Catégorie : Constructeurs

  • La Toyota TS050 Hybrid entre au Musée des 24 Heures du Mans

    La Toyota TS050 Hybrid entre au Musée des 24 Heures du Mans

    En confiant à l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) une voiture victorieuse, TOYOTA GAZOO Racing symbolise le lien de la Marque avec Les 24 Heures du Mans et illustre ainsi son histoire sportive avec la légendaire épreuve mancelle.

    La TS050 HYBRID n°8 qui a remporté en septembre 2020 la 88e édition de la course légendaire avec Sébastien Buemi, Kazuki Nakajima et Brendon Hartley comme pilotes, a été officiellement prêtée ce mardi au musée des 24 Heures du Mans.

    Avec 1 000 chevaux et quatre roues motrices, pesant seulement 895 kg, la TS050 HYBRID s’est imposée comme la voiture LMP1 ultime, établissant le tour le plus rapide de tous les temps au Mans en 2017, lorsque Kamui Kobayashi réalise un temps de 3’ 14,791s à une vitesse moyenne de 251,9km/h.

    Ce fut la première de quatre pôle positions consécutives pour une TS050 HYBRID, ouvrant la voie à des victoires en 2018, 2019 et 2020. Mike Conway a établi le record du tour de course le plus rapide, au volant de la TS050 HYBRID n°7 classée deuxième en 2019, avec un tour en 3’ 17,297s, à une vitesse moyenne de 248,6km/h.

    A cette occasion, Hisatake Murata, président de TOYOTA GAZOO Racing et Pierre Fillon président de l’ACO, ont participé à une cérémonie de remise à l’intérieur du musée où la TS050 HYBRID est la pièce maîtresse d’une exposition unique célébrant l’histoire de Toyota au Mans.

    Avec des voitures emblématiques des périodes clés marquant la participation de Toyota aux 24 Heures, qui a débuté en 1985, l’exposition explore la passion et la technologie, mais aussi les déchirements et les triomphes qui ont caractérisé l’engagement de la Marque dans les courses d’endurance.

    Les visiteurs du musée commencent leur visite par la découverte rare d’un premier challenger Toyota au Mans, la voiture 86C Groupe C aux couleurs de Leyton House, qui a couru en 1986 avec Sato Nakajima, Geoff Lees et Masanori Sekiya au volant.

    Face à face et symbolisant le développement rapide qui a vu Toyota émerger comme un véritable candidat à la victoire au début des années 1990, on trouve la dernière voiture du Groupe C, la TS010 n°33 de 1992 dans sa légendaire livrée Casio, et la 94CV n°1, une voiture répondant aux nouvelles règles LMP1 de 1994. Les deux voitures ont terminé à la deuxième place, la TS010 étant pilotée par Masanori Sekiya, Pierre Henri Raphanel et Kenny Acheson, et la 94CV étant pilotée par Eddie Irvine, Mauro Martini et Jeff Krosnoff.

    Une pause dans les courses de prototypes a suivi la deuxième place de 1994 ; les visiteurs du musée peuvent s’approcher de la voiture qui a comblé ce vide pendant deux ans, la Supra LM n°27, pilotée en 1995 par Jeff Krosnoff, Marco Apicella et Mauro Martini.

    La TS020, qui a captivé les fans de course en 1998 et 1999 avec sa vitesse époustouflante sur le circuit de la Sarthe, sera certainement l’une des favorites de l’exposition. Pour une nouvelle génération de passionnés, sa place prépondérante dans le jeu vidéo Gran Turismo a été la première introduction d’une voiture de ce niveau au Mans. La TS020 n°3 de 1999, qui a obtenu la deuxième place avec Ukyo Katayama, Toshio Suzuki et Keiichi Tsuchiya, attend elle aussi les visiteurs du musée.

    Entrant dans une nouvelle ère, la TS030 HYBRID n°7 a gagné sa place dans les livres d’histoire en devenant la première Toyota hybride en tête au 24 Heures du Mans, lors de ses débuts en 2012, quand Alex Wurz, Nicolas Lapierre et Kazuki Nakajima ont entamé un nouveau chapitre qui allait finalement conduire à la gloire au Mans et à trois victoires consécutives pour la TS050 HYBRID.

