Étiquette : BMW

  • Essai BMW 740d : fin de carrière

    Essai BMW 740d : fin de carrière

    Certains modèles possèdent un pouvoir surnaturel… A peine le contact mis, à peine les premières vitesses enclenchées, le conducteur et les passagers sont convaincus d’être dans l’une des meilleures voitures qui existent. C’est le cas avec la BMW 740d (l’ancienne !).

    Moi, plus tard, je voudrais être George Clooney ! Le mec semble savoir tout faire, toujours avec classe… Même quand il joue l’idiot. Chaque annonce de célibat entraîne des discussions enflammées auprès de la moitié de la population mondiale, à travers tous les continents.

    Clooney, c’est le héros de tous les jours. L’homme qui fait rêver les hommes et les femmes (parfois pour les mêmes raisons). Il est beau sans arrogance et ses engagements dans de nombreuses causes (toujours bonnes) en font un parfait ambassadeur.

    Entre O’Brother, la série des Ocean et Gravity, il a trouvé le moyen de se faire arrêter devant l’ambassade du Soudan à Washington lors d’une manifestation. Messager de la Paix pour l’ONU, il a investi dans des films très politiques, sans jamais verser dans le prosélytisme.

    Même quand il fait de la pub pour du café, il est au top. Et ce n’est pas donné à tout le monde. Gad Elmaleh y a cru avec sa banque, pas nous ! George (c’est un mec cool, on peut l’appeler par son prénom) parvient même à valoriser ses collègues… C’est plus que du charisme, c’est de l’aura !

    bmw-740d-m-sport

    Bientôt 40 ans de BMW Série 7

    C’est un peu pareil avec une Série 7 ! La berline statutaire tire toute la gamme vers le haut, la Série 5 évidemment, la Série 3 beaucoup et même la Série 1. Cette Série 7, c’est la rigueur germanique avec la classe. Comme si George Clooney prenait en main le remake de L’Inspecteur Derrick ! Je vous laisse imaginer la fin programmée de l’ère Games of Thrones… Tous devant Clooney en Derrick !

    C’est un peu bizarre de parler de la BMW Série 7 F01 quelques jours après la présentation de la G11 (bataille navale). Mais je ne regrette pas de prendre un peu de temps pour partager mon petit bonheur.

    Pour une voiture sortie en 2008, retouchée en 2012 et désormais en fin de carrière, cette Série 7 est tout simplement parfaite. C’est confortable et équipé de tout un tas de systèmes d’aides à la conduite… Lesquels ? Ceux qui commencent à être livrés de série sur toutes les berlines de 2015, mais en mieux.

    Essayez le régulateur adaptatif de Citroën ou Ford sur une nationale ou une autoroute en arrivant dans un virage serré, sur la file de gauche et avec un gros camion calé à droite… Le système va se poser la question d’adapter l’allure. Sur une Série 7, tant que les roues du camion ne passent pas la ligne discontinue, on roule !

     

    L’insonorisation, le couple, les sièges, les suspensions, l’espace à l’arrière… La liste pourrait tenir sur deux pages (si, même sur ce site), mais je crois que seule la conclusion est intéressante : La BMW Série 7 a rassemblé tout ce qui m’a fait penser que je conduisais l’une des meilleures voitures que j’ai pu avoir en main. Et même si elle est en fin de carrière, elle reste la George Clooney des voitures. What else?

    6 cylindres en ligne, 313 chevaux, un couple de 630 Nm à partir de 1 500 tours / minute (!) et la parfaite boîte ZF à huit rapports… ce sont les chiffres. Suspension pneumatique à correcteur d’assiette sur le train arrière… ce sont les mots. Affichage tête haute (et beau), grand écran central avec commande à portée de main… Le tout dans une finition M qui permet de se passer du bois qui accompagne généralement les modèles de ce genre.

