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  • Les voitures électrifiées les plus vendues en France

    Les voitures électrifiées les plus vendues en France

    Voici les chiffres d’immatriculations de voitures 100 % électrique et de PHEV en France durant le mois de février 2021.

    BEV
    1 Peugeot e-208 1 484
    2 Tesla Model 3 1 166
    3 Renault Zoe 1 074
    4 Renault Twingo 810
    5 FIAT 500e 645
    6 Kia e-Niro 567
    7 Peugeot e-2008 446
    8 Volkswagen ID.3 361
    9 Hyundai Kona 300
    10 Opel Corsa-e

    PHEV
    1 Peugeot 3008 1 104
    2 Renault Captur 817
    3 Citroën C5 Aircross 448
    4 Mercedes GLC 412
    5 DS 7 CROSSBACK 394
    6 Volvo XC40 371
    7 Ford Kuga 302
    8 Peugeot 508 280
    9 MINI Countryman 263
    10 BMW X5 262

    Source : AVERE.

  • Les 10 modèles les plus vendus en France en 2021

    Les 10 modèles les plus vendus en France en 2021

    Voici le détail des dix modèles les plus vendus en France depuis le début de l’année 2021

    1 – Peugeot 208

    La Peugeot 208 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle a été élue voiture de l’année 2020 et elle succède à la Peugeot 208 de première génération, produite de 2012 à 2019. Des Peugeot 208 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Kénitra (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 16 014
    Part de marché : 6,2 %

    2 – Dacia Sandero

    La Dacia Sandero est une voiture de segment B commercialisée depuis 2021. Elle succède à la Dacia Sandero de deuxième génération, produite de 2012 à 2021. Des Dacia Sandero sont assemblées à Pitesti (Roumanie), Tanger et Casablanca (Maroc).

    Nombre d’immatriculation : 13 289
    Part de marché : 5,1 %

    3 – Peugeot 2008

    La Peugeot 2008 est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Peugeot 2008 de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Peugeot 2008 sont assemblées à Vigo (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 12 849
    Part de marché : 5,0 %

    4 – Renault Clio

    La Renault Clio est une voiture de segment B commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Clio de quatrième génération, produite de 2012 à 2019. Des Renault Clio sont assemblées à Bursa (Turquie), Novo Mestro (Slovénie) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 12 160
    Part de marché : 4,7 %

    5 – Citroën C3

    La Citroën C3 est une voiture de segment B commercialisée depuis 2016. Elle succède à la Citroën C3 de deuxième génération, produite de 2009 à 2016. Des Citroën C3 sont assemblées à Trnava (République Tchèque) et Oran (Tunisie).

    Nombre d’immatriculation : 11 199
    Part de marché : 4,3 %

    6 – Peugeot 3008

    La Peugeot 3008 est une voiture de segment C-SUV commercialisée depuis 2016. Elle a été élue voiture de l’année 2017 et elle succède à la Peugeot 3008 de première génération, produite de 2009 à 2016. Des Peugeot 3008 sont assemblées à Sochaux (France), Oran (Tunisie), Walvis Bay (Namibie) et Gurun (Malaysie).

    Nombre d’immatriculation : 8 843
    Part de marché : 3,4 %

    7 – Renault Captur

    La Renault Captur est une voiture de segment B-SUV commercialisée depuis 2019. Elle succède à la Renault Captur de première génération, produite de 2013 à 2019. Des Renault Captur sont assemblées à Valladolid (Espagne) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 8 422
    Part de marché : 3,3 %

    8 – Toyota Yaris

    La Toyota Yaris est une voiture de segment B commercialisée depuis 2020. Elle succède à la Toyota Yaris de troisième génération, produite de 2011 à 2020. Des Toyota Yaris sont assemblées à Onnaing (France) et Kanegasaki (Japon).

    Nombre d’immatriculation : 6 972
    Part de marché : 2,7 %

    9 – Peugeot 308

    La Peugeot 308 est une voiture de segment C commercialisée depuis 2013. Elle succède à la Peugeot 308 de première génération, produite de 2007 à 2013. Des Peugeot 308 sont assemblées à Sochaux (France) et Wuhan (Chine).

    Nombre d’immatriculation : 5 665
    Part de marché : 2,2 %

    10 – Renault Twingo

    La Renault Twingo est une voiture de segment A commercialisée depuis 2014. Elle succède à la Renault Twingo de deuxième génération, produite de 2007 à 2014. Des Renault Twingo sont assemblées à Novo Mesto (Slovénie).

    Nombre d’immatriculation : 5 197
    Part de marché : 2,0 %

  • Voiture de l’Année : tous les podiums depuis 1964 !

    Voiture de l’Année : tous les podiums depuis 1964 !

    Les podiums de l’élection de la voiture de l’année depuis sa création.

