcoBoost de 200 ch, offre des performances impressionnantes tout en restant relativement accessible sur le marché de l’occasion.

    Que vous recherchiez une citadine économique, une voiture équipée des dernières technologies ou un modèle sportif, la Ford Fiesta d’occasion répond à de nombreux critères. Grâce à son excellent rapport qualité-prix et à sa large gamme de finitions et motorisations, elle reste une valeur sûre sur le marché de l’occasion.

  • Comment bien choisir son assurance auto en 2025 ?

    Comment bien choisir son assurance auto en 2025 ?

    L’assurance auto est un élément incontournable pour tout conducteur, qu’il s’agisse de protéger son véhicule, ses passagers ou d’anticiper d’éventuels sinistres. En 2025, avec l’évolution des technologies et des réglementations, il est essentiel de bien choisir son contrat afin d’être parfaitement couvert. Voici les critères à prendre en compte pour sélectionner une assurance auto adaptée à vos besoins.

    1. Définir ses besoins en assurance auto

    Avant de souscrire un contrat, il est primordial d’évaluer ses besoins. Un conducteur quotidien n’aura pas les mêmes exigences qu’un automobiliste occasionnel. De même, la valeur de votre véhicule et votre historique de conduite influencent le choix de l’assurance.

    Assurance au tiers ou tous risques ?

    • L’assurance au tiers est la formule minimale légale. Elle couvre les dommages causés à un tiers, mais ne protège pas votre propre véhicule en cas d’accident responsable.
    • L’assurance tous risques offre une protection plus large, incluant les dommages matériels, le vol, l’incendie ou encore le bris de glace. Elle est particulièrement recommandée pour les véhicules récents ou de valeur.

    2. Les garanties essentielles à ne pas négliger

    Les assurances proposent des garanties optionnelles qui peuvent faire la différence en cas de sinistre. Parmi les plus importantes :

    • La garantie conducteur : elle couvre les dommages corporels du conducteur, souvent sous-estimés.
    • La protection contre le vol et le vandalisme : essentielle si vous stationnez régulièrement dans des zones à risque.
    • L’assistance 0 km : utile pour être dépanné à domicile en cas de panne.
    • La garantie valeur à neuf : permet de mieux indemniser votre véhicule en cas de destruction ou de vol total.

    3. Comparer les offres et privilégier la flexibilité

    Le prix d’une assurance auto dépend de nombreux facteurs : âge du conducteur, bonus-malus, type de véhicule… Il est donc essentiel de comparer les offres avant de signer. Certaines compagnies proposent aujourd’hui des contrats personnalisables et évolutifs, permettant d’ajuster les garanties en fonction de vos besoins.

    4. Vérifier les exclusions et le montant des franchises

    Chaque contrat d’assurance comporte des exclusions, c’est-à-dire des situations dans lesquelles l’indemnisation ne sera pas appliquée. Il est donc crucial de bien lire les conditions générales. De plus, le montant des franchises (somme restant à votre charge en cas de sinistre) doit être pris en compte pour éviter les mauvaises surprises.

    Choisir une assurance auto en 2025 nécessite de bien analyser ses besoins et de comparer les offres disponibles. Une couverture bien adaptée permet de rouler sereinement, en étant protégé contre les aléas de la route. Prenez le temps d’étudier les garanties essentielles et de vérifier les exclusions pour éviter les mauvaises surprises.

  • Alfa Romeo en tête des progressions sur le marché français en 2025

    Alfa Romeo en tête des progressions sur le marché français en 2025

    Alfa Romeo enregistre une progression significative sur le marché automobile français en ce début d’année 2025. La marque italienne se positionne en tête des progressions, avec une augmentation de 62 % de ses immatriculations sur les deux premiers mois de l’année, comparé à la même période en 2024.

    Chiffres clés

    • Immatriculations : 1 299 véhicules particuliers (VP) immatriculés.
    • Part de marché : Augmentation de 0,2 point, atteignant 0,5 %.
    • Segment B-SUV Premium : Le modèle Alfa Romeo Junior se place en tête des ventes.
    • Modèles Premium : Le Junior se classe dans le top 6 des modèles Premium, tous segments confondus, en termes d’immatriculations.

