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  • Top Gear France en direct avec Le Tone

    Top Gear France en direct avec Le Tone

    Pour le cinquième épisode de Top Gear France, nous sommes dans les bureaux de RMC Découverte avec Le Tone… Suivons ses réactions durant la diffusion !

    Début de l’émission : « J’ai ma veste à carreau, elle me boudine un peu. »

    Au sujet des spectateurs sur les plateaux : « Les gens étaient vraiment gentils, ils criaient tout le temps ! »

    Le Tone n’a pas regardé les trois premiers épisodes… Il a suivi la diffusion du quatrième tout en disant qu’il avait beaucoup de mal à se voir à la télévision.

    Covoiturage avec les hockeyeurs : « Ils ont été vraiment relous ! »

    Pourquoi Le Tone était-il le seul à avoir du monde dans sa voiture ? « C’est un coup de la production, ils boivent la veille ! »

    « Qu’est-ce que je suis viril quand je cours ! »

    Le Tone garde un petit sourire quand il regarde l’émission.

    La raclette dans la voiture : « Elle est branchée sur l’allume-cigare ! »

    « Les harengs ont pué durant deux jours dans ma voiture… La raclette, ça part vite. »

    « Pendant que je regarde la carte, il dégonfle un pneu ! »

    A propos des tournages : « une vingtaine de personnes travaillent autour de nous. »

    Lequel des deux autres animateurs préfères-tu ? « Pour rouler Philippe… Mais pour dormir Bruce. »

    Quand ils chantent : « C’est pas vrai ! Ils l’ont mis au montage ! »

    Beaucoup de choses sautent au montage ? « Beaucoup. On fait des conneries toute la journée. Ils ne prennent que les meilleures… Ou les pires ! »

    Et la Mercedes Classe G ? « Le moteur est bon, mais elle ne tourne pas. C’est trop lourd ! »

    Pourquoi le surnom Le Tone ? « ça vient des vieux postes de radio. »

    Une saison 2 à venir ? « On en sait rien pour l’instant. »

    La blague sur la Volvo : « C’est nul Ouhhh ! »

    « La Rolls, c’est comme faire l’amour avec une capote, tu ne sens rien du tout ! »

    Je peux vous dire qu’aujourd’hui Le Tone sait dire parfaitement « Wraith ».

    Toujours sur la Rolls-Royce : « J’aime la porte automatique et le ciel de toit. Mais je déteste le GPS et la hifi, l’iconographie est moche. »

    « J’ai la liste des specs de la voiture et j’improvise. On savait qu’il y avait des chances de s’embourber. On y est allés ! »

    Et vous vous êtes échangés vos femmes entre animateurs ? « Non, pas encore ! »

    Torres comme le footballeur ? « Je suis vraiment un blaireau parfois ! »

    On a tourné sept épisodes en tout et dix avec les best of.

    « Sur la terre, j’ai vraiment roulé à 160 km/h. Mais je pense qu’on pouvait casser quelques arbres avant de se faire mal avec la Wraith. »

    Il avoue : « Ce n’était pas du Champagne, juste du mousseux. »

    Panne de la Rolls-Royce : « Elle est vraiment tombée en panne. Elle s’est mise à 45 km/h et tout déconnait ! C’est abusé grave. »

    Retour en plateau : « Bruce, parfois il est bon ! »

    Quel est l’invité qui t’a le plus marqué ? « Aucun, j’allais faire la sieste ! Mais j’ai diné avec Solo et Le Bolloc’h, je me suis vraiment marré. Fillon était marquant quand il est sorti de la voiture avec sa propre combinaison. »

    Au sujet du circuit Top Gear France : « On a fini le dessin du circuit deux heures avant le tournage. Le problème, c’est que si on tape les pneus, on détruit la caisse. La chicane est assez chaude. »

    Retour à la montagne : « Le coup du flic, c’était complètement fake ! »

    « Il faut que j’arrête de dire j’ai peur, ils vont le croire. »

