Catégorie : Constructeurs

  • Nouvelle Renault Twingo : déjà la R.S. en développement

    Nouvelle Renault Twingo : déjà la R.S. en développement

    J’en parlais mi février dernier, je voulais une Twingo Gordini. Mes vœux ont été entendu par les dieux, il semblerait que Renault ait décidé de créer une bombinette à la partir de la citadine. Quelques clichés sont parus chez nos confrères de autoevolution.com. On y aperçoit une Twingo 3 dans une livrée noire et arborant quelques détails intéressants, entre autres la face avant retravaillée et les écopes d’air sur les ailes arrières car rappelons le, le moteur est situé à l’arrière. Mécaniquement, c’est la grande question. Que retrouverons-nous comme moteur sur cette Twingo sportive ? Espérons que ce ne soit pas un trop petit moteur… que Twin’Run ait une descendance ;-)

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    Photos via.

  • Découverte : Infiniti Q50 Eau Rouge

    Découverte : Infiniti Q50 Eau Rouge

    Au Salon de Genève dernier, Infiniti a présenté sa Q50 Eau Rouge. Eau rouge, oui oui, comme le passage du circuit de Spa, en bas du Raidillon. Au programme, 568 ch et 4 roues motrices dans une berline aux jolies formes bodybuildées. Le cocktail parfait pour aller tâter les Audi RS6, BMW M5 et Mercedes E63 AMG S, surtout quand on sait que la partie mécanique provient de la cousine Nissan GTR. Cette belle Japonaise n’en est pour le moment qu’au développement, bien avancé certes. A nous de patienter maintenant. Le temps pourrait paraître long avant d’en croiser une dans nos bourgades.

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  • L’autophilie existe en France !

    L’autophilie existe en France !

    Autophilie est un terme que l’on ne rencontre jamais (dans le contexte automobile !)… Pas une occurrence sur le terme dans les médias ces dernières semaines. Pourtant, et malgré la récente sortie de Carlos Tavarès sur l’autophobie (toujours automobile) qui règne en Europe, la passion qui nous anime est largement partagée !

    Largement partagée et même en progression… Nos grandes épreuves sportives (Les 24 Heures du Mans en tête) sont de plus en plus suivies, les rendez-vous des collectionneurs et des amoureux de mécanique (Rétromobile, Le Mans Classic, Traversée de Paris) rassemblent aussi un public de plus en plus important… Et dans quelques semaines, le Mondial de l’Automobile de Paris battra de nouveaux records.

    Paris, justement. A quelques kilomètres de la Porte d’Orléans, un mythe automobile est en train de redevenir un endroit incontournable.

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    Construit en 1924, l’Autodrome de Linas Montlhéry fut un élément de notre patrimoine avant d’être progressivement « abandonné » à la fin du siècle. Sous une nouvelle forme, il revit depuis quelques années grâce à l’Union Technique de l’Automobile du motocycle et du Cycle (UTAC). Petit à petit, des événements permettent de venir (re)découvrir le magique béton.

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    Parmi ces opérations, l’UTAC a créé les Afterworks Autodrome. Sans aucune prétention et avec le simple objectif de rassembler des amoureux de la voiture, ces rencontres réunissent quelques centaines de passionnés autour d’un thème.

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    Après un rendez-vous Lotus qui avait permis à 200 véhicules de rouler sur l’Autodrome, ce fut au tour de MINI de s’emparer de l’ovale vendredi dernier. Des MINI originales, plus farfelues, autant de nouvelle génération… Et des clubs MX-5 ou BMW Z3 avaient aussi profité de l’occasion pour se dégourdir les jantes.

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    L’événement est gratuit pour les spectateurs, qui profitent de quelques animations avec des quizz et courses de karts à pédales en présence d’un foodtruck.

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    Pas d’autre prétention que de partager une passion… Et c’est bien ça que l’on aime !

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  • Publicité : Renault Clio ou Lancia Ypsilon ?

    Publicité : Renault Clio ou Lancia Ypsilon ?

