Catégorie : Blog

  • AUTOcult.fr et MINI sur le podium du Hoppeland Carto !

    AUTOcult.fr et MINI sur le podium du Hoppeland Carto !

    107 engagés pour le 1er Hoppeland Carto – une deuxième place finale pour la MINI John Cooper Works qui nous avait été confiée par MINI France – 170 kilomètres les yeux grands ouverts, autant sur le road book que sur la route – la pluie, la nuit – MERCI !

    15h30 – Rendez-vous à l’Estaminet Nouveau St-Eloi. Le parking de la longue bâtisse ressemble à une rencontre de passionnés d’automobiles. Une Trabant attire les regards. Son équipage vient de boucler le Rallye Monte-Carlo historique et le Rallye Neige et Glace à son bord. Notre MINI John Cooper Works côtoie des modèles plus classiques, dont de toutes petites MINI, et les voitures de la catégorie « Rally Look-Alike » attirent. Les Ford Escort, Opel Manta, Audi quattro sont parmi les plus prisées des photographes.

    16h00 – Breifing. L’ambiance change en quelques secondes. Bruno Brissart – un copilote d’expérience que l’on a vu évoluer aux côtés de François Chatriot, Yves Loubet ou François Duval – prend la parole. Deux cents personnes s’amassent autour de lui pour écouter. Celui qui porte le projet de ce 1er Hoppeland Carto résume l’épreuve pour les quelques novices, dont je fais partie.

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 133

    Road Book en main, le copilote doit mener son pilote sur la bonne route. Précision utile, une case de road book se lit du point vers la flèche. (C’est un détail, mais ça va nous coûter une belle séance de jardinage !) Un carnet de bord sera remis à l’équipage au départ. De petits panneaux affichant une lettre ou un chiffre sont disséminés tout au long du parcours. Il suffit de les reporter sur le fameux carnet de bord. Attention, seuls les panneaux placés à droite de la route sont à prendre en compte ! Pour départager les éventuels ex-aequo, quelques cases sont présentées sans les kilométrages. Il faudra simplement les indiquer à 100 mètres près.

    Le barème des pénalités est simple : une lettre ou un chiffre manqué, c’est 50 points. Une lettre ou un chiffre inventé, c’est 100 points. Et chaque centaine de mètres d’écart sur les kilométrages coûte 20 points.

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 123

    16h45 – C’est parti ! Victime de son succès avec une centaine de voitures pour une cinquantaine espérée, le rallye est lancé sans prendre en compte les numéros de course. Avec notre numéro 37, traditionnel pour une MINI en compétition, nous partons parmi les premiers pour profiter d’un maximum de lumière durant la première boucle de 90 kilomètres.

    Le départ n’est donné qu’à partir de la case 2… Nous partons donc avec un écart de 110 mètres par rapport à notre compteur. Changement de direction à droite. 200 mètres plus loin, à gauche. 120 mètres après, tout droit. 400 mètres et tout droit… Le premier kilomètre est déjà passé.

    Mais qu’est-ce qui peut se passer dans notre petite tête lorsque l’on prend le départ de n’importe quel type d’épreuves pour que ça se termine à chaque fois par un podium ?

    107 équipages étaient inscrits, dont une trentaine dans la catégorie Toertimer (moderne). Malgré notre relative inexpérience, l’ambition est de terminer au moins dans le top 10 des voitures de moins de vingt ans. Et comme à chaque fois, ce serait quand même bien de terminer sur le podium !

    17h05 – Les dix premiers kilomètres sont avalés. Je partage mon inexpérience avec Jean-Charles. Nous n’avons pas encore vu la moindre lettre ou le moindre chiffre sur le côté droit de la route. Est-ce que l’on aurait déjà raté les premiers ? En bon copilote, il tempère… Ne pas avoir croisé de premier « test » en tout début de course n’a rien d’anormal sur un parcours de 190 km.

    17h30 – Tout me semble trop facile. On roule. Jean-Charles lit les cases, j’exécute. Pas de piège, pas d’erreur… J’imagine déjà des pièges supplémentaires pour une prochaine participation ! Nous passons à Saint-Omer, à une quarantaine de kilomètres du départ.

