Étiquette : Lamborghini

  • La course club very, very VIP

    La course club very, very VIP

    Il y a quelques semaines, je partageais ce sentiment de voir les voitures « track-only » doucement remplacer les modèles compétition-clients conçus pour les pilotes bronze. SRO pousse le concept un peu plus loin en donnant du temps de piste à des conducteurs « d’ultracars ».

    Bugatti Veyron, Koenigsegg One:1, Pagani Huayra, Ferrari LaFerrari ou série XX, Lamborghini Veneno, McLaren P1, Porsche 918, les équipes de Stéphane Ratel ne visent que l’excellence. Deux rendez-vous sont organisés cette année dans le cadre des Blancpain GT Series, en France sur le Circuit Paul Ricard et en Italie à Misano.

    Au cœur du programme des GT3 du Blancpain GT Series, la piste est réservée aux ultracars pour quatre sessions de trente minutes. Aucun chronométrage ne permet aux conducteurs de s’étalonner.

    Pour lancer l’événement dans le Var, les constructeurs se sont largement impliqués… McLaren a dépêché une P1 GTR – pour une première en public – avec son pilote d’essais Chris Goodwin. Lamborghini a amené deux des neuf Veneno produites, un Coupé et un Roadster. Bugatti a confié une Veyron 16.4 Grand Sport Vitesse / World Record à Pierre-Henri Raphanel et Aston Martin aligne une One-77…

    Les vrais clients étaient aussi présents avec une Ferrari 599XX, une LaFerrari, une Pagani Huayra, une Gumpert Apollo et une McLaren P1.

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    Au-delà des tours de circuit, les propriétaires (car les conducteurs doivent être propriétaires de leur voiture) sont invités en Relais & Chateaux… Du très, très VIP qui permet de voir rouler quelques-unes des plus belles réalisations de l’industrie automobile de cette dernière décennie.

  • L’auto-artistique

    L’auto-artistique

    Oscar Wilson s’amuse à écrire sur des voitures… Pour quelques clients renommés, il exerce son talent d’artiste sous des formes diverses. Côté auto, pour Influx en particulier, il s’est amusé sur une Peugeot 205 T16 et une Lamborghini Bora.

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  • Lamborghini : Nous sommes plus exclusifs que Ferrari

    Lamborghini : Nous sommes plus exclusifs que Ferrari

    A New-York, Lamborghini avait préféré s’installer dans l’une de ses concessions plutôt que de payer un stand au cœur du salon. Stephan Winkelmann a pu faire son show devant des clients et quelques journalistes américains.

    Dans Car and Driver, une intéressante interview du patron permet de rappeler les ambitions de la marque italienne.

    Morceaux choisis :

    « Nous sommes bien plus exclusifs qu’eux (Ferrari). L’an passé, nous avons vendu 2 500 voitures, ils en ont vendu 7 000. Nous sommes donc bien plus exclusifs que tous les autres. Notre stratégie est de proposer un V10 et un V12. Nous n’essayons pas d’atteindre la limite. »

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    « Il y a un marché dans lequel on mélange premium et luxe, c’est une première erreur. Le premium est une chose, le luxe en est une autre. Et dans le luxe, il faut séparer les voitures super sportives, les limousines et les GT. Pour ce qui est des voitures super sportives, les ventes sont stables depuis une dizaine d’années. En 2007-2008, nous avons eu un pic. En 2009, le marché est tombé d’un tiers. »

    « Le segment des SUV progresse rapidement. C’est vrai pour les marques généralistes et premium. Mais il n’y a aucun SUV luxueux. Nous pensons qu’il y a un marché global et c’est quelque chose de très intéressant. Mais aucune décision n’a encore été prise. »

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    « Le segment inférieur (à moins de 200 000 euros) est très compétitif. Ce qui veut dire que ça se passe comme si l’on essayait de vendre des centaines de milliers de voitures, il y a une guerre des prix. Nous ne travaillons pas sur quelque chose comme ça. Peut-être qu’en faisant des développements sur nos modèles actuels, nous pourrions avoir des opportunités. Mais il n’y aura pas de nouvelle voiture dans cette gamme. »

