Catégorie : Opel

  • Opel Mokka GSE : aussi une version musclée

    Opel Mokka GSE : aussi une version musclée

    Le Mokka électrique produite en région parisienne va recevoir une nouvelle impulsion avec l’arrivée de la version GSE, une variante hautes performances qui renoue avec l’héritage des VXR et GSi. Cette fois, Opel n’en reste pas à une simple déclinaison de finition. Il s’agit de la première GSe 100 % électrique dotée d’un véritable travail technique sur le châssis et la mécanique, repris des Alfa Romeo Junior Veloce et Lancia Ypsilon HF déjà testées.

    Déjà apposé sur l’Astra et le précédent Grandland, le label GSE (pour Grand Sport Electric) n’avait jusqu’ici de « sport » que le nom. Il s’agissait avant tout d’une appellation flatteuse pour désigner les versions les mieux équipées. Le Mokka GSE change la donne. Il affiche des performances en nette hausse, avec un moteur électrique de 280 ch et 345 Nm. Cette cavalerie est transmise aux seules roues avant via un différentiel mécanique à glissement limité, un choix technique rare sur une traction électrique.

    Une fiche technique ambitieuse

    Sous le plancher, on retrouve la batterie de 54 kWh déjà connue dans la gamme, mais adaptée pour encaisser la puissance supérieure du moteur. Elle autorise une recharge rapide jusqu’à 100 kW en courant continu, une valeur standard au sein du groupe Stellantis.

    Avec ce gain de puissance, le Mokka GSE revendique un 0 à 100 km/h en 5,9 secondes, soit 3,1 secondes de mieux que le Mokka Electrique actuel. C’est aussi proche de ce que propose l’Alfa Romeo Junior Veloce, avec lequel il partage nombre d’éléments, y compris les trains roulants.

    Opel annonce un travail approfondi sur le châssis. L’essieu avant et les moyeux de roues ont été redessinés pour accueillir le différentiel, tandis que le système de freinage passe à la dimension supérieure. À l’avant, on trouve désormais des disques de 380 mm pincés par des étriers Alcon à quatre pistons, peints en jaune pour souligner le caractère sportif de la version.

    La direction a été recalibrée, tout comme la suspension, raffermie sur les deux essieux. Le Mokka GSE conserve toutefois une architecture d’essieu arrière semi-rigide (essieu de torsion), comme le reste de la gamme. Les jantes de 20 pouces chaussées de pneumatiques Michelin Pilot Sport EV viennent parachever la panoplie dynamique.

    Un style affirmé mais sans excès

    Esthétiquement, Opel joue la carte du sport sans tomber dans la caricature. Le Mokka GSe reçoit un nouveau bouclier avant avec une lame noire contrastante, un traitement assombri à l’arrière et une garde au sol réduite, bien visible avec les grandes roues. Pas de béquet exubérant ni de diffuseur ostentatoire : la sportivité reste contenue dans les limites du bon goût.

    À bord, les sièges intègrent des inserts en Alcantara et des surpiqûres vertes spécifiques. Le volant reçoit un méplat en haut et en bas, une touche esthétique plutôt que réellement fonctionnelle. Le combiné d’instrumentation numérique reste identique à celui des autres versions, mais il gagne de nouveaux affichages dédiés à la performance : puissance instantanée, température de batterie, gestion du couple.

    Une réponse européenne aux attentes urbaines ?

    En termes d’autonomie, Opel n’a pas encore livré de chiffre officiel, mais il faut s’attendre à une valeur autour de 320 km, soit une cinquantaine de kilomètres de moins que le Mokka Electric standard. Une conséquence directe de l’augmentation de puissance, des pneus plus larges et d’un calibrage davantage orienté vers la performance.

    Cette déclinaison GSE illustre l’ambition d’Opel de se repositionner dans un segment qu’il avait autrefois dominé avec ses Corsa GSi, Kadett GSi et Astra OPC. Mais contrairement à ces dernières, cette GSE est entièrement électrique, fidèle à la nouvelle feuille de route du constructeur allemand.