    « Cette scène est la plus dangereuse de la saison. Philippe s’arrête au milieu de la piste. Je freine sur cent mètres et je m’arrête à rien. J’ai cru que j’allais le stricker ! »

    « Et ça, c’est ma scène préférée de Top Gear avec le Sprint Car. »

    « A l’arrivée, je pensais m’arrêter devant Bruce en dérapage. Et ça n’a pas marché. Il m’a dit après qu’il avait eu peur ! »

    « Je découvre l’émission en même temps que les téléspectateurs. On ne voit rien entre le tournage et la diffusion. »

    « On a tourné jusqu’en fin février. »

    « Top Gear est une licence… C’est comme les McDo, la sauce est la même en Hongrie. »

    « Mon père avait une Renault 18 Break. Le concessionnaire lui avait prêté une Fuego. Je la conduisais par l’arrière pour faire vaisseau spacial. »

    « J’aimerais bien essayer une Honda NSX. L’ancienne, pas la nouvelle pour me prendre un coup d’électricité. »

    Au sujet des images floutées : « Philippe se mettait le doigt dans le nez… Il ne fallait pas que ça se voit ! »

    Attention, informations sur les prochains épisodes par Le Tone :

    « J’ai perdu tous mes défis cette saison en fait ! »

    « On a fait cinq tonneaux avec une Lexus. C’était un accident bête de tournage. Mais ça ne passera pas à la télé. »

  • Hommage à Rosco P. Coltrane !

    Hommage à Rosco P. Coltrane !

    L’acteur James Best vient de nous quitter à l’âge de 88 ans. Durant six ans, il avait joué Rosco P. Coltrane dans la série Shérif, fais moi peur après avoir fait une belle carrière dans des westerns.

    Pendant toutes ces années, il avait enchainé les poursuites derrière le Dodge Charger « General Lee » de Bo et Luke Duke. Là, voici en dernier hommage !

  • Essai Renault Twingo : Tourne, tourne petit moulin

    Essai Renault Twingo : Tourne, tourne petit moulin

    Boulogne-Billancourt, les travaux, des coups de klaxon. L’envie de s’échapper, de rouler. Mais il faut s’extirper de ce capharnaüm. Bonheur, la Twingo mesure moins de 3,6 mètres et tourne sur elle-même.

    Douchés par les réactions suscitées par la Twingo de deuxième génération, les responsables de Renault avaient promis une révolution pour 2014. Cette révolution a bien eu lieu. En conservant le nom Twingo, cette nouvelle édition est destinée à être la descendante directe de la version 1993.

    renault-twingo-1994

    A l’époque, Twingo était une idée folle. Encore une voiture « qui ne marchera jamais »… Et pourtant, une bouille et une inspiration ont suffit à convaincre : des phares en demi cercle, une entrée d’air sur le minuscule capot, un unique et immense essuie-glace, trois portes, un seul moteur, une seule finition et de la couleur. Immense succès que n’avaient pas vu venir les journalistes européens, incapables de la placer sur le podium de la Voiture de l’Année !

    Qu’importe, la Twingo s’est vendue à 2,5 millions d’exemplaires. Vingt ans plus tard, elle est déjà entrée dans l’histoire de l’automobile française.

    Après une expérience quelconque dans la Twingo 2 (j’en ai une !), il fallait que Renault retrouve un rang d’inventeur. Cette nouvelle génération ne va pas révolutionner l’industrie. Mais elle est la digne descendante de la première du nom.

    Propulsion à moteur arrière, une première depuis la Clio V6 !

    Développée en collaboration avec Daimler, cette nouvelle Twingo est une propulsion à moteur arrière. Et si vous imaginez que ces choix techniques sont des excitations d’ingénieurs qui n’apportent rien à l’utilisateur final, attendez de vous installer dans une Twingo.

    Dans la conduite citadine de tous les jours, il est évident qu’une propulsion ne diffère pas d’une traction. Le gain est ailleurs. En soulageant le train avant des éléments de transmission, les roues pivotent davantage. Déjà efficace, la Twingo devient une référence. Au moment de sortir d’une circulation dense, c’est plus qu’un atout.

