Catégorie : Design & Style

  • Nouvelles couleurs pour une Alpine A310

    Nouvelles couleurs pour une Alpine A310

    La renaissance d’Alpine a été portée par l’immense engouement populaire qui entoure la marque. Sa seconde vie sera également soutenue par ceux qui voudront faire perdurer l’idée de Jean Rédélé. Chris Visscher fait partie de ces passionnés. Il s’est inscrit au Winter Trial 2014 avec une Alpine A310 aux couleurs du concept Alpine A110-50 de Laurens van den Acker.

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    Chris Visscher est un concessionnaire Renault, spécialiste d’Alpine et de Renault Sport à Rotterdam. Son implication est telle que lorsque le Groupe Renault a pris la décision de développer une nouvelle Alpine, il a été intégré à l’Alpine Advisory Board composé de quatorze personnes.

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    Visscher a décoré l’une de ses A310 1600 aux couleurs du Concept Alpine A110-50 réalisé par Laurens van den Acker, le directeur de design industriel du groupe.

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    Copiloté par Marc Abercrombie, il prendra le départ lundi de Copenhague. Arrivée programmée samedi à Oslo.

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  • Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Citroën vend les bijoux de famille ! Le département Citroën Héritage se sépare d’un prototype unique « ECO 2000 ». Présenté en 1982, il avait pour vocation d’explorer de nouvelles voies pour permettre, dès la seconde moitié de la décennie, de proposer un véhicule dont la consommation aurait été inférieure à 3 litres / 100 km.

    Quatre prototypes ont été réalisés : SA 103, SA 109, SA 117 et SL 10. C’est le tout premier qui est mis en vente le mois prochain lors de Rétromobile.

    Selon Citroën, il s’agit d’une « première synthèse des travaux théoriques entrepris, principalement axée sur le poids et l’esthétique. La volonté de n’exclure aucune solution a priori est illustrée par l’adoption d’une architecture de type « propulsion ». Dans le souci de gagner du temps, le moteur bicylindre à plat a été retenu. »

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    Le prototype ne pèse que 430 kg, avec un Cx de 0,267 et une consommation de 3,5 litres aux 100 km. Le moteur de 704 cm3 développe 26 ch DIN et la voiture atteint 140 km/h en pointe.

    Cette Citroën ECO 2000 réclame une restauration pour être remise sur la route et est immatriculable en carte grise de collection.

    Aucun prix de réserve et estimation entre 10 000 et 15 000 euros.

  • Festival Automobile : au pays des merveilles

    Festival Automobile : au pays des merveilles

    Face à l’Hôtel National des Invalides, un chapiteau de 3 000 m² est dédié à la passion automobile jusqu’à la fin de la semaine. De l’Alfa Romeo 4C, élue plus belle voiture de l’année hier soir, à l’Art Car réalisée par Costa pour OAK Racing en passant par Peugeot Onyx et bien d’autres, voici ce que vous pourrez découvrir.

    Préambule : il y a très peu de « protections » autour des différents concept cars présentés lors de cette exposition. Certains sont même très simplement présentés sans le moindre filin.

    Aucune grande nouveauté mais, pour beaucoup, ce sera l’occasion de voir « en vrai » des modèles d’exception qui ne trouvent généralement leur place que dans des salons.

    Peugeot est présent avec Onyx, 308 R Concept, 208 T16 Pikes Peak et 908 HDI FAP sur le stand RM Auctions. Onyx a vieilli depuis sa première présentation. Le cuivre s’est oxydé (c’est une volonté de la marque) et donne une nouvelle teinte au concept. Très réussi !

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    Ambiance particulièrement sportive chez Citroën avec C-Elysée WTCC (la voiture actuellement développée par Sébastien Loeb, Yvan Muller et Jose Maria Lopez) et DS3 R5 (la petite soeur de la WRC) qui accompagnent C-Cactus (à moins d’une semaine de la révélation du modèle de série) et Wild Rubis.

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    Twin’Z et Twin’Run sont présents pour continuer à propager l’idée que la troisième génération de Twingo arrivera cette année. Initiale Paris est aussi exposé.

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    Les BMW Gran Lusso Pinifarina, Opel Monza Concept, Kia Provo sont également présentées.

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    Il y a aussi d’autres choses plus exotiques comme l’Icona Vulcano ou la Giugiaro Parcour Concept.