    Le succès d’Alfa Romeo est principalement attribué au modèle Junior, qui a enregistré 876 immatriculations sur les deux premiers mois de 2025. Cette performance permet à la marque d’afficher :

    • Une part de marché de 0,6 % sur le canal des ventes aux particuliers.
    • Une position de leader sur le segment des B-SUV Premium, tant en ventes totales qu’en ventes aux particuliers.

    Alfa Romeo confirme son dynamisme sur le marché français en 2025, porté par le succès de son modèle Junior et une stratégie axée sur les ventes aux particuliers et l’électrification.

  • 75 ans de Combi : Volkswagen célèbre son utilitaire emblématique

    75 ans de Combi : Volkswagen célèbre son utilitaire emblématique

    Le 8 mars 1950, le premier Transporter, ou T1, sortait des chaînes de montage de Wolfsburg. 75 ans plus tard, ce modèle utilitaire est devenu une icône, le plus vendu en Europe et le plus long en production de l’histoire automobile. Pour célébrer cet anniversaire, Volkswagen Véhicules Utilitaires a prévu une campagne spéciale avec des spots TV, des supports papier et une initiative Instagram innovante.

    De l’utilitaire au modèle culte

    Plus de 12,5 millions d’exemplaires du Combi ont été produits depuis 1950, d’abord à Wolfsburg, puis à Hanovre à partir de 1956. Du T1 au T6.1, toutes les générations du modèle ont conservé le même concept de base, qu’il s’agisse des versions fourgon ou des vans aménagés.

    L’arrivée de l’électromobilité a toutefois entraîné une transformation du modèle. L’ancien concept « un Combi pour tous » a cédé la place à une gamme plus diversifiée, avec « le bon Combi pour chaque client ». L’actuel Multivan, lancé en 2021, a inauguré cette nouvelle ère, avec une motorisation hybride rechargeable disponible en option. L’ID. Buzz, premier Combi VW entièrement électrique produit en grande série, a suivi en 2022. Et en 2025, la nouvelle gamme Transporter fera son apparition, complétant l’offre avec trois variantes de base et six modèles : Multivan/California, ID. Buzz/ID. Buzz Cargo et Transporter/Caravelle.

    Les différentes générations du Combi

    • T1 (1950-1967) : Lancé en 1950, le T1 a rapidement conquis le marché grâce à sa polyvalence et son prix abordable. Il a été décliné en plusieurs versions, dont le célèbre « bus Samba » avec ses 23 fenêtres et son toit ouvrant.
    • T2 (1967-1979) : Le T2 a marqué une évolution stylistique et technique par rapport au T1, avec un pare-brise monobloc et une porte coulissante de série. Il est devenu un symbole de liberté et de voyage, notamment grâce à sa popularité auprès des hippies.
    • T3 (1979-1992) : Le T3 a été le premier Combi VW à proposer des motorisations diesel et une transmission intégrale. Il a également servi de base à des modèles emblématiques comme le California et le Multivan.
    • T4 (1990-2003) : Le T4 a marqué une rupture technologique avec le passage à la traction avant. Il a gagné en espace intérieur et en confort de conduite.
    • T5 (2003-2015) : Le T5 a poursuivi l’évolution du modèle en termes de design, de confort et de technologie. Il a été décliné en de nombreuses versions, dont des éditions spéciales devenues des collectors.
    • T6 et T6.1 (2015-2024) : Le T6 et le T6.1 ont introduit le Combi VW dans l’ère du numérique, avec des systèmes d’aide à la conduite et d’infodivertissement de pointe.

    Le Combi du futur

    Aujourd’hui, le Combi VW se décline en une gamme complète de modèles, du Multivan familial à l’ID. Buzz électrique, en passant par le Transporter utilitaire. Volkswagen Véhicules Utilitaires continue d’innover pour répondre aux besoins de ses clients, tout en conservant l’esprit qui a fait du Combi un modèle emblématique.

    Les célébrations du 75e anniversaire

    Pour fêter cet anniversaire, Volkswagen Véhicules Utilitaires a prévu de nombreux événements, dont :

    • Une campagne de communication avec des spots TV, des supports papier et une initiative sur Instagram.
    • Un événement spécial à Wolfsburg les 24 et 25 mai 2025, avec une exposition de Combis de toutes les générations.
    • Une rencontre « Combi VW & Coffee » à Hanovre le 1er juin 2025, pour les passionnés du modèle.
    • Des rassemblements internationaux de passionnés.

    Le Combi VW continue de séduire les générations, et son avenir s’annonce prometteur.

