Catégorie : Toyota

  • Journée de la Femme : on a échappé au pire

    Journée de la Femme : on a échappé au pire

    Depuis des années, une sorte de mimétisme idéologique admet que l’automobile est une propriété masculine. Cette bêtise atteint son apogée le 8 mars, lors de la Journée de la Femme.

    Avec plus ou moins de bonheur, les marques communiquent autour de ce concept. Je m’interroge… Quel est leur objectif en ce 8 mars ? Se rapprocher d’un genre avec lequel elles ne parviennent pas à interagir le reste de l’année ? Pourtant, les postes de leurs équipes de communication sont souvent occupés par des femmes…

    Voilà qui fera plaisir à notre blog « sœur » EnvoitureCarine.fr… Petit florilège des tweets et des posts Facebook du 8 mars. A vous de vous faire un avis !

    Nissan France est passé maître dans la reprise de l’actualité sur ses réseaux sociaux. Avec une gamme qui attire tous les âges et tous les genres, les produits font leur oeuvre. La communication devient plus simple. Inutile alors de montrer une Micra Lolita Lempicka… Sortons une GT-R ! Bravo.

    Profiter de la journée, voiture garée… Ou comment se démarquer de la communication tournée autour du plaisir de conduire.

    La femme, le vernis à ongles… Imaginez les 364 autres jours !

    La robe rouge qui permet de ne pas reconnaître… ni la femme, ni la voiture !

    Volvo s’engage… Et pas seulement le 8 mars.

    Simple, efficace.

    Le problème des pages globales : il y a 1 895 315 fans de Smart sur Facebook... Et seulement 47 000 femmes ? Aïe !

    Evidemment, cette publication n'est pas dédiée à la Journée de la Femme puisqu'elle date d'hier... Et c'est peut-être pour ça que cette fameuse Journée de la Femme existe !

    Les constructeurs automobiles s'en sortent donc plutôt bien... En fait, l'esprit macho ne respire plus que sur les sites internet spécialisés qui continuent de faire gonfler leurs statistiques avec des galeries photos des hôtesses (sans jamais mettre les hommes) des salons. Et ils ne sont pas les seuls fautifs, si ce sont leurs pages les plus visitées !

  • Pub : Toyota Yaris se la joue Marseillaise et #madeinFrance

    Pub : Toyota Yaris se la joue Marseillaise et #madeinFrance

    Cocoricoooo ! Non, hélas, la réédition de l’antique 2CV Cocorico n’est pas prévue par la marque aux chevrons. Ne soyons tout de même pas défaitiste (bien que Français cela pourrait être une habitude) et soyons tout de même fiers de l’image : le modèle automobile le plus produit en France n’est pas français mais bel et bien japonais. Tout un symbole!

    Cocoricoooo encore donc ! Oui, les marques étrangères aiment notre pays, nos industries et les salariés qui bossent. L’exemple est là : Toyota lançait la production de sa Yaris dès 2001 à Valenciennes. Elle fut d’ailleurs la première voiture à recevoir le label « Origine France Garantie ». C’était en août 2012. Depuis l’ouverture de Onnaing/Valenciennes, Yaris a été exporté vers plus de 40 pays, dans toute l’Europe, mais aussi en Amérique du Nord. Aujoud’hui, plus de 2,65 millions d’exemplaires de la Franco-Japonais ont été produits depuis 2001 et le site de production de Valenciennes emploie aujourd’hui 4 000 personnes. Sans compter les prestataires, les sous-traitants.

    Alors surfant sur la mode du #madeinFrance (et #madeinNord du coup), Toyota a donc décidé d’utiliser la production française de sa Yaris pour nous proposer une publicité jolie et bien faite. Cette pub n’est peut être pas très innovante, mais le résultat est là : je suis certain qu’à l’oreille, lorsque cette pub passera à la télé, vous vous rappellerez qu’il s’agit d’une pub pour la Yaris. Une Yaris made in France du coup.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=skpoRXhVPns

     

     

     

  • Super Bowl XLIX : les pubs auto !

    Super Bowl XLIX : les pubs auto !

    Avec l’un des plus grands duels de ces dernières années, il fallait choisir la fin de match pour diffuser sa publicité… à 4,5 millions de dollars les trente secondes !

    Nissan gagne le match (les Patriots aussi) des constructeurs automobiles avec la révélation de sa nouvelle LM P1 qui sera au Mans en juin prochain.

    Gros coup de cœur également pour Dodge qui a fêté ses cent ans !

    Jeep joue toujours la carte de la liberté et de la découverte.

    Comme Nissan, Toyota se sert de la relation père / enfant.

    Pas de surprise pour la FIAT 500X avec un spot déjà vu depuis des semaines.