    Il est important de rappeler que ces choix techniques n’amènent pas le moindre danger… La répartition des masses favorise l’avant (55 %) et la direction à démultiplication variable permet de gagner en réactivité et en fermeté.

    Tout semble tellement abouti que l’on ne peut qu’espérer davantage de couple et de puissance. Evidemment, cette Twingo se doit d’être la première voiture de la gamme Renault. Elle se doit de proposer de petits moteurs suffisants et économiques.

    Le 0,9 litre TCe turbocompressé de 90 chevaux est tout à fait suffisant… Il tourne sur ses trois cylindres comme ces petits moulins de nouvelle génération. Mais l’on se prend à rêver d’avoir cinquante, soixante, soixante-dix chevaux supplémentaires. Vite, vite, vite : une version Renault Sport ! Il y a le potentiel de voir naître une icône comme Renault en compte quelques-unes dans son patrimoine.

    L’AUTO est-elle cult ?

    Le nom Twingo est déjà culte… La toute première génération de 1993 l’est aussi. Pour s’inscrire dans une nouvelle lignée, Renault nous doit une version iconique. Soignez donc cette R.S., voire une Trophy pour nous faire revivre les plus belles histoires des Renault plus-que-sportives !

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    J’aime
    Un look affirmé
    Un nom qui fait déjà partie de notre patrimoine
    Une agilité sans pareille

    J’aime moins
    Ce que la première Twingo avait et que l’actuelle n’a plus… La banquette arrière coulissante et un grand espace derrière le volant
    Détails de finition à revoir

    Quelques données :

    Modèle essayé : Renault Twingo SL Edition One Energy TCe 90
    Tarif : 15 800 euros
    Moteur : 3 cylindres en ligne, 12 soupapes, 898 cm3
    Puissance (ch/kW) : 90 / 66 à 5 500 tours/minute
    Couple : 135 Nm à partir de 2 500 tours/minute
    Transmission : roues arrière motrices, boîte de vitesses mécanique à 5 vitesses
    L/l/h (mm) : 3 595 / 1 646 / 1 554
    Poids à vide : 943 kg
    Capacité du coffre (l.) : 219 – 980
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 4,9 / 3,9 / 4,3 / 5,0
    Emissions de CO2 : 99 g/km
    0 – 100 km/h (s) : 10,8
    Vitesse maxi : 165 km/h

  • Contact : Nissan Juke Nismo RS

    Contact : Nissan Juke Nismo RS

    Nissan a inventé le nom « Crossover » destiné à décrire l’alliage de deux types de carrosseries… Son Juke est le croisement entre une citadine et un tout-terrain. Avec la version Nismo RS, c’est comme si un copain supplémentaire s’était invité à la soirée !

    Croisons donc une citadine, un tout-terrain et une sportive pour voir naître cette petite voiture décomplexée. Inutile d’en refaire des tonnes sur la ligne du Juke, c’est une exception sur le marché automobile.

    En version Nismo RS, il est abaissé de quelques centimètres et gagne encore en « épaules ». Si le Juke version 2014 avait déjà bien progressé avec des options de personnalisation réussies, ce modèle spécial est encore plus attirant.

    Par ses teintes contrastées, la sortie d’échappement, les étriers de freins rouges, les jantes NISMO RS 18 pouces et le kit aérodynamique, annoncé pour offrir 37 % d’appui supplémentaire, donne une identité encore plus forte au Juke.

    nissan-juke-nismo-rs-arriere

    A l’intérieur, la suédine s’installe un peu partout… Par suédine, entendez que l’on n’utilise pas le terme déposé Alcantara, mais c’est comme si. Un look « carbone » vient légèrement rehausser l’ambiance (et la qualité) de l’habitacle du Juke.

    Sous le capot, on retrouve le DIG-T porté à 214 chevaux avec une boîte de vitesses Xtronic 8 et une transmission à quatre roues motrices All-Mode 4×4-i.

