Catégorie : Blog

  • L’art version Alfa Romeo

    L’art version Alfa Romeo

    Henry Ford avait dit : « Lorsque je vois une Alfa Romeo, j’ôte mon chapeau » Certaines marques évoquent bien plus que la simple idée de l’automobile. Le constructeur milanais en fait partie. Alfa Romeo joue sur ces sensations avec une collection d’art.

    L’art prête toujours à discussion… Davantage encore que le design automobile. Depuis son centenaire, Alfa Romeo propose une large collection d’œuvre de quelques dizaines d’artistes. Dans un jugement très personnel, certains tableaux sont vraiment loin de mes goûts. Mais d’autres ont un vrai caractère.

    Vous trouverez 348 œuvres sur artofbrands.com !

  • Dessins : Yves Dubreil raconte la genèse de Twingo

    Dessins : Yves Dubreil raconte la genèse de Twingo

    Pour célébrer le vingtième anniversaire de Twingo, Renault propose une collection de vingt dessins réalisés par Yves Dubreil, le père de la citadine magique.

    Yves Dubreil a vécu quarante ans et trois mois chez Renault. Durant cette carrière, il est allé de la Direction du Produit à celle de la Prospective et de l’Innovation, en passant par l’unité Sièges et les directions de projets véhicules.

    C’est à ce poste qu’il connait son plus grand succès avec le projet X06 devenu Twingo… Désormais retraité, « l’homme à la pipe et aux bretelles » a pris la tête de la Société d’Histoire du Groupe Renault (SHGR), une association qui a pour objectif de sauvegarder le patrimoine et la mémoire collective et d’assurer la diffusion de la connaissance historique.

    Par l’intermédiaire de la direction de la communication de Renault, il nous livre aujourd’hui une vingtaine de dessins pour raconter sa vision de la genèse de Twingo.

  • Concept Car : Citroën Karin

    Concept Car : Citroën Karin

    Citroën n’a aucune nouveauté à présenter lors du Salon de Paris 1980. La marque confie donc à Trevor Fiore, son nouveau directeur du style, le soin de créer un concept pour accompagner les 2CV, LN, Dyane, Visa, Méhari, GSA et CX.

    Auteur des Elva GT160,  TVR Trident ou Monteverdi Hai 450 SS (présentées par Yan Alexandre sur blenheimgang.com), Trevor Fiore (né Frost au Royaume-Uni avant d’adopter le patronyme plus italien de sa mère), arrive chez Citroën en 1980. En deux ans, il laisse deux concepts : les Karin et Xenia. L’AX piochera quelques inspirations dans ces lignes trapézoïdales.

    La Karin prend la forme d’une pyramide. Voiture trois places, elle permet au conducteur d’être au centre, au milieu de ses deux passagers.

  • Van Cleef & Arpels dans l’habitacle d’une Renault

    Van Cleef & Arpels dans l’habitacle d’une Renault

    Alors que l’on attend l’arrivée de la nouvelle marque « Initiale Paris » au sein du Groupe Renault, petit rappel d’une touche de luxe à l’intérieur d’une Renault. C’était bien avant Baccara sur les Supercinq, Clio, 19, 21, Laguna, 25… Au temps de la Dauphine !

    A l’époque, Renault présente une berline qui doit épauler la 4CV. En 1956, la Dauphine – dessinée par Ghia – arrive sur le marché. Le succès est immédiat. Flins produira plus de deux millions de voitures. Entre 1957 et 1961, elle est la voiture la plus vendue en France.

    Plusieurs déclinaisons voient le jour : le coupé Floride, le cabriolet Caravelle, la sportive Dauphine Gordini, la version compétition 1093 et la luxueuse Ondine.

    La Renault Ondine reprend les traits de la Dauphine mais l’habitacle est entièrement retravaillé. Nouvelle moquette, volant emprunté à la Floride et, surtout, une planche de bord noir mat orné d’un cache autoradio signé Van Cleef & Arpels. La connexion Billancourt – Place Vendôme a joué !

  • La Lada by Porsche

    La Lada by Porsche

    En 1984, AvtoVAZ – le premier constructeur d’Europe de l’Est – demande à Porsche Engineering Services de travailler sur la Lada Samara, baptisée alors 2108.

