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  • 40 ans de SEAT Ibiza

    40 ans de SEAT Ibiza

    Depuis son introduction en 1984, la SEAT Ibiza a conquis cinq générations et vendu plus de 6 millions d’unités, devenant le modèle le plus vendu de la marque. La première génération de la SEAT Ibiza a jeté les bases du succès de SEAT. La SEAT Ibiza célèbre 40 ans d’innovation continue depuis son lancement en 1984. Le modèle emblématique de la marque a été un tournant pour le succès de l’entreprise et a vendu plus de six millions d’unités sur cinq générations.

    La SEAT Ibiza a offert une grande valeur aux plus jeunes clients, proposant les dernières technologies et innovations dans un véhicule accessible à tous.

    « Depuis son introduction, la SEAT Ibiza est devenue une référence sur le marché tout en ouvrant la voie au succès de SEAT en tant qu’entreprise mondiale, livrant des véhicules sur des marchés du monde entier ! », a déclaré le PDG de SEAT, Wayne Griffiths. « Nous célébrons maintenant 40 ans de la voiture qui a conquis de nombreuses générations qui ont vu SEAT comme la marque cool et jeune d’esprit. »

    À travers chaque génération de la SEAT Ibiza, de nouveaux concepts ont été introduits sur le marché et ont dynamisé la croissance de la marque.

  • Avec Alejandro Mesonero, autour de la Seat Ibiza

    Avec Alejandro Mesonero, autour de la Seat Ibiza

    « Ils me rendent fou ! » Le profond accent espagnol d’Alejandro Mesonero rend la phrase positive. En pleine mutation, la marque SEAT en demande beaucoup à son directeur du design… À tel point que l’Ibiza qui sera très prochainement commercialisée en France n’est déjà plus qu’un lointain souvenir pour son concepteur.

    Ateca, Ibiza, Arona et une nouveauté par an programmée jusqu’en 2021, Alejandro Mesonero est un homme actif, à la tête d’une équipe commando désignée pour redonner un nouvel élan à SEAT, marque du Groupe Volkswagen qui vient de traverser quelques années au ralenti.

    Face à la nouvelle Ibiza, révélée à Barcelone, l’Espagnol repense au travail effectué sur la citadine emblématique de la marque.

    J’aime la voiture depuis que j’ai douze ans. Je dessinais des voitures sur mes livres d’histoire et de mathématiques. Les enseignements me mettaient dehors. Mesonero, dehors ! Du coup, j’avais du temps pour dessiner dans le couloir. C’est grâce à mes professeurs que j’ai pu apprendre. J’avais suffisamment de temps. Depuis que j’ai douze ans, j’ai envie de faire ce métier.

    J’aime tout ce qui bouge. Voitures, trains, avions, motos, tout ce qui est en mouvement. J’aime mélanger un côté artistique avec des fonctionnalités. Quelque chose qui ne bouge pas, comme un immeuble, l’architecture, c’est beau, mais c’est un peu trop statique. Je préfère ce qui bouge, la mécanique. J’aime faire des choses avec mes mains et comprendre comme la mécanique fonctionne, comment ça bouge. C’est fantastique.

    Chaque période a sa beauté. J’aime beaucoup les voitures des 1930. C’était l’Age d’Or des carrossiers. On achetait un châssis et on ajoutait une carrosserie basée sur la vitesse et les lignes. J’aime aussi les italiennes des années 1970 avec de belles proportions. Elles sont logiques avec des lignes tendues, de belles proportions.

    J’aime aussi les américaines des années 1950. Ils visaient la Lune et se permettraient des choses incroyables. Une Cadillac Eldorado ressemblait à un vaisseau spacial. Ce temps est révolu. Malheureusement, on ne peut plus rêver comme ils rêvaient à l’époque. Quand je vois ces voitures des années 1950, avec des kilos de chrome partout, ils devaient vraiment s’amuser !

    Chez Seat, nous sommes tous assez passionnés. Nous sommes une petite équipe. Chez Audi, ils ont quatre cents designers, nous ne sommes qu’une cinquantaine de passionnés. Seat est une marque qui a souffert, qui a perdu de l’argent et qui n’a pas été une vraie marque durant des années. Seat est une marque jeune, 1964, c’est jeune.

    Face à la SEAT Ibiza, il enchaine…

    C’est toujours chouette de voir la réaction des gens, du public. C’est une voiture dont nous avons gelé le design il y a un an et demi. J’ai déjà eu beaucoup de feedback de journalistes qui ont pu voir la voiture, d’invités que nous invitons parfois à voir nos créations. Je ne suis donc pas surpris, mais plutôt heureux de pouvoir communiquer sur la voiture. Enfin !

