Catégorie : Renault

  • Publicité : Renault Clio MTV

    Publicité : Renault Clio MTV

    Comment faire la publicité de la Renault Clio MTV ? En s’appuyant sur de la musique pour les jeunes évidemment ! Renault a choisi James Brown… Mais dans un style très particulier !

    Attention, spot addictif !

  • Nouvelle Renault Twingo : on veut une Gordini !

    Nouvelle Renault Twingo : on veut une Gordini !

    Jeudi soir dernier, Renault lançait en grandes pompes la nouvelle Twingo, troisième du nom. Une troisième génération résolument innovante et changeante, un peu comme l’était la Twingo « MK1 » à sa sortie. Cette fois, la plus grande innovation dans la gamme Renault provient de la motorisation de la petite au losange, à savoir un moteur arrière, entrainant les roues arrières motrices.

    Une propulsion, à moteur arrière. Il faut remonter à la R8 ou la R10 pour retrouver cela chez Renault, ou encore la 4CV avant celles ci (si on omet volontairement Alpine). La propulsion fut abandonnée en 1969, avec l’arrivée de la R12. Qui dit R8, dit R8 Gordini et donc sportivité, d’autant plus si on dit propulsion. Non pas la griffe Gordini sortie il y a quelques années, une finition n’apportant rien qu’un plus marketing. Je vous parle ici de la Gordini, la Gorde, celle qui révéla de nombreux pilotes au sein de la Coupe R8 Gordini.

    Nous simples clients et/ou amateurs de la marque au losange, attendons cette série avec impatience. On pourrait imaginer une version allégée de la Twingo, avec une petit moteur 103 cv (histoire de faire vrai comme à l’époque), des jantes tôles (mais noires, pas brutes) et des phares additionnels, carrés et à LED comme vu sur le prototype TwinRun qui annoncait en milieu d’année dernière la nouvelle Twingo.

    On imagine déjà une Twingo Cup Gordini, forte d’un peloton d’une trentaine de Twingo.organisée lors des World Series by Renault, ayant pour but de détecter de futurs espoirs du sport automobile… Et qu’on ne nous dise pas que la sportivité n’est pas présente dans cette Twingo. TwinRun fut annoncée dans un cortège de gènes de R5 Turbo et Clio V6. Nous voulons une Renault Twingo Gordini, imaginée chez Renault Sport.

    A bientôt,
    Jean-Charles

    NB: l’illustration accompagnant cet article n’a rien d’officiel.

  • Nouvelle Twingo : Plus R5 que Twingo

    Nouvelle Twingo : Plus R5 que Twingo

    Est-il possible de se réinventer régulièrement ? Avec sa Twingo de 1992, Renault avait créé une nouvelle idée de la citadine. 24 ans plus tard, sa Twingo n’est-elle pas devenue une descendante de Renault 5 ?

    En 1992, la Renault Twingo bousculait les codes des petites voitures. Vraie citadine, elle devenait une fille d’Espace avec une bouille sympa, des couleurs différentes et une unique version.

    La deuxième génération a marqué un virage. En 2007, Renault a changé l’idée que l’on pouvait se faire de la Twingo. Du Diesel, du Renault Sport et une ligne moins marquée ont fait entrer la petite Renault dans le rang et a déçu ses fans.

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    Dès l’année suivante, Renault planchait sur la troisième génération pour recouvrer l’esprit Twingo. Un accord avec Daimler (Smart) permettait de réduire les coûts de développement. Mais, au lendemain de la révélation officielle, j’ai davantage l’impression d’une nouvelle R5 que d’une Twingo réinventée.

    Etait-il vraiment possible d’étonner autant qu’en 1992 ? Il aurait fallu faire un pari très osé pour se donner une chance de créer le même engouement. Si l’architecture est vraiment différente avec un moteur à l’arrière et des roues arrière motrices, la ligne évoque très clairement Twin’Run.

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    Cette Twin’Run était justement une évocation de la R5 Turbo avec des phares quasi carrés, un train arrière large et un hayon incliné. La mise à jour reprend les codes des FIAT 500 et des Opel ADAM. Cette fois, Renault n’a pas cherché à être précurseur. L’idée est vraiment de proposer la future reine des villes européennes.

    Cette Twingo est une voiture de conquête comme avait pu l’être la R5 en son temps. Reste à découvrir l’aménagement intérieur (à Genève) et surtout ses qualités dynamiques en ville (et en dehors)…

  • Nouveauté : Renault Twingo

    Nouveauté : Renault Twingo

    Renault avait tout inventé avec sa première Twingo… Cette fois, la marque française court après ses rivales. FIAT 500 et Opel ADAM sont très clairement dans la ligne de mire de la troisième génération de sa mini-citadine.

