Auteur/autrice : Rédaction

  • J’avais prédit la deuxième place de Ford aux 24 Heures du Mans

    J’avais prédit la deuxième place de Ford aux 24 Heures du Mans

    Il y a quelques semaines, j’ai été contacté par Ford pour un projet un peu spécial : imaginer ce que sera la 85e édition des 24 Heures du Mans avant les premiers essais libres !

    En 2016, pour son grand retour aux 24 Heures du Mans un demi-siècle après sa première victoire historique dans la Sarthe, Ford s’était imposé dans la catégorie LM GTE Pro. En 2017, 50 ans après une autre victoire de légende du duo Foyt/Gurney sur la GT40 Mk IV, Ford s’est de nouveau hissé sur le podium en passant la ligne d’arrivée à la deuxième place grâce à l’équipage Harry Ticknell/Andy Priaulx/Luis Felipe Derani sur la Ford GT n°67. Les trois autres Ford GT ont également bouclé les 24 heures de course.

    Ford-GT-03

    Le jeu consistait à prédire le résultat pour mettre en avant les capacités prédictives déjà intégrées dans de nombreuses Ford de série, telles que la détection des obstacles et des piétons, l’assistance au freinage d’urgence, le contrôle dynamique de la trajectoire, l’alerte de véhicule en approche et angle mort, ou encore l’éclairage adaptatif intelligent.

    En quelques jours, j’ai avalé des milliers de données sur les quinze dernières années. Tout ce qu’il pouvait se passer : les abandons, les sorties de piste, les probabilités de podiums provisoires toutes les deux heures au classement général et en LM GTE-Pro, l’incidence de la météo, les records qui pouvaient tomber et les meilleurs temps au tour…

    Ford-GT-02

    Le tout a été mis en ligne sur un compte Twitter (@FordPreTech) plus d’une semaine avant que le départ ne soit donné. Evidemment, j’ai manqué beaucoup de ce qui a pimenté la course. Par exemple, je n’imaginais pas qu’une LM P2 allait être en tête dimanche matin… Mais j’avais le podium final du LM GTE-Pro, parmi plus de 1 700 possibilités.

    66 tweets ont été publiés pour raconter la course entre le 10 et le 14 juin… Quand le départ a été donné le samedi 17. A relire dans l’ordre antéchronologique.

  • Brendon Hartley a toujours rêvé d’avoir une Rolex

    Brendon Hartley a toujours rêvé d’avoir une Rolex

    Grands sourires dans le camp Porsche en ce dimanche soir de la 24e semaine de l’année. Encore dominée en termes de performances par les Toyota TS050 Hybrid, l’équipe allemande a réussi à décrocher sa dix-neuvième victoire au cours de 48 dernières éditions des 24 Heures du Mans. Des trois vainqueurs, Brendon Hartley est le seul à inscrire son nom pour la première fois au palmarès.

    Rolex est partenaire des 24 Heures du Mans depuis 2001. L’horloger récompense les vainqueurs en offrant une montre Oyster Perpetual Cosmograph Daytona spécialement gravé au dos avec le logo de l’évènement, l’inscription « WINNER » et l’année.

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    Face à sa nouvelle montre, Brendon Hartley prenait conscience de son exploit. Après 3h30 de course, il s’était précipité dans l’allée des stands avec un problème sur le train avant. Une heure, cinq minutes et dix secondes plus tard, son équipier Earl Bamber repartait en course avec 19 tours de retard sur le leader et la 56e place du classement général.

    Avec le rythme que les LM P1 H étaient capables d’emmener sur le circuit long de 13,629 kilomètres, la cinquième place restait tout à fait possible. Voire mieux en cas de problème de fiabilité des trois Toyota et de l’autre Porsche…

    À minuit, ces problèmes avaient déjà touché la Toyota n°8. La quatrième place devenait un nouvel objectif avec un rythme clairement suffisant pour revenir sur les Oreca qui dominaient la catégorie LM P2.

    La remontée pour gagner les 24 Heures du Mans

    Deux heures plus tard, l’équipe Porsche n’envisageait plus la course de la même façon. Avec le retrait des Toyota n°7 et n°9, la 919 Hybrid n°1 pouvait filer vers la victoire. Quant à la n°2 de Timo Bernhard, Earl Bamber et Brendon Hartley, elle devait poursuivre sa remontée pour assurer un doublé ou prendre le relais en cas de défaillance des leaders.

    Cette défaillance a bien eu lieu dans la 21e heure. À ce moment-là, les cinq LM P1 H de la catégorie reine avait connu des problèmes, laissant la première place provisoire à l’Oreca Gibson du Jackie Chan DC Racing. Mais la petite LM P2 ne pouvait pas résister bien longtemps à l’ogre Porsche. À l’attaque, Brendon Hartley revenait dans le tour du leader avant de laisser sa place à Timo Bernhard qui prenait enfin la première place dans l’avant-dernière heure pour cueillir une victoire historique au bout de 367 tours, soit 5 001 kilomètres.

