Catégorie : Actualités

  • Volvo continue de nous enthousiasmer

    Volvo continue de nous enthousiasmer

    Il y a eu le Volvo Concept Coupé puis le Volvo Concept XC Coupé… Pour le Salon de Genève, voici le Volvo Concept Estate. Quand la marque suédoise puise avec beaucoup de goût dans son patrimoine, c’est toujours avec une grande réussite.

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    Evidemment ce ne sont que des concepts. Volvo travaille sur son futur style et montre ses nouvelles orientations. Mais avec l’enthousiasme suscité par les deux premières réalisations de la série et par l’engouement que va certainement  créer ce Concept Estate à Genève, on ne peut qu’espérer voir Volvo croire en son potentiel.

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    Finalement, il n’y a rien de vraiment compliqué. Volvo a repris l’idée d’un modèle emblématique de la gamme et la revisiter pour en faire un concept actuel. L’habitacle est truffé de technologies installées pour montrer la capacité de la marque à jouer les premiers rôles dans ce domaine… Mais c’est bien par leur unique ligne que ces concepts restent dans les mémoires.

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    La Volvo P1800 apparue en 1961 avait été déclinée en plusieurs carrosseries dont un très marquant break de chasse « ES ». C’est en s’appuyant sur ce dessin que les designers de Volvo ont donné naissance à ce Concept Estate.

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    Capot bas, silhouette simplifiée, long toit en verre, un  vrai break de chasse à trois portes que l’on a envie de voir sur les routes !

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  • Dongfeng et PSA : un loup dans la bergerie

    Dongfeng et PSA : un loup dans la bergerie

    Présenté comme un grand partenariat stratégique, l’arrivée de Dongfeng au capital de PSA Peugeot Citroën n’est pas forcément une bonne nouvelle pour la survie – à long-terme – du groupe français.

    En ouvrant près d’un septième de son capital à Dongfeng, une entreprise nationale chinoise, PSA Peugeot Citroën crée un précédent. Jamais une entreprise publique chinoise ne s’était ainsi invitée dans un grand groupe industriel français.

    Futur patron opérationnel des marques, Carlos Tavares va devoir composer avec des actionnaires aux intérêts très différents. La famille Peugeot va vouloir défendre son image et renouer avec les bénéfices. L’Etat français va exclusivement se concentrer sur l’aspect social des usines françaises et Dongfeng aura certainement l’objectif d’apprendre le savoir-faire européen.

    Car ce n’est pas une simple société qui investit dans PSA Peugeot Citroën. Dongfeng étant une entreprise publique, la décision d’entrer au capital a été prise par l’Etat. Et, en Chine, l’Etat s’appelle le bureau politique du Parti Communiste. C’est la raison pour laquelle la signature définitive de l’accord se fera lors de la visite du président Xi Jinping en mars.

    Evidemment, PSA Peugeot Citroën va largement profiter des millions d’euros (ou yuans) mis à disposition par Dongfeng. Et si les Chinois jouent vraiment le jeu, le marché local pourrait être un formidable terrain d’expansion pour Peugeot et Citroën…

    Pourrait car ce point-là est vraiment discutable. PSA et Dongfeng ont déjà une coentreprise en Chine. Les usines produisent 550 000 véhicules par an avec une capacité de 800 000 unités. Sur le papier, l’accord capitalistique entre les deux groupes ne modifie pas ce programme. Il sera primordial de voir si Dongfeng, déjà impliqué dans des coentreprises avec Honda, Nissan, Infiniti, Renault ou Kia, fera de vrais efforts sur son marché national pour porter les ventes de PSA.

    Si Dongfeng (et l’Etat chinois) fait tous ces efforts, ce ne sera sans doute pas uniquement pour récupérer 14 % des dividendes. L’un des grands enjeux de cet accord sera – à moyen-terme – le transfert des technologies. Comment la Grande Armée va-t-elle défendre son savoir-faire contre l’un de ses principaux actionnaires ?