    Totalement conquis par cette 740d… Alors je ne vous raconte pas ce que je vais penser de la G11 ! (coulé)

     

    Quelques données
    Modèle essayé : BMW 740d
    Tarif : 94 600 euros
    Moteur : 6 cylindres en ligne, Twin Turbo, Diesel
    Cylindrée : 2 993 cm3
    Puissance max : 313 chevaux (230 kW) à 4 300 tours/min.
    Couple max : 630 Nm à partir de 1 500 tours/min.
    Transmission : quatre roues motrices, boite automatique à 8 rapports
    0 à 100 km/h : 5,4 secondes
    1 000 mètres départ arrêté : 25,2 secondes
    Vitesse maximale : 250 km/h
    Consommations (route, urbain, euromix) : 7,3 / 5,3 / 6,0 l./100 km
    Poids : 2 015 kg
    Volume du coffre : 500 litres

  • Où va MINI ?

    Où va MINI ?

    Hier, coup de téléphone depuis Londres. Comme il arrive que je reçoive des coups de téléphones « pro » depuis l’étranger, je décroche. Me voilà parti dans une conversation de 25 minutes au sujet de la réputation du Groupe Renault…

    Je vous passe les détails… Car c’est « confidentiel » ! Mais avec le défilé des questions, je me rends compte que j’ai insisté sur la réussite du Groupe Renault à travers Dacia durant ces dix dernières années. Et lorsque l’on m’a demandé ce que Renault devait faire pour l’avenir, j’ai simplement dit : « La même chose, mais avec Alpine ! ». Si Alpine suit le succès de Dacia (dans son domaine), tout le Groupe Renault sera porté vers le haut !

    Je cite souvent Dacia parmi les énormes réussites récentes de l’industrie automobile… Mais ce n’est pas la seule. Penchons-nous sur le cas de MINI.

    Sous la direction de BMW, MINI a été ressorti de nulle part en 2001. Le modèle emblématique de Sir Alec Issigonis avait disparu avec le reste de l’industrie britannique après des décennies d’histoires.

    Aujourd’hui, le MINI allemand est souvent cité en exemple pour la réussite du design neo-retro et du développement d’un concept de marque et de marketing. MINI a participé à la création de la mode de la personnalisation pour augmenter les tarifs de vente. Tout ce que les autres marques cherchent à reproduire.

    cooper-s-mini

    Et pourtant, si BMW ne communique pas sur les résultats globaux de MINI, il y a fort à parier que la marque n’a pas fait le moindre bénéfice sur ces quatorze dernières années (un beau clin d’œil à la précédente génération !). Si l’on compte la totalité des investissements réalisés par BMW depuis que l’idée a germé, il est fort possible que les Allemands n’aient pas gagné le moindre euro (ou la moindre livre).

    Et c’est sans doute la raison des récentes décisions : des MINI de plus en plus grosses et des BMW aux seules roues avant motrices. Après plus d’une décennie réussie sur le plan commercial, mais sans profit, il était temps de donner la main aux financiers, plutôt qu’aux gardiens du temple.

    En ne vendant qu’un peu plus de 300 000 exemplaires, en majorité des citadines, MINI ne peut pas être profitable en tant que marque autosuffisante. Car même si les MINI sont parmi les plus chères du marché, BMW voudrait que le tarif payé par les clients soit encore supérieur. C’est la raison pour laquelle les MINI vont devenir de plus en plus maxi dans les années à venir. C’est aussi la raison pour laquelle les plus petites BMW vont partager de plus en plus d’éléments de MINI.

    Histoire de profiter de nouveaux profits…

  • 24 Heures du Mans : et maintenant Ford ?

    24 Heures du Mans : et maintenant Ford ?

    L’ACO laisse entendre que trois constructeurs travaillent à un retour aux 24 Heures du Mans. Petit tour d’horizon de ce qu’il se dit en ce moment dans la Sarthe !

    La fausse arrivée de Ferrari
    Il y a un an jour pour jour, tout le monde était convaincu que Ferrari allait annoncer le développement d’une LM P1 pour un engagement à très court terme. J’ai vu Fernando Alonso (à l’époque pilote de la Scuderia) se balader dans le paddock et Luca di Montezemolo a donné le départ de la course… Et rien ! Le patron a dû quitter ses fonctions en septembre et l’Espagnol a lâché Ferrari. On attend toujours.

    BMW travaille
    Selon la presse allemande, BMW travaille sur un projet à moyen ou long terme. Face aux autres constructeurs allemands, la marque bavaroise n’a pas de grand programme sportif pour porter son image dynamique. Mais les hommes du M seront encore un peu partout cette semaine dans la Sarthe pour tout regarder.

