Étiquette : Lancia

  • Publicité : Renault Clio ou Lancia Ypsilon ?

    Publicité : Renault Clio ou Lancia Ypsilon ?

    Vincent Cassel a fait des apparitions dans deux publicités pour des citadines. Un an avant La Haine, il joue dans un spot pour la Renault Clio de première génération diffusé au Royaume-Uni. Devenu une grande star et mari de Monica Bellucci, il est l’acteur principal d’une publicité pour la Lancia Ypsilon quelques années plus tard.

  • Une F1 tombe dans le port de Monaco

    Une F1 tombe dans le port de Monaco

    Quatre ans après la création du Championnat du Monde de Formule Un, Lancia alignait sa première monoplace à la conquête du titre. En 1954, l’œuvre de Vittorio Jano menée par le Champion du Monde Alberto Ascari faisait ses débuts et semblait être la seule à pouvoir contester la suprématie de Mercedes. Elle fut aussi celle qui termina au fond du port lors du Grand Prix de Monaco 1955 !

    Ceux qui connaissent le dispositif mis en place aujourd’hui pour accueillir un Grand Prix dans les rues de Monaco ne doivent pas comprendre comment une monoplace peut finir dans le port.

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    Mais dans les années 50, la ville ne se transformait pas encore en circuit. A l’époque, les rues faisaient office de tracé urbain. En 1955, Juan Manuel Fangio et Mercedes affrontent Lancia et Alberto Ascari. Durant les qualifications du Grand Prix de Monaco, les deux pilotes signent le même temps (1’41’’1).

    Fangio et Ascari sont cote à cote au moment du départ. L’Argentin était contraint à l’abandon à cause d’un problème mécanique alors que l’Italien sortait de la piste et plongeait dans le port.

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    Ascari parvenait à se détacher et à quitter sa monoplace pour regagner la terre ferme avec l’aide des hommes-grenouilles.

    Quatre jours plus tard, alors que les médecins lui demandaient de se remettre de ses blessures, il se tuait lors d’essais à Monza avec Ferrari. Avant la fin du mois, Lancia annonçait son retrait de la compétition. Les six Lancia D50 déjà produites étaient livrées à Ferrari qui récupérait également les 50 millions de lires promis par FIAT.

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    Les Lancia D50 devenaient des Ferrari 8CL. A son bord, Juan Manuel Fangio remportait son quatrième titre mondial en 1956.

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  • Essai Lancia Ypsilon S by Stade Français : I will survive

    Essai Lancia Ypsilon S by Stade Français : I will survive

    Donner le nom d’un club sportif à une série limitée automobile ? Personne n’avait encore osé le faire en France ! Lancia le tente avec des Ypsilon, Delta et Voyager S by Stade Français.

    Hyundai avec Lyon, Kia avec Bordeaux, Peugeot avec Sochaux (forcément) et surtout Citroën avec le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille (même si la marque n’apparaît pas sur les maillots) profitent de l’immense notoriété du football pour agrémenter leur plan de communication. Mais aucun n’a encore sorti de série limitée au nom de son club de football partenaire.

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    En rugby aussi, les marques automobiles se montrent… Sur le maillot de Toulon : Volkswagen, celui de Toulouse : Peugeot, celui de Brive : Mazda. Lancia est aussi partenaire du Stade Français. Et c’est la marque italienne qui innove en montrant le logo de son club préféré sur sa gamme.

    Avec cinq titres entre 1998 et 2007, le Stade Français fut – 90 ans après sa première domination sur l’Ovalie nationale – l’équipe de référence dans l’hexagone. Durant cette période, le Stade Français de Max Guazzini a créé de nouvelles bases de communication… Renaissance de I Will Survive en 1997, création du calendrier des Dieux du Stade en 2001, arrivée d’un maillot rose en 2005. Le Stade Français a professionnalisé la professionnalisation du rugby.

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    Et si le club s’est effondré en 2011 pour être racheté, c’est bien l’icône médiatique d’un sport dont les valeurs sont louées en France qu’est allé chercher Lancia avec ce partenariat.

    Car dans les faits, cette Ypsilon n’est pas dédiée au Stade Français. En Italie, elle s’appelle S Momodesign. Bicolore avec un capot, un toit noir mat et forcément un coffre noir, elle est proposée en cinq teintes dont un beau bleu de la version d’essais (mais pas de rose) avec des jantes noires spécifiques.