    Year Winner Points Second place Points Third place Points
    1964 Rover 200 76 Mercedes 600 64 Hillman Imp 31
    1965 Austin 1800 78 Autobianchi Primula 51 Ford Mustang 18
    1966 Renault 16 98 Rolls-Royce Silver Shadow 81 Oldsmobile Toronado 59
    1967 FIAT 124 144 BMW 1600 69 Jensen FF 61
    1968 NSU Ro 80 197 FIAT 125 133 Simca 1100 94
    1969 Peugeot 504 119 BMW 2500/2800 77 Alfa Romeo 1750 76
    1970 FIAT 128 235 Autobianchi A112 96 Renault 12 79
    1971 Citroën GS 233 Volkswagen K70 121 Citroën SM 105
    1972 FIAT 127 239 Renault 15/17 107 Mercedes 350SL 96
    1973 Audi 80 114 Renault 5 109 Alfa Romeo Alfetta 95
    1974 Mercedes 450SE 115 FIAT X1/9 99 Honda Civic 90
    1975 Citroën CX 229 Volkswagen Golf 164 Audi 50 136
    1976 Simca 1307-1308 192 BMW 3 Series 144 Renault 30 TS 107
    1977 Rover 3500 157 Audi 100 138 Ford Fiesta 135
    1978 Porsche 928 261 BMW 7 Series 231 Ford Granada 203
    1979 Simca-Chrysler Horizon 251 FIAT Ritmo 239 Audi 80 181
    1980 Lancia Delta 369 Opel Kadett 301 Peugeot 505 199
    1981 Ford Escort Mk.III 326 FIAT Panda 308 Austin Metro 255
    1982 Renault 9 335 Opel Ascona 304 Volkswagen Polo 252
    1983 Audi 100 410 Ford Sierra 386 Volvo 760 157
    1984 FIAT Uno 346 Peugeot 205 325 Volkswagen Golf 156
    1985 Opel Kadett 326 Renault 25 261 Lancia Thema 191
    1986 Ford Scorpio 337 Autobianchi Y10 291 Mercedes-Benz 200-300E 273
    1987 Opel Omega 275 Audi 80 238 BMW 7 Series 175
    1988 Peugeot 405 464 Citroën AX 252 Honda Prelude 234
    1989 FIAT Tipo 356 Opel Vectra 261 Volkswagen Passat 194
    1990 Citroën XM 390 Mercedes-Benz SL 215 Ford Fiesta 214
    1991 Renault Clio 312 Nissan Primera 258 Opel Calibra 183
    1992 Volkswagen Golf 276 Opel Astra 231 Citroën ZX 213
    1993 Nissan Micra 338 FIAT Cinquecento 304 Renault Safrane 244
    1994 Ford Mondeo 290 Citroën Xantia 264 Mercedes-Benz C 192
    1995 FIAT Punto 370 Volkswagen Polo 292 Opel Omega 272
    1996 FIAT Bravo/Brava 378 Peugeot 406 363 Audi A4 246
    1997 Renault Mégane Scénic 405 Ford Ka 293 Volkswagen Passat 248
    1998 Alfa Romeo 156 454 Volkswagen Golf 266 Audi A6 265
    1999 Ford Focus 444 Opel Astra 269 Peugeot 206 248
    2000 Toyota Yaris / Yaris Verso 344 FIAT Multipla 325 Opel Zafira 265
    2001 Alfa Romeo 147 238 Ford Mondeo 237 Toyota Prius 229
    2002 Peugeot 307 286 Renault Laguna 244 FIAT Stilo 243
    2003 Renault Mégane 322 Mazda 6 302 Citroën C3 214
    2004 FIAT Panda 281 Mazda 3 241 Volkswagen Golf 241
    2005 Toyota Prius 406 Citroën C4 267 Ford Focus 228
    2006 Renault Clio 256 Volkswagen Passat 251 Alfa Romeo 159 212
    2007 Ford S-Max 235 Opel Corsa 233 Citroën C4 Picasso 222
    2008 FIAT 500 385 Mazda 2 325 Ford Mondeo 202
    2009 Opel Insignia 321 Ford Fiesta 320 Volkswagen Golf 223
    2010 Volkswagen Polo 347 Toyota iQ 337 Opel Astra 221
    2011 Nissan Leaf 257 Alfa Romeo Giulietta 248 Opel Meriva 244
    2012 Opel Ampera / Chevrolet Volt 330 Volkswagen up! 281 Ford Fiesta 256
    2013 Volkswagen Golf 414 Toyota GT-86 / Subaru BRZ 202 Volvo V40 189
    2014 Peugeot 308 307 BMW i3 223 Tesla Model S 216
    2015 Volkswagen Passat 340 Citroën C4 Cactus 248 Mercedes-Benz Classe S 221
    2016 Opel Astra 312 Volvo XC90 294 Mazda MX-5 202
    2017 Peugeot 3008 319 Alfa Romeo Giulia 296 Mercedes-Benz Classe E 197
    2018 Volvo XC40 325 SEAT Ibiza 242 BMW Série 5 226
    2019 Jaguar I-Pace 250 Alpine A110 250 Kia Ceed 247
    2020 Peugeot 208 281 Tesla Model 3 242 Porsche Taycan 222
    2021 Toyota Yaris 266 FIAT 500 240 Cupra Formentor 239
  • Hannu Mikkola : champion pour l’ensemble de sa carrière

    Hannu Mikkola : champion pour l’ensemble de sa carrière

    Est-ce que le rallye serait ce qu’il est aujourd’hui en Finlande sans Hannu Mikkola ? Le Champion du Monde 1983 fut l’un des pères fondateurs du concept des Flying Finns.