  • F1 2025 : une génération de rookies prête à bouleverser la grille

    F1 2025 : une génération de rookies prête à bouleverser la grille

    La saison 2025 de Formule 1 s’annonce comme un tournant pour une nouvelle génération de pilotes. Après une saison 2024 de Formule 2 extrêmement relevée, pas moins de cinq rookies rejoignent la catégorie reine, une vague de fraîcheur qui marque un véritable changement de génération.

    Un tremplin vers la F1

    Le niveau de la grille de F2 en 2024 a été particulièrement impressionnant, à tel point que plusieurs équipes de F1 n’ont pas hésité à faire confiance aux jeunes talents issus de la discipline. Isack Hadjar, Ollie Bearman, Jack Doohan, Andrea Kimi Antonelli et Gabriel Bortoleto sont les cinq nouveaux venus qui feront leurs débuts en 2025. À cela s’ajoute Liam Lawson, qui entame sa première saison complète chez Red Bull après une année passée en tant que pilote de réserve.

    Ce phénomène illustre non seulement la qualité de la F2, mais aussi la volonté des équipes de miser sur des talents prometteurs capables de s’adapter rapidement à l’élite du sport automobile.

    Bortoleto vs Hadjar : le duel de la F2 exporté en F1

    Le duel entre Gabriel Bortoleto et Isack Hadjar en Formule 2 a marqué la saison 2024. Si Bortoleto a décroché le titre, son rival français a démontré un rythme impressionnant. Adrián Campos, patron de l’écurie Campos Racing qui a terminé vice-championne en F2, ne tarit pas d’éloges sur Hadjar :

    « Il est très complet et sa gestion de la pression m’a surpris. Il avait le rythme pour être champion, mais nous avons commis plus d’erreurs et eu un peu moins de chance. »

    Bortoleto, quant à lui, a impressionné par sa régularité et sa capacité à engranger des points même lorsqu’il n’avait pas la voiture la plus rapide. Mattia Binotto, aujourd’hui directeur des opérations de Sauber, voit en lui un pari sûr pour Audi :

    « Nous nous demandions s’il fallait l’intégrer dès 2025 ou attendre 2026, mais les performances des jeunes en F1 nous ont convaincus. Il a un talent naturel et un grand potentiel. »

    Ollie Bearman, la confirmation après des débuts en fanfare

    Si certains rookies doivent encore faire leurs preuves, Ollie Bearman a déjà montré l’étendue de son talent en F1. Le jeune Britannique a eu l’opportunité de disputer plusieurs Grands Prix en 2024 avec Ferrari et Haas, impressionnant dès ses débuts à Djeddah et à Bakou. Son approche méthodique et sa compréhension technique lui permettent d’aborder 2025 avec une base solide.

    Andrea Kimi Antonelli : l’héritier désigné de Mercedes

    À seulement 18 ans, Andrea Kimi Antonelli s’apprête à relever l’un des défis les plus exigeants du paddock : succéder à Lewis Hamilton chez Mercedes. Toto Wolff a misé sur lui dès l’annonce du départ du septuple champion du monde vers Ferrari, voyant en lui une future star de la discipline.

    Antonelli est reconnu pour son instinct et son agressivité en piste, mais il sait qu’il doit encore progresser dans la gestion des courses :

    « Je roule beaucoup à l’instinct, mais il faut aussi savoir analyser la situation. C’est un point sur lequel je travaille pour être encore plus complet. »

    Jack Doohan : le rookie sous pression chez Alpine

    Contrairement à ses camarades, Jack Doohan n’aura pas le luxe d’une saison d’apprentissage en douceur. Après une année 2024 à se préparer en tant que pilote de réserve chez Alpine, il doit immédiatement performer face à une concurrence féroce. Avec Franco Colapinto en embuscade dans l’écurie, l’Australien sait qu’il devra se montrer à la hauteur dès les premières courses.

    « Il y a beaucoup de battage autour de certains rookies, mais je suis content d’arriver sans trop d’attentes. Je vais simplement faire mon travail et prouver ma valeur sur la piste. »

    Une nouvelle ère pour la Formule 1 ?

    Avec un quart de la grille composé de rookies, la saison 2025 marque un tournant pour la F1. Ces jeunes talents ont prouvé leur valeur en F2, mais la catégorie reine du sport automobile est impitoyable. S’ils disposent tous d’un immense potentiel, la manière dont ils géreront la pression et l’exigence du plus haut niveau déterminera leur avenir.

