Catégorie : Divers

  • Plaidoyer pour le pneu hiver

    Plaidoyer pour le pneu hiver

    Obligatoire en Allemagne et au Luxembourg, le pneu hiver reste facultatif en France. Après chaque épisode neigeux dans les plaines, les recommandations se multiplient. Alors pourquoi ne pas franchir le pas avant les premières chutes de flocons ?

    Le pneumatique hiver devient plus performant qu’un pneu traditionnel dès que la température tombe sous les 7°C. La gomme ne durcit pas, elle reste flexible et travaille idéalement. La tenue de route est meilleure et les distances de freinage sont bien plus courtes.

    Sur une route enneigée, une voiture chaussée de pneus hiver aura besoin de 32 mètres (en moyenne) pour passer de 50 km/h à l’arrêt. En pneus été, il faudrait 63 mètres ! Sur sol mouillé, à 7°C, il faut 34 mètres pour s’arrêter depuis 80 km/h. C’est encore 40 mètres avec des pneus été. Seul petit bémol, le pneu hiver peut entraîner une surconsommation de l’ordre de 0,1 litre / 100 kilomètres.

    S’ils coûtent légèrement plus chers que des pneus « été », ils permettent aussi de doubler la durée de vie de vos gommes. Efficaces d’octobre à mars, ils mettent au repos vos pneus de base durant six mois de l’année. De quoi les conserver bien plus longtemps.

    Comment reconnaitre un pneu hiver ? Tous les pneus hiver portent l’inscription M+S mais la réciproque n’est pas vraie. Seul le pictogramme 3PMSF, avec un flocon sur fond de montagne, symbolise un pneu hiver. Sur la bande de roulement, on reconnait de larges rainures et un nombre important de lamelles  pour évacuer efficacement l’eau et la neige fondue sans nuire à la rigidité de l’ensemble.

    Ces pneus améliorent l’efficacité de tous les modèles, quelle que soit la transmission. Une propulsion équipée de pneus hiver peut être bien plus à son aise qu’une intégrale en pneus été lorsque les conditions deviennent délicates !

    Attention toutefois à ne pas les utiliser toute l’année. Au-dessus de 10°C, ces gommes spécifiques s’usent plus vite. Et surtout, ne rouler qu’avec quatre pneus de la même catégorie !

    Pour davantage d’informations et découvrir les gammes de pneus hiver, tirendo.fr propose quelques milliers de références.

  • Carte grise et plaques d’immatriculation sans bouger de chez soi

    Carte grise et plaques d’immatriculation sans bouger de chez soi

    Parmi les pires contraintes de l’automobiliste, il y a une journée à la préfecture pour effectuer des démarches administratives… Carte grise et plaques d’immatriculation ou comment perdre une journée et détester (encore plus) le mille-feuille de paperasses que réclame notre cher état.

    Choc de simplification ? Le vaste programme visant à alléger les démarches administratives pour les particuliers et les entreprises est bien loin d’entrer en vigueur. Il est donc nécessaire de se débrouiller… sans attendre le gouvernement.

    Heureusement que la réglementation a quelque peu évolué (en 2009) pour nous permettre de commander nos cartes grises et plaques d’immatriculation par internet, via des sites habilités par le Ministère de l’Intérieur.

    Lors de l’achat d’un véhicule, le vendeur doit vous remettre l’intégralité de la carte grise. Vous conservez le coupon détachable et vous envoyez le reste – avec vos documents d’immatriculation (demande de certificat, déclaration de cession, mandat, justificatif d’identité et de domicile, voire attestation de contrôle technique) – à un site tel que eplaque.fr. Un accusé d’enregistrement envoyé par email vous permet de rouler en toute légalité.

    Les plaques d’immatriculation sont fabriquées et expédiées le jour même. La carte grise vous est ensuite envoyée sous trois jours ouvrés depuis l’Imprimerie Nationale, en courrier recommandé avec suivi sur le site de l’agence nationale des titres sécurisés.