    Deux films en marge, mais qui concernent toujours l’automobile, un réussi pour la Nascar sur NBC et une bande annonce pour le prochain Fast and Furius.

    Les autres films avaient été dévoilés avant le match.

    Mercedes AMG GT

    Kia Sorento

    BMW i3

    Lexus NX

  • Les premières publicités du Super Bowl XLIX

    Les premières publicités du Super Bowl XLIX

    Chaque année, les constructeurs rivalisent d’ingéniosité pour proposer le film publicitaire qui marquera la diffusion du Super Bowl. Voici les premiers spots rendus publics à deux jours du match qui opposera les Seahawks aux Patriots. Katy Perry et Lenny Kravitz animeront le show de la mi-temps.

    Il y a quelques années, Nissan avait marqué le rendez-vous du Super Bowl… On en attend beaucoup cette année : la nouvelle LM P1 qui sera engagée au Mans devrait y faire sa première apparition !

    Pas de gros risques de la part de Mercedes-Benz qui reprend la fable du lièvre et de la tortue pour sa AMG GT.

    Une star et un publicitaire sans idée qui se met en scène… La maigre recette de Kia avec Pierce Brosnan.

    Un morceau d’histoire de la télévision américaine pour inscrire la BMW i3 dans l’avenir de l’automobile.

    Un film parfaitement américain pour Toyota et sa Camry et plutôt bien réalisé.

    Ambiance sonore et dansante chez Lexus pour son NX turbo

    Fiat Chrysler Automobile a également annoncé trois films durant le match et les constructeurs américains gardent très souvent leurs spots secrets jusqu’au bout. Personnellement, j’attends toujours avec une grande impatience les réalisations de Chrysler !

    A suivre !

  • Toyota GT86 : moderne, dans la lignée de ses aïeules

    Toyota GT86 : moderne, dans la lignée de ses aïeules

    Toyota 2000 GT, Toyota S800, Toyota Celica, Toyota Supra, Toyota GT86 : la lignée est assurée avec la petite dernière de chez Toyota. Construite avec Subaru, la GT86 n’en est pas moins une digne héritière de ses aïeules précédemment nommées.

    Toyota GT86, Toyota 2000GT, Toyota S800
    Toyota GT86, Toyota 2000GT, Toyota S800

    La GT86 est un coupé 2+2, voué au plaisir de conduire, de piloter même. Moteur 2 litres de 200 cv, propulsion, répartition des masses avant-arrière à 53%-47%, centre de gravité bas et différentiel à glissement limité font d’elles une des références de sa catégorie.

    Elle n’est pas sans rappeler la 2000GT, la Supra. Avec une roue à chaque coin, elle s’en retrouve bien équilibrée. A bord, l’environnement est bien bien. Les sièges maintiennent bien. On se sent bien dans cette sportive financièrement accessible. J’ai particulièrement aimé me retrouver « le cul par terre », tant cette GT86 est basse. Quel plaisir !

    Le volant, le levier de vitesse, les pédales aussi sont bien placées, leurs ergonomies sont bien étudiées. Rien ne choque, si ce n’est la qualité japonaise, fidèle à son mythe, mais en progression tout de même. Petit caprice, j’ai beaucoup aimé les palettes de la boîte semi-automatique. Elles « tombent » bien sous les doigts, derrière le volant, les mais bien placées à 9h15, 10h20.

    En route, la GT86 se montre être d’une efficacité, d’une simplicité rare, surtout avec les palettes de la boîte semi-automatique au volant. Elle est facile à conduire, facile à tenir, facile à emmener, mais une fois dans le vif du sujet, il faut se montrer très précis pour ne pas perdre l’efficacité. Dans le vite, la GT86 est assez précise, nous rappelant parfois qu’elle est l’héritière des modèles sportifs des années 70. En bref, c’est une propulsion. Dans le serré, elle en devient joueuse, train avant précis et train arrière baladeur. Il faut du doigté pour que cette belle Japonaise ne se dandine pas trop du popotin. Ne pas arriver trop vite, ne pas accélérer trop tôt. C’est un régal, elle est vraiment amusante, elle nous ravit et provoque le sourire, vraiment ! Son moteur et ses 200cv « donnent » bien, quand sa boîte (peut être un poil longue) est bien étagée.

    Vous remarquerez que je n’ai pas parlé des places arrières : elles ne sont existantes que pour les contorsionnistes, les petites tailles. Mais la GT86 est-elle une familiale? Non. Elle est là pour que nous prenions du plaisir, et joue son rôle à la perfection.

     

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    Toyota GT86
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    Toyota GT86
  • Toyota en WRC : merci Ove Andersson !

    Toyota en WRC : merci Ove Andersson !