    Et là, c’est un vrai cas de conscience ! Une voiture à tendance sportive peut-elle être d’une linéarité hors du commun ? Sans revenir à l’époque de la Supercinq GT Turbo opposée à la 205 GTi, il faut bien avouer que le choix de la boîte de vitesses – à variation continue – modifie la perception du conducteur.

    Cette nouvelle génération de CVT gomme une grande partie de l’effet élastique qui pouvait rendre la conduite inconfortable. Par rapport à une transmission manuelle, elle est censée être plus efficace, en accélération comme en consommation. Sa linéarité est donc inégalable… Voire déroutante pour une sportive.

    nissan-juke-nismo-rs-avant

    Pour gommer cet effet, le Juke Nismo RS offre un mode manuel qui simule les passages de rapports avec des ratios virtuels prédéfinis, soit par la commande de boîte habituelle, soit par des palettes au volant.

    A bord, l’ambiance visuelle sportive est donc accompagnée de nouvelles sensations par l’unique boîte de vitesses. Certains adoreront cette douceur supérieure à une boîte à double embrayage, d’autres éprouveront un vrai manque… Question de goût !

    Pour les chiffres, les 1 315 kilogrammes passent de 0 à 100 km/h en 8,0 secondes… Pour ceux qui en veulent davantage, la version 2 roues motrices, boîte mécanique et différentiel à glissement limité, est vendue pour 7,0 secondes. Au moins, Nissan offre le choix.

  • McLaren M6 GT : le rêve brisé

    McLaren M6 GT : le rêve brisé

    Dans les années 1960, Bruce McLaren veut être partout. Après être devenu le plus jeune vainqueur d’un Grand Prix de Formule 1 (record qui a tenu jusqu’en 2003 et Fernando Alonso), le Néo-Zélandais suit l’exemple de Jack Brabham et crée sa propre structure baptisée Bruce McLaren Motor Racing Ltd. D’abord engagé en Tasman Series et en CanAm, il se lance en F1 en 1966…

    La même année, il remporte les 24 Heures du Mans pour sa septième participation. Associé à Chris Amon, il s’impose avec une Ford GT40 et dévoile son nouveau projet : participer à la classique mancelle avec sa propre voiture.

    A l’époque, il est beaucoup plus difficile de jouer la victoire au Mans qu’en F1. Car si des assembleurs dominent la F1, ce sont de vrais constructeurs qui s’affrontent pour la victoire aux 24 Heures. Le règlement est donc modelé pour les marques automobiles.

    Pour pouvoir jouer la victoire, Bruce McLaren doit avoir une voiture avec un moteur de plus de 5,0 litres. Il lui faut donc homologuer 25 exemplaires d’un modèle de série.

    Celui qui n’a jamais produit le moindre modèle de route tente un coup de bluff. Il présente une M6 GT conçue sur un châssis M6B CanAm (de course) déjà distribué à 28 exemplaires. Logiquement, les commissaires techniques refusent l’engagement de la McLaren M6 GT.

    Bruce McLaren décide alors de produire et de commercialiser vingt-cinq M6 GT pour obtenir l’autorisation d’être au départ des 24 Heures du Mans. Mais l’atelier McLaren n’a pas la capacité de produire des modèles de série. Bruce confie l’assemblage à Trojan qui ne tient pas les délais. Plusieurs commandes sont annulées.

    Un an après le lancement du projet, seules trois voitures sont construites. Le 2 juin 1970, Bruce teste sa nouvelle M8D CanAm sur le circuit de Goodwood. Le capot arrière se détache à haute vitesse. Il quitte la piste et s’écrase contre un poste de commissaire. Il meurt sur le coup.

    La McLaren M6 GT ne participera jamais aux 24 Heures du Mans. La marque britannique devra attendre 1995 pour aller dans la Sarthe… Et s’imposer dès sa première participation !

  • 4×4 : hommage du 4 avril !

    4×4 : hommage du 4 avril !

    Le 4 avril (4/4), c’est la journée du 4×4 ! Auparavant réservées aux vrais franchisseurs, les quatre roues motrices se sont démocratisées à des véhicules tout-chemin et désormais à un nombre impressionnant de modèles.