    Étalée sur trois décennies, sa carrière au plus haut niveau avait d’abord eu bien du mal à décoller : la faute à une grave dépendance à l’alcool qu’il confessait bien volontiers. Comme pour montrer la voie à ceux qui ne pensent plus pouvoir s’en sortir, il répétait qu’il n’avait plus bu une goutte d’alcool depuis 1976. Cette décision et celle de suivre Stuart Turner chez Ford furent celles qui ont définitivement lancé sa carrière.

    Hannu Mikkola était l’archétype de ce que l’on verra chez tous les futurs champions finlandais : invincible à domicile, intouchable en Grande-Bretagne et rapide partout ailleurs. Vainqueur de sept Rallyes des 1000 Lakes (4 depuis la création du Championnat du Monde), quatre fois vainqueur du RAC, Mikkola s’est aussi imposé sur des épreuves longues distances comme le Londres-Mexico ou le Safari Rally où il fut le premier résident non-africain à monter sur la plus haute marche du podium.

    Vice-Champion 1979 et 1980, il est le premier pilote de pointe à croire au projet Audi avec sa quatre roues motrices Quattro. Troisième du championnat 1981 alors qu’Ari Vatanen devient le premier Finlandais Champion du Monde, il termine encore troisième en 1982 avec de gros problèmes de fiabilité. En quand, enfin, Lancia décide d’abandonner le titre pilotes pour célébrer celui des constructeurs, Hannu Mikkola se trouve récompensé. En 1983, il n’était plus le plus rapide, mais ce titre vient saluer l’ensemble d’une carrière. Troisième fois vice-champion en 1984 avec un record de victoires mondiales à l’époque (18), il continuera encore de rouler épisodiquement durant une dizaine d’années.

    Vivant entre sa Finlande et la Floride où il passait la moitié de son temps à jouer au golf, il avait été admis au Hall of Fame du rallye en 2011.

  • Une voiture peut-elle être végane ?

    Une voiture peut-elle être végane ?

    Cherchant davantage à réduire les coûts qu’autre chose, certains constructeurs commencent à multiplier les communications autour de pièces véganes dans leur modèle, en lieu et place du cuir historique de provenance animale. Encore du bullshit ?

    Le véganisme est en plein essor. La vie à base de plantes est considérée comme une manière plus durable de prendre soin de la planète. Point positif : l’origine des matériaux utilisés dans les produits de tous les jours suscite plus d’intérêt que jamais.

    Mais comment l’automobile gère-t-elle cette question. Premier élément réglementaire : aucun animal ne peut être tué pour sa peau, c’est la loi. Le cuir naturel présent dans les voitures provient d’élevages de viande. Et pour résumer simplement, plus le cuir est beau et fait de larges pièces, plus on peut penser que la bête a bien vécu, en extérieur et avec un minimum de contraintes. Mais pour les véganes, même ce recyclage sous forme d’upcycling reste intolérable.

    Une voiture peut-elle être végane ?

    Non, répond The Vegan Society. Cet organisme s’est intéressé au sujet et la conclusion est sans appel. Au-delà des matières utilisées dans l’habitacle, l’acier du châssis peut recevoir de la graisse animale lors de la lubrification et les pneumatiques sont vulcanisés avec d’autres formes de graisses.

    Aux États-Unis, PETA a établi une liste de modèles aux intérieurs véganes, c’est-à-dire sans cuir sur les sièges, le volant ou le levier de commande de boîte de vitesses. Sans surprise, cette liste répertorie les modèles les plus bas de gamme… Mis à part la Polestar 2.

    Mieux vaut du vrai cuir que des matières transformées (sauf pour les véganes)

    Un vrai végane évitera le cuir naturel. Pourtant, les alternatives sont souvent une ineptie environnementale. One 4 Leather rappelle : « Aucun animal n’est tué pour votre siège d’auto. Ce cuir est un sous-produit de la viande bovine et de l’élevage laitier, et tant qu’un pourcentage massif de la population mondiale mange de la viande, il y aura toujours des déchets qui pourront être mis à profit. »

    Ce cuir, aussi beau soit-il, est d’abord un déchet qu’il convient d’utiliser au mieux au lieu de produire une matière supplémentaire. Car, dans ce cas, le « cuir » vegan (qui n’est pas du cuir) est très souvent fabriqué à partir de matières plastiques… Donc issu du raffinage du pétrole.

