Catégorie : Culture

  • L’art automobile s’expose à La Tartine

    L’art automobile s’expose à La Tartine

    Du 30 avril au 6 mai, l’art automobile s’expose à Lasne, en Belgique. En l’estaminet La Tartine, vous pourrez apprécier les œuvres des artistes Clovis, Pierre Englebert, Ever Meulen, Johan Vandenberghe, Nicolas Cancelier et Jean-Luc Vanuf. Entre photographie, peinture, sculpture, le grand thème sera l’automobile. Une exposition artistique complétée de rassemblements de pilotes du Dakar, des 24 heures de Spa mais aussi d’expositions d’objets automobiles, d’un rallye balade, de conférences et déjeuners.

    Rendez-vous à La Tartine. Rue de l’Église, 2 – 1380 Lasne (Ohain)

    exposition Automobile Art at La Tartine Lasne Ohain

  • Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Certains films sont cultes. OSS 117, le grand détournement, le vélo de Ghislain Lambert, The Big Lebowski, Retour vers le futur et Dikkenek. Ce drôle de film réalisé par le Belge Olivier Van Hoofstadt met en scène des acteurs de haut vol dans leur domaine. Au programme, François Damiens, Jean-Luc Couchard, Jérémie Rénier, Florence Foresti, Catherine Jacob, Dominique Pinon, Marion Cotillard et Mélanie Laurent jouent leur rôle dans un scénario des plus loufoques. Ce film, qui se joue entre Bruxelles et Anderlecht, nous permet de voir une BMW 2002 turbo, modèle rare au cinéma.

    Produit de 1973 et 1975, la BMW 2002 Turbo est mue par un 4 cylindres 1,990 cc à injection, gavé du turbo KKK, développant 170 ch. La 2002 Turbo est une propulsion, équipée d’une boîte manuelle à 4 vitesses. D’extérieur, la 2002 T est blanche, bardée de liserés bleus turquoises, bleus marine et rouge, en bas de caisse le tout rappelant les couleurs officiels de M Power et BMW Motorsport. Pour la petite histoire, (et ce n’est pas le cas dans la 2002 Turbo du film), sur le bouclier avant, était inscrit le logotype « 2002 turbo » à l’envers, de façon à ce que le conducteur qui précédait la 2002 T voyait écrit à l’endroit « 2002 turbo » dans son rétroviseur. Tout une histoire à l’époque.

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    Dans ce film, on pourra voir une autre BMW, la 645 CI. On trouvera aussi une Mercedes-Benz, la SLC de Claudy Focan, mais aussi sa Toyota Celica. Une Ford GT40 aura aussi sa place dans le scénario.

     

    Une scène du film a été coupé au montage. La voici, mettant en avant la BMW 2002 Turbo.

    https://www.youtube.com/watch?v=ggCCFUpE69c

  • Quand Roland Barthes parle de la Citroën DS 19

    Quand Roland Barthes parle de la Citroën DS 19

    Dans son recueil « Mythologies », le critique littéraire et sémiologue (étude des signes linguistiques à la fois verbaux ou non verbaux) Roland Barthes étudie et nous révèle les composantes de la société des années 50. Tout y passe, justice du catch, le steak-frites, l’iconographie de l’Abbé Pierre, Einstein, le plastique ou la nouvelle Citroën, à travers 53 textes rédigés entre 1954 et 1956, l’actualité étant le fil conducteur de ce recueil édité chez Seuil en 1957.

    Au sujet de cette œuvre, Barthes est interviewé le 29 mai 1957 à la télévision française, revenant sur les éléments précédemment cités, et bien évidemment sur celle qu’on appelait « la nouvelle Citroën ». Oui, Barthes parle bien de « la nouvelle Citroën ». On se rend compte là de l’impact qu’a eu la Citroën DS au milieu des années 50.

    Retour sur cette interview plutôt intéressante et forcément surprenante, dans laquelle Barthes compare la DS 19 aux cathédrales gothiques. Passionnant.

    Voici le passage complet de « La nouvelle Citroën », tiré de Mythologies.

    Roland Barthes, « La nouvelle Citroën », 1957
    Sujet : La nouvelle Citroën
    Auteur : Roland Barthes
    Diffusion : Edition du Seuil, Paris

    Je crois que l’automobile est aujourd’hui l’équivalent assez exact des grandes cathédrales gothiques : je veux dire une grande création d’époque, conçue passionnément par des artistes inconnus, consommée dans son image, sinon dans son usage, par un peuple entier qui s’approprie en elle un objet parfaitement magique.