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    « Nous avons créé l’Asterion comme un démonstrateur technologique. Il y avait une idée derrière. Il fallait montrer notre savoir-faire si nous devions nous adapter à de nouvelles lois. Ce n’était donc qu’un démonstrateur, on ne cherche pas à créer un nouveau modèle. Nous avions besoin de retours, par la presse, nos fans et nos clients. L’innovation est importante, mais pas si elle ne sert que l’innovation (…). Nous voulons maintenir nos V12 atmosphériques, car rien ne les égale. Peut-être que nous trouverons quelque chose de différent qui sera meilleur. Nous serons alors prêt à changer. Mais il faut que ce soit une réelle innovation, pas une décision d’un gouvernement au sujet du CO2. Le kilométrage moyen de nos voitures est très faible. Nos clients achètent l’un de nos modèles pour le rêve. Ils veulent quelque chose qui va plus loin que leurs attentes. Ils roulent une fois de temps en temps pour sortir le soir ou rouler le week-end. Leur utilisation n’impacte pas les émissions de CO2 dans le monde. »

  • Avant l’Estoque, la Lamborghini Espada

    Avant l’Estoque, la Lamborghini Espada

    Lors du Salon de Genève 1968, Ferruccio Lamborghini levait le voile sur un coupé quatre places d’un genre nouveau : l’Espada. C’était quarante ans avant l’arrivée de portes arrière sur le concept Estoque.

    L’objectif de l’ancien constructeur de tracteurs était alors d’étendre sa gamme. Il avait commandé une ligne nouvelle à Bertone.

    Après la Miura et avant la Countach, Marcello Gandini a donc dessiné l’Espada, un coupé 2 portes assez habitable pour installer quatre adultes et leurs bagages.

    Durant ses dix années de production, l’Espada a reçu plusieurs modifications. Mais alors que le moteur et l’intérieur ont évolué lors de chaque nouvelle série, la carrosserie n’a jamais été remaniée.

    Côté performances, l’Espada pouvait atteindre 250 km/h avec un 12 cylindres 4,0 litres capable de produire 325 à 350 chevaux.

    Avec 1 227 exemplaires produits, l’Espada fut la Lamborghini la plus vendue entre 1968 et 1978, plus d’informations ici

    Pourquoi y voir les prémices d’une berline badgée Lamborghini ? Car il y a bien eu une version 4 portes de l’Espada. En 1978, la Faena fut présentée au Salon de Turin. Dessinée par le carrossier italien Pietro Frua, cette version reposait sur un empattement allongé de 18 centimètres. Ce modèle unique est aujourd’hui la propriété d’un collectionneur suisse.

    La Feana, évidemment, et l’Espada, également, sont des modèles aujourd’hui introuvables. Désormais, les concessions Lamborghini proposent des Aventador et Huracan. Et impossible d’en trouver chez les mandataires. Mais pour de nombreuses autres marques, les nouveaux marchés de l’automobile, symbolisé par les ventes via internet et par l’intermédiaire de mandataires, permet de réaliser de bonnes affaires, comme sur le site Voitures.com qui propose des voitures à des prix plus qu’intéressants.

  • Concorsa d’Eleganza Villa d’Este : MINI ou Lamborghini ?

    Concorsa d’Eleganza Villa d’Este : MINI ou Lamborghini ?

    Chaque année, le concours d’élégance de la Villa d’Este permet de retrouver quelques-unes des plus belles voitures du patrimoine mondial. Mais certains constructeurs en profitent aussi pour présenter de jolies études de style. MINI et Lamborghini s’y invitent en compagnie de carrossiers locaux.

    MINI Superleggera Vision
    C’est le fruit d’une collaboration entre MINI et le carrossier milanais Touring Superleggera : un concept britannique à l’accent italien pour un roadster très réussi.

    mini-superleggera-vision-arriere

     

    mini-superleggera-vision-interieur

    Lamborghini 5-95 Zagato
    Un autre carrossier italien se montre… Zagato présente une nouvelle robe sur la base d’une Lamborghini Gallardo LP570-4.

    lamborghini-595-zagato-arriere

    lamborghini-595-zagato

  • Concept Car : Lamborghini Estoque

    Concept Car : Lamborghini Estoque

    Une berline portant l’emblème de Lamborghini ? Et pourquoi pas si l’on s’intéresse aux chiffres de Porsche ! Lors du Mondial de Paris 2008, la marque de Sant’Agata Bolognese s’était essayée à l’installation de portes arrière.

    Longue, large, avec un empattement énorme et des ailes arrière dignes d’un muscle car américain. En 2008, Lamborghini avait dévoilé un concept de berline à travers l’Estoque.

    lamborghini-estoque-arriere

    Depuis, l’idée est restée en sommeil. Il n’y a toujours aucune Lamborghini quatre portes de série et toujours aucune remplaçante à quatre places depuis l’Espada de 1968 si l’on considère le 4×4 LM002 comme une exception.