     

  • Iain Faulkner, artiste contemplatif

    Iain Faulkner, artiste contemplatif

    Des hommes de dos entourés de voitures légendaires. L’homme, anonyme, objet central mais caché, est une figure de l’oeuvre d’Iain Faulkner. Il agit comme s’il était le spectateur qui regarde la même scène.

    « Mes principales influences artistiques sont Hopper et Vermeer pour leur travail sur la lumière permettant de capturer des moments calmes et contemplatifs », raconte le peintre. « Pour moi, il est important de toujours regarder autant d’art que possible et de visiter les musées et les galeries d’art. »

    Les peintures de Faulkner sont concernées par la représentation d’images fortes et puissantes reposant sur l’impact visuel. Il s’agit de capturer des moments calmes et contemplatifs, des échanges intimes, de la solitude, parfois de la mélancolie, accentués dans leur résonance par l’utilisation du clair-obscur.

    « Je travaille sur le thème AM/PM, où des moments tranquilles et contemplatifs sont volés au début et à la fin de la journée depuis divers endroits allant des plages écossaises aux balcons de grandes villes avec une forte identité. »

    Iain Faulkner est né à Glasgow en 1973. Il est diplômé de la Glasgow School of Art en beaux-arts.

     

  • Cinq montres à tachymètre

    Cinq montres à tachymètre

    Tag Heuer Carrera

    Créée en 1963, la collection Carrera fut la première chez Heuer à disposer de son propre nom de marque. La Carrera représentait une avancée en termes de design. Inspiré par les pilotes et les fans de sports automobiles, Jack Heuer avait besoin d’un nom qui évoque parfaitement l’esprit de la course automobile. Quoi de mieux alors que le nom Carrera, emprunté à la légendaire Carrera Panamericana ?

    Jack Heuer estimait que le nom Carrera, facile à prononcer et identifiable partout dans le monde, illustrait bien la rupture vis-à-vis des chronographes existants. La première Carrera 12 était animée par le calibre Valjoux 72, aussi installé dans la Rolex Daytona. Le vif succès remporté par la Heuer Carrera ouvrit la voie à d’autres succès.

    Le design du chronographe a évolué au fil des ans tout en restant fidèle à l’esprit de la collection. Avec le tachymètre, dans la série des « Carrera Sport », mon choix 2021 se porte sur la CBN2A1B.BA0643 : cadran noir et compteurs noirs sur un calibre Manufacture Heuer Calibre 02.

    Tarif : 5 450 euros

    Omega Speedmaster

    Pour tous, c’est la Moonwatch. Et pourtant, lors de son développement, l’Omega Speedmaster était pensée pour les pilotes de course !

    Le surnom « Moonwatch » fut attribué à la Speedmaster lorsqu’en 1962 la NASA l’a soumise à une batterie de tests. Omega est sorti vainqueur d’une finale face à une Bulova, une Longines-Wittnauer, une Rolex et une Waltham.

    Si le design a évolué au fil de génération, il est récemment revenu à un dessin très proche des années 1960. Mon choix se porte sur la Moonwatch Professionnal Co-Axial Master Chronometer Chronograph 42 mm 310.30.42.50.01.002.

    Tarif : 7 000 euros (tarif de base à 4 700 euros).

    Rolex Cosmograph Daytona

    C’est le plus célèbre, le plus emblématique. Commercialisé depuis 1963, il aurait dû s’appeler « Le Mans »… Mais pour mieux pénétrer le marché américain, Rolex a choisi Daytona. Et, à partir de 1964, tous les vainqueurs des 24 Heures de Daytona l’ont reçu en dotation.

    La Rolex Daytona est sans nul doute la montre sportive de collection par excellence et le chronographe contemporain le plus populaire au monde. Les Daytona vintage ont d’ailleurs un charme qui les rend uniques et des tarifs qui battent des records lors de chaque transaction.
    La Daytona reste un chronographe qui séduit au-delà du monde du sport automobile. Problème : la production est très, très largement inférieure à la demande. Il est impossible de s’en procurer un exemplaire neuf et les prix de l’occasion sont indécents.

    Mon choix 2021 est une Cosmograph Daytona Or Gris 116519LN.

    Tarif : 37 100 euros (tarif de base à 12 400 euros).

    Zenith El Primero

    En 1969, Zenith écrit une page d’histoire de l’horlogerie. La marque suisse présente le tout premier chronographe automatique au monde, baptisé El Primero.

    Le calibre référencé 3019 PHC est un véritable chef-d’œuvre qui pose les bases de la famille de mouvements El Primero. Les composants pour la fonction chronographe sont directement intégrés au calibre. Résultat : le mouvement est plus fin que la plupart des calibres chronographes à remontage manuel de l’époque avec une fréquence d’oscillation de 36 000 alternances par heure.