    Ford pour vendredi ?
    Bill Ford donnera le départ de la 83e édition des 24 Heures du Mans ce samedi à 15h00… Et surprise, j’ai été invité à suivre une conférence de presse de Ford Performance ce vendredi à 15h00 conduite par le Président Executif de Ford, en compagnie de Mark Fields, PDG, et Raj Nair, Vice Président en charge du développement produit, ainsi que des « invités exceptionnels ». Si l’exemple de Ferrari ne nous avait pas un peu refroidi, on annoncerait déjà le retour de Ford en 2016 pour célébrer les cinquante ans de la première victoire de la GT40 !

  • BMW annonce sa nouvelle Art Car – #BMWArtCar

    BMW annonce sa nouvelle Art Car – #BMWArtCar

    Depuis quelques jours, dont un petit tweet bien discret émis ce midi par le groupe BMW, la marque BMW a annoncé l’arrivée future d’une nouvelle Art Car.

    Pour rappel, la dernière Art Car date de 2010 et avait été créée par l’Américain Jeff Koons. Cette même année, elle participait aux 24 heures du Mans, sans succès réel, si ce n’est celui de la popularité.

    Cette fois, aucune info précise ne sort réellement des bureaux de BMW. On attend donc avec hâte l’arrivée de la Art Car millésime 2015, sans connaître le modèle BMW utilisé, ni l’artiste choisi. Qui rejoindra les prestigieux Alexander Calder, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, Frank Stella, et Andy Warhol, pour ne citer qu’eux? Côté muse, n’oublions pas la M6 GT3 arrive l’an prochain.

    Peu importe quelle BMW sera l’élue, j’attends. Avec impatience.

     

     

     

  • Une bonne dose de talent autour de la BMW 3.0 CSL Hommage

    Une bonne dose de talent autour de la BMW 3.0 CSL Hommage

    Le patrimoine des constructeurs regorge de modèles vraiment emblématiques. Quasiment la totalité des marques tentent de se servir de cet héritage pour se valoriser… C’est le cas, avec une immense réussite, de BMW avec sa série Hommage.

    Il y avait eu la M1, la 328, il y a maintenant la 3.0 CSL ! Comme ses devancières, cette Hommage a été dévoilée lors du Concorso d’Eleganza Villa d’Este.

    bmw-30-csl-hommage-villa-deste bmw-30-csl-hommage-sport

    Modèle phare des années 1970, devenue une icône bavaroise, la Coupé Sport Leichtbau (pour Coupé Sport Leger) était un concentré de solutions empruntées à la compétition. Avec cette version 2015, BMW montre également sa capacité à rééditer ses plus belles réalisations dans un style très actuel.

    On a senti la marque très fière lors de la présentation, en particulier Adrian van Hooydonk, vice président de BMW Group Design, qui n’a pas hésité à avouer que ce concept était important pour définir le futur design de la marque. A vous de choisir si vous voulez voir d’imposants haricots perforer le bouclier avant…

    bmw-30-csl-hommage-villa-deste-1970 bmw-30-csl-hommage-concept bmw-30-csl-hommage-concept-2

  • Darwinisme : BMW Série 3

    Darwinisme : BMW Série 3

    Une longue histoire commencée à Munich en 1975… Il y a quarante ans. La toute première BMW Série 3 arrive sur le marché pour remplacer la BMW 2002. A cette époque, la Type E21 est une petite berline deux portes. En 2015, elle se décline en de nombreuses carrosseries avec la même touche.

