Auteur/autrice : Rédaction

  • Gagnez les empreintes des pilotes du Mans !

    Gagnez les empreintes des pilotes du Mans !

    Chaque année, les vainqueurs sortant des 24 Heures du Mans ont rendez-vous au centre ville du Mans pour immortaliser leur succès sur la plus belle et la plus grande course du monde.

    A l’image du Walk of Fame, Le Mans salue également ses héros par des plaques commémoratives coulées dans le bronze et disposées dans le quartier Saint-Nicolas.

    L’idée est née en 1991 pour ancrer encore un peu plus la ville sarthoise à l’histoire du sport automobile.

    Empreintedespilotes.com offre aujourd’hui la possibilité à tous les passionnés d’avoir des reproductions de ces plaques. AUTOcult.fr vous propose de découvrir ces pièces de collection en vous offrant la plaque en bronze du millésime 2013 (la dernière posée au Mans) avec les mains de Loïc Duval, Tom Kristensen et Allan McNish (valeur 195 euros), deux plaques en zamac des empreintes des mains et des pieds d’Henri Pescarolo et Jacky Ickx (valeur 45 euros la plaque) et une signature Tom Kristensen (valeur 35 euros).

    Voici le nom des gagnants de notre jeu : 
    Claude B. (32)
    Aurélie M. (62)
    David M. (71)
    Charles M. (75)

  • Quand Peugeot est une référence…

    Quand Peugeot est une référence…

    En cette fin de semaine, j’ai eu l’occasion de parcourir quelques kilomètres au volant d’une Peugeot… Et, encore une fois, j’ai dû me résoudre à réaffirmer cette constatation sans appel : le i-Cockpit est une référence ! (J’espère que c’est suffisamment martelé.)

    S’il n’est pas aussi poussé que sur la 308 – sur la console centrale notamment – l’architecture intérieure de la Peugeot 2008 est un régal pour le conducteur.

    Petit volant, nouvelle ergonomie, combiné tête haute, tableau de bord épuré : la disposition des commandes et des informations est une indéniable réussite.

    peugeot-2008-volant

    Les bras, les mains, les doigts et les yeux disent merci aux concepteurs.

    Reste à espérer que Peugeot soit copié. Je veux davantage de volants compacts et de combinés placés le plus près possible de la base du pare-brise !

  • FIAT 500X : le culte à l’italienne

    FIAT 500X : le culte à l’italienne

    Pour lancer sa 500 X, FIAT avait lancé un premier film publicitaire très spécial sur le thème du viagra… Franchement, je préfère largement le spot dédié à la campagne américaine. C’est une nouvelle fois plein de clichés, mais c’est ce qu’on aime !

  • George Best et le meilleur des voitures

    George Best et le meilleur des voitures

    Les Britanniques ont cette chance de pouvoir produire des personnalités hors du commun. Dans le monde automobile, nous avons connu James Hunt. Dans le football, quelques années auparavant, il y a eu George Best.

    Sport le plus populaire au monde, le football avait évidemment ses stars. Des légendes du sport, mais aucune superstar, aucune rockstar. Et George Best est arrivé.

    En 1958, un terrible accident d’avion décime l’équipe de Manchester United. Le deuil de Munich loin d’être effacé, onze joueurs doivent vite être mis sur un terrain. On recrute de jeunes talents pour reconstruire, sur la durée, une équipe performante. Parmi eux, un Nord-Irlandais nommé « Best » enfile le numéro 7 à partir de 1961. Il n’a que 15 ans.

    En quatorze ans, il gagne tout avec MU. Son contemporain Pelé affirme qu’il est le meilleur joueur qu’il ait vu évoluer durant sa carrière. Ses prestations sur la pelouse lui permettent de gagner le Ballon d’Or, ses prestations hors des stades en font le « cinquième Beatles ».

    Best incarne le génie. Il joue avec les médias et sa vie. Sa tendance à l’autodestruction en fait un client prioritaire des tabloïds. Il s’amuse avec les paparazzis et diffuse largement ses petites phrases. Il est le premier à dire « J’ai dépensé beaucoup d’argent dans l’alcool, les filles et les voitures de sport. Le reste, je l’ai juste gaspillé ! »

    Car au-delà des soirées extrêmement alcoolisées, de ses frasques avec Miss Monde Mary Stävin, deux fois James Bond Girl, ou Miss Grande-Bretagne, l’homme aimait les voitures. On l’a vu au volant de Jaguar Type E ou XK120, de Mercedes 300 SEL, de Rolls-Royce ou de l’incroyable Lotus Europa…

    Mais ses frasques l’ont aussi privé d’être traité à l’égal de Pelé ou Maradona. A 27 ans, il est viré de son club de toujours. Il annonce sa retraite… Et rechausse les crampons après une soirée arrosée. Il joue en Afrique du Sud, en Irlande, aux Etats-Unis, à Hong-Kong, en Australie… Il continue de boire, de collectionner les aventures et les voitures. Il enchaine les mariages, ouvre des boutiques, passe à Top of the Pops et réaffirme ses envies d’autodestruction.