    5h00 du matin à Paris… En ligne devant la conférence de presse de Toyota qui annonce le programme du groupe japonais en sport mécanique pour les années à venir. L’occasion de se rappeler pourquoi (et comment) Toyota est devenue une marque associée au rallye.

    Suédois taciturne, Ove Andersson était un équilibriste au volant. Saab 96, Lancia Fulvia, Ford Escort TC, il s’était révélé bien avant de rejoindre Alpine-Renault pour conquérir un premier titre « International » des marques en 1971. S’il y avait eu une distinction pour les pilotes, Ove Andersson aurait été champion du monde avec quatre victoires en huit courses cette saison-là…

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    Et puis il a changé de voie. Il a créé le Toyota Team Europe qui a survécu à la crise du pétrole de 1973. La petite équipe a joué avec ses faibles moyens extorqués au Japon et à quelques importateurs convaincus.

    Durant des années, il a accepté son sort, il a rongé son frein. Longtemps, il a attendu le feu vert – et des budgets – du Japon pour concevoir une voiture à quatre roues motrices.

    Son attachement à Toyota et son flegme ont fini par convaincre les Japonais. Il faut dire qu’Ove Andersson savait faire plier ses interlocuteurs. Il était réputé pour ses longs silences. Le Suédois réfléchissait toujours avant chaque réponse. Et la réflexion prenait du temps. Mais il ne laissait jamais la moindre question sans trancher, personnellement.

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    Il a attiré Toyota en rallye. Il a fait gagner Toyota en Championnat du Monde (1993 et 1994). Il était encore à la tête de l’équipe lorsque la marque a été exclue des compétitions pour avoir enfreint la réglementation technique (1995)… Et il a encore convaincu Toyota de revenir et les a mené à un nouveau titre (1999).

    Toyota avait une telle confiance en lui que le constructeur lui a également confié son engagement aux 24 Heures du Mans avec les exceptionnelles GT-One, puis en F1…

    Si Toyota n’a jamais cessé d’être lié au rallye, c’est grâce à monsieur Ove Andersson ! Et l’annonce de ce matin est un nouveau chapitre du livre qu’il a ouvert.

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    Installé en Afrique du Sud, il trouva la mort en 2008 (à 70 ans), lors d’un rallye historique alors qu’il pilotait une Volvo PV444.

  • Toyota FCV : l’hydrogène en compétition

    Toyota FCV : l’hydrogène en compétition

    Qui a dit que l’électrique, l’hybride ou la pile à combustible n’était pas sportif ?

    Toyota l’a démontré le week-end dernier en engageant une Toyota Fuel Cell Sedan au Shinshiro Rally, au Japon. Cette Toyota un peu spéciale, mue par de l’hydrogène est une première mondiale : il s’agit de la première « rally car » fonctionnant à cette énergie.

    Ici, pas de compétition pure mais bel et bien un progrès réel, d’autant que le parcours entièrement tracé sur la terre est long de 285 km. Cette Toyota Fuel Cell Sedan qui ouvrait la route et était tout de même bien préparée pour les rallyes, équipée de pneus terre, de plaques de protection en métal sous la voiture et de gardes boue. Pour l’anecdote, c’était Akio Toyoda, président de Toyota, qui était au volant de cette FCV.

    Après l’arrivée de la Formula E, l’hybride au Mans, le sport automobile évolue, et les voitures de série avancent dans le même temps.

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  • Une heure pour un essai : Toyota Yaris Hybride

    Une heure pour un essai : Toyota Yaris Hybride

    Toyota Yaris Hybride : testée et validée. D’un point de vue design, pas grand chose à dire, tant elle est bien faite, bien équilibrée. J’aime assez les lignes racées. Au volant, elle se révèle être une citadine très sympa. On ne sent pas du tout le passage du moteur électrique au moteur thermique même si j’aurais adoré avoir une autonomie électrique plus longue. On notera juste un petit manque de puissance du à la boîte auto. J’aime bien !

  • Toyota GT86-CS R3 : nouvelle arme de Toyota Motorsport

    Toyota GT86-CS R3 : nouvelle arme de Toyota Motorsport

    C’est officiel depuis novembre 2013, Toyota revient en rallyes. Nous en avions déjà parlé alors que la marque japonaise, via son département Motorsport allemand développait la Yaris WRC. Cette fois, c’est via la GT86 et la compétition client que Toyota revient. La base sera la GT86 de série, originellement développée avec Subaru. Côté mécanique, on retrouve le Boxer 2 Litres préparé sous la capot, avec boîte séquentielle 6 vitesses, freins renforcés et kits de suspensions spécifiques pour la terre et l’asphalte. Côté carrosserie, aucun changement à prévoir, comme le prévoit la réglementation R3.La GT86 sera d’ailleurs la première propulsion issue de cette réglementation. Joli défi.