    Plus long qu’en se déplaçant à la préfecture ? Même pas ! Plus aucune carte grise originale n’est délivrée en main-propre. Si vous vous déplacez, vous n’effectuez que l’enregistrement et il vous faudra attendre votre sésame, en provenance de l’Imprimerie Nationale…

  • Rencontre : Nissan Qashqai

    Rencontre : Nissan Qashqai

    S’il y a bien une voiture sur laquelle je peux porter un jugement sûr, c’est le Nissan Qashqai. Avec 39 000 kilomètres à son volant, je connais ses points forts et ses points faibles. Je sais pertinemment pourquoi je pourrais acheter son remplaçant ou pourquoi je changerais de modèle…

    Choisir une voiture est toujours une question de circonstances et d’opportunités. Lorsque j’ai acheté « mon » Qashqai, madame était enceinte et nous allions emménager dans une nouvelle maison. J’avais besoin de me rassurer, d’avoir de l’espace… Le tout avec un budget plutôt contenu.

    Trois ans plus tard, je ne suis pas déçu. Il n’était pas possible de trouver aussi bien dans cette gamme de prix. Aujourd’hui, j’aimerais quelques chevaux supplémentaires, une sixième vitesse, peut-être plus autant d’espace et un vrai système d’infotainment.

    A l’extérieur, je retrouve la signature du Qashqai dans son allure avec la mise à jour stylistique de Nissan très réussie. Le petit air de Godzilla est conservé. Ça reste un SUV compact, haut et passe-partout.

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    C’est la recette gagnante de Nissan en Europe. La marque japonaise avait délaissé le segment C si disputé pour inventer une nouvelle carrosserie. Depuis 2007, 2 millions de voitures ont été distribués dans le monde, 155 000 en France.

    Pour cette seconde génération, le Qashqai gagne en taille et perd en masse. Cinq centimètres de plus en longueur, 2 centimètres en largeur mais 1,5 centimètre de moins en hauteur et quarante kilogrammes en moins.

    C’est à l’intérieur que le progrès est le plus notable. La finition change de division avec de nouveaux sièges dotées d’une mousse enveloppante. L’afficheur situé derrière le volant conserve la même organisation avec l’arrivée d’un écran couleur entre les compteurs.

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    La console centrale est plus large, mieux organisée, avec un écran tactile de 7 pouces proposé de série en Connect Edition. Plus bas, une signature lumineuse entoure le levier de vitesses. Un gadget de très belle facture.

    Enfin, Nissan ajoute de nombreuses technologies d’aides à la conduite. Selon le niveau d’équipements, on peut bénéficier d’un freinage d’urgence autonome, d’une alerte de perte de vigilance, la reconnaissance des panneaux de signalisation, l’alerte de franchissement de ligne, la surveillance des angles mort, la détection des objets en mouvement et les feux de route intelligents.

    Sur le papier, ce nouveau Qashqai m’est destiné avec la finition Connect Edition. Mais c’est sur la route, dans quelques semaines, que je saurai s’il faut l’échanger avec mon ancien… Seulement si le moteur 1,2 litre DIG-T de 115 chevaux s’avère suffisamment valeureux pour se sentir en sécurité sur mon trajet habituel… Manquera plus qu’une boîte automatique !

  • Scoop : BMW M4 Cabriolet

    Scoop : BMW M4 Cabriolet

    Aix-en-Provence ce matin… Ronronnement typique d’un V8. Coup d’œil dans le rétroviseur. Maquillage tout aussi typique d’un modèle de présérie en phase de test. Les essayeurs BMW sont de sortie !

    La ligne, le son, les quatre sorties d’échappement. On parie pour une BMW Série 4 Cabriolet passée chez M.

    Après le passage du péage, ces deux BMW M4 Cabriolet ont rapidement (très, très rapidement) disparues. Impossible de les suivre, sages conducteurs que nous sommes…

  • London : I Can See for Miles

    London : I Can See for Miles

    Londres a bien changé. Carnaby Street ressemble à n’importe quelle rue commerçante et les derniers Jeux Olympiques ont donné un élan de modernité à la ville. The Who et le mouvement punk ont été remplacés par Lily Allen et Vodafone.

    Depuis longtemps, l’industrie automobile britannique est en décomposition. De nombreuses marques ont disparu, quasiment toutes les autres ont été vendues à des groupes étrangers. Passer quelques jours à Londres était l’occasion de voir ce qu’il se passait vraiment dans les rues de la capitale anglaise.

    La plupart des photos ont été prises entre Kensington et Chelsea… On ne fait pas mieux en termes de quartier résidentiel pour les riches londoniens.

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    Malgré l’environnement forcément très citadin, il n’y a quasiment aucune citadine. Seules les MINI, de dernières générations et sous toutes les formes, se montrent.

