Auteur/autrice : Rédaction

  • Le Range Rover SDV8 Autobiography LWB de la Reine Elizabeth II est en vente

    Le Range Rover SDV8 Autobiography LWB de la Reine Elizabeth II est en vente

    Le Range Rover SDV8 Autobiography LWB de la Reine Elizabeth II est mis en vente pour 224 850 livres (263 000 euros). La voiture a été commandée par la famille royale en mars 2016 et a été repérée à de nombreuses occasions transportant feu la Reine et le Duc d’Édimbourg lors d’événements prestigieux.

    Le Range Rover royal a également joué un rôle de premier plan lors de la visite d’État de Barack Obama au Royaume-Uni la même année, avec des photographies montrant l’ancien président américain et la première dame Michelle Obama escortés à l’arrière de la voiture.

    Plusieurs modifications ont été apportées par l’atelier Land Rover à Gaydon pour répondre aux besoins du couple royal, notamment des marche-pieds latéraux et une sirène de police. Ces éléments ont depuis été retirés à des fins d’homologation, bien qu’un ensemble de poignées que Sa Majesté la Reine avait demandées sur beaucoup de ses voitures, ainsi qu’une étiquette d’avertissement pour la sirène de police, soient inclus dans la vente en tant que souvenirs.

    Cet Autobiography LWB SDV8 est de couleur bleu métallisé avec un intérieur en cuir crème. Les dignitaires à l’arrière bénéficient d’un espace supplémentaire pour les jambes grâce à l’empattement allongé, tandis que les écrans appuie-tête arrière, retirés pendant le service, ont été réinstallés pour le nouveau propriétaire.

    À l’avant, on trouve un moteur diesel V8 biturbo de 4,4 litres avec 339 ch, avec une transmission aux quatre roues via une boîte automatique à huit vitesses. Il atteint les 100 km/h en seulement 6,5 secondes et peut atteindre une vitesse de pointe de 218 km/h.

    La voiture a été répertoriée sur PistonHeads.com par Bramley Motors et est proposée avec 18 000 miles au compteur, dont 2 586 ont été parcourus pendant la période où elle était détenue par la famille royale. La vente comprend ses plaques d’immatriculation d’origine – OU16 XVH – telles qu’elles étaient visibles lors des événements royaux.

    Matt Bird, rédacteur en chef adjoint de PistonHeads, a déclaré : « Il y a peu de moyens plus raffinés de voyager que dans l’arrière d’un Range Rover à empattement long. Ils sont vraiment inégalés en termes d’opulence et de sens de l’occasion, surtout lorsqu’ils sont spécifiés comme celui-ci avec un beau cuir clair et du bois foncé. Même les roues semblent idéales pour un raffinement somptueux en roulant, et le vigoureux V8 diesel sera l’accompagnement parfait pour des kilomètres après des kilomètres sans effort. Ce modèle est déjà assez désirable, mais savoir qu’il s’agissait d’un moyen de transport personnel pour feu la Reine et le Prince Philip élève ce Range Rover à un niveau de spécificité tout à fait particulier. Il s’agirait probablement d’un des derniers véhicules spécifiés par Sa Majesté ; qu’il conserve certaines de ces caractéristiques est agréable à voir. Le fait de savoir que ce véhicule a été utilisé pour les Obama lors d’une visite d’État ne fait qu’ajouter à son attrait. Pour ceux qui sont épris de la famille royale, c’est une pièce d’histoire. »

  • Lamborghini et Ducati s’unissent pour célébrer l’art de Paolo Troilo

    Lamborghini et Ducati s’unissent pour célébrer l’art de Paolo Troilo

    Lamborghini et Ducati ont uni leurs forces pour célébrer l’art à travers la vision de l’artiste Paolo Troilo, qui a mis sa créativité au service des deux marques en transformant deux modèles emblématiques en œuvres d’art. Le lieu de l’exposition « Art of creating myths » – un événement organisé dans le cadre d’Arte Fiera Bologna – est la Galleria Cavour au centre de Bologne, où les deux créations de l’artiste ont été dévoilées. D’un côté, une Lamborghini Huracán EVO, devenue la toile pour l’œuvre intitulée « Minotauro », et de l’autre, une Ducati Streetfighter V4 Lamborghini pour l’œuvre « Centauro », les deux véhicules appartenant au même client qui souhaitait associer l’art et la motorisation dans une synthèse parfaite.