    18h00 – La lumière commence à décroître. Nous notons les quelques lettres et chiffres parfois un peu cachées. Ça se joue surtout dans les changements de direction. A quelques centaines de mètres d’un contrôle de passage situé dans un café, les questions se multiplient dans la MINI… Le plus simplement du monde, la route n’est plus vraiment représentative du road book (ou l’inverse !). Il faut s’arrêter, se rappeler des précédents changements de direction, analyser les cases. Admettons… Mais nous avons parcouru un kilomètre de trop, sans comprendre comment. Face à nous, un contrôle secret des organisateurs ne fait qu’accentuer le stress. Sommes-nous dans le bon sens ? Le carnet est tamponné et nous poursuivons notre route vers « Chez Marcel ». Nouveau coup de tampon et un autre exercice débute.

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 126

    Cette fois, il n’y a plus de cases. Juste une carte. On part et on redescend vers le contrôle secret, à contre-sens des autres concurrents. Stop, demi-tour et retour au café, encore planté ! Il ne fallait pas partir à gauche, mais à droite ! (On ne l’apprendra qu’à la fin, mais c’est là que nous perdons le rallye…). La suite impose une nouvelle gymnastique, le compteur affiche quelques kilomètres de plus que le road book.

    100 kilomètres à écouter un copilote, à scruter le bas-côté pour trouver les indices… Je perds toute ma concentration. Jean-Charles annonce, je rate les changements de direction. Durant quelques kilomètres, le copilote s’occupe autant du pilote que de la route. Il me réveille, me remotive pour continuer. Et dire que je trouvais ça trop facile au départ !

    Virage à droite, freinage. Je crois apercevoir une lettre cachée dans les herbes. Comme quasiment toujours, j’ai réglé mon siège le plus bas possible. Jean-Charles est reculé au maximum pour bénéficier de suffisamment d’espace pour tous ses outils, dont une tablette, sur laquelle il a son road book, sur lequel il pointe repères, kilométrages et diverses informations. Effectivement, dans le bas côté, il y avait bien un « G » à noter. Je remonte mon siège au maximum. C’est l’expérience qui entre : toujours être le plus haut possible pour mieux voir la route et les alentours.

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 140

    Un peu plus loin, changement de direction vers la gauche. Puis à gauche dans 700 mètres… On entre dans une ferme, aucune issue. Demi-tour. La prochaine voie à gauche est 300 mètres plus loin. La case suivante indique un changement de direction à 1 kilomètre. Mais 700 mètres plus loin, nous croisons une départementale. Demi-tour, il faut tout reprendre. Ça ne fonctionne pas. Deuxième tentative, mêmes questions, même problème. Jean-Charles décide d’oublier les dernières minutes et de partir à la recherche de la dernière case validée. Juste avant la ferme, le piège est repéré. La flèche du road book part visuellement vers la gauche, mais le point de départ est situé en haut… Il fallait prendre à droite !

    Déceler un piège, c’est comme une victoire d’équipe !

    La nuit tombe, la pluie aussi… On n’a repéré qu’une unique lettre, ce « G » caché au moment de terminer la boucle. C’est trop peu pour que ce soit effectivement un sans-faute.

    19h40 – Carnet rendu, rendez-vous au buffet : carbonnade flamande frites au menu, nous dînons local. Le départ de la seconde boucle est programmé dès 20h00. Discussions avec d’autres équipages : il n’y avait que deux lettres à trouver entre le café et l’estaminet… Le C qui nous manque était juste après le café. Là où nous nous sommes égarés !

    20h15 – C’est déjà le moment de repartir. Il ne pleut plus. Un coup d’œil sur la quantité de carburant restante. La consommation est inférieure à 10 litres / 100 km, ça nous permettra de nous perdre durant quelques heures !

    21h00 – Le parcours est totalement différent. J’avoue être totalement perdu à suivre les cases dictées par Jean-Charles. Lui connaît cette région pour avoir participé au Hoppeland Rally avec une Triumph Dolomite, ou encore au Rallye des Routes du Nord ou des Flandres. D’une route à l’autre, il cite le nom des spéciales, prévient des pièges très connus.

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 108

    21h40 – Malheureusement, tout le monde n’a pas la chance d’avoir un copilote aussi expérimenté ! Jean-Charles m’annonce un piège, j’arrive au pas au moment d’apercevoir plusieurs voitures garées. Une Ford Fiesta ST est échouée loin sur un talus et plusieurs autres concurrents essaient de la remettre sur la route. On apprendra plus tard que seule une attache de pare-chocs a cédé… Ouf, car ça paraissait moche.

    21h50 – A proximité d’un village, des voitures roulent dans tous les sens. Ça fait demi-tour, ça part à gauche, à droite. Tout le monde jardine. Jean-Charles affirme qu’il faut aller à droite. On s’arrête, on regarde. Dans l’instant, on remarque le piège… Des cases sont inversées sur la page. Il ne faut pas les suivre horizontalement, mais passer d’un numéro de case à un autre. Là encore, c’est une grande joie d’avoir remarqué le piège !