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    Et, à ma grande surprise, le parc garde une immense empreinte britannique. En plus de toutes les MINI, on trouve beaucoup de Land Rover, avec des Evoque partout, de Jaguar de tous âges, un nombre invraisemblable de Bentley (une par rue autour de Pont Street !), quelques Rolls-Royce et Aston Martin. En revanche, les Rover et MG ont disparu.

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    Et pour les marques étrangères ? BMW et Mercedes très représentés, FIAT avec sa 500, quelques Maserati pour accompagner les Ferrari. Et très peu de voitures de plus de dix ans hormis des Saab increvables.

    saab

    Et côté français ? Très peu de modèles à part une ZOE garée face à une borne de recharge. Même chose pour Nissan, premier producteur automobile de l’île…

    Renault-Zoe

    Dans Londres, on n’a croisé qu’une GTR, une Figaro et une Leaf ! Et pour rester dans l’électrique, petit coup de cœur pour une Tesla Roadster. Rare chez nous !

    Tesla-Roadster

  • Roma : Fiat 500, Vespa et belles italiennes.

    Roma : Fiat 500, Vespa et belles italiennes.

    Pour chaque passionné d’automobile, de voiture ou de bagnole, la découverte d’un pays est toujours une chose à part entière. De nouveaux modèles, des marques plus présentes que d’autres, la présence de voitures anciennes différentes, toutes les raisons sont bonnes pour apprécier le parc automobile local. En route pour Rome, d’où il y a 6 mois, Alexandre nous avait ramené le billet Vu : Fiat 500 dans les rues de Rome.

    Petite revue du parc auto

    L’Italie est le temple de l’automobile populaire, c’est une chose sûre. Là bas, les petites voitures sont reines. Au programme des Smart en pagaille, quelques Toyota iQ, une pincée de Renault Twizy et d’Austin Mini. On isolera les Fiat 500 récentes ou anciennes. Ces dernières sont là bas la carte postale même de la capitale italienne, comme le Colisée ou la Basilique Saint-Pierre. Et non loin du Vatican, Dieu sait comme la Cinquecento est attachante.

    Je n’ai vu à Rome qu’une SuperCar italienne, une Ferrari Scaglietti. J’y ai tout de même croisé une Mercedes SL 300 Cabriolet, rien que ça. Toujours aussi majestueuse cette Teutonne. Vues aussi, deux Citroën 2CV Charleston et une Cocorico. « Due cavalli » quand tu nous tiens… Je retiendrais aussi une Youngtimer par excellence à l’abandon : une Alfa 33 trainait, au fond d’une cour non loin de la gare de Termini.

    Deux roues : la Vespa fait le buzz.

    Depuis 1953 et le film Vacances romaines, l’image de la célèbre Vespa colle à la peau de Rome. Dans cette comédie dramatique, on trouve Gregory Peck et Audrey Hepburn sillonnant les artères de Rome sur une Vespa. En Italie comme à l’étranger, ce film fut un véritable coup de pub pour la marque italienne, le sourire de la belle américaine Hepburn aidant. L’utilisation d’un deux-roues est habituelle à Rome. Vespa, Honda et bien d’autres marques de deux roues sont aperçues. Sur des coins de rues, les scooters de toutes générations s’entassent, alignés comme ils peuvent.

    Autres deux roues, quelques Ducati ou MV Agusta ont été aperçues. Mes tympans s’en rappellent. Petit bémol, je n’ai pas vu autant de Piaggio Ape que mes lointaines vacances italiennes m’en laissaient le souvenir. Il faut dire que ces utilitaires à trois roues ont du souffrir de leurs usages utilitaires, circulant surchargés de caisses de fruits et légumes. On retrouve ces Ape en véhicules publicitaires ou comme mobilier de boutiques à thèmes. Dommage…

     

    Carabinieri, Polizia et Polizia Roma Capitale

    Les parcs des forces de l’ordre font la part belle aux Italiennes, choix plutôt logique. Au programme donc : Alfa Roméo 156, Alfa Roméo 166, Fiat Stilo, Fiat Punto, Fiat Bravo et bien d’autres. Côté marques étrangères, on aura par exemple été surpris par la Polizia en BMW Série Touring dans une belle livrée bleue Nattier, ou encore une rare Subaru Legacy. On a aussi aimé la Citroën C Zero de la police municipale et les Land Rover Defender ou Discovery noirs des Carabiniers.