  • Dix artisans d’art autour de DS 9

    Dix artisans d’art autour de DS 9

    Lancé en avril, l’appel à création DS x MÉTIERS D’ART a réuni plusieurs dizaines d’artisans d’art professionnels autour d’un objectif commun : présenter de nouvelles techniques, de nouvelles matières et de nouvelles solutions qui pourront être présentées dans une DS 9 unique et nourrir la créativité de DS Automobiles.

    Impliquée depuis sa création dans l’incarnation du savoir-faire français du luxe, la marque DS Automobiles continue d’édifier des passerelles entre les meilleurs artistes et artisans français et ses propres créations. Du travail du cuir, des coutures, des matières inattendues comme la plume ou la marqueterie de paille, DS Automobiles s’est fait une spécialité de l’intégration de savoir-faire inédits dans ses modèles de série et ses concept-cars.

    Durant le mois de juin, dix candidats ont été présélectionnés et accompagnés par les équipes du design de DS Automobiles pour la réalisation d’un ou deux échantillons représentants leur savoir-faire et leur intention.

    Les dix candidats de DS x MÉTIERS D’ART :

    Anne Leroux, Maison Pavane
    Anne Lopez, Créatrice d’univers
    Atelier Laura Leblanc, Création textile
    Atelier Martin Berger, Mouvement-Lumière-Emotions
    Charlotte Kaufmann, Création textile
    Dimitri Hlinka et Nicolas Pinon
    Jean-Baptiste Saint-Criq, Cercus marqueterrie
    Line et Raphaël, Imprime-moi un mouton
    Paulina Okurowska, Mosaïques contemporaines
    Stéphanie Lacoste, Curiosité textile
    Le jury s’est réuni en juillet pour découvrir le travail de ces dix candidats et profiter d’un moment d’échange en visioconférence avec chacun d’eux afin de mieux découvrir leur personnalité et leur univers.

    Le jury se compose de sept membres :

    Pascal Morand, Président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode
    Lison de Caunes, Maître d’art en marqueterie de paille
    Hubert Barrère, Directeur artistique de la Maison Lesage et corsetier
    Anna Le Corno, Ebéniste et créatrice de l’Atelier Farouche Paris
    Béatrice Foucher, Directrice Générale de DS Automobiles
    Thierry Metroz, Directeur du Style de DS Automobiles
    Jean-Philippe Vanhulle, Responsable de l’atelier Sellerie de DS Automobiles
    Trois finalistes vont être désignés. Ils se verront alors confier une pièce de décor de panneau de porte de DS 9 sur laquelle ils devront appliquer les techniques utilisées sur l’échantillon de leur projet sélectionné par le jury.

    Ces travaux seront présentés lors d’un évènement exceptionnel organisé à Chantilly le 14 septembre 2021. Le grand vainqueur réalisera ensuite l’ensemble des décors intérieurs d’une DS 9 unique.

    Pascal Morand, Président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode :  » DS x MÉTIERS D’ART est un moment d’échange. La création est toujours une surprise. Dans ce qui a été présenté, il y a une volonté d’innovation technico-créative. La créativité française me tient à cœur. C’est important pour la culture et l’économie de ce pays. Cette créativité véhicule une tradition et une esthétique, en harmonie avec notre propre identité, tout en étant ouverte sur le monde. C’est un facteur de développement et de compétitivité.  »

    Thierry Metroz, Directeur du Style de DS Automobiles :  » Le niveau de créativité et l’engagement montrés par les candidats de DS x MÉTIERS D’ART est impressionnant. Depuis la naissance de DS Automobiles, nous travaillons avec de grands artisans au savoir-faire exceptionnel pour incarner le luxe français. Cette initiative vise à découvrir d’autres talents en nous confrontant et en les confrontant à de nouveaux challenges pour créer de nouvelles opportunités.  »

    Lison de Caunes, Maître d’art en marqueterie de paille :  » Je suis ravie de découvrir de nouveaux artisans et de nouvelles matières. Je suis aussi toujours impressionnée par l’approche intellectuelle de chaque artisan dans chaque projet. Le savoir-faire manuel est complété par une réflexion qui joue une place très importante. C’est passionnant de voir tous ces matériaux, la façon dont ils sont utilisés et appliqués au domaine de l’automobile. C’est assez inattendu pour tous ces artisans.  »