    Nous avons tellement de projets. Pour moi, cette voiture date d’un an et demi. Je sais que tout le monde la voit comme une nouvelle voiture, mais je travaille déjà sur des voitures qui n’arriveront sur le marché qu’en 2019. Et, pour être honnête, c’est beaucoup plus excitant que de voir une voiture sortir. Ce qui me passionne et qui me donne de l’énergie, c’est ce sur quoi je travaille maintenant.

    Ce que j’essaie de faire est de construire la marque petit à petit. Chez Seat, il y avait trop d’évolutions dans le design entre chaque génération. Le client disait, parfois c’est si, parfois c’est ça. Ce que j’essaie de faire est de créer une histoire.

    Récemment, nous avons sorti l’Ateca, qui est relativement similaire à la Leon. On essaie de faire comprendre ce qu’est l’identité de SEAT. L’Ibiza est un pas supplémentaire. Elle est encore un peu plus différente, mais elle reste très SEAT. La prochaine sera encore un peu plus différente, mais elle va garder les traits du SEAT d’aujourd’hui. Il ne faut pas aller trop vite. Les gens achètent des voitures pour leur marque.

    Je donne naissance à des voitures que j’aime conduire. Aujourd’hui, lorsque je conduis mon Ateca ou ma Leon Cupra, je me sens parfaitement identifié. Evidemment, je les ai faite, mais c’est aussi exactement ce que je veux conduire.

    Ma philosophie de design est de faire quelque chose qui va durer dans le temps. Le plus grand compliment que l’on peut me faire n’est pas de me dire que j’ai pris beaucoup de risques dans une voiture très actuelle. Non. Le plus grand compliment serait de se revoir dans cinq ans et de me dire que ma voiture est encore très actuelle.

     

     

     

  • L’autre SEAT Ibiza

    L’autre SEAT Ibiza

    Six ans après l’arrivée de la SEAT Ibiza sur le marché, Giorgetto Giugiaro donne vie à un concept baptisé SEAT Proto C. En 1990, cette création pose les traits des futures générations d’Ibiza.

    L’étroite collaboration entre SEAT et Giorgio Giugiaro a largement perduré après la commercialisation de l’Ibiza. À la fin des années 1980, Italdesign travaille sur les nouvelles silhouettes espagnoles avec les Proto T, TL (vers la Toledo) et C (vers l’Ibiza).

    Avec le Proto C, Giugiaro révolutionne l’idée de l’Ibiza. Les angles droits sont abandonnés pour de nouvelles courbes. Le concept est dévoilé au Salon de Paris 1990 autour d’une plateforme empruntée au groupe Volkswagen.

    Loin d’être mûr pour une commercialisation, le Proto C mesure 3,91 mètres de longueur et 1,67 mètre de largeur pour une hauteur de seulement 1,12 mètre. Hormis un toit particulièrement bas, les dimensions se révèlent être très proches de la seconde génération de SEAT Ibiza avec un mélange de gabarit de berline à hayon et de monospace.

    Signature d’Italdesign, le toit est translucide, avec des vitrages affleurant.

    On retrouve également les petites vitres descendantes, selon un principe que la Subaru Alcyone / SVX (elle aussi signée ItalDesign) s’apprête justement à mettre en production… Un principe qui permet d’alléger le mécanisme des vitrages, mais aussi d’optimiser le Cx. La SEAT Proto C annonce d’ailleurs une valeur de 0,25.

    À l’avant, l’ensemble bouclier / calandre est remplacé par un soft-nose. Un principe de conception que l’on retrouvera de façon fréquente quelques années plus tard. C’est en fait la partie arrière qui aura le plus d’écho, puisque l’on y retrouve en grande partie les lignes qui seront celles de la deuxième version de la Seat Ibiza en 1993.

  • Trente-trois ans de SEAT Ibiza

    Trente-trois ans de SEAT Ibiza

    Au début des années 1980, l’avenir de SEAT est loin d’être assuré. Le gouvernement espagnol et FIAT peinent à trouver une solution pour faire perdurer le constructeur catalan.

    Même si l’économie espagnole allait pouvoir profiter de son intégration progressive dans la Communauté Economique Européenne, FIAT n’était plus en position d’investir dans SEAT. Le groupe italien se désengageait en 1982 après trente années de collaboration, laissant d’autres constructeurs s’intéresser à la marque espagnole.