  • Nouveauté : Lamborghini Huracan LP 610-4

    Nouveauté : Lamborghini Huracan LP 610-4

    On attendait la remplaçante de la Gallardo pour le Salon de Genève, Lamborghini n’a pas attendu le début d’année pour dévoiler les premières photos de sa nouvelle Huracan LP 610-4.

    14 022 Gallardo ont été produites avant que le taureau ne soit remplacé. Celui qui entre dans l’arène appartient à la race « Conte de la Patilla ». Huracan s’est illustré à Alicante en août 1879. Un détail que seuls les très grands fans de Tauromachie peuvent connaître. Je n’ai retrouvé trace de cette race que dans la presse toulousaine du début du siècle dernier !

    L’Huracan conserve une vraie silhouette de Lamborghini en lui donnant un réel style contemporain plutôt réussi.

    Sous le capot, on annonce un nouveau V10 5,2 litres de 610 chevaux (qui explique le nom) pour 560 Nm. Avec ses quatre roues motrices, elle passe de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes et atteint 325 km/h en vitesse de pointe.

    Premières livraisons dès ce printemps. Le tarif n’a pas été communiqué.

  • Visitez le musée Lamborghini grâce à Street View

    Visitez le musée Lamborghini grâce à Street View

    La Terre des Moteurs… Un triangle dessiné entre Bologne et Modène, une région magnifique, savoureuse, magique. En quelques kilomètres, Maserati, Ferrari, Pagani, Lamborghini y sont nés. Un peu plus loin, Dallara, Ducati, Malaguti, Minardi… Terre promise !

    Avant de préparer votre voyage (et découvrir ce qui vous attendra dès l’aéroport), Lamborghini nous propose une visite de son musée de Sant’Agata Bolognese grâce à Street View sur Google Maps.

    Le musée a ouvert ses portes en 2001 à l’occasion de la présentation de la Murcielago. Depuis, on peut y croiser la 350 GT, la toute première voiture de Ferruccio Lamborghini, une collection de Miura, l’excentrique Espada, le prototype de Countach, l’énorme LM002, des Diablo, les F1 motorisées par Lamborghini…

    A vous !

  • Citation : Mauro Forghieri

    Citation : Mauro Forghieri

    Directeur Technique de la Scuderia Ferrari des années 60 à 80, l’Italien Mauro Forghieri venait de dessiner le nouveau V12 Lamborghini alignée en F1 en 1989 lorsqu’il a prononcé ces mots : « Les Japonais n’égaleront jamais les noms de Ferrari ou Lamborghini, même avec la NSX. Un nom comme Honda ne pourra jamais être au même niveau, même s’ils produisent la meilleure voiture du monde. Une Honda restera une Honda. »

  • Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Les journées presse sont terminées… Désormais, le Salon de Francfort va être ouvert au public. Voici ce qu’il faudra voir si vous passer quelques heures dans cette immensité dédiée à la mécanique (et à la mécanique allemande).

    Entrée par le Hall 2… Ce premier bâtiment est entièrement consacré à l’univers Mercedes. Conférence de presse lancée par un DJ très funk avec batteur, saxophoniste et trompettiste à bretelles. La marque à l’étoile travaille sa nouvelle image jeune, branchée, très dandy.

    L’ambiance change avec l’arrivée de l’homme à la moustache. Si Mercedes veut se rajeunir par le design de ses nouveaux modèles (voire nouvelles niches), Dieter Zetsche place l’ingénierie au cœur des priorités avec une longue présentation de la voiture autonome, sans grand intérêt dans le contexte de journées presse dédiées aux premières mondiales et à la découverte de concepts (c’est dit !). Heureusement, des GLA et surtout l’arrivée du concept Classe S Coupé ont redonné des raisons de se promener autour des voitures.

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    Départ vers le Hall 3. Volkswagen y impose sept marques avec Skoda, Seat, Bentley, Bugatti, Lamborghini et Porsche (en plus de Volkswagen !).

    Chez VW, l’ambiance est très « e » avec une longue liste de modèles électriques et hybrides à venir autour des Golf R et Golf Sportsvan dont l’allure est pourtant moins « sportive » que l’ancienne Plus.

