Acte 2 des vacances de papa JC en Italie : à Capri toujours, voici une rare Fiat 1500 Cabriolet et une insolite Marea rallongée : les taxis de Capri.
Si tôt débarqués sur l’île de Capri qu’une chose nous surprend : les voitures y sont interdites. Ou plutôt, celles des touristes, car il n’est pas rare de croiser des voitures, riverains et locaux au volant. Le voyage se fait donc en taxis ou en bus. Les taxis y sont légion et sont quasiment tous des Marea rallongées et recarrossées façon cabrio. Cela donne une style tout particulier, qui permet au taxi driver d’emmener pas moins de 6 clients… et leurs bagages ! (voir photo)
A Capri, on voit aussi quelques Citroën C4 Picasso ou Nissan Serena recarrossés de la même façon que les Marea : elles sont décapotables. Je n’ai malheureusement pas de photo. Bonus, la découverte au coin d’une rue d’une Fiat 1500 recarrossée : elle est rallongée et cabriolet. Deux génération de taxis capresi.
Le mois dernier, le Bleinheim Gang sortait un papier sur le Nissan Judo, étude de style de ce qu’allaient devenir les SUV, ces véhicules globe-trottoir tant appréciés aujourd’hui. Puis, dans un fil de la discussion, venait la Nissan Prairie, puis la Renault Colorale. Une question m’est alors venue, cette Renault Colorale serait-elle le premier SUV français ?
A l’époque, l’objectif de la Régie Renault est de proposer un véhicule nouveau, fonctionnel, utile et pratique. Prévue tout chemin, et ce bien avant les Scenic RX4 et récent Kadjar, la Colorale est un 2 ou 4 roues motrices, rehaussé, facilitant les passages difficiles hors des sentiers battus. Elle est alors disponible en plusieurs carrosseries : le break rural, dit Prairie; le break colonial dit Savane; la Taxi, à 6 places; la fourgonnette tôlée; le pick-up; la plateau-ridelles et la châssis-cabine.
Alors, ce gros break disgracieux est bien trop utilitaire pour le client lambda, et nous sommes là bien loin des Citroën Traction Avant, Citroën DS, bien plus luxueuse et plus fine. Le succès n’est pas au rendez-vous pour cette Colorale. Elle est remplacée en 1956 par la Frégate Domaine, simple break bien moins charmant. Longtemps, la Colorale restera tout de même l’outil parfait des campagnes, des forêts et des artisans. Bon nombre d’entre elles termineront transformées en dépanneuses.
Renault Colorale, transformée en dépanneuse, ici aux 24 heures du Mans.
Pratique, modulable, La Prairie aurait pu être une référence. Peut être trop rustique, elle fut très certainement trop en avance sur son temps. Une habitude chez Renault ?
Renault Prairie, châssis cabine aménagé par un plateau à ridellesRenault Prairie, fascicule d’époqueRenault PrairieRenault PrairieRenault Prairie SavaneRenault Prairie Pick-UpRenault Prairie, fourgon tôlé
C’est en tout cas ce qu’elle essaie de nous faire croire. Depuis 20 ans, Hyundai change. A la fin des années 90, Hyundai tâtait le rallye avec un programme sportif en 2 roues motrices. 2000, l’Accent WRC prenait le relai, mais ne parvenait jamais à se hisser au niveau de la concurrence, très vive à l’époque. 2003, les Coréens se retirent du WRC sans jamais avoir remporté une manche. Il promettent alors un retour pour 2006, qui ne se fera pas. Cette année là, Hyundai annonce, en marge du grand prix de F1 de Corée, l’arrivée de la marque en F1, avec Samsung comme partenaire. Ce projet, ce programme ne verra pas le jour non plus. 2014, la nouvelle i20 est de retour. Voici Hyundai sur le devant de la scène, avec des ambitions revues à la hausse, mais pour le moment, nous ne voyons pas grand changement.
Lancée sur ce programme sportif, Hyundai sort le grand jeu à Francfort avec trois prototypes très sport : i20 WRC 2016, N 2025 Vision Gran Turismo et RM15.