    22h00 – Les organisateurs nous ont remis une page supplémentaire au moment du départ. Le road book initial est modifié par cet additif à cause d’une route barrée par des travaux. Ce n’est pas fait exprès, mais ça va compliquer notre tâche. Toute cette portion est présentée sans le moindre kilométrage qu’il faut écrire nous-même, à la centaine de mètres près.

    L’exercice demande une attention encore supérieure, mais tout semble parfaitement se passer… Mais au moment de retrouver la première case kilométrée, le différentiel est de trois kilomètres ! En ayant eu l’impression de faire un passage parfait, nous avons « raté » trois kilomètres. La MINI est à nouveau garée. Sur un bloc-notes, on calcule et on recalcule. Pour gommer la différence, nous décidons de réajuster la vingtaine de cases pour gommer ces trois kilomètres… C’est reparti !

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 144

    22h30 – Un éclair dans la voiture… S’il y avait un différentiel de trois kilomètres, c’est que le parcours avait été modifié par un additif. Il est donc tout à fait possible que le parcours officiel soit 3 km plus court ! Séance de « décalcul » pour revenir aux données initiales !

    23h00 – C’est l’arrivée… Un dernier contrôle de passage avant le dernier virage. Une MINI classique est arrêtée à cet endroit, alternateur en panne. Elle finira tractée par un autre concurrent. Au moment de rendre le carnet de route, on nous demande de répondre à une question : quelle était la distance entre deux cases (là où il fallait noter les kilométrages). La soustraction donne 6,08 kilomètres.

    Tout le monde se regroupe dans l’Estaminet. La fatigue se lit sur les visages. Les équipages arrivent, jusqu’à la voiture balais. La remise des prix peut débuter…

    Les trois premiers de chaque catégorie sont récompensés. Des plus anciennes voitures aux plus récentes… Les Toertimers arrivent et nous sommes deuxièmes avec une unique pénalité de 50 points, le fameux C manqué ! Quant au kilométrage, la réponse était 6,025 km.

    Au classement général, seul le vainqueur du Toertimer est réalisé un sans faute. Nous sommes donc aussi deuxième ex-aequo, sur 107 engagés !

    Hoppeland Rally Carto - MINI John Cooper Works - MINIHoppeland - 145

     

  • Bugatti Chiron : Extrême limite !

    Bugatti Chiron : Extrême limite !

    Même absent, Ferdinand Piëch continue de porter l’aventure Volkswagen… N’est-ce pas lui qui a voulu la renaissance de Bugatti, n’est-ce pas lui qui a contraint les équipes du constructeur alsacien à atteindre 400 km/h avec la Veyron ? Et n’est-ce pas grâce à lui que les impressionnantes capacités de la Veyron ont dû être dépassées par la Chiron ?

    Il y a dix ans, Bugatti retrouvait des couleurs (le bleu surtout) avec l’apparition d’une voiture extraordinaire. Fruit de l’obsession de Piëch, la Veyron affichait 1 000 chevaux lors de sa présentation, pour finir avec de multiples versions à 1 200 chevaux.

    Pour lui succéder, il fallait faire encore mieux. Et cette Chiron pousse encore un peu plus le concept : 1 500 chevaux tirés d’un moteur W16 de 8,0 litres de cylindrées gavés par quatre turbocompresseurs avec un double injection directe et indirecte.

    Le couple sorti atteint 1 600 Nm à faire passer aux quatre roues motrices par l’intermédiaire d’une boîte de vitesses à double embrayage et sept rapports.

    Il suffit de 2,5 secondes pour atteindre 100 km/h, 6,5 secondes pour être à 200 km/h et 13,6 secondes pour afficher 300 km/h ! La vitesse de pointe est limitée à 380 km/h, mais Bugatti promet une pointe à 420 km/h… Pour débloquer ce bonus, il faut demander une seconde clé qui ne sera délivrée qu’en cas de projet bien précis avec une piste adéquate.

    500 Bugatti Chiron seront produites à Molsheim, en Alsace. Plus de 150 seraient déjà réservées à un tarif de base fixé à 2,88 millions d’euros en France.

    Pourquoi Chiron ?