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    La Porsche 919 Hybrid n°2 n’a pas été la plus rapide. Son meilleur tour en course – signé Brendon Hartley en 3’19’’782 – est même derrière les trois Toyota et l’autre Porsche. Mais elle est la seule à avoir roulé assez longtemps pour éviter une débâcle aux constructeurs et au législateur, dont le règlement repousse des limites que seuls Porsche et Toyota peuvent encore se permettre cette année…

    Loin des considérations politiques, Brendon Hartley pouvait délaisser sa Chopard – partenaire du programme Porsche – pour enfiler sa nouvelle Rolex.

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    Brendon Hartley : C’est un moment que je garderai en mémoire toute ma vie. On ne peut pas écrire un tel scénario. C’est fabuleux de gagner cette course et cette montre. Quand on prend le départ des 24 Heures du Mans et des 24 Heures de Daytona, on rêve de l’avoir au poignet.

    Une victoire au Mans, à Daytona ou sur les 12 Heures de Sebring offre l’un de ces modèles… Pour les moins talentueux au volant, la configuration équivalente – hors gravure – est disponible (acier 904L, mouvement 4130 sous la référence 1165500LN) au tarif de 11 350 euros.

  • Le rallye vu du ciel

    Le rallye vu du ciel

    Il y a un peu plus d’une décennie, Jean-Marc Pastor avait eu l’idée de suivre la saison 2004 du Championnat du Monde des Rallyes en hélicoptère. Seize manches, du Monte-Carlo à l’Australie en passant par la Suède, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Japon ou la Corse, à photographier les exploits des Petter Solberg, Sébastien Loeb, Marcus Grönholm, Carlos Sainz ou Markko Martin à une époque où six constructeurs étaient officiellement engagés. Si l’aventure n’a pas pu se poursuivre pour différentes raisons, elle a souligné l’extraordinaire relation qui existe entre les hélicoptères et le rallye.

    C’était le cas en 2004, c’est encore le cas en 2017, surtout pour suivre le Rallye de Sardaigne. Difficile d’accès par des vols réguliers avec un passage obligé par Milan ou Rome en partant de Paris, l’île devient plus accessible en partant de Figari à bord d’un Ecureuil.

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    Décollage au bout du petit aéroport du sud de la Corse, passage au-dessus des falaises de Bonifacio avant de passer par les Bouches… Une dizaine de kilomètres plus loin, l’hélicoptère survole déjà la Sardaigne. En restant à basse altitude, afin d’éviter de gêner le trafic aérien, l’île italienne dévoile un paysage bien plus aride que sa voisine française.

    Atterrissage au milieu de nulle part, face au départ de la sixième épreuve spéciale. Au terme du décompte, accélération de 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes pour un gros freinage sur asphalte et un 90 gauche étroit entre deux murets. L’accélération sur terre qui suit permet de se lancer réellement pour les quatorze kilomètres qui suivent. Le temps de voir les WRC passer toutes les trois minutes, avec un meilleur temps pour Esapekka Lappi devant Hayden Paddon, retour dans l’hélicoptère pour le chrono suivant…

    Quelques dizaines de secondes plus tard, l’oiseau de plus de 700 chevaux se pose avant l’arrivée de Sébastien Ogier qui ouvre la route dans Monte Olia. L’environnement est fantastique avec un virage à droite serré dans une descente puis deux bosses avant une montée à pleine charge. Leader du championnat, Ogier balaie, sa Ford Fiesta RS WRC peine à trouver de la motricité. Derrière, les Toyota et les Hyundai semblent plus à l’aise. Notamment Thierry Neuville sur cette courte portion. Le chrono donne à nouveau l’avantage à Lappi devant Latvala et Neuville ex-aequo.

    Le trajet suivant est un peu plus long avec le survol de montagnes et d’un lac pour se poser au cœur d’un champ d’éoliennes. Les 380 chevaux des nouvelles WRC parlent dans ce passage très rapide avec une trajectoire tendue. Dani Sordo, qui venait de perdre des minutes à cause d’une durite, devance ses rivaux de plus d’une demi-seconde au kilomètre !

    De retour au parc d’assistance basé à Alghero, la première journée se termine avec Hayden Paddon au premier rang, devant son équipier Thierry Neuville. Les deux Hyundai devancent alors Ott Tanak (Ford), Jari-Matti Latvala (Toyota), Mads Ostberg (Ford), Juho Hänninen (Toyota) et Sébastien Ogier (Ford)…

    A suivre.

  • Quelle est la ville la moins chère pour s’assurer ?

    Quelle est la ville la moins chère pour s’assurer ?

    Etabli selon l’évaluation des risques potentiels, le tarif d’une assurance auto est virtuellement différent pour chacun d’entre nous. L’âge du conducteur, son palmarès, ses déplacements et son lieu de résidence sont autant de paramètres à prendre en compte.