    Reste à voir qui parviendra à s’imposer comme un futur champion… et qui disparaîtra aussi vite qu’il est arrivé.

  • Jeep Academy : plaisir et apprentissage

    Jeep Academy : plaisir et apprentissage

    Depuis plusieurs années, la Jeep Academy s’est imposée en France comme une référence pour les passionnés de conduite tout-terrain. Cette initiative offre aux propriétaires et aux amateurs de la marque l’opportunité de découvrir et de maîtriser les capacités hors route des véhicules Jeep, le tout encadré par des professionnels expérimentés et avec des véhicules entretenus par des experts Jeep, comme les 4×4 Ford peuvent être entretenus avec des pièces détachées pour 4×4 Ford

    Origines et objectifs de la Jeep Academy

    Lancée pour permettre aux participants de s’initier aux techniques de conduite tout-terrain, la Jeep Academy a pour mission principale de familiariser les conducteurs avec les spécificités techniques de leurs véhicules. Que ce soit pour comprendre le fonctionnement des systèmes 4×4, appréhender les techniques de franchissement ou assurer une conduite sécurisée en milieu naturel, l’académie propose une formation complète adaptée à tous les niveaux.

    Déroulement typique d’une session

    Une journée à la Jeep Academy est structurée pour offrir une expérience enrichissante et immersive. Le programme type comprend :

    • Accueil et briefing : Les participants sont accueillis autour d’un café, suivi d’une présentation des objectifs de la journée et des consignes de sécurité.

    • Ateliers pratiques : Répartis en sous-groupes, les participants alternent entre différents ateliers. Ces sessions pratiques permettent de mettre en application les notions théoriques abordées, avec des exercices sur des terrains variés pour tester les capacités des véhicules.

    • Déjeuner convivial : Un moment de détente pour échanger entre participants et instructeurs, souvent organisé dans un cadre pittoresque.

    • Continuation des ateliers : L’après-midi est dédiée à d’autres exercices pratiques, renforçant les compétences acquises et explorant des situations de conduite plus complexes.

    • Clôture de la journée : La session se termine par un pot de départ, la remise de diplômes attestant de la participation et des échanges sur les expériences vécues.

    Sites emblématiques en France

    La Jeep®Academy sélectionne des sites variés à travers la France pour offrir des expériences diversifiées aux participants. Parmi les lieux notables ayant accueilli l’académie :

    • Château de Lastours : Situé près de Perpignan, ce domaine viticole est également réputé pour ses infrastructures dédiées aux sports mécaniques. Avec ses 90 km de pistes sur 900 hectares, il offre un terrain idéal pour les sessions de la Jeep Academy.

    • Domaine de Sigalous : Ce site a également été le théâtre de certaines éditions de la Jeep Academy, offrant aux participants un cadre unique pour s’initier au tout-terrain.

    Une présence internationale

    La France n’est pas le seul pays à bénéficier de la Jeep® Academy. En effet, des programmes similaires existent dans d’autres régions du monde, adaptés aux spécificités locales et aux attentes des participants.

    • Jeep® Adventure Academy aux États-Unis : Destinée aux propriétaires de Jeep 4×4, cette académie propose des formations pratiques en conduite tout-terrain. Encadrées par des instructeurs expérimentés de Jeep Jamboree USA, les sessions couvrent des aspects tels que les techniques de conduite, la préparation du véhicule et la sécurité.

    • Camp Jeep® en Europe : Événement annuel majeur pour les passionnés de la marque, le Camp Jeep® offre des activités variées, incluant des essais off-road, des cours théoriques et pratiques organisés par la Jeep Academy, ainsi que des présentations de nouveaux modèles. Par exemple, l’édition 2018 a été marquée par la présentation en avant-première du nouveau Jeep Wrangler.

    Perspectives et évolutions récentes

    Face à l’évolution du marché automobile et à la montée en puissance des technologies hybrides et électriques, la Jeep Academy a su adapter son programme. Les participants ont désormais l’opportunité de tester les modèles hybrides rechargeables de la gamme Jeep, tels que le Renegade, le Compass, le Wrangler et le Grand Cherokee 4xe. Des ateliers spécifiques sont également dédiés à la découverte de l’Avenger, le premier modèle 100% électrique de la marque, permettant aux participants de se familiariser avec les modes de recharge et le fonctionnement général des véhicules hybrides et électriques.

