Auteur/autrice : Rédaction

  • AUTOcult.fr aux Golden Blog Awards !

    AUTOcult.fr aux Golden Blog Awards !

    AUTOcult.fr n’a pas encore un an… Je le présente pourtant aux Golden Blog Awards. Voici donc ce petit blog face à son premier challenge, face au vote du public et d’un jury d’experts (dont je faisais encore partie l’année dernière lorsque blenheimgang.com a été élu).

    Alors pourquoi voter pour AUTOcult.fr au milieu de la cinquantaine de blogs présentés dans la catégorie Auto-Moto ?

    AUTOcult.fr a été créé par passion et pour partager mes envies et mes découvertes dans le monde automobile. Je me suis beaucoup amusé durant ces derniers mois à chercher, à trouver, à écrire et à répondre à tous les visiteurs de ce nouveau petit blog. Il m’a permis de rencontrer de nouvelles personnes virtuellement et IRL et, encore, d’échanger. L’essence même d’un blog.

    Ce « nouveau petit blog » n’a pas la vocation de devenir une encyclopédie ou de suivre l’actualité à la façon de gros sites internet professionnels. Sur AUTOcult.fr, vous découvrez un contenu différent.

    Et c’est souvent avec une certaine joie que je vois que les thèmes que j’ai pu aborder dans ces pages se retrouvent repris ailleurs.

    Mieux que de longs discours inutiles, voici les quelques billets qui reflètent ce qu’est AUTOcult.fr… (je pensais n’en mettre qu’une dizaine mais je n’ai pas pu choisir. Il y en a donc pour tous les goûts !)

    Aulnay-sous-Bois : de la CX à la C3
    Essai Citroën 2 CV : c’est la vie !
    Roma : Fiat 500, Vespa et belles italiennes
    « Le moteur flottant va-t-il sauver André Citroën de la noyade ? »
    God save the Defender
    Quand un seul modèle a sauvé PSA !
    J’ai testé Renault Twin’Run avec David Coulthard
    Un tour du Hungaroring en Mégane R.S.
    Les armes secrètes de Bob Lutz
    Et si Porsche revenait au Mans avec Martini ?
    J’aime le haut-de-gamme français (certains)
    La Suède passe à droite
    Les Nissan Miss Fairlady
    Essai Mazda MX-5 : la fabrique de rêves
    Citation : Louis Renault
    La première FIAT 500 fut… Française !
    Les femmes : Alice Huyler Ramsey
    Mon permis de conduire : Jean-Eric Vergne
    Les hommes : Sir Alec Issigonis
    Volkswagen révolutionne la publicité
    Lexus : le projet F1 de Toyota
    Les Lamborghini de l’aéroport de Bologne
    Un million de francs pour un record
    Jaguar XJ 220 : spéculation et justice
    Triumph TR3
    Fiat 500 dans les rues de Rome
    Legend Boucles de Spa en noir et blanc
    Le génie de Colin Chapman
    José Igniacio Lopez, le grand inquisiteur devenu paria
    C’est la mi-temps à Detroit
    Bienvenue sur AUTOcult.fr

    Mise à jour après les premiers votes : AUTOcult.fr est finaliste ! Merci à tous… C’est désormais aux jurés et aux partenaires de voter… Rendez-vous le 13 novembre pour la proclamation des résultats.

  • L’Election de la Sportive de l’Année Echappement a débuté !

    L’Election de la Sportive de l’Année Echappement a débuté !

    Toute la rédaction d’Echappement, accompagnée par François Delecour, est partie aujourd’hui vers le Circuit de Chambley (Meurthe et Moselle) pour procéder à l’Election de la Sportive de l’année Echappement.

    Au programme de cette édition 2013 :
    Audi S3
    Ford Fiesta ST
    MINI John Cooper Works GP
    Nissan 370Z Nismo
    Peugeot 208 GTI
    Renault Clio R.S. 200 EDC
    Mercedes Classe A 45 AMG
    Porsche Cayman S
    Seat Ibiza Cupra
    Volkswagen Polo R

    Vous voteriez pour laquelle ?