    Quelques modèles en phase de commercialisation sont aussi exposés. Porsche montre son Macan et la 918 Spyder. Aston Martin présente une Vanquish Volante, BMW expose une i3 et une place de choix est réservée à Alfa Romeo pour sa 4C élue hier plus belle voiture de l’année.

    Déjà vue et présentée sur AUTOcult.fr, OAK Racing affiche à nouveau son Art Car basée sur une Morgan-Nissan LM P2.

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    Avant une vente aux enchères, RM Auctions aligne quelques modèles en vente : Mercedes 300 SL, Porsche 956 Groupe C, Gordini Type 24S, Peugeot 908 HDI FAP et Porsche 917-30 Can Am.

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    Le Festival Automobile International est ouvert du 29 janvier au 2 février. Tarif : 10 euros, tarif réduit : 6 euros et gratuit pour les moins de 10 ans.

  • La plus belle voiture de l’année est l’Alfa Romeo 4C

    La plus belle voiture de l’année est l’Alfa Romeo 4C

    Alfa Romeo remporte le prix de la plus belle voiture de l’année pour sa 4C à l’occasion de la soirée de remise des prix du Festival Automobile International. Elle succède à la Mercedes Classe A.

    Le concept de la plus belle voiture de l’année
    L’élection de la plus belle voiture de l’année a été créée en 1987. D’abord propriété d’un jury, le vote a été ouvert au public, par le minitel, le téléphone et désormais internet.

    Les modèles doivent être inscrits par son constructeur. La commercialisation doit avoir débuté durant l’année et le tarif doit être inférieur à 55 000 euros.

    Les candidats de cette édition 2013 étaient :
    – Alfa Romeo 4C
    – BMW Série 4
    – Jeep Grand Cherokee
    – Lexus IS 300h
    – Mazda3
    – Mercedes CLA
    – Peugeot 308
    – Renault Captur

    Depuis mi-décembre, les Peugeot 308, Jeep Grand Cherokee, Lexus IS 300h et Renault Captur ont été éliminés de la compétition. Ce soir, il n’en restait que quatre. Le public a donc désigné l’Alfa Romeo 4C à 40,7 %. Suivent les BMW série 4 (25,5%), Mercedes CLA (22,2%) et Mazda 3 (11,6%).

    Le palmarès complet :
    2013 : Alfa Romeo 4C
    2012 : Mercedes Classe A
    2011 : BMW Série 3
    2010 : Citroën DS4
    2009 : Peugeot RCZ
    2008 : Alfa Romeo MiTo
    2007 : Renault Laguna Estate
    2006 : Audi TT
    2005 : Alfa Romeo Brera
    2004 : Mercedes SLK
    2003 : Nissan 350 Z
    2002 : Mercedes CLK
    2001 : Mercedes Classe C Coupé Sport
    2000 : BMW Série 3 Coupé
    1999 : Jaguar S-Type
    1998 : Peugeot 206
    1997 : Peugeot 406 Coupé
    1996 : Mitsubishi Carisma
    1995 : Peugeot 406
    1994 : Renault Laguna
    1993 : Citroën Xantia
    1992 : Renault Safrane
    1991 : BMW Série 3
    1990 : Lexus LS 400
    1989 : Citroën XM
    1988 : Alfa Romeo 164
    1987 : BMW 735i

    Les autres prix décernés ce soir

    Grand Prix de la plus belle Supercar : Porsche 918 Spyder
    Grand Prix du plus beau concept car : Aston Martin CC100
    Grand Prix du plus beau livre : Voitures de rêve, les supercars du XXIe siècle par Ron Kimball et Massimo Mambretti, chez Gründ
    Grand Prix du plus beau film publicitaire : Wedding pour la Fiat 500L Trekking
    Grand Prix de l’art : Renault Art Collection pour l’exposition Machines fantastiques
    Grand Prix d’architecture : Lavigne-Cheron architectes pour le pont Chaban-Delmas à Bordeaux
    Grand Prix de la plus belle photographie : Last Action Hero par Lies de Mol
    Grand Prix de l’environnement : BMW Group pour la gamme BMWi
    Grand Prix du plus bel intérieur : Peugeot 308
    Grand Prix Creativ’ Experience : Audi eKurzinfo
    Grand Prix du design : Peter Schreyer pour Hyundai Kia Design Centers
    Grand Prix BMW Young Designer Award : iC2
    Palme d’Or : Vincent Bolloré

  • Concept Car : Dodge Razor

    Concept Car : Dodge Razor

    Au début du millénaire, les marques américaines cherchent l’inspiration dans leur passé. Chez Chrysler, on lance Dodge dans les années 1960 et on adopte le nom d’une marque de skate.