    A bientôt pour de nouvelles aventures :-)
    Jean-Charles

  • La parade Renault Sport sur le Circuit de Barcelona-Catalunya

    La parade Renault Sport sur le Circuit de Barcelona-Catalunya

    Petit tour en Espagne hier pour la finale des World Series by Renault. Quelques futurs champions se sont illustrés en piste avant que de vieilles gloires de Renault (certaines remontent même au temps de la régie) ne s’offrent quelques kilomètres de parade.

    Renault Dauphine Gordini, Renault 8, Alpine A110, Renault Clio V6… Il y en a pour tous les goûts !

  • Rencontre : BMW i3

    Rencontre : BMW i3

    C’est la star de l’été ! Avec sa gamme « i », BMW entend révolutionner l’automobile. En attendant sa commercialisation, la BMW i3 secoue déjà les unes des journaux spécialisés et crée des pages de commentaires sur nos sites. J’ai eu le privilège de m’installer dans l’habitacle… Premières sensations.

    Une BMW i3 est présentée dans la vitrine du « George V » dédié à la marque. Ce modèle statique permet de se concentrer sur les nouveautés proposées par cette i3 en dehors du spectre purement mécanique.

    Ouverture de la portière… Sensation positive : il y a du poids, sans lourdeur. Pas de grande différence avec une BMW de base. Coup d’œil sur la porte arrière et son absence de poignée. On aperçoit rapidement une pièce plus claire sur la tranche. La petite portière arrière s’ouvre avec aisance. Sans montant central, l’entrée dans l’habitacle devient immense.

    Je m’assoie à l’arrière. C’est étrange car je n’ai pas franchement l’habitude de m’installer autre part qu’à l’avant gauche ! L’espace est suffisant pour un adulte. Les jambes profitent des dossiers fins des sièges avant. Mais la décomposition de la banquette arrière en deux places distinctes avec des porte-gobelets au centre est assez gênante. On ne peut pas s’étaler. L’assise est plutôt haute, assez dure.

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    Grand effet de design, l’extension de la vitre latérale arrière permet de faire entrer beaucoup de lumière. A valider en roulant !

    Passage à l’avant. Les sièges de la finition Lodge sont composés de deux matières : un cuir à gros grain et un tissu de laine thermo-actif. Au toucher, le tissu n’a rien de valorisant. Le cuir est plus qualitatif sans concurrencer des sièges haut-de-gamme.

    La planche de bord est composé de plusieurs matériaux avec du cuir, du bois d’eucalyptus et des fibres de kénaf. Si le cuir et le bois sont de bonne qualité, la fibre de kénaf – qui possède de très bonnes propriétés isolantes – est simplement affreuse au toucher.

    Toujours au toucher, le volant est exceptionnellement confortable. Le cuir choisi donne une sensation d’un grip haut-de-gamme d’une raquette de tennis. La commande de transmission se situe au-dessus du commodo droit. Il permet de passer la marche avant et la marche arrière. C’est assez déroutant mais c’est aussi tout l’intérêt de la gamme « i ». On ne se préoccupe d’une quelconque boîte de vitesses.

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    Entre les deux sièges, on trouve le frein de parking et la commande iDrive. Au centre de la planche de bord, l’ensemble audio et la climatisation conserve un design bien connu chez BMW.

    L’affichage se compose de deux écrans. Le premier est situé derrière le volant et l’écran de contrôle du système de commande iDrive de 8,8 pouces est placé au centre de la planche de bord. Là encore, la qualité des écrans est similaire à celles des autres écrans BMW.

    Avec la présence du moteur et des batteries à l’arrière, le coffre perd de nombreux dm3 avec un plancher très haut. A l’avant, un espace de rangement est aménagé en forme d’un profond bac.

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    « Extraordinaire » par ses choix techniques, la BMW i3 marque aussi sa différence par son design et son aménagement intérieur. L’amalgame de matière plaira aux plus « branchés », principale cible de cette première génération de voiture électrique. En revanche, les matériaux et certains choix – comme l’affichage intégré dans deux écrans – dérouteront les plus conservateurs. Mais encore une fois, ils n’étaient certainement pas ciblés !