    Et pour rappel, voici le palmarès depuis la création en 1982 :
    2012 : Subaru BRZ et Toyota GT86
    2011 : Porsche 911 GT3 RS 4.0
    2010 : Ford Focus RS 500
    2009 : Porsche 911 GT3
    2008 : Renault Mégane R26.R
    2007 : Renault Mégane Renault Sport Renault F1 Team R26
    2006 : Lotus Exige S
    2005 : Dodge Viper SRT-10
    2004 : Mitsubishi Lancer Evo 8
    2003 : BMW M3 CSL
    2002 : Ford Focus RS
    2001 : BMW M3
    2000 : Renault Clio Renault Sport 2.0 16V
    1999 : Honda S2000
    1998 : Honda Integra Type R
    1997 : BMW Z3 M
    1996 : Renault Sport Spider
    1995 : Subaru Impreza GT Turbo
    1994 : Fiat Coupé 16V Turbo
    1993 : Peugeot 106 Rallye
    1992 : Ford Escort Cosworth
    1991 : Renault Clio 16s
    1990 : Ford Sierra Cosworth 4×4
    1989 : Peugeot 309 GTi 16
    1988 : Peugeot 205 Rallye
    1987 : Lancia Delta HF Integrale
    1986 : BMW M3
    1985 : Renault 5 GT Turbo
    1984 : Peugeot 205 GTi 1.6
    1983 : Lancia Delta HF Turbo
    1982 : Ford Escort RS 1660i

  • Essai Mazda CX-5 : l’alternative

    Essai Mazda CX-5 : l’alternative

    Aucune marque généraliste ne peut plus se passer d’un « SUV » dans sa gamme. Avec son CX-5, Mazda s’attaque directement aux références du marché. Essai de la version 2.2L Skyactiv-D 175 ch 4×4 Selection à boîte automatique.

    Un constructeur en quête de nouvelles parts de marché possède plusieurs options pour grandir. Mazda les explore. Avec un modèle comme la MX-5, le constructeur japonais mise sur une niche qu’il maîtrise à la perfection. Et, pour faire un maximum de volume, Mazda n’a pas hésité à s’attaquer de front à un segment hautement concurrentiel : les crossovers compacts.

    Le ciel s’active
    Symbole de la nouvelle génération de modèles proposés par Mazda, le CX-5 adopte le design « Kodo » et les technologies Skyactiv. Le moteur badgé « Skyactiv-D » présente un plus faible taux de compression (14.0:1) que les traditionnels blocs à injection directe (entre 16 et 20) ou à injection indirecte (entre 19 et 23). Il permet une combustion plus homogène et une efficacité énergétique en progrès de 20 %. Un turbo à deux niveaux est ajouté pour garantir une plus grande linéarité. D’autres développements participent également à la réduction des émissions. En cas de démarrage à froid, le moteur se stabilise à un régime de ralenti plus élevé afin d’atteindre rapidement une température optimale de fonctionnement.

    Mazda-CX-5-01

    Le « Skyactiv-Drive » est la transmission automatique à six rapports avec un design novateur qui permet de réduire la consommation de 4 à 7 %. Le reste du CX-5 profite du Skyactiv-Plateforme avec un châssis redessiné, plus sûr, une carrosserie 8 % plus légère et 30 % plus rigide.

    Avec ce CX-5 de 4,555 mètres de longueur et 1,840 mètre de largeur, Mazda vise les Citroën C4 Aircross, Peugeot 4008, Ford Kuga, Nissan Qashqai, Toyota Rav4 ou Volkswagen Tiguan.

    L’excellent travail réalisé par Mazda est mis en valeur sur les routes bourguignonnes, entre Chablis et Beaune. Avec cette nouvelle génération de SUV, l’écart de comportement avec une berline est de moins en moins perceptible.