    Le Mokka GSE partage ses entrailles techniques avec l’Alfa Romeo Junior Veloce et la Lancia Ypsilon HF, autres interprétations sportives de la plateforme eCMP dans sa configuration haute puissance. Cette multiplication de variantes sportives électriques pourrait bien contribuer à réconcilier les amateurs de conduite avec un avenir sans essence.

  • Opel Frontera GRAVEL : l’aventure électrique prend de l’altitude à Courchevel

    Opel Frontera GRAVEL : l’aventure électrique prend de l’altitude à Courchevel

    Opel a choisi les cimes pour dévoiler au public français l’un de ses projets les plus audacieux. À l’occasion du Red Bull 400, événement sportif aussi intense que spectaculaire, le concept Opel Frontera GRAVEL s’est offert une première nationale pleine de panache, loin des salons feutrés, au cœur des Alpes.

    Dans un décor de haute montagne qui évoque plus volontiers les premières ascensions alpines que les motor shows européens, Opel a frappé fort. Le 13 juillet dernier, la marque allemande a présenté pour la première fois en France le Frontera GRAVEL, un concept-car extrême, dérivé de son tout nouveau SUV compact électrique. Et pour ce lancement national, la firme au Blitz a opté pour un cadre aussi atypique qu’exigeant : le Red Bull 400 à Courchevel, une course mythique où les participants gravissent 400 mètres de pente raide, parfois inclinée à plus de 36°.

    Le Frontera GRAVEL, manifeste off-road de l’électrique populaire

    Derrière l’intitulé GRAVEL — littéralement « gravier » en anglais, mais plus largement associé à une philosophie de liberté en pleine nature — se cache bien plus qu’une simple déclinaison baroudeuse. Ce concept-car est une interprétation radicale du nouveau Frontera, présenté en version de série quelques semaines plus tôt. Développé par les designers d’Opel à Rüsselsheim, en collaboration avec les préparateurs BlackFish et XS, ce Frontera GRAVEL affiche une volonté claire : faire vibrer les amateurs d’évasion et d’esthétique fonctionnelle.

    Jantes BORBET en 16 pouces, galerie de toit treillis avec supports Thule, caissons latéraux, treuil orange XXL, projecteurs additionnels sur le capot et le pavillon… Ce Frontera ne se contente pas d’adopter les codes du tout-terrain : il les célèbre avec une forme d’exubérance maîtrisée. Une démonstration de style qui se poursuit dans l’habitacle, avec des sièges sport en microfibre noire soulignés de surpiqûres orange, dans une ambiance à la fois technique et immersive.

    La livrée extérieure marie un graphisme « Desert Stone » à des touches de noir mat et d’orange vif. Cette signature visuelle évoque sans détour la robustesse, l’endurance et un certain goût pour les contrées arides. De l’esprit Dakar transposé à l’ère électrique ? Presque.

    De Wörthersee à Courchevel : un tour d’Europe électrique et musclé

    Dévoilé à la fin mai en Autriche, lors de l’XS Carnight à Wörthersee, temple européen du tuning contemporain, le Frontera GRAVEL entame une tournée à travers le continent pour séduire une nouvelle génération de conducteurs. Cette jeunesse, active et connectée, ne cherche pas à faire du hors-piste pour le plaisir de salir une carrosserie, mais à conjuguer mobilité responsable et plaisir d’explorer.

    Ce n’est donc pas un hasard si Opel a choisi le Red Bull 400 comme rampe de lancement tricolore. « Cet événement unique reflète parfaitement les valeurs d’endurance, d’engagement et de dépassement de soi que nous avons voulu injecter dans ce concept », explique Charles Peugeot, Directeur Général d’Opel France. Plus qu’un clin d’œil à l’effort, c’est une manière de revendiquer un nouvel esprit de l’automobile : plus libre, plus fun, plus audacieux.

    Le lifestyle électrique, nouvelle boussole d’Opel

    En exposant ce concept non homologué dans un événement sportif extrême, Opel donne le ton : la marque veut dépoussiérer son image, séduire au-delà de ses publics traditionnels et accompagner un virage assumé vers une électrification plus incarnée. Le Frontera GRAVEL ne préfigure pas directement une version de série, mais il envoie des signaux clairs sur les territoires à venir.