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    A l’intérieur, on retrouve les sièges Momo Design (justement). Si le volant mériterait d’être plus petit, le placement des compteurs au centre et en haut de la planche de bord est une belle réalisation. On aurait aimé un équipement plus complet avec un écran devenu nécessaire pour remplacer l’immense auto-radio. Surtout sur un modèle commercialisé à plus de 19 000 euros.

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    Côté mécanique, les 95 chevaux du 1,3 litre Multijet Diesel portent bien cette citadine qui pourra (et devra pour excuser son Diesel) sortir des villes.

    L’AUTO est-elle cult ?
    A 20 900 euros, cette série limitée S by Stade Français de la Lancia Ypsilon ferait payer cher ses quelques grosses qualités. Mais les tarifs catalogues s’avèrent largement négociables (surtout en région toulousaine). L’envie de marier une référence des voitures italiennes et un engouement pour le Stade Français pourra alors faire pencher la balance. Et ce sera peut-être l’une des dernières Lancia en vente en France…

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

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    Quelques données :
    Modèle essayé : Lancia Ypsilon S by Stade Français (options : climatisation automatique 400 euros, radar de recul 300 euros, toit ouvrant panoramique granluce 1000 euros)
    Tarif : 20 900 euros
    Moteur : Diesel, 4 cylindres, turbo, 1 248 cm3
    Puissance : 95 chevaux / 70 kW à 4 000 tours/minute
    Couple : 200 Nm à 1 500 tours/minute
    Transmission : aux roues avant, boîte mécanique à 5 rapports
    L/l/h (mm) : 3 842 / 1 676 / 1 516
    Poids à vide : 1 050 kg
    Capacité du coffre (l.) : 245
    Vitesse maximale : 183 km/h
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 4,7 / 3,2 / 3,8 / 4,5
    Emissions de CO2 : 99 g/km

  • Gagnez des cadeaux Made in Italy avec MotorVillage !

    Gagnez des cadeaux Made in Italy avec MotorVillage !

    Gagnez une montre Maserati d’une valeur de 256 euros, une paire de lunettes Italia Independant, un felpa Alfa Romeo, un presse-agrume Alessi Juicy, une écharpe Stade Français, une Cinquino et une FIAT 500 télécommandée !

    Les lots : 

    1er prix : une montre Maserati
    Chronographe de la collection Maserati Velocita, étanche 100 mètres, boitier acier, bracelet cuir et suède, d’une valeur de 256 euros. 

    2e prix : une paire de lunettes Italia Independant
    Paire de lunettes bleue issue de la collection 2014 de la marque de Lapo Elkann qui allie mode, design, tradition et innovation. Un « Made in Italy » qui revisite les grands classiques de l’habillement à la décoration intérieure en passant par les lunettes et les voitures, pour exporter le style italien dans notre quotidien.

    3e prix : un felpa Alfa Romeo 
    Sweat unisexe rouge en coton avec le logo Alfa Romeo brodé sur l’avant, en ton sur ton.Bords côtelés, initiales AR brodées en noir sur le bas de la veste.

    4e prix : un presse agrume Alessi Juicy
    Modèle exceptionnel utile qui s’affirme également comme un objet de décoration imaginé par Philippe Starck pour Alessi.

    5e prix : une écharpe Stade Français
    Le blason et les trois éclairs du club treize fois Champion de France, soutenu par Lancia, se montrent sur cette écharpe

    6e prix : un Cinquino
    Déclinaison un peu spéciale d’une FIAT 500 en résine surmontée d’un ballotin de chocolat Cremino Majani.

    7e prix : une FIAT 500 télécommandée
    Une FIAT 500 en modèle encore plus réduit… Ce modèle télécommandée est à l’échelle 1/24e et fonctionne avec des piles.

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    Le lieu :

    MotorVillage, lieu emblématique du groupe Fiat à Paris, offre un concept original et unique. A la fois village technologique, village fashion, village gastronomique ou encore village design, cette nouvelle adresse séduit d’abord par son architecture exceptionnelle, pensée par Jean-Michel Wilmotte.

    Situé au Rond Point des Champs Elysées, au croisement des avenues Montaigne et Matignon, MotorVillage offre aux Parisiens et aux visiteurs du monde entier, l’expérience d’une nouvelle Italie avec la volonté de présenter des marques inédites en France.

    Ce lieu unique se veut être une vitrine de l’excellence des marques automobiles italiennes du groupe Fiat et du meilleur de l’Italie, en matière de mode, gastronomie, technologie et design.

    Le jeu est ouvert jusqu’au 11 mai.

  • Sergio, n’enterre pas Lancia !

    Sergio, n’enterre pas Lancia !