    Paolo Troilo (né en 1972 à Taranto) est renommé pour sa technique de fingerpainting hyper-réaliste unique, et c’est précisément ainsi que les deux modèles ont été créés. « Minotauro », peint sur la carrosserie d’une Huracán EVO, symbolise la sublimation entre la vision de l’artiste et la valeur emblématique d’une marque comme Automobili Lamborghini, dont les voitures, prisées par les clients pour leur design, leurs performances et leur qualité, deviennent de véritables pièces uniques, au même titre que des œuvres d’art. À travers les traits vigoureux d’un corps masculin reproduits par la main de Paolo Troilo à l’aide de ses doigts, les peintures expriment le dynamisme, la puissance et les émotions les plus intimes ressenties par l’artiste au volant de la Huracán EVO. Son hommage au véhicule réside dans la fusion de l’homme, du taureau (le symbole d’Automobili Lamborghini) et du concept de « mythe » exprimé dans la force indomptable – surnaturelle et presque animalière – émanant de la figure masculine peinte sur les côtés de la voiture.

    La présentation a eu lieu à la Galleria Cavour, emblème du luxe et de l’exclusivité au cœur de Bologne. Les PDG d’Automobili Lamborghini et Ducati, Stephan Winkelmann et Claudio Domenicali, ont dévoilé les deux modèles peints par Troilo en présence de 200 invités. Pour l’occasion, les deux PDG ont réaffirmé le lien entre leurs marques respectives, qui représentent une excellence mondialement reconnue, chacune dans son propre segment, symbole du cachet Made in Italy et du prestige de la Motor Valley. C’est une excellence qui, associée à la main de Paolo Troilo, connecte l’art au monde automobile, prouvant que les deux peuvent coexister dans une union parfaite.

    « Minotauro » et « Centauro » seront exposés dans le cadre d’ART CITY Bologna jusqu’au 5 février à la Galleria Cavour, avec une entrée gratuite, offrant aux amateurs d’art et de moteurs l’occasion d’apprécier deux mondes qui n’ont jamais été aussi proches auparavant.

  • De l’importance des pneumatiques

    De l’importance des pneumatiques

    Les écorallyes offrent une expérience unique qui marie la passion de la course automobile avec l’engagement en faveur de l’environnement. Ces compétitions mettent en avant des véhicules électriques, soulignant ainsi l’importance croissante de la mobilité durable dans le monde du sport automobile. Au cœur de cette aventure électrique, les pneumatiques jouent un rôle vital, contribuant de manière significative à la performance, à l’efficacité énergétique et à la sécurité des participants. Le pneu Michelin est forcément à considérer.

    La première considération majeure est l’efficacité énergétique des pneumatiques. Dans un écorallye, l’efficience est une préoccupation primordiale, et chaque kilomètre parcouru compte. Les pneumatiques conçus spécifiquement pour les véhicules électriques peuvent jouer un rôle essentiel dans l’optimisation de l’efficacité énergétique. Une conception appropriée réduit la résistance au roulement, maximisant ainsi la distance parcourue avec une seule charge. Les fabricants de pneumatiques investissent de plus en plus dans la recherche et le développement pour créer des modèles adaptés, favorisant ainsi une plus grande autonomie et une meilleure performance globale.

    Outre l’efficacité énergétique, la performance des pneumatiques joue un rôle déterminant dans la tenue de route des véhicules. Les écorallyes empruntent souvent des itinéraires variés, comprenant des routes asphaltées et parfois même des terrains plus accidentés. Les pneumatiques doivent être polyvalents, capables de s’adapter à des surfaces diverses tout en maintenant une adhérence optimale. Des pneumatiques bien choisis garantissent une stabilité et une maniabilité accrues, permettant aux pilotes de négocier les virages serrés et les sections difficiles avec confiance et précision.

    La sécurité reste une priorité incontournable, même dans le cadre d’une compétition passionnante comme un écorallye. Les pneumatiques sont le seul point de contact entre le véhicule et la route, et leur état influence directement la sécurité. Des pneumatiques en bon état réduisent le risque d’accidents liés à une perte de contrôle, assurant ainsi la protection des pilotes, des coéquipiers et des spectateurs. Il est essentiel que les équipes participantes effectuent des vérifications régulières de l’état des pneumatiques, en accordant une attention particulière à la pression et à l’usure, pour garantir des conditions de conduite optimales.