    L’Etat entame alors des discussions avec des groupes japonais, mais c’est Volkswagen qui signe – en premier – un accord industriel. À cette époque, SEAT reste une marque indépendante et son premier modèle post ère-FIAT est l’Ibiza.

    Deux ans plus tard, le Groupe Volkswagen s’empare de la majorité des parts de SEAT et, en 1990, SEAT devient la première marque étrangère à être totalement contrôlée par Volkswagen.

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    Cette toute première Ibiza est un concentré d’ingénierie européenne. Dans ses publicités, SEAT affirme « un style italien et des moteurs allemands ». Le dessin est l’œuvre d’Italdesign sous la direction de Giorgetto Giugiaro. La base technique est héritée de la SEAT Ronda, elle-même basée sur l’ancienne FIAT Ritmo. Les moteurs et les boîtes de vitesses sont issus d’une collaboration avec Porsche, sous licence « System Porsche » et l’industrialisation est préparée par Karmann.

    Le saviez-vous ?

    Au-delà de la collaboration technique entre SEAT et Porsche, l’Ibiza pouvait afficher « System Porsche » sur ses moteurs contre un droit de 7 marks par véhicule.

    À l’origine de la première génération de Volkswagen Golf, Giorgetto Giugiaro avait proposé un dessin pour sa remplaçante. Refusé par Volkswagen qui lui a préféré un projet interne, le coup de crayon a rebondi chez SEAT.

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    L’Ibiza ne se présente pas comme les traditionnelles citadines. Ses proportions la placent entre les reines des villes et les berlines compactes. En une décennie, SEAT en produit 1 308 461 exemplaires, de la version de base de 44 chevaux à une Sport Line de 110 chevaux sortie quelques mois avant les Jeux Olympiques de Barcelone.

    La seconde SEAT Ibiza est dévoilée au Salon de Barcelone 1993. SEAT est en pleine croissance. La marque inaugure sa nouvelle usine de Martorell et l’Ibiza est un porte-drapeau. Les lignes évoluent avec la disparition des angles trop prononcés. Sous le capot, Volkswagen place ses TDI 90, puis 110 chevaux, tandis que la 1.8i GTI 16V atteint 130 chevaux. L’Ibiza se cherche une image plus sportive et s’engage en Championnat du Monde des Rallyes, d’abord avec une kit-car atmosphérique basée sur l’Ibiza avant de tenter l’aventure WRC avec la Cordoba.

    Au fil des années, SEAT continue d’affirmer ses prétentions sportives avec la première Cupra de 150 chevaux, puis 156 chevaux avec un ESP (une première dans le segment), jusqu’à l’arrivée de la Cupra R développée par SEAT Sport de 180 chevaux, limitée à 200 exemplaires.

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    Les chiffres sont encore meilleurs que pour la précédente génération. En dix ans, 1 522 607 voitures sont livrées.

    Walter de Silva est en charge de la troisième Ibiza qui arrive en 2002. La progression continue, tant en termes de puissance, qu’en termes de réussite commerciale. Le plus gros des TDI affiche désormais 160 chevaux et des versions sportives FR de 150 chevaux et Cupra de 180 chevaux continuent d’ancrer l’Ibiza dans un environnement proche de la compétition. En sept ans, 1 221 200 exemplaires sont vendus.

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    En 2008, SEAT commence à ajuster son offre. Pour répondre aux nouveaux besoins des clients, l’Ibiza ne cherche plus seulement à viser l’amateur de chevaux. Les lignes plus géométriques sont signées Luc Donckerwolke et de nouvelles technologies apparaissent. En plus des TDI, l’Ibiza est désormais équipée d’une boîte automatique DSG et une version Ecomotive passe l’homologation de consommation à 3,7 litres / 100 km en cycle mixte.

    Un break ST fait son apparition en 2010, tandis que les Cupra continuent d’ajouter une touche de sportivité à la gamme avec la SC de 180 chevaux équipée de phares à LED.

    Cette version disparaîtra des concessions dans quelques mois pour laisser la place à une cinquième SEAT Ibiza… Jusqu’à maintenant, 5,4 millions d’Ibiza ont été produites, dont 80 % ont été exportés.

  • Wörthersee 2014 : déclinaisons du groupe Volkswagen

    Wörthersee 2014 : déclinaisons du groupe Volkswagen

    Chaque année, un lac autrichien accueille un rassemblement dédié au groupe Volkswagen… Emportées par ce mouvement extraordinaire organisé à Wörthersee, chaque marque y participe avec quelques créations spécifiques.