    Dans moins de vingt ans, les marques chinoises s’attaqueront à tous les marchés avec leurs propres réalisations. PSA Peugeot Citroën n’a d’autre choix que de s’ouvrir à Dongfeng pour se sauver… Tout en craignant que son principal soutien en 2014 ne devienne son bourreau en 2030.

  • Le nouveau Jeep Cherokee à Motorvillage

    Le nouveau Jeep Cherokee à Motorvillage

    Première française en ce moment à Motorvillage, la base élyséenne du groupe FIAT. Le Jeep Cherokee fait une première apparition sur le sol national. Impossible de prendre des photos mais le vrai 4×4 est bien présent, avec toute sa calandre.

    Les Lancia ressemblent à des Chrysler ? Et bien les Jeep reçoivent une plateforme d’Alfa Romeo ! Le nouveau Jeep Cherokee reprend les éléments de la Giulietta pour être totalement transfiguré.

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    Transfiguré car la ligne s’éloigne largement de l’idée que l’on pouvait avoir du Cherokee. Moins 4×4, plus SUV… Il doit faire concurrence à un Volvo XC60 ou un Honda CR-V sur route tout en préservant ses réelles capacités de franchisseur. A l’intérieur, l’habitacle reste très modulable et le tableau de bord se distingue par un grand écran de 8,4 pouces.

    A tester prochainement…

  • Les taxis ont poussé le bouchon

    Les taxis ont poussé le bouchon

    Que les taxis veuillent défendre leur « corporation » ne me dérange pas plus que ça. Ils ont des syndicats et des représentants mandatés pour ces causes. Mais qu’ils bloquent les villes et tentent de nous faire avaler des couleuvres… Non !

    Voir une banderole avec les mots « Non à la mort programmée du taxi, ni Uber, ni Transdev remplaceront les successeurs des taxis de la Marne » m’a fait bondir.

    Petite leçon d’histoire. Les taxis ne sont pas montés au front pour repousser l’envahisseur. Gallieni a réquisitionné 600 taxis parisiens pour mener des soldats dans l’Oise (seulement 600 des 10 000 taxis disponibles avant le début de la guerre car 7 000 chauffeurs étaient déjà mobilisés).

    De retour à Paris après sa « course », chaque chauffeur a été payé selon les indications portées au compteur pour un total de 70 102 francs. Et les 3 000 soldats transportés étaient des troupes déjà épuisées avec une forte proportion de réservistes qui ont occupé des positions défensives et n’ont pas directement participé à la première Bataille de la Marne.

    Fin de parenthèse. J’imagine que vous êtes déjà tous monté dans un taxi. Que vous avez eu droit de découvrir des voitures mal entretenues, mal rangées et dont le conducteur… ne savait pas conduire ! Pour essayer des voitures depuis des années et des années, pour être montés avec des essayeurs reconnus, je ne qualifie pas la moitié des chauffeurs de taxis parisiens de « professionnels » au volant. Ni pour l’accueil, ni pour la conduite !

    Concernant leur histoire avec les VTC, la cohabitation a duré plus d’un siècle entre les taxis et les voitures de grande remise. Il n’y avait pas forcément de problèmes… Mais certains entrepreneurs se sont engouffrés dans une brèche ouverte par les taxis eux-mêmes.

    En 2011, la consultation annuelle de hotels.com montrait que les taxis parisiens étaient parmi les plus chers et les moins aimables du monde, là où Londres, New-York et Hong-Kong (trois continents différents) sont plébiscités.

    Il existait donc un marché à prendre face à l’insuffisance de services des taxis parisiens.

    Bonus en forme de rappel : la licence de taxi est gratuite !
    Oui, l’argument du prix de la licence est nul et non avenu. La réglementation française dit que la licence de taxi est gratuite. Seul le nombre est limité. Les taxis ont donc créé une bulle qui leur permet de revendre leur licence « gratuite ». Cette bulle fait atteindre des sommets à une licence parisienne. Aujourd’hui, cette plaque « vaut » 250 000 euros. Oui, cette plaque gratuite est vendue 250 000 euros !