    En prenant un conducteur moyen, un site dévoile tarifs de l’assurance auto en France, en classant les vingt plus grandes villes de l’hexagone.

    Si l’on pouvait imaginer que Paris serait le mauvais élève, d’autres font pire ! Marseille est, en moyenne, la ville la plus chère avec 791 euros par an. C’est aussi le cas pour les jeunes conducteurs et les conducteurs de + de 55 ans. Dans la catégorie intermédiaire des 30 ans et 40 ans, c’est à Saint-Etienne que revient ce prix citron. Marseille est néanmoins à la deuxième place.

    Sur la deuxième marche du podium du classement général, Reims se place avec 712 euros, devant Lyon à 709 euros. Suivent Villerbanne et, enfin, Paris à 692 euros.

    Pour les moins chères, préférez Nantes, ville leader du classement global avec « seulement » 522 euros par an en moyenne. La deuxième place revient à Rennes (555 euros par an en moyenne), devant Toulon (587 euros par an en moyenne). La suite du classement est menée par Dijon, Strasbourg, Angers, Toulouse, Nîmes, Montpellier, Nice, Bordeaux, Grenoble, Lille, Le Havre et Saint-Etienne.

    Pour les jeunes conducteurs, Rennes est en tête devant Nantes et Montpellier. À partir de 55 ans, Angers prend la première place devant Rennes et Dijon, tandis Nantes, Le Havre et Toulon composent le trio de tête des 30 / 40 ans.

    L’analyse des tarifs a été effectuée sur une année complète entre le 1er mars 2016 et le 1er mars 2017 sur le site de comparateur d’assurance auto à travers les assureurs partenaires. L’étude englobe tous les niveaux de garantis et tous les modèles de véhicules.

  • Mazarine ne roulait pas en Peugeot

    Mazarine ne roulait pas en Peugeot

    Le 1er mars 1993, Louis Schweitzer retrouve la cour de l’Elysée. L’ancien directeur de cabinet du Premier Ministre Laurent Fabius – devenu patron de Renault – vient présenter la nouvelle Renault Twingo, citadine uniforme et colorée qui va révolutionner le marché français. Patrick Le Quément et Jacques Cheinisse sont également présents.

    Face à François Mitterrand, Renault gare deux Twingo, une rouge et une bleue. Le Président, en pleine campagne pour les législatives, choisit la rouge immatriculée 1409 XS 92. Cadeau de ce qui est désormais une société anonyme à capitaux d’état à la France, qui lui rend par un coup de pub appréciable.

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    Un peu plus de deux ans plus tard, lorsqu’il quitte l’Elysée en Citroën XM, François Mitterrand se rend directement à Solferino pour une ultime visite au siège du Parti Socialiste… La demande venait d’Henri Emmanuelli, alors Premier Secrétaire, qui désirait rendre un hommage fort à celui qui avait mené la France et la Gauche à travers les décennies.

    Rose au poing, des centaines de militants sont présents pour saluer l’ancien Président qui entame un discours lourd de sens sur la transmission « comme le passage d’une flamme » se souviendra Delphine Batho, plus tard.

    En ce mois de mai 1995, François Mitterrand est malade. Depuis trois ans, la France sait qu’il est atteint d’un cancer. Il lui reste moins de huit mois à vivre. Pourtant, le PS allonge la cérémonie pour lui remettre un cadeau de départ.

    Le choix est saugrenu. Le cadeau est une Renault Twingo verte ! Emmanuelli avouera que c’était un clin d’œil visant à aider Mitterrand à remplacer une « abominable Méhari verte » qu’il avait dans les Landes.

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    Ce 18 mai, Libération note la surprise du Président face à ce cadeau. Mais la Twingo fut loin d’être inutile. Peine perdue pour les hautes sphères du PS, elle n’a pas remplacé la Méhari. C’est Mazarine Pingeot qui l’a conduite pour se rendre au chevet de son père, avenue Frédéric Le-Play durant les huit derniers mois.

    Dans les couloirs de Solferino, la blague se répand. La Twingo est aussi « cabossée » que si François Mitterrand l’avait lui-même conduite. Et durant de nombreuses années, Mazarine Pingeot continuera de rouler dans cette Twingo verte cabossée, léguée par son père.

  • Essai Alfa Romeo Stelvio : Primo

    Essai Alfa Romeo Stelvio : Primo

    Depuis une bonne décennie, le plan produit Alfa Romeo subit des retards. Un lancement dans deux ans, remis deux ans plus tard et encore deux ans plus tard. Quand les Alfistes attendaient une renaissance, Milan restait inerte. Enfin. Après la Giulia, voici le Stelvio, le premier SUV de la marque. Mais ne vous attendez pas à une révolution.

