Catégorie : Blog

  • Publicité : « Ma Toyota est fantastique »

    Publicité : « Ma Toyota est fantastique »

    Attention, publicité culte ! En 1990, l’agence Australie joue avec les anagrammes (ou quasi) de « Ma Toyota est fantastique », affiché sur la lunette arrière des voitures japonaises, pour créer de nouveaux slogans. La publicité a tellement marqué les esprits qu’elle fut souvent détournée par la suite !

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  • Démonter, remonter un moteur de Triumph

    Démonter, remonter un moteur de Triumph

    Evidemment, la vidéo n’est pas récente, récente… Que les fous de youtube ne s’énervent avec des #old dans tous les sens ! Voici un rebuild d’un moteur de Triumph Spitfire 1300cm3 en 3 000 photos. (et 3 000 photos en 2 minutes et 20 secondes, ça fait une vidéo ! Merci les frères Lumière, Edison, Muybridge et tous les autres dont on ne se souvient pas).

    Dans la réalité, l’opération a duré onze mois… Mais il est parti en vacances au milieu !

  • WTCC // Nurburgring Nordschleife : Citroën teste et confirme

    WTCC // Nurburgring Nordschleife : Citroën teste et confirme

    Une des grandes attentes de la saison de sport automobile 2015 est à n’en pas douter l’arrivée du WTCC sur le mythique circuit du Nurburgring Nordschleife. Avec ses 25,947 km et 170 virages, ce circuit tracé dans l’épaisse forêt de l’Eifel promet de sacrées bagarres, tout comme des images à couper le souffle. Ce circuit étant un peu particulier, une journée d’essais eut lieu aujourd’hui. Citroën, champion du monde en titre, a marqué de ses chevrons la journée, posant ses quatre pilotes dans le top 5, trustant le podium.

    Par séries de trois tours, soit 75 kilomètres, distance des courses prévues lors du meeting du Nurburg, pas une fois dans la journée, José María López ne sera descendu de la première marche de ces essais. Commençant par un chrono de 8:46:726 dès sa première boucle d’essais, il améliore ensuite son temps à 8:42:791 puis 8:42:468. En fin de journée, l’Argentin met tout le monde d’accord, améliorant son temps de 4 secondes, signant un fantastique 8:38:027.

    Avec Pechito Lopez sur un nuage, Sébastien Loeb, Ma Qing Hua sur le podium et Yvan Muller dans le top 5, le ton est donné par Citroën pour la  manche allemande du WTCC, qui se déroulera le weekend du 16 mai, sur le tracé du Nurburgring.

    Top 5 des essais WTCC du Nurburgring :

    1 – José María López – 8:38:027
    2 – Sebastien Loeb – 8:40:517
    3 – Ma Qing Hua – 8:41:489
    4 – Gabriele Tarquini – 8:42:7
    5 – Yvan Muller – 8:43:644

     

    AUTO - WTCC NURBURGRING PRESENTATION 2015

    Citroen WTCC Nurburgring Jose Maria Lopez 01

    Citroen WTCC Nurburgring Yvan Muller

  • L’art automobile s’expose à La Tartine

    L’art automobile s’expose à La Tartine

    Du 30 avril au 6 mai, l’art automobile s’expose à Lasne, en Belgique. En l’estaminet La Tartine, vous pourrez apprécier les œuvres des artistes Clovis, Pierre Englebert, Ever Meulen, Johan Vandenberghe, Nicolas Cancelier et Jean-Luc Vanuf. Entre photographie, peinture, sculpture, le grand thème sera l’automobile. Une exposition artistique complétée de rassemblements de pilotes du Dakar, des 24 heures de Spa mais aussi d’expositions d’objets automobiles, d’un rallye balade, de conférences et déjeuners.

    Rendez-vous à La Tartine. Rue de l’Église, 2 – 1380 Lasne (Ohain)

    exposition Automobile Art at La Tartine Lasne Ohain

  • Renault Mégane R.S. sur les targas australiennes

    Renault Mégane R.S. sur les targas australiennes

    En Australie, se dispute un championnat atypique de compétitions sur routes. En bref, on parle de rallyes, sauf qu’ici, les étapes sont bien plus longues que nos habituels rallyes, à la façon des grandes compétitions routières d’antan : les Mille Miglia, la Coupe des Alpes, le Tour de France Automobile, la Targa Florio. Le nom de ce championnat et de compétitions qui le compose vient d’ailleurs de cette dernière : Australian Targa Championship. Il est composé de quatre targas : Targa Tasmania, Targa Adelaide, Targa High Country et Targa Wrest Point. De longues et grandes courses étalées sur un état complet, disputées sur routes : les Australiens arrivent donc à faire ce que nous n’arrivons plus à faire. Le Targa Tasmania se déroule d’ailleurs sur 6 jours et plus de 30 secteurs chrono.