    Et voici la Dodge Razor avec un moteur 4 cylindres turbo de 2,4 litres de 250 chevaux et une boîte 6 vitesses Mercedes. Mais surtout un sacré look !

  • Concept Car : Renault Argos

    Concept Car : Renault Argos

    Vous vous souvenez de Wind ? Renault avait fait beaucoup mieux vingt ans avant avec Argos, toujours sur base d’une simple Twingo ! C’était au Salon de Genève 1994.

    « Argos ne se veut ni rétro, ni post-moderniste »… C’était l’angle de communication de Renault qui n’avait pas encore l’idée du « neo-retro » qui a fait le bonheur de certains de ses concurrents.

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    Cette Twingo repensée en cabriolet 3 places de 750 kilogrammes semblaient pourtant s’inspirer de Le Corbusier, Bugatti ou Voisin. Des portes coulissantes dans les flans, un saute-vent rabattable, des rétroviseurs rétractables, des ailettes pour contrôler le refroidissement du moteur : du grand art signé Patrick Le Quément.

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    Renault Argos n’a jamais vu le jour… Impensable ? Peut-être. Mais Renault a tout de même commercialisé son Spider deux ans plus tard !

  • Darwinisme : Toyota Celica

    Darwinisme : Toyota Celica

    Aujourd’hui abandonnée, l’appellation Celica a servi six générations de coupés Toyota entre 1970 et 2006. Six générations qui témoignent de l’évolution de design des coupés durant un peu plus d’un quart de siècle. VNFYPV4BRQHN

    1970 – Toyota présente la Carina au Salon de Tokyo. Entre la Corolla et la Corona, cette nouvelle berline est déclinée en un coupé baptisé Celica. Sous le capot, on trouve des 4 cylindres 1400 et 1600 cm3 de 86 et 115 chevaux.

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    1977 – Les formes sont plus tendues mais la technique n’évolue guerre avec un essieu arrière rigide et la propulsion. Au Japon, un six cylindres est proposé.

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    1981 – Les lignes deviennent anguleuses pour être à la mode. La suspension arrière passe aux roues indépendantes. Les versions six cylindres s’appellent désormais Supra.

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    1985 – En gardant ses angles, la Celica s’affine et gagne de larges surfaces vitrées. Pour la première fois, c’est une traction. Le moteur le plus vendu est un 4 cylindres 16 soupapes de 150 chevaux. Une version Turbo 4×4 sert de base à la Celica Groupe A engagée en rallye.

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    1989 – La mode est désormais au bio. Cette Celica de cinquième génération est la plus réussie avec des phares escamotables. En 1991, une série limitée Carlos Sainz est proposée avec un moteur de 204 chevaux.

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    1994 – La Celica perd ses rondeurs mais gagne des centimètres. Malgré quatre phares à l’avant, la ligne se banalise autant que l’habitacle. Mais elle s’avère plus plaisante à conduire, même avec le petit 1,8 litre de 115 chevaux.

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    1999 – La septième génération change radicalement d’apparence avec l’arrivée de lignes marquées sur le capot et les flancs pour accompagner des phares allongés. Seuls deux moteurs sont proposés en France, des 1,8 litre de 143 et 192 chevaux.

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  • Le plus beau tableau de bord vient d’une Lancia Ypsilon !

    Le plus beau tableau de bord vient d’une Lancia Ypsilon !

    Ceux qui ont eu la chance de se placer dans le baquet d’une Pagani Zonda vous le confirmeront : le tableau de bord de la supercar italienne est parmi les plus beaux de l’histoire automobile. Un peu grâce à la Lancia Ypsilon, un peu grâce à la Rover 45.

    Pagani construit des modèles extraordinaires mais Pagani ne possède pas la puissance industrielle d’autres grands groupes automobiles. Si les châssis en matériaux composites viennent de Modène, les moteurs de la Zonda sont des V12 founis par Mercedes-Benz et préparés par AMG.