    Entre 2005 et 2014, Alfa Romeo a présenté quatre plans de relance. Divers plans produits annonçaient l’arrivée d’une 4C et d’un SUV-D dès 2012, de la Giulia berline et break, d’une MiTo 5 portes et d’un Spider en 2013 et d’un SUV-E en 2014… Beaucoup de rêves.

    Ce n’est qu’en avril 2014 que les choses ont vraiment bougé. Huit personnes se sont retrouvées dans une nouvelle unité de travail, destinée à replacer Alfa Romeo dans son temps.

    De ces huit ingénieurs, l’équipe a changé de forme. Aujourd’hui, ils sont un millier, dont un quart à moins de 30 ans, à chercher des solutions d’avenir pour leur Marque.

    Leurs efforts sont déjà visibles sur Giulia et Stelvio… Mais leur route ne fait que commencer. Ancrés dans un univers Alfa Romeo, ils ont donné la priorité à la base technique et mécanique.

    Au volant du nouveau Stelvio, on retrouve les gènes d’Alfa Romeo. Tout SUV qu’il est, il respire la sportivité avec un ensemble moteur-boite (essence 210 chevaux, boîte auto à 8 rapports) excellent. Le châssis est au diapason.

    Alfa Romeo s’est très clairement concentré sur la conduite, le caractère. Il faut dire qu’en entrant dans l’habitacle des nouvelles créations d’Alfa Romeo, on est loin, on est très loin des standards d’autres constructeurs. La numérisation n’était pas une priorité. Chez Alfa, on conduit.

    Les choix techniques du récent SUV Stelvio soulignent cette gestion des priorités. Même en version quatre roues motrices Q4, la transmission envoie 100 % du couple aux roues arrière. Ce n’est qu’en cas de besoin qu’un transfert autorise la moitié – pas plus – à passer sur les roues avant. L’objectif était de gagner de la masse avec un système qui ne coûte que soixante kilogrammes. D’autres options ont été prises, comme l’arbre de transmission en fibre de carbone ou les portes, hayons, bloc moteur et suspension en aluminium.

    Face au défi que représentait de produire une voiture rapidement, Alfa Romeo a pris le pari de proposer un modèle fait pour le plaisir de conduire en délaissant certaines technologies.

    La marque s’en félicite presque. L’aspect fondamental de son image réside dans cette conduite sportive. Que faire d’aides qui agiraient directement sur le volant pour rester dans une voie ? C’est donc délibérément qu’Alfa Romeo se passe des développements les plus récents pour se contenter d’un régulateur adaptatif ou d’une simple alerte de franchissement de ligne. Il n’y a que ce qui est nécessaire pour obtenir les 5 étoiles EuroNCAP qui a été implémenté.

    Voilà pourquoi le style intérieur des nouvelles Alfa Romeo est aussi « classique ». Sur le Stelvio – qui sera prochainement commercialisé – les compteurs restent analogiques avec une énorme double casquette destinée à rendre homme au Coupé Bertone. Un dessin incompatible avec un affichage tête haute.

    Alfa Romeo procède par étape. Même si la clientèle BMW est un objectif, il faut surtout reconquérir le cœur des Alfistes. Ce n’est qu’à ce prix que d’autres ambitions pourront naître.

  • Mode d’emploi de l’assurance auto

    Mode d’emploi de l’assurance auto

    La souscription d’un contrat d’assurance est obligatoire pour tous les véhicules, même s’il ne circule plus. C’est le cas si vous en êtes propriétaire ou si votre véhicule est en leasing.

    Tous les véhicules terrestres à moteurs doivent être assurés, que ce soit une voiture (particulières, utilitaires ou sans-permis), d’un 2 ou 3 roues (motos ou scooters), d’un quad, même non-homologués, comme une mini-moto, d’une tondeuse auto-portée, munie d’un siège qui permet au conducteur de manœuvrer l’engin…

    Un véhicule doit être assuré, même s’il ne circule pas, par exemple s’il reste dans un garage et n’en bouge plus.

    Vous pouvez souscrire ce contrat d’assurance notamment auprès d’une société d’assurances comme https://www.axa.fr/assurance-auto.html, d’un courtier ou d’une banque.

    Vous devrez indiquer le type de garantie que vous souhaitez obtenir à l’assureur. Vous devez au moins garantir le véhicule avec une assurance responsabilité civile, mais vous pouvez généralement étendre cette garantie. Si vous étiez déjà assuré, vous devrez transmettre un relevé d’informations délivré par le précédent assureur.

    L’assureur peut vous demander de compléter un questionnaire pour lui permettre d’évaluer les risques et de fixer la prime. Il vous faudra annoncer si vous utiliserez votre véhicule pour vous rendre à votre travail, le ou les conducteurs habituel(s) du véhicule, les précédents accidents importants subis, les éventuelles sanctions (suspension du permis…). Les informations que vous donnez à votre assureur doivent être exactes.