    L’importance des pneumatiques dans un écorallye ne peut être surestimée. Ils sont bien plus que de simples composants en caoutchouc – ce sont des éléments clés qui influencent la performance, l’efficacité énergétique et la sécurité des véhicules électriques. Les avancées constantes dans la conception des pneumatiques dédiés aux véhicules écologiques témoignent de l’engagement de l’industrie automobile envers une mobilité plus durable. Les écorallyes sont une vitrine fascinante de cette évolution, où chaque kilomètre parcouru sur des pneumatiques bien choisis est un pas de plus vers un avenir de course automobile plus respectueux de l’environnement.

  • Le bon numéro d’autoroute

    Le bon numéro d’autoroute

    L’histoire de la numérotation des autoroutes françaises remonte à l’époque de Napoléon Bonaparte. En 1811, dans le but d’unifier la France et de faciliter la circulation des troupes, Napoléon lance la création des routes impériales. Toutes partent de Paris, où résidait l’Empereur. La numérotation est inspirée d’une analogie ingénieuse : considérer la France comme une grande horloge.

    Paris devient le centre de cette horloge, et les routes impériales sont numérotées dans l’ordre des aiguilles d’une montre, débutant à midi. Ainsi, la Route Impériale 1 part vers le Nord, menant à Calais.

    Cette numérotation est conservée pour les Nationales et, par conséquent, pour les autoroutes. C’est pourquoi la première autoroute française, inaugurée le 9 juin 1946, n’a pas été baptisée l’A1, mais l’A13, car elle reliait Saint-Cloud à Orgeval dans l’Ouest parisien, correspondant à la Route Impériale 13 menant à Brest.

    Poursuivant cette logique, l’A7, qui part de Lyon vers le Sud, est le prolongement de l’A6, partant de Paris vers le Sud. Elle devient ensuite l’A8, puis l’A9, formant ainsi un réseau d’autoroutes longeant la mer Méditerranée.

    En développant le réseau autoroutier dans les années 70-80, un système de numérotation à deux chiffres basé sur les régions a été adopté. Les autoroutes de la région parisienne sont numérotées de 1 à 20. En suivant le sens des aiguilles d’une montre, les autoroutes de 21 à 29 partent du Nord. La A64 est ainsi située dans la région Sud-Ouest, portant un numéro de la soixantaine, étant la 4e à y avoir été construite.

  • Six questions à Constantin Buschmann, patron de Brabus

    Six questions à Constantin Buschmann, patron de Brabus

    Constantin Buschmann, PDG de Brabus, est une figure emblématique de l’industrie automobile. À la tête de l’entreprise, il a contribué à hisser Brabus au rang de référence dans la modification de voitures haut de gamme. Dans cette interview réalisée par le média britannique Car, nous plongeons dans le monde automobile de Constantin Buschmann pour découvrir ses premières expériences, ses réalisations fières, et quelques anecdotes qui ont jalonné son parcours.

    Parlez-nous de votre première voiture…
    « Nous avions commencé à importer des camions Dodge Ram, c’était donc la première voiture que j’ai conduite. Pas une voiture facile dans les rues du centre-ville en Allemagne. »

    Quelle réalisation êtes-vous le plus fier ?
    « Ce que nous avons accompli avec Brabus au cours des cinq dernières années, en le propulsant vers la prochaine génération et en développant la marque avec une équipe que je considère comme la meilleure au monde. »

    Quelle est la meilleure chose que vous ayez jamais faite au volant d’une voiture ?
    « Un de mes trajets préférés est la Highway 1, de Los Angeles à San Diego ou San Francisco. La première fois que je l’ai fait, c’était avec une très vieille Mercedes M-Class. »

    Parlez-nous d’un moment où vous avez commis une erreur…
    « Laquelle choisir ? J’étais directeur des ventes et mon père et moi nous sommes disputés à propos d’une livraison de papier toilette. »

    Supercar ou classique ?
    « Si je devais choisir une seule voiture, ce serait probablement la Maserati GranTurismo. »