    A l’image de la Veyron qui rendait hommage à Pierre Veyron, un pilote des années 1930 qui a remporté les 24 Heures du Mans 1939 au volant d’une Bugatti Type 57C avec Jean-Pierre Wimille, cette nouvelle Bugatti reprend le nom de Louis Chiron, un pilote Monégasque.

    louis-chiron

    Louis Chiron n’est pourtant pas qu’un pilote Bugatti. Certes, il a conquis ses premiers podiums en T35 puis T51, mais on l’a surtout vu chez d’autres constructeurs, italiens notamment.

    Bugatti avait déjà utilisé le nom Chiron en 1999 lors de la révélation du prototype EB18/3 Chiron au Salon de Francfort. Il avait été l’ultime étude avant la Veyron avec un châssis de Lamborghini Diablo, un moteur 18 cylindres et une silhouette définie par ItalDesign.

    bugatti-eb-18-3-chiron

  • A la hâte (encore!), Renault révèle son Scenic

    A la hâte (encore!), Renault révèle son Scenic

    On entend -déjà- en parler : « grosse Clio », « gros Captur », « petit Espace ». On ne semble pas se tromper. Ceci étant, on peut dire que le nouveau Scenic ressemble à tout cela. D’extérieur, de nombreux détails marquent Scenic au sein de la gamme Renault :

    – la signature lumineuse en C
    – vitres latérales en vagues
    – vagues en bas de porte
    – losange dominant au centre de la calandre

    Tous ces codes sont plus ou moins présents sur l’ensemble de la gamme : de Clio à Espace, via Mégane et Kadjar.

    Aussi, la première photo de ce nouveau Scenic a fuité, tout comme ça l’avait été pour les premiers clichés de Mégane 4. Renault entretiendrait-elle ses fuites ? Changez d’plombier.

    Aucune info complémentaire, si ce n’est que Scenic sera produit à Douai, le communiqué de presse publié ce matin a été publié en urgence, afin de rattraper la fuite.

    Nouveau Renault Scenic 2016 - 01
    Nouveau Renault Scenic 2016, qui sera présenté par Carlos Ghosn début mars au salon de Genève.
  • Le Top 20 de Francfort, vu par les Allemands !

    Le Top 20 de Francfort, vu par les Allemands !

    Francfort est ouvert au public depuis ce week-end et vous avez déjà tout vu du plus grand (en termes de m2) salon automobile mondial. Vous êtes peut-être sevré après avoir aperçu toutes les magnifiques nouveautés françaises « qui n’ont pas à rougir de la débauche de moyens affichés par les marques allemandes » comme ça a pu être présenté à la télévision… J’ai ouvert Autobild pour savoir comme les Allemands classaient les nouveautés de « leur » salon et si les Français avaient leur place, justement !

    Pour simplifier, Autobild est l’Autoplus allemand. Les présentations sont faites ? C’est parti !

    Deux notations sont données
    Cœur : l’idée de la voiture, son dessin
    Tête : la technique, l’ingénierie, l’habitacle, éventuellement le tarif
    Et une moyenne fait le classement.