    Le 9 janvier, La Repubblica publie une interview de Sergio Marchionne dans laquelle l’Italo-Canadien expose sa vision de ce que doit devenir le Groupe FIAT. Alfa Romeo est destiné à prendre un poids important dans cette nouvelle stratégie globale alors que Lancia ne sortira plus des frontières italiennes.

    Voici le passage concernant Lancia :

    E cosa sarà degli altri marchi?

    « Fiat andrà nella parte alta del mass market, con le famiglie Panda e Cinquecento, e uscirà dal segmento basso e intermedio. Lancia diventerà un marchio soltanto per il mercato italiano, nella linea Y. Come vede la vera scommessa è utilizzare tutta la rete industriale per produrre il nuovo sviluppo dell’Alfa, rilanciandola come eccellenza italiana. »

    Que l’on peut traduire par :

    Et que deviendront les autres marques ?

    « Fiat sera à la tête du marché de masse avec les familles Panda et Cinquecento, entre le bas et le milieu de gamme. Lancia va devenir une marque uniquement distribuée sur le marché italien avec l’Ypsilon. Notre véritable défi est d’utiliser toutes nos ressources industrielles pour accompagner le développement d’Alfa, qui est destinée à représenter l’excellence italienne. »

    Vincenzo Lancia
    Vincenzo Lancia

    Alors oui, Lancia a vécu une histoire faites de hauts et de beaucoup de bas durant un peu plus d’un siècle. Mais la marque s’est toujours relevée. Relevée après la mort de son fondateur Vincenzo Lancia et la Seconde Guerre Mondiale, relevée après la vente de la marque par le fils Gianni à Pesenti et relevée après la vente au Groupe FIAT…

    Sans revenir à l’entre-deux guerres, les Lancia ce sont les Aurélia, Flavia, Fulvia, Beta, Stratos, Delta… Ce sont aussi dix titres de Champions du Monde des Rallyes, un record.

    Lancia Fulvia Coupé 1967
    Lancia Fulvia Coupé 1967

    Malgré les actuelles Voyager, Thema et Flavia américanisées, Lancia conserve une extraordinaire cote d’amour. Une histoire, un style, une saveur : le luxe italien et la performance sans extravagance. La classe.

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    En phagocytant Lancia, Marchionne espère donner à Alfa Romeo l’occasion de se développer. Et avec une gamme élargie, Alfa bloque Lancia… Et comme la montée en gamme n’est pas envisageable avec le nouveau plan-produits de Maserati…

    A l’image de la concentration subie par l’industrie anglaise à la fin des années 1960, à celle qui a fait disparaître Simca ou Talbot du Groupe PSA Peugeot Citroën dans les années 1980, Fiat a donc choisi d’abandonner Lancia pour sauver ses autres divisions.

    En 1987, Lancia avait été adossé à Alfa Romeo lors de l’intégration de la marque milanaise dans le Groupe FIAT… Qu’Alfa Romeo réussisse son développement pour – à moyen-terme – donner une nouvelle chance à Lancia. Car la disparition définitive de Lancia serait un malheur pour les amoureux d’automobiles que nous sommes !

  • Le plus beau tableau de bord vient d’une Lancia Ypsilon !

    Le plus beau tableau de bord vient d’une Lancia Ypsilon !

    Ceux qui ont eu la chance de se placer dans le baquet d’une Pagani Zonda vous le confirmeront : le tableau de bord de la supercar italienne est parmi les plus beaux de l’histoire automobile. Un peu grâce à la Lancia Ypsilon, un peu grâce à la Rover 45.

    Pagani construit des modèles extraordinaires mais Pagani ne possède pas la puissance industrielle d’autres grands groupes automobiles. Si les châssis en matériaux composites viennent de Modène, les moteurs de la Zonda sont des V12 founis par Mercedes-Benz et préparés par AMG.

    Et d’autres pièces sont également partagées avec d’autres marques. Derrière le volant, l’impressionnant tableau de bord dévoile l’affichage d’une Lancia Ypsilon (mais gradué jusqu’à 400 km/h pour la vitesse) et les commandes de la climatisation viennent d’une Rover 45. Après, ce n’est qu’une question de mise en valeur…

    On retrouve également des éléments de Lamborghini Diablo, Koenigsegg CC ou Gumpert Apollo. Mais c’est forcément moins marquant !

  • Concept Car : Lancia Fulvia Coupé

    Concept Car : Lancia Fulvia Coupé

    Ce petit rappel n’a pas pour vocation de nous faire détester Lancia… Lancia fut une marque essentielle dans le paysage automobile européen et le redeviendra tôt ou tard. Ça aurait déjà pu être le cas en 2003, si ce concept de Fulvia Coupé avait été commercialisé !