    Vincent Cassel a fait des apparitions dans deux publicités pour des citadines. Un an avant La Haine, il joue dans un spot pour la Renault Clio de première génération diffusé au Royaume-Uni. Devenu une grande star et mari de Monica Bellucci, il est l’acteur principal d’une publicité pour la Lancia Ypsilon quelques années plus tard.

  • Chevrolet Cruze : une vraie berline à prix cassé ?

    Chevrolet Cruze : une vraie berline à prix cassé ?

    C’est le 5 décembre dernier que General Motors a annoncé sa décision de se retirer d’Europe, afin de limiter la concurrence entre la marque Chevrolet et les constructeurs Opel et Vauxhall. En France, les ventes de Chevrolet n’ont jamais vraiment décollé, et les parts de marché de General Motors se sont réduites année après année, pour se situer aujourd’hui à 8 % dans l’Union Européenne. La marque américaine s’est concentrée essentiellement sur le marché des citadines avec des modèles comme la Spark ou l’Aveo, au détriment des autres produits… La Corvette ? La Camaro ? Les sportives de la marque au « noeud papillon » sont réservées à un public de spécialistes, trop restreint. Non, nous voulons parler ici de la Chevrolet Cruze. La berline familiale, qui constitue le cœur de gamme de la marque, n’a jamais bénéficié d’une exposition digne de son rang. Elle constitue pourtant une excellente auto, et avec les opérations de destockage actuel, son prix est très attractif.

    Chevrolet Cruze : une familiale méconnue en France

    Quatre portes, cinq portes ou break, la Chevrolet Cruze se décline pour s’adapter aux attentes des familles. Proposée à partir d’un peu plus de 17 000 €, la Cruze affiche les prestations d’une familiale au prix d’une compacte. Une recette qui fait merveille à l’échelle internationale, car le modèle a permis de relancer la machine Chevrolet. Modèle le plus vendu aux États-Unis pour Chevrolet (dans sa version 1,4 l turbo), la Cruze a dépassé en 2014 le chiffre des 2 millions d’unités vendues (dont 250 000 pour la seule année 2013 aux Etats-Unis. Pourquoi le succès n’est-il pas au rendez-vous en France ? General Motors a débarqué avec la Cruze initialement avec sa carrosserie tricorps, peu adaptée aux attentes des consommateurs européens que nous sommes. En 2011, le tir a été corrigé avec une Cruze cinq portes dotée de solides arguments.

    Une familiale au prix d’une compacte

    La ligne est fluide et moderne et la présence du hayon ne change en rien la ligne originelle déjà très réussie. Utilisant la plate-forme du groupe General Motors partagée avec les Opel Astra et Zafira, la Cruze se révèle très à l’aise avec sa motorisation 2,0 l VDCI de 163ch. Certains préféreront sans doute le raffinement du moteur Renault dCi 150 ou la puissance d’un TDI allemand, mais la Cruze est aussi discrète en termes sonore que sobre (moins de 7 litres / 100 km). Une voiture confortable et avant tout polyvalente, dont le rapport prestations/prix se veut très compétitif.

    Avec le 1,6 l de 124ch, le niveau d’équipement est déjà très complet (ordinateur de bord, 6 airbags, ESP, climatisation et autoradio MP3), sans faire mal au portefeuille. Avec la fermeture des concessions Chevrolet annoncée, qui interviendra d’ici 2016, « tout doit disparaître » comme on dit. Certains n’hésitent pas à profiter d’offres remisées. Et le SAV ? Les garanties pièces et services sont encore valables pour tout véhicule acheté d’ici à fin 2015 !

  • Citation : Bill Gates

    Citation : Bill Gates

    Lors du COMDEX 1999, Bill Gates, fondateur de Microsoft, a déclaré : « Si General Motors avait fait progresser sa technologie comme celle de l’industrie informatique, nous conduirions tous des voitures coûtant 25 dollars, qui pourraient parcourir 1 000 miles avec un gallon. »

    A l’époque, des internautes avaient imaginé un faux communiqué de presse émis par GM pour répondre à Microsoft.