    20e : Citroën Cactus M (42,5%)
    Cœur 75 %
    Tête 10 %

    iaa2015-citroen-cactus-m

    19e : Borgward BX 7 (45 %)
    Cœur 50 %
    Tête 40 %

    iaa2015-borgward-bx7

    18e : Nissan Gripz Concept (47,5 %)
    Cœur 85 %
    Tête 10 %

    iaa2015-nissan-gripz

    17e : Rolls-Royce Dawn (50 %)
    Cœur 90 %
    Tête 10 %

    iaa2015-rolls-royce-dawn

    16e : Infiniti Q30 (52,5 %)
    Cœur 65 %
    Tête 40 %

    iaa2015-infiniti-q30
    15e : Renault Mégane (55 %)
    Cœur 55 %
    Tête 55 %

    iaa2015-renault-megane

    14e : Seat Leon Cross Sport (57,5 %)
    Cœur 80 %
    Tête 35 %

    iaa2015-seat-cross-sport

    13e : Toyota Prius (60 %)
    Cœur 20 %
    Tête 100 %

    iaa2015-toyota-prius

    12e : Bentley Benteyga (62,5 %)
    Cœur 125 %
    Tête 0 %

    iaa2015-bentley-bentayga

    11e : Mercedes C63 Coupé (65 %)
    Cœur 85 %
    Tête 45 %

    iaa2015-mercedes-c63-coupe

    10e : Opel Astra Sports Tourer (67,5 %)
    Cœur 45 %
    Tête 90 %

    iaa2015-opel-astra-sports-tourer

    9e : Alfa Romeo Giulia (72,5 %)
    Cœur 85 %
    Tête 60 %

    iaa2015-alfa-romeo-giulia

    8e : Mazda Koreu (75 %)
    Cœur 95 %
    Tête 55 %

    iaa2015-mazda-koreu

    7e : Mercedes IAA Concept (77,5 %)
    Cœur 70 %
    Tête 85 %

    iaa2015-mercedes-iaa

    6e : Volkswagen Tiguan (80 %)
    Cœur 75 %
    Tête 85 %

    iaa2015-volkswagen-tiguan

    5e : Audi e-tron quattro (82,5 %)
    Cœur 90 %
    Tête 75 %

    iaa2015-audi-e-tron-quattro

    4e : Kia Sportage (85 %)
    Cœur 90 %
    Tête 80 %

    iaa2015-kia-sportgage

    3e : BMW Série 7 (90 %)
    Cœur 80 %
    Tête 100 %

    iaa2015-bmw-serie-7

    2e : Jaguar F-Pace (95 %)
    Cœur 100 %
    Tête 90 %

    iaa2015-jaguar-fpace

    1ere : Porsche Mission E (100 %)
    Cœur 100 %
    Tête 100 %

    iaa2015-porsche-mission-e-electrique

  • Lisbonne en side-car

    Lisbonne en side-car

    Un peu d’évasion chez AUTOcult.fr. Il est bien rare que nous mettons en avant un service proposé par un tiers. Hormis l’automobile en elle même bien sur. Cette fois, direction le Portugal, ou plutôt sa capitale. Là, l’hôtel Four Seasons Hotel Ritz Lisbon met à la disposition de ses clients un side-car, son chauffeur et un photographe professionnel pour profiter au mieux d’une balade dans un trois-roues d’époque. Durant quatre heures, on peut donc profiter des conseils du photographe, tout en étant guidé et conduit par le pilote local. A nous la course au tram dans les rues étroites et pavées de Lisbonne ou encore, rendez-vous à Belem pour se régaler des célèbres pastéis de nata avec un petit café. Malheureusement, il n’est pas prévu que nous puissions prendre le guidon de ce side-car. Et cela serait presque éliminatoire pour nous. Dommage…

    Lisbon Side Car Four Season

    Lisbon Side Car Four Season

    Lisbon Side Car Four Season

    Lisbon Side Car Four Season

    Lisbon Side Car Four Season

    Lisbon Side Car Four Season 02

    Lisbon Side Car Four Season

    NB: ceci n’est pas un billet sponsorisé.

  • Les plaques d’immatriculation italiennes

    Les plaques d’immatriculation italiennes

    Lors de la rédaction de l’article consacré à la Fiat 500 Giardiniera, je me suis posé la question de savoir à quoi correspondaient les lettres présentes sur la plaque d’immatriculation de cette belle Italienne. Il s’agit là d’un système commun à nos départements, sauf qu’en Italie, ces lettres sont les diminutifs de villes.

    Ces lettres sont apparues le 28 février 1927, lors de la création du « nouveau » code de la route italien. Elles disparaissent en 1994, pour revenir en 1999. Sur les plaques d’immatriculation les plus récentes, ces lettres -qui sont aujourd’hui facultatives- sont situées dans un bandeau bleu, sur la droite de la plaque. Une exception réside tout de même : Rome, diminutif RM, peut être écrite en toute lettre : ROMA.

    Sur la photo illustrant cet article, on voit PZ en début de plaque. Cette Fiat 500 est donc immatriculée à Potenza, en Italie du sud.

    Liste des villes et diminutifs :