    La fausse déclaration

    Une fausse déclaration ou une omission peuvent avoir de lourdes conséquences et est considérée comme une escroquerie. En effet, les indemnités que vous auriez dû toucher peuvent être réduites et vous pourriez devoir indemniser vous-même en partie les victimes en cas d’accident. Si une déclaration de mauvaise foi est constatée, le contrat peut être considéré comme nul. L’assurance ne jouera pas mais l’assureur conservera cependant la cotisation.

    L’assureur sollicité doit vous remettre une proposition d’assurance avec une fiche d’information sur les prix et les garanties, un exemplaire du projet de contrat et de ses annexes ou une notice d’information détaillée. Les documents doivent être clairs et rédigés en caractère apparent. Ils vous renseignent très précisément sur les limites de garanties (liste des risques non couverts, par exemple), la loi et les instances compétentes en cas de litige, le déclenchement de la garantie pour les contrats de responsabilité (déclenchement par le fait dommageable ou par réclamation).

    Annulation d’un contrat

    Pour revenir sur votre décision et annuler le contrat d’assurance, vous avez un délai de rétractation de 14 jours si vous avez été démarché par téléphone ou à votre domicile, si vous avez répondu à un publipostage ( par courrier classique ou électronique), ou si le contrat a été conclu par internet.

    Adressez à votre assureur un courrier recommandé avec accusé de réception lui signalant votre intention d’annuler votre contrat. Vous n’avez pas à justifier votre décision.

    Vous devrez cependant payer la prime d’assurance au prorata du nombre de jours assurés. L’assureur doit vous rembourser les sommes déjà versées dans un délai de 30 jours suivant la résiliation. Passé ce délai, les sommes dues sont augmentées d’intérêts légaux.

    Attention, vous ne pouvez plus vous rétracter si un sinistre est arrivé pendant le délai de rétractation et que vous avez fait fonctionner votre garantie.

    L’assureur à qui vous demandez une proposition accepte ou non de vous garantir. Il n’a pas de délai légal à respecter pour répondre. Si l’assureur donne son accord, il doit vous remettre le contrat d’assurance, comprenant les conditions générales (risques garantis, exclusions, franchises, démarches pour déclarer un sinistre, paiement des cotisations…), et les conditions particulières (identité de l’assuré et de l’assureur, description du risque, montant de la garantie et de la première cotisation…).

    Une fois que vous avez remis le contrat signé à l’assureur, l’assureur vous transmet une attestation qui prouve de l’existence du contrat.

    L’assureur doit également vous fournir un certificat d’assurance, appelé aussi papillon vert, à afficher sur votre véhicule.

    Si vous ne disposez pas d’assurance, vous risquez une amende de 3 750 €, une suspension de permis de conduire (jusqu’à 3 ans), l’annulation de votre permis de conduire et l’interdiction de le repasser pendant 3 ans (au plus), l’interdiction de conduire certains véhicules, même s’ils ne nécessitent pas le permis de conduire et la confiscation du véhicule.

  • Reborn, version 2011 / 2017

    Reborn, version 2011 / 2017

    Après Jaguar qui a lancé de nouvelles séries de cette série limitée d’époque, après David Brown qui réinterprète les cultes britanniques du XXe siècle, c’est au tour de Fisker de faire revivre son – seul – modèle.

    À l’origine de cette folie : Henrik Fisker. Type un brin mégalo, complètement talentueux. Aston Martin V8 Vantage, DB9, BMW Z8, c’est lui… Mais il en voulait plus. En 2005, il crée Fisker Coachbuild, transformé en Fisker Automotive. Le premier concept Karma apparait au salon de Detroit 2008. Trois ans plus tard, la production du modèle hybride commence sous l’œil attentif de Leonardo di Caprio, ambassadeur de luxe. Le Time Magazine place la création parmi les 50 meilleures inventions de l’année et les récompenses s’accumulent.

    Dès le mois de décembre, le fournisseur de batterie lance un rappel… Suivi d’un second en mars 2012. En octobre, A123 Systems fait banqueroute. 2 000 Karma sont en circulation dans le monde, mais l’approvisionnement est bloqué. Cinq mois plus tard, Henrik Fisker quitte sa marque. Le système s’écroule.

    Mais rien n’est terminé. Le quinqua danois revient fin 2016 avec Fisker Inc., désormais baptisé Karma Automotive grâce à des capitaux chinois (Wanxiang Group). Et sa Fisker Karma est également de retour sous le nom Karma Revero.

    Huit points de vente ont été identifiés aux Etats-Unis et le premier modèle devrait être livré en ce mois de mai 2017 contre un virement de 130 000 dollars.

