Catégorie : Darwinisme

  • Darwinisme : MINI

    Darwinisme : MINI

    La MINI est une petite voiture emblématique qui a marqué l’histoire de l’automobile. Conçue par Alec Issigonis pour British Motor Corporation (BMC), elle a été produite pour la première fois en 1959. La Mini a connu un succès immédiat, notamment en Grande-Bretagne, où elle est devenue une voiture populaire pour les jeunes et les familles.

    La première génération

    La première génération de Mini était disponible en deux versions : la Morris Mini Minor et l’Austin Seven. Ces deux voitures étaient équipées d’un moteur quatre cylindres de 850 cm3 qui développait 34 ch. La Mini était une voiture très compacte, avec une longueur de seulement 3,05 mètres. Elle était également très maniable, ce qui en faisait une voiture idéale pour la ville.

    La Mini a connu un succès commercial important, avec plus de 5 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle a également été très populaire dans le monde du sport automobile, notamment en rallye. La Mini Cooper S a remporté le Rallye de Monte-Carlo à trois reprises, en 1964, 1965 et 1967.

    La deuxième génération

    En 2001, la Mini a été relancée par BMW, qui avait racheté Rover Group, la société mère de BMC. La nouvelle MINI était plus grande et plus puissante que la première génération, mais elle conservait le même style et la même maniabilité.

    La deuxième génération de MINI a été un succès commercial, avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle est toujours produite aujourd’hui, et elle est disponible en une variété de versions, notamment la MINI Cooper, la MINI Cooper S et la MINI John Cooper Works.

  • Darwinisme : BMW Série 3

    Darwinisme : BMW Série 3

    Une longue histoire commencée à Munich en 1975… Il y a quarante ans. La toute première BMW Série 3 arrive sur le marché pour remplacer la BMW 2002. A cette époque, la Type E21 est une petite berline deux portes. En 2015, elle se décline en de nombreuses carrosseries avec la même touche.

    Signées par le Français Paul Bracq, les BMW 316, 318, 320 et 320i sont des succès. Et avec ses 125 chevaux, la BMW 320i propose le moteur à injection le plus performant de sa génération.

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    En 1979, un premier restylage permet le lancement d’un premier cabriolet. Entre 1975 et 1983, la Type E21 se vend à 1,3 milllion d’exemplaires.

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    Lancée en 1982, la Type E30 élargit l’offre : une berline, un coupé, un break, un cabriolet et même une déclinaison compétition M3. Cette dernière est si appréciée que BMW lance la production d’un modèle de production… La M3 est également accompagnée par la 325iX qui inaugure la transmission à 4 roues motrices, il y a plus de 25 ans.

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    De 1991 à 1998, l’E36 change plus radicalement la forme de la Série 3. Les berline, break, coupé et cabriolet sont rejoints par une Compact. Ces déclinaisons sont les mêmes pour le changement de millénaire avec la E46 qui permet aux Série 3 d’atteindre 10 millions d’exemplaires.

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    A partir de 2007, la cinquième génération E90, E91, E92 et E93 est recentrée avec l’abandon de la Compact pour laisser sa place à une Série 1 de plus en plus importante chez BMW.

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    Depuis 2012, la F30 abandonne les coupés et cabriolets devenus Série 4. Mais la berline et le break voient arriver une nouvelle carrosserie : Gran Turismo, une nouvelle forme de berline aux dimensions inédites.

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    En quarante ans, 14 millions de Série 3 ont été vendues. Et elle représente encore un tiers des ventes de BMW dans le monde.

  • Darwinisme : Volkswagen Polo

    Darwinisme : Volkswagen Polo

    Un an après la première Golf, Volkswagen présente la Polo. Plus petite, elle est passée de 3,512 mètres et 685 kilogrammes en 1975 à 3,97 mètres et 1067 kilogrammes aujourd’hui. Un bel exemple d’évolution automobile en quarante ans !

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  • Darwinisme : BMW M3 et M4 Cabriolet

    Darwinisme : BMW M3 et M4 Cabriolet

    BMW M3, M4 Coupé, M5, M6 Coupé, M6 GranCoupé, M6 Cabriolet, X6 M… Et maintenant M4 Cabriolet ! Nous l’avions spottée lors d’essais dans le sud de la France… Aujourd’hui, regardons un peu en arrière : de la première M3 Cabriolet à cette nouvelle M4 Cabriolet.