    Petit moment sympa chez Skoda lorsque Jozef Kaban, patron du design extérieur de la marque, a pris une tablette – reliée à un écran géant – pour dessiner la partie avant de la Rapid Spaceback, l’une des premières mondiales du salon. En face, Seat mise beaucoup sur la Leon ST.

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    Chez Bugatti, on s’arrête devant la Jean Bugatti Vitesse Legend Edition. « La même en mieux. » Pas de grande nouveauté non plus chez Lamborghini et Porsche qui déclinent des versions déjà existantes ou connues.

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    Dans le 3.1, Mitsubishi est voisin de Chang’an. La seule marque chinoise venue à Francfort présente un gros SUV, le CS75, sans la moindre ambition de le vendre en Europe !

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    Passage par l’Agora où s’est installé Audi. L’A3 Cabriolet et A8 sont mis en avant mais ce sont les Sport quattro concept et nanuk quattro concept qu’il faut aller voir dans un environnement très réussi de ville retournée.

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    Changement d’ambiance dans le Hall 5. Quelques préparateurs stars accompagnent les « Britanniques » Jaguar, Land Rover et Aston Martin, Infiniti et Volvo.

    Chez Jaguar, il faut s’arrêter devant la C-X17. Comme pour d’autres, l’idée est d’explorer le marché très porteur des SUV. Et contrairement à d’autres, le concept est très réussi avec une vraie filiation au sein de la marque. Plus loin, Infiniti et Volvo présentent deux des plus belles réalisations du salon.

    En Allemagne, Infiniti a profité de ses accords avec Red Bull Racing pour faire venir Sebastian Vettel. Le triple Champion du Monde de F1 était présent pour dévoiler la très belle Q30. Et Infiniti a clôturé sa journée par une soirée assez jet-set.

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    Chez Volvo, c’est le Concept Coupe qui a attiré tous les regards. Garée sous une extraordinaire P1800, cette nouveauté hybride reste très loin d’être commercialisable en l’état mais on ne peut que pousser Volvo à avancer sur cette voie.

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    L’Italie et Hyundai sont installés dans le Hall 6. Rien d’inoubliable chez Lancia, Maserati, Fiat, Abarth, Alfa Romeo ou Jeep. Hyundai présente sa nouvelle i10.

    Ferrari propose sa 458 Speciale. Sur le papier, c’est très convaincant. Mais ce n’est pas franchement une nouvelle voiture.

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    On entre dans la seconde partie du salon après, déjà, quelques kilomètres de marche. Le Hall 8 est celui des marques françaises, avec un peu de japonaises et Opel.

    Arrivée au cœur de l’espace réservé à Citroën où la Cactus Concept, DS Wild Rubis et C-Elysée WTCC sont les plus en vue. Le stand met en valeur les nouveaux modèles. La marque aux chevrons continue d’être parfaitement en ligne avec ses ambitions commerciales. Le Cactus s’avère plutôt massif et encore très éloigné de ce que l’on peut attendre d’un modèle de série. Mais j’aime !

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    Un couloir DS est particulièrement réussi avec toute la gamme et un artisan en train de travailler du cuir devant les passants.

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    On continue chez Peugeot sur un stand moins impressionnant. Là, il faut vendre la nouvelle 308. Belle déclinaison 308 R, même chose pour la 208 Hybrid FE. Et l’Onyx, toujours apprécié, est encore là.

    Petit espace pour Dacia qui montre son Duster mis à jour. On passe Subaru pour filer chez Toyota, attiré par la Yaris Hybrid-R. C’est une vraie belle réussite avec, sous le capot, le nouveau Global Racing Engine 1,6 litre turbo de 300 chevaux et une commande de boîte du plus bel effet.

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    Chez Lexus, difficile de dire que le LF-NX Crossover Concept n’est pas réussi. Mais il est profondément conceptuel ! Nissan prouve encore sa faculté d’innovation. La marque japonaise propose une montre Nismo Watch qui pourrait faire un tabac chez les early adopters. Le X-Trail est la grosse nouveauté produit mais la vraie réussite vient du concept Friend-Me.

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    A Francfort, Opel joue à domicile et joue plutôt bien ! La nouvelle Insignia est accompagné du Monza Concept qui est l’une des révélations de ce salon.

