Catégorie : Culture

  • La collection hors norme de Steve Perez

    La collection hors norme de Steve Perez

    Qui est Steve Perez ? Il est vrai, difficile de connaître réellement qui est cet homme. Non pas qu’il se cache, disons plutôt qu’il fallait suivre l’actu du WRC de la fin des années 2000 pour le connaître, et ce fut mon cas. Steve Perez est un homme d’affaires espagnol émigré au Royaume-Uni, qui fit fortune dans les boissons énergétiques (KickEnergy), sodas et bières en tous genres.

    Passionné de rallyes, il s’est mis martel en tête de rassembler dans sa propriété de Chesterfield (Derbyshire, UK) les plus belles autos du WRC. Au programme donc, Ford Focus WRC 2007 ex Marcus Grönholm, Ford Focus WRC 2005 ex Markko Märtin, mais aussi quelques rares et exclusives Porsche 911, Lancia FulviaDatsun 240Z préparée pour le Safari Rally Kenya et pour couronner le tout, un splendide duo de Lancia Stratos et une Audi quattro GrB de 1984. Tout un programme me diriez vous. Nous n’oublierons pas quelques Ford Escort MKII : n’est pas briton (d’adoption) qui veut, ni la Nissan Micra de son fils Seb, la Ginetta G40 de la Junior Ginetta Cup ou encore la Ginetta GT4 aux couleurs de sa bière Amigos. Le circuit c’est bien aussi.

    Chez Steve, les voitures sont loin d’être comme dans un musée : alignées, bien rangées, bien lustrées. Si elles sont bien entretenues, c’est pour tenir le coup des rallyes et compétitions auxquelles il prend part : rallyes britanniques, Safari Rally Kenya, RAC Rally et bien d’autres. Toutes ses voitures pourraient prendre demain matin le départ d’une compétition. Ce qu’on appelle une collection vivante, pour notre plus grand bonheur. Pour suivre l’actualité de ce magnat de rallycars : son site, sa page facebook, son compte Twitter, son compte Instagram.

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    Lancia Stratos 

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    Porsche 911 SC

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    Audi quattro 

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    Ford Focus WRC

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    Datsun 240Z

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    Nissan Micra, Ford Escort MK2, Mitsubishi Lancer Evo 9, Ginetta G40…

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  • Spectre : Aston Martin DB10 contre Jaguar C-X75

    Spectre : Aston Martin DB10 contre Jaguar C-X75

    Avant les pirates, Jaguar Land Rover a officialisé la présence de trois de ses modèles dans le 24e épisode de la saga James Bond. Aux côtés de l’Aston Martin DB10, il y aura le concept Jaguar C-X75, un Defender et un Range Rover Sport SVR.

    Concept hybride dévoilé en 2010, le C-X75 a été développé par Jaguar et Williams. Quatre roues motrices, il est équipé d’un moteur 4 cylindres 1,6 litre turbo de 509 chevaux couplé à des moteurs électriques générant l’équivalent de 390 chevaux.

    La Jaguar et l’Aston Martin DB10 seront mises en scène dans une course-poursuite dans les rues de Rome.

    Un Land Rover Defender – avec des roues de 37 pouces ! – et un Range Rover Sport SVR ont déjà été vus lors de scènes tournées en Autriche.

  • CULT : la Porsche Type 356C Cabriolet 1965 de Janis Joplin

    CULT : la Porsche Type 356C Cabriolet 1965 de Janis Joplin

    Années 60, Janis Joplin fait sa place dans le monde du rock, dominé par les hommes. Elle y fait sa place, gagne sa vie, si bien qu’en septembre 1968, elle achète d’occasion une Porsche 356c cabriolet Spider «blanc perlé», chez un revendeur hollywoodien. Plutôt psychédélique, Janis souhaite une voiture à son image. Sa 356 cabriolet passe alors en peinture, repeinte par Joplin elle-même et son ami l’artiste Dave Richards. Voici donc cette Porsche, psychédélique.

    Quelques années plus tard, Joplin décède le 4 octobre 1970 à Los Angeles, Californie, d’une overdose d’héroïne. Elle entre alors à jamais dans le Club des 27. Cette 356 un peu spéciale passe alors dans les mains de son manager, à New York, Albert Grossman. Mal entretenue, mal utilisée, le beau cabriolet vit mal. Michael Joplin, frère et sœur de Janis, le récupèrent en 1973, le stockent dans un garage, l’utilisent de temps en temps.