    La Jeep Academy s’affirme comme une expérience incontournable pour tous ceux qui souhaitent découvrir ou approfondir leurs compétences en conduite tout-terrain. Grâce à une organisation rigoureuse, des sites sélectionnés pour leur pertinence et une adaptation constante aux évolutions technologiques, elle offre aux participants une immersion complète dans l’univers Jeep, alliant passion, apprentissage et aventure.

  • Alpine arrive en FIA EcoRally Cup avec l’A290 !

    Alpine arrive en FIA EcoRally Cup avec l’A290 !

    Après la F1 et le WEC, Alpine arrive dans un troisième championnat FIA grâce à Manu Guigou. L’ambassadeur de la marque aligne une Alpine A290 en FIA EcoRally Cup.

    Collectionneur de titres en rallye, notamment avec l’Alpine A110 Rally, Manu Guigou étrennera la nouvelle Alpine A290 en compétition en participant à la FIA EcoRally Cup.

    « L’industrie automobile subit une très profonde transformation et le sport automobile suit la même tendance », commente Manu Guigou. « La FIA EcoRally Cup parvient à respecter l’histoire des sports mécaniques tout en ouvrant de nouvelles perspectives. Réservée aux voitures 100 % électriques, cette compétition offre un terrain de jeu unique à l’Alpine A290. Nous allons rouler partout en Europe, sur des routes qui ont fait l’histoire du rallye, jusqu’au Monte-Carlo cet automne. »

    Copilote, Emilien Le Borgne est déjà l’une des références des compétitions 100 % électriques avec un palmarès composé d’un titre national en 2024 et de huit victoires conquises au Portugal, en République tchèque et en Allemagne. Son expérience sera un atout précieux dans cette compétition de spécialistes.

    FIA EcoRally Cup : le pilote le plus efficace gagnera !

    En FIA EcoRally Cup, les équipages s’affrontent à bord de voitures 100 % électriques strictement de série sur des parcours tracés sur des routes ouvertes, où la régularité (jugée au dixième de seconde) et la gestion de l’énergie (enregistrée uniquement dans les zones de régularité) sont primordiales. L’objectif prioritaire est ainsi de jouer aux avant-postes en régularité, tout en s’assurant de ne pas gaspiller d’énergie.

    La FIA EcoRally Cup est la discipline qui se rapproche le plus de l’histoire ancestrale du sport automobile. Les concurrents viennent par la route, disputent l’épreuve, et rentrent chez eux en utilisant leur propre voiture. Deux à trois mille kilomètres peuvent ainsi être parcouru en un week-end.

    Alpine A290 : la meilleure voiture électrique pour les rallyes 100 % électriques

    Élue Voiture de l’Année 2025, l’Alpine A290 fait ses débuts dans la compétition avec l’objectif de se mesurer aux meilleurs constructeurs automobiles

    « Quel plaisir de piloter l’Alpine A290 ! » ajoute Manu Guigou. « C’est un jouet particulièrement compact. Elle réagit très vivement grâce au couple délivré instantanément par le moteur électrique, le dynamisme de son châssis et les pneumatiques Michelin. Les milliers de kilomètres que nous allons parcourir cette année s’annoncent particulièrement excitants ! »

    « Rejoindre la FIA EcoRally Cup avec Alpine est une opportunité unique », continue-t-il. « L’Alpine A290 a un énorme potentiel en termes de performance et d’efficience. Avec Emilien Le Borgne, nous avons pour ambition de jouer rapidement les premiers rôles. »

  • Illusion d’optique : quand les voitures en 3D deviennent des dessins en 2D

    Illusion d’optique : quand les voitures en 3D deviennent des dessins en 2D

    L’artiste californien Joshua Vides a présenté le week-end dernier à Los Angeles une exposition fascinante qui a complètement brouillé les repères visuels. Trois voitures de sport, entièrement recouvertes de noir et de blanc, étaient mises en scène dans un décor du même ton, donnant l’impression qu’elles n’étaient que de simples dessins en deux dimensions. Et pourtant, il était possible de tourner autour, comme si l’on avait pénétré dans un univers parallèle où l’automobile devenait une œuvre d’art vivante.