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    Fin de ce Hall très fourni avec Renault. Nouvelle identité pour la Mégane (très légère), présence de Twin’Run et surtout Initiale Paris. Il faut avouer que le produit semble très abouti. L’intérieur ne sera sans doute pas aussi « futuriste », l’arrière sera peut-être retouché mais, dans l’ensemble, ce crossover pourrait rapidement donner une nouvelle vie à l’Espace.

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    Les jambes sont lourdes ? On attaque le Hall 9. Chez Ford, on est accueilli par les Coupes aux Grandes Oreilles. Enfin, la réplique ! Le S-Max Concept dispute la vedette à la Mondeo Vignale. Pas d’extravagance. Ford joue beaucoup sur les performances de son moteur EcoBoost avec une série d’animations.

    Chez Kia, on voit la nouvelle Soul et surtout le concept Niro.

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    Chez Honda, on met en avant les Civic Tourer et Type R au milieu du rappel de l’engagement sportif de la marque avec une Civic WTCC et une vielle McLaren-Honda.

    Touche sportive aussi chez Chevrolet avec les Camaro, Corvette Stingray et l’escargot de Turbo.

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    La touche américaine continue avec Cadillac et la très marquante Elmiraj… Un nom très « Golfe » pour une voiture qualifiée par le New York Times d’un peu britannique, un peu française et très américaine.

    Petit clin d’oeil chez Mazda avec la présence de Mazda 3 venue directement d’Hiroshima lors d’un long road-trip de 15 000 kilomètres. Trois des huit voitures, un peu sales, sont visibles à Francfort.

    Hall 11… C’est le dernier (enfin, ça dépend de votre entrée) et il est dédié au monde BMW. Les i3 et i8 prennent une place importante. Pour la première fois, l’i8 est présentée dans sa version définitive. Et ça ne déçoit pas. Série 4, Série 5, X5, eDrive… BMW a frappé fort à Francfort ! Et l’ambiance « bois » autour de la gamme i est très réussie.

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    Rolls-Royce et MINI nous font terminer la visite. Plein de personnalisation, dans des thèmes différents, pour les deux marques. Chez MINI, belle ambiance urbaine, des MINI actuelles, des MINI d’époque, mais pas de MINI de nouvelle génération. Non, MINI est NOT NORMAL et va créer son propre buzz à l’automne pour présenter son nouveau modèle. D’ici-là, on attendra avec les hot-dogs et les glaces (toutes petites, pardon mini) !

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    Voilà pour le résumé de deux jours virtuels à Francfort… A vous !

  • Commissaire-priseur : Lamborghini Miura SV

    Commissaire-priseur : Lamborghini Miura SV

    Vente Bonhams la semaine prochaine lors du Goodwood Revival Sale avec quelques pièces qui devraient dépasser le million d’euros. La question se posera pour cette Lamborghini Miura SV Coupé dont l’estimation se situe entre 890 000 et 1 million d’euros.

    Alors que Ferrari se concentre sur sa 275GTB à moteur avant, Ferruccio Lamborghini – un ancien constructeur de tracteurs – présente une Miura à moteur central arrière.

    Ferruccio s’était mis en tête de se confronter à Ferrari alors que l’usine de Maranello était à son plus haut niveau au début des années 60. En 1964, il lance les 350 GT et 400 GT : des modèles mécaniquement réussis mais dont le design n’avait pas marqué les esprits.

    Deux ans plus tard, la Miura arrive. Elle emprunte son nom à Don Eduardo Miura, un éleveur de taureaux de combats. Conçue par Gianpaolo Dallara et dessiné chez Bertone par Marcello Gandini, elle reçoit un V12 de 350 chevaux imaginé par Giotto Bizzarrini (ex Ferrari 250 GTO). Totale réussite, la Miura marque l’entrée de Lamborghini dans le cercle très fermé des constructeurs italiens de référence.

    En 1971, la nouvelle SV propose 390 chevaux. C’est ce modèle, le 701e des 765 Miura construites, qui fut livré à neuf à Rod Stewart en 1972. Il l’a conservé durant treize ans avant que cette Lamborghini ne soit vendue à un Britannique avant de partir vers Hong-Kong.

  • Goodwood Festival of Speed 2013

    Goodwood Festival of Speed 2013

    Evènement incontournable de la vie automobile, le Goodwood Festival of Speed est désormais un rendez-vous privilégié des constructeurs automobiles. Au cœur d’un parc privé, ils y mélangent leur histoire, leurs activités sportives, leur vision de l’avenir avec de nombreux concepts et leur production contemporaine… Petit tour sur cet ancien aérodrome de la RAF !