    Face à la déception du public lors de l’apparition de la deuxième Twingo, Renault a décidé dès 2008 de repartir d’une page blanche pour redéfinir l’esprit de la Twingo de 1992. Un accord a été signé avec Daimler pour coopérer dans le développement de cette voiture et des nouvelles Smart.

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    Tout à l’arrière
    Résultat : cette nouvelle Twingo hérite d’une architecture surprenante. Pour la première fois depuis la Clio V6, Renault propose un modèle avec moteur à l’arrière et propulsion. L’autre principale nouveauté est l’adoption de cinq portes.

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    La ligne n’a rien de surprenant lorsque l’on connait Twin’Z et surtout Twin-Run, deux concepts dévoilés en 2013.

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    L’intérieur de cette nouvelle Twingo sera montré le 4 mars lors du Salon de Genève.

  • Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Il y a trente ans, avec l’appui de Matra, Renault tentait de proposer un modèle très novateur. L’Espace ressemble à une camionnette civilisée, faite pour transporter des passagers plutôt que des marchandises et ouvre la voie aux « Voitures à Vivre ».

    C’est la modularité qui étonne : les cinq sièges arrière peuvent être retirés et les sièges avant pivotent.  Après quelques mois à trouver sa clientèle, les commandes arrivent enfin. C’est le début d’une grande histoire.

    Au fil des générations, les lignes sont adoucies. La modularité continue de progresser et Renault installe un moteur V6 et une boîte automatique sous le capot. L’Espace monte en gamme.

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    D’autres Espace sont également présentés…

    Une étude de 1959 baptisée Renault Projet 900… Laissée de côté car trop avant-gardiste.

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    La Matra Projet P18 de 1981 prêté par le Musée Matra. Ce prototype avait servi de base à la maquette qui a été présentée en 1982 à Bernard Hanon par Philippe Guedon. Il est à l’origine du partenariat entre Matra et Renault.

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    Pièce maîtresse de la collection, le Renault Espace F1 avait été conçu pour le sixième titre de Renault en F1 avec son V10. Il avait fait une apparition au Salon de l’Automobile de Paris en 1994 et avait même servi de voiture de sécurité en F1.

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  • Concept Car : Renault Kwid

    Concept Car : Renault Kwid

    A l’occasion du Salon de l’Auto de Delhi, Renault dévoile le Kwid. C’est le tout premier concept que la marque au losange présente hors d’Europe. Il évoque l’engagement de Renault sur les nouveaux marchés autour d’une étude décalée dans le segment des berlines compactes.

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    Renault est un constructeur global. Ce premier concept le montre. Si le Technocentre a forcément joué un grand rôle dans le design de Kwid, ce ne sont pas les Français qui sont à la base du travail. Le dessin de l’intérieur a été imaginé par Renault Design India et l’extérieur est dû au Studio Design au Brésil.

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    Le Kwid Concept est équipé d’un drone appelé Flying Companion. Il émerge de la partie arrière pivotante du toit. Deux modes sont proposés : le mode « automatique » qui utilise une séquence de pilotage pré-programmée et la localisation à l’aide du GPS, ainsi que le mode « manuel », qui permet de contrôler son fonctionnement par le biais de la tablette à bord du véhicule. Voilà de quoi regarder le trafic et ses voisins dans les embouteillages ou prendre des photos du paysage (ou l’inverse).

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    Petite preuve du changement de vision de Renault, le Kwid est équipé d’un moteur 1,2 litre turbo couplé à une boîte EDC… Avec un espace destiné à accueillir un moteur électrique.

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  • Festival Automobile : au pays des merveilles

    Festival Automobile : au pays des merveilles

    Face à l’Hôtel National des Invalides, un chapiteau de 3 000 m² est dédié à la passion automobile jusqu’à la fin de la semaine. De l’Alfa Romeo 4C, élue plus belle voiture de l’année hier soir, à l’Art Car réalisée par Costa pour OAK Racing en passant par Peugeot Onyx et bien d’autres, voici ce que vous pourrez découvrir.

    Préambule : il y a très peu de « protections » autour des différents concept cars présentés lors de cette exposition. Certains sont même très simplement présentés sans le moindre filin.

    Aucune grande nouveauté mais, pour beaucoup, ce sera l’occasion de voir « en vrai » des modèles d’exception qui ne trouvent généralement leur place que dans des salons.