    Ces derniers jours, la GT86 CS-R3 a roulé sur le camp militaire de Baumholder, là où aura lieu une étape du prochain Rallye d’Allemagne.  La GT86 CS-V3 y fera d’ailleurs ses débuts avec Isolde Holderied, ex pilote officielle Toyota, à son volant. On se rappelle que la Toyota Yaris R1 avait fait ses débuts au même endroit.

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  • Commissaire-priseur : Toyota 2000 GT

    Commissaire-priseur : Toyota 2000 GT

    Alors que Toyota commence à rencontrer le succès en compétition, la marque décide de produire une voiture sportive capable de rivaliser avec les meilleures réalisations mondiales… L’extraordinaire 2000 GT va atteindre cet objectif.

    Dans les années 1960, les constructeurs japonais multiplient les tentatives pour se confronter aux européens et aux américains. Certains choisissent d’acquérir des licences de voiture conçues à l’étranger. Mais Toyota vise un autre dessein.

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    Une équipe est spécialement mise en place pour réfléchir à la première supercar japonaise. Des Jaguar, Lotus, Triumph (…) sont importées, disséquées. Le projet prend forme.

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    Dans le même temps, Yamaha est abandonné par Nissan dans une étude similaire. En quelques semaines, Toyota et Yamaha s’associent. Les études de Toyota sont appliquées par Yamaha qui développe le moteur et s’occupe de la construction des prototypes.

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    La Toyota 2000 GT est dévoilée lors du Salon de Tokyo 1965. Succès. Un an plus tard, la 2000 GT est au Salon de San Francisco. Des journalistes américains l’essaient et sont conquis.

    Mais le coupé Toyota se révèle bien trop cher. En quatre ans, 351 exemplaires sont produits. L’un d’eux – vraisemblablement l’un des 200 encore existants – est en vente aujourd’hui à Monaco par RM Auctions. Estimation : entre 545 000 et 620 000 euros.

  • 24 Heures du Mans : la collection privée Toyota

    24 Heures du Mans : la collection privée Toyota

    Tous les constructeurs automobiles conservent des trésors. Nous vous avions d’ailleurs présenté la visite du conservatoire BMW Classic il y a quelques mois. Cette fois, changeons de constructeur, de nationalité, mais restons en Allemagne. En route pour Cologne, là où est installée la structure compétition de Toyota, Toyota Motorsport Gmbh. Là, Toyota conserve précieusement ses TS010, TS020 et TS030 HYBRID.

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    Dans la série des musées, chez Toyota, nous vous proposons de visiter le Toyota Automobile Museum grâce à Street View. Intéressant.

  • Avec la Yaris WRC, Toyota prépare son retour en rallyes

    Avec la Yaris WRC, Toyota prépare son retour en rallyes

    Alors que Toyota est à nouveau présent en championnat du monde d’Endurance FIA WEC, face aux Audi R18 e-tron Quattro et Porsche 919, la marque japonaise prépare déjà le futur de son département compétition Toyota Motorsport GmbH.

    Le prototype de la Yaris WRC a roulé ces derniers jours, du côté de Riparbella, en Toscane, en Italie. A son bord, le pilote français Stéphane Sarrazin et le Finlandais Sebastien Lindholm se sont échangés le volant. La Yaris WRC est assez jolie, bien proportionnée, malgré le peu de choses que l’on peut voir sur la vidéo suivante. A l’oreille, le son du moteur est aussi assez sympa. Toyota a d’ailleurs publié quelques photos du moteur sur sa page facebook.

    L’arrivée de Toyota en WRC serait une assez bonne nouvelle. L’objectif serait de débuter la saison 2017, lors de l’arrivée du nouveau règlement technique. Toyota compléterait le plateau d’un WRC en manque de stature, qui trouverait alors un réel intérêt. Toyota, premier constructeur mondial automobile (chiffre d’affaires et unités), rejoindrait donc Volkswagen, troisième constructeur mondial (en unités) et Hyundaï, quatrième constructeur mondial (en unités). N’oublions pas Ford aussi, actuellement présent mais sans engagement officiel et Citroën, dont le programme en 2017 ne serait peut être plus d’actualité.

    Par  le passé, Toyota a écrit une page historique du WRC. Dès les années 70 avec les Celica (alors propulsion) puis dans les années 90 avec la Celica GT4 et la Corolla WRC avec des pilotes de la trempe de Sainz, Kankkunen et Auriol, pour ne citer qu’eux. Dernièrement, la Yaris R1A a été développée mais malheureusement, jamais nous n’avons pu la voir en compétition.

    Espérons que cette Yaris WRC verra le jour et les spéciales du WRC, elle.