    Hubert Barrère, Directeur artistique de la Maison Lesage et corsetier :  » J’aime la démarche de DS Automobiles. DS représente l’excellence française dans l’automobile. Poursuivre sur cette idée d’ambassadeur du savoir-vivre et du luxe à la française me parait extrêmement juste, comme celle de travailler avec des métiers d’art de la mode, qui ont des savoir-faire très différents et où chacun excelle dans son domaine. Toutes les pièces sont sublimes.  »

    Anna Le Corno, Ebéniste et créatrice de l’Atelier Farouche Paris :  » L’opportunité de découvrir autant de savoir-faire est un luxe. Voir des artisans travailler sur une problématique précise est toujours très inspirant. C’est un plaisir de faire partie de ce jury et d’être stimulée par les synergies que DS x MÉTIERS D’ART crée. J’ai eu des coups de cœur et j’ai vu des regards très poétiques sur l’interprétation de la matière et du rapport à l’automobile. « 

  • Morgan passe au clubsport

    Morgan passe au clubsport

    La Morgan Motor Company, la School of Engineering de l’Université de Wolverhampton et l’équipe de course de l’Université (UWR) poursuivent leur partenariat technique de longue date avec la création d’une variante axée sur le sport automobile du Morgan Plus Four.

    Il s’agit de la première utilisation en compétition d’un Morgan basé sur la plate-forme CX-Generation en aluminium collé et vise à valider les performances et la durabilité du Plus Four. Cela englobe la plate-forme susmentionnée – qui ne pèse que 97 kg mais offre le double de la rigidité structurelle de la plate-forme en aluminium précédente de Morgan – ainsi que la suspension à double triangulation sur mesure du modèle et le groupe motopropulseur d’origine BMW.

    Les deux voitures, qui ont été conçues pour participer à une multitude de championnats de sprint et d’endurance de niveau club, tels que le Morgan Challenge, courront pendant le reste de la saison 2021 et au-delà. Après avoir terminé les modifications de course sur les deux voitures, l’équipe UWR fournira un soutien technique sur piste et en atelier aux voitures et aux pilotes, perfectionnant les compétences vitales des étudiants et les préparant à une carrière dans le sport automobile ou l’ingénierie automobile.

    En 1962, Morgan a remporté sa catégorie aux 24 heures du Mans et la voiture a été ramenée chez Morgan à Malvern après la course. Suivant cette philosophie de «clubsport», la variante de sport automobile de la Morgan Plus Four reste entièrement légale sur route, pouvant être conduite vers et depuis le circuit si vous le souhaitez.

    Le projet fait partie intégrante du programme RSE (responsabilité sociale des entreprises) de Morgan. Morgan et l’Université de Wolverhampton travaillent en partenariat depuis cinq ans, soutenant l’éducation et la formation avec des opportunités de recrutement direct pour les diplômés. Les anciens étudiants de l’université travaillant dans l’équipe de course Morgan ont ensuite obtenu des postes à temps plein dans l’entreprise. D’autres plans, en collaboration avec le partenaire caritatif désigné de Morgan, Mission Motorsport, seront annoncés en temps voulu.

  • DS 9 donne des couleurs à la Paris Fashion Week

    DS 9 donne des couleurs à la Paris Fashion Week

    Un exemplaire unique de DS 9 évolue en ce moment dans Paris. Habillée d’une robe aux millions de reflets finement pailletés et nacrés, une DS 9 s’invite dans les défilés de la Haute Couture Week.

    Basée sur une DS 9 E-TENSE 225 RIVOLI + Intérieur OPERA Rouge Rubis, ce prototype se pare d’une teinte aux effets électrisants. Drapée d’un film coloré dans lequel se mélangent des paillettes dorées et des particules de nacre, la carrosserie diffracte la lumière pour refléter les composantes de l’arc-en-ciel. D’abord jaune, DS 9 voit sa teinte tendre vers le bleu marine ou le rouge-orangé selon l’angle des regards.