    Peugeot est présent avec Onyx, 308 R Concept, 208 T16 Pikes Peak et 908 HDI FAP sur le stand RM Auctions. Onyx a vieilli depuis sa première présentation. Le cuivre s’est oxydé (c’est une volonté de la marque) et donne une nouvelle teinte au concept. Très réussi !

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    Ambiance particulièrement sportive chez Citroën avec C-Elysée WTCC (la voiture actuellement développée par Sébastien Loeb, Yvan Muller et Jose Maria Lopez) et DS3 R5 (la petite soeur de la WRC) qui accompagnent C-Cactus (à moins d’une semaine de la révélation du modèle de série) et Wild Rubis.

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    Twin’Z et Twin’Run sont présents pour continuer à propager l’idée que la troisième génération de Twingo arrivera cette année. Initiale Paris est aussi exposé.

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    Les BMW Gran Lusso Pinifarina, Opel Monza Concept, Kia Provo sont également présentées.

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    Il y a aussi d’autres choses plus exotiques comme l’Icona Vulcano ou la Giugiaro Parcour Concept.

    Quelques modèles en phase de commercialisation sont aussi exposés. Porsche montre son Macan et la 918 Spyder. Aston Martin présente une Vanquish Volante, BMW expose une i3 et une place de choix est réservée à Alfa Romeo pour sa 4C élue hier plus belle voiture de l’année.

    Déjà vue et présentée sur AUTOcult.fr, OAK Racing affiche à nouveau son Art Car basée sur une Morgan-Nissan LM P2.

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    Avant une vente aux enchères, RM Auctions aligne quelques modèles en vente : Mercedes 300 SL, Porsche 956 Groupe C, Gordini Type 24S, Peugeot 908 HDI FAP et Porsche 917-30 Can Am.

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    Le Festival Automobile International est ouvert du 29 janvier au 2 février. Tarif : 10 euros, tarif réduit : 6 euros et gratuit pour les moins de 10 ans.

  • Citation : Louis Schweitzer

    Citation : Louis Schweitzer

    Citation de Louis Schweitzer, Français, PDG de Renault entre 1992 et 2005, « Il y a des choix qui font de la peine. Renoncer au projet W71 fut de ceux-là. Le projet Alpine W71 était séduisant à beaucoup d’égards et aurait sûrement eu ses raisons d’être en d’autres circonstances. Là, nous étions assurés de perdre beaucoup d’argent en le menant à terme. Il a fallu sacrifier le plaisir à l’essentiel. »

    Ces phrases sortent de L’Action Automobile de juillet 1993. Elles annoncent la disparition de la marque Alpine en 1995.

  • La Renault 5 Turbo du Giro d’Italia 1979 : la naissance d’un mythe

    La Renault 5 Turbo du Giro d’Italia 1979 : la naissance d’un mythe

    1976, le projet « 822 » est lancé chez Renault.
    1978, Renault classe ses deux R5 Alpine sur le podium du Rallye Monte-Carlo, avec Ragnotti et Fréquelin.
    1979, Renault engage une Renault 5 Turbo au Giro d’Italia, équivalent de notre Tour de France Automobile.

    Pourquoi avoir choisi le Giro d’Italia alors que de nombreuses compétitions routières sont organisées en France ?
    A cette époque, la voiture de course qu’est la Renault 5 Turbo est encore un prototype « Groupe 5 » et n’est pas encore homologuée pour la compétition en France. Récit.

    Mars 1978, les premiers tours de roues se font. Le prototype noir est emmené par Guy Fréquelin. Novembre 1978, Renault dévoile dans la presse un prototype produit à Dieppe et créé un véritable évènement pour le grand public. D’autres prototypes que cette 822-00 noire sont produits chez Alpine. C’est le prototype 822-03 qui sera engagé au Giro 1979.

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    C’est le pilote maison Guy Fréquelin qui est au volant, secondé par Jean-Marc Andrié. Après de belles performances, l’aventure italienne tourne court quand le moteur casse. C’est l’abandon. La petite Dieppoise marque tout de même les esprits face à une concurrence de haut niveau. De retour en France, s’en suivront des milliers de kilomètres d’essais et de développement, avec entre autres Alain Serpaggi au cerceau. Mais pour que cette 5 Turbo soit homologuée en compétition, la production en série est nécessaire. Le  20  mai  1980, la fabrication des Renault 5 Turbo est lancée. Les caisses sont tout d’abord ponctionnées sur la chaîne de l’usine de Flins, pour être envoyées chez le carrossier Heuliez où elles sont allongées de 5 cm, allégées et renforcées. Elles prennent enfin la route de Dieppe où l’assemblage finale se fait.