    Les ingénieurs de Weissach ont pour mission de re-développer la berline mise au point en Union Soviétique pour l’adapter aux conditions de route du plus grand pays du monde tout en conservant un prix compétitif.

    A l’exception de la carrosserie, tout y passe : moteur, transmission, châssis, électronique. Tout a été optimisé, voire refait.

    En 1990 et 1991, des Samara à moteur Porsche – dans un esprit bien différent – participent au Paris – Dakar. Cette fois, ce sont de vrais flat-6 allemand qui sont installés dans les T3 et, parmi les pilotes choisis par Jacques Poch, l’importateur français, on retrouve Jacky Ickx, Patrick Tambay et Hubert Auriol.

  • Equipement et outillage automobile avec Drivista-Shop.com

    Equipement et outillage automobile avec Drivista-Shop.com

    Retour d’expérience suite à mon premier achat sur Drivista-Shop.com. Vous pourrez même profiter d’un code promotionnel pour économiser 5 % sur votre prochaine commande !

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    Qui est Drivista-Shop.com ?

    C’est la première question à se poser en arrivant sur un site internet, encore plus dans le e-commerce. Dans le cas présent, Drivista-Shop.com est la première incursion en ligne de Groupauto. Ce groupe international présent dans 40 pays (7 milliards d’euros de chiffre d’affaires) repose sur un maillage de 531 points de vente sur le territoire français. C’est l’un des grands noms de la distribution de pièces automobiles en dehors des réseaux des constructeurs.

    Que propose Drivista-Shop.com ?

    Pour ses débuts sur Internet, Groupauto a choisi de ne pas affronter les pure players de la vente de pièces. Avec Drivista-Shop.com, le groupe propose de l’outillage au sens large : des équipements d’atelier comme des compresseurs, des groupes électrogènes ou des établis, de l’outillage à main avec des mallettes et du vissage, des appareils et accessoires de levage, de l’outillage pneumatique et électroportatif, ainsi que des appareils de nettoyage.

    Méthode multicanal

    Selon vos usages de l’e-commerce, vous trouverez que c’est un atout ou un inconvénient. Drivista-Shop.com propose l’achat en ligne (paiement sécurisé) et le retrait des marchandises dans l’un des magasins affiliés. Pour l’instant, une centaine de lieux est proposée. C’est souvent un gain de temps, aussi un déplacement supplémentaire… Mais c’est l’occasion de trouver d’autres pièces utiles en atelier et de recevoir de précieux conseils.

    Première expérience

    Sans grand besoin d’outillage, j’ai préféré visiter la partie dédiée au nettoyage. J’ai choisi un nettoyeur de vitres Karcher. Commande passée mercredi à 16h20. Ce vendredi à 10h33, je reçois un message pour venir chercher le colis dans le magasin que j’ai choisi, à Nanterre. Moins de 48 heures pour prendre possession d’un bien acheté sur Internet et sans surcoût (il faudrait néanmoins compter le déplacement), c’est très rare.

    L’accueil n’a rien eu d’extraordinaire. Même un peu long pour ne donner qu’une boite en carton. La personne présente n’a proposé aucun conseil et n’a pas eu l’idée de vendre un produit supplémentaire en magasin. Bon point, on m’offre une carte « client privilège »…

    Et mes vitres ?

    Le kit Karcher WV50 Plus est composé de deux éléments principaux. Une bouteille de pulvérisation permet d’appliquer le détergent (fourni) et de nettoyer à l’aide du tampon d’essuyage en microfibre. L’appareil principal, équipé d’une batterie, aspire le liquide (ou plutôt l’humidité) présent sur la vitre pour un résultat impeccable. Tout est stocké dans un réservoir d’eau sale.

    Pour une voiture, l’ensemble est parfois un peu trop imposant. Difficile d’atteindre le bas du pare-brise, côté intérieur, avec l’appareil. En revanche, pour les fenêtres et le toit panoramique, la large tête d’aspiration (28 centimètres) permet un nettoyage aussi rapide qu’efficace. Et c’est encore plus vrai pour les fenêtres de la maison.