    Agrigente – AG
    Alexandrie – AL
    Ancône – AN
    Aoste – AO
    Apuania – AU
    L’Aquila – AQ
    Arezzo – AR
    Ascoli – Piceno – AP
    Asti – AT
    Avellino – AV
    Bari – BA
    Belluno – BL
    Bénévent – BN
    Bergame – BG
    Bielle – BI
    Bologne – BO
    Bolzano – BZ
    Brescia – BS
    Brindisi – BR
    Cagliari – CA
    Caltanissetta – CL
    Campobasso – CB
    Caserte – CE
    Catane – CT
    Catanzaro – CZ
    Chieti – CH
    Côme – CO
    Cosenza – CS
    Crémone – CR
    Crotone – KR
    Coni – CN
    Enna – EN
    Ferrare – FE
    Florence – FI
    Foggia – FG
    Forlì-Cesena – FC
    Frosinone – FR
    Gênes – GE
    Gorizia – GO
    Grosseto – GR
    Imperia – IM
    Isernia – IS
    Latina – LT
    Lecce – LE
    Lecco – LC
    Littoria – LT
    Livourne – LI
    Lodi – LO –
    Lucques – LU
    Macerata – MC
    Mantoue – MN
    Massa Carrara – MS
    Matera – MT
    Messina – ME
    Milan – MI
    Modène – MO
    Naples – NA
    Novare – NO
    Nuoro – NU
    Oristano – OR
    Padoue – PD
    Palerme – PA
    Parme – PR
    Pavie – PV
    Pérouse – PG
    Pesaro-Urbino
    Pescara – PE
    Plaisance – PC
    Pise – PI
    Pistoia – PT
    Pordenone – PN
    Potenza – PZ
    Prato – PO
    Ragusa – RG
    Ravenne – RA
    Reggio de Calabre – RC
    Reggio d’Émilie – RE
    Rieti – RI
    Rimini – RN
    Rome – ROMA ou RM
    Rovigo – RO
    Salerne – SA
    Sassari – SS
    Savone – SV
    Sienne – SI
    Syracuse – SR
    Sondrio – SO
    La Spezia – SP
    Tarente – TA
    Teramo – TE
    Terni – TR
    Turin – TO
    Trapani – TP
    Trente – TN
    Trévise – TV
    Trieste – TS
    Udine – UD
    Varèse – VA
    Venise – VE
    Verbano-Cusio-Ossola – VB
    Verceil – VC
    Vérone – VR
    Vibo Valentia – VV
    Vicence – VI
    Viterbe – VT

  • A la hâte, Renault révèle sa nouvelle Mégane

    A la hâte, Renault révèle sa nouvelle Mégane

    Avec quelques jours d’avance et suite à l’énorme fuite des clichés sur le blog italien Carpassion.it (voir en fin d’article), Renault révèle sa nouvelle Mégane à la hâte. On sent bien qu’ici, Renault la fait light pour rattraper la chose. Il faut dire que ce modèle emblématique de la gamme ne devait être présenté que la semaine prochaine, lors du salon de Francfort.

    Malgré ce raté, Renault n’arrête pas ces derniers mois, présentant ses modèles sur un rythme effréné. Il y eut l’Espace, Kadjar, Talisman et Talisman Estate avant cette Mégane. On trouve là une Mégane changée, aux proportions nouvelles, plus basse de 25mm, plus large à l’avant de 47mm et de 39mm à l’arrière et un empattement nouveau, augmenté de 28 mm en comparaison à la génération précédente. Le style est en lien direct avec celui de la Talisman, avec entre autres, les feux avant en « C » ou à l’arrière, les feux qui se rejoignent autour du losange.

    Le modèle présenté est ici celui de la ligne GT. Le haut de gamme chez Mégane pour le moment (exit la finition Initiale Paris?) et il y a fort à parier que la version R.S. ne tardera pas à arriver. Cela dit, on peut dire que pour une fois, la version GT a un style sportif.

    Pour le moment, aucune annonce quant aux motorisations et finitions. Rendez-vous semaine prochaine, à Francfort.

    Ici, les photos révélées par le blog italien :

  • Chantilly 2015 : Porsche 911 Carrera RS 2.7 Touring

    Chantilly 2015 : Porsche 911 Carrera RS 2.7 Touring

    Das Porsche ! Car, selon les lecteurs de Flat 6, point de 356, de 550 Spyder ou de 959 (ni de Cayenne) pour nommer celle qui incarne le mieux Porsche. La référence est la 911 Carrera RS 2.7 Touring.

    Comme pour beaucoup de modèles emblématiques, c’est la compétition qui va être la cause de son développement. Au cœur d’une crise pétrolière, les fédérations sportives modifient leurs règlements. Pour éviter l’engagement de prototypes toujours plus fous, les nouvelles voitures de course doivent être (plus ou moins) étroitement dérivées de modèles de série. L’idée est de contraindre les équipes à suivre les efforts que font tous les constructeurs pour produire davantage en phase avec les besoins des marchés.

    Si certains décident de développer des modèles basés sur leurs voitures déjà en vente, les plus ambitieux décident d’emprunter le chemin inverse. Chez Porsche, on établit les plans de sa nouvelle ‘Groupe 4’ pour concevoir la voiture de série qui permettra son homologation.

    porsche-911-carrera-rs-27-touring-duck

    La Porsche 911 Carrera RS est présentée en octobre 1972. Et même si Stuttgart n’a travaillé qu’en pensant à la compétition, les délais et les budgets ont obligé à se reposer largement sur la 2.4 S.