    Aujourd’hui, une BMW Série 1 est disponible en quatre roues motrices, tandis que l’imposant Toyota RAV4 et son look si travaillé peut n’être qu’une simple traction… Les 4 roues motrices sont devenus un élément supplémentaire de sécurité active.

    Le 4×4, c’est aussi une façon de vivre !

    Lorsque j’étais au collège, mon prof d’histoire-géographie était un vrai « écolo ». J’entends par écolo, un homme proche de la nature. Il se baladait dans les forêts, reconnaissait chaque plante, chaque arbre et pouvait raconter leur histoire. Pour ses balades loin des routes, il utilisait, le plus simplement du monde, un magnifique Toyota Hilux de cinquième génération… L’un de ces pick-up émettant un bruit aussi persistant qu’une épaisse fumée noire.

    De nos jours, un écolo se balade dans les supermarchés bio en prenant le métro… Une autre vision des interactions avec la nature !

    Le 4×4, ce sont beaucoup d’autres sensations. De la balade loin des sentiers battus ou des franchissements un peu plus sportifs (avec de longs repérages à pied avant de partir en vitesse lente) comme avec la Jeep Academy.

    Alors bonne journée en 4×4…

  • Citation : Jérôme Stoll

    Citation : Jérôme Stoll

    Existe-t-il réellement un antagonisme entre les marques dites généralistes et les marques premium ? Chez Renault, Jérôme Stoll, Directeur Délégué à la Performance, Directeur Commercial Groupe et Président de Renault Sport F1, en semble convaincu : « Aujourd’hui, un client Renault n’est pas prêt à payer plus de 50 000 euros. »

    Partant de ce principe, le nouveau Renault Espace Initiale Paris Energy dCi 160 EDC est commercialisé (hors option) à 47 200 euros…

  • Autopartage : le Renault Twizy deviendrait-il branché ?

    Autopartage : le Renault Twizy deviendrait-il branché ?

    Novembre 2013, j’essayais lors d’un essai longue durée le Renault Twizy. J’y trouvais un concept simple et efficace avec lequel on s’acclimate rapidement à une conduite nouvelle, dans l’espace qui nous entoure. Un véhicule bien loin de nos habituelles automobiles, ayant avec un impact environnemental amélioré, principalement au stade de la qualité de l’air dans nos villes, puisque 100% électrique.

    Il faut le dire, avec Twizy, Renault a œuvré, a innové. Tout marché qui se créé prend du temps à trouver sa clientèle. Il n’y a que Apple que peut se targuer d’annoncer un produit qui aura succès quasi automatique à la clé. Pour Twizy, si le marché grand public prend du temps, les flottes de société, de location, d’autopartage sont une des clés du développement du marché.

    Dès son lancement, et depuis hier à Lyon, Twizy se développe vitesse grand V sur le plan de l’autopartage. Après 3 ans de vie, le 1500oème exemplaire est livré, fin mars à la mairie de Florence et c’est dans plus de 40 pays que le Twizy roule : en France bien sûr mais aussi au Canada, en Slovénie, à Monaco ou au Moyen-Orient. Le monde est Twizy. Qui aurait pu prévoir un tel succès ? Personne.

    Twizy semble donc dans la tendance actuellement. Petit zoom sur la France. Chez nous, on peut donc trouver Twizy en autopartage à Lyon avec Bluely, à Bordeaux avec BlueCube, avec Twizy Way sur la Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines… De nombreuses initiatives sont en place. A la montagne même, la société Keymoov propose des Twizy à la location. Cela permet un déplacement rapide, sur les stations, dans un respect de l’environnement. Petit plus, un système de fixation est prévu sur le petit véhicule pour y charger les skis et/ou snowboard. Pas bête.