    Défi de l’entreprise : à quelle vitesse la Brabus Rocket a-t-elle atteint en 2006 pour battre le record de vitesse en tant que berline homologuée pour la route ?
    « De mémoire, je dirais 316,4 km/h. Attendez. C’est trop peu. Bien au-dessus de 330. » [En réalité, c’est 365,7 km/h]

  • Callum Skye : chef-d’oeuvre tout-terrain électrique signé Ian Callum

    Callum Skye : chef-d’oeuvre tout-terrain électrique signé Ian Callum

    Ian Callum, célèbre designer autrefois chez Jaguar, a décidé de repousser les limites de sa créativité avec la Callum Skye, présentée comme « le véhicule tout-terrain le plus beau du monde ». C’est une réalisation radicalement différente de tout ce que Callum a conçu par le passé. Ce n’est pas simplement un rêve utopique ; Callum et son équipe sont en train de construire des prototypes de ce véhicule léger, tout-terrain, électrique et à traction intégrale… une folie qui promet de repenser notre conception des véhicules polyvalents.

    La Skye de Callum Design est bien plus qu’une simple voiture tout-terrain. Elle est le résultat d’une conception audacieuse, combinant élégance et fonctionnalité dans un ensemble impressionnant. La structure légère en carbone offre à la Skye une base solide tout en permettant une agilité exceptionnelle sur une variété de terrains, du bitume aux sentiers accidentés.

    Alors, qu’est-ce que la Callum Skye a de particulier ? Tout d’abord, il s’agit d’une preuve concrète qu’Ian Callum peut créer bien plus que de magnifiques GT. La Skye est une fusion réussie de design avant-gardiste et de technologie de pointe. Son châssis en carbone, combiné à des spécifications routières et tout-terrain, souligne l’intention de la marque de créer un véhicule aussi à l’aise en pleine nature que sur le bitume.

    Les spécifications techniques de la Skye restent un mystère soigneusement entretenu, créant un voile de suspense autour de cette création. Cependant, ce qui est certain, c’est que la Skye est conçue pour les amateurs de plein air dotés d’un budget conséquent. Ce n’est pas simplement un moyen de transport, c’est une déclaration de style pour ceux qui cherchent à fusionner l’élégance avec l’aventure.

    L’accent mis sur la légèreté et la propulsion électrique démontre l’engagement de Callum envers la durabilité et l’innovation. Avec le monde de l’automobile qui évolue rapidement vers des solutions plus respectueuses de l’environnement, la Skye se positionne comme un précurseur dans le segment des véhicules tout-terrain électriques.

    Si vous êtes impatient de mettre la main sur cette œuvre d’art tout-terrain, la bonne nouvelle est que vous pourrez passer commande en 2024, après quelques tests de prototypes. Cela permettra à Callum et son équipe de peaufiner les derniers détails et de garantir que la Skye offre une expérience de conduite à la hauteur des attentes.

    La Callum Skye représente un nouveau chapitre passionnant dans l’évolution du design automobile. Avec Ian Callum à la barre, la Skye promet d’être bien plus qu’un simple moyen de transport – c’est une expression de l’art automobile et de l’ingénierie de pointe.

  • Le passage éphémère de la marque américaine Alpheon

    Le passage éphémère de la marque américaine Alpheon

    En 2010, General Motors, tout juste sorti de la faillite, a entrepris une aventure singulière sur le marché automobile sud-coréen avec le lancement de la marque Alpheon. Dans un pays où General Motors ne commercialisait pas la marque Buick, le géant américain cherchait à introduire une grande berline haut de gamme, et la Buick LaCrosse semblait être le choix idéal. Cependant, des obstacles majeurs ont incité GM à créer une toute nouvelle marque de luxe : Alpheon.

    L’idée de rebadger la Buick LaCrosse en tant que Chevrolet ou Cadillac était clairement indésirable sur le marché sud-coréen, où seuls les modèles Chevrolet, Cadillac et Daewoo étaient commercialisés par General Motors. Avec la marque Daewoo en déclin, la nécessité de créer une nouvelle entité indépendante de luxe a émergé, conduisant ainsi à la naissance d’Alpheon.

    Le processus de création de la marque a été rapide, avec le logo, le badge et la position sur le marché décidés en quelques mois seulement. Malheureusement, peu de réflexion a été accordée à la stratégie à long terme. Alpheon a été lancée en 2010 avec une seule voiture au catalogue, basée sur la Buick LaCrosse et étroitement liée à la Vauxhall Insignia.