    Sur ce championnat, sont principalement engagées des supercars, des sportives, qui sont au final assez proches de la série. Nous sommes là bien loin des habituelles montures vues sur nos rallyes, les WRC en tête. Pour dire, parmi les dernières voitures vainqueurs de la Targa Tasmania, on retrouve des Porsche 911 GT2 et GT3, Subaru Impreza WRX STi S202, Nissan Skyline GT-R, Subaru Impreza WRX, Mitsubishi Lancer Evolution IX RS, Lamborghini Gallardo Reiter Super Trofeo Strata, Lamborghini Gallardo Super Trofeo Stradale. Cette année même, on trouve des Mini John Cooper Works GP, Porsche 911 GT3 RS, Jaguar V8 F-Type Coupe R, Mclaren 650S et Ford Mustang Shelby GT500.

    Au milieu de ses ultra-sportives, on retrouve une petite Française, perdue en Océanie : la Renault Mégane R.S.. Engagées par Renault Sport Australia et Renault Australia, deux exemplaires de la sportive française disputent ce championnat routier. A leurs bords, on trouve Mike Sinclair et sa copilote Julia Barkley, qui forment le premier équipage, tandis que sur la deuxième Mégane R.S., Grant Denyer (présentateur télé local) est secondé par Alex Gelsomino, l’habituel copilote d’un certain Ken Block. A eux quatre, ils portent les couleurs officielles de Renault en Australie. Sur les routes des targas australie, notre chère petite Française mène donc une drôle d’aventure, qui n’en est pas moins passionnante. D’autres Mégane sont présentes sur ce championnat, engagées non officiellement.

     

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    renault megane rs australie 03

    renault megane rs australie 03

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  • Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Cinéma : la BMW 2002 Turbo du film Dikkenek

    Certains films sont cultes. OSS 117, le grand détournement, le vélo de Ghislain Lambert, The Big Lebowski, Retour vers le futur et Dikkenek. Ce drôle de film réalisé par le Belge Olivier Van Hoofstadt met en scène des acteurs de haut vol dans leur domaine. Au programme, François Damiens, Jean-Luc Couchard, Jérémie Rénier, Florence Foresti, Catherine Jacob, Dominique Pinon, Marion Cotillard et Mélanie Laurent jouent leur rôle dans un scénario des plus loufoques. Ce film, qui se joue entre Bruxelles et Anderlecht, nous permet de voir une BMW 2002 turbo, modèle rare au cinéma.

    Produit de 1973 et 1975, la BMW 2002 Turbo est mue par un 4 cylindres 1,990 cc à injection, gavé du turbo KKK, développant 170 ch. La 2002 Turbo est une propulsion, équipée d’une boîte manuelle à 4 vitesses. D’extérieur, la 2002 T est blanche, bardée de liserés bleus turquoises, bleus marine et rouge, en bas de caisse le tout rappelant les couleurs officiels de M Power et BMW Motorsport. Pour la petite histoire, (et ce n’est pas le cas dans la 2002 Turbo du film), sur le bouclier avant, était inscrit le logotype « 2002 turbo » à l’envers, de façon à ce que le conducteur qui précédait la 2002 T voyait écrit à l’endroit « 2002 turbo » dans son rétroviseur. Tout une histoire à l’époque.

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    BMW 2002 Turbo Dikkenek 01

    Dans ce film, on pourra voir une autre BMW, la 645 CI. On trouvera aussi une Mercedes-Benz, la SLC de Claudy Focan, mais aussi sa Toyota Celica. Une Ford GT40 aura aussi sa place dans le scénario.

     

    Une scène du film a été coupé au montage. La voici, mettant en avant la BMW 2002 Turbo.

    https://www.youtube.com/watch?v=ggCCFUpE69c

  • Tout à droite en Birmanie !

    Tout à droite en Birmanie !

    Loin de moi l’envie de rappeler que les Anglais nous ennuient profondément par leurs différences… En France, nous y avons échappé à force de résistances (et de guerres). Dans les pays du Commonwealth, tout n’est pas aussi simple. Surtout quand les incongruités s’empilent grâce à des dirigeants un peu décalés.

