Ultime galerie dans les jardins de la Villa d’Este, avec l’apparition du nouvel Hommage créé par BMW. Moins séduisant que les précédents 328 ou 3.0 CSL, le concept 2002 Hommage conserve la même partition que son ancêtre. C’est brut, franc, direct, prêt à bondir. Encore une réussite pour cette série !
Catégorie : Culture
-
Jour 2 à la Villa d’Este !
Célébration de l’élégance automobile sur les bords du Lac de Côme… Entre nostalgie et patrimoine, repartons pour une deuxième journée au coeur du Concours de Villa d’Este !
-
Immersion : Villa d’Este 2016
Vendredi, la première journée du Concours d’Elegance de la Villa d’Este n’est qu’un préambule… A quelques heures de la révélation du nouvel Hommage BMW, de l’arrivée des hommes d’Alpine, déambulons dans les allées d’un événement pas comme les autres !
-
Visitez le Musée Enzo Ferrari !
Dans la belle série des visites de musées depuis votre écran, Ferrari s’ajoute aux quelques autres constructeurs déjà présentés sur AUTOcult.fr.
Le Musée Enzo Ferrari n’est pas le grand musée de Ferrari situé à Maranello. Ouvert plus récemment, ce musée est situé à Modène, sur les terres de la maison natale d’Enzo Ferrari.
À Modène, dans le fief de Maserati, il avait créé sa première concession Alfa Romeo, baptisée alors Scuderia Ferrari. Le début de l’histoire…
Et pour continuer les visites, rendez-vous chez Pagani, Lamborghini, McLaren, Toyota, Honda, Mazda…
-
BMW Italia et Garage Italia Customs créent la première i8 Art Car
Pour fêter les 50 ans de BMW en Italie, BMW Italia et Garage Italia Customs ont réalisé une inédite BMW i8, à la robe reprenant la toile « Lampada ad arco » de l’artiste italien Giacomo Balla. Ainsi, cette i8 est la première Art Car officieusement officielle de la marque bavaroise. Officielle car homologuée BMW Italia, officieuse car absente de la liste des véritables Art Car. Elle mêle mobilité nouvelle et l’art de Giacomo Balla, peintre italien du début du siècle dernier. La toile, qu’on retrouve sur la carrosserie la belle Allemande électrique, est exposée au Museum of Modern Art, New York. Cette i8 sera présente aux Mille Miglia, dès aujourd’hui, entre Brescia, Roma et Brescia. Elle suivra la BMW 328 que pilotera Sergio Solero, PDG de BMW Italia.
-
Une Berlinette nommée désir
Vingt ans, plus de vingt ans qu’aucune Alpine n’est sortie des chaines d’assemblage de l’usine historique de Dieppe. Après une longue période de disette, la renaissance a enfin été annoncée fin 2012. Avec la révélation d’Alpine Vision, nous n’avons jamais été aussi proches de voir revenir la marque sur les routes !
De la première A106, une Renault 4CV recarrossée par Chappe et Gessalin, à la GT 2+2 A610, Alpine (puis Alpine-Renault et Renault-Alpine) a produit des modèles qui ont marqué l’histoire de l’industrie automobile française. Mais c’est bien l’A110, la fameuse Berlinette apparue en 1962, qui sert de fondation idéologique à cette seconde vie.
Au sein du Groupe Renault, l’idée n’est pas cachée. Laurens van den Acker a même affirmé : « L’A110 est à Alpine ce que la 911 est à Porsche ». Le Néerlandais, Directeur du Design Industriel, ne prend pas l’exemple au hasard, tant la marque allemande est une source d’inspiration.
Car s’il est bien délicat d’énoncer à qui appartient le patrimoine d’Alpine – au milieu d’un public de propriétaires et de fans qui défendent leur mémoire et leurs anecdotes – l’homme aux sneakers s’est formidablement approprié le projet, sous la coupe de Carlos Ghosn. Le remplaçant de Patrick Le Quément (qui rêvait tant de dessiner pour Alpine), débauché de Mazda par l’éjecté Patrick Pelata, y trouve un nouveau défi, après avoir achevé l’œuvre de cohérence du design Renault au travers d’un concept à six pétales. Une idée pas si farfelue quand on connaît l’amour des Pays-Bas pour les tulipes !