    Imaginée pour bousculer les codes de la grande berline statutaire, cette teinte présente un effet dichroïque qui rend les lignes de DS 9 encore plus sculpturales, en exacerbant ses arêtes acérées et en soulignant l’évolution de ses courbes douces.

    Vincent Lobry, Chef de Projet Couleurs, Matières et Finitions Concept-cars DS Automobiles : « Nous avons cherché à créer un habillage inattendu sur pour une grande berline statutaire comme la DS 9. En nous penchant sur les codes de la Haute Couture et de lieux parisiens dédiés à l’art contemporain comme le Palais de Tokyo, nous avons conçu une teinte aux effets électrisants. Selon l’angle, la perception change pour refléter les composantes de l’arc en ciel. Cette démarche s’inscrit aussi dans un profond travail de recherche et de développement des teintes de demain. »

  • Un siège de DS 9 dans le porte-avions Charles de Gaulle

    Un siège de DS 9 dans le porte-avions Charles de Gaulle

    Rencontre au sommet du savoir-faire et de l’excellence française : un siège inspiré de DS 9, berline statutaire et porte-drapeau de la gamme, est désormais installé en passerelle de navigation pour le commandant du porte-avions Charles de Gaulle, le fleuron de la Marine française.

    Portés par l’excellence française, DS Automobiles et la Marine Nationale sont animés par les mêmes valeurs : précision, rigueur et savoir-faire caractéristique. Forts d’une grande expertise et guidés par la volonté d’être à l’avant-garde, les maîtres selliers de DS et les équipes du porte-avions Charles de Gaulle ont collaboré pour créer un siège exclusif, inspiré de celui installé dans l’habitacle d’une DS 9, vaisseau amiral de DS Automobiles.

    L’alliance du raffinement et de la technologie a donné naissance à ce siège en cuir Nappa Noir Basalte confection bracelet proposé habituellement dans l’habitacle de DS 9 RIVOLI + Intérieur OPERA Noir Basalte.

    Disposant d’une alimentation propre, cette création unique bénéficie des mêmes fonctionnalités en passerelle de navigation du porte-avions Charles de Gaulle que dans la grande berline française. La prestation de massage à cinq modes et trois intensités est conservées (pattes de chat, vagues, étirements, lombaires et épaules), comme le chauffage et la ventilation au travers du cuir perforé ; une première pour le porte-avions de la Marine Nationale.

    Installé en début d’année 2021, le siège a déjà été validé à l’occasion de la mission opérationnelle de 4 mois du porte-avions Charles de Gaulle. Passé entre les mains des selliers de DS Automobiles, il est brodé de l’insigne du Charles de Gaulle R91 : la croix de Lorraine jaillit de l’ancre du navire, dont le diamant suggère l’étrave du bâtiment. Le bras de l’ancre se divise en trois envolées pour symboliser l’aviation embarquée. Une plaque métallique frappée du logo DS Automobiles est apposée au dos et des accoudoirs ont été ajoutés de part et d’autres du dossier.

    Thierry Metroz, Directeur du Style de DS Automobiles : « Le porte-avions Charles de Gaulle incarne l’extraordinaire savoir-faire de notre industrie avec une prestance incomparable et une technologie d’exception. Installer une création unique de siège DS travaillé par nos propres maîtres selliers sur le vaisseau amiral de la flotte française est plus qu’un clin d’œil, c’est la rencontre de deux mondes où se côtoient l’excellence et la fierté nationale. »

    Capitaine de Vaisseau Guillaume Pinget, commandant du porte-avions Charles de Gaulle : « Après 20 ans de bons et loyaux services, le siège du commandant devait être remplacé. Grâce à DS Automobiles, c’est la toute première fois qu’un siège de commandant propose un tel niveau de confort et une technologie aussi évoluée. C’est un atout précieux car ce siège est d’une manière ou d’une autre un outil de travail, qui a un rôle important lorsque nous sommes en mission, même dans les situations les plus éprouvantes. Comme dans une voiture, le siège doit offrir un bon maintien et un excellent confort. Dès lors, il était tout à fait normal de collaborer avec une marque automobile française au savoir-faire reconnu en la matière. Comme le Charles De Gaulle, DS Automobiles représente l’excellence française. »

  • Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    Les Opel Corsa-e Rally arrivent !