    Si General Motors avait développé des technologies à la manière de Microsoft, nous conduirions tous des voitures avec ces caractéristiques :

    1. Sans raison, votre voiture aurait un accident deux fois par jour.
    2. A chaque fois que les lignes sont repeintes sur les routes, vous devriez acheter une nouvelle voiture.
    3. Parfois, en faisant une manœuvre comme tourner à gauche, la voiture s’arrêterait et refuserait de redémarrer. Il faudrait réinstaller le moteur.
    4. Si votre voiture s’arrête sur l’autoroute, il faudrait juste l’accepter, redémarrer et conduire.
    5. Seule une personne pourrait utiliser la voiture en même temps. Sauf si vous avez acheté Car95 ou CarNT et que vous avez ajouté de nouveaux sièges.
    6. Apple aurait construit une voiture solaire, fiable, cinq fois plus rapide, deux fois plus facile à conduire, mais utilisable sur 5 % des routes.
    7. Les alarmes de températures d’eau et d’huile et d’alternateur seraient remplacées par une unique lumière de défaillance générale.
    8. Les nouveaux sièges forceraient chacun à avoir la même taille.
    9. Les airbags demanderaient « Êtes-vous sûr ? » au moment d’être déclenchés.
    10. Parfois, sans raison, votre voiture vous refuserait l’accès tant que vous ne saisissiez pas la poignée de la portière en tournant la clé tout en tenant l’antenne d’une main.
    11. GM obligerait tous ses clients à acquérir l’édition luxe des cartes Rand-McNally (une filiale de GM), même s’ils n’en veulent pas. Essayer d’effacer cette option ferait diminuer les performances de votre voiture de 50 % ou plus. Et GM deviendrait la cible d’une enquête du département de la justice.
    12. A chaque nouvelle voiture, il faudrait réapprendre à conduire, car aucune commande ne serait équivalente à l’ancienne version.
    13. Il faudrait appuyer sur le bouton « Démarrer » pour couper le moteur.

  • Instantané : Denis Brogniart

    Instantané : Denis Brogniart

    Présent depuis une dizaine d’années sur les chaines du Groupe TF1 lorsque l’on parle d’automobile (F1 à la Une, Auto Critiques, Automoto), Denis Brogniart se dit « inspiré » par les voitures. Sur France Bleu, il racontait son premier accident.

    « A 4 ans, je faisais ‘vroum, vroum’ dans la voiture de mon papa. Il possédait une Ami 8 à l’époque. Dans ces voitures, on pouvait enlever le frein à main assez rapidement. La voiture était garée dans un chemin en légère descente. Malheureusement, la voiture a commencé à rouler. J’ai paniqué et j’ai sauté de la voiture en marche sans remettre le frein à main. Elle a terminé sa course, difficilement, dans le torrent en bas. »

  • Dessin : Citroën C4 Picasso

    Dessin : Citroën C4 Picasso

    Vision de la Citroën C4 Picasso réalisée en interne lors du développement de l’actuelle version du monospace frappé du double chevron. Comme d’habitude, on en rêve !

  • Essai Mazda MX-5 Open Race : Sunday Cup

    Essai Mazda MX-5 Open Race : Sunday Cup

    Il y a bien quelque chose que j’envie aux Britanniques… C’est leur faculté à pouvoir rouler sur circuit, près de chez eux, avec un minimum de préparation. Vous prenez une voiture, un engagement à une course amicale et vous voici en piste !

    C’est l’essence même du sport automobile : il y a évidemment le plus haut niveau, la technologie et le talent… Il y a aussi la base, l’envie et le plaisir.

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    La course club est à l’image de notre pétanque dans le sud de la France. On arrive, on s’amuse et on se donne rendez-vous au prochain départ.

    Mazda l’a bien compris. Et lorsque l’on possède la MX-5 dans sa gamme, il n’y a rien de plus simple que de proposer un véhicule de pur plaisir pour la piste.

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    L’idée est arrivée pour les 20 ans de son roadster. Un challenge commercial a été proposé à tous les concessionnaires d’Europe. Les 135 les plus performants provenant de 22 filiales ont été invités à piloter les 30 MX-5 Open Race conçus spécialement pour l’événement organisé à Adria en Italie (gagné par les Britanniques devant les Français).