    Signées par le Français Paul Bracq, les BMW 316, 318, 320 et 320i sont des succès. Et avec ses 125 chevaux, la BMW 320i propose le moteur à injection le plus performant de sa génération.

    bmw-serie-3-e21

    En 1979, un premier restylage permet le lancement d’un premier cabriolet. Entre 1975 et 1983, la Type E21 se vend à 1,3 milllion d’exemplaires.

    bmw-serie3-e30

    Lancée en 1982, la Type E30 élargit l’offre : une berline, un coupé, un break, un cabriolet et même une déclinaison compétition M3. Cette dernière est si appréciée que BMW lance la production d’un modèle de production… La M3 est également accompagnée par la 325iX qui inaugure la transmission à 4 roues motrices, il y a plus de 25 ans.

    bmw-serie-3-e36

    De 1991 à 1998, l’E36 change plus radicalement la forme de la Série 3. Les berline, break, coupé et cabriolet sont rejoints par une Compact. Ces déclinaisons sont les mêmes pour le changement de millénaire avec la E46 qui permet aux Série 3 d’atteindre 10 millions d’exemplaires.

    bmw-serie-3-e46

    A partir de 2007, la cinquième génération E90, E91, E92 et E93 est recentrée avec l’abandon de la Compact pour laisser sa place à une Série 1 de plus en plus importante chez BMW.

    bmw-serie-3-e90

    Depuis 2012, la F30 abandonne les coupés et cabriolets devenus Série 4. Mais la berline et le break voient arriver une nouvelle carrosserie : Gran Turismo, une nouvelle forme de berline aux dimensions inédites.

    bmw-serie-3-f30

    En quarante ans, 14 millions de Série 3 ont été vendues. Et elle représente encore un tiers des ventes de BMW dans le monde.

  • Les 24 Heures du Mans 2017 avec BMW ?

    Les 24 Heures du Mans 2017 avec BMW ?

    Audi, Porsche, Toyota, Nissan… Et bientôt BMW ? Auto Motor und Sport publie aujourd’hui un reportage sur le projet d’une LM P1 frappée de l’hélice.

    Tandis que l’Allemagne du sport automobile se retrouve en ce moment autour de la Nordschleife, Auto Motor und Sport fait étalage de mois de rumeurs. BMW est-il en train de préparer une LM P1 pour participer aux 24 Heures du Mans 2017 ?

    Des ingénieurs BMW étaient présents dans le paddock de la classique mancelle en 2013 et 2014. Forcément, ils pouvaient affirmer qu’ils travaillaient sur un éventuel engagement en GT avec leur Z4… Mais l’idée était bien plus sérieuse.

    Tout d’abord parce que BMW n’a plus aucun programme officiel mondial. Evidemment, la marque est largement représentée en Compétition-Clients à travers la petite Formula BMW, la M235i Racing et la Z4 GT3, et par des équipes semi-officielles avec la Z4 GTLM et la M4 DTM.

    bmw-v12-lmr-24h

    Là où Mercedes (F1) et Audi (Le Mans) gagnent, BMW est absent. Il devient donc nécessaire d’imaginer rapidement un retour en compétition. Il y a la F1, le rallye et l’endurance… Parmi ces trois solutions, Le Mans aurait déjà eu les faveurs des Bavarois.

    Toujours selon Auto Motor und Sport, BMW porterait ainsi sa marque « i ». Côté ACO, on se borne à se satisfaire de contacts avancés avec deux constructeurs, sans jamais les citer.

    Plusieurs questions peuvent alors être posées. Aujourd’hui, BMW Motorsport n’a pas la capacité de produire une LM P1. Le programme va-t-il être lancé pour 2017 avec l’engagement d’une nouvelle équipe technique ou le développement passera-t-il par un partenaire ?

    En 1999, date de la dernière victoire de BMW dans la Sarthe, Williams avait été au cœur de la création de la V12 LMR… L’équipe de Grove est actuellement est étroite liaison avec Porsche. Sauber aurait pu être une solution, mais Audi collabore déjà avec l’équipe suisse. Reste une opportunité avec McLaren, sauf si Honda s’empare d’une partie significative du capital très prochainement.

  • Une troisième « Hommage » par BMW

    Une troisième « Hommage » par BMW

    Après la M1 en 2008 et la 328 en 2011, BMW va présenter une nouvelle réalisation de sa série « Hommage » lors du prochain Concorso d’Eleganza Villa d’Este avec une réinterprétation de l’extraordinaire 3.0 CSL.

    En attendant le vendredi 22 mai, BMW a dévoilé une unique image pour nous faire saliver. Et d’ici là, retour sur les magnifiques M1 Hommage et 328 Hommage !

     

  • Une nouvelle BMW Série 7 à l’accent vintage ?