    L’ADAC Opel e-Rally Cup est prête pour sa première saison. Les dix premières Opel Corsa-e Rally viennent d’être livrées.

    A l’occasion de la livraison du véhicule, les équipes ont reçu un briefing complet sur la nouveauté technique que constitue la motorisation électrique. Des tests fonctionnels approfondis ont ensuite été réalisés avec les voitures électriques de 100 kW (136 ch). En outre, les clients ont pu se convaincre du fort potentiel de la Corsa-e Rallye en montant aux côtés du légendaire pilote Opel, Volker Strycek, sur la spectaculaire piste d’endurance du centre d’essais.

    Après l’annulation de l’ADAC ACTRONICS Rally Sulingen en raison du corona, l’ouverture de la saison de l’ADAC Opel e-Rally Cup aura lieu les 11 et 12 juin au rallye ADAC Stemweder Berg. Pour se préparer, les teams de l’ADAC Opel e-Rally Cup participeront à une épreuve d’essai au préalable afin de se familiariser avec le véhicule et l’infrastructure de recharge. En outre, les équipes recevront une formation sur la haute tension, qui sera conduite et certifiée par le TÜV Thüringen.

    Des teams d’Allemagne, de France, d’Autriche, de Belgique, du Royaume-Uni et des Pays-Bas se sont inscrits pour l’ADAC Opel e-Rally Cup 2021. De plus amples détails sur les participations seront donnés à une date ultérieure.

  • Manta Manta : Deutsche Qualität

    Manta Manta : Deutsche Qualität

    En Allemagne, Manta Manta est le film culte d’une génération d’automobilistes : la représentation de l’amour d’un style de vie totalement tourné vers l’automobile avec tous ses codes.

    Le résumé :
    Bertie est très fier de sa voiture, une Opel Manta qu’il a bricolée et gonflée lui-même. Une fois de plus, il vient de battre un concurrent lors d’une course effrénée. Dans l’euphorie de la victoire, il accepte un pari avec Axel, propriétaire d’une Mercedes. Il joue ses économies sur cette course. Et cela pourrait bien lui coûter sa petite amie, Uschi, car cet argent doit leur permettre de s’installer ensemble dans un nouvel appartement. Mais Bertie est dans une période de malchance : le moteur de sa voiture lâche, et Uschi flirte avec Helmut, qui roule en Ferrari…

    Au box-office allemand, le film a réalisé 1,2 million d’entrées. Lors de sa première diffusion TV, 11,48 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous !

    <iframe width= »560″ height= »315″ src= »https://www.youtube.com/embed/fG1EAwxZEtk » title= »YouTube video player » frameborder= »0″ allow= »accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture » allowfullscreen></iframe>

  • Continuation aussi pour le Land Rover Defender Works V8 Trophy

    Continuation aussi pour le Land Rover Defender Works V8 Trophy

    C’est le crédo de Jaguar Land Rover depuis quelques années : reconstruire les légendes d’antan. En ce premier trimestre, Land Rover annonce 25 « nouveau » Defender Works V8 Trophy.

    Ces Defender Works V8 Trophy sont construits sur la base technique du Defender Works V8 2012-2016 reconditionné, développé par Land Rover Classic et équipé du V8 5,0 litres développant 405 chevaux et 515 Nm, de la transmission automatique à huit rapports ZF, et d’un renforcement complet des suspensions, de la direction et du freinage. Ils présentent une vaste gamme d’améliorations sur mesure en vue d’un usage hors-piste.

    Vingt-cinq exemplaires du Defender Works V8 Trophy, à la fois des 90 et des 110 Station Wagon, recevront une finition exclusive dans une couleur spécifique Eastnor Yellow, avec des roues acier assorties en 16 pouces. Les arches de roues, le capot et la porte arrière font contraste avec leur peinture Narvik Black. Les véhicules spécifiques reçoivent aussi des phares à LED, une calandre Heritage, des sigles distinctifs ainsi que le logo de l’événement dédié personnellement à chaque propriétaire.

    L’équipement tout-terrain additionnel comprend un treuil à l’avant, un arceau-cage multipoint, une galerie de toit, des protections de soubassements, un pare-buffle, la prise d’air surélevée, des projecteurs à LED et des pneus “mud-terrain”.