  • La Volkswagen Beetle mieux que la Ford T

    La Volkswagen Beetle mieux que la Ford T

    Le 18 février 1972, la 15 007 034e Volkswagen Beetle sortait des lignes d’assemblage. Ce jour-là, la Coccinelle prenait la place de la Ford T dans le livre des records en devenant la voiture la plus produite de l’histoire.

    Sans utiliser le moindre artifice, la Coccinelle est devenue la voiture la plus produite de l’industrie automobile. Sortie avant la Seconde Guerre Mondiale, cette voiture du peuple n’a quasiment pas évolué en six décennies.

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    16 millions de voitures ont été produites entre 1938 et 1973. 21,5 millions en fin de carrière… La Volkswagen Coccinelle a longtemps conservé le record avant que la Toyota Corolla (mais sur plusieurs générations) ne s’empare de la première place avec 31 millions d’unités.

  • Une boîte noire pour une réduction du tarif de l’assurance ?

    Une boîte noire pour une réduction du tarif de l’assurance ?

    Personne ne remettrait en cause la présence d’une boîte noire dans les avions de ligne… Pourquoi ne pas installer un système similaire sur les voitures de tourisme ? Le débat est ouvert alors que plusieurs compagnies d’assurance automobile proposent déjà une baisse des prix pour l’installation d’un enregistreur.

    Pourquoi le déploiement de boîtes noires dans tous les véhicules serait une bonne chose ?

    Plusieurs modèles, aux capacités très différentes, peuvent être proposés. Dans une interview réalisée par Le Parisien, le président de la Ligue contre la violence routière de Moselle préconise une boîte noire très limitée. Elle ne garderait en mémoire que la vingtaine de secondes qui entourent l’accident. Toutes les données seraient enregistrées : position du véhicule, accélération ou décélération, commandes actionnées, données mécaniques…

    Cette boîte noire serait alors une preuve irréfutable du comportement de l’automobiliste et de l’état du véhicule en plus d’une extraordinaire banque de données pour un juge. Chez les assureurs, cette boîte noire pourrait servir d’avocat. La confrontation des enregistrements devrait permettre de déterminer rapidement et de manière irréfutable les responsabilités de chacun.

    Il permettrait également d’établir les vraies causes des accidents de la route à l’échelle locale, nationale, voire mondiale et d’aider les pouvoirs publics à faire progresser les infrastructures et les lois pour diminuer les risques.

    Pourquoi le déploiement de boîtes noires dans tous les véhicules serait une mauvaise chose ?

    S’il est nécessaire d’avoir des boîtes noires dans des avions de ligne, qui relèvent d’un transport en commun très spécifique, l’idée d’un enregistreur dans son propre véhicule, privé, est beaucoup plus discutable.

    Que le hall d’une mairie soit couvert par un système de vidéo surveillance n’est pas choquant… Que votre porte d’entrée le soit est beaucoup plus discutable !

    Une boîte noire est un vrai enregistreur d’une multitude de paramètres. Les données pourraient être utilisées à des fins qui ne sont pas directement liées à l’accidentologie. Et si les données pourraient permettre d’accélérer les enquêtes, elles ne devraient pas en modifier les résultats. Ces données étant déjà toutes traitées par les pouvoirs publics, ces boîtes noires ne sont d’aucune utilité.

    L’installation de ces enregistreurs peut coûter environ 250 euros. Un surcoût qui pourrait sembler acceptable pour une voiture neuve mais beaucoup moins pour un modèle d’occasion. Et totalement inefficace pour une voiture de collection dépourvue de système de gestion électronique !

    Alors pour ou contre l’idée d’avoir une boîte noire dans votre véhicule ? La baisse du tarif de l’assurance est-elle un argument qui pourrait vous faire franchir le pas ?