    Une modification de nos habitudes de déplacement est en cours et  Twizy aurait donc trouvé sa voie. Celle de la location et de l’autopartage. Une nouvelle façon de se déplacer, de consommer peut être aussi. Une idée géniale qui fut lancée en 2006 par Carlos Ghosn. Il y a bientôt 10 ans. A l’époque, l’objectif était de créer un petit ORNI (objet roulant non identifié), nommé en interne « MOCA ». Un projet suivi à l’époque par le directeur adjoint de la DREAM – Direction de la recherche, des études avancées et des matériaux. Un certain Yves Dubreuil, le père de la Twingo. Et si c’était lui le génie ?

     

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    Renault Twizy en autopartage à Monaco avec Mooby
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    Renault Twizy en autopartage à l’Alpe d’Huez avec Keymoov
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    Renault Twizy en autopartage à Quebec
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    Renault Twizy en autopartage avec Twizy Way sur la Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines
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    Renault Twizy en autopartage à Lyon avec BlueLy
    Renault Twizy en autopartage à Florence, Italie
    Renault Twizy en autopartage à Florence, Italie
    Renault Twizy en autopartage à Florence, Italie
    Renault Twizy en autopartage à Florence, Italie
  • Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Le Peugeot Design Lab aime exercer ses talents parfois loin de l’univers des quatre roues… A quelques jours de la Design Week de Milan et de la prochaine exposition universelle, c’est sur un camion un peu spécial que l’entité artistique du Lion s’est penchée.

    2014 fut l’année de l’explosion du nombre de food truck… L’idée du camion ambulant qui a tant fait pour les petites communes françaises séduit la nouvelle génération urbaine.

    Une quarantaine de personnes ont donc travaillé sur un food truck signé Peugeot. Une base de Boxer et tous les éléments stylistiques du Lion version 2015 ont été intégrés. Quatre mètres sur deux de large en mouvement, il se déplie pour offrir un espace permettant d’accueillir une trentaine de personnes sur treize mètres.

    A l’intérieur, un espace réfrigéré de 400 litres cotoie une armoire de 350 litres pour les boissons, quatre plaques de grillades et une friteuse. La partie avant est une cuisine, l’arrière sert le café et permet à un DJ de s’installer !

    foodtruckpeugeot-boxer

    Le Food Truck Peugeot reste un concept. Il n’est pas destiné à être commercialisé, même s’il est déjà opérationnel (testé !). Mais il montre que Peugeot tient son design avec les phares marqués, la calandre verticale et le logo intégré… Il affiche surtout la volonté de Peugeot d’avancer à travers diverses opérations, avec le Peugeot Design Lab en porte-drapeau.

  • La Coccinelle doit survivre !

    La Coccinelle doit survivre !

    Der Spiegel a annoncé l’arrêt prochain de la production de la New Beetle… Si Volkswagen n’a pas encore confirmé l’information, on ne peut qu’espérer que ça n’arrivera pas !

    Après la Polo 3 portes et l’Eos, la New Beetle pourrait être le troisième modèle à disparaître de la gamme Volkswagen.

    Pourtant, cette nouvelle Coccinelle a participé à l’histoire contemporaine de l’automobile. Sans être un immense succès commercial, en tout cas loin des chiffres de la Typ 1, sa philosophie a généré l’arrivée d’une nouvelle génération néo-rétro.

    Par son idée, sa genèse, elle a montré à quel point les marques devaient se servir de leur patrimoine pour se projeter vers l’avenir. En 1991, lorsque Volkswagen ouvre un bureau de design à Simi Valley, l’objectif est de concevoir un modèle spécifique au premier marché mondial.

    volkswagen-studie-concept1

    Un an plus tard, toutes les études tendent vers le même constat : Volkswagen est étroitement lié à la Coccinelle. Au Salon de Détroit 1994, les Allemands présentent donc le Studie Concept-1. L’engouement est immense… Et les premières New Beetle sont livrées durant le premier trimestre 1998.

    Bien avant le retour de la MINI, bien avant que cette mode soit copiée par la concurrence, Volkswagen avait donné le ton avec son Concept-1 et sa New Beetle.

    Evidemment, la New Beetle n’atteint pas les mêmes seuils de rentabilité que la mine d’or qu’est la Golf. Mais elle est, aussi, un véhicule d’image indispensable.