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    La promo AUTOcult.fr !

    5% de réduction et un stylo stylet Drivista-Shop.COM sont offerts sur votre première commande. Renseignez simplement le code coupon STYLOSTYLET ! Le code est à utiliser avant le 15 septembre 2013.

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  • Essai Mazda MX-5 : la fabrique de rêves

    Essai Mazda MX-5 : la fabrique de rêves

    Tout a été écrit au sujet du Mazda MX-5. Roadster parfait, il invite à l’évasion. Assis dans son baquet, chacun fabriquera sa propre histoire… Voici la mienne.

    C’est un souvenir tout personnel qui m’est venu en touchant le volant du Mazda MX-5. Le souvenir d’un voyage à Hiroshima, base de Mazda au Japon et cité devenue symbole de paix.

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    Je n’ai pas l’objectif de réécrire la géopolitique du XXe siècle, de commenter la nécessité d’utiliser une arme d’un genre nouveau et l’équilibre qui en est né durant près d’un demi-siècle. J’encourage néanmoins les hommes et les femmes qui s’intéressent à notre planète et à ses habitants à aller passer quelques jours à Hiroshima. Quelques jours pour sentir cette ambiance, le lourd poids d’un instant du 6 août 1945 et l’extraordinaire envie de rendre le monde meilleur qui en résulte.

    Ce MX-5 fait partie de l’effort d’Hiroshima pour rendre le monde meilleur. En tant que cité, Hiroshima n’est pas supérieure à une autre. C’est une ville où il fait bon vivre, un lieu très agréable re-bâtie sur un pan d’histoire.

    Un roadster n’est pas une meilleure voiture qu’une autre. Le moteur n’est pas plus puissant et le comportement n’est pas supérieur à celui des sportives contemporaines (quoi que !). Mais un cabriolet MX-5 est simplement agréable. Agréable à regarder, à conduire, à posséder.

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    En contemplant cette MX-5 à l’arrêt, je me revois dans le Parc du Mémorial de la Paix. Un lieu de recueillement où se trouvent le Musée de la Paix et une flamme qui ne s’éteindra que lorsque toute forme d’arme nucléaire aura disparu.

    Le Musée de la Paix n’élude rien des événements. Hiroshima était bien un centre industriel de premier plan durant la première moitié du XXe siècle et une base de production d’armes au moment de la seconde guerre mondiale. Hiroshima n’a pas été choisi au hasard.

    A cette époque, Mazda s’appelait encore Toyo Kogyo et ne produisait que des tricycles à moteur. Construite en dur, l’usine est l’un des seuls bâtiments d’Hiroshima à avoir résisté au souffle de la première bombe atomique. Toyo Kogyo participa activement à la reconstruction de la région. Et, en 1949, la ville fut proclamée Cité de la Paix.

    Le premier véhicule à quatre roues badgé Mazda apparait en 1958. Quelques années plus tard, la marque achète le brevet de moteur rotatif pensé par Felix Wankel. En 1967, la Cosmo Sport 110S est la première voiture à utiliser ce concept unique. Un an plus tard, Hiroshima entreprend d’alerter le monde sur le développement des armes nucléaires. Son maire écrit à tous les pays qui procèdent à des essais… La France reçoit la première lettre en 1968. Depuis, 597 protestations ont été envoyées à huit pays.

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    En s’éloignant du Parc et du Dôme, on arrive dans Hondori, une suite de rues commerçantes protégée par des arcades. C’est le cœur vivant d’Hiroshima du XXIe siècle. Un cœur qui bat, qui souffle, qui respire. Un moteur. Sous le capot du MX-5, le 2 litres de 160 chevaux est reculé au maximum. Il occupe une position centrale. Une position encore plus centrale lorsque les quatre cylindres sont en action. Car il aime prendre des tours et offre, en sortie d’échappement, un son exemplaire. Savant mélange de graves et d’aigus inconnu sur d’autres quatre cylindres.

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    Petite escapade hors de la ville… Ce cabriolet n’est pas une bête de course, il n’a rien de radical. Il est plus simplement racé. La direction est franche, l’amortissement savamment orchestré. Pas de sous-virage, pas de survirage, pas de roulis, pas de glissade.  Une voiture de tous les jours qui donne la sourire entre accélération et freinage.