  • Nouveauté : Peugeot 108

    Nouveauté : Peugeot 108

    Autant l’avouer tout de suite, la collection C1-107-Aygo était vraiment loin de me plaire. A trop vouloir faire une petite voiture simple, Citroën, Peugeot et Toyota avaient produit un modèle dénoué de tout intérêt. La Peugeot 108 semble prendre un tout autre chemin.

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    Après les 208 et 308, Peugeot présente la 108. Cette fois, la petite citadine du Lion joue la montée en gamme avec l’option d’un toit en toile long de 76 centimètres et large de 80 centimètres. La carrosserie suit la mode avec une multitude de combinaison entre la teinte de la caisse, du capot, du toit et des différents accessoires à sérigraphier.

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    Reste à découvrir l’intérieur et les sensations au volant. Si elle hérite des qualités de la 308, ça promet !

  • Nouvelle Renault Twingo : on veut une Gordini !

    Nouvelle Renault Twingo : on veut une Gordini !

    Jeudi soir dernier, Renault lançait en grandes pompes la nouvelle Twingo, troisième du nom. Une troisième génération résolument innovante et changeante, un peu comme l’était la Twingo « MK1 » à sa sortie. Cette fois, la plus grande innovation dans la gamme Renault provient de la motorisation de la petite au losange, à savoir un moteur arrière, entrainant les roues arrières motrices.

    Une propulsion, à moteur arrière. Il faut remonter à la R8 ou la R10 pour retrouver cela chez Renault, ou encore la 4CV avant celles ci (si on omet volontairement Alpine). La propulsion fut abandonnée en 1969, avec l’arrivée de la R12. Qui dit R8, dit R8 Gordini et donc sportivité, d’autant plus si on dit propulsion. Non pas la griffe Gordini sortie il y a quelques années, une finition n’apportant rien qu’un plus marketing. Je vous parle ici de la Gordini, la Gorde, celle qui révéla de nombreux pilotes au sein de la Coupe R8 Gordini.

    Nous simples clients et/ou amateurs de la marque au losange, attendons cette série avec impatience. On pourrait imaginer une version allégée de la Twingo, avec une petit moteur 103 cv (histoire de faire vrai comme à l’époque), des jantes tôles (mais noires, pas brutes) et des phares additionnels, carrés et à LED comme vu sur le prototype TwinRun qui annoncait en milieu d’année dernière la nouvelle Twingo.

    On imagine déjà une Twingo Cup Gordini, forte d’un peloton d’une trentaine de Twingo.organisée lors des World Series by Renault, ayant pour but de détecter de futurs espoirs du sport automobile… Et qu’on ne nous dise pas que la sportivité n’est pas présente dans cette Twingo. TwinRun fut annoncée dans un cortège de gènes de R5 Turbo et Clio V6. Nous voulons une Renault Twingo Gordini, imaginée chez Renault Sport.

    A bientôt,
    Jean-Charles

    NB: l’illustration accompagnant cet article n’a rien d’officiel.

  • Nouvelle Twingo : Plus R5 que Twingo

    Nouvelle Twingo : Plus R5 que Twingo

    Est-il possible de se réinventer régulièrement ? Avec sa Twingo de 1992, Renault avait créé une nouvelle idée de la citadine. 24 ans plus tard, sa Twingo n’est-elle pas devenue une descendante de Renault 5 ?

    En 1992, la Renault Twingo bousculait les codes des petites voitures. Vraie citadine, elle devenait une fille d’Espace avec une bouille sympa, des couleurs différentes et une unique version.

    La deuxième génération a marqué un virage. En 2007, Renault a changé l’idée que l’on pouvait se faire de la Twingo. Du Diesel, du Renault Sport et une ligne moins marquée ont fait entrer la petite Renault dans le rang et a déçu ses fans.

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    Dès l’année suivante, Renault planchait sur la troisième génération pour recouvrer l’esprit Twingo. Un accord avec Daimler (Smart) permettait de réduire les coûts de développement. Mais, au lendemain de la révélation officielle, j’ai davantage l’impression d’une nouvelle R5 que d’une Twingo réinventée.