    L’intérieur reçoit une sellerie plein cuir de couleur noir Windsor avec des sièges sport Recaro, des surpiqûres jaunes et une horloge de bord spécifique Land Rover Trophy signée Elliot Brown. L’ensemble d’info-divertissement spécifique de Land Rover Classic est aussi de la partie, avec navigation intégrée et connectivité au téléphone mobile.

    Les propriétaires de ces Defender Works V8 Trophy seront conviés à participer à une aventure exclusive de trois jours à Eastnor Castle dans le Herefordshire, terre de prédilection de Land Rover pour l’entraînement hors-piste, les tests et le développement. Là-bas, les propriétaires conduiront leur voiture pour la première fois.

    Les deux versions du Defender Works V8 Trophy, sur empattement “90” et “110”, sont à présent disponibles à la commande au Royaume-Uni, directement auprès de Land Rover Classic, les tarifs débutent à 225 000 euros pour un 90.

  • « Un autre regard » : DS Automobiles à la Paris Fashion Week

    « Un autre regard » : DS Automobiles à la Paris Fashion Week

    DS Automobiles présente un nouveau shooting photo édito mode pour la Paris Fashion Week® Femme Printemps / Été 2021. Cette seconde édition d’Un Autre Regard a pris vie sur les vestiges du Château Royal de Montceaux-Lès-Meaux. Bâti au début du XVe siècle, il avait été acheté par Henri II pour en faire don à sa femme, la Reine de France Catherine de Médicis. Le château a été détruit après la Révolution et le domaine est aujourd’hui classé Monument historique.

    Résolument avant-gardiste à l’époque, le Château mêle aujourd’hui ruines et vestiges, au milieu de colonnes et d’un pavillon restauré. C’est dans ce décor que l’ensemble des concept-cars présentés depuis la création de la Marque, DS AERO SPORT LOUNGE, DS X E-TENSE, DS E-TENSE et DS DIVINE, ont pris la pose avec deux modèles, Justine Nicolas et Olivia Valin, et les looks de trois marques émergentes de la mode internationale : Boyarovskaya, Thebe Magugu et Mossi.

    Quatre tableaux ont été créés en plein contraste entre la fascination du patrimoine et la modernité des savoir-faire portés par les créateurs et les concept-cars de DS Automobiles. Laurent Nivalle (photos) et Emmanuel Rouyer (vidéos) ont saisi les forces des différentes lignes pour concevoir un nouveau chapitre d’Un Autre Regard.

    « La mode est une source d’inspiration pour l’identité de la marque DS », rappelle Laurent Nivalle, Global Brand Designer de DS Automobiles et photographe de cette édition d’Un Autre Regard. « Nous sommes influencés par Ernst Haas, Saul Leiter, Hedi Slimane ou Peter Lindbergh et le cinéma. Dans ces domaines, l’automobile a toujours eu une place prépondérante et il nous paraissait important, en tant que marque d’avant-garde, d’utiliser cette relation entre l’auto et la mode. Dans ce shooting, les concept-cars DS jouent un rôle majeur aux côtés de jeunes créateurs qui ont un regard frais et nouveau dans leur propre monde. Les vestiges du Château Royal de Montceaux-Lès-Meaux créent des contrastes de lumières, de couleurs, de formes, de lignes… qui sont dans mes codes de photographe. Le patrimoine est très présent et un grand écart avec des modèles comme DS DIVINE ou DS E-TENSE qui racontent l’histoire de notre marque. Cette alchimie montre ce qu’est DS Automobiles aujourd’hui entre tradition et modernité. »

    Les photos seront à découvrir sur le compte Instagram @DS_Official /@dsfrance durant toute la durée de la Paris Fashion Week®.

    La Paris Fashion Week® Mode Féminine Prêt-à-Porter Printemps / Eté 2021 se déroule du 28 septembre au 6 octobre, en partenariat avec DS Automobiles. 84 maisons sont inscrites au calendrier officiel avec des évènements physiques et digitaux. Les invités iront sur les lieux des 19 défilés et des 20 présentations à bord de DS 7 CROSSBACK E-TENSE 4×4 300, modèle hybride rechargeable symbole du raffinement français dans l’automobile. Avec 75 kilomètres d’autonomie en mode zéro émission (norme WLTP City), DS 7 CROSSBACK E-TENSE 4×4 300 ouvre la voie à une nouvelle façon de se déplacer, plus agréable, plus efficiente et plus sûre.