    Volkswagen GTI Roadster Vision Gran Turismo
    D’abord destinée à Gran Turismo 6 sur PlayStation, la Volkswagen GTI Roadster Vision Gran Turismo est désormais bien réelle. A Wörthersee, la marque allemande la dévoile sous sa forme « physique ».

    33 GTI-Treffen am Woerthersee

    Sous le capot, Volkswagen a placé un V6 3 litres bitiurbo de 503 chevaux.

    Moins extravagante, la Volkswagen Golf GTI Wolsburg Edition est le fruit du travail des apprentis de l’usine allemande.

    Woerthersee 2014 Golf GTI Wolfsburg Edition

    Skoda Yeti Xtreme
    Le côté fun baroudeur que l’on pouvait deviner derrière les traits du Skoda Yeti a été partiellement gommé lors de la récente mise à jour stylistique. Heureusement que Wörthersee est là pour nous prouver qu’il reste un peu d’extravagance en République Tchèque.

    skoda-yeti-xtreme

    Skoda Citijet
    Comme chez Volkswagen, des apprentis de la marque ont eu l’opportunité de préparer un modèle spécifique pour Wöthersee. Sur la base d’une Citigo, ils ont conçu un cabriolet baptisé Citijet.

    skoda-cityjet

    Audi A1 Sportback
    La recette est la même pour Audi sur cette A1 Sportback. Le fluo Macao Yellow apporte sa touche de fantaisie.

    Impressionen vom Audi-Stand am Woerthersee 2014

    Audi S3 Cabriolet
    Moins fun et plus techno, la S3 Cabriolet présentée en Autriche gagne des coques de rétroviseurs et un aileron en fibre de carbone.

    Impressionen vom Audi-Stand am Woerthersee 2014

    Seat Ibiza Cupster
    Il manque un cabriolet dans la gamme Seat ? En voici un très particulier. Sur la base d’une Ibiza, Seat a sacrifié les places arrière pour installer un arceau de sécurité. La hauteur du pare-brise a été réduite de moitié et l’assise des sièges a été abaissée de 80 millimètres.

    seat-ibiza-cupster

  • L’Election de la Sportive de l’Année Echappement a débuté !

    L’Election de la Sportive de l’Année Echappement a débuté !

    Toute la rédaction d’Echappement, accompagnée par François Delecour, est partie aujourd’hui vers le Circuit de Chambley (Meurthe et Moselle) pour procéder à l’Election de la Sportive de l’année Echappement.

    Au programme de cette édition 2013 :
    Audi S3
    Ford Fiesta ST
    MINI John Cooper Works GP
    Nissan 370Z Nismo
    Peugeot 208 GTI
    Renault Clio R.S. 200 EDC
    Mercedes Classe A 45 AMG
    Porsche Cayman S
    Seat Ibiza Cupra
    Volkswagen Polo R

    Vous voteriez pour laquelle ?

    Et pour rappel, voici le palmarès depuis la création en 1982 :
    2012 : Subaru BRZ et Toyota GT86
    2011 : Porsche 911 GT3 RS 4.0
    2010 : Ford Focus RS 500
    2009 : Porsche 911 GT3
    2008 : Renault Mégane R26.R
    2007 : Renault Mégane Renault Sport Renault F1 Team R26
    2006 : Lotus Exige S
    2005 : Dodge Viper SRT-10
    2004 : Mitsubishi Lancer Evo 8
    2003 : BMW M3 CSL
    2002 : Ford Focus RS
    2001 : BMW M3
    2000 : Renault Clio Renault Sport 2.0 16V
    1999 : Honda S2000
    1998 : Honda Integra Type R
    1997 : BMW Z3 M
    1996 : Renault Sport Spider
    1995 : Subaru Impreza GT Turbo
    1994 : Fiat Coupé 16V Turbo
    1993 : Peugeot 106 Rallye
    1992 : Ford Escort Cosworth
    1991 : Renault Clio 16s
    1990 : Ford Sierra Cosworth 4×4
    1989 : Peugeot 309 GTi 16
    1988 : Peugeot 205 Rallye
    1987 : Lancia Delta HF Integrale
    1986 : BMW M3
    1985 : Renault 5 GT Turbo
    1984 : Peugeot 205 GTi 1.6
    1983 : Lancia Delta HF Turbo
    1982 : Ford Escort RS 1660i