    1994, la décision est prise par la famille de Janis de s’occuper de la belle Allemande. Elle est alors restaurée par le «Denver Center Theatre Company’s» et aujourd’hui exposée au «Whitney Museum» à New York.

  • #aerofriday, le hashtag des vendredi-souffleries.

    #aerofriday, le hashtag des vendredi-souffleries.

    J’aime assez partager avec vous mes découvertes. Cette fois, retour sur un hashtag tout particulier à découvrir sur Twitter. Tous les vendredis, quelques doux furieux de notre genre partagent leurs photos ayant un grand thème commun : l’aérodynamique. Pour retrouver chacun de leurs tweets, chacune de leurs photos, je vous conseille de suivre de près le hashtag #aerofriday, symbole moderne de leur ralliement bien pacifique. Vous trouverez les voitures les plus folles, les ailerons les plus surdimensionnés, les aérodynamiques les plus poussés : Mclaren MK12 Chaparral, Porsche 908-3, la moto des records de Burt Munro, Ligier JS21 Monaco 1983, Toleman TG184-2, Abarth 3000 prototype Group 6. Et bien d’autres encore… parfois sans nom. #aerofriday

     

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    aerofriday - 908_3 piloted by Vic Elford, Targa Florio 1971

    aerofriday - 1960 #Abarth Monoposto da Record 1.0 screamer set a few records at Monza

    aerofriday - 1969 Group 6 Abarth 3000 prototype

    aerofriday - Burt Munro

    aerofriday - FordF3L

    aerofriday - Porsche

    aerofriday - Raul Boesel in the Ligier JS21 Monaco 1983.

    aerofriday - Saab900

    aerofriday - Toleman TG184-2

  • Skoda Fabia Armando Gomes : la première Art Car tchèque

    Skoda Fabia Armando Gomes : la première Art Car tchèque

    La liste des Art Car s’allonge doucement chez AUTOcult.fr. Aujourd’hui, quel constructeur n’a pas son Art Car ? Alex nous présentait semaine dernière la R5 Street Art, réalisée à l’invitation de Perrier. Les BMW, originelles Art Car du père Poulain, sont légion, tout comme celle de Koons, dernière du nom à cette heure.

    Cette fois, Škoda se lance dans le grand jeu de l’émotion artistique et automobile. C’est le graffeur, le « street-arteur » portugais Armando Gomes qui est chargé du projet. Dessinant, graffant, directement sur la belle Tchèque, de ses mains, armé d’aérosols, il habille la petite de Mlada Boleslav de couleurs vives. Le résultat est plutôt réussi, bien que les goûts et les couleurs… Vous me suivez, peut être que vous n’aimerez pas. Cela dit, le projet d’avoir réalisé cette Fabia Art Car très street-art n’est pas sans raison : Lisbonne est une des plus grandes places du street art mondial. C’est là aussi que la Fabia fut révélée à la presse mondiale, mais cela est presque accessoire.

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  • Pourquoi les vainqueurs s’aspergent-ils de champagne sur les podiums ?

    Pourquoi les vainqueurs s’aspergent-ils de champagne sur les podiums ?

    1966, Jo Siffert  & Colin Davis remportent les 24 Heures du Mans, à l’indice de performance sur Porsche 906. Sur le podium, durant les hymnes, le bouchon de la bouteille de champagne du Suisse Siffert saute accidentellement et arrose l’assemblée du breuvage champenois. L’année suivante, 1967, l’Américain Dan Gurney remporte Le Mans au volant de sa Ford GT40 Mk.IV. Sur le podium, il imite Jo Siffert et asperge de champagne les autres vainqueurs et le public. La tradition est lancée.

    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.
    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.
    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.
    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.
    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.
    Gurney & Foyt, vainqueurs du Mans 1967.

    Pour la petite histoire, la première fois qu’une bouteille de champagne fut offerte au vainqueur d’un grand prix date de 1950, lorsque Juan Manuel Fangio (Alfa Romeo) remporte le Grand Prix de France, disputé à Reims cette année là. C’est la maison Moët et Chandon qui offrit cette bouteille. Cette tradition dure toujours, avec le champagne Mumm comme partenaire de la F1.

    Juan Manuel Fangio, vainqueur du Grand Prix de l'ACF, Reims 1950.
    Juan Manuel Fangio, vainqueur du Grand Prix de l’ACF, Reims 1950.