    Ce n’est pas seulement une voiture, mais un manifeste roulant pour une aventure moderne, débarrassée des clichés passéistes du 4×4 de loisirs. Ici, le plaisir ne passe plus uniquement par la puissance ou les décibels, mais par l’expérience, la fonctionnalité, et un design émotionnellement engagé.

    Des ambassadeurs de leur temps

    Le public du Red Bull 400 n’était pas venu pour découvrir un concept-car. Mais au pied du tremplin olympique du Praz, entre les stands techniques et les zones d’animation, nombreux sont ceux qui ont été happés par cette silhouette tout en tension et en contraste. Opel avait aussi convié ses propres ambassadeurs : deux équipes de vendeurs Stellantis &You venues de Lyon pour participer à l’épreuve, et des figures bien connues de la génération streaming, comme LeBouseuh et Valouzz, influenceurs aussi populaires qu’engagés dans la promotion d’une mobilité nouvelle.

    Un concept taillé pour séduire… sans (encore) quitter la piste

    Le Frontera GRAVEL n’est pas destiné à la production. Mais sa mission est ailleurs : faire parler, faire rêver, faire réfléchir. Avec ce projet, Opel montre qu’un SUV électrique compact peut sortir des sentiers battus — au sens propre comme au figuré — sans renier les fondamentaux de la marque : accessibilité, robustesse, et maintenant, désirabilité.

  • Mokka GSE Rally : Opel électrise le rallye avec un prototype de 280 ch

    Mokka GSE Rally : Opel électrise le rallye avec un prototype de 280 ch

    Alors qu’Opel s’apprête à donner une nouvelle impulsion à sa griffe sportive GSe (pour Grand Sport electric), la marque allemande dévoile un prototype spectaculaire et radicalement électrique : le Mokka GSE Rally. Fidèle à l’ADN de la compétition, cette étude de style survoltée anticipe ce que pourrait être un futur programme client pour amateurs de glisse silencieuse… et de performances très sérieuses.

    GSe : le sport à l’heure électrique

    Depuis son retour en grâce, Opel capitalise sur ses racines sportives pour moderniser son image dans l’ère du tout électrique. Avec GSe, le constructeur réinterprète la sportivité à travers la sobriété, l’efficacité et la technologie. Et si la route est bien balisée pour des modèles de série dynamiques comme l’Astra GSe, le terrain de jeu s’élargit aujourd’hui au domaine de la compétition avec ce Mokka GSE Rally, véritable manifeste technologique taillé pour la terre, la poussière et les chronos.

    Un moteur de série… musclé pour la compétition

    Sous le capot, ou plutôt au cœur de l’architecture du Mokka GSE Rally, Opel a conservé la batterie de 54 kWh issue du modèle de série. Mais le moteur électrique, lui, a été revu pour délivrer 280 chevaux et 345 Nm de couple. Des chiffres dignes d’une voiture de Rally4, catégorie très en vogue dans les formules de promotion. Pour exploiter cette cavalerie silencieuse, le Mokka adopte une boîte de vitesses de compétition, un différentiel autobloquant multidisque, ainsi que des arbres de transmission renforcés. Un arsenal technique qui place ce prototype à des années-lumière de la paisible version route.

    Châssis de pointe et aides électroniques déconnectées

    Le châssis allégé a été profondément remanié. À l’avant, une suspension McPherson renforcée avec coupelles uniball assure précision et endurance, tandis qu’à l’arrière, Opel a opté pour un essieu rigide équipé de ressorts et d’amortisseurs spécifiques. Le tout signé Bilstein, gage d’un savoir-faire reconnu dans le monde du rallye.

    À la différence des voitures de série, aucune aide à la conduite électronique n’est conservée : pas d’ABS, pas d’ESP, ni même de correcteur de trajectoire. C’est l’expérience de la Corsa Rally Electric, utilisée en compétition-client depuis 2021, qui a permis de développer un logiciel de gestion moteur/batterie optimisé pour les conditions extrêmes : recherche d’efficacité, maintien de la température et gestion fine de la puissance sont au programme.