    Baptisée « Check Engine Light », l’exposition était une expérience unique, déroutante et immersive. Joshua Vides n’en est pas à son coup d’essai : on lui doit notamment la livrée en noir et blanc des Ferrari de Formule 1 lors du Grand Prix de Las Vegas, ainsi que les combinaisons de course de Carlos Sainz et Charles Leclerc. Son style, basé sur un jeu de contours et de contrastes très graphiques, s’est également exprimé à travers des collaborations avec des marques de sneakers, des terrains de sport entièrement redessinés et bien d’autres installations artistiques.

    L’exposition n’a duré que quatre jours et est désormais terminée, mais il est toujours possible de suivre son travail sur Instagram : @joshuavides.

  • Alfa Romeo Tipo 103 : l’inattendue berline compacte qui aurait pu bouleverser l’histoire

    Alfa Romeo Tipo 103 : l’inattendue berline compacte qui aurait pu bouleverser l’histoire

    Dans l’histoire d’Alfa Romeo, certains modèles sont devenus des icônes intemporelles, tandis que d’autres n’ont jamais dépassé le stade du prototype. C’est le cas de la Tipo 103, un projet de berline compacte ultramoderne qui, malgré des caractéristiques techniques prometteuses, a été abandonné en 1961. Pourtant, son influence s’est faite sentir bien au-delà des murs de l’usine milanaise, jusqu’à inspirer des modèles d’autres constructeurs, dont Renault.

    Le contexte : Alfa Romeo en pleine mutation

    Après la Seconde Guerre mondiale, Alfa Romeo évolue d’un statut de constructeur de voitures sportives et luxueuses vers celui d’un fabricant d’automobiles de grande série. Sous l’égide de l’IRI (Istituto per la Ricostruzione Industriale), l’entreprise milanaise lance la 1900 en 1950, puis la Giulietta en 1954, qui rencontre un grand succès auprès du public. Ces modèles marquent une transition vers des véhicules plus accessibles, accompagnant la croissance économique italienne des années 1950 et le développement d’une nouvelle classe moyenne avide de mobilité.

    Cependant, la demande pour des voitures encore plus compactes et économiques se fait sentir. Le succès de la Fiat 600, lancée en 1955, en est la preuve éclatante. Alfa Romeo, qui cherche à étendre sa gamme vers le bas, réfléchit alors à une nouvelle citadine innovante. La Finmeccanica, division industrielle de l’IRI, voit dans cette opportunité un moyen d’accroître la rentabilité de la marque et de toucher un public plus large.

    Une berline révolutionnaire en gestation

    Dès 1958, l’ingénieur Rudolf Hruska, consultant pour Finmeccanica et figure clé du développement de l’Alfasud quelques années plus tard, évoque l’idée d’un modèle compact à traction avant avec Giuseppe Busso, alors directeur des études d’Alfa Romeo. Les premiers plans de ce projet, baptisé Tipo 103, voient rapidement le jour.

    La voiture se distingue par une conception avant-gardiste : elle adopte une architecture monocoque, une traction avant (une rareté chez Alfa Romeo à l’époque) et un moteur quatre cylindres double arbre de 900 cm³, dérivé des mécaniques sportives de la marque. Son châssis bénéficie de quatre roues indépendantes et de quatre freins à disque, une prouesse technique pour un véhicule de cette catégorie dans les années 1960.

    Le design de la Tipo 103, bien que fonctionnel, est également élégant et moderne. Avec ses lignes anguleuses et ses proportions équilibrées, elle affiche un style qui n’est pas sans rappeler la future Giulia. Mais plus surprenant encore, certains observateurs estiment que son influence stylistique se retrouvera plus tard sur la Renault 8.

    Une annulation aux raisons stratégiques

    Alors que la Tipo 103 est quasiment prête à entrer en production en 1961, Alfa Romeo décide d’abandonner le projet. Officiellement, plusieurs raisons sont avancées. Tout d’abord, des doutes émergent quant à la rentabilité d’un modèle aussi sophistiqué destiné à un segment de marché où les marges sont plus faibles. Alfa Romeo, réputé pour ses mécaniques performantes et ses voitures haut de gamme, hésite à s’aventurer trop loin dans la catégorie des citadines, un marché dominé par Fiat.