    La nouvelle Citroën tombe manifestement du ciel dans la mesure où elle se présente d’abord comme un objet superlatif. Il ne faut pas oublier que l’objet est le meilleur messager de la surnature: il y a facilement dans l’objet, à la fois une perfection et une absence d’origine, une clôture et une brillance, une transformation de la vie en matière (la matière est bien plus magique que la vie), et pour tout dire un silence qui appartient à l’ordre du merveilleux. La «Déesse» a tous les caractères (du moins le public commence-t-il par les lui prêter unanimement) d’un de ces objets descendus d’un autre univers, qui ont alimenté la néomanie du XVIIIe siècle et celle de notre science-fiction: la Déesse est d’abord un nouveau Nautilus.

    C’est pourquoi on s’intéresse moins en elle à la substance qu’à ses joints. On sait que le lisse est toujours un attribut de la perfection parce que son contraire trahit une opération technique et tout humaine d’ajustement: la tunique du Christ était sans couture, comme les aéronefs de la science-fiction sont d’un métal sans relais. La DS 19 ne prétend pas au pur nappé, quoique sa forme générale soit très enveloppée; pourtant ce sont les emboîtements de ses plans qui intéressent le plus le public: on tâte furieusement la jonction des vitres, on passe la main dans les larges rigoles de caoutchouc qui relient la fenêtre arrière à ses entours de nickel. Il y a dans la DS l’amorce d’une nouvelle phénoménologie de l’ajustement, comme si l’on passait d’un monde d’éléments soudés à un monde d’éléments juxtaposés et qui tiennent par la seule vertu de leur forme merveilleuse, ce qui, bien entendu, est chargé d’introduire à l’idée d’une nature plus facile.

    Quant à la matière elle-même, il est sûr qu’elle soutient un goût de la légèreté, au sens magique. Il y a retour à un certain aérodynamisme, nouveau pourtant dans la mesure où il est moins massif, moins tranchant, plus étale que celui des premiers temps de cette mode. La vitesse s’exprime ici dans des signes moins agressifs, moins sportifs, comme si elle passait d’une forme héroïque à une forme classique. Cette spiritualisation se lit dans l’importance, le soin et la matière des surfaces vitrées. La Déesse est visiblement exaltation de la vitre, et la tôle n’y est qu’une base. Ici, les vitres ne sont pas fenêtres, ouvertures percées dans la coque obscure, elles sont grands pans d’air et de vide, ayant le bombage étalé et la brillance des bulles de savon, la minceur dure d’une substance plus entomologique que minérale (l’insigne Citroën, l’insigne fléché, est devenu d’ailleurs insigne ailé, comme si l’on passait maintenant d’un ordre de la propulsion à un ordre du mouvement, d’un ordre du moteur à un ordre de l’organisme).
    Il s’agit donc d’un art humanisé, et il se peut que la Déesse marque un changement dans la mythologie automobile. Jusqu’à présent, la voiture superlative tenait plutôt du bestiaire de la puissance; elle devient ici à la fois plus spirituelle et plus objective, et malgré certaines complaisances néomaniaques (comme le volant vide), la voici plus ménagère, mieux accordée à cette sublimation de l’ustensilité que l’on retrouve dans nos arts ménagers contemporains: le tableau de bord ressemble davantage à l’établi d’une cuisine moderne qu’à la centrale d’une usine: les minces volets de tôle mate, ondulée, les petits leviers à boule blanche, les voyants très simples, la discrétion même de la nickelerie, tout cela signifie une sorte de contrôle exercé sur le mouvement, conçu désormais comme confort plus que comme performance. On passe visiblement d’une alchimie de la vitesse à une gourmandise de la conduite.

    Il semble que le public ait admirablement deviné la nouveauté des thèmes qu’on lui propose: d’abord sensible au néologisme (toute une campagne de presse le tenait en alerte depuis des années), il s’efforce très vite de réintégrer une conduite d’adaptation et d’ustensilité (« Faut s’y habituer »). Dans les halls d’exposition, la voiture témoin est visitée avec une application intense, amoureuse: c’est la grande phase tactile de la découverte, le moment où le merveilleux visuel va subir l’assaut raisonnant du toucher (car le toucher est le plus démystificateur de tous les sens, au contraire de la vue, qui est le plus magique): les tôles, les joints sont touchés, les rembourrages palpés, les sièges essayés, les portes caressées, les coussins pelotés; devant le volant, on mime la conduite avec tout le corps. L’objet est ici totalement prostitué, approprié: partie du ciel de Metropolis, la Déesse est en un quart d’heure médiatisée, accomplissant dans cet exorcisme, le mouvement même de la promotion petite-bourgeoise.