    Pour annoncer ce retour sur les routes, Karma a diffusé une publicité de trente secondes sur CBS durant la diffusion de polo…

     

  • Avec le Velar, Range Rover fait sa gamme

    Avec le Velar, Range Rover fait sa gamme

    Au-dessus d’un Evoque au tarif d’appel à 36 000 euros et sous le Range Rover qui s’affiche à partir de près de 100 000 euros, le nouveau Velar accompagne le Range Rover Sport au cœur de la gamme, avec une signature beaucoup plus moderne.

    Le Range Rover va bientôt fêter son demi-siècle d’existence. Il y a 48 ans, deux prototypes de celui que l’on nomme désormais Classic ont emprunté les futures routes du Paris-Dakar. En Algérie, au Niger et au Maroc, deux Range frappés des lettres VELAR au bout des capots ont entrepris des tests extrêmes en Afrique du Nord. En cinq semaines, ces deux « Velar » et deux Land Rover d’assistance ont parcouru 6 500 kilomètres afin de donner le feu vert pour la commercialisation du premier Range Rover.

    En 2017, la marque ressort ce patronyme inventé par un ingénieur… Velar est hérité du latin velare qui signifie voiler, couvrir. Le Velar trouve sa place entre le compact Evoque et le plus posé Range Sport.

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    Présenté à Londres le 1er mars alors que j’étais encore dans l’avion pour rentrer d’un essai du Land Rover Discovery aux Etats-Unis, le Velar a enfin posé ses roues en France la semaine dernière.

    Installé sur un podium, il impose sa ligne, il impose sa marque. Un vrai Range. Le Velar est massif, les 4,80 mètres et les 1 800 kg sont visibles à l’œil nu sans que ce soit péjoratif. Face à la mode des SUV et de tous ces conducteurs qui veulent être « assis haut » et « dominer la route », le Velar s’apprête à dominer la circulation. Cette masse n’exclut pas de la finesse dans le trait.

    Le coup de crayon est l’œuvre de Gerry McGovern, venu à Paris pour défendre sa réalisation. Ce pur anglais plus tea-time que fish-and-chips, dessine les Land Rover depuis le Freelander. Son verbe mélange un langage de marketeux et d’artiste, fait de « challenge », d’« émotion », de « puissance », de « technologie », d’« unique », de « glamour »… Et j’en passe.

    Mais le talent est bien là. Et il en faut pour trouver sa place sur un marché en pleine expansion face à de solides Mercedes, BMW, Audi et Porsche, face à Volvo en mode offensif, face au cousin Jaguar, mais aussi à Jeep, Acura, Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC, Infiniti, Lexus, Lincoln ou Toyota…

    La ligne conserve le capot horizontal de la marque, suivi par un toit flottant et une ligne de caisse tirée vers l’arrière. L’empattement de 2,87 mètres se situe entre l’Evoque et le Range Rover Sport. Le long porte-à-faux arrière étire la ligne et gonfle le coffre à 673 litres. Dernier détail de raffinement, les poignées de portes sont escamotables.

    Dans l’habitacle, nouveau coup de cœur dans des sièges chauffants, ventilés et massants. Au centre de la planche de bord, deux écrans de 10 pouces. L’habituel affichage (navigation, médias, téléphonie) est un peu trop bas, en laissant la meilleure place aux aérateurs. Le second (température, modes de conduite) impressionne avec l’intégration des boutons physiques de climatisation. La finition noire très brillante montre qu’elle prend très vite les traces de doigts.

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    Sous le capot, trois Diesel de 180, 240 et 300 chevaux et deux essences de 250 et 380 chevaux sont proposés avec une transmission intégrale permanente à commande automatique à 8 rapports.

    Les tarifs sont déjà connus de 57 500 euros pour l’entrée de gamme en Diesel ou essence à 110 300 euros pour une Première Edition de 380 chevaux.

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  • El Condor pasa

    El Condor pasa

    J’ai passé quelques années à traverser le monde à la poursuite des équipages du Championnat du Monde des Rallyes. Des milliers de souvenirs, des dizaines de victoires, quelques titres… Et lorsque l’on me demande où il faut aller pour vivre les plus belles épreuves du WRC, je réponds à chaque fois : Argentine et Finlande !

    La Finlande, évidemment… Le pays du rallye par ses routes, son ambiance et ses pilotes : Mikko Hirvonen, Jari-Matti Latvala, Juha Kankkunen et même Kimi Räikkonen ! Pour sa ville de Jyväskylä, dédiée à l’épreuve durant une semaine. J’ai toujours entendu que le Rallye de Finlande coïncidait avec la fin de leurs vacances scolaires et que c’était l’occasion de célébrer une grande fête. Une fête pleine de vitesse… Et pas mal d’alcool !

    L’Argentine est un déplacement bien plus lointain, dans une culture très différente. Contrairement à la Finlande, il n’a pas compliqué de trouver un bon restaurant pas trop cher.