    Bien que la voiture ait été bien accueillie sur le marché sud-coréen, le manque de vision à long terme a contribué à la disparition prématurée d’Alpheon. En 2015, seulement cinq ans après son lancement, la marque a mis fin à son activité, laissant derrière elle un seul modèle au sein de sa gamme.

    Le court passage d’Alpheon dans le paysage automobile sud-coréen soulève des questions sur la planification stratégique de General Motors à l’époque. La décision de créer une marque éphémère semble avoir été motivée par des circonstances immédiates plutôt que par une vision à long terme. Cela contraste fortement avec d’autres entreprises automobiles qui ont réussi à s’implanter de manière durable sur des marchés étrangers.

    L’expérience Alpheon met en lumière l’importance d’une stratégie à long terme dans l’industrie automobile mondiale. Les consommateurs d’aujourd’hui sont plus exigeants que jamais, recherchant non seulement des produits de qualité, mais aussi une continuité et une confiance dans la marque qu’ils choisissent. La leçon tirée de l’histoire éphémère d’Alpheon peut servir de rappel aux constructeurs automobiles du monde entier sur l’importance de la réflexion stratégique et de la compréhension approfondie des marchés cibles avant de lancer de nouvelles marques ou modèles.

    Alpheon demeure une parenthèse intrigante dans l’histoire de General Motors et du marché automobile sud-coréen. Son existence brève, marquée par une seule berline, témoigne des défis auxquels les constructeurs automobiles peuvent être confrontés lorsqu’ils ne planifient pas soigneusement leur entrée sur de nouveaux marchés.

  • Rendez-vous à Daytona !

    Rendez-vous à Daytona !

    Le nouvelle saison d’IMSA SportsCar commence aux 24 Heures de Daytona les 27 et 28 janvier. Mais dès ce week-end, nous aurons le « Roar before the 24 », qui sont deux jours de qualifications. Avec des sessions d’essais devant les fans, le « Roar » devrait nous donner un avant-goût de la saison d’endurance à venir. Cette année promet beaucoup d’excitation, avec un nombre record de participants dans la catégorie GTP.

    Les nouvelles réglementations ont bouleversé le championnat IMSA l’an passé, le Grand Touring Prototype devenant la nouvelle catégorie phare, ce qui permet aux Le Mans Hypercar de participer.

    En 2024, nous verrons l’arrivée de Lamborghini avec sa SC63 hybride V8. Daytona sera la course inaugurale de Lamborghini, avec l’ancien pilote de Formule 1 Romain Grosjean.

    Parmi les autres nouveaux arrivants de 2024, Alpine participera au Championnat du Monde d’Endurance. Cette voiture pourrait, en théorie, participer également à la série IMSA. Selon d’autres sources journalistiques, des discussions semblent en cours pour trouver une équipe pour courir en IMSA.

    Certains noms importants participeront au championnat IMSA cette année, et Grosjean ne sera pas le seul ancien pilote de F1 sur la grille. En effet, le champion du monde de Formule 1 de 2009, Jenson Button, passe de Porsche à Acura, rejoignant le vainqueur des 24 Heures du Mans à trois reprises, Brendon Hartley, chez Wayne Taylor Racing avec Andretti.

    Cadillac espère que sa belle série de performances se poursuivra, ayant remporté quatre titres de constructeur dans la série. Deux voitures Cadillac V-Series.R (qui ont acquis une grande popularité pour le son distinctif du V8) seront présentes sur la grille, l’une gérée par l’équipe Cadillac Racing et l’autre par Whelen Cadillac Racing. Whelen est le tenant du titre IMSA, avec une seule victoire en 2023. Tom Blomqvist, l’un des vainqueurs des 24 Heures de Daytona de l’année dernière, est passé chez Whelen pour la saison 2024 en provenance de Meyer Shank Racing, et il sera intéressant de voir s’il peut donner à Cadillac ce dont elle a besoin pour gagner en Floride.

    Les projecteurs devraient également être braqués sur la BMW M Hybrid V8, qui s’est révélée être une machine victorieuse en 2023 à Watkins Glen. Les deux voitures BMW ont terminé sixième et huitième sur onze (en queue de peloton si l’on ne compte pas les voitures engagées à temps partiel), mais on peut parier que BMW voudra prendre sa revanche en 2024.