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  • Darwinisme : BMW M5

    Darwinisme : BMW M5

    Trente ans de BMW M5, c’est un événement qui se fête ! Chez BMW, on a choisi de sortir un modèle spécifique « 30 Jahre M5 » à 300 exemplaires… De notre côté, nous faisons le voyage temporel pour revivre l’évolution de la M5 en cinq générations !

    1984 : héritage de BMW M1
    Lorsque les ingénieurs de BMW Motorsport imaginent la première BMW M5, ils choisissent de se baser sur les développements de la M1 de 1978. Le moteur 6 cylindres en ligne 3,5 litres est retravaillé pour produire 286 chevaux. 2 200 exemplaires sont produits avec une suspension sport, des freins spécifiques et des nouveaux pneus Michelin qui commencent à laisser entrevoir la technologie « run-flat ».

    Moteur : 6 cylindres en ligne, 3 535 cm3, 315 chevaux, 360 Nm
    0-100 km/h : 6,5 secondes
    0-1000 mètres : 26,8 secondes
    Poids à vide : 1 430 kg
    Consommation moyenne : 15,0 litres / 100 km

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    1988 : l’arrivée du break
    Le moteur six cylindres est encore plus poussé et une suspension active fait son apparition. Les 315 chevaux de la M5 sont désormais disposés sous le capot de la berline et d’un break Touring. Pour la première fois, BMW installe des jantes 17 pouces sur l’un de ses modèles de série. 12 000 voitures sont produites, dont 500 Touring, et la vitesse est limitée électroniquement à 250 km/h.

    Moteur : 6 cylindres en ligne, 3 453 cm3, 286 chevaux, 340 Nm

    0-100 km/h : 6,3 secondes
    0-1000 mètres : 26,0 secondes
    Poids à vide : 1 670 kg
    Consommation moyenne : 11,9 litres / 100 km

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    1998 : plus de cylindres
    Le moteur 6 cylindres en ligne est abandonné pour un nouveau V8 de 4,9 litres capable de délivrer 400 chevaux. Un différentiel mécanique évolué améliore encore l’adhérence. Il ne faut plus que 4,8 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. 20 500 exemplaires sont vendus en cinq ans.

    Moteur : V8, 4 941 cm3, 400 chevaux, 500 Nm
    0-100 km/h : 5,3 secondes
    0-1000 mètres : 24,1 secondes
    Poids à vide : 1 795 kg
    Consommation moyenne : 13,9 litres / 100 km

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    2005 : passage au V10
    La quatrième génération gagne encore deux cylindres. 21 ans après la première M5, c’est désormais un moteur V10 5 litres de 507 chevaux qui prend place sous le capot. Une boîte séquentielle à sept rapports fait son apparition sur la berline et le break. En tout, 20 548 voitures sont produites dont 1 025 Touring.

    Moteur : V10, 4 999 cm3, 507 chevaux, 520 Nm
    0-100 km/h : 4,7 secondes
    0-1000 mètres : 22,7 secondes
    Poids à vide : 1 780 kg
    Consommation moyenne : 14,4 litres / 100 km

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    2011 : inversion de tendance
    Alors que les précédentes M5 gagnaient des cylindres, la cinquième du nom joue du downsizing. Cette fois, la M5 revient au V8 de 4,4 litres suppléé par un turbo. Différentiel actif et boîte séquentielle à double embrayage sont proposés pour accompagner les 560 chevaux… En option, des freins en céramique font leur apparition.

    Moteur : V8, turbo, 4 395 cm3, 560 chevaux, 680 Nm
    0-100 km/h : 4,4 secondes
    0-1000 mètres : 21,9 secondes
    Poids à vide : 1 870 kg
    Consommation moyenne : 9,9 litres / 100 km

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  • Darwinisme : Mazda MX-5

    Darwinisme : Mazda MX-5

    Nous célébrons le 25e anniversaire de la Mazda MX-5. Depuis 1989, seules trois générations de MX-5 ont été proposées alors que le succès ne s’est jamais démenti. Un faible renouvellement expliqué par une ligne et une idée vraiment intemporelle.

    Première génération en 1989

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    Deuxième génération en 1998

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    Troisième génération en 2005

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  • Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Rétromobile 2014 : Renault Espace

    Il y a trente ans, avec l’appui de Matra, Renault tentait de proposer un modèle très novateur. L’Espace ressemble à une camionnette civilisée, faite pour transporter des passagers plutôt que des marchandises et ouvre la voie aux « Voitures à Vivre ».

    C’est la modularité qui étonne : les cinq sièges arrière peuvent être retirés et les sièges avant pivotent.  Après quelques mois à trouver sa clientèle, les commandes arrivent enfin. C’est le début d’une grande histoire.

