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  • Essai Chevrolet Spark : une offre à 6 490 euros

    Essai Chevrolet Spark : une offre à 6 490 euros

    Une voiture neuve à 6 490 euros… C’est ce que propose Chevrolet pour le lancement de sa Spark légèrement modernisée pour cette nouvelle année. Un prix imbattable sur le marché hexagonal.

    Présent en France depuis seulement huit ans, Chevrolet – quatrième marque à l’échelle mondiale – poursuit son offensive. Aux côtés des Corvette, Camaro ou Orlando à l’accent très américain, la marque au nœud papillon propose aussi des modèles plus « européens » avec l’Aveo et la Spark.

    Pour accompagner un restylage très mesuré, Chevrolet propose des offres vraiment alléchantes. En prix d’appel, la Spark LS tombe de 9 390 euros à 6 490 euros. C’est un prix catalogue net, pas de négociation à entreprendre, pas de problème de stock, ce tarif est assuré jusqu’au 31 mars 2013.

    Bémol toutefois. Cette Spark LS représente un modèle d’entrée de gamme. Pas de vitres électriques, pas de climatisation, pas de verrouillage centralisé : le strict minimum avec un moteur 1,0 L. de 68 chevaux, l’ABS et quatre airbags.

    La version d’essai proposée présentait bien d’autres atouts. Pour 9 400 euros, la Spark LTZ peut compter sur un moteur 1,2 L. de 81 chevaux et de nombreux équipements : climatisation, vitres avant et arrière électriques, radars de recul, jantes 15 pouces…

    En plein Paris, les mensurations de la Spark sont parfaites. 3,64 mètres de long et 1,597 mètre de large, elle est parfaitement adaptée à nos rues. Le moteur de 81 chevaux se montre suffisant pour emmener les (seulement) 864 kilogrammes. La direction est d’une légèreté absolue. Sur le parcours proposé, de part et d’autre de la Seine en plein centre de Paris, la Spark se montre dans son élément. Seuls les pavés font passer un moment difficile aux passagers… Mais aucune citadine ne passe le test de la Place de la Concorde dans ce domaine !

    Avec un empattement de 2,375 mètres, l’espace intérieur est suffisant pour laisser un adulte faire un trajet à l’arrière. Autre bon point de la Spark, c’est une cinq portes. L’espace laissé aux jambes des passagers diminue celui réservé au coffre. Limité à 170 litres, il sera parfois nécessaire de rabattre la banquette arrière (en série sur toutes les versions) pour atteindre 568 litres.

    Les commandes sont bien placées et la planche de bord est agréable avec une finition couleur carbone et un rappel de la couleur de la carrosserie à l’intérieur. En revanche, le module d’affichage situé derrière le volant est d’un autre âge.

    Cet essai s’accompagnait d’un petit test d’éco-conduite mené par les équipes de Codes Rousseau dans le but de présenter leurs solutions post permis de conduire. Résultat d’AUTOcult.fr : une moyenne de 3,9 litres / 100 kilomètres. En cycle urbain, cette Spark de 81 chevaux est homologuée pour 6,6 litres / 100 kilomètres (5,1 l. / 100 km en cycle mixte).

    Quelques données : 
    Moteur : 4 cylindres en ligne 16 soupapes
    Cylindrée : 1 206 cm3
    Puissance : 81 chevaux (60 kW) à 6 400 tours / minute
    Couple : 111 Nm à 4 800 tours / minute
    Transmission : aux roues avant
    Freins av/ar : disques ventilés 236 mm / tambours 200 mm
    Pneumatiques : 165/60 R15
    L/l/h (mm) : 3 640 / 1 597 / 1 522
    Poids à vide : 864 kg
    Capacité du coffre (l.) : 170 / 568
    Vitesse maximale : 164 km/h
    0-100 km/h : 12,1 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 6,6 / 4,2 / 5,1
    Emissions de CO2 : 119 g/km

    L’AUTO est-elle cult ?
    Le principal atout de la Chevrolet Spark est son tarif, encore davantage en cette période de « promo ». Citadine très à l’aise à Paris, elle conviendra à un(e) conducteur(rice) à la recherche d’une voiture neuve peu chère qui se démarque grâce à un logo encore peu répandu…

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

  • Publicité : Renault Twingo

    Publicité : Renault Twingo

    Présentée au Mondial de l’Automobile de Paris 1992, la Renault Twingo est une révolution dans le monde des citadines. D’abord disponible en une seule finition, avec un seul moteur (1 239 cm3 de 55 chevaux dérivé du Cléon de la R8 !) et seulement cinq teintes de carrosserie, elle incarnait l’innovation dont était capable Renault.