    L’ambiance est moins cosmopolite. Les étrangers présents sur le rallye sont exclusivement importés par la course. Le public est 100 % argentin, avec ses propres habitudes. Nous sommes en présence de fans de sport automobile, pas forcément de spécialistes du rallye. Ils aiment la course, le sport et mettre l’ambiance !

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    Des voitures sont garées un peu partout sur le bord des routes en terre toujours cassante, entre des pierres parfois aussi grosses que les Corsa. On trouve des tentes et des groupes d’amis partout, sur des dizaines de kilomètres, sur des centaines de kilomètres. Quelle que soit l’heure, les grillades sont en cours. Asado et Fernet Branca.

    Côté météo, il faut s’attendre à avoir très froid le matin et beaucoup plus chaud l’après-midi. Villa Carlos Paz ne m’a pas laissé un souvenir dingue en termes d’intérêt touristique. Mais les routes et le paysage valent bien plus pour les amoureux des rallyes.

    Il y a le Col de Turini pour le Monte-Carlo, Ouninpohja en Finlande… Et il y a El Condor en Argentine. Ce n’est pas forcément là que le rallye se joue. En Argentine, les routes sont si cassantes que l’écrémage est souvent fait dès le début de course, entre ceux qui veulent frapper un grand coup d’entrée et qui s’éliminent rapidement et ceux qui, trop prudents, prennent une valise dès le vendredi.

    Cette année, Elfyn Evans a profité des conditions pour prendre une minute d’avance sur la concurrence avec sa Ford Fiesta WRC équipée de pneumatiques chinois Dmack… Jusqu’à ce que les favoris de la course pour le titre mettent la machine en route. Et c’est bien dans El Condor que Thierry Neuville est allé gagner son quatrième rallye mondial avec sa Hyundai i20 Coupé WRC chaussée en Michelin.

    Dans la configuration 2017, El Condor est une longue descente de 2 136 à 1 389 mètres d’altitude en 16 kilomètres. Le paysage est lunaire… Mais comme si des dizaines de milliers de personnes pouvaient faire griller du bœuf au bord d’une route sur la Lune !

    C’est lent, c’est tortueux. Ce n’est pas forcément le plus excitant pour les équipages, mais c’est un vrai plaisir pour les spectateurs et les photographes qui parcourent le monde à la recherche de la photo qui marquera la saison.

    Cette fois, Thierry Neuville a gagné. 0,7 seconde devant Elfyn Evans… Le troisième écart le plus faible de l’histoire après deux manches qui restent bien ancrées dans ma mémoire : le 0,2 seconde entre Sébastien Ogier et Jari-Matti Latvala lors du Rallye de Jordanie (il faudra que je redemande à Julien Ingrassia de raconter cette dernière spéciale) et le 0,3 seconde entre Marcus Grönholm et Sébastien Loeb lors du Rallye de Nouvelle-Zélande 2007.

    Attention, l’Argentine représente bien d’autres souvenirs… Le décalage horaire, les longueurs, la soirée du dimanche soir au Zebra, voir des collègues se faire voler leur matériel. J’y ai même égaré un passeport durant un dimanche un peu trop long. Et je peux vous assurer qu’il est parfaitement possible de rentrer en France après avoir perdu son passeport. Même si c’est une sacrée mission de monter dans un avion pour un vol intérieur, passer à l’ambassade de France, dans un commissariat sans vraiment parler espagnol, puis au consulat avant d’attraper le vol du retour vers l’Europe. Sacrée expérience ce Rallye d’Argentine !

  • David Brown : une Mini après l’Aston Martin

    David Brown : une Mini après l’Aston Martin

    Sur le papier, tout semble être un programme destiné à dépenser beaucoup d’argent sans jamais faire entrer la moindre recette. Un entrepreneur dont la principale qualité est de partager son nom avec un grand industriel automobile a décidé de produire une nouvelle voiture.

    Il s’appelle David Brown. Il n’a jamais produit le moindre tracteur, il n’a jamais sauvé Aston Martin… Cet entrepreneur britannique (homonyme) a rêvé d’un nouveau modèle. Il a décidé de le fabriquer en espérant que ses semblables y trouvent – aussi – la voiture qu’ils recherchent.

    Il y a trois ans, David Brown a présenté une Aston Martin DB6 revisitée. Châssis et moteur récupérés d’une Jaguar XKR (5,0 litres V8 de 510 chevaux), dessin réalisé par Alan Mobberley, ancien responsable du design de Land Rover. Le résultat est réellement envoutant. La Speedback GT a été produite à cinq exemplaires deux ans et demi après son apparition.

    À Silverstone, l’objectif est de continuer à produire de nouveaux châssis à raison de six à dix nouveaux modèles chaque année au tarif exorbitant de 580 000 euros HT.

    Mais il en fallait davantage pour David Brown. Cette année, il lance la Mini Remastered. L’idée est aussi simple que pour la Speedback GT avec la DB6 : faire une nouvelle Mini, une vraie nouvelle Mini, loin des maxis MINI couvées par BMW.