    Mazda-CX-5-06

    Comme une berline
    Véhicules hauts et lourds, dotés de grosses roues, les SUV se montraient souvent à la peine dès que le terrain de jeu réclamait davantage d’efficacité. Bien amorti, le CX-5 profite d’un poids contenu (1 495 kg) et d’un moteur plutôt vif pour ne pas être mis en défaut lorsque les épingles s’enchainent.

    Comme d’habitude avec ce genre de voiture, il n’est pas question de conduite sportive. Ce CX-5 permet d’aligner les montées et les descentes sans effort, sur un rythme suffisant. Le moteur de 175 chevaux est bien servi par une boîte automatique de bonne facture.

    Mazda a largement travaillé la ligne de son 4 roues motrices. Les grosses roues de 19 pouces supportent bien l’ensemble avec une carrosserie très haute. La calandre donne du charme à la face avant. La finesse du dessin permet de bien cacher l’imposante partie arrière.

    Le moteur 4 cylindres 16 soupapes turbo diesel développe 175 chevaux à 4 500 tours/minute avec un couple de 420 Nm dès 2 000 tours/minute. Les 1 495 kg atteignent les 100 km/h en 9,4 secondes (8,8 secondes en boîte mécanique) et 204 km/h en vitesse de pointe pour une consommation mixte de 5,5 litres / 100 km (7,9 litres durant l’essai).

    Mazda-CX-5-05

    La longue liste des équipements
    En finition Selection (la plus haute proposée), le CX-5 bénéficie de l’ABS, de l’anti-patinage, du contrôle de stabilité, de l’aide au freinage d’urgence avec système automatique en mode urbain, d’airbags avant et arrière, d’un système de surveillance de pression des pneus, du démarrage sans clé, d’un système i-stop (moteur coupé à l’arrêt), de  la climatisation automatique bi-zone, de sièges en cuir, d’une caméra de recul, d’un toit-ouvrant électrique, de sièges avant chauffants, du siège conducteur avec réglages électriques et d’un système audio Bose avec 9 haut-parleurs…

    Plusieurs technologies aident le conducteur : alarme de vitesse, régulateur de vitesse, système d’alerte de véhicule en approche, avertisseur de changement de file, gestion automatique des feux de route, allumage automatique des feux, essuie-glace avant automatiques à détecteur de pluie, phares directionnels adaptatifs pivotants… Toutes en fonction, ça ‘bip’ régulièrement. L’avertisseur de changement de file s’active au moindre écart. C’est particulièrement utile sur les longs trajets monotones, moins quand il s’agit de faire des écarts pour faciliter le dépassement aux motards. Heureusement, tout est paramétrable.

    L’AUTO est-elle cult ?
    Avec ce CX-5, Mazda propose un SUV qui fait référence. Le gros moteur diesel couplé à une boîte automatique et une transmission à quatre roues motrices est proposé à 39 500 euros et en fait une réelle alternative aux ténors du marché.

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Moteur : Diesel 4 cylindres en ligne 16 soupapes turbo
    Cylindrée : 2,2 litres
    Puissance : 175 chevaux / 129 kW à 4 500 tours / minute
    Couple : 420 Nm à 2 000 tours / minute
    Transmission : quatre roues motrices, boîte automatique à six rapports
    L/l/h (mm) : 4 555 / 1 840 / 1 670
    Poids à vide : 1 495 kg
    Capacité du coffre (l.) : 503
    Vitesse maximale : 204 km/h
    0-100 km/h : 9,4 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 6,4 / 4,9 / 5,5 (7,9 durant l’essai)
    Emissions de CO2 : 144 g/km

  • Citation : Henry Ford

    Citation : Henry Ford

    Citation de Henry Ford, Américain né en 1863, fondateur de Ford : « La course automobile est née cinq minutes après la construction de la deuxième voiture. »

  • La parade Renault Sport sur le Circuit de Barcelona-Catalunya

    La parade Renault Sport sur le Circuit de Barcelona-Catalunya

    Petit tour en Espagne hier pour la finale des World Series by Renault. Quelques futurs champions se sont illustrés en piste avant que de vieilles gloires de Renault (certaines remontent même au temps de la régie) ne s’offrent quelques kilomètres de parade.