  • Vu : Fiat 500

    Vu : Fiat 500

    Sur l’un des chemins qui mènent à Rome, une Fiat 500L d’époque lancée « à pleine vitesse ». Un morceau d’Italie, dans sa forme, son bruit, son odeur !

  • Neuf logos pour un siècle de Chevrolet

    Neuf logos pour un siècle de Chevrolet

    Fondé en 1911, Chevrolet a fêté son premier siècle d’existence il y a deux ans… Petit retour sur ces cent ans d’histoire à travers neuf logos.

    Mécanicien né en Suisse, Louis Chevrolet a fondé la marque « Chevrolet » en 1911 avec l’appui de William Durant, à l’origine de General Motors. Le logo reprend la forme d’un nœud papillon depuis 1913.

    Selon les sources, ce nœud papillon est l’œuvre de William Durant qui aurait flashé sur une tapisserie lors d’une visite à Paris en 1908. Il en aurait même déchiré un morceau pour le ramener aux Etats-Unis.

    Une autre option viendrait de la simple vue du logo de la marque de briquettes de charbon « Coalettes » dans un journal de Virginie.

    Le logo de Chevrolet est donc plus ou moins une copie !

  • José Igniacio Lopez, le grand inquisiteur devenu paria

    José Igniacio Lopez, le grand inquisiteur devenu paria

    Longtemps la cible des plus grands dirigeants mondiaux, José Ignacio Lopez de Arriortua est connu pour avoir lancé le redressement d’Opel, celui de General Motors et d’avoir entamé celui de Volkswagen au début des années 90, avant de disparaître sur fond d’affaire d’espionnage.

    Inaki, Lopez le Terrible, le Grand Inquisiteur, Der Skrupellos (le sans-scrupule), l’hidalgo du cost-cutting, l’ouragan espagnol, le tsar des achats, l’étrangleur de Rüsselsheim… La collection de surnoms est impressionnante pour ce qui fut la référence pour redresser les comptes d’un constructeur automobile.

    L’histoire débute dans les années 80. John Smith Jr est alors Président de General Motors Europe. Pendant que la maison-mère aligne les pertes, il parvient à faire des bénéfices avec Opel et Vauxhall sur le Vieux Continent. La cause est simple : les coûts de production des usines européennes sont inférieurs d’un tiers à celui des sites américains. Un résultat qui est l’œuvre d’un basque traqueur de dépenses : José Ignacio Lopez.

    En 1992, Smith prend le pouvoir à Détroit après l’éviction de Robert Stempel. Nouveau patron de GM, il décide de casser la structure mise en place dans les années 20. Son premier cheval de bataille est de révolutionner la politique d’achats du groupe. Le tandem est rapidement reformé avec Lopez.

    Comme en Europe, Lopez presse les équipementiers et fait baisser leur tarif de 20 % en maniant le chantage sans vergogne. En quelques mois, General Motors affiche le résultat de « l’effet Lopez » : 4 milliards de dollars d’économie. L’échalas réussit à serrer la ceinture au plus grand groupe privé américain… Mais il casse également l’élan d’innovation de GM en mettant un terme au programme de voiture électrique. Et c’était en 1992.

    Le Basque a pourtant d’autres rêves. Lassé d’être présenté comme le tueur des sous-traitants, vexé d’être devenu l’homme le plus impopulaire de l’industrie automobile américaine selon le Financial Times, il cherche à développer un vrai programme industriel. Son projet est analysé chez General Motors. Il promet d’assembler une voiture en dix heures, deux fois plus vite que les performances contemporaines… Surtout, son idée est prétendument meilleure que l’imbattable système japonais « Kaizen » qui va si bien à Toyota.