  • Audi S1 quattro Groupe B Lego. Le groupe B, comme BRIQUE.

    Audi S1 quattro Groupe B Lego. Le groupe B, comme BRIQUE.

    Le groupe B, comme BRIQUE.

    Avez-vous déjà vu un enfant excité le 24 décembre au soir ? C’était moi, l’autre jour sortant de la boutique Lego du centre commercial Euralille de Lille. Et oui. C’était bibi, un gosse, un enfant.

    Alors une fois rentré à la maison, c’était parti. 250 pièces à assembler en un temps record. Façon Ouninpohja. On cherche la briquette comme on cherche sa route. Le manuel nous guide comme un copilote fidèle et précis. Le voici d’ailleurs en ligne :

    Donc, une fois les 250 pièces montées, apparait notre jolie Audi S1 quattro Groupe B. Ca tombe bien, la version originale était aussi taillée à la serpe que notre modèle réduit Lego. Reste à savoir qui de Stig Blomqvist, Walter Rohrl, Hannu Mikkola ou Michele Mouton pilotera notre Audi issue de la collecyion SPEED CHAMPIONS. J’ai un coup de coeur pour Stig Blomqvist. D’ailleurs, il n’a pas qu’une Audi disponible chez Lego. En plus de notre chère Audi Sport quattro S1 1985, on trouvera Audi R8 LMS ultra et la Audi R18 e-tron quattro. Histoire d’avoir un petit muséum d’Ingolstadt à la maison.

    Bonne journée et vive la briquette,
    Jean-Charles

  • Contact, quelques heures en Audi A5 Cabriolet 50 TDI 286 ch quattro tiptronic 8

    Contact, quelques heures en Audi A5 Cabriolet 50 TDI 286 ch quattro tiptronic 8

    Audi A5 Cabriolet 50 TDI 286 ch quattro tiptronic 8. Après avoir donné ce nom aussi long, tu peux boire un coup tellement il est long ! En gros, c’est une beau cabriolet, spacieux pour ces passagers, équipé d’un très bon moteur et une belle boîte automatique. Je résume très grossièrement mais avant toute chose, je tenais à vous préciser : je ne suis pas seul dans ma tête au sujet de l’Audi A5. Oui, c’est un peu atypique comme approche mais elle me fait quelque chose cette Audi A5, comme une Mercedes Classe C break AMG, une Abarth 124 Spider. Elles sont une gueule, un cachet particulier. L’A5, comme sa grande soeur A7, a quelque chose en plus des autres. Alors oui, c’est une A4 un peu plus grosse. C’est une A4 un peu plus dynamique. C’est une A5 et pour moi elle fait partie des plus belles automobiles du moment. Un peu plus en poids, un peu plus en forme. Qu’elle soit cabriolet ou sportback, coupé ou 4 portes, peu importe, j’aime sa singularité simple et ses formes. Elle est tout de même très statutaire cette A5. Elle ne me déplairait pas, un jour…

    La nouvelle A5 est donc arrivée. Pas de bouleversement particulier mais un restylage de bon goût. On notera donc une calandre « Singleframe » plus plate et plus large, l’apparition très discrète des 3 buses de ventilation façon Audi Sport quattro 1984, une nouvelle lame de pare-chocs avant, avec des ouïes d’air plus grandes. A l’arrière, le diffuseur change, pour recevoir deux belles sorties d’échappement. Du côté des feux, la nouvelle signature Audi arrive, avec la technologie Matrix LED, pour voir de nuit comme en plein jour. C’est plus pratique.