    D’autre part, un accord tacite semble exister entre Alfa Romeo et Fiat : ce dernier s’engage à ne pas concurrencer directement les modèles haut de gamme d’Alfa Romeo, à condition que celle-ci n’envahisse pas le marché des petites voitures. Or, depuis 1958, Alfa Romeo distribue en Italie la Renault Dauphine, concurrente de la Fiat 1100. Lorsque Fiat dévoile en 1961 la 2300 S Coupé, un modèle en concurrence directe avec l’Alfa 2600 Sprint, certains y voient un avertissement adressé à Alfa Romeo pour qu’il reste à sa place.

    Une influence insoupçonnée sur Renault

    Malgré son annulation, la Tipo 103 ne tombe pas totalement dans l’oubli. Son influence stylistique transparaît dans plusieurs modèles ultérieurs d’Alfa Romeo, notamment la Giulia, mais aussi chez un constructeur français inattendu : Renault.

    À l’époque, Renault et Alfa Romeo entretiennent des liens étroits. Les échanges techniques et industriels entre les deux marques permettent à certains éléments de design et de conception de voyager entre l’Italie et la France. La Renault 8, lancée en 1962, présente des similitudes frappantes avec la Tipo 103, notamment au niveau de son capot nervuré et de son allure générale. Une coïncidence ? Peut-être pas.

    Une Alfa Romeo qui aurait pu tout changer

    Si elle avait vu le jour, la Tipo 103 aurait sans doute bouleversé l’histoire d’Alfa Romeo, en faisant entrer la marque sur le marché des compactes plus tôt et avec une approche bien plus moderne que celle de la Fiat 128 ou même de l’Alfasud. Son abandon marque un tournant stratégique, confirmant la volonté de la marque de rester sur un positionnement plus premium, tout en laissant le segment des petites voitures aux autres constructeurs.

    Aujourd’hui encore, la Tipo 103 reste une fascinante « what if » de l’histoire automobile, une Alfa Romeo compacte et avant-gardiste qui aurait pu modifier le destin du constructeur milanais. Un projet oublié, mais dont l’influence s’est discrètement fait sentir bien au-delà de ses prototypes.

  • Le Jeep Recon annoncé

    Le Jeep Recon annoncé

    Le 4×4 électrique au look carré, alternative au Wrangler, s’apprête à faire ses débuts commerciaux cette année aux Etats-Unis, mais plusieurs détails restent encore mystérieux.

    Jeep a dévoilé les premières images réelles du Recon, son SUV électrique aux allures de baroudeur, dont la commercialisation est prévue d’ici la fin de l’année. Ce nouveau modèle constitue une offre inédite pour la marque américaine.

    Une plateforme partagée avec les modèles électriques de Stellantis

    D’une taille similaire au Wrangler, le Recon repose sur la plateforme STLA Large, déjà utilisée par le Dodge Charger Daytona et le Wagoneer S. Jeep prévoit d’équiper ce SUV d’une batterie de 100,5 kWh, avec une architecture bi-moteur dès l’entrée de gamme, garantissant des performances solides sur et hors route.

    Une alternative 100 % électrique au Wrangler

    Grâce aux nouvelles images dévoilées, on découvre plusieurs éléments inédits du design du Recon, notamment ses portes amovibles, confirmant ainsi son positionnement axé sur l’aventure. Son gabarit est similaire à celui du Wrangler, mais l’accent semble être mis sur un intérieur plus spacieux et confortable.

    La calandre dévoilée s’éloigne des rendus numériques montrés auparavant, offrant un design plus proche du modèle de production.

    Des équipements typiques de l’ADN Jeep

    Le Recon reprend plusieurs éléments distinctifs du Wrangler, notamment une roue de secours montée sur un hayon latéral, des crochets de remorquage avant et arrière, des pneus tout-terrain, des passages de roue élargis, ainsi que des porte-à-faux courts pour optimiser les angles d’attaque et de fuite.

    Ce SUV électrique, bien que plus confortable, reste un véhicule conçu pour l’aventure et se distingue nettement du Wagoneer S, plus orienté vers la route.

    Autonomie et performances attendues

    Grâce à sa batterie de 100,5 kWh, le Recon devrait afficher une autonomie supérieure à 480 km, même si le Wagoneer S, doté de la même capacité et d’une puissance de 600 ch, est actuellement homologué pour 487 km avec la très restrictive homologation américaine.

    Selon la presse américaine, la version de base du Recon devrait proposer une configuration bi-moteur développant environ 500 ch, une puissance plus modérée que celle du Wagoneer S, mais qui permettra de privilégier l’autonomie.