  • Cinéma : la Porsche 911S de Steve McQueen dans Le Mans

    Cinéma : la Porsche 911S de Steve McQueen dans Le Mans

    Souvenez-vous, au début du film Le Mans, avec Steve McQueen. Le prince du cool arrive sur le circuit sarthois au volant d’une Porsche 911S. Immatriculée S-B 2795, elle fut livrée neuve à McQueen pour le tournage du film. Il s’agit du châssis no. 91103 01502 équipé du moteur no. 6302094. 2011, elle est expertisée, validée comme originale et vendue aux enchères le 19 août de la même année pour la modique somme de 1,375 millions de dollards. Un prix qu’on ne doit qu’à Steve McQueen. Un peu comme la Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon.

     

    steve-mcqueen-porsche-911s-1970-1

    Via et photos : captures du film.

  • Le Mans 1970, avec Steve McQueen : le film en version intégrale

    Le Mans 1970, avec Steve McQueen : le film en version intégrale

    Y-a-t-il film plus mythique que « Le Mans » avec Steve McQueen ? A l’origine voulu comme un documentaire, la production CBS poussait, afin d’élargir le public, que le film soit scénarisé. En résulte une drôle d’histoire d’amour au milieu des Porsche 917K et Ferrari 512S. Le voici dans sa version intégrale. Prenez votre temps et un Red Bull. Vous risqueriez de vous endormir, mais n’en ratez pas le premier quart du film. L’ambiance monte en intensité jusqu’au départ des 24 heures du Mans. Prenez ce film avec patience, profitez de lui en vous éloignant du scénario. Profitez des images tel un documentaire, plein d’archives et de témoignages d’une époque révolue. Pour tout vous dire, je n’ai jamais su regarder ce film d’une seule traite, mais il n’en reste pas moins un de mes films favoris.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=VYIcc9IBZj4

  • Hommage à Rosco P. Coltrane !

    Hommage à Rosco P. Coltrane !

    L’acteur James Best vient de nous quitter à l’âge de 88 ans. Durant six ans, il avait joué Rosco P. Coltrane dans la série Shérif, fais moi peur après avoir fait une belle carrière dans des westerns.

    Pendant toutes ces années, il avait enchainé les poursuites derrière le Dodge Charger « General Lee » de Bo et Luke Duke. Là, voici en dernier hommage !

  • Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Le Peugeot Design Lab aime exercer ses talents parfois loin de l’univers des quatre roues… A quelques jours de la Design Week de Milan et de la prochaine exposition universelle, c’est sur un camion un peu spécial que l’entité artistique du Lion s’est penchée.

    2014 fut l’année de l’explosion du nombre de food truck… L’idée du camion ambulant qui a tant fait pour les petites communes françaises séduit la nouvelle génération urbaine.

    Une quarantaine de personnes ont donc travaillé sur un food truck signé Peugeot. Une base de Boxer et tous les éléments stylistiques du Lion version 2015 ont été intégrés. Quatre mètres sur deux de large en mouvement, il se déplie pour offrir un espace permettant d’accueillir une trentaine de personnes sur treize mètres.

    A l’intérieur, un espace réfrigéré de 400 litres cotoie une armoire de 350 litres pour les boissons, quatre plaques de grillades et une friteuse. La partie avant est une cuisine, l’arrière sert le café et permet à un DJ de s’installer !

    foodtruckpeugeot-boxer

    Le Food Truck Peugeot reste un concept. Il n’est pas destiné à être commercialisé, même s’il est déjà opérationnel (testé !). Mais il montre que Peugeot tient son design avec les phares marqués, la calandre verticale et le logo intégré… Il affiche surtout la volonté de Peugeot d’avancer à travers diverses opérations, avec le Peugeot Design Lab en porte-drapeau.

  • Adieu Land Rover Defender, merci Paul Smith.

    Adieu Land Rover Defender, merci Paul Smith.

    A l’origine créé sur une base de Jeep Willys dont il reprend le châssis, celui qu’on appelait d’abord Serie 1, Serie 2 et Serie 3 aura marqué l’histoire de l’automobile, tel une 2CV, une Jaguar Type E ou un VW Combi. Par son chic britannique ou son incroyable adaptation tous terrains, on aura vu le Defender partout à travers le monde, des beaux quartiers de Neuilly aux déserts les plus hostiles. Quelle administration n’a-t-elle pas utilisé un Defender ou un Serie 1/2/3 ? Aucune, les Defender aux couleurs des polices, pompiers, armées du monde sont nombreux. Mais cette fois, s’en est fini, le Defender tirera sa révérence l’an prochain, après 32 années de bons et loyaux services. Tristesse.

