Une Renault Supercinq GT Turbo et une Renault 5 Turbo en piste sur le circuit Bugatti du Mans… Une époque qui trouve un relais aujourd’hui avec l’arrivée d’un turbo sur la Nouvelle Clio R.S. 200 EDC !
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Une Renault Supercinq GT Turbo et une Renault 5 Turbo en piste sur le circuit Bugatti du Mans… Une époque qui trouve un relais aujourd’hui avec l’arrivée d’un turbo sur la Nouvelle Clio R.S. 200 EDC !
Neuf ans après la création de la première automobile badgée Honda, la première Civic fait son apparition sur le marché japonais en 1972. Un peu plus de quatre décennies plus tard, nous en sommes déjà à la neuvième génération !
Henry Ford fonde sa première marque automobile en 1901. Moins d’un an plus tard, il cède « Henry Ford Company » qui devient « Cadillac Motor Company ». En 1903, il se lance dans une nouvelle aventure en donnant naissance à « Ford Motor Company » grâce à douze investisseurs et 28 000 dollars.
Cette année-là, le Model A arbore l’appellation Ford Motor Co. avec une bordure art nouveau. Très vite, le logo change de forme pour devenir « scripte avec des ailes ».
En 1911, la signature est intégrée – pour la première fois – à un ovale mais n’apparaît pas sur les voitures. Dès l’année suivante, Henry Ford impose un triangle ailé pour symboliser la vitesse, la légèreté, la stabilité et la robustesse.
Avec l’arrivée du nouveau Model A en 1927, l’ovale arrive pour la première fois sur les capots des Ford. Il n’a été que très peu modifié durant des décennies.
Coup d’oeil dans les ateliers de Maranello en plein assemblage de Ferrari 275 GTB (au premier plan) et de 275 GTS juste derrière. C’était en 1966.
La définition du génie va si bien au fondateur de Lotus : qualité des esprits supérieurs qui les rend capables de créer, d’inventer, d’entreprendre des choses extraordinaires. Et l’ingénieur Colin Chapman était également un bel exemple de l’idée du génie de Diderot : quand la recherche du sublime apparaît comme élément producteur de défauts.
Colin Chapman est un « génial ingénieur ». Et cette supériorité incontestable le rend coupable de drames.
Lors du Salon de Francfort 2011, le stand du Group Lotus présentait une page tirée d’un cahier de notes de Colin Chapman.
En 1975, le Britannique résumait sa vision d’une monoplace de Formule Un sur une seule et unique page.
« Une voiture de course n’a qu’UN seul objectif : GAGNER des courses. Si elle n’atteint pas cet objectif, ce n’est rien d’autre qu’une perte de temps, d’argent et de travail.
Ça semble être logique mais il est nécessaire de se rappeler que l’ingénierie, le coût, l’entretien et la sécurité n’ont aucune importance si la voiture n’est pas capable de gagner régulièrement. »
La suite est aussi poignante lorsque l’on sort les statistiques de décès en Formule Un par constructeurs. Cinq pilotes sont morts au volant d’une Lotus lors de Grands Prix de F1. Et c’est sans compter Jim Clark, décédé en F2, ou John Dawson-Damer, dont l’accident fatal a eu lieu à Goodwood lors d’une démonstration en 2000. Seule la Scuderia Ferrari déplore davantage de morts (6) mais sur une période plus longue.
« Il faut d’abord que la voiture soit capable de faire un tour de circuit plus rapidement que toute autre voiture, avec un minimum de talent de la part du pilote, et être assez résistante pour terminer la course.
Après cela, et seulement après, sans le moindre compromis concernant l’objectif de base, il faut considérer le coût de la voiture, sa simplicité, sa sécurité et son entretien. Mais aucun de ces aspects ne peut décaler d’un iota l’idée que la voiture doit être la plus rapide. Assez bon n’est juste pas assez bon pour gagner et continuer de gagner. »
Six ans avant que Colin Chapman n’écrive cette page, il avait reçu une lettre de Jochen Rindt, choqué après une violente sortie de piste provoquée par la perte de l’aileron de sa Ford 49 (en photo).
« Vos voitures sont si rapides qu’elles resteraient compétitives avec quelques kilogrammes supplémentaires bien utilisés pour renforcer les pièces les plus légères. Je ne peux piloter qu’une voiture en laquelle j’ai confiance. Et j’ai la sensation que je suis proche de n’avoir aucune confiance. »
Rindt est resté aux côtés de Colin Chapman en 1970. Sa Lotus 72C était déjà dans la lignée de ce qui sera écrit en 1975. La plus rapide sans aucun compromis. A tel point qu’en roulant sans aileron, avec des rapports de boîte de vitesses plus longs pour atteindre 330 km/h en pointe, l’Allemand perdait le contrôle de sa monoplace au freinage de la Parabolica de Monza. L’enquête déterminait que la sortie de piste était due à la défaillance du frein avant droit. Et Jochen Rindt devint le premier et le seul Champion du Monde à titre posthume. Sacrifice du génie.
Citation d’Henry Ford, Américain, fondateur de Ford : « Lorsque je vois une Alfa Romeo, j’ôte mon chapeau. »
A Retromobile, il n’y a pas que les grands constructeurs qui créent l’évènement. Voici ce que l’on a pu voir dans les allées d’un salon immanquable chaque année !
Pour lancer les festivités du cinquantième anniversaire de la 911, Porsche expose plusieurs modèles de la lignée. Le prototype T7 fait sa première apparition en France !
Double hommage sur le stand BMW de Retromobile 2013 avec la présence des mythiques 328 et M1 exposées aux côtés des plus récentes 328 Hommage et M1 Hommage.
La visite du stand Peugeot débute par le trentième anniversaire de la Peugeot 205. L’exposition est également centrée sur les coupés avec les 203, 301 D, 401 Eclipse, 404, 504 avec une grande participation des clubs de la marque.
Citroën baptise son exposition « Les Citroën découvrables et cabriolets ». L’idée est de mettre en avant l’arrivée de la DS3 Cabrio en la présentant aux côtés d’une Type A décapotable de 1919, d’une B12 Torpédo de 1926, d’une DS19 Cabriolet de 1964 et du concept C5 Airscape de 2007.
Autour du stand officiel, une exposition spécifique DS et des stands de clubs présentent d’autres modèles historiques.
Le vingtième anniversaire de la Renault Twingo, quelques modèles spécifiques dont une Victoria Rothschild de 1913, une Alpine A220 V8, une balayeuse de 1913, une Nerva Grand Sport de 1937 et la Formule 1 RS01, et l’Alpine-Renault A110 de Jean-Claude Andruet et « Biche » du tout récent Rallye Monte-Carlo historique. Ce sont les voitures à voir sur le stand Renault de Retromobile 2013.