    Moins enclin au marketing, Zenith a perdu la main face aux mastodontes Rolex, Tag ou Omega, mais l’El Primero revient à la mode auprès d’un public de connaisseurs.

    Mon choix 2021 : Chronomaster El Primero Open 03.2040.4061/69.M2040

    Tarif : 9 200 euros (tarif de base à 7 800 euros)

    Chopard Mille Miglia

    Sans atteindre la notoriété d’une Daytona, la Mille Miglia est aussi une montre qui est devenue historique dans le monde du sport automobile grâce au partenariat de la maison Chopard avec les organisateurs de l’épreuve italienne voulu par Karl-Friedrich Scheufele.

    Mouvement certifié par le COSC sur base de Valjoux, design vintage modernisé, la Mille Miglia reprend tous les codes.

    Mon choix 2021 : Mille Miglia Classic Chronograph 168589-3003

    Tarif : 5 500 euros (tarif de base 4 930 euros)

  • Le Rallye Antibes Côte d’Azur en version Esport pour soutenir les sinistrés

    Le Rallye Antibes Côte d’Azur en version Esport pour soutenir les sinistrés

    Annulé dans sa forme habituelle compte-tenu de la situation climatique catastrophique de l’arrière-pays niçois et en soutien aux sinistrés ainsi qu’aux personnes actives sur le terrain, le Rallye Antibes Côte d’Azur organise une épreuve Esport, accompagnée d’un appel aux dons.

    Déjà décalé en raison de la crise sanitaire, le Rallye Antibes Côte d’Azur avait trouvé une nouvelle date dans le calendrier. Les efforts des équipes de l’ASA Antibes promettaient une épreuve exceptionnelle. Malheureusement, la tragédie survenue avec la tempête Alex a anéanti les chances de voir se dérouler le traditionnel Rallye Antibes Côte d’Azur, installé depuis plusieurs décennies dans la région.

    En réaction, le comité d’organisation lance le 1er Rallye Antibes Côte d’Azur Esport, disputé du 12 au 18 octobre sur DiRT Rally 2.0, disponible sur PC, PlayStation 4 et Xbox One. Les participants devront choisir une voiture de la catégorie R5 (Citroën C3 R5, Ford Fiesta R5, Mitsubishi Space Star R5, Peugeot 208 R5 T16, Skoda Fabia R5 ou Volkswagen Polo GTI R5) pour affronter les spéciales tracées autour du Col de Turini.

    Cette épreuve s’accompagne d’un appel aux dons, déjà lancé par le Conseil Départemental des Alpes-Maritimes : http://www.bit.ly/AppelAuxDonsPourLe06

    Chaque participant doit s’inscrire grâce à ce formulaire pour pouvoir participer :  https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeGrUkGD2EWAhGDxphV-fJxlY9vtFoNs_rE7Y0yS0f7X8kP3w/viewform

    Après la demande d’engagement, les participants doivent s’enregistrer dans DiRT Rally 2.0 : https://dirtrally2.dirtgame.com/clubs/club/334297.

    Un classement individuel et un classement par équipe (addition des temps des deux meilleurs représentants d’une équipe) seront établis.

    Règlement à télécharger ici.

  • « Un autre regard » : DS Automobiles à la Paris Fashion Week

    « Un autre regard » : DS Automobiles à la Paris Fashion Week

    DS Automobiles présente un nouveau shooting photo édito mode pour la Paris Fashion Week® Femme Printemps / Été 2021. Cette seconde édition d’Un Autre Regard a pris vie sur les vestiges du Château Royal de Montceaux-Lès-Meaux. Bâti au début du XVe siècle, il avait été acheté par Henri II pour en faire don à sa femme, la Reine de France Catherine de Médicis. Le château a été détruit après la Révolution et le domaine est aujourd’hui classé Monument historique.

    Résolument avant-gardiste à l’époque, le Château mêle aujourd’hui ruines et vestiges, au milieu de colonnes et d’un pavillon restauré. C’est dans ce décor que l’ensemble des concept-cars présentés depuis la création de la Marque, DS AERO SPORT LOUNGE, DS X E-TENSE, DS E-TENSE et DS DIVINE, ont pris la pose avec deux modèles, Justine Nicolas et Olivia Valin, et les looks de trois marques émergentes de la mode internationale : Boyarovskaya, Thebe Magugu et Mossi.

    Quatre tableaux ont été créés en plein contraste entre la fascination du patrimoine et la modernité des savoir-faire portés par les créateurs et les concept-cars de DS Automobiles. Laurent Nivalle (photos) et Emmanuel Rouyer (vidéos) ont saisi les forces des différentes lignes pour concevoir un nouveau chapitre d’Un Autre Regard.