Laurens van des Acker a eu le droit de toucher à Alpine, là où son prédécesseur avait dû se résoudre à apposer un losange sur la Renault Sport Spider. Il a d’abord pu s’exercer avec Vision Gran Turismo, un avatar/maquette destiné aux jeux vidéo… Et il a dirigé le dessin du show car Celebration, imaginé pour tester les réactions du public l’été dernier.
De Celebration à Vision
Entre annonces, dessins et show cars, Alpine attise la passion et la patience ! Attendue et toujours attendue, la Berlinette du XXIe siècle n’est pas encore prête. Après avoir dévoilé Celebration sur le Circuit de 24 Heures du Mans en juin dernier, Alpine donne une suite à son œuvre de teasing avec Vision, un autre show car montré en février à Monaco.
L’arrivée de cette seconde création de démonstration n’a rien d’anodin. Très (trop ?) espérée, Celebration n’avait pas convaincu l’ensemble des fans (historiques et nouveaux) du A Fléché. Les touches de néo-rétro n’avaient pas entrainé de totale adhésion… Quand d’autres rêvaient d’une version routière de Renault Sport R.S. 01 sans avoir les moyens d’en être clients.
Les codes de l’A110 étaient pourtant respectés. Mais il en fallait davantage pour persuader… C’est devenu l’objectif de Vision. La silhouette est la même et les traits s’affinent. Vision s’éloigne du concept pour s’approcher de la définition finale. Surtout, le show car gagne des optiques qui modifient radicalement la perception du public. Les critiques formulées autour de Celebration ont disparu. Vision a parfaitement préparé l’arrivée du modèle de série.
Il y a de l’élégance généalogique… Face à des concurrentes très marquées et souvent incomparables chez Alfa Romeo, Audi, Lotus ou Porsche, la future Alpine affiche une charte bien ancrée dans le patrimoine dieppois.
Caché dans le premier concept, l’habitacle est la pièce maîtresse de Vision. Il donne des pistes pour imaginer l’environnement intérieur du modèle de série qui sera dévoilé en fin d’année… Sur ce point, les designers ont pris davantage de liberté que pour la carrosserie. L’A110 a été clairement laissée de côté pour que l’inspiration soit puisée installé dans le baquet des voitures de sport de référence.
L’immense bouton rouge sur la partie droite du volant et les boutons de commande de boîte de vitesses sont empruntés à Ferrari. Quant au bouton de démarrage et son cache translucide, il évoque Lamborghini.
Le reste est encore très secret… Le châssis sera en aluminium, le moteur 4 cylindres turbo sera situé derrière les sièges et cette Alpine passera de 0 à 100 km/h en moins de 4,5 secondes. Bouche cousue pour les autres données techniques.
« Vision sert à montrer le travail que nous avons fait sur les matériaux, à l’intérieur, et sur les phares », explique Antony Vilain, cheville ouvrière du dessin chez Alpine. « C’est une combinaison de notre héritage et d’une modernité affichée. Nous sommes très proches du modèle définitif même si, par exemple, nous aurons besoin de rétroviseurs plus grands pour homologuer la voiture. »
Une gamme à venir
Certains détails marquent encore un peu plus l’ancrage patrimonial, comme le drapeau français caché dans les phares. Des clins d’œil que sait vendre Michael van der Sande, tout nouveau patron de la marque : « Alpine représente très bien la France. C’était un choix de rester fidèle aux racines et aux gènes d’Alpine. Alpine, c’est l’agilité, la légèreté et la performance depuis cinquante ans, mais c’est aussi Dieppe qui est un centre d’expertise. Ce choix du Made In France n’est pas opportuniste, il est bien réel et nous en sommes très fiers ! »
Le Néerlandais – encore un ! – est un maître du marketing. Sa nomination n’est pas un détail d’organigramme. Ancien de Nissan (avant l’Alliance), il est passé chez Rolls-Royce, Bentley, Harley-Davidson, Tesla et Aston Martin avant de devenir Directeur Marketing Monde du Groupe Renault en 2013. Son approche se résume à un mot qui revient à chacune de ses phrases : passion. C’est ce qu’il vendra à travers Alpine.