    Pour fêter cet adieu, impossible n’est pas anglais, c’est Paul Smith qui rend hommage au mythe. L’homme anobli par la Reine en 2000 a jeté son dévolu sur le plus cubique des véhicules modernes, le Mercedes Classe G n’étant qu’une pâle copie sans charme.

    Ce Defender un peu spécial s’est vu être habillé de 27 couleurs, sans pour autant utiliser le bayadère habituel multicolore qu’on a pu voir sur la MINI Paul Smith par exemple. Cette fois, quelques éléments du Defender ont été choisi et coloré par Paul Smith avec le SVO, Special Vehicle Operations, service des véhicules spéciaux de Land Rover.

    On en retrouve donc un Defender un peu bariolé, coloré, nouveau même. Un Defender, unique, produit à un seul exemplaire et qui fut révélé en la boutique Paul Smith, située au 9 Albemarle Street dans le chic quartier de Mayfair à Londres. Tout un symbole, and God save the Queen. Quand je pense que j’ai appris à conduire sur un Land Rover…

     

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  • La Citroën DS d’André François

    La Citroën DS d’André François

    En 1963, la Citroën DS a déjà huit ans. Elle reste pourtant un modèle d’une modernité inégalée. La marque parisienne continue de communiquer autour de la suspension hydropneumatique. André François livre une série de dessins qui symbolisent l’eau et le gaz.

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  • Lapo Elkann a frappé : FIAT 500X Black Tie

    Lapo Elkann a frappé : FIAT 500X Black Tie

    Lapo Elkann n’est pas encore à la tête de Lancia, mais il gravite toujours autour de FCA présidé par son frère John. Pour Genève, l’héritier Agnelli s’est offert une FIAT 500X qu’il a habillée d’un smoking.

    Ce show car FIAT 500X Black Tie à l’allure d’un costume à rayures, dont raffole Lapo Elkann. Il repose sur une peinture supplée par un film chromé. Dans l’habitacle, les matières se conjuguent avec du cuir, du cachemire, de l’Alcantara et du jean.

    Vous voulez la même ? N’hésitez pas à demander ! Lapo Elkann lance Garage Italia Customs pour réaliser ce genre de modèles. (Et n’oubliez pas de venir nous présenter votre nouvelle voiture après…)

  • F1 modernes, livrées anciennes

    F1 modernes, livrées anciennes

    Semaine dernière, je vous proposais les avions à la sauce F1, des aéronefs habillés des plus célèbres livrées vues en F1.

    Cette fois, restons sur le thème Photoshop mais restons sur terre. Si je vous dis Benetton, Brabham, Hesketh, Jordan, Lotus, McLaren, Tyrell et Williams : bon nombre de ces équipes de F1 ont disparu de la circulation. Je vois même une pointe de nostalgie chez vous. Imaginez que ces équipes disparues soient encore des nôtres aujourd’hui : c’est ainsi que je vous propose les Formule 1 modernes, revisitées aux couleurs des plus célèbres équipes. Chaque détail est là, rien n’est oublié, ce travail de l’agence EscapeArtist est du plus bel effet.

    Williams-FW14B

    Nouvelles F1 Anciennes livrées_Williams

    1988_McLaren_Honda_MP44 Nouvelles F1 Anciennes livrées_McLaren

    Hesketh 308 Nouvelles F1 Anciennes livrées_Hesketh

    Benetton Nouvelles F1 Anciennes livrées_Benetton

    Jordan_EJ11 Nouvelles F1 Anciennes livrées_Jordan

    Lotus-Gold-Leaf-1969 Nouvelles F1 Anciennes livrées_Lotus

    BrabhamBT44B Nouvelles F1 Anciennes livrées_Brabham

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    Nouvelles F1 Anciennes livrées_Tyrrell

     

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  • Des avions façon F1

    Des avions façon F1

    Non, nous n’allons pas ici nous attarder sur la Red Bull Air Race, ces courses façon slalom aérien contre la montre entre d’immenses plots gonflés d’air. Bien que nous aurions pu en parler tant ces show made by Red Bull sont fascinants. Ici, retour les livrées de F1 du passé, flanquées sur d’authentiques aéronefs. Le rendu est du plus bel effet. Ma livrée favorite de ce lot ? La première ci-dessous, la BAR Honda. Notons que ces drôles de zinc sont réalisés par Clavework Graphics.

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    Via.