    « La mode est une source d’inspiration pour l’identité de la marque DS », rappelle Laurent Nivalle, Global Brand Designer de DS Automobiles et photographe de cette édition d’Un Autre Regard. « Nous sommes influencés par Ernst Haas, Saul Leiter, Hedi Slimane ou Peter Lindbergh et le cinéma. Dans ces domaines, l’automobile a toujours eu une place prépondérante et il nous paraissait important, en tant que marque d’avant-garde, d’utiliser cette relation entre l’auto et la mode. Dans ce shooting, les concept-cars DS jouent un rôle majeur aux côtés de jeunes créateurs qui ont un regard frais et nouveau dans leur propre monde. Les vestiges du Château Royal de Montceaux-Lès-Meaux créent des contrastes de lumières, de couleurs, de formes, de lignes… qui sont dans mes codes de photographe. Le patrimoine est très présent et un grand écart avec des modèles comme DS DIVINE ou DS E-TENSE qui racontent l’histoire de notre marque. Cette alchimie montre ce qu’est DS Automobiles aujourd’hui entre tradition et modernité. »

    Les photos seront à découvrir sur le compte Instagram @DS_Official /@dsfrance durant toute la durée de la Paris Fashion Week®.

    La Paris Fashion Week® Mode Féminine Prêt-à-Porter Printemps / Eté 2021 se déroule du 28 septembre au 6 octobre, en partenariat avec DS Automobiles. 84 maisons sont inscrites au calendrier officiel avec des évènements physiques et digitaux. Les invités iront sur les lieux des 19 défilés et des 20 présentations à bord de DS 7 CROSSBACK E-TENSE 4×4 300, modèle hybride rechargeable symbole du raffinement français dans l’automobile. Avec 75 kilomètres d’autonomie en mode zéro émission (norme WLTP City), DS 7 CROSSBACK E-TENSE 4×4 300 ouvre la voie à une nouvelle façon de se déplacer, plus agréable, plus efficiente et plus sûre.

  • L’Opel Corsa-e en tête du Championnat E-Rallye FIA !

    L’Opel Corsa-e en tête du Championnat E-Rallye FIA !

    Premier rallye : première victoire ! Confiée à Artur Prusak et Thierry Benchetrit par l’équipe française ÉQUIPE BLEUE, la nouvelle Opel Corsa-e se place déjà en tête du Championnat E-Rallye FIA après un succès sur les routes islandaises.

    Créé au début des années 2000 pour promouvoir les énergies alternatives dans le sport automobile, le Championnat E-Rallye est devenu 100 % électrique depuis 2017, sous l’impulsion de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA). Cette compétition, réservée aux voitures strictement de série, combine un rallye de régularité chronométré au dixième de seconde à une course d’efficience où chaque Wh est comptabilisé.

    Première manche du calendrier 2020, l’eRally Iceland proposait un parcours de 703 kilomètres, dont 407 kilomètres de régularité répartis sur 21 zones distinctes.

    Déjà vainqueurs de l’édition 2019 organisée autour de Reykjavik, Artur Prusak et Thierry Benchetrit avaient choisi la nouvelle Opel Corsa-e pour défendre leur titre. Ils ont dominé la concurrence à partir de la troisième des cinq étapes – réparties sur moins de 48 heures – pour gagner le classement Régularité.

    L’Opel Corsa-e s’est également montrée plus efficiente que le reste du plateau en ne consommant que 15,11 kWh / 100 km de moyenne tout au long de l’itinéraire imposé.

    Au cumul des deux classements, Artur Prusak, Thierry Benchetrit et l’Opel Corsa-e s’imposent avec une avance conséquente.

    « Dans cette discipline, il est primordial de pouvoir compter sur une voiture dynamique, agile et très efficiente », explique Artur Prusak double champion international en 2015 et 2016. « Nous avons dû rouler à des vitesses soutenues, avec du relief et de nombreuses relances. Le châssis était parfait et confortable et la sobriété a fait la différence. En ne consommant que 15,11 kWh / 100 km, en incluant les charges, nous avons été meilleurs que tous les autres équipages. Cette première expérience avec l’Opel Corsa-e est très positive pour préparer la suite de la saison. »

    Au classement du championnat international, Artur Prusak, Thierry Benchetrit et l’Opel Corsa-e se placent en tête avec 45 points.

    Prochaine étape du Championnat E-Rallye FIA dans la région de Lisbonne pour l’Oeiras Ecorally Portugal du 3 au 5 octobre.