    Pourtant, Lopez ne voit plus son avenir à Détroit. Il cède aux avances de Ferdinand Piech, à peine arrivé à la tête d’un groupe Volkswagen au bord du gouffre.

    Lopez contacte quarante de ses anciens collègues. Sept le suivent en Allemagne. General Motors voit rouge. Les Américains attaquent le Groupe Volkswagen pour faire cesser les débauchages. Dans les semaines qui suivent, une autre plainte est déposée pour détournements de documents confidentiels.

    Der Spiegel avait révélé cette affaire bien embarrassante. Avant de remettre sa démission à Détroit, José Ignacio Lopez s’est offert un passage par Rüsselsheim pour s’emparer de milliers de documents contenant les secrets de fabrication des prochaines Opel sur les dix années à venir et les plans d’une nouvelle usine. L’enquête montrera que l’équivalent de 2 millions de pages avait été détourné.

    Malgré le contentieux, Lopez s’active pour relancer le Groupe Volkswagen. Il met enfin son plan industriel en marche avec la création d’un nouveau site au Brésil, une copie parfaite du « Plant X » sur lequel il avait travaillé pour General Motors.

    Mais, pour mettre fin à la discorde, Lopez annonce sa démission de son poste chez Volkswagen en novembre 1996. Deux mois plus tard, le groupe allemand fait un chèque de 100 millions de dollars à l’américain avec un contrat d’achat de pièces pour un milliard de dollars sur sept ans afin de mettre un terme à l’affaire qui aura même occupé Bill Clinton et Helmut Kohl !

    L’année suivante, la justice allemande inflige une amende de 400 000 marks à Lopez. Ce dernier est ensuite victime d’un grave accident de voiture. Selon ses avocats, sa mémoire est largement affectée. L’Espagne se sert de cette excuse pour refuser l’extradition de Lopez vers les Etats-Unis en 2001.

    Il tenta ensuite de créer sa propre marque avec les plans d’une usine capable de produire une « Carmen » pour concurrencer la Golf dans un projet rentable « dès sa deuxième année »… Mais qui n’a jamais vu le jour.

  • Citation : Françoise Sagan

    Citation : Françoise Sagan

    Citation de François Sagan,  écrivaine française adepte de voitures sportives : « Je préfère pleurer dans une Jaguar plutôt que dans un autobus. »

  • Culte : Alpine A110

    Culte : Alpine A110

    A l’occasion de la réalisation d’un film promotionnel pour la nouvelle Renault Alpine A110-50, l’Alpine A110 et une Renault Estafette d’assistance ont pu se dégourdir les pneus.

  • Vu : BMW M5

    Vu : BMW M5

    Le cheval-vapeur est une unité qui exprime une équivalence entre la puissance fournie par un cheval tirant une charge et celle fournie par une machine à vapeur…

    Photo : Automotive Rhythms

  • Vu : Citroën SM

    Vu : Citroën SM

    Une Citroën SM sur le Port de Javel, dans le prolongement de l’actuel Quai André Citroën, là où l’ingénieur avait installé le siège du constructeur automobile parisien…

    Photo : DoudD

  • Culte : Peugeot 202 Cabriolet

    Culte : Peugeot 202 Cabriolet

    C’était en 1939, quelques mois avant que toute l’Europe ne sombre dans la Seconde Guerre Mondiale… Peugeot venait de sortir sa 202 en version cabriolet.

  • Culte : ancêtres de Toyota GT86

    Culte : ancêtres de Toyota GT86

    Avec sa GT86, Toyota a réalisé un coup de maître. Mais ce n’était pas la première tentative du constructeur japonais dans ce domaine. Rappelez-vous les S800 et 2000 GT !

  • Publicité : Ford Puma

    Publicité : Ford Puma

    Conducteur d’une Mustang dans Bullitt, Steve McQueen s’est retrouvé dans la campagne européenne de lancement de la Ford Puma. Un remake du film de 1968.