    Etait-il vraiment possible d’étonner autant qu’en 1992 ? Il aurait fallu faire un pari très osé pour se donner une chance de créer le même engouement. Si l’architecture est vraiment différente avec un moteur à l’arrière et des roues arrière motrices, la ligne évoque très clairement Twin’Run.

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    Cette Twin’Run était justement une évocation de la R5 Turbo avec des phares quasi carrés, un train arrière large et un hayon incliné. La mise à jour reprend les codes des FIAT 500 et des Opel ADAM. Cette fois, Renault n’a pas cherché à être précurseur. L’idée est vraiment de proposer la future reine des villes européennes.

    Cette Twingo est une voiture de conquête comme avait pu l’être la R5 en son temps. Reste à découvrir l’aménagement intérieur (à Genève) et surtout ses qualités dynamiques en ville (et en dehors)…

  • Nouveauté : BMW Série 2 Active Tourer

    Nouveauté : BMW Série 2 Active Tourer

    Alors que Renault présente une nouvelle propulsion à moteur arrière, BMW dévoile un monospace à roues avant motrices… Le constructeur allemand se lance dans la catégorie avec sa Série 2 Active Tourer.

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    Pour ce monospace, BMW a retenu l’appellation Série 2, auparavant réservée à un coupé. Via cette Active Tourer, les Allemands cherchent à bouleverser les codes des monospaces compacts avec une offre plus premium. Une ambition que n’avait jamais atteint Mercedes avec sa Classe B.

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    BMW va même jusqu’à mettre des moteurs à trois cylindres sous le capot. Le monde change !

  • Nouveauté : Renault Twingo

    Nouveauté : Renault Twingo

    Renault avait tout inventé avec sa première Twingo… Cette fois, la marque française court après ses rivales. FIAT 500 et Opel ADAM sont très clairement dans la ligne de mire de la troisième génération de sa mini-citadine.

    Face à la déception du public lors de l’apparition de la deuxième Twingo, Renault a décidé dès 2008 de repartir d’une page blanche pour redéfinir l’esprit de la Twingo de 1992. Un accord a été signé avec Daimler pour coopérer dans le développement de cette voiture et des nouvelles Smart.

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    Tout à l’arrière
    Résultat : cette nouvelle Twingo hérite d’une architecture surprenante. Pour la première fois depuis la Clio V6, Renault propose un modèle avec moteur à l’arrière et propulsion. L’autre principale nouveauté est l’adoption de cinq portes.

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    La ligne n’a rien de surprenant lorsque l’on connait Twin’Z et surtout Twin-Run, deux concepts dévoilés en 2013.

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    L’intérieur de cette nouvelle Twingo sera montré le 4 mars lors du Salon de Genève.

  • Huit Corvette disparaissent de Bowling Green

    Huit Corvette disparaissent de Bowling Green

    Une partie du sol du Musée Corvette de Bowling Green s’est effondrée hier. Huit Corvette ont été englouties dans un trou de 12 mètres de diamètre et de 9 mètres de profondeur.

    Parmi les huit Corvette, deux étaient prêtées par le musée General Motors, une ZR1 Spyder de 1993 et une ZR1 Blue Devil de 2009.

    Parmi les six autres, on trouve une noire de 1962, une PPG Pace Car de 1984, la millionième produite en 1992, une version 1993 célébrant le 40e anniversaire de la marque, une Z06 Mallett Hammer de 2001 et le modèle 2009 marquant la 1,5 millionième Corvette produite.

    La vidéo, prise par une caméra de sécurité et mise à disposition par le musée, montre le début de l’effondrement. C’est arrivé à 5h40 du matin. Une alarme s’est déclenchée chez les pompiers qui n’ont pu que constater les dégâts en arrivant. Personne n’était sur place au moment du drame.

    La musée doit fêter son vingtième anniversaire en septembre avec une parade à laquelle 1 200 propriétaires sont d’ores-et-déjà inscrits.