  • Bonne résolution : stage de pilotage

    Bonne résolution : stage de pilotage

    Vous rêvez de ressentir l’excitation du vrombissement d’un moteur puissant, de sentir l’asphalte sous vos pneus, et de vivre une expérience de conduite inoubliable ? Les stages de pilotage sur circuit sont la réponse à vos aspirations de pilote en herbe.

    À la découverte des Stages de Pilotage

    Les stages de pilotage permettent aux amateurs de sports mécaniques de profiter de véritables bolides sur des circuits prestigieux à travers la France. Ferrari, Porsche, Lamborghini, Audi R8, Ford Mustang, Nissan GT-R, et bien d’autres modèles légendaires sont à votre disposition pour une expérience de conduite exceptionnelle.

    Qu’est-ce qu’un Stage de Pilotage ?

    Un stage de pilotage, c’est bien plus qu’une simple balade en voiture. Vous serez accompagné d’un moniteur instructeur diplômé qui vous guidera à travers les subtilités de la conduite sportive. Après un briefing instructif, vous prendrez le volant pour un baptême de pilotage automobile. Vous aurez la possibilité de choisir le nombre de tours que vous souhaitez effectuer et même de monter en tant que passager aux côtés d’un instructeur expérimenté pour des sensations fortes en toute sécurité.

    Les Différents Types de Stages de Pilotage

    1. Stage de Pilotage sur Circuit : prenez le volant d’une voiture de sport et enchaînez les tours de piste.
    2. Stage de Pilotage Rallye : conduisez une voiture de type Subaru sur une piste de rallye.
    3. Stage Copilote : vivez l’excitation maximale en prenant place aux côtés d’un pilote professionnel.
    4. Stage Drift : glissez dans les virages pour des sensations fortes garanties.
    5. Stage 4×4 : découvrez le off-road à bord d’un 4×4.

    Où Faire un Stage de Pilotage en France ?

    La France regorge de circuits emblématiques. Parmi les meilleurs, citons le Circuit Paul Ricard au Castellet sur la Côte d’Azur, le Circuit de Folembray, le Circuit de Trappes près de Paris, le Circuit de Magny-Cours utilisé en Formule 1, le Circuit d’Albi proche de Toulouse, le Circuit Fay de Bretagne près de Nantes, et le Circuit Fontenay-le-Comte en Vendée.

    Les Informations Pratiques

    Avant de vous lancer dans l’aventure, voici ce que vous devez savoir :

    • À votre arrivée, remplissez les formalités administratives, y compris la présentation du permis de conduire.
    • Faites un premier tour de piste en tant que passager aux côtés de votre instructeur.
    • Prenez le volant et enchaînez les tours de circuit.
    • À la fin, recevez un diplôme pour immortaliser votre expérience.

    Alors, prêt à vivre une expérience de conduite inoubliable ? Choisissez votre voiture, sélectionnez le circuit qui vous convient le mieux, et lancez-vous dans l’aventure palpitante des stages de pilotage !

  • Le top 10 des voitures les plus immatriculées en France en 2023

    Le top 10 des voitures les plus immatriculées en France en 2023

    Voici le détail des dix modèles les plus vendus en France en 2023

    1 – Renault Clio

    La Renault Clio est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Clio de quatrième génération, produite de 2012 à 2019. Des Renault Clio sont assemblées à Bursa (Turquie), Novo Mestro (Slovénie) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 97 471
    Part de marché : 5,5 %

    2 – Peugeot 208

    La Peugeot 208 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle a été élue voiture de l’année 2020 et elle succède à la Peugeot 208 de première génération, produite de 2012 à 2019. Des Peugeot 208 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Kénitra (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 86 263
    Part de marché : 4,9 %

    3 – Dacia Sandero

    La Dacia Sandero est une voiture de segment B commercialisée depuis 2021. Elle succède à la Dacia Sandero de deuxième génération, produite de 2012 à 2021. Des Dacia Sandero sont assemblées à Pitesti (Roumanie), Tanger et Casablanca (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 69 106
    Part de marché : 3,9 %

    4 – Citroën C3

    La Citroën C3 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2016. Elle succède à la Citroën C3 de deuxième génération, produite de 2009 à 2016. Des Citroën C3 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 59 603
    Part de marché : 3,4 %