    PS : l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

     

  • _CULT : la Citroën AX Sport de Françoise Sagan

    _CULT : la Citroën AX Sport de Françoise Sagan

    Chez AUTOcult, nous vous avons habitué à vous dénicher les petites histoires de la grande histoire automobile. Cette fois, il faut dire que je fus le premier surpris par cette essai hors du commun.

    Françoise Sagan, qui, on le sait, aime la vitesse et les belles montures, nous emmène aussi pour quelques kilomètres dans les rues de Paris. Omettant les vitesses limitées, les priorités et les piétons (l’un d’eux en fait les frais dans ce doc), l’écrivaine français fend la capitale au volant de sa Citroën AX Sport, à l’époque mise à sa disposition par le constructeur.

    Ces quelques minutes ont été issues du documentaire Postcard from Paris (ici), réalisé par l’auteur australien James Clive. De son amour de Paris, il témoignait alors « Quand j’étais jeune, Paris était ma ville des femmes ». Avec ses quelques kilomètres à la droite de Sagan, il confirme ses souvenirs… et son effroi aussi. On le sent particulièrement peu à l’aise aux côtés de la grande dame.

     

    la Citroën AX de Françoise Sagan
    la Citroën AX de Françoise Sagan
  • _CULT – la Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon

    _CULT – la Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon

    La Ferrari 250 GT SWB California Spider de Alain Delon : elle sera l’une des stars du salon Retromobile de Paris, organisé à la Porte de Versailles du 4 au 8 février prochains. Nous vous en avions parlé lors de la révélation de l’extraordinaire collection Baillon, forte de 60 automobiles des débuts de l’automobile aux années 70. Cette Ferrari mérite bien un zoom.

    L’historique et la « traçabilité » de cette Ferrari sont exceptionnels. Il s’agit là du châssis n° 2935GT, du moteur n° 2935, ayant pour numéro interne n° 610 E, avec la boîte de vitesses n° 8.61 et le pont n° 383F. Oui, à Maranello comme chez ArtCurial et AUTOcult, on aime la précision.

    Pièce rare s’il en est, ce sublime cabriolet est d’une des 37 California Spider SWB « phares carénés » construite. Elle est ici entièrement originale, jamais restaurée, avec son lot de bord, ses guides d’époque et sa carte grise française.

    Il s’agit d’un châssis court, de couleur bleu foncé, hard-top bleu foncé, intérieur simili noir. Il fut terminée le 27 septembre 1961 avant son envoi dans la foulée de Maranello à l’importateur Ferrari de l’époque Franco-Britannic Autos, à Paris. Elle sera exposée la deuxième semaine du Salon de l’Auto 1961. L’acteur Gérard Blain l’achète et l’immatricule dans la semaine suivant le Salon à son nom et adresse (9 rue de Siam, Paris XVIe arrondissement), sous le numéro 88 LR 75. Delon, amateur du cheval cabré qui se serait souvent rendu à Maranello, lui rachète en 1963, la voiture n’a que deux ans et un faible kilométrage. Elle passe d’une immatriculation française à l’immatriculation monégasque 4452 MC le 23 mai 1963. Les plaques d’immatriculation monégasques d’époque et papiers aux noms d’Alain Delon ont d’ailleurs été retrouvé durant les recherches d’historique. Passerons deux autres propriétaires parisiens pour cette Ferrari un peu spéciale. En 1971, celle qu’on appelle « 2935GT », du numéro de son châssis, devient propriété de Jacques Baillon, l’aujourd’hui célèbre collectionneur.

    Cette Ferrari sera vendue aux enchères lors de la vente ArtCurial lors de la vente 2651, à Rétromobile, hall 2.1, le 6 février 2015 prochain à 14h00. Il s’agira de l’évènement de ce salon consacré à l’automobile ancienne.

     

    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_2

    Alain Delon;Shirley Maclaine

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    Alain Delon, Ferrari 250 GT SWB California Spider_5

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    COLECTION BAILLON NIORT 17 / 11 /2014

    1961 Ferrari 250 GT SWB California Spider, Collection Baillon - © Artcurial

     

  • Wolinski dessinateur sur automobile

    Wolinski dessinateur sur automobile

    Inutile d’annoncer la raison pour laquelle Georges Wolinski fait l’objet d’un article ce soir. Retenons ce qu’il était : un très grand passionné d’automobiles !