    Capote repliée derrière les deux baquets, l’air file au-dessus du pare-brise à 130 km/h. On profite du ciel, du comportement du châssis et de ce son, toujours ce son.

    Arrivée devant l’île de Miyajima. Dix minutes de bateau et l’un des plus beaux sites du Japon se dévoile. Une île sacrée, une pagode de cinq étages, des centaines de cerfs, des parcs à huîtres et son torii flottant classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Un endroit naturel où la religion interdit de naître ou de mourir.

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    Le cabriolet MX-5 ne semble pas non plus prêt à disparaître. Depuis 1989, il se vend au Japon, en Europe, aux Etats-Unis… Avec plus d’un million d’exemplaires distribués, il est – depuis longtemps – devenu le Roadster le plus vendu au monde en effaçant la mythique MGB.

    A vous… Installez-vous dans le baquet du Mazda MX-5, saisissez son volant… Vous aurez une histoire à raconter.

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    Moi, je sais que je retournerai à Hiroshima. Je sais que je re-conduirai un Mazda MX-5.

    L’AUTO est-elle cult ?

    Oui ! La regarder, la conduire. Ce Mazda MX-5 donne envie. Contemporain, il est déjà intemporel. Depuis 1989, la recette reste excellente. La ligne a seulement suivi une légère évolution pour s’écouler à plus d’un million d’exemplaires. La version essayée, 2.0L MZR Performance à toit souple avec les sièges Recaro et la peinture Crystal White Pearl Mica en option, proposée à 30 800 euros est un morceau d’histoire de l’industrie automobile. Peu de voitures sont aussi convaincantes. Si vous n’avez pas besoin de plus de deux places, d’un coffre de 500 dm3 et qu’un grand écran qui sert de GPS n’est qu’une alternative, préparez-vous à vivre vos déplacements autrement !

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Moteur : essence 4 cylindres en ligne 16 soupapes
    Cylindrée : 2,0 litres
    Puissance : 160 chevaux (118 kW) à 6 700 tours / minute
    Couple : 188 Nm à 5 000 tours / minute
    Transmission : aux roues arrière
    Pneumatiques : 205/45 R17
    L/l/h (mm) : 4 020 / 1 720 / 1 245
    Poids à vide : 1 090 kg
    Capacité du coffre (l.) : 150
    Vitesse maximale : 213 km/h
    0-100 km/h : 7,6 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 10,9 / 6,1 / 7,8 (8,3 durant l’essai)
    Emissions de CO2 : 181 g/km

  • Citation : Louis Renault

    Citation : Louis Renault

    Citation de Louis Renault, fondateur de Renault, au sujet de la progression de Citroën sur le marché français : « Je suis très heureux d’avoir Monsieur Citroën comme concurrent, car il fait travailler et oblige à la lutte. »

    Cette phrase de Louis Renault date de 1934. Elle était destinée à François Lehideux, le nouveau directeur général de Renault et l’époux de Françoise Renault, la nièce du fondateur de la marque.

    Elle fut la conséquence directe d’une vaste campagne d’investissements lancée par  Citroën au cœur de la crise du début des années 30. André Citroën avait fait reconstruire ses usines du Quai Javel pour les mettre au niveau des installations américaines et il avait orchestré le lancement de la Traction Avant au prix de lourds crédits qui mèneront bientôt le constructeur parisien à la faillite.

    Photo : Robert Doisneau immortalise une rencontre entre Louis Renault et André Citroën lors du Salon de Paris 1934 sous la verrière du Grand Palais.

  • Dessin : BMW Pininfarina Gran Lusso Coupé

    Dessin : BMW Pininfarina Gran Lusso Coupé

    C’est certainement l’une des plus belles réalisations de cette année 2013… La BMW Pininfarina Gran Lusso Coupé est le fruit d’une collaboration entre la marque munichoise et du carrossier italien.

    A la fin des années 40, BMW avait déjà demandé à Pininfarina de travailler sur sa grande berline 501. Les options prises par la firme italienne n’avaient pas été retenue.