    Un style 100 % rallye

    Visuellement, le Mokka GSE Rally ne fait aucun mystère de ses intentions. Le prototype reçoit une livrée noire mate parsemée d’inscriptions blanches et jaunes – dont un ironique “OMG! GSE” sur les flancs –, des étriers de freins jaunes à l’avant et des jantes arrière assorties, un capot frappé du nom du concept, ainsi qu’une prise d’air de toit très évocatrice. L’ensemble affirme une identité sportive assumée, bien loin de la sobriété habituelle des SUV compacts de grande série.

    À bord, la dotation répond aux normes de la FIA : arceau homologué, baquets de compétition avec harnais six points, plancher protégé, coffre batterie sécurisé, et même un système d’extinction non conducteur relié à un Master Alarm Indicator. Opel a pensé à tout pour garantir sécurité et performance dans un contexte de compétition réelle.

    Le signal d’un engagement futur ?

    Officiellement, ce Mokka GSE Rally reste un prototype sans vocation commerciale immédiate. Mais il en dit long sur les ambitions de la marque dans le monde du sport automobile électrique. À l’image de la Corsa Rally Electric qui s’est déjà fait une place sur les spéciales européennes, ce nouveau modèle pourrait poser les bases d’un futur championnat accessible, durable et spectaculaire.

    Dans un contexte où les disciplines historiques comme le WRC amorcent elles aussi leur transition énergétique, Opel semble vouloir jouer un rôle de pionnier à son échelle. En mettant au point une voiture aussi démonstrative, techniquement crédible et visuellement réussie, le constructeur envoie un signal fort : la compétition client peut aussi être électrique, et le plaisir de pilotage ne dépend pas du rugissement d’un moteur thermique.

  • L’Opel Manta GSe ElektroMOD élue Concept Car de l’année 2021 par le jury des Automobile Awards

    L’Opel Manta GSe ElektroMOD élue Concept Car de l’année 2021 par le jury des Automobile Awards

    Un concept doit préfigurer l’avenir sur le fond et sur la forme. La Manta GSe EleKtroMOD était la candidate la plus avant-gardiste en incarnant cette tendance de « l’upcycling » appliquée à l’automobile. Le jury des Automotive Awards composé de 9 femmes et 9 hommes a choisi le projet le plus disruptif en soulignant l’audace de l’exercice.

    Au début, il y avait la voiture. Plus précisément, une Opel Manta orange avec toit vinyle noir stockée dans la collection Opel Classic. Une représentante typique des années soixante-dix, sauvages et colorées…Une icône de style. Dans l’ensemble en bon état, mais un peu fatiguée. Elle n’avait pas encore été restaurée, et sa vie la destinait plutôt à devenir banque d’organes. Parallèlement, l’offensive électrique d’Opel battait son plein avec de nouveaux modèles comme l’Opel Mokka-e. Une chose en a entraîné une autre. L’idée de base est venue des spécialistes s’occupant de la collection des anciennes Opel, Opel Classic. « Dans le milieu des anciennes, la mode est aux ‘restomods’, des véhicules anciens auxquels on greffe des motorisations au goût du jour. » Alors pourquoi ne pas donner à la Manta une nouvelle vie électrique ? L’électricité pouvait apporter à la Manta beaucoup de couple sur l’essieu arrière, et des accélérations fulgurantes, tout cela sans faire de bruit. L’idée était bonne et fut adoptée également par quelques designers passionnés, des modélisateurs 3D, des ingénieurs, des techniciens, des mécaniciens, des experts en produits et en marques. Des fans absolus d’Opel, qui aiment tout simplement l’automobile.

    L’idée a rapidement pris forme. La Manta, malgré ses 50 ans, allait devenir fille de notre époque : électrique, sans émissions et pourtant toujours aussi émouvante que cette automobile mythique l’avait été. L’Opel Manta GSe ElektroMOD était née – même si au début ce n’était encore qu’une vue de l’esprit de ses créateurs. « La GSe est un hommage à la Manta d’antan, et en même temps une affirmation de marque pour le temps présent. Opel est affirmé et pur, passionnément différent. Peut-être même différent de ce que vous croyez que nous sommes, » affirme Quentin Huber, Head of Brand Strategy ans Social Media chez Opel.