    Renault Dauphine Gordini, Renault 8, Alpine A110, Renault Clio V6… Il y en a pour tous les goûts !

  • Commissaire-priseur : Maserati 3500 GTI Cabriolet

    Commissaire-priseur : Maserati 3500 GTI Cabriolet

    Rendez-vous ce dimanche 20 octobre sur les Champs-Elysées à Paris pour une vente aux enchères Artcurial. Si, encore une fois, une Lamborghini Miura sera la star, la présence d’une Maserati 3500 GTI Cabriolet Vignale avec Hard Top a retenu mon attention.

    Dans les années 1950, Maserati est l’une des marques de référence. Alors que la 250F s’impose sur circuit avec Juan-Manuel Fangio, la Maserati A6G 2000 porte la gamme italienne.

    Mais l’A6G 2000 reste une voiture de course en habit de ville. Et lorsque Maserati lance le développement de sa remplaçante, la polyvalence devient une priorité.

    En 1957, la 3500 GT est mise sur le marché sous la forme d’un coupé. Trois ans plus tard, le cabriolet réalisé par Vignale selon un dessin de Michelotti est présenté à Genève.

    Un peu plus court que le coupé, il adopte une carrosserie en acier avec capot et coffre en aluminium. La calandre est plus affirmée et un décrochement de l’aile arrière, au-dessus du passage de roue, apparait.

    242 exemplaires ont été fabriqués… Certaines de ces Maserati ont été livrées au Roi du Maroc ou à Dean Martin.

    Ce châssis, alors de couleur Verde Parioli (vert clair) avec intérieur beige, a été livré en juin 1962 en Allemagne. Son propriétaire actuel l’avait acquis en 2007 avant d’entreprendre une restauration complète en Suisse.

    Estimation : 300 000 à 400 000 euros.

    Edition après la vente : ce modèle a été adjugé à 553 527 €. C’est le montant le plus haut des enchères du jour. Plus encore que les 459 668 € de la Lamborghini Miura P400 qui devait être la star…

  • « Le moteur flottant va-t-il sauver André Citroën de la noyade ? »

    « Le moteur flottant va-t-il sauver André Citroën de la noyade ? »

    André Citroën aimait adapter les solutions imaginés par ses concurrents pour faire progresser rapidement sa marque. Lorsqu’il découvre le concept du moteur flottant chez Chrysler, il s’empresse de le faire adopter sur la gamme C4-C6… Pour le plus grand bonheur du Canard Enchaîné !

    Au début des années 30, André Citroën rentre des Etats-Unis avec une nouvelle licence de poche. Chez Chrysler, il avait découvert le principe de moteur flottant. Conquis, il avait acquis les droits de l’utilisation du brevet pour le faire appliquer à ses modèles de haut-de-gamme.

    Le moteur n’est plus fixé au châssis. Flottant, il repose simplement sur deux supports métal/caoutchouc placé à l’avant et à l’arrière du bloc. L’oscillation, si elle est permise, est contenue par un ressort à lames placé sous la boîte de vitesses.

    citroen-rosalie

    L’innovation étonne… Et la presse s’en amuse. Nous sommes en avril 1932, Le Merle Blanc titre « Le ferblantier de Javel surnage en équipant ses moteurs de bouées » et Le Canard Enchaîné ajoute « Le moteur flottant va-t-il sauver André Citroën de la noyade ? ».

    André Citroën apprécie ces échos qui lui donnent une publicité gratuite et relancent les ventes – pour quelques mois – des C4 et C6 avant l’arrivée des Rosalie.

    Mais les titres moqueurs décrivent aussi une lourde réalité. André Citroën organise une véritable fuite en avant. La communication et l’innovation font crouler la marque sous les dettes. En décembre 1934, Citroën est liquidée, reprise par Michelin. André, mis à la porte, n’y survivra pas.