Concernant la i20 WRC, on passe à la cinq portes, après avoir vu une i20 3 portes en 2014 et 2015. On a là une robe inédite et selon les spécialistes du WRC (tel World Rally is Free), cette i20 sauce 2016 semble très proche de la i20 2015 entrevue en essais, qui évolue à chaque séance de roulage. A son volant l’an prochain, nul ne sait dire qui nous retrouverons au départ du Rallye Monte Carlo. Il semblerait que le torchon brûle entre Thierry Neuville et les patrons de Hyundai Motorsport. La i20 2016 en reste tout de même jolie, si on passe au dessus d’une livrée plutôt criarde et un bleu toujours aussi difficile à identifier : bleu ? Gris ? Violet ?
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Aussi, à Francfort, la marque coréenne a présenté comme bon nombre de ses concurrents une Vision Gran Turismo, étude de style ayant pour but de représenter la marque dans le futur opus du célèbre jeu vidéo de Polyphony. Ce concept est rejoint par la RM15, qui pourrait être le futur coupé sportif de la marque. Une étude de style intéressante.
HYUNDAI N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai RM15 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai RM15 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Mais les études de style ne suffisent pas et il en faudrait beaucoup plus pour que la marque Hyundai en devienne sportive. Je ne crois pas que nos amis coréens aient réellement cet objectif, mais ils ont en tout cas compris que le sport pouvait aider leur marque à sortir de son trou, à redorer son blason (wink Alex!), un peu comme l’a fait Citroën avec le WRC. Pour cela, la performance et les résultats sont attendus. Le team Hyundai n’a pour le moment qu’une victoire en poche, conquise, il faut le dire, sur la défaite des concurrents et grâce à la fougue de Thierry Neuville plutôt que sur une réelle performance de la i20 WRC. Pour trouver une Coréenne performante, il faudrait surement limiter les pôles décisionnels, découpés entre Alzenau, en Allemagne, siège de Hyundai Motorsport et Seoul, siège de Hyundai Motors, en Corée du Sud. Revoir le staff aussi, peut être. Vu d’ici et selon les échos, la vie parait compliquée du côté du siège allemand.
Après bien des apparitions finement orchestrées par BMW Motorsport sous une robe noire et blanche maquillant ses formes, voici enfin la nouvelle BMW M6 GT3. Basée sur la M6 de série, elle est révélée au public dans sa robe officielle lors du Salon IAA de Francfort, alors qu’elle fut présentée aux équipes et pilotes lors des dernières 24 heures de Spa. Cette M6 GT3 est maintenant le fer de lance de BMW en Grand Tourisme, sprint ou endurance, en remplacement de la prestigieuse Z4 GT3, qui a remporté bien des courses depuis son lancement en 2010.
Cette M6 GT3, aux airs si massifs qu’on dirait une GT1 de la grande époque, est mue par le V8 4.4 litres bi turbo, développant 585 chevaux. Elle fut spécialement développée dans l’objectif d’accroitre au maximum de sa fiabilité, une composante des plus importantes lors des courses de 24 heures, dans lesquelles elle compte bien s’imposer : 24 Heures de Spa, 24 Heures du Nurburgring, 24H Series etc. Nul doute que cette M6 aura sa place sur la première marche des podiums. Messieurs dames, vous êtes prévenus : BMW n’est pas là pour faire de la figuration.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
On se rappelle qu’il y a quelques années, la banque Crédit Mutuel ouvrait une agence « sans guichet » dans Lille. Il semblerait que ce phénomène arrive aussi dans l’automobile. Plus une voiture, plus une goutte d’huile, plus de trace de gomme sur le carrelage blanc immaculé. C’est peut être cela qui nous attend dans le futur.
De la quattro aux feux laser via la technologie ultra light, Audi nous a toujours habitué à l’innovation. Cette fois, la marque d’Ingolstadt créé et jette ses points de vente dans le futur, avec l’apparition des showroom virtuels.
A la suite de Londres, Pékin, Berlin, l’un de ces showrooms sera installé dans un des plus beaux quartiers de Paris, au 48 place du Marché Saint Honoré. Sur place, il sera possible de configurer et découvrir tous les modèles de la marque. Cette innovation sera aussi digitale puisque ces configurations virtuelles se feront sur écran géant, en taille réelle.