    Ancien pays du Commonwealth, la Birmanie avait adopté la conduite sur la gauche de la chaussée. Mais une forte influence des astres – ça semble être une mauvaise habitude des gouvernements locaux successifs – a fait modifier le côté de circulation en 1970.

    Merci donc au Général Ne Win… On ne saurait moins féliciter un chef d’état de faire passer la conduite sur le côté droit. Sauf que notre ami général a fait les choses à moitié !

    On raconte qu’un astrologue avait énormément de pouvoir auprès du monsieur aux étoiles. (Ne rigolez pas, on raconte la même chose pour l’un de nos anciens présidents !). Notre diseur de bonne aventure associait le pays à un grand corps social, un corps malade d’une mauvaise circulation des énergies.

    Comment changer cette circulation ? En faisant appliquer un précepte clef de la médecine chinoise : le chi. Le chi circule dans tous les éléments qu’ils soient humains ou non. Il contrôle la circulation des énergies… Quoi donc de plus radical que de changer le sens de la circulation routière pour donner une nouvelle dynamique au pays ?

    J’avoue, ça ne m’était jamais venu à l’esprit !

    Donc la Birmanie est repartie de l’avant en 1971 ? Ah bah non ! Le pays a connu une grave crise de sécurité routière. Ah mince ! Normal… Il faut que les conducteurs s’habituent… Oui, mais non.

    Car l’ami général a oublié un détail. Changer le sens de circulation, c’est fait… Changer l’emplacement des panneaux, c’est fait… Alors ?

    Le Birman a juste raté quelque chose… La totalité des véhicules qui roulent dans son pays étaient importés de Thaïlande ou du Japon ! Ils sont donc livrés avec le volant à droite.

    C’était il y a 45 ans… Et rien n’a changé. Sans doute que le fils de l’astrologue trouve que l’équilibre est atteint et qu’il ne faut plus rien toucher !

  • Ferdinand Piëch abandonne-t-il Volkswagen ?

    Ferdinand Piëch abandonne-t-il Volkswagen ?

    Martin Winterkorn est en train de gagner son bras de fer contre le petit-fils de Ferdinand Pörsche ! Ferdinand Piëch a annoncé sa démission – et celle de sa femme – du Conseil de Surveillance du premier groupe européen !

    Principal ouvrier de la renaissance du groupe Volkswagen au début des années 1990 et de sa formidable expansion durant les années qui ont suivi, Ferdinand Piëch quitte son poste.

    Tout s’est joué en quelques jours. Martin Winterkorn avait affirmé qu’il se verrait bien à la place de Piëch dès la prochaine élection. Piëch aurait pu passer la main à son successeur naturel… Mais il a préféré contre-attaquer. Et le Comité de Direction a penché vers Winterkorn.

    Dans la semaine, Piëch aurait appelé Winterkorn a démissionner avant le 5 mai, selon la radio allemande NDR. Et selon Der Spiegel, il aurait demandé à Matthias Müller, l’actuel PDG de Porsche, de se préparer à prendre la succession à la tête du groupe.

    Et patatras ! Lâché aussi par son cousin Wolfgang Porsche, Ferdinand Piëch a démissionné hier. Martin Winterkorn prendra vraisemblablement sa place à la tête du Conseil de Surveillance. Reste à savoir qui remplacera Winterkorn au poste de PDG du Groupe Volkswagen. Matthias Müller a-t-il été grillé par le dernier mouvement de Piëch ?

    Quel rôle va jouer le petit-fils de Ferdinand Porsche désormais ? La famille Porsche reste actionnaire majoritaire du groupe, mais elle est aujourd’hui divisée avec le couple Piëch d’un côté et leurs cousins Porsche de l’autre.

    Toujours prêt à donner des leçons, Ferdinand Piëch vient d’en recevoir une exemplaire. Achèvera cette extraordinaire carrière sur une telle humiliation ?

  • Un « R » avec une croix ?

    Un « R » avec une croix ?

    Oubliez l’emballement médiatique qui porte certaines disciplines du sport automobile. Mettez tout à plat et regardez simplement des courses avec un œil neuf. Quel est votre nouveau championnat préféré ? Le « World RX » !

    Evidemment, c’est pousser l’exercice un peu loin… On sait tous que rien ne remplace l’excitation des 24 Heures du Mans, du Grand Prix de Monaco, des 500 Miles d’Indianapolis, du Col de Turini ou d’Ouninpohja. Mais le rallycross est quand même la discipline ultime du sport automobile.