    En 2005, à 59 ans, il meurt à Londres de multiples infections dues à la drogue et à l’alcool. Cinq jours plus tôt, il faisait publier sa photo sur son lit d’hôpital dans News of the World avec le message « Don’t die like me ».

    A Belfast, l’aéroport porte aujourd’hui son nom. Sur un des couronnes déposées à son enterrement, on a pu lire « Maradona good, Pelé better, George best. »

    Hommage à la première rockstar du football décédée il y a neuf ans. Si la presse se délecte aujourd’hui des excès de vitesse de nos joueurs actuels en voiture de sport, c’est parce qu’il a montré l’exemple !

  • Livre : Bentley L’avenir pour défi

    Livre : Bentley L’avenir pour défi

    C’est l’histoire d’une marque illustre… Illustre mais qui a vécu dans l’ombre d’une grande sœur bien encombrante. Bentley L’avenir pour défi présente l’histoire de la marque anglaise depuis 1965, ses déboires et sa renaissance.

    Créée en 1919 par Sir Walter Owen Bentley, Bentley est passé sous le contrôle de Rolls-Royce dès 1931. Dès lors, quelques hauts et beaucoup de bas rythment la vie du constructeur de Crewe.

    bentley-livre-3

    Les faillites et les différents propriétaires du groupe ne vont pas toujours réussir à tirer le meilleur de Bentley… Jusqu’à l’arrivée d’une nouvelle équipe en 1984 qui parvient à distribuer autant de Bentley que de Rolls-Royce. Mais c’est en 1998 que tout change. Bentley est mis en vente. BMW (qui prend le contrôle de Rolls-Royce) se fait doubler par Volkswagen.

    Une victoire aux 24 Heures du Mans 2003 (la sixième de Bentley) et de nouveaux records de vitesses permettent de multiplier par vingt le nombre de voitures vendues. Et le meilleur ? Evincer Rolls-Royce, après cinquante ans de domination sans partage, en tant que fournisseur officiel du carrosse automobile de Sa Gracieuse Majesté la Reine Élisabeth II !

    bentley-livre-2

    La saga Bentley, de 1965 à nos jours, est dévoilée dans un livre présenté dans un coffret.

    Et restez connectés, on vous le fait gagner cette semaine !

    Titre : Bentley L’Avenir pour défi
    Auteur : Dominique Franque De Luxembourg
    192 pages, 260 photos
    ISBN : 978-2-7268-9786-7
    Prix public : 59,00 € TTC

  • Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Opel Mokka : juste derrière les Captur et 2008

    Avec 100 000 commandes signées ces sept derniers mois (300 000 en carrière), le Mokka permet à Opel d’occuper le troisième rang européen dans la catégorie des « SUV urbains », juste derrière les Renault Captur et Peugeot 2008.

    Sur le marché continental, le Mokka occupe 15 % du marché. La part monte à 27 % en Finlande, 22 % en Allemagne et en Autriche.

  • Commissaire-priseur : De Tomaso Mangusta

    Commissaire-priseur : De Tomaso Mangusta

    Elle fut l’une des toutes premières supercars… La Mangusta a permis de révéler très rapidement la marque De Tomaso dès son arrivée sur le marché en 1967.

    Alejandro de Tomaso avait commencé sa carrière de pilote en Argentine dès 1951. Arrivé en Italie, il œuvrait pour Maserati et OSCA avant de fonder sa première équipe. De Tomaso Automobili débutait à Modène en 1959.

    L’objectif d’Alejandro était d’aligner des voitures en Formula Junior, F3, F2 et F1. La première voiture de série, la Vallelunga, apparaissait sur le marché en 1965.

    Ce petit coupé recevait un moteur 4 cylindres 1,5 litre mis au point par Ford. Si la Vallelunga n’a pas été un succès, elle fut à l’origine de la Mangusta.

    de-tomaso-mangusta-interieur

    Présentée en 1967, la Mangusta était une très large évolution avec le moteur V8 4,7 litres Ford qui équipait déjà la GT40. Plus tard, la Mangusta fut équipée du Ford ‘302’ de 5 litres avec une transmission type ZF.

    Giorgetto Giugiaro et la Carrosseria Ghia avaient contribué à la réalisation de sa silhouette. Son dessin trouve écho dans les lignes des Maserati Ghibli, Iso Grifo, Ferrari 250 Berlinetta Bertone et Alfa Romeo Giulia Sprint GT.

    de-tomaso-mangusta-modene

    Avec ses 300 chevaux et une carrosserie aérodynamique, la Mangusta atteignait 250 km/h. Pour le freinage, elle pouvait compter sur quatre freins à disque.