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    La 5 Turbo est alors une voiture exceptionnelle, un modèle unique avec très peu d’options et deux couleurs au choix : le Bleu Olympe avec intérieur rouge ou le Rouge Grenade avec intérieur bleu. Au final, 802 Renault 5 Turbo seront produites en 1980, alors que seuls 400 exemplaires étaient demandés par la règlementation FIA Groupe 4.

    Production lancée, la Renault 5 Turbo est homologuée en Groupe 4 en 1980. Sa première compétition officielle est alors le Tour de France Automobile 1980 où elle sera l’attraction de l’épreuve. Jean Ragnotti est au volant de la belle. S’en suivront de nombreuses victoires et titres, mais c’est une toute autre histoire…

    A bientôt,
    Jean-Charles

  • Essai Renault Clio R.S. 200 EDC : passionnante

    Essai Renault Clio R.S. 200 EDC : passionnante

    Par sa division Renault Sport Technologies, le losange occupe une position privilégiée dans le paysage des marques généralistes européennes. Avec ses Twingo, Clio et Mégane badgées R.S., Renault fait figure de référence. Volontairement polyvalente, la Clio R.S. 200 EDC se veut accessible pour attirer de nouveaux clients.

    J’ai rarement entendu autant de critiques à la sortie d’un nouveau modèle. Personne ne semblait emballer par (ou comprendre ?) la Clio R.S. 200 EDC. La troisième génération de Clio R.S. avait enthousiasmé les connaisseurs. Cette quatrième Clio R.S. les avaient déçus.

    Renault Sport possède une histoire exceptionnelle. Sans remonter à l’époque Gordini, les Renault 5, Supercinq et Clio ont fait rêver plusieurs générations d’amoureux d’automobiles. En compétition, avec son V10 puis son V8, Renault Sport F1 a dominé la discipline reine. Un accord parfait pour une vraie marque généraliste.

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    Marque généraliste, Renault le souligne avec cette Clio R.S. 200 EDC. 25 490 euros : le prix est capital. Car c’est bien avec ce prix, équivalent à l’entrée de gamme de Scenic Diesel, que le Losange attire de nouveaux clients.

    Sous le capot, on retrouve un moteur emprunté à Nissan (sur le papier, c’est un peu décevant d’être le motoriste Champion du Monde de F1 et de ne pas proposer son propre bloc dans ses versions sportives) passé dans les ateliers de Renault Sport (quand même). L’admission d’air, le répartiteur, le papillon ainsi que le turbo ont fait l’objet d’une définition technique spécifique.

    Oui, un turbo ! Le turbo si apprécié dans la Mégane R.S. serait une hérésie dans la Clio R.S. ? Certains l’ont prétendu… Un turbo dans une Renault sportive ? Rien de plus normal tant la marque a fait pour cette technologie dans les années 80 !

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    Le son (Je suis toujours attaché à la sensation que procure ce que j’entends) est particulièrement travaillé. Car oui, un moteur 4 cylindres turbo peut donner un peu de plaisir auditif !

    Cette Clio R.S. 200 EDC promène ses 200 chevaux sans problème dans la circulation. En mode « Normal », on est dans une Clio à l’allure un peu folle mais civilisée. Les ressorts sont un peu raides et les baquets manquent de moelleux mais chaque accélération rappelle que l’on est dans une Renault Sport. L’aspect de l’habitacle est en progrès par rapport à ce que propose les Clio plus basiques mais la qualité globale de la finition ne devient pas le point fort du modèle.

    Et puis, il y a le passage au « mode » Sport, puis au « monde » Race. Pied gauche sur le frein, on tire sur les deux palettes situées derrière le volant. Le message s’affiche : « Launch Control On ». La signature Renault Sport clignote en orange. Pied droit sur l’accélérateur. Le régime se stabilise automatiquement à 2 500 tours/minute. L’électronique est en fonction.

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    Dès que le pied gauche quitte le frein, la Clio R.S. 200 EDC bondit de sa ligne de départ. ESP désactivé, les pneumatiques avant cherchent l’adhérence dans un léger cri. Très vite, un premier bip retentit. Le régime moteur approche des 7 000 tours/minute à 42 km/h. Dans l’instant, il faut passer le deuxième rapport. Bip, troisième à 71 km/h, bip quatrième à 112 km/h…  Chaque passage s’effectue en 150 ms.

    Loin de la Renault 25 qui cherchait à faire des phrases, cette Clio R.S. 200 EDC se montre moins polie. Le bip est un ordre de passer au rapport supérieur. Un bip comme Spoutnik.