    Une nouvelle BMW Série 7 à l’accent vintage ?

    Les anciennes BMW sont très à la mode de nos jours. E21, E30, E12, E28, E23… Ce look, avec la calandre projetée vers l’avant par le capot, est très prisé sur le marché des Youngtimers. Le premier dessin des G11 et G12 peut faire croire à un clin d’œil.

    Si BMW communique actuellement sur les grandes innovations technologiques de son futur vaisseau amiral, le coup de crayon qui doit laisser apparaître la silhouette de cette nouvelle Série 7 m’a clairement fait penser à une descendante de E23.

    bmw-733i-e23

  • Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Certains films sont cultes. OSS 117, le grand détournement, le vélo de Ghislain Lambert, The Big Lebowski, Retour vers le futur et Dikkenek. Ce drôle de film réalisé par le Belge Olivier Van Hoofstadt met en scène des acteurs de haut vol dans leur domaine. Au programme, François Damiens, Jean-Luc Couchard, Jérémie Rénier, Florence Foresti, Catherine Jacob, Dominique Pinon, Marion Cotillard et Mélanie Laurent jouent leur rôle dans un scénario des plus loufoques. Ce film, qui se joue entre Bruxelles et Anderlecht, nous permet de voir une BMW 2002 turbo, modèle rare au cinéma.

    Produit de 1973 et 1975, la BMW 2002 Turbo est mue par un 4 cylindres 1,990 cc à injection, gavé du turbo KKK, développant 170 ch. La 2002 Turbo est une propulsion, équipée d’une boîte manuelle à 4 vitesses. D’extérieur, la 2002 T est blanche, bardée de liserés bleus turquoises, bleus marine et rouge, en bas de caisse le tout rappelant les couleurs officiels de M Power et BMW Motorsport. Pour la petite histoire, (et ce n’est pas le cas dans la 2002 Turbo du film), sur le bouclier avant, était inscrit le logotype « 2002 turbo » à l’envers, de façon à ce que le conducteur qui précédait la 2002 T voyait écrit à l’endroit « 2002 turbo » dans son rétroviseur. Tout une histoire à l’époque.

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    Dans ce film, on pourra voir une autre BMW, la 645 CI. On trouvera aussi une Mercedes-Benz, la SLC de Claudy Focan, mais aussi sa Toyota Celica. Une Ford GT40 aura aussi sa place dans le scénario.

     

    Une scène du film a été coupé au montage. La voici, mettant en avant la BMW 2002 Turbo.

    https://www.youtube.com/watch?v=ggCCFUpE69c

  • BMW Z4 GTLM : 40 ans après Sebring 1975

    BMW Z4 GTLM : 40 ans après Sebring 1975

    Samedi dernier, fut révélée une livrée un peu spéciale lors du Amelia Island Concours d’Elegance, dans le nord de la Floride. A l’occasion des 40 ans de la 1ère victoire de BMW Motorsport à Sebring en 1975, la BMW Z4 GTLM officielle de BMW of North America revêtira une livrée hommage à la BMW 3.0 CSL, identique à celle de la victoire de 1975. Fond blanc, aux lignes bleues, bleues marine, rouge, les couleurs sont caractéristiques à BMW Motorsport. Pour l’occasion, cette Z4 un peu spéciale portera d’ailleurs le même numéro qu’à l’époque, le 25. Le rendu est du plus bel effet.

    DCIM100GOPROG0040145.

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_02

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_03

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_04

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_06

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_07

    DCIM100GOPROG0050201.

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_09

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_10

    BMW_Sebring_40_BMW Z4 GTLM_11

  • BMW M4 Coupé, safety MotoGP 2015

    BMW M4 Coupé, safety MotoGP 2015

    L’an dernier, elle était blanche. Cette année, elle est noire. Il s’agit de la BMW M4 Coupé, qui officiera en tant que safety car au zénith de la compétition moto : le MotoGP. La stratégie est la même que l’an dernier, à savoir occuper l’espace de BMW Motorrad alors que la marque n’est pas engagée officiellement dans la compétition MotoGP.

    BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 05 BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 11 BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 06 BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 09 BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 08 BMW M4 Coupé safety car motoGP 2015 _ 10