    La MX-5 2 litres 160 chevaux est modifiée pour la course. Les éléments superflus (et lourds) sont déposés. La suspension est dotée de nouveaux ressorts, d’amortisseurs et de supports spécifiques à la compétition. Un module de gestion moteur et une ligne d’échappement accompagnent ces évolutions avec un arceau-cage boulonné et un extincteur. Le poids à vide tombe à 1 070 kg. Rien d’exceptionnel dans les chiffres… Juste du plaisir.

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    Depuis, la trentaine d’Open Race roule pour le plaisir des pilotes. Sur le Circuit de la Ferté-Gaucher, deux étaient à notre disposition pour enchainer les virages.

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    Est-ce bien raisonnable ?
    Casque sur la tête, installation dans l’habitacle, baquet et harnais. Il n’y a plus de garniture. Le volant compétition augmente encore l’immersion. Moteur en marche, la ligne d’échappement fait son office. Le bruit est très largement plus enivrant (et surtout plus fort) que sur la version de série.

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    Première, deuxième… Aucune difficulté. Mis à par la gestion électronique (qui permet d’aller jusqu’à 7 000 tours/minute au lieu de 6 700), le plateau d’embrayage et le circuit de refroidissement de la transmission, rien ne diffère de l’ensemble moteur-boîte de série.

    Ligne droite après la sortie des stands : troisième, quatrième et premier freinage. Là, disques et plaquettes sont des pièces spécifiques. Avec les pneus semi-slicks, le train avant guide parfaitement le petit cabriolet. Point de corde, réaccélération, la propulsion aide à faire pivoter la voiture.

    Dans les parties les plus rapides, on ne prend jamais des vitesses folles. Mais chaque changement de direction est un petit régal. Un tour, deux tours, trois tours, on prend confiance et on apprécie de plus en plus cette faculté à aller chercher les points de corde et l’accélération dans une longue courbe ouverte.

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    N’importe quel détenteur d’un permis de conduire possède la capacité d’emmener cette voiture de course. Trois pédales, un volant, une facilité digne d’une simple voiture de série… Et un circuit sans gros piège. C’est le plaisir évident de l’automobile sportive, le casque au vent et en sécurité.

    Olivier Panis n’est pas fait comme nous
    Pilote Mazda en Trophée Andros, Olivier Panis (pour les plus jeunes, il est le dernier vainqueur français d’un Grand Prix de F1 !) prend le volant et invite à découvrir le circuit d’une autre façon…

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    Première, deuxième, troisième, quatrième… ça, je savais faire. Mais le premier point de freinage n’a plus rien à voir. Il braque beaucoup plus tôt pour faire tourner la voiture en s’appuyant sur l’accélérateur. La suite ? Une session de drift ! Cette fois, avec la maîtrise d’un ancien pilote de F1, on aimerait une quarantaine de chevaux supplémentaires. Mais la facilité est la même, surtout en passant une chicane comme une ligne droite (c’est facile de faire un temps quand on ne suit pas la ligne de course… ça explique les 13 secondes d’écart ?) !

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    La Mazda MX-5 était déjà une AUTO cult! La version Open Race est au diapason. De quoi passer des dimanches et des dimanches à boucler des tours de circuit !

    Quelques données :
    Moteur : essence 4 cylindres en ligne 16 soupapes
    Cylindrée : 2,0 litres
    Puissance : 160 chevaux (118 kW) à 7 000 tours / minute
    Couple : 188 Nm à 5 000 tours / minute
    Transmission : aux roues arrière
    Pneumatiques : 225/605 R17 (slicks)
    L/l/h (mm) : 4 020 / 1 720 / 1 245
    Poids à vide : 1 070 kg
    Vitesse maximale : 213 km/h (voiture de série)
    0-100 km/h : 7,6 secondes (voiture de série)

  • Publicité : Peugeot 405 Mi16x4

    Publicité : Peugeot 405 Mi16x4

    « Les victoires de la 405 Turbo 16 ne seront pas sans lendemain »… Ces quelques mots seront peut-être bientôt déclinés en version 2008 DKR ! En 1990, Peugeot n’hésitait pas à utiliser ses victoires en sport automobile pour promouvoir des versions plus « r »adicales !