  • Goodwood Festival of Speed 2013

    Goodwood Festival of Speed 2013

    Evènement incontournable de la vie automobile, le Goodwood Festival of Speed est désormais un rendez-vous privilégié des constructeurs automobiles. Au cœur d’un parc privé, ils y mélangent leur histoire, leurs activités sportives, leur vision de l’avenir avec de nombreux concepts et leur production contemporaine… Petit tour sur cet ancien aérodrome de la RAF !

  • Nissan ZEOD RC : prototype de prototype

    Nissan ZEOD RC : prototype de prototype

    Nissan a dévoilé la voiture qui occupera le 56e stand lors de l’édition 2014 des 24 Heures du Mans. Evolution du concept DeltaWing, auquel la marque japonaise avait participé, le ZEOD RC (pour Zero Emission On Demand Racing Car) préfigure ce que pourrait être un futur engagement en LM P1.

    Le Japon et Le Mans, c’est une histoire d’amour quasiment à sens unique. Depuis 1970, les Japonais se sont attaqués aux 24 Heures. Et seul Mazda a décroché la victoire, presque par hasard, en 1991.

    Depuis, Toyota a multiplié les tentatives infructueuses en 1992/1993, 1998/1999 et depuis 2012. Et Nissan semble aujourd’hui prêt à se lancer à la conquête de ce mythe. Motoriste d’une majorité du plateau des LM P2, le constructeur de Yokohama a annoncé son intention de travailler sur une LM P1.

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    Cette annonce de Carlos Ghosn coïncidait avec l’officialisation du développement d’un prototype spécifique pour le Garage 56 en 2014.

    Ce vendredi, à la veille du départ des 24 Heures du Mans, Nissan a donc levé le voile sur le ZEOD RC. Cette « expérimentation » reprend les grandes lignes du concept DeltaWing. L’idée révolutionnaire de profiter d’un train avant particulièrement étroit pour gagner du poids et de l’efficacité aérodynamique avait déjà été vivement critiquée car bien trop éloignée du concept actuel des prototypes et de leur poids minimal réglementé.

    Mais c’est sous le capot que Nissan veut démontrer sa maîtrise technologique. L’idée est de proposer deux types de moteurs, l’un thermique et l’autre électrique. Rien de nouveau car Audi et Toyota utilisent déjà ce système en course. Et ce sont quasiment les seuls détails publiés à ce jour. La ZEOD RC pourra dépasser les 300 km/h (comme une LM P2) et utilisera des batteries lithium-ion.

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    Pour le reste, Nissan annonce que « différentes technologies de chaîne cinématique électrique seront testées et essayées d’ici les 24 Heures du Mans 2014 »… Il ne reste plus qu’à attendre un an. Mais le défi est important car il s’agira de montrer qu’un modèle majoritairement électrique peut s’intégrer à une grille de départ de 55 voitures.

    Et que ces recherches technologiques soient un succès pour que Nissan viennent rapidement se frotter à Audi, Toyota et Porsche !

  • Vu : Les Lamborghini de l’aéroport de Bologne

    Vu : Les Lamborghini de l’aéroport de Bologne

    Quand un aéroport est situé à moins de 25 kilomètres des ateliers de l’un des constructeurs les plus emblématiques du monde, on peut s’attendre à tout… A tout, mais pas à ça.

    A peine l’avion posé sur le tarmac, une Lamborghini Aventador pointe le capot pour montrer la direction du parking…

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    Une fois entré dans l’aérogare, deux Lamborghini – Diablo et une Gallardo – sont en exposition.

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    Bienvenue à Bologne, à 25 kilomètres de Sant’Agata Bolognese !

  • Vu : Triumph TR3

    Vu : Triumph TR3

    Parti faire une séance de plane spotting, la surprise fut grande de trouver une magnifique Triumph TR3… Malheureusement sans son propriétaire. Une bonne occasion néanmoins de partager cette petite merveille.

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    Cette TR3 est dans un état exceptionnel. C’est un modèle de première génération, produit entre 1955 et 1957 à 13 377 exemplaires.

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    Le moteur 4 cylindres 1 991 cm3 développe 95 chevaux. Assez pour que les 904 kilogrammes atteignent 100 km/h en 10,8 secondes avec une vitesse maximale de 170 km/h.

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    Les dimensions sont impressionnantes. Ce cabriolet deux places est très compacte : 3,835 mètres de longueur, 1,422 mètre de largeur et 1,270 mètre de hauteur.

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    Et son prix ? 950 livres sterling… à l’époque !

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