    Tant d’enthousiasme a immédiatement inspiré les « Car Guys » de la direction d’Opel. Le feu vert spontané est venu d’en haut pour ce projet inhabituel, insolent et éblouissant. Ainsi l’ElektroMOD a pu passer au stade de réalité en quelques mois. Une aventure semblable avait déjà eu lieu il y a quelques années chez Opel : un groupe de passionnés, réunis autour du designer en chef Erhard Schnell, avait conçu de sa propre initiative un magnifique coupé sportif. C’était en 1963, et le projet s’appelait Experimental GT. A peine deux ans plus tard, on voyait arriver la version de série, l’Opel GT, qui fut produite de 1968 à 1973. Mais c’est une autre histoire.

    Dans le cas de la Manta GSe ElektroMOD, l’équipe de développement a préservé tout l’attrait d’origine de la voiture, mais l’a parée des dernières innovations : c’est le cas par exemple du Pixel Vizor, bénéficiant de la toute dernière technologie à LED, de la planche de bord entièrement numérique et, bien sûr, de la propulsion tout-électrique.

    « La Manta GSe est synonyme d’un amour absolu de l’automobile. Avec l’ElektroMOD, nous jetons un pont entre la grande tradition Opel et un avenir durable. Ce mélange de l’esprit du temps et de modernité est absolument fascinant, » explique Pierre-Olivier Garcia, Opel Global Brand Design Manager, au nom de l’équipe de la Manta GSe.

    Igor Dumas, Directeur Général d’Opel France insiste également sur le message que porte le concept car « La Manta des années 70 a inspiré le nouveau design des Opel. En reprenant le Vizor et le Pure Panel des nouvelles Opel, ce Restomod rassemble racines et modernité ! La Manta GSe ElektroMOD illustre également le renouveau de la marque Opel en France : une transformation hors du commun qui s’appuie sur l’engagement des équipes en interne et du réseau »

    La prochaine étape de développement va consister, pour les constructeurs de la Manta, à collecter, analyser et traiter les expériences qu’ils auront recueillies dans la fabrication de l’ElektroMOD. L’objectif est de fournir aux fans d’Opel une recette qui leur permettra de réaliser leur propre transformation d’une ancienne en néo-classique électrique.

  • Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    L’ADAC Opel e-Rally Cup est prête pour sa première saison. Les dix premières Opel Corsa-e Rally viennent d’être livrées.

    A l’occasion de la livraison du véhicule, les équipes ont reçu un briefing complet sur la nouveauté technique que constitue la motorisation électrique. Des tests fonctionnels approfondis ont ensuite été réalisés avec les voitures électriques de 100 kW (136 ch). En outre, les clients ont pu se convaincre du fort potentiel de la Corsa-e Rallye en montant aux côtés du légendaire pilote Opel, Volker Strycek, sur la spectaculaire piste d’endurance du centre d’essais.

    Après l’annulation de l’ADAC ACTRONICS Rally Sulingen en raison du corona, l’ouverture de la saison de l’ADAC Opel e-Rally Cup aura lieu les 11 et 12 juin au rallye ADAC Stemweder Berg. Pour se préparer, les teams de l’ADAC Opel e-Rally Cup participeront à une épreuve d’essai au préalable afin de se familiariser avec le véhicule et l’infrastructure de recharge. En outre, les équipes recevront une formation sur la haute tension, qui sera conduite et certifiée par le TÜV Thüringen.

    Des teams d’Allemagne, de France, d’Autriche, de Belgique, du Royaume-Uni et des Pays-Bas se sont inscrits pour l’ADAC Opel e-Rally Cup 2021. De plus amples détails sur les participations seront donnés à une date ultérieure.

  • Manta Manta : Deutsche Qualität

    Manta Manta : Deutsche Qualität

    En Allemagne, Manta Manta est le film culte d’une génération d’automobilistes : la représentation de l’amour d’un style de vie totalement tourné vers l’automobile avec tous ses codes.