    En 3,055 mètres de longueur, 1,470 mètre de largeur et 1,330 mètre de hauteur, avec une masse totale de 740 kilogrammes et un rayon de braquage de 8,7 mètres, cette Mini retrouve un physique Classic.

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    Côté technique, on reste aussi dans l’esprit Mini originel… Moteur 4 cylindres 1,275 litre de 78 chevaux pour atteindre les 100 km/h en 11,7 secondes avec une vitesse maxi de 145 km/h. Les émissions de CO2 sont annoncées à 184 grammes par kilomètre.

    Deux séries de 25 exemplaires ont déjà été révélées : Inspired by Café Racers dans un style très vintage dans le traitement de cuirs et une ambiance motard. Inspired by Monte Carlo est davantage sportif. Les deux reçoivent un système d’infotainment dans un écran de sept pouces avec Apple CarPlay et Android Auto, une climatisation et le démarrage sans clé.

    Les premières livraisons sont programmées pour l’hiver prochain pour un peu moins de 90 000 euros HT.

  • La Suède s’installe à Paris

    La Suède s’installe à Paris

    Absent du Mondial de l’Automobile de Paris à l’automne dernier, Volvo prend sa revanche en ce début de printemps avec 1 100 m2 dédiés au nouveau XC60 au cœur du Jardin des Tuileries.

    « Alors, c’est quoi the next big thing ? » On me pose continuellement cette question. Evidemment, il ne faut pas être un génie pour prédire que l’avenir de l’automobile tournera autour d’une nouvelle énergie, éloignée des carburants fossiles que nous connaissons aujourd’hui et de la conduite autonome. Mais qui, quoi, comment ? Il reste encore beaucoup à faire.

    Et pourquoi ne pas parler de ce qu’il se passe en ce moment ? Beaucoup de marques entament de larges restructurations stratégiques. C’est le cas en France… Et sur qui devrait-on prendre exemple ? Une réponse : Volvo !

    Volvo était la marque solide, carrée et carrée. Oui, très carrée. Comme les autres constructeurs passés dans le giron de Ford, sous l’ère Jacques Nasser, les Suédois ont connu une génération « sans ». Mais Volvo a survécu grâce à de nouveaux capitaux venus de Chine.

    En 2017, Volvo n’est plus carré. Volvo n’est plus le pendant automobile d’Ikea ou de Tetra Pak. Aujourd’hui, Volvo est à la pointe, comme Spotify ou Skype, d’autres pépites suédoises. Volvo ne vend plus de voitures, Volvo propose un style de vie. Et ce style de vie s’impose dans Paris avec trois SUV XC60 installés aux Tuileries.

    En cette fin du mois d’avril, avec l’arrivée du soleil et des températures plus convenables aux balades parisiennes, Volvo s’est emparé de 1 100 m2 du Jardin des Tuileries pour montrer à la ville et au monde son nouveau XC60.

    Ce SUV est un projet capital pour Volvo. Après le succès de toute la gamme « 90 », l’objectif est une concrétisation. Sur le plan global, le XC60 est le modèle le plus vendu de la marque. Il doit souligner le renouvellement de Volvo et continuer de gêner les amis allemands.  

    Après l’Allemagne, la Suède et la Norvège, c’est donc en plein Paris que Volvo s’installe pour afficher son style de vie. Ville dense et resserrée, la capitale française n’offre pourtant pas toutes les garanties pour une telle opération. Mais Volvo a réussi à réunir tous les accords possibles et imaginables pour s’étaler sur un peu plus d’un dixième d’hectare. Une autre marque automobile l’avait fait récemment sans pouvoir montrer son logo. Cette fois, le sigle Volvo se voit et il se voit de loin.

    Le barnum requiert 12 semi-remorques. Et les complications ne se sont pas arrêtées avec la signature des accords avec le Louvre, qui gère le Jardin des Tuileries, et la Préfecture de Police… Alors que tout était prévu pour stationner les camions, Tom Cruise et son équipe ont squatté les espaces réservés pour le tournage de Mission: Impossible. Casse-tête à la veille de trois jours de montage.

    Mais le résultat est convaincant. Volvo a réussi à s’implanter au cœur de Paris pour montrer son positionnement : très Suédois, hybride aussi. Volvo a séduit les délégations parisiennes depuis les premières discussions en novembre.

    Toute la semaine, des invités de la marque vont pouvoir profiter des XC60 exposés et de l’ambiance nordique des espaces de détente. 2 000 personnes sont attendues. Ce week-end et le week-end prochain, le lieu est ouvert au public, avec une sécurité renforcée. De quoi attirer du monde autour de ce modèle de nouvelle génération dont le T8 à motorisation hybride de 407 chevaux intéresse déjà plus d’un tiers des acheteurs… Quand je vous dis que Volvo est la marque Big Thing du moment !