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  • Des timbres célèbrent les légendes mécaniques britanniques

    Des timbres célèbrent les légendes mécaniques britanniques

    Le 150e anniversaire de la naissance de Sir Henry Royce, fondateur de Rolls-Royce avec Charles Rolls, et le centenaire de la création d’Aston Martin, le Royal Mail a trouvé de bonnes raisons de proposer une collection de timbres dédiée aux « légendes automobiles britanniques ».

    Dix timbres, répartis en deux collections, sont disponibles depuis hier dans les bureaux de postes britanniques.

    Collection « pur-sang »

    Aston Martin DB5
    L’icône depuis son apparition dans Goldfinger, le premier épisode de la saga James Bond au cinéma.

    MG MGB
    L’un des roadsters les plus populaires de l’histoire avec plus d’un demi-million de voitures produites.

    Jaguar Type E
    Le modèle qui a marqué l’histoire de Jaguar et même l’histoire de l’automobile.

    Rolls Royce Silver Shadow
    Le symbole de l’élégance et du charme traditionnel britannique.

    Morgan Plus 8
    Apparue en 1968, elle avait déjà un look rétro lors de sa présentation.

    Lotus Esprit
    Seul modèle de la collection à dater des années 70, elle est l’une des plus belles créations de Colin Chapman. Une autre voiture qui a fait son apparition dans un épisode de James Bond.

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    Collection « chevaux de trait »

    Morris Minor Van PostEurop
    Cinq ans après la citadine, un petit véhicule utilitaire était proposé en 1953. Le Royal Mail l’a utilisé jusqu’aux années 70.

    Austin FX4
    Le fameux Black Cab qui a peuplé Londres durant près de quarante ans.

    Ford Anglia 105E
    La Panda Car des forces de police avec une carrosserie bicolore.

    Land Rover Defender 110
    Le Land Rover original utilisé par l’armée et les services d’urgence britanniques.

  • La première FIAT 500 fut… Française !

    La première FIAT 500 fut… Française !

    Avant que la FIAT Topolino, la toute première « Cinquecento », ne soit lancée sur le marché italien, son clone était disponible sur le marché français. A l’époque, SIMCA était la porte d’entrée de la marque turinoise dans l’hexagone.

    Au début du XXe siècle, Ernest Loste (initiateur de la création de L’argus) décide d’ouvrir un garage automobile après une belle carrière de cycliste. Très vite, il devient distributeur exclusif de FIAT en France. L’affaire est florissante et Turin décide de reprendre le contrôle de la distribution de ses modèles.

    En 1929, la Société Anonyme Française des Automobiles FIAT (SAFAF) est créée et Loste en devient le président. Face à la crise, la France impose un lourd protectionnisme. L’importation de FIAT, et même de pièces destinées à être assemblées en France, n’est plus possible. Trois ans plus tard, la SAFAF devient Société Anonyme Française pour la fabrication en France des Automobiles FIAT. De nombreux sous-traitants fabriquent des pièces de 508 puis de 518 selon les plans fournis par FIAT.

    Le succès impose d’avoir sa propre usine. La SAFAF devient Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile (SIMCA) et s’installe dans les ateliers de Donnet à Nanterre.

    En 1936, FIAT présente sa Topolino. La petite voiture du peuple voulue par le régime fasciste de Mussolini doit envahir le marché. La licence est cédée à Simca en France et à FIAT-NSU en Allemagne. Plus prompt à l’assemblage – malgré les manifestations du Front Populaire – SIMCA est le premier constructeur à mettre sa « 5 » sur le marché, quelques semaines avant que les premiers Italiens puissent acquérir leur Topolino.

    Ce n’est qu’en 1962 que FIAT cédera la partie automobiles de SIMCA à Chrysler alors que FIAT France naitra des restes de SIMCA Industries.

  • Publicité : Peugeot RCZ

    Publicité : Peugeot RCZ

    A l’automne 2010, Euro RSCG Zurich lance une campagne commandée par Peugeot Suisse. L’idée de « Sports Coupé in French » est d’aller se mesurer aux réalisations allemandes. La RCZ est directement comparée aux Audi TT et Porsche Cayman, des références.

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