    5 – Peugeot 2008

    La Peugeot 2008 est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Peugeot 2008 de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Peugeot 2008 sont assemblées à Vigo (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 49 344
    Part de marché : 2,8 %

    6 – Renault Captur

    La Renault Captur est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Captur de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Renault Captur sont assemblées à Valladolid (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 47 569
    Part de marché : 2,7 %

    7 – Peugeot 308

    La Peugeot 308 est une voiture de segment C commercialisée depuis 2021. Elle succède à la Peugeot 308 de deuxième génération, produite de 2013 à 2021. Des Peugeot 308 sont assemblées à Mulhouse (France).

    Nombre d’immatriculation : 45 564
    Part de marché : 2,6 %

    8 – Tesla Model Y

    La Tesla Model Y est une voiture de segment D-SUV commercialisée depuis 2020. Des Tesla Model Y sont assemblées à Frémont (Etats-Unis), Shanghai (Chine) et Berlin (Allemagne).

    Nombre d’immatriculation : 37 127
    Part de marché : 2,1 %

    9 – Dacia Duster

    La Dacia Duster est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2018. Elle succède à la Dacia Duster de première génération, produite de 2010 à 2022. Des Dacia Duster sont assemblées à Pitesti (Roumanie), Curitiba (Brésil), Envigado (Colombie) et Lagos (Nigéria).

    Nombre d’immatriculation : 32 625
    Part de marché : 1,8 %

    10 – FIAT 500

    La FIAT 500 est une voiture de segment A commercialisée depuis 2015. Elle succède à la FIAT 500 de troisième génération phase 1, produite de 2007 à 2015. Des FIAT 500 sont assemblées à Mirafiori (Italie), Tychy (Pologne) et Tafraoui (Algérie).

    Nombre d’immatriculation : 31 973
    Part de marché : 1,8 %

  • Ferrari SF90 XX Stradale : fusion extrême de performances

    Ferrari SF90 XX Stradale : fusion extrême de performances

    Ferrari nous surprend rarement en ajoutant un modèle à sa série XX de voitures extrêmes, et c’est encore plus rare que cela se fasse avec une plaque d’immatriculation. La SF90 XX Stradale (et Spider – disponible également en version décapotable) est la première XX homologuée pour la route, et Maranello produira 1398 exemplaires pour ses clients les plus fidèles. Avec un prix de départ à plus de 750 000 euros pour la Stradale, cela représente plus d’un milliard de chiffre d’affaires pour une ligne de modèles qui se vendait auparavant en beaucoup moins d’unités.

    Mais, mis à part l’aspect financier, il y a de nombreuses autres données intéressantes. Un V8 biturbo de 4,0 litres avec une assistance triple de moteurs électriques produisant 1016 ch (30 ch de plus que la SF90 régulière) est déjà impressionnant. Le 0 à 100 km/h s’affiche en 2,3 secondes, tandis que le 0 à 200 km/h ne prend que 6,7 secondes (plus rapide qu’une Bugatti Veyron). La vitesse de pointe est inférieure à celle de la SF90 non-XX à 320 km/h en raison de quelques ajustements aérodynamiques massifs.

    L’efficacité de la chambre de combustion a bénéficié de conduits d’admission et d’échappement polis, ainsi que de l’augmentation du taux de compression avec de nouveaux pistons et un usinage astucieux de la chambre.

    Pour maximiser la poussée sur toute la plage de régime, le conducteur dispose de jusqu’à 30 courtes rafales de puissance électrique supplémentaire qui sont automatiquement déployées au moment optimal pour réduire les temps au tour. Ferrari estime que cela vaut 0,25 seconde autour de Fiorano, ce qui peut ne pas sembler beaucoup, mais la sensation de puissance supplémentaire est tangible. Associé à une logique de changement de vitesse redessinée sur la boîte de vitesses à double embrayage à huit rapports (issu de la Daytona SP3), le boost supplémentaire vous surprend lorsque vous pensez que vos organes internes vont enfin avoir un peu de répit du V8 de 786 ch. C’est bruyant, vicieux et un peu effrayant les premières fois où vous enfoncez la pédale d’accélérateur de la SF90 XX. Mais quelle expérience.