    La première Fulvia Coupé, dérivée de la berline tricorps du même nom, a été commercialisée entre 1965 et 1972. Parallèlement, elle a permis à Lancia de gagner de nombreux rallyes avant l’avènement de la Stratos.

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    Cette nouvelle tentative, via un concept car présenté en 2003, n’a pas encore connu de vie commerciale…

  • Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Les journées presse sont terminées… Désormais, le Salon de Francfort va être ouvert au public. Voici ce qu’il faudra voir si vous passer quelques heures dans cette immensité dédiée à la mécanique (et à la mécanique allemande).

    Entrée par le Hall 2… Ce premier bâtiment est entièrement consacré à l’univers Mercedes. Conférence de presse lancée par un DJ très funk avec batteur, saxophoniste et trompettiste à bretelles. La marque à l’étoile travaille sa nouvelle image jeune, branchée, très dandy.

    L’ambiance change avec l’arrivée de l’homme à la moustache. Si Mercedes veut se rajeunir par le design de ses nouveaux modèles (voire nouvelles niches), Dieter Zetsche place l’ingénierie au cœur des priorités avec une longue présentation de la voiture autonome, sans grand intérêt dans le contexte de journées presse dédiées aux premières mondiales et à la découverte de concepts (c’est dit !). Heureusement, des GLA et surtout l’arrivée du concept Classe S Coupé ont redonné des raisons de se promener autour des voitures.

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    Départ vers le Hall 3. Volkswagen y impose sept marques avec Skoda, Seat, Bentley, Bugatti, Lamborghini et Porsche (en plus de Volkswagen !).

    Chez VW, l’ambiance est très « e » avec une longue liste de modèles électriques et hybrides à venir autour des Golf R et Golf Sportsvan dont l’allure est pourtant moins « sportive » que l’ancienne Plus.

    Petit moment sympa chez Skoda lorsque Jozef Kaban, patron du design extérieur de la marque, a pris une tablette – reliée à un écran géant – pour dessiner la partie avant de la Rapid Spaceback, l’une des premières mondiales du salon. En face, Seat mise beaucoup sur la Leon ST.

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    Chez Bugatti, on s’arrête devant la Jean Bugatti Vitesse Legend Edition. « La même en mieux. » Pas de grande nouveauté non plus chez Lamborghini et Porsche qui déclinent des versions déjà existantes ou connues.

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    Dans le 3.1, Mitsubishi est voisin de Chang’an. La seule marque chinoise venue à Francfort présente un gros SUV, le CS75, sans la moindre ambition de le vendre en Europe !

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    Passage par l’Agora où s’est installé Audi. L’A3 Cabriolet et A8 sont mis en avant mais ce sont les Sport quattro concept et nanuk quattro concept qu’il faut aller voir dans un environnement très réussi de ville retournée.

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    Changement d’ambiance dans le Hall 5. Quelques préparateurs stars accompagnent les « Britanniques » Jaguar, Land Rover et Aston Martin, Infiniti et Volvo.

    Chez Jaguar, il faut s’arrêter devant la C-X17. Comme pour d’autres, l’idée est d’explorer le marché très porteur des SUV. Et contrairement à d’autres, le concept est très réussi avec une vraie filiation au sein de la marque. Plus loin, Infiniti et Volvo présentent deux des plus belles réalisations du salon.

    En Allemagne, Infiniti a profité de ses accords avec Red Bull Racing pour faire venir Sebastian Vettel. Le triple Champion du Monde de F1 était présent pour dévoiler la très belle Q30. Et Infiniti a clôturé sa journée par une soirée assez jet-set.

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    Chez Volvo, c’est le Concept Coupe qui a attiré tous les regards. Garée sous une extraordinaire P1800, cette nouveauté hybride reste très loin d’être commercialisable en l’état mais on ne peut que pousser Volvo à avancer sur cette voie.

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    L’Italie et Hyundai sont installés dans le Hall 6. Rien d’inoubliable chez Lancia, Maserati, Fiat, Abarth, Alfa Romeo ou Jeep. Hyundai présente sa nouvelle i10.

    Ferrari propose sa 458 Speciale. Sur le papier, c’est très convaincant. Mais ce n’est pas franchement une nouvelle voiture.

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    On entre dans la seconde partie du salon après, déjà, quelques kilomètres de marche. Le Hall 8 est celui des marques françaises, avec un peu de japonaises et Opel.