    Au fil des générations, les lignes sont adoucies. La modularité continue de progresser et Renault installe un moteur V6 et une boîte automatique sous le capot. L’Espace monte en gamme.

    renault-espace-2014

    D’autres Espace sont également présentés…

    Une étude de 1959 baptisée Renault Projet 900… Laissée de côté car trop avant-gardiste.

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    La Matra Projet P18 de 1981 prêté par le Musée Matra. Ce prototype avait servi de base à la maquette qui a été présentée en 1982 à Bernard Hanon par Philippe Guedon. Il est à l’origine du partenariat entre Matra et Renault.

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    Pièce maîtresse de la collection, le Renault Espace F1 avait été conçu pour le sixième titre de Renault en F1 avec son V10. Il avait fait une apparition au Salon de l’Automobile de Paris en 1994 et avait même servi de voiture de sécurité en F1.

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  • Darwinisme : Toyota Celica

    Darwinisme : Toyota Celica

    Aujourd’hui abandonnée, l’appellation Celica a servi six générations de coupés Toyota entre 1970 et 2006. Six générations qui témoignent de l’évolution de design des coupés durant un peu plus d’un quart de siècle. VNFYPV4BRQHN

    1970 – Toyota présente la Carina au Salon de Tokyo. Entre la Corolla et la Corona, cette nouvelle berline est déclinée en un coupé baptisé Celica. Sous le capot, on trouve des 4 cylindres 1400 et 1600 cm3 de 86 et 115 chevaux.

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    1977 – Les formes sont plus tendues mais la technique n’évolue guerre avec un essieu arrière rigide et la propulsion. Au Japon, un six cylindres est proposé.

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    1981 – Les lignes deviennent anguleuses pour être à la mode. La suspension arrière passe aux roues indépendantes. Les versions six cylindres s’appellent désormais Supra.

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    1985 – En gardant ses angles, la Celica s’affine et gagne de larges surfaces vitrées. Pour la première fois, c’est une traction. Le moteur le plus vendu est un 4 cylindres 16 soupapes de 150 chevaux. Une version Turbo 4×4 sert de base à la Celica Groupe A engagée en rallye.

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    1989 – La mode est désormais au bio. Cette Celica de cinquième génération est la plus réussie avec des phares escamotables. En 1991, une série limitée Carlos Sainz est proposée avec un moteur de 204 chevaux.

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    1994 – La Celica perd ses rondeurs mais gagne des centimètres. Malgré quatre phares à l’avant, la ligne se banalise autant que l’habitacle. Mais elle s’avère plus plaisante à conduire, même avec le petit 1,8 litre de 115 chevaux.

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    1999 – La septième génération change radicalement d’apparence avec l’arrivée de lignes marquées sur le capot et les flancs pour accompagner des phares allongés. Seuls deux moteurs sont proposés en France, des 1,8 litre de 143 et 192 chevaux.

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  • Darwinisme : Ford Mustang

    Darwinisme : Ford Mustang

    Ce 17 avril 1964, la toute première Ford Mustang était présentée lors de la Foire Mondiale de New-York… Depuis, sur cinq générations, la pony car a conservé le cheval au galop sur la calandre et ses trois feux arrière distinctifs.

  • Darwinisme : Honda Civic

    Darwinisme : Honda Civic

    Neuf ans après la création de la première automobile badgée Honda, la première Civic fait son apparition sur le marché japonais en 1972. Un peu plus de quatre décennies plus tard, nous en sommes déjà à la neuvième génération !

  • Darwinisme : Porsche 911

    Darwinisme : Porsche 911

    C’est l’une des plus grandes sagas de l’histoire de l’automobile. Le premier prototype de ce que sera le Porsche 911 est présenté en 1959 pour remplacer la 356. Cinquante ans plus tard, le dessin conserve toujours le même élan.

    Sur ces photos, la première 911 (Classic) commercialisée en 1963 est accompagnée par les 911 de 1973, 964 de 1988, 993 de 1993 et 996 de 1997… Depuis la 911 s’est décliné en 997 et plus récemment en 991.

  • Darwinisme : Volkswagen Golf

    Darwinisme : Volkswagen Golf

    De l’origine de l’espèce, il y a l’ambition de donner une descendante à l’indémodable Coccinelle… Le projet est lancé en 1969. La Volkswagen Golf est présentée en 1974. Près de 30 millions de voitures vendues plus tard, la septième génération est la preuve formelle du Darwinisme…