    Pour ce qui est des temps au tour, l’aéro est là où les gains les plus importants ont été réalisés. Grâce à une combinaison d’ailerons, de déflecteurs et de volets, la XX délivre le double de la portance totale de la SF90 régulière. À 250 km/h, l’énorme aileron arrière peut générer 315 kg de poussée sur l’arrière, tandis que les S-Ducts dans le capot contribuent à une augmentation de 20 % de la portance avant. Il y a aussi une inspiration tirée de la voiture 296 GT3 gagnante des 24 Heures du Nürburgring dans le système de refroidissement, et un nouveau dessous de caisse améliore encore les capacités aérodynamiques.

  • Land Cruiser 70 Series : 40e anniversaire de l’icône tout-terrain

    Land Cruiser 70 Series : 40e anniversaire de l’icône tout-terrain

    Le Land Cruiser 70 Series célébrera son 40e anniversaire en 2024, mais cela n’a pas empêché Toyota de lui offrir un autre lifting. Bien que le modèle mis à jour ait déjà été dévoilé, le légendaire tout-terrain est maintenant réintroduit au Japon après une absence de neuf ans du marché intérieur de Toyota. Les clients japonais ont le choix du style de carrosserie traditionnel en SUV cinq portes du Land Cruiser 70 Series, mesurant 4 890 mm de long. Il est à noter que Toyota a déjà dévoilé une version pick-up double cabine plus longue pour le marché australien, ainsi qu’un SUV trois portes plus court et un pick-up cabine simple pour les Émirats arabes unis.

    Plutôt que de réinventer la roue, le rafraîchissement a amélioré le design extérieur intemporel du Land Cruiser classique. L’avant redessiné, avec des phares ronds à LED et de grands clignotants faisant saillie de la carrosserie, offre une interprétation modernisée avec goût du design original de 1984. Les pare-chocs et les passages de roue non peints mettent en valeur son aspect utilitaire, accompagnés du rétroviseur monté sur l’aile. Un couvercle en plastique noir sur le côté du capot abrite le réservoir AdBlue, essentiel pour les moteurs diesel modernes. À l’arrière, les feux arrière ont été intégrés dans le nouveau pare-chocs, avec les unités régulières dissimulées par des panneaux de couleur carrosserie. L’accent sur le tout-terrain se manifeste dans la conception de l’échappement, soigneusement conçu pour éviter d’interférer avec l’angle de départ.

    L’équipement de série est relativement basique, avec des équipements limités à la climatisation manuelle, des ports USB-C, des vitres électriques et une fermeture centralisée. Le nouveau groupe d’instruments analogiques comporte un écran de 4,2 pouces, mais l’écran tactile du système multimédia est en option. Heureusement, le lifting a ajouté quelques systèmes avancés d’assistance à la conduite, tels que le freinage automatique d’urgence, l’alerte de sortie de voie, l’assistance aux panneaux de signalisation et les feux de route automatiques.

    Les ingénieurs de Toyota ont amélioré les fondations de l’échelle du châssis du Land Cruiser 70 Series, introduisant un nouveau système de suspension et diverses améliorations électroniques. Ces améliorations visent à renforcer le confort de conduite et la stabilité tout en préservant les capacités tout-terrain emblématiques du véhicule. Plus précisément, le système 4WD, équipé d’un différentiel électronique, est complété par des fonctionnalités telles que le Hill Start Assist Control, le Downhill Assist Control, l’Active Traction Control et le Vehicle Stability Control.

    La version JDM (Japanese Domestic Market) de la 70 Series est équipée d’un nouveau moteur turbodiesel quatre cylindres de 2,8 litres (1GD-FTV), représentant une amélioration significative des émissions par rapport aux versions précédentes du SUV. La motorisation, également présente dans le tout nouveau Land Cruiser Prado (250), produit 201 ch (150 kW / 204 ch) et 500 Nm (368,9 lb-pi) de couple. La puissance est exclusivement transmise aux quatre roues via une boîte de vitesses automatique Super ECT à 6 rapports. Au Japon, le Toyota Land Cruiser 70 Series 2024 commence à partir de 4 800 000 yens (environ 30 600 euros). Avec ce lifting, Toyota honore l’héritage de l’emblématique Land Cruiser tout en offrant des améliorations modernes pour répondre aux attentes des conducteurs d’aujourd’hui.