    Le rallycross semble tout droit sorti de l’esprit d’un concepteur de jeu vidéo

    Prenez des voitures qui ressemblent à de vraies voitures avec des performances à couper le souffle, des départs en ligne et des courses en peloton de seulement trois minutes, des circuits mêlant asphalte et terre… C’est comme si un concepteur de jeux vidéo avait eu l’idée de transposer le truc le plus fun sur console en une réelle épreuve sportive… Sauf que ces courses existaient avant MS-DOS !

    volkswagen-polo-rx

    Oubliez les WRC, elles ne pourraient résister à la puissance des « Supercars » alignées en rallycross… Oubliez même les F1 sur un départ arrêté. Aucune autre voiture sur quatre roues munie d’une direction (ça élimine les dragsters !) n’est capable d’atteindre 100 km/h plus vite !

    Depuis l’an passé, le rallycross a gagné un label Championnat du Monde FIA et une marque World RX. Plusieurs marques sont plus ou moins directement impliquées avec les Audi S3, Volkswagen Polo, Peugeot 208, DS 3 et Ford Fiesta.

    Les RX Supercars peuvent être équipées d’un moteur 1,6 litre ou 2,0 litres turbocompressé avec une bride de 45 mm capable de délivrer 600 chevaux et 900 Nm de couple. Pour contenir les coûts, la transmission à quatre roues motrices est couplée à une commande séquentielle manuelle et le traction control est interdit. Avec 1320 kg minimum sur la balance, les voitures atteignent 100 km/h en moins de deux secondes.

    Dix-huit pilotes devraient disputer toute la saison… avec le passage d’invités sur chaque manche. Des, MINI, des Subaru, Citroën C4 et Ford Focus sont déjà annoncées. Des noms ? Petter Solberg, Champion du Monde en titre, Tanner Foust, Topi Heikkinen, Timmy Hansen, Andreas Bakkerud, Anton Marklund, Mattias Ekström, Manfred Stöhl et notre petite français : Davy Jeanney. L’an passé, Ken Block, Jacques Villeneuve et Sébastien Loeb étaient aussi venus se frotter aux spécialistes.

    Première des treize manches ce week-end au Portugal… Et ce sera en direct sur L’Equipe 21 !

  • 42 ans de périphérique parisien

    42 ans de périphérique parisien

    Le 25 avril 1973, Pierre Mesmer – alors Premier Ministre de Georges Pompidou – inaugurait Porte Dauphine et celait enfin la boucle dessinée par le boulevard périphérique de Paris.

    Sur 35,400 kilomètres, 38 portes permettent de faire le tour des vingt arrondissements parisiens. C’est désormais l’axe le plus utilisé en Europe avec 1,3 million de véhicules chaque jour.

    Aujourd’hui indispensable, le périphérique a été pensé dans les années 1920. L’idée est alors de suivre les plans des différentes fortifications érigées au XIXe siècle. A cette époque, Paris est une minuscule cité. Ce plan de défense avait permis d’annexer Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Montrouge, Vaugirard, Auteuil, Passy et Batignolles-Monceau.

    Entre les deux guerres, un large boulevard circulaire construit sur l’emplacement des fortifications est donc évoqué. Les premières expropriations débutent en 1930 et l’ancien boulevard militaire se trouve déjà saturé à la veille de la guerre. Il n’y a pourtant que 20 000 véhicules par jour aux endroits les plus fréquentés pour une chaussée large de 20 mètres.

    Sous l’occupation, un nouveau plan est présenté pour construire une rocade aux portes de Paris. Mais ce n’est qu’en 1953 que le projet est vraiment lancé. Face à l’urgence représentée par un fort accroissement de la population, l’équivalent du budget d’une année de la municipalité est engagé.

    La première portion est inaugurée le 12 avril 1960 entre Porte de la Plaine et Porte d’Italie. Durant treize ans, la boucle se dessine jusqu’au 25 avril 1973 et l’ouverture de Porte Dauphine.

    A l’époque, la réalisation de l’ensemble est estimée à 2 milliards d’euros. La Cour des Comptes juge la dépense raisonnable par rapport aux coûts engendrés par la construction des autoroutes.