    Et d’autres pièces sont également partagées avec d’autres marques. Derrière le volant, l’impressionnant tableau de bord dévoile l’affichage d’une Lancia Ypsilon (mais gradué jusqu’à 400 km/h pour la vitesse) et les commandes de la climatisation viennent d’une Rover 45. Après, ce n’est qu’une question de mise en valeur…

    On retrouve également des éléments de Lamborghini Diablo, Koenigsegg CC ou Gumpert Apollo. Mais c’est forcément moins marquant !

  • La carrosserie française reconnue par l’UNESCO ?

    La carrosserie française reconnue par l’UNESCO ?

    Binder, Gangloff, Kellner, Saoutchik, Figoni-Falaschi, Janssens, Vanvooren… Ils ont donné vie à quelques-uns des plus beaux traits de l’industrie, voire de l’art, automobile. Aujourd’hui, il est question de faire entrer la carrosserie française de 1920 à 1970 au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.

    La Fédération Française des Véhicules d’Epoque, avec l’appui du Ministère de la Culture, cherche à inscrire ce demi-siècle d’histoire comme référence des réussites de l’humanité.

    La France et l’Allemagne ont été les premiers pays à commercialiser des voitures au XIXe siècle. Après la première guerre mondiale, l’industrie s’est déployée. Plusieurs constructeurs automobiles livraient leur création à des carrossiers qui façonnaient alors les lignes de chaque automobile aux désirs de leur clients.

    Delahaye, Delage, Hispano concevaient le châssis et installaient le moteur avant de les confier à ces artistes. Bugatti ne proposait la carrosserie qu’en option. Pour Voisin, la carrosserie est même devenue le premier métier d’une société d’abord orientée vers la mécanique.

  • Comment s’appellera la prochaine Renault ?

    Comment s’appellera la prochaine Renault ?

    L’objectif n’est pas de trouver le scoop ou de participer à une fuite interne qui n’existe pas ! J’ai simplement le « désir » de rappeler que Renault a souvent testé le nom de ses futurs modèles sur des concept-cars (qui n’avait souvent rien à voir avec le segment choisi lors de la commercialisation).

    Vous souvenez-vous de Mégane, Laguna, Scenic, Modus, Vel Satis, Koleos, Fluence, Wind, Zoé ou Captur ? Tous des concepts vus dans les salons et devenus ensuite (au moins l’appellation) des modèles de série.

    Renault Laguna
    Renault Laguna

    Si la filiation de Vel Satis ou Koleos est plutôt évidente, celle des Mégane ou Laguna l’est beaucoup moins !

    Alors, que reste-t-il à Renault ? Initiale, déjà réutilisé depuis, Zoom, Racoon, Argos, Ludo, Fiftie, Pangea, ZO, Talisman, Ellypse, Be Bop, Egeus, Altica, Nepta, Ondelios, Sand’Up, Dezir,  Frendzy, Twin’Z, Twin’Run… A vous de choisir !

  • FIAT suit Volkswagen dans les années 50

    FIAT suit Volkswagen dans les années 50

    Quelques mois après une belle collection de série limitée 50s, 60s et 70s pour les Volkswagen Coccinelle Cabriolet, FIAT propose une « 1957 Edition » pour sa 500.

    Evidemment, ces deux modèles sont parmi les plus emblématiques d’une recherche d’identité vintage. FIAT et Volkswagen ont repris une appellation historique et se sont totalement reposés sur une ligne identifiable depuis des décennies.

    Volkswagen avait proposé trois packs (50s, 60s et 70s) avec des finitions très marquées. Dans le cas de la « Fifties », la Coccinelle Cabriolet recevait une capote en toile noire, une finition en cuir et de magnifiques jantes au look chromé.

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    Aux Etats-Unis, FIAT utilise aujourd’hui la même recette. Couleurs spécifiques pour rappeler les pastels de l’époque, intérieur en cuir, jantes chromées et des badges rétro…

    Il est rare que des séries limitées soient aussi réussies…

  • Dessin : FIAT 500 L

    Dessin : FIAT 500 L

    La FIAT 500 est trop petite ? La marque italienne propose sa déclinaison ‘petit monospace’ avec la 500 L. Si l’architecture est très différente de la citadine, car basée sur la plateforme ‘small’ partagée avec GM, les designers de FIAT se sont attachés à donner un air de famille 500 à celle L.

    La même plateforme est utilisée par les FIAT Grande Punto, Linea, Qubo, Doblo, 500 L et X, Alfa Romeo MiTo, Opel Corsa, Adam, Meriva et Combo, Citroën Nemo et Peugeot Bipper.