     

  • Visitez le Honda Collection Hall grâce à Street View

    Visitez le Honda Collection Hall grâce à Street View

    Après notre visite virtuelle du Musée Lamborghini, nous voici au Japon à quelques centaines de mètres du circuit de Motegi pour découvrir le Honda Collection Hall. Là encore, Street View nous permet de faire une visite exhaustive !

    Véritable musée des transports et des créations de Honda, ce bâtiment érigé en 1998 abrite 350 véhicules. Au rez-de-chaussée, vous trouverez la collection ASIMO et les développements entrepris pour le futur de la mobilité.

    Premier étage : le premier moteur de moto vous accueille pour retracer toute l’histoire de la production des deux et quatre roues de Honda. Des Kei cars se mêlent à une longue série de Civic. La NSX-R est présentée dans la même pièce qu’un scooter des mers et que les tondeuses à gazon de la marque.

    Le deuxième niveau est dédié aux sports mécaniques avec une série qui va de la F1 RA271 de 1964 à la RA108 de 2008 en passant par les Williams et McLaren championne dans les années 80. Aux côtés des Civic de All-Japan Touring Car Championship, on trouve aussi les NSX alignées en GT et aux 24 Heures du Mans.

    Bonne visite !

  • Ferrari 250 GTO, Mercedes W196 R : l’année des records

    Ferrari 250 GTO, Mercedes W196 R : l’année des records

    Depuis quelques années, une bulle se forme autour des véhicules de collection. Les records tombent. Après la Mercedes W196 R pilotée par Juan Manuel Fangio, nouvelle référence des ventes aux enchères, c’est au tour d’une Ferrari 250 GTO de battre un record lors d’une vente privée.

    Il n’existe que trente-six Ferrari 250 GTO dans le monde, trente-trois d’une première série et trois d’une seconde. Références en matière de voiture de collection, elles s’arrachent à prix d’or. Au printemps 2012, l’Américain Craig McCaw – fondateur d’entreprises de télécommunication rachetées par des géants de l’industrie – avait déjà déboursé 36 millions de dollars pour s’offrir l’un de ses 36 modèles, ex-Stirling Moss…

    Ferrari-250-GTO-01

    Cette fois, c’est le châssis 5111 GT qui a changé de main. L’Américain Paul Pappalardo l’avait acquis en 1974. Son premier propriétaire fut Jean Guichet qui remporta le Tour de France 1963 et les courses de côte de Chamrousse 1964 et 1965 à son volant. Depuis, Pappalardo n’avait cessé de la faire rouler dans de nombreuses épreuves historiques. Il vient de la vendre pour 52 millions de dollars (38,35 millions d’euros)… à un acheteur pour l’instant inconnu. Un record qui pourrait être prochainement battu.

    Un autre de ces trente-six modèles est en effet en vente. Il s’agit du châssis 3851 GT qui appartenait au collectionneur Fabrizio Violati, décédé en 2010. Cet exemplaire avait été détruit dès sa deuxième apparition lors de l’accident fatal à Henri Oreiller sur l’Autodrome de Montlhéry. Reconstruit en 1963, il avait ensuite été piloté par Paolo Colombo et Ernesto Prinoth avant d’arriver dans la collection romaine.

    Mercedes-W196R

    Cet été, c’est le record lors d’une vente aux enchères qui est tombé. A Goodwood, c’est la Mercedes W196 R « Flèche d’Argent » avec laquelle Juan Manuel Fangio avait remporté son deuxième titre mondial en F1 qui avait été adjugée à 19,6 millions de livres sterling (22,7 millions d’euros). Le précédent record datait de 2011 pour une Ferrari 250 Testa Rossa (0666 TR) vendue 16,4 millions de dollars (12,8 millions d’euros).

    Quant au record de la voiture neuve la plus chère, il est la propriété de Lamborghini avec sa Veneno proposée à 3,6 millions d’euros.

  • God save the Defender

    God save the Defender

    Jaguar Land Rover vient d’annoncer la fin de la production du Defender. C’est la disparition annoncée de l’un des mythes automobiles. Le meilleur véhicule tout terrain européen ne vivra pas au-delà de décembre 2015.