    En 1973, le gouvernement annonce qu’un tour complet doit se faire en 20 à 25 minutes. Mais dès que la boucle fut bouclée, le périphérique montrait des signes d’engorgement. Tout au long des 38 portes et des 146 ponts, 25% des embouteillages de France étaient concentrés sur ces 35 kilomètres. Et tandis que les autres capitales européennes s’étendaient, Paris restait intra muros, coincé par son boulevard circulaire.

    42 ans après son ouverture, le périphérique est toujours engorgé… Et le Grand Paris, imaginé il y a quelques années, n’est pas près de voir le jour pour améliorer l’urbanisme de la région parisienne !

  • Les E-Mercedes

    Les E-Mercedes

    Des E-Mercedes ? Des Mercedes électriques ? Non, ce E n’est pas toujours synonyme d’électricité. Depuis 1993 et la dernière version de la Mercedes-Benz W124, la berline s’appelle Classe E.

    A quelques mois de la présentation de la nouvelle génération, coup d’œil sur les W212, disponibles en berline, break, cabriolet et coupé.

    Par rapport à la précédente Classe E, l’actuelle génération s’affiche avec une calandre à mono lamelle, un insert en argent en bas de la nouvelle jupe avant aux lignes plus accentuées. La différence visuelle se fait surtout avec les phares monoblocs qui intègrent les feux de jours à LED. Le Pack Sport se distingue par des disques de freins perforés, des étriers spécifiques et une double sortie d’échappement chromée en forme de losange. Le Pack Sport AMG propose une jupe avant plus agressive et des bas de caisse plus enveloppants. En version AMG Plus, les jantes passent à 19 pouces et un spoiler fait son apparition.

    A l’intérieur, une horloge centrale a fait son apparition. Analogique, elle rappelle les réalisations passées et augmente la qualité perçue. Le chrome est aussi multiplié à l’intérieur. A partir du Pack Sport AMG, les sièges deviennent dynamiques.

    mercedes-classe-e-coupe-cabriolet

    Petit clin d’œil sympa sur la mercedes classe e cabriolet paris, la capote est disponible en quatre couleurs à choisir lors de la commande. Noir, bleu, rouge ou marron foncé. C’est peut-être étrange en France tant les Mercedes passent du gris ou noir… Mais en Allemagne, il n’est pas rare de voir les grandes berlines arborer des couleurs plus flashy.

    La Cabriolet est aussi équipé de l’Aircap qui permet d’offrir un confort optimal à l’ensemble des passagers grâce à un déflecteur dans le pare-brise et à un filet entre les appuie-tête arrière qui dévient le vent au dessus de l’habitacle. Les passagers sont ainsi protégés des remous et du bruit et peuvent rouler dans un confort optimal.

    L’option à ne pas manquer est le Pack Advanced Agility. C’est un système de gestion intelligent qui est capable d’analyser les caractéristiques de conduite et ainsi d’adapter de manière autonome et automatique les différents réglages de la voiture, pour davantage de sensations ou de confort. Si le système détecte une conduite sportive, il pourra agir sur les amortisseurs et le train de roulement procurant une réactivité et une sécurité accrue.

    Le mercedes classe e break paris est systématiquement équipé sur l’essieu arrière d’une suspension pneumatique avec correcteur d’assiette intégré.

  • Mitsubishi Lancer Evolution Final Edition : rime triste

    Mitsubishi Lancer Evolution Final Edition : rime triste

    Promise depuis des années, la disparition de la Mitsubishi Lancer Evolution se précise avec la présentation de la « Final Edition ». Cette dernière version produite à 1 000 exemplaires sera en vente exclusivement au Japon à partir de cet été.

    « Une seule solution : l’évolution ! », crie Url dans les manifestations de Silex and the City. Passé de l’âge de pierre à l’âge du diamant, l’Evolution arrive à son terme en 2015.

    Depuis 23 ans et avec une dizaine de modèles différents, Mitsubishi a construit un mythe autour de la Lancer Evolution et de ses Groupe A engagées en Championnat du Monde des Rallyes. Tommi Mäkinen a conquis quatre titres consécutifs avant que les WRC ne prennent définitivement le dessus.

     

    Cette toute dernière Evo n’est pas la plus aboutie… Plutôt un objet de collection. Basée sur la finition GSR, la plus cossue avec l’ABS et un effort notable sur l’insonorisation et le confort en général, la Final Edition se pare de baquets Recaro, de freins Brembo et de jantes BBS. Sous le capot, on aura toujours le moteur 4 cylindres en ligne turbo de 300 chevaux.

    Mille exemplaires devraient s’arracher à moins de 35 000 euros…