    Extérieurement, le détail immanquable est l’apparition d’un aileron en forme de queue de canard au dessus du coffre. Pour se démarquer, la Carrera RS affiche également une présentation bicolore qui accompagne les jantes Fuchs et la signature Carrera sur le flanc.

    Les 500 exemplaires nécessaires à l’homologation s’écoulent rapidement. Mais les acheteurs continuent de demander une production supplémentaire. Les Light et les Sport de la première série sont suivies par des Touring moins spartiates, où la tôle remplace les parties de carrosserie en polyester.

    Plus de 1 000 Touring, plus lourdes, sont distribuées. Et face au succès des Carrera RS, Porsche profite de cette nouvelle version pour homologuer une Groupe 3 moins performante et moins chère.

    Adorée par les Porschistes, la Carrera RS 2.7 a largement été victime de la spéculation. En dix ans, les tarifs ont augmenté de 700 % sur les versions Light. Un collectionneur britannique affirme même avoir ajouté 200 000 euros au tarif du modèle qu’il proposait au lendemain de la vente aux enchères record à 1,3 million d’euros début 2014. Portée par cet emballement, sa RS s’est vendue au prix fort, immédiatement !

  • Chantilly 2015 : Shelby Cobra 289

    Chantilly 2015 : Shelby Cobra 289

    Pilote amateur au début des années 1950, Carroll Shelby s’est rapidement fait un nom sur les circuits américains. Auteur de plusieurs records de vitesse, il a même participé à huit Grands Prix de F1 (dont certains avec Aston Martin !) et s’est imposé au Mans en 1959.

    Victime de problèmes cardiaques, il mettait un terme à sa carrière de pilote au terme de la saison 1959. Son rêve était alors de concevoir sa propre voiture de course. Il devient donc importateur américain du constructeur britannique AC Cobra. En quête d’un nouveau moteur depuis l’arrêt de la production du 2 litres dérivé de celui de la BMW 328 d’avant-guerre, AC Motors se laisse convaincre par Shelby de monter un V8 small block.

    Avec l’ambition de proposer une voiture capable de concurrencer les nouvelles Corvette, Ford fournit deux moteurs à Carroll Shelby. Après un premier test au Royaume-Uni, un châssis de AC est envoyé en Californie le 2 février 1962. À Santa Fe, l’équipe de Shelby installe le V8 et sa transmission en moins de huit heures. La voiture roule dans la journée !

    shelby-cobra-289-v8

    Les modifications restent mineures pour encaisser la puissance du moteur américain. En quelques semaines, la production débute. AC envoie les caisses peintes, sans moteur ni transmission. Aux États-Unis, le V8 4,3 litres est installé sur les 75 premiers modèles… Et un V8 4,7 litres (289 pouces cube) arrive pour les 51 suivants. En 1963, la voiture évolue avec des pièces venues de Coccinelle et de MGB. Un peu plus de 500 Cobra sont distribués.

    Mais Shelby veut surtout voir sa voiture gagner en piste. Il l’engage aux États-Unis et gagne toutes les courses, sauf une, en trois ans. Au niveau mondial, les résultats sont moins flatteurs. Dans sa version Roadster, la Shelby Cobra ne peut pas rivaliser sur les circuits les plus rapides.

    Ford pousse alors pour aider le préparateur. Un nouveau V8 6,4 litres est fourni, mais les Ferrari restent intouchables. Pour Henry Ford II, c’est un affront. Après avoir dépensé des millions de dollars pour racheter le constructeur italien avant de voir Enzo Ferrari claquer la porte, le petit-fils du fondateur de Ford veut gagner par tous les moyens. Le travail de Carroll Shelby sur l’AC Cobra mènera l’Ovale Bleu vers un succès historique au Mans, en 1966, avec l’emblématique Ford GT.

  • Le partenariat est aussi une affaire de passion

    Le partenariat est aussi une affaire de passion

    Lorsqu’une marque décide de s’engager aux côtés d’une équipe sportive, il faut espérer qu’un minimum de passion accompagne la démarche. Histoire de se retrouver entre gens de bonne compagnie pour le diner d’après-match… C’est assez important dans un sport de valeurs comme le rugby. N’est-ce pas BMW ?

    Un journaliste sportif du Figaro a partagé une très étonnante photo sur twitter… Il a reçu un communiqué – aujourd’hui – illustré par un visuel mettant en avant Jules Plisson et Maxime Mermoz dans une BMW.