« La marque Alpine est une question d’émotion et de passion », assène-t-il. « Bien sûr, il faudra proposer une voiture performante, mais c’est la passion des gens qui fera fonctionner Alpine. Et ce qui est vrai à l’extérieur est aussi vrai en interne. Nous n’allons pas construire un réseau de dix mille concessionnaires à travers le monde. Les meilleurs, les plus passionnés seront retenus. Cette passion va créer un pont entre le client et la marque. Cette passion est incontournable dans le monde automobile. À nous de l’organiser et de la structurer. »
Disponible en 2017, la nouvelle Alpine sera d’abord commercialisée en Europe Occidentale avant de partir à la conquête des autres continents « dans les deux à trois années qui suivent ».
Mais Renault ne fait pas que développer la nouvelle Berlinette. L’objectif de Carlos Ghosn est d’orchestrer la renaissance d’une gamme « premium ». Alpine va (re)devenir un constructeur à part entière, avec un objectif de rentabilité.
Après la Berlinette, Alpine va donc voir arriver ce qui sera le vrai gros pari : un SUV. Là encore, Porsche a servi d’exemple. La marque allemande sert près de 70 % de ses volumes avec des Macan et des Cayenne. Si Alpine et son site dieppois de 300 salariés veulent être profitables, le crossover est un moyen d’y parvenir.
Comme Porsche, Alpine pourrait s’ouvrir à un public amoureux de la marque, mais qui ne peut se contenter d’une petite voiture à seulement deux baquets. Mieux, l’Alliance Renault-Nissan sait mieux que quiconque comment monter un crossover. Et voilà comment une plateforme déjà rentabilisée (Qashqai, X-Trail, Mégane, Talisman, Kadjar, Espace et bientôt Scenic) pourra servir à un nouveau produit. Quatre roues motrices et directrices, le tout dans un modèle capable d’être vendu au-delà de 50 000 euros pour créer des marges… L’idée est étudiée et fait sourire au sein du Groupe. Car aujourd’hui, on répète qu’il faut réussir le lancement de la Berlinette avant d’envisager la suite. Histoire de se mettre encore un peu plus de pression !
-
Les Jaguar Type E Missing Six roulent !
C’est l’une des plus belles histoires de ces dernières années ! Lorsque, dans un bureau de Coventry, les hommes de Jaguar se sont souvenus que seules douze des dix-huit Jaguar Type E Lightweight avaient été assemblées, l’idée folle est venue de conclure ce projet cinquante ans plus tard.
L’idée est de donner vie à six nouveaux modèles – les Missing Six – selon les spécifications des douze premières Type E Lightweight. Evidemment, les intentions sont louables, mais difficiles à tenir. Ces six véhicules partagent les mêmes cotes, la même philosophie, mais les matières premières ont changé.
Le châssis reprend la même base en aluminium, mais totalise une centaine de kilogrammes de moins sur la balance. Le moteur six cylindres en ligne 3,8 litres suit la même règle avec un bloc en aluminium et un carter sec. L’injection directe Lucas et la boîte 5 rapports ZF accompagnent le tout.
Selon Jaguar, les châssis 13 à 18 ne doivent pas être considérés comme des reconstructions, mais comme des véhicules originaux… Vendus 1 million de livres (soit 1,27 million d’euros !).
Cette semaine, la troisième des Missing Six a été livrée.
-
#JesuisPorsche et #JesuisCitroën
Nous partageons cet amour de l’objet automobile autant que cette liberté de mobilité. J’aime rouler, j’aime l’idée de déplacement, j’aime voler aussi. J’éprouve le même plaisir à regarder les objets du transport. Un Concorde, un Twizy, un tram, une voiture qui teste mes sensations. L’ouïe, la vue, parfois l’odorat, le toucher, j’aime y goûter. J’aime marcher dans une rue et voir des modèles évocateurs se montrer avec ou sans ostentation.
Mon œil peut être attiré par une Skoda Superb toute neuve, un Toyota Previa, une Porsche 996 Carrera 4S. Je ne dois pas être le seul à être attiré par la vue d’une 996 Carrera 4S. Dans son édito du mois de mai pour Evo, Patrick Garcia rappelle les forces de la marque allemande. Mais il n’y a pas que les amoureux de l’automobile et de la liberté qui sont attirés par les Porsche…
Le 25 avril, un tweet m’avait déjà… Difficile de trouver un qualificatif. Je dirais simplement déçu.