    R.S. Monitor enregistre tout : 6’’7 pour atteindre 100 km/h et 14’’7 aux 400 mètres.

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    Lorsque l’électronique fait son œuvre, le train avant tient parfaitement sous la contrainte. Et s’il perd les pivots découplés qui faisaient de la précédente Clio R.S. une référence en matière de guidage, il gagne des porte-moyeux plus rigides et surtout des butées hydrauliques héritées des voitures de rallye. Et pour ceux qui voudront parfois aller s’essayer sur piste, le châssis Cup (option à 600 euros) leur permettra de profiter de ressorts 15 % plus raides.

    L’AUTO est-elle cult ?
    Sortir un modèle culte à chaque renouvellement de génération serait comme multiplier les pains. Un miracle. Les R5, Supercinq et Clio ont quasiment toutes eu leur modèles cultes. La précédente génération de Clio R.S. est une référence. Cette Clio R.S. 4 marque un tournant. Plus polyvalente, il lui faut convaincre sur la durée… Mais à 25 490 euros, elle n’a pas de rivales aussi capables aussi bien sur la route que sur circuit !

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Moteur : Essence 4 cylindres en ligne, turbocompressé
    Cylindrée : 1 618 cm3
    Puissance : 200 chevaux / 147 kW
    Couple : 240 Nm
    Transmission : roues avant motrices, boîte automatique à double embrayage à six rapports
    L/l/h (mm) : 4 063 / 1 732 / 1 448
    Poids à vide : 1 204 kg
    Capacité du coffre (l.) : 300
    Vitesse maximale : 230 km/h
    0-100 km/h : 6,7 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 8,1 / 5,1 / 6,3 / 9,4
    Emissions de CO2 : 144 g/km

  • Concept Car : Renault Argos

    Concept Car : Renault Argos

    Vous vous souvenez de Wind ? Renault avait fait beaucoup mieux vingt ans avant avec Argos, toujours sur base d’une simple Twingo ! C’était au Salon de Genève 1994.

    « Argos ne se veut ni rétro, ni post-moderniste »… C’était l’angle de communication de Renault qui n’avait pas encore l’idée du « neo-retro » qui a fait le bonheur de certains de ses concurrents.

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    Cette Twingo repensée en cabriolet 3 places de 750 kilogrammes semblaient pourtant s’inspirer de Le Corbusier, Bugatti ou Voisin. Des portes coulissantes dans les flans, un saute-vent rabattable, des rétroviseurs rétractables, des ailettes pour contrôler le refroidissement du moteur : du grand art signé Patrick Le Quément.

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    Renault Argos n’a jamais vu le jour… Impensable ? Peut-être. Mais Renault a tout de même commercialisé son Spider deux ans plus tard !

  • Montez votre propre Alpine A110 1/8e

    Montez votre propre Alpine A110 1/8e

    Attention coup de cœur… Si vous avez l’âme d’un collectionneur et la passion de voir des maquettes prendre vie, voici de quoi vous combler : une Alpine A110 au 1/8e !

    Cette maquette promet d’être un vrai bijou. Voici donc une Alpine A110 à l’échelle 1/8e. C’est immense, car, une fois terminée, elle mesurera 48 centimètres de longueur !

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    Cette Berlinette est une 1600S (type 1600 VB comme indiqué sur la plaque d’immatriculation du département 76, forcément).

    Les portes, capot et coffre s’ouvrent pour dévoiler tous les détails intérieurs. Les phares s’allument grâce à un interrupteur situé sur le tableau de bord. Le volant fait tourner les roues avant. Le moteur est une réplique détaillée du bloc évolué de celui de la Renault 16 TS : un 4 cylindres en ligne 1 565 cm3 avec ses deux carburateurs double corps horizontaux Weber 45 DCOE qui produisait 122 chevaux.

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    Vous pourrez monter cette maquette sans difficulté. Toutes les pièces sont fixées soit par vissage, soit par clipage. Il suffit d’un simple tournevis et d’une paire de pinces.

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    Les pièces sont en moulage métallique (die-cast en anglais) pour la carrosserie et en plastique ABS pour les autres parties.

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    Capot et pare-chocs composent le premier numéro, déjà chez les marchands de journaux au prix de 1 euro… Les pièces suivantes seront disponibles dans les semaines à venir, toujours chez les marchands de journaux ou sur abonnement.

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    Pour davantage d’informations ou vous abonner pour recevoir les pièces directement chez vous, rendez-vous sur www.collection-alpine-renault.fr.

    Dernier détail : cette maquette dispose d’une licence officielle Renault.