    Arrivée au cœur de l’espace réservé à Citroën où la Cactus Concept, DS Wild Rubis et C-Elysée WTCC sont les plus en vue. Le stand met en valeur les nouveaux modèles. La marque aux chevrons continue d’être parfaitement en ligne avec ses ambitions commerciales. Le Cactus s’avère plutôt massif et encore très éloigné de ce que l’on peut attendre d’un modèle de série. Mais j’aime !

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    Un couloir DS est particulièrement réussi avec toute la gamme et un artisan en train de travailler du cuir devant les passants.

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    On continue chez Peugeot sur un stand moins impressionnant. Là, il faut vendre la nouvelle 308. Belle déclinaison 308 R, même chose pour la 208 Hybrid FE. Et l’Onyx, toujours apprécié, est encore là.

    Petit espace pour Dacia qui montre son Duster mis à jour. On passe Subaru pour filer chez Toyota, attiré par la Yaris Hybrid-R. C’est une vraie belle réussite avec, sous le capot, le nouveau Global Racing Engine 1,6 litre turbo de 300 chevaux et une commande de boîte du plus bel effet.

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    Chez Lexus, difficile de dire que le LF-NX Crossover Concept n’est pas réussi. Mais il est profondément conceptuel ! Nissan prouve encore sa faculté d’innovation. La marque japonaise propose une montre Nismo Watch qui pourrait faire un tabac chez les early adopters. Le X-Trail est la grosse nouveauté produit mais la vraie réussite vient du concept Friend-Me.

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    A Francfort, Opel joue à domicile et joue plutôt bien ! La nouvelle Insignia est accompagné du Monza Concept qui est l’une des révélations de ce salon.

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    Fin de ce Hall très fourni avec Renault. Nouvelle identité pour la Mégane (très légère), présence de Twin’Run et surtout Initiale Paris. Il faut avouer que le produit semble très abouti. L’intérieur ne sera sans doute pas aussi « futuriste », l’arrière sera peut-être retouché mais, dans l’ensemble, ce crossover pourrait rapidement donner une nouvelle vie à l’Espace.

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    Les jambes sont lourdes ? On attaque le Hall 9. Chez Ford, on est accueilli par les Coupes aux Grandes Oreilles. Enfin, la réplique ! Le S-Max Concept dispute la vedette à la Mondeo Vignale. Pas d’extravagance. Ford joue beaucoup sur les performances de son moteur EcoBoost avec une série d’animations.

    Chez Kia, on voit la nouvelle Soul et surtout le concept Niro.

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    Chez Honda, on met en avant les Civic Tourer et Type R au milieu du rappel de l’engagement sportif de la marque avec une Civic WTCC et une vielle McLaren-Honda.

    Touche sportive aussi chez Chevrolet avec les Camaro, Corvette Stingray et l’escargot de Turbo.

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    La touche américaine continue avec Cadillac et la très marquante Elmiraj… Un nom très « Golfe » pour une voiture qualifiée par le New York Times d’un peu britannique, un peu française et très américaine.

    Petit clin d’oeil chez Mazda avec la présence de Mazda 3 venue directement d’Hiroshima lors d’un long road-trip de 15 000 kilomètres. Trois des huit voitures, un peu sales, sont visibles à Francfort.

    Hall 11… C’est le dernier (enfin, ça dépend de votre entrée) et il est dédié au monde BMW. Les i3 et i8 prennent une place importante. Pour la première fois, l’i8 est présentée dans sa version définitive. Et ça ne déçoit pas. Série 4, Série 5, X5, eDrive… BMW a frappé fort à Francfort ! Et l’ambiance « bois » autour de la gamme i est très réussie.

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    Rolls-Royce et MINI nous font terminer la visite. Plein de personnalisation, dans des thèmes différents, pour les deux marques. Chez MINI, belle ambiance urbaine, des MINI actuelles, des MINI d’époque, mais pas de MINI de nouvelle génération. Non, MINI est NOT NORMAL et va créer son propre buzz à l’automne pour présenter son nouveau modèle. D’ici-là, on attendra avec les hot-dogs et les glaces (toutes petites, pardon mini) !

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    Voilà pour le résumé de deux jours virtuels à Francfort… A vous !

  • Goodwood Festival of Speed 2013

    Goodwood Festival of Speed 2013

    Evènement incontournable de la vie automobile, le Goodwood Festival of Speed est désormais un rendez-vous privilégié des constructeurs automobiles. Au cœur d’un parc privé, ils y mélangent leur histoire, leurs activités sportives, leur vision de l’avenir avec de nombreux concepts et leur production contemporaine… Petit tour sur cet ancien aérodrome de la RAF !