    A tel point que, si la presse allemande annonce sa disparition, la New Beetle reste un objet conceptuel pour les salons. Preuve à New-York, l’arrivée de quatre modèles « Beetle Mania » ! Que cette Beetle Mania continue encore longtemps… Et pas seulement grâce à des rassemblements d’adeptes du « c’était mieux avant ».

  • Ken Block au Mans : le plus beau des poissons d’avril

    Ken Block au Mans : le plus beau des poissons d’avril

    De nombreux rédacteurs ont poussé l’imagination à son paroxysme pour trouver le plus beau poisson rouge. En ce premier avril, Turbo.fr affirmait que Nicolas Sarkozy s’offre une LaFerrari après les résultats de l’UMP (voir), Volkswagen annonçait qu’on verrait la Polo R WRC dans le prochain Fast & Furious (voir) et Mazda France révélait son partenariat avec la Gendarmerie (voir). Le Garage des Blogs présentait lui un break familial de 1000cv (ici). Mais rien ne prouve qu’il s’agisse d’un aprilfools. Hors automobile, Google présentait ce matin Google Maps se transformant en jeu de Pac-Man (voir chez Créapills). Quant à votre blog favori, Alex y aura annoncé l’A4,5 de chez Audi (ici) ou encore un projet commun à PSA et Renault pour lancer une toute nouvelle voiture aux Etats-Unis… (ici) Bref, ce matin à l’heure du petit déjeuner, chacun a réfléchi à faire sourire son voisin. Bien joué.
    Le must a été pour moi l’annonce de voir Ken Block en endurance au Mans au volant d’une Oreca 05. Si l’idée de voir de Ken Block au Mans est plutôt farfelue, il faut avouer que la mise en scène réalisée par le site Endurance-Info et Gaazmaster fut du plus bel effet. Il n’y eut rien de drôle mais le boulot est de qualité. Dommage que la livrée la plus fun de l’année soit un poisson…

    ken block mans oreca 02

    ken block mans oreca 01

  • Audi planche sur une Audi 4,5

    Audi planche sur une Audi 4,5

    C’est une révolution qui s’annonce chez Audi… Dans la lignée du développement de nouvelles voitures, la marque d’Ingolstadt est en train de plancher sur un modèle intermédiaire entre l’Audi A4 et l’Audi A5. Son nom – qui n’est pas encore définitif – est Audi A4,5.

    Face à l’entreprise de conquête réalisée par BMW et Mercedes, Audi ne pouvait rester sans réaction. Si les Quatre Anneaux ont été précurseurs avec les déclinaisons Berline, Avant, Cabriolet, Allroad et surtout Sportback, ses principaux concurrents lui ont emboité le pas.

    Pour poursuivre cette stratégie qui a plutôt réussi au constructeur, Audi cherche donc à renforcer l’étendue de sa gamme.

    Il paraissait évident qu’il manquait une offre entre l’Audi A4 et l’Audi A5.

    « Dans les points de vente, certains clients peuvent être indécis entre ces deux modèles », nous rappelle un décideur d’Audi, sous couvert d’anonymat. « L’Audi A4,5 est donc une solution. Elle permettrait des choix plus rapides qui donnerait l’opportunité de réduire le temps passé en concession et de passer au client suivant plus rapidement. Nous pourrions donc accélérer les ventes et vendre davantage ! »

    Pour les choix techniques, la stratégie ne serait pas modifiée : « Comme avec les autres modèles, nous reprendrions des éléments déjà connus. Je pense aux phares et aux feux de l’Audi A5, le capot et les pare-chocs de l’Audi A4 et la ligne de toit serait une adaptation de l’Audi A6 pour donner luxe, élégance et fluidité à la silhouette. Pour amener de l’agressivité, nous pensons mettre le logo Audi utilisé sur notre Audi R8.  »

    L’Audi A4,5 pourrait être commercialisée dans un an, jour pour jour. Elle sera aussi déclinée en Berline, Coupé, Avant, Cabriolet, Allroard et Sportback.