Très intelligent 🙄 #GreveGenerale pic.twitter.com/6jQ9nax65g
— Cédric Faiche (@cedricfaiche) 25 avril 2016
Je me doute bien qu’il faut s’attaquer à des symboles lorsque l’on entame une révolution, mais il va falloir me prouver que la France cherche à faire une révolution…
Ce 28 avril, la menace a été mise à exécution. Cette exécution, c’est l’exécution d’une Porsche 996 Carrera 4S dans les rues de Nantes, au milieu de tentatives d’exécution de forces de l’ordre.
Dans le toujours très intéressant Making-of de l’AFP, l’un des photographes de la scène explique :
Ce jeudi 28 avril, la manifestation a commencé depuis un petit moment quand des incidents éclatent du côté de la préfecture de Nantes. Des gendarmes mobiles repoussent les protestataires à l’aide de canons à eau. Tout à coup, de la fumée noire s’élève dans le ciel. C’est la Porsche qui commence à brûler. Je n’ai pas vu le moment où le ou les assaillants mettaient le feu à la voiture. Avec mon collègue Jean-Sébastien Evrard, qui ce jour-là travaille comme reporter vidéo pour l’AFP, nous nous précipitons pour la photographier et la filmer. Rapidement, car la situation est très tendue, des pierres volent et il s’agit de ne pas rester exposé trop longtemps.
Je me suis bien sûr aperçu de la marque du bolide mais pour moi, au départ, c’est juste une voiture qui brûle. Ce n’est qu’après-coup que le côté symbolique de la scène me saute aux yeux.
Le photographe Roland de Courson explique un peu plus loin qu’il a également transmis ses clichés de l’incendie d’une Citroën Saxo, qui a eu beaucoup moins de succès auprès des rédactions.
Je me faisais une montagne de la bêtise de ces anarchistes qui se sont attaqués à une voiture de près de 20 ans qui ne coûte plus vraiment plus cher que le Scenic Diesel de leurs parents… Mais ils sont tellement idiots qu’ils brûlent aussi des Citroën Saxo. Je me suis dit (qu’en plus) elle pouvait leur appartenir. Elle n’était qu’à un interne de l’hôpital de Nantes, occupé à soigner les blessés de cette fameuse manifestation. La vie est décidément injuste. Fasciste, comme le dit le fils de Lino dans L’Aventure, c’est l’Aventure…
-
En F1 dans les rues de Manchester : normal. Puis au Gumball 3000 : narmol.
Non, les rues de nos cités, villes et capitales ne sont engluées d’automobiles. Non, les bouchons, les embouteillages et les traffic jams n’existent pas. C’est sans doute ce que se sont dit les dirigeants de la société de paris et casinos en ligne Betsafe lorsqu’ils ont décidé d’engager une F1 au prochain Gumball 3000. Un pari osé, tant pour la mécanique que pour le pilote. En effet, cette année, lors de cette course XXL, les engagés devront parcourir 4.800 km et traverser 11 pays, omettant hélas la France au programme. On imagine déjà la marée-chaussée contrôler cette F1…
Ceci étant, partant de Dublin, ce rallye passera par l’Ecosse (Édimbourg), l’Angleterre (via Manchester et Londres), le Luxembourg avant l’Allemagne. Mardi 3 mai, le parc de loisirs Europa-Park accueillera les concurrents avant de repartir vers la République tchèque (Prague), la Hongrie (Budapest et le circuit du Hungaroring) et la Roumanie où l’arrivée se fera à Bucarest, le 7 mai.
L’an dernier, le Gumball 3000 se disputait entre Stockholm et Las Vegas, via Oslo, Copenhague, Amsterdam, San Francisco, Los Angeles, Sin City. Le transfert entre Amsterdam et San Francisco s’était alors fait en avion cargo. De parole de participants, ce vol fut une des plus longues et folles soirées de leur vie. On imagine ça d’ici.
-
Ferrari 488 GTB & 308 GTB groupe 4, Pioneer du Tour Auto
Imaginez un mythe des années 80. Une voiture qu’on aurait vu quelques fois, de temps à autre, entre rallyes français et rallyes européens, la Ferrari 308 Gr4. A son volant, Jean-Claude Andruet remporte par deux fois le Tour de France Auto, en 1981 et 1982.
Cet engagement est alors possible grâce à l’artisan italien Michelotto Automobili, qui, dans l’ombre de Maranello, crée et développe une 308 GTB homologuée pour le groupe 4. La 308 se vend pour les rallyes, en Italie comme à l’étranger, où des importateurs s’en portent acquéreurs. En France, c’est Charles Pozzi, importateur officiel Ferrari qui prend livraison de la 308 GTB groupe 4 et l’engage, en France comme en Europe.