    Le résumé :
    Bertie est très fier de sa voiture, une Opel Manta qu’il a bricolée et gonflée lui-même. Une fois de plus, il vient de battre un concurrent lors d’une course effrénée. Dans l’euphorie de la victoire, il accepte un pari avec Axel, propriétaire d’une Mercedes. Il joue ses économies sur cette course. Et cela pourrait bien lui coûter sa petite amie, Uschi, car cet argent doit leur permettre de s’installer ensemble dans un nouvel appartement. Mais Bertie est dans une période de malchance : le moteur de sa voiture lâche, et Uschi flirte avec Helmut, qui roule en Ferrari…

    Au box-office allemand, le film a réalisé 1,2 million d’entrées. Lors de sa première diffusion TV, 11,48 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous !

    <iframe width= »560″ height= »315″ src= »https://www.youtube.com/embed/fG1EAwxZEtk » title= »YouTube video player » frameborder= »0″ allow= »accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture » allowfullscreen></iframe>

  • Nouveauté : Opel Astra

    Nouveauté : Opel Astra

    Voici la onzième génération d’Opel Astra ! Rassurez-vous, la marque allemande a bien prévu de revoir la présentation de sa berline compacte avant sa commercialisation…

    Opel annonce une voiture « née d’une feuille blanche » avec des dimensions extérieures réduites et une habitabilité en hausse.

    Entre Kadett et Astra, Opel a vendu 24 millions de voitures en quelques décennies, soit quasiment un tiers de toute la production de l’histoire de la marque.

  • Vidéo : la séquence qui a fait de Jeremy Clarkson une star

    Vidéo : la séquence qui a fait de Jeremy Clarkson une star

    Entre 1988 et 1995, Top Gear n’est qu’une émission sur les automobiles… Et Jeremy Clarkson se voit confier l’essai d’une Vauxhall Vectra. En six minutes, Top Gear devient culte !

    Imaginez la tête de la direction de Vauxhall devant sa télévision au moment de sa diffusion…

  • Nouveauté : Opel Corsa

    Nouveauté : Opel Corsa

    Comment qualifier une nouvelle voiture ? Faut-il que la plateforme soit vraiment nouvelle ? Peut-on considérer qu’un simple lifting entraine un changement de génération ? Opel vise entre les deux avec la « nouvelle » Corsa.

    Il y a quelques mois, General Motors et PSA avaient signé un accord pour développer leurs citadines en commun. Le projet n’a jamais vu le jour… Opel a donc dû sortir une nouvelle Corsa par ses propres moyens.

    Faire du neuf avec du vieux

    Pas de nouvelle plateforme, pas de modules chers aux autres marques allemandes, Opel a repris sa Corsa et l’a remise au niveau. La tâche est importante. La marque compte sur sa citadine pour un quart de ses ventes… Et le segment est surchargé en Europe.

    Centre de gravité abaissé, suspensions et direction revues… Le comportement routier diffère totalement de l’ancienne génération. Et si les Diesel restent les 1,3 litre 75 et 95 chevaux, un 3 cylindres essence de 1,0 litre turbo de 115 chevaux emprunté à l’ADAM est tout à fait dans l’air du temps.

    Si le profil ne progresse pas, les faces avant et arrière héritent d’un coup de jeune. Le dessin de la calandre et des phares ne laissent aucun doute sur l’origine de cette nouvelle Corsa…

    Premier prix à 11 990 euros… Et 17 990 euros pour la version 1,0 litre turbo.

  • Quelle sera la plus belle voiture de l’année ?

    Quelle sera la plus belle voiture de l’année ?

    Comme chaque année, le Festival Automobile International propose d’élire la plus belle voiture de l’année. En quart de finale, il reste sept modèles… Pour laquelle allez-vous voter ?