    La tuile, c’est que l’extraordinaire Jules Plisson (c’est peut-être un peu biaisé comme jugement) s’est blessé à l’épaule en avril… Il a manqué la fin de saison du Stade Français (et la conquête du titre) et n’était pas prêt pour intégrer le groupe de 31 destiné à disputer la Coupe du Monde.

    Pour Maxime Mermoz (au volant de la BMW !), c’est une franche décision du sélectionneur prise dès le mois de mai.

    La photo sortie aujourd’hui a donc été prise il y a de nombreux mois. La ressortir ce 26 août (à trois semaines de la Coupe du Monde) est définitivement le fruit d’un bien mauvais timing. Il est évident que c’est le genre de petites bizarreries que tout fan de sport va chercher à remarquer.

    Et que ça n’aurait donc jamais dû passer lors de la validation…

    Ou alors, BMW veut imposer Jules Plisson à PSA, pardon Philippe Saint-André, pour continuer à générer des retombées média :)

  • La Dino n’a jamais vraiment disparu

    La Dino n’a jamais vraiment disparu

    Ce fut la plus petite des Ferrari, elle n’en portait même pas l’écusson au bout du capot… Et pourtant, par son histoire, par ses anecdotes, elle est devenue l’une des plus populaires. Et le plus beau : elle va revenir !

    « La question n’est pas de savoir si, mais de savoir quand ! »

    Les mots de Sergio Marchionne (beaucoup d’autres ont joué avec cette phrase avant lui, rassurez-vous) évoquent le retour prochain du nom et de l’idée Dino chez Ferrari.

    Un mulet a récemment été photographié en Allemagne. Sous la carrosserie d’une 458 Italia, un moteur émettait un son très différent des V8 4,5 litres atmosphérique de la 458 Italia et V8 3,9 suralimenté de la 488 GTB… De quoi imaginer la première application du moteur « Ferrari » V6 3,0 litres biturbo présenté pour l’Alfa Romeo Giulia.

    L’arrière de la 458 Italia dénotait également avec un nouveau dessin des échappements : pas de sortie centrale, mais deux trous de chaque côté, au-dessus de l’extracteur. La longueur sera donc réduite, autant que l’empattement et la taille des portières.

    D’autres détails donnent des pistes… Ce mulet était immatriculé à Heilbronn, dans la région du siège de Bosch que l’on dit largement impliqué dans le développement du fameux V6. La firme allemande aurait participé à la mise en œuvre de la désactivation partielle des cylindres récemment brevetée par le Cheval Cabré et qui pourrait mener vers un design différent de chaque rangée de cylindres pour maximiser les performances selon les régimes.

    Un autre brevet intéressant décrit un turbo qui intègre un moteur électrique destiné à éliminer le temps de réponse et à emmagasiner de l’énergie.

    La petite Ferrari (ou Dino) pourrait donc être un vrai bijou technologique… Mais il faudra sans doute encore attendre une année entière avant d’en avoir un avant-goût !

  • Les chiffres du Land Rover Defender

    Les chiffres du Land Rover Defender

    Dans quelques semaines, une icône de l’industrie automobile va cesser d’être produite. Comme pour la Citroën 2 CV, la Volkswagen Coccinelle ou la MINI, l’arrêt définitif de l’assemblage du Land Rover Defender deviendra un fait historique.

    Conçu après la seconde guerre mondiale, le « Land Rover » (son nom d’origine) était destiné aux fermiers à la recherche d’un 4×4 robuste. En 67 ans, il a tout connu de l’histoire britannique. Lancé sous George VI, il ne survivra pourtant pas à Elisabeth II en fonction depuis 1952.

    Land Rover a décidé de mettre un terme à la production face à l’investissement nécessaire pour aligner son Defender sur les nouvelles normes… Dans quelques mois, l’appellation devrait néanmoins revenir sous les traits d’une sixième génération qui marquera une réelle rupture.

    land-rover-defender-67

    En attendant plus, voici quelques chiffres qui ont marqué l’histoire du Def

    • 24 471 : le nombre de jours de production des Land Rover et Defender
    • 9 000 : le nombre de pièces nécessaires à l’assemblage du Defender
    • 170 : le nombre de marchés dans lequel ils ont été commercialisés
    • 450 : le prix en livres sterling du premier Land Rover vendu
    • 28 820 : le premier prix en euro d’un Defender en France, aujourd’hui
    • 2 050 000 : le nombre de Land Rover et de Defender produit en 67 ans
    • 301328 : le numéro de série de la charnière du capot qui reste inchangé depuis 1947