    A l’intérieur, la tableau de bord change, évolue, avec l’apparition du MMI Touch Display 10,1 pouces, trois interfaces pour le Virtual cockpit que j’adore. Au centre, la console centrale est plus grande, avec plus de rangement mais on a toujours beaucoup trop d’informations à absorber pour ma petite tête. Une fois assis, on se rend compte d’une chose : l’A5 cabriolet est vraie 4 places, où chaque passager aura de la place à bord. Ce choix a été fait pour une question de sécurité. En effet, en cas de tonneau, des arceaux sortent de la caisse pour venir protéger les têtes des passagers arrières. Seuls deux arceaux protecteurs sont prévus, d’où les seules deux places à l’arrière et donc quatre places dans la voiture. Tout s’explique mais il faut avouer qu’à l’arrière, on a ainsi de la place, et c’est bien de la place. Enfin, toujours côté place : on a un coffre très spacieux pour une cabriolet.

    Côté gamme, tout est simple, avec deux finitions disponible : S line et Avus. Cinq motorisations dont trois motorisations à hybridation légère, premier niveau de l’hybridation automobile. Pas trop de bla-bla, tout est très bien expliqué ici : https://www.caradisiac.com/mild-hybrid-ou-hybridation-legere-la-premiere-marche-161030.htm. Ces gens de chez Caradisiac connaissent bien mieux la chose que moi. Ceci étant, j’ai eu la chance de prendre le volant d’une belle A5, sobre dans sa robe d’un Bleu Navarre metallisé. Sous son long capot nervuré, c’est le 6 cylindres en V 3L diesel 286 chevaux qu’on retrouve, accouplé à la boîte tiptronic 8, qui emmène la transmission quattro. Rien à jeter. Souplesse et puissance sont présents, quand le couple de 620 Nm arrache le bitume.

    L’essai du jour sera simple : de Bruxelles à Anvers, aller-retour. Le temps de fuir les bouchons bruxellois, le Rrrrrring et les tunnels sans fin, nous voilà en route vers la mer. L’essai est court, bref, nous n’aurons pas le temps de se perdre comme habituellement. Il fait frais, il fait froid en ce mois de février. Routes, autoroutes, petites rues de cités flamandes, rien ne nous est épargné. Pas même les pavés du port d’Anvers.

    Nous aurions pu écouter les chansons Bruxelles, chantées par Jacques Brel ou Dick Annegarn, mais non, pas cette fois. Non pas que la chanson de Dick Annegarn ne soit pas superbe mais c’est sur l’album Breakfast in America, du fantastique groupe britannique Supertramp, que je me jette. Les quatre premiers morceaux de cet album aux multiples récompenses ne sont qu’un graal, pur, propre, mélodieux. Notez bien : Gone Hollywood, The Logical Song, Goodbye Stranger et bien entendu, Breakfast in America, le titre de l’album. Alors, voyez le topo qui s’affiche au coeur du système sonore Bang & Olufsen, avec son en 3D. Sublime. Les voix de Richard Davies, Roger Hodgson et Richard Palmer sont flattées.

    Audi A5 décapotée, sièges chauffants, gros bonnet pour moi tandis qu’Antoine du Garage des Blogs aura les cheveux au vent. La capote de tissu triple épaisseur se déplie en 15 secondes pour se remettre en place en 18 secondes. Une cinématique possible en roulant, jusqu’à 50 kilomètres/heure. Puis notre Audi avale les kilomètres dans une douceur incroyable, sans broncher, sans frétiller, se passant des nids de poule des autoroutes belges, effaçant les pavés des centre-villes. Le moment est unique et j’avoue me perdre un peu dans les commandes de la bête. Il y a définitivement trop de boutons pour moi, mais quand la route s’allonge, se montre facile, plaisante, quand la discussion se fait, glisse, en bonne compagnie, avec un bon son et une auto douce et confortable, c’est un moment unique. C’est peut être cela, un cabriolet de la classe et de la volupté d’une Audi A5. Une succession quotidienne de moments uniques. Il est vrai qu’au doux tarif de 92000€, notre modèle essayé a les arguments pour créer des moments uniques. Je n’en oublie pas mon leitmotiv : prendre la route, je crois que l’essentiel est là. En Audi A5 Cabriolet, la route n’en parait que plus belle, avec un goût de trop peu.

    Je vous laisse, mon break familial m’attend. Mais j’y ai tout de même Supertramp, et ça me rappelle de jolies choses.

    Je vous embrasse avec le coeur,
    Jean-Charles