    Classement officiel – eRally Iceland 2020
    1 Artur Prusak / Thierry Benchetrit (Opel Corsa-e)
    2 Rebekka Helga Pálsdóttir / Auður Margrét Pálsdóttir (MG ZS EV)
    3 Guido Guerrini / Francesca Olivoni (Volkswagen eGolf)
    4 Jóhann Egilsson / Pétur Wilhelm Jóhannsson (Peugeot e-208)
    5 Didier Malga / Anne-Valérie Bonnel (Renault ZOE)
    6 Emmanuel Burel / Chloé Burel (Nissan Leaf)
    7 Hinrik Haraldsson / Marinó Helgi Haraldsson (Peugeot e-2008)

    Championnat Pilotes/Copilotes FIA (1/4)
    1 Artur Prusak / Thierry Benchetrit 45 points
    2 Rebekka Helga Pálsdóttir / Auður Margrét Pálsdóttir 36 points
    3 Guido Guerrini / Francesca Olivoni 30 points
    4 Jóhann Egilsson / Pétur Wilhelm Jóhannsson 24 points
    5 Didier Malga / Anne-Valérie Bonnel 18 points
    6 Emmanuel Burel / Chloé Burel 15 points
    7 Hinrik Haraldsson / Marinó Helgi Haraldsson 12 points

  • Elon Musk en pilotage autonome

    Elon Musk en pilotage autonome

    La mi-août va devenir un moment privilégié pour les psychologues de l’industrie automobile… Après la sortie déjà légendaire de Carlos Tavares un 14 août chez Bloomberg, c’est au tour d’Elon Musk de tout déballer dans une interview publiée dans le New York Times ce 16 août.

    Au cœur de la Silicon Valley, il y avait un vide après la mort de Steve Jobs, le gourou visionnaire, fondateur, fossoyeur et sauveur d’Apple. Quelques noms sont sortis pour inspirer les milliers d’ambitieux de la région et les rêveurs du monde entier ; un seul s’est imposé. Elon Musk est un personnage de pop culture qui tranche singulièrement du souvenir laissé par Jobs. Né en Afrique du Sud, il n’est pas l’homme d’une seule marque, loin de là. Après avoir cofondé et vendu Zip2 alors qu’il était à l’université de Standord, Elon Musk participe à la création d’une banque en ligne baptisée X.com. Un an plus tard, X.com fusionne avec Confinity dont le programme PayPal va devenir le département clé. Boursier sept ans plus tôt, il récupère 175 millions de dollars de la vente de PayPal à eBay pour 1,5 milliard !

    Nous sommes en 2002, l’accord est en train de se faire avec eBay. Elon Musk lance son plus gros projet : SpaceX. L’objectif est de diviser le coût d’un transport spatial par dix grâce à des lanceurs réutilisables et de convaincre la NASA de lui faire confiance. Le premier contrat, d’un montant de 1,6 milliard de dollars, sera signé en décembre 2008.

    Mais ce n’est pas pour la conquête de l’espace qu’Elon Musk construit sa légende… C’est en intégrant Tesla. À Palo Alto, Martin Eberhard et Marc Tarpenning rêvent d’un roadster électrique. En 2004, Musk investit dans leur projet. Il s’implique, mais la marque peine à générer des bénéfices. En 2008, quelques semaines avant la signature du contrat de SpaceX avec la NASA, Tesla ne peut plus payer ses factures. Elon Musk parvient à boucler un nouveau tour de table avec des investisseurs pour sauver l’entreprise et en prendre le contrôle.

    Loin des quelques centaines de Roadster qui commencent à être distribuées cette année-là, Elon Musk est beaucoup plus ambitieux. Il veut bousculer l’industrie automobile en proposant une gamme de modèles 100 % électrique. Model S, Model Y, Model 3, Tesla atteint son objectif. Elle devient la référence mondiale de l’automobile électrique et des technologies du futur. Elon Musk est cité comme le plus grand visionnaire de son temps. Il continue de vouloir changer le monde avec Hyperloop – une capsule capable de se déplacer à 1 200 km/h –, Powerwall – une batterie domestique – et beaucoup d’autres projets plus ou moins sérieux avec The Boring Company.

    Cette capacité à lancer les tendances, dans plusieurs directions, en fait la coqueluche des médias. Il multiple les unes des magazines et s’offre des apparitions dans des séries à succès. Nouveau gourou de la Silicon Valley, le Real Tony Stark parvient à convaincre les investisseurs de le suivre et le cours de bourse de Tesla progresse à rythme soutenu, tandis que les résultats financiers sont régulièrement décevants. Mais cette soif de vouloir être là, tout le temps, pose également des problèmes.

    Son omniprésence sur Twitter provoque des polémiques, même s’il n’est que timidement dans le top 100 des comptes les plus suivis. Cet été, en cherchant à inventer un mini sous-marin pour venir en aide à des jeunes bloqués dans une grotte inondée en Thaïlande, il s’est englué dans un échange cinglant avec un spéléologue britannique qui a participé au sauvetage réussi. Quand on lui a reproché d’essayer de se faire un coup de pub, il a répondu qu’il pariait que le spéléologue devait être pédophile. Ses excuses ne se sont pas fait attendre, mais son compte Twitter – qu’il contrôle seul – a montré son manque de maîtrise face à la critique.

    Il y a deux ans, un futur client de Tesla avait sévèrement commenté la prestation du businessman lors de la révélation de Model X… La tribune sur Medium a eu une conséquence directe : Elon Musk a annulé le bon de commande et rendu les 5 000 dollars déposés, sans oublier de le signaler sur Twitter.