Bien des pilotes pilotent la belle Italienne mais l’auto n’est pas spécialement efficace sur tous les terrains, ses courses seront alors bien sélectionnées. On verra entre autres Henri Toivonen et Bjorn Waldegaard à son volant. Mais la Ferrari tire son épingle du jeu et le succès est au rendez-vous : la 308 GTB se classe vice-championne d’Europe des rallyes 1981 avec Andruet puis championne d’Italie des rallyes 1982, avec Tonino Tonagna. Elle remporte une poignée de rallyes européens, italiens ou français, dont deux Tour Auto, en 81 et 82 avec Andruet.
C’est à ce doublé qu’on rend hommage aujourd’hui. Réalisée par le département « sur mesure » Tailor Made de la marque au cheval cabré, la récente 488 GTB s’est vue reprendre la livrée « Pioneer » bleue de la 308 GTB groupe 4 vue en 81 et 82 sur les routes du Tour Auto. Une livrée hommage, une livrée mythique, d’un beau bleu France.
Palmarès de la 308 GTB :
- Tour de France automobile 1981 et 1982, Andruet
- Rallye Targa Florio 1981, Andruet, et 1982, Tonino Tonagna
- 24 Heures d’Ypres 1981 : Andruet
- Rallye di 4 Regioni 1981 : Andruet
- Rallye Il Ciocco e Valle del Serchio 1982 : Tonagna
- Rallye Piancavallo : Tonagna
- 2e du Tour de Corse 1982 : Andruet
- Championnat d’Italie des rallyes 1982, Tonagna
- Vice-championne d’Europe des rallyes 1981, Andruet
On attend un engagement en course pour cette 488GTB, histoire de prendre la suite d’une une de mes voitures de rallyes favorites, la 308 GTB…
-
Renaissance – Work in progress : Michel Vaillant en Formula E !
Depuis hier, je suis l’heureux possesseur d’un album exceptionnel de Michel Vaillant. Exceptionnel, car il était disponible en avant-première à l’occasion du départ du Tour Auto 2016 et qu’il ne sera – officiellement – en vente qu’en fin de semaine pour l’ePrix de Paris. Exceptionnel, car ce n’est pas un album finalisé : cette édition limitée à 1 000 exemplaires est un instantané en cours de réalisation.
Ce 75e album de la série des Michel Vaillant n’est pas encore totalement aboutie. Le scénario de Philippe Graton et Denis Lapière est figé, les dessins de Marc Bourgne et Benjamin Benéteau quasiment terminés, mais il reste encore de nombreuses heures de travail au coloriste Christian Lerolle.
La version de travail est telle que « Renaissance » existe en ce début de second semestre 2016. La sortie réelle est prévue pour la fin du premier semestre.
A vous, désormais, de savoir si vous êtes trop impatient de découvrir l’avenir de la société Vaillante, de son implication en sport automobile et des nouvelles aventures de Michel Vaillant et de Jean-Pierre…
-
Un musée Porsche ouvre à Bidarray
Habitué du Musée Porsche de Zuffenshausen ? Voici une nouvelle adresse pour assouvir votre passion de la marque allemande… Un musée privé a été inauguré la semaine dernière à Bidarray, dans les Pyrénées Atlantiques.
L’initiative a été prise par Henri Parent, le propriétaire de l’Auberge Ostapé, un hôtel 5 étoiles situé entre terre et mer au cœur du Pays Basque. Amoureux des Porsche, il a transformé sa passion en un musée… Et un peu plus !
Ce sont les écuries qui ont été réquisitionnées pour accueillir les chevaux d’un nouveau genre. Dix-huit emplacements accueillent une Carrera GT, une 991 GT3 RS juste livrée et une 911 2,4 litres de 1973.
Le patron des lieux explique à l’AFP : « En plus du musée privé qui est, à ma connaissance le premier en France, nous apportons un service de « conciergerie » très prisé des propriétaires. L’idée est que les voitures soient prêtes à démarrer dès leur arrivée. »
L’entrée du musée est gratuite pour admirer des modèles confiés par d’heureux propriétaires qui savent leur relique prête à démarrer et bien gardée…
Et pour l’ouverture, les Art Strips de Michel Vaillant sont bien présents !