  • Découverte : Alfa Romeo Giulia Ti Super

    Découverte : Alfa Romeo Giulia Ti Super

    Nous proposer un tour sur un circuit aussi historique que celui de Balocco est une chose qu’on ne refuse pas. Si j’avais préféré tester les Giuletta et Mito sur routes ouvertes plutôt que sur circuit, quelle ne fut pas ma joie lorsqu’on me proposa de tester l’Alfa Romeo Giulia Ti Super sur le circuit de Balocco. Une antique Giulia, dans son jus.

    A son bord, une chose nous marque de suite. L’odeur que dégage la patine du temps. Entre cuir et huile, entre plastique délicatement vieilli et vapeur d’essence. Non pas de voiture hors d’âge et d’usage, cette Giulia est juste bien conservée, chouchoutée par le département histoire de la marque milanaise, quasi neuve et bien entretenue. Je m’en délecte.

    A son volant, surprise, pas de ceinture de sécurité. On se sent nu, d’autant que le siège n’a pas vraiment une assise étudiée. A l’époque, l’assise et le dossier étaient plutôt plats, sans réel maintien étudié. Il n’est pas prévu que nous battions un record de la piste de Balocco, au rythme promenade, cela devrait aller.

    Contact. Le moteur démarre sans broncher, au quart de tour. Première étape, trouver la marche arrière. Pas évident. D’un tour de son grand volant de bakelite noir, demi-tour et c’est parti. Le petit moteur essence demande à être soutenu en régime, dans un doux son d’une autre époque. Les rapports passent facilement « à la montée » mais « à la descente », les rapports craquent un peu. Prudence donc à bien décomposer le rétrogradage, voire à utiliser le double débrayage.

    Côté châssis, la direction un peu large mais les petits pneus étroits tiennent bien la route. Lorsqu’on roule un peu plus vite, le train arrière se dodeline un peu, tout doucement, parfait pour placer la belle dans le virage suivant.

    Au final, j’ai pu faire quelques tours sur le circuit de démonstration de Balocco. Juste assez pour se faire une idée rapide de la Giulia, bien peu pour la découvrir réellement. Un essai plus approfondi prochainement ? L’appel est lancé.

     

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  • Commissaire-priseur : Le Mans Classic dans la bulle

    Commissaire-priseur : Le Mans Classic dans la bulle

    37 voitures vendues à plus de 100 000 euros, 80 % des lots vendus dans l’estimation ou au-dessus, la vente Artcurial du Mans Classic s’est achevée avec la dispersion de près d’une centaine de modèles pour plus de 13 millions d’euros.

    Composante du week-end Le Mans Classic, la vente Artcurial est avérée très spectaculaire. Devant 2 000 spectateurs, Hervé Poulain fêtait ses 45 ans de carrière, dont 40 ans de ventes automobiles.

    Durant sept heures, 111 voitures ont été proposées. « Vendre des voitures sportives au Mans Classic, c’est comme proposer des marbres antiques au pied de l’Acropole. Cette vente réunit un public de passionnés », s’enthousiasmait Hervé Poulain.

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    Le record du jour est revenu à une Mercedes-Benz 300 SL Roadster avec hard-top de 1961 vendue à 1 115 600 euros, au cœur de l’estimation établie avant la vente.

    D’autres modèles ont largement dépassé le prix annoncé : une Jaguar de MkVII cabriolet Beutler de 1953 à 160 900 € (estimation : 60 000 – 80 000 €), une Ferrari F40 à 691 400 € (estimation : 450 000 – 500 000 €), une Aston Martin DB2/4 MKIII cabriolet à 602 000 € (estimation : 240 000 – 280 000 €) ou une Lancia Stratos de 1978 à 417 200 € (estimation : 280 000 – 320 000 €).