    L’histoire du spéléologue avait fait chuter l’action Tesla de 3 %. Et la presse avait plus largement réagi sur le manque de discernement très affiché… C’était pourtant loin de mener à une remise en question de l’utilisation de Twitter par l’ancien conseiller de Donald Trump.

    Le 7 août 2018, il lance un tweet : « J’envisage de retirer Tesla du marché à 420 dollars. Les fonds sont garantis. »

    Nous sommes un jeudi. L’homme de 47 ans est en route pour l’aéroport afin de se rendre dans sa Gigafactory dans le Nevada. La bourse est ouverte et elle s’emballe ! De 341 dollars, l’action monte à plus de 387 dollars en séance. Le message de Musk est clair : il montre qu’il peut jouer avec le cours de Tesla. C’est sa réponse aux interrogations des médias sur sa capacité à rendre l’entreprise rentable, mais aussi au marché qui s’amuse continuellement avec les cours.

    Tesla n’a jamais distribué le moindre dividende à ses actionnaires. Les investisseurs de longue date doivent croire au projet et les autres se sucrent sur les fluctuations d’une valeur qui dépasse celles du Groupe Renault et du Groupe PSA réunis, ou des conglomérats américains que sont General Motors et Ford. Tesla est un monstre du capitalisme. Dans le courant de l’année, un quart des actions du flottant était vendue à découvert. C’est-à-dire que le vendeur vend une action qu’il ne détiendra qu’au moment effectif de la vente… Il ne l’achètera qu’à ce moment-là, en misant sur une baisse à venir.

    En manque de liquidité, Tesla s’en remet à sa capitalisation boursière pour faire perdurer le rêve. Mais la plus grande force de l’entreprise est également sa plus grande faiblesse. En assurant qu’il possédait les fonds pour sortir Tesla du marché, Elon Musk espérait l’appui du fonds souverain saoudien. Les frasques du patron et l’enquête ouverte par la SEC à l’encontre du message d’Elon Musk ont déjà fait reculer les décideurs asiatiques. D’après Reuters, le fonds a programmé un investissement d’un milliard de dollars dans Lucid Motors, fondé par un ancien de Tesla et soutenu par des industriels chinois, avec l’objectif d’en prendre le contrôle. Chose qui n’arrivera jamais avec Elon Musk. Et c’est là que le problème est bien visible. Qui entrera dans une entreprise dont on ne pourra pas contrôler la direction, valorisée à plus de 50 milliards de dollars sans faire de bénéfice annuel ?

    Toujours sur Twitter, Elon Musk ironise sur les articles qui évoquent une crise de trésorerie et la nécessité de lever 3 milliards de dollars pour terminer l’année. Les fournisseurs de Tesla ont laissé entendre qu’il leur avait été demandé de réduire encore leurs coûts et certains commencent à croire qu’ils ne seront pas payés.

    L’interview du New York Times visait à le rendre plus humain. Elle n’a fait qu’accompagner l’action de Tesla à la baisse. En se confiant, Elon Musk a-t-il atteint son objectif ? On y voit un monstre de travail en fin de course : « L’année a été la plus difficile et la plus douloureuse de ma carrière. C’était insoutenable. »

    À vouloir tout contrôler, sur plusieurs entreprises, le néo-Américain s’est usé. Et les recherches de numéros 2, qu’il réfute, ne portent pas leurs fruits. Ceux qui ont réussi à grimper les échelons pour se retrouver assez proche du patron ont tous fini par aller voir ailleurs. Et personne, en interne, ne tente de s’interposer. Dans les pages du New York Times, Elon Musk n’hésite pas à se défendre au sujet du tweet du 7 août : « Je n’ai eu aucun message du board. Non, je n’ai pas eu le moindre appel d’un directeur agacé. » Fin de la démonstration.

    Et pourtant, il ne lâche rien avec des semaines qui vont jusqu’à 120 heures : « Parfois, je ne quitte pas l’usine durant trois ou quatre jours, je ne mets pas le nez dehors. C’est au détriment de mes enfants (deux jumeaux de 14 ans et trois triplés de 12 ans en garde partagée) et de mes amis ».

    Dans cet échange avec des journalistes devenus psychologues, il affirme que le plus dur est passé pour Tesla qui parvient enfin à sortir 5 000 Model 3 par semaine, mais que le plus dur est à venir pour lui-même. Sa confession de l’obligation de prendre de l’Ambien, un puissant somnifère, pour s’endormir révèle d’autres difficultés… Et sa conclusion est académique : « Si vous connaissez quelqu’un qui peut faire un meilleur travail, faites-le moi savoir. Je lui laisse la place. Y a-t-il quelqu’un qui ferait mieux le job que moi ? Je lui donne les rênes maintenant. »

    À suivre : est-ce que Tesla a révolutionné l’industrie automobile ?