    Mazda MX-5
    Une réussite depuis sa première génération. Un peu plus de 25 ans après son lancement, la quatrième MX-5 arrive sur le marché. Des courbes, des angles, un profil vraiment réussi… Quand on parle de « belle » voiture, la Mazda MX-5 est en pole position.

    mazda-mx5

    Citroën C4 Cactus
    Peut-être pas la plus « belle »… Mais clairement très innovante. Il sort de l’ordinaire au cœur d’un marché des petits SUV qui réclame une réelle distinction. Avec ce C4 Cactus, Citroën renoue avec les voitures clivantes. On aime ou on n’aime pas. Et moi, j’aime.

    citroen-c4-cactus

    FIAT 500X
    Comme réussir à sauver une marque avec un seul modèle ? FIAT le réussit en déclinant sa 500 en de nombreuses versions. Et la 500X est très clairement la plus intéressante. Sous la forme d’un SUV, elle affiche une jolie mise à jour des codes de la « nouvelle » 500. Sur mon podium final…

    fiat-500x

    Renault Espace
    Née Initiale Paris, cette nouvelle génération d’Espace arrive très prochainement sur le marché. Placé en haut de gamme, le nouveau monospace reprend des codes de crossovers. L’intérieur est encore plus marquant que la ligne extérieure. Pour les défenseurs du « haut-de-gamme » français.

    renault-espace

    Jaguar XE
    La marque britannique revient sur le marché des berlines à « grande » diffusion. Bien marquée Jaguar avec des phares acérés et une large calendre, elle affiche un profil particulièrement sportif. Le choix des amoureux du luxe à l’anglaise.

    jaguar-xe

    Mercedes Classe C Estate
    Inscrite dans le renouveau de Mercedes, le break Classe C affiche de belles proportions. Par rapport à la concurrence, elle se démarque par un habitacle particulièrement travaillé. A choisir pour les fans de voitures allemandes.

    mercedes-classe-c-break

    Opel Adam Rocks
    Evolution de l’Adam, la Rocks est 15 millimètres plus haute que la version de base et proposée avec des roues de 18 pouces. Elle s’inscrit dans l’idée d’offrir un véhicule très urbain à l’allure (un peu) sauvage. Peut-être que les urbains branchés voteront pour.

    opel-adam-rocks

    A vous de voter !

  • Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Avec 100 000 commandes signées ces sept derniers mois (300 000 en carrière), le Mokka permet à Opel d’occuper le troisième rang européen dans la catégorie des « SUV urbains », juste derrière les Renault Captur et Peugeot 2008.

    Sur le marché continental, le Mokka occupe 15 % du marché. La part monte à 27 % en Finlande, 22 % en Allemagne et en Autriche.

  • Opel prépare son retour en compétition

    Opel prépare son retour en compétition

    Opel possède une grande histoire en rallye… connue surtout par les fans de la discipline. Car depuis que la marque appartient à General Motors, les activités sportives ont toujours été confiées à des préparateurs. Certes, des titres ont été conquis, mais une marque qui se veut aussi dynamique mérite un peu plus.

    cq5dam.web.1280.1280 (3)

    Ascona, Manta, Kadett, Calibra puis Corsa… Avec plus ou moins de réussite (les plus belles victoires sont à mettre à l’actif de Walter Röhrl avec un titre de Champion du Monde des Pilotes en 1982 en Opel Ascona 400 devant l’Audi quattro de Michèle Mouton), Opel n’est jamais resté éloigné très longtemps des épreuves routières.

    cq5dam.web.1280.1280

    Pour rappeler quelques belles pages de son histoire, Opel a participé au Grand Prix Oldtimer sur le Nurburgring ce week-end. Dix-sept véhicules de compétition étaient en piste. Le véhicule le plus ancien était une Opel Motorwagen 10/12 PS de 1903. Les modèles qui ont marqué les championnats de tourisme et le rallye au cours des 1960 et 70, comme la Rekord C « Veuve Noire », la Kadett Rallye, la Manta A Irmscher, l’Ascona B Groupe 2 et ou la Kadett C GT/E étaient présentes pour faire le lien entre passé et présent. « Présent », car Opel va certainement se servir du lancement de la nouvelle génération de Corsa pour faire son retour en rallye.

    cq5dam.web.1280.1280 (2)

    Après l’abandon du programme Corsa Super 2000, Opel avait lancé la commercialisation de l’ADAM R2… Et en Finlande, on a cru comprendre qu’un programme R5 était à 95 % validé. Nous verrons donc certainement une Opel rouler en Championnat du Monde des Rallyes (même en WRC2) très prochainement !