    Emboitant le pas aux Ford et Willys débarqués sur les plages de Normandie, les Britanniques présentent leur premier Defender en 1948. Rover s’inspire de la production américaine. La première version est rustique avec une carrosserie boulonnée et de redoutables qualités de franchissement. Sa peinture vert foncée provient des surplus d’usines d’avion de chasse.

    En plus de soixante ans, le Defender a pris toutes les formes. Châssis court, châssis long, amphibie, safari, militaire, adapté à tous les pays, l’un d’eux a même été transformé en 1953 pour le premier tour du monde de la Reine Elisabeth II.

    Land-Rover-Defender_06

    Comme pour le Volkswagen Combi qui vient de disparaître du catalogue brésilien, ce sont les nouvelles normes qui annoncent la fin de carrière du Defender. Incompatible avec Euro6 en l’état, il ne survivra pas à l’année 2015. Land Rover a néanmoins annoncé la conception d’un remplaçant…

    2 millions d’exemplaires ont été vendus depuis 1948. Et Land Rover estime qu’il en reste deux-tiers en circulation. Les autres reposent au fond d’un lac ou ont été maltraités par un troupeau d’éléphants.

  • Nouveauté : BMW Série 4 Cabriolet

    Nouveauté : BMW Série 4 Cabriolet

    La Série 3, d’abord déclinée en Série 4 version Coupé, se dévoile aujourd’hui en Série 4 Cabriolet. La ligne est adaptée pour accueillir un toit en métal à trois éléments. Pour le lancement, cette Série 4 Cabriolet sera disponible avec un six cylindres en ligne essence (BMW 435i Cabriolet), un quatre cylindres essence (BMW 428i Cabriolet) et un quatre cylindres diesel (BMW 420d Cabriolet).

  • La location de voitures entre particuliers organisée par Citroën

    La location de voitures entre particuliers organisée par Citroën

    Le monde change… Et l’industrie automobile doit s’adapter. Si, durant plusieurs décennies, le nombre de voitures par foyer n’a cessé d’augmenté, il pourrait être amené à décroître à moyen terme. Dans les grands centres urbains, la mobilité, dont l’automobile est l’une des composantes, se consommera autrement.

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    A l’échelle nationale, la location de voitures s’est ouverte à un nouveau mode d’échange avec l’auto-partage organisé dans les plus grandes villes. L’étape suivante est en cours de déploiement.

    Depuis quelques mois, quelques sites internet proposent de réunir des particuliers dans le cadre d’un auto-partage d’un nouveau genre : la location de voiture entre particuliers. Un propriétaire trouve une opportunité de gagner de l’argent et le locataire profite d’une solution alternative.

    Par l’intermédiaire de sa plateforme multicity, Citroën s’appuie sur le système mis en place par ouicar.fr pour proposer son propre service d’auto-partage.

    Si vous possédez une voiture qui ne roule pas suffisamment, vous avez la possibilité de la mettre à disposition d’autres conducteurs. Vous décidez du lieu de rendez-vous et du tarif de la location. La transaction sécurisée est réalisée directement sur le site et vous disposez d’un contrat de location et d’une assurance complémentaire (partenariat avec MMA). Un bon moyen de réduire le coût global de votre voiture sur l’année.

    Pour le locataire, c’est la possibilité de trouver une voiture à proximité et souvent beaucoup moins chère qu’avec une offre traditionnelle.

    Ma première réservation est faite, nous en reparlerons dans quelques jours… Mais j’ai aussi trouvé une AX de 1989 en plein Paris à 23 euros la journée, une Clio R.S. de 2010 à Sedan à 60 euros la journée, une Jaguar Sovereign de 1993 dans la région lyonnaise à 130 euros la journée ou, un peu plus fou, une Plymouth HD à 750 euros. Et tous ces tarifs sont dégressifs si vous faites une réservation sur plusieurs jours.

    Et si vous avez envie d’en savoir un peu plus sur cette solution, tout est dans cette infographie.