    Profitant de liens étroits tissés avec Ford, De Tomaso a produit 401 exemplaires entre 1967 et 1972… Loin des 765 Lamborghini Miura, la Mangusta reste une voiture très rare. Et seulement 250 seraient encore en circulation.

    de-tomaso-mangusta-moteur-ford-302

    Le modèle vendu lors du December Oxford Sale de Bonhams est équipé du moteur ‘302’. Le châssis 1098 a passé une partie de sa vie en Californie avant d’être importée au Royaume-Uni. Une restauration complète a été réalisée en 1992.

    Il a également participé aux festivités du 50e anniversaire de De Tomaso à Modène en 2009.

    Estimation : entre 190 et 230 000 euros.

  • Ken Block présente son Snowkhana 3

    Ken Block présente son Snowkhana 3

    La passion automobile se partage en famille… Il y a les grandes voitures, qui font du bruit. Et il y a les miniatures qui font le régal des enfants de tous les âges. Après ses Gymkhanas, Ken Block présente des Snowkhanas avec de petites voitures et de la fausse neige. En attendant un Snowkhana avec une vraie Ford et de la vraie neige ?

    Et si l’action vous manque vraiment, voici le Gymkhana 7 avec une Mustang 1965 de… 845 chevaux !

  • C’est aussi ça le rallye !

    C’est aussi ça le rallye !

    La saison 2014 du Championnat du Monde des Rallyes s’est achevée aujourd’hui au nord du Pays de Galles… Alors que toutes les équipes s’apprêtent à célébrer la fin d’un calendrier de treize dates autour du monde, j’ai eu envie de partager cette vidéo réalisée par nos amis de l’Agence Austral réalisée en timelapse lors du Rallye d’Espagne.

    Régalez-vous !

  • Hommage à Pikes Peak

    Hommage à Pikes Peak

    C’est l’une des plus vieilles épreuves de sport mécanique américaine (après l’Indy 500)… Et peut-être la plus emblématique d’un art de vivre « US ». Voici une petite vidéo pour patienter jusqu’à la prochaine édition de Pikes Peak, l’année prochaine !

    ça me donne une petite envie d’attaquer cette course au volant d’une voiture des années 1930 !

  • Découverte : les Keijidōsha et la Honda Z

    Découverte : les Keijidōsha et la Honda Z

    Keijidōsha ? Qu’est ce donc ?

    Keijidōsha, 軽自動車, ou « véhicule léger » en japonais. Il s’agit de (toutes) petites voitures, vendues au Japon. On les appelle « K-Cars » en anglais ou parfois « Midget » en français, et sont le cadre d’avantages divers, comme des taxes réduites ou des tarifs d’assurances bas. Chose surprenante, dans les villes de plus de 100 000 habitants, on ne peut acheter une voiture qu’en ayant une place de parking. Les keijidōsha sont donc un réel succès commercial et phénomène sociétal : dans certaines grandes villes japonaises, plus de 50% de voitures sont des keijidōsha. Dans un pays où on manque de places, ces petites voitures ont toute leur place…

    L’un des keijidōsha les plus représentatives est la Honda Z. Il s’agit d’une petite Honda à trois portes, qui fut tout d’abord produite de 1970 et 1974 puis de 1998 à 2003. Le modèle export porte le nom de Z600 en référence à la cylindrée du moteur de 598 cm³.

    HondaZ_1

    HondaZ_3

    HondaZ_4

    HondaZ_5

    honda_z_1970_3

  • Pourquoi Alpine s’appelle Alpine ?

    Pourquoi Alpine s’appelle Alpine ?

    Diplômé d’HEC, plus jeune concessionnaire Renault en France et pilote amateur en rallye, Jean Rédélé rêve de construire sa propre voiture au début des années 1950… Reste à lui trouver un nom.

    Il choisit de prendre une base de 4CV. En 1952, il rencontre le styliste turinois Giovanni Michelotti à qui il confie le dessin d’un « coupé 4CV ». Trois voitures sont assemblées chez le carrossier Allemano.

    Mais la réalisation ne satisfait pas le commanditaire. Rédélé se tourne donc avec Chappe et Gessalin, des carrossiers parisiens spécialistes du polyester stratifié. L’A106 prend forme !

    Encore faut-il donner un nom à la marque. Jean Rédélé choisit « Alpine ».

    « J’ai choisi le nom Alpine, car cela représente pour moi le plaisir de conduire sur les routes de montagne », expliquait-il à l’époque. « C’est en sillonnant les Alpes avec ma 4CV à boîte 5 que je me suis le plus amusé. Cette conduite passionnante, il fallait que mes clients la retrouvent au volant de la voiture que je voulais construire. Alpine est un nom qui sonne bien, c’est également un symbole. »

    On sait désormais où seront testés les prototypes de la nouvelle Berlinette attendue pour 2016 !