    Grand ami d’Hervé Poulain (Artcurial / Art cars BMW), Georges Wolinski avait décoré plusieurs voitures de course avec son style si particulier.

    Engagés par le Elf Haberthur Racing, Hervé Poulain, Eric Graham et Jean-Luc Maury-Laribière avaient mené leur Porsche 911 GT2 « Wolinski » au 20e rang des 24 Heures du Mans 1998, sixième de la catégorie GT2.

    Georges Wolinski était aussi membre du jury du Festival International de l’Automobile dont la 30e édition se tiendra à la fin du mois aux Invalides.

    #JesuisCharlie

  • Gagnez le livre Mustang cinquante ans !

    Gagnez le livre Mustang cinquante ans !

    Après le fiasco de la gamme Edsel, Lee Iacocca – alors Président de la division Ford – a réalisé un véritable exploit pour convaincre Henry Ford II de produire une voiture sportive à quatre places… Mais cette performance a permis de créer une page de l’histoire automobile… Vive la Mustang !

    Succès commercial exceptionnel, la Mustang a créé son propre genre. Dans la foulée, les autres constructeurs américains ont dû suivre et proposer, à leur tour, une « pony car ».

    De la première pony car, aux muscle cars Shelby, Cobra, Mach 1, Saleen ou Boss… Toutes les versions sont présentées dans « Mustang cinquante ans », un livre édité sous licence officielle Ford, signé par l’historien Donald Farr, auteur de plusieurs livre sur la Mustang et rédacteur pour Mustang Monthly.

    Titre : Mustang Cinquante ans L’histoire complète de la légende américaine
    Auteur : Donald Farr
    256 pages, 650 photos
    ISBN : 979-10-283-0016-6
    Prix public : 59,00 € TTC

    Avec le concours d’E.T.A.I, nous vous proposons de gagner un exemplaire de ce livre.

  • Jeff Koons, l’homme de la dernière BMW Art Car

    Jeff Koons, l’homme de la dernière BMW Art Car

    Dès le mercredi 26 novembre, l’artiste américain Jeff Koons fera l’objet d’une exposition à Paris, au Centre Georges-Pompidou. Artiste à part entière ou réel provocateur, Koons créé l’évènement et l’occasion est bonne pour qu’AUTOcult parle de lui. Mais pourquoi lui ?

    Koons est depuis un an le plus cher des artistes contemporains mais il est surtout le dernier artiste en date à avoir œuvré sur une BMW Art Car, cette série de BMW rhabillées par des artistes en tous genres. Alexander Calder en fut le premier en 1975. Cette dernière BMW Art Car date de 2010 : la M3 GT2. Véritable œuvre d’art, elle participe tout de même aux 24 Heures du Mans 2010 mais ne voit pas l’arrivée. La voici, elle fait partie aujourd’hui des plus belles voitures ayant participé à la classique mancelle.

     

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  • Rallying can be Contagious WRC 2014 : opus 2

    Rallying can be Contagious WRC 2014 : opus 2

    L’an dernier à la même époque, je vous parlais du premier opus de « Rallying can be Contagious« , ouvrage retraçant la saison 2013 du Championnat du Monde des Rallyes. 2014, « Rallying can be Contagious » revient, le travail de Sarah Vessely plus fort d’une année d’expérience et complété des textes de Eric Briquet, exerçant au quotidien pour les magazines Echappement ou AUTOhebdo.

    « Rallying can be Contagious » s’axe sur les 26 lettres de l’alphabet. De A à Z, de Argentina à Zzzzz, nous découvrons dans l’œil de Sarah Vessely les grands thèmes du Championnat du Monde des Rallyes, les grands moments de cette saison : des titres des Sébastien Ogier, Julien Ingrassia et Volkswagen à la victoire de Thierry Neuville en Allemagne.

    Pour tout passionné de photographies, de sport auto et d’aventures humaines, Rallying can be Contagious 2014 se pose à nouveau comme le parfait cadeau de Noël. A ne pas rater, car édité en série très limitée.

    Fiche technique :
    Préface : Sébastien Ogier & Julien Ingrassia
    Photographies : Sarah Vessely
    Textes : Eric Briquet
    Format : 17 x 24 cm, couverture rigide
    Pages : 204
    Photos : env. 250
    Langues : français & anglais
    Disponibilité : Rally & Racing.

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