Malgré cette innovation, il semble que le rapport humain soit toujours nécessaire, des vendeurs seront tout de même disponibles pour nous suivre dans cette expérience. Rassurons nous aussi, ces concessions virtuelles exposeront tout de même quatre modèles de la marque. Dont la très sélective Audi R8. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre.
Au final, on se rend compte ici que le digital se rapproche du commerce, et l’expérience client devient une des composantes les plus importantes de la vente d’un produit, d’un service. L’automobile, elle, a un peu de retard sur la chose… et Audi innove. Bien joué Ingolstadt.
Lors de la rédaction de l’article consacré à la Fiat 500 Giardiniera, je me suis posé la question de savoir à quoi correspondaient les lettres présentes sur la plaque d’immatriculation de cette belle Italienne. Il s’agit là d’un système commun à nos départements, sauf qu’en Italie, ces lettres sont les diminutifs de villes.
Ces lettres sont apparues le 28 février 1927, lors de la création du « nouveau » code de la route italien. Elles disparaissent en 1994, pour revenir en 1999. Sur les plaques d’immatriculation les plus récentes, ces lettres -qui sont aujourd’hui facultatives- sont situées dans un bandeau bleu, sur la droite de la plaque. Une exception réside tout de même : Rome, diminutif RM, peut être écrite en toute lettre : ROMA.
Sur la photo illustrant cet article, on voit PZ en début de plaque. Cette Fiat 500 est donc immatriculée à Potenza, en Italie du sud.
Liste des villes et diminutifs :
Agrigente – AG
Alexandrie – AL
Ancône – AN
Aoste – AO
Apuania – AU
L’Aquila – AQ
Arezzo – AR
Ascoli – Piceno – AP
Asti – AT
Avellino – AV
Bari – BA
Belluno – BL
Bénévent – BN
Bergame – BG
Bielle – BI
Bologne – BO
Bolzano – BZ
Brescia – BS
Brindisi – BR
Cagliari – CA
Caltanissetta – CL
Campobasso – CB
Caserte – CE
Catane – CT
Catanzaro – CZ
Chieti – CH
Côme – CO
Cosenza – CS
Crémone – CR
Crotone – KR
Coni – CN
Enna – EN
Ferrare – FE
Florence – FI
Foggia – FG
Forlì-Cesena – FC
Frosinone – FR
Gênes – GE
Gorizia – GO
Grosseto – GR
Imperia – IM
Isernia – IS
Latina – LT
Lecce – LE
Lecco – LC
Littoria – LT
Livourne – LI
Lodi – LO –
Lucques – LU
Macerata – MC
Mantoue – MN
Massa Carrara – MS
Matera – MT
Messina – ME
Milan – MI
Modène – MO
Naples – NA
Novare – NO
Nuoro – NU
Oristano – OR
Padoue – PD
Palerme – PA
Parme – PR
Pavie – PV
Pérouse – PG
Pesaro-Urbino
Pescara – PE
Plaisance – PC
Pise – PI
Pistoia – PT
Pordenone – PN
Potenza – PZ
Prato – PO
Ragusa – RG
Ravenne – RA
Reggio de Calabre – RC
Reggio d’Émilie – RE
Rieti – RI
Rimini – RN
Rome – ROMA ou RM
Rovigo – RO
Salerne – SA
Sassari – SS
Savone – SV
Sienne – SI
Syracuse – SR
Sondrio – SO
La Spezia – SP
Tarente – TA
Teramo – TE
Terni – TR
Turin – TO
Trapani – TP
Trente – TN
Trévise – TV
Trieste – TS
Udine – UD
Varèse – VA
Venise – VE
Verbano-Cusio-Ossola – VB
Verceil – VC
Vérone – VR
Vibo Valentia – VV
Vicence – VI
Viterbe – VT
A la suite des Alpine Celebration révélées lors des 24 Heures du Mans, puis lors du Goodwood Festival of Speed, la marque bleue continue ses révélations, avec une nouvelle Celebration. Cette fois, on change de thème. La première des Celebration était un hommage aux 60 ans de la marque, le deuxième était un clin d’oeil au style britannique, au sport auto d’outre manche, portant les couleurs du Lord March, propriétaire du domaine de Goodwood et organisateur du festival du même nom.
Pour les festivités du 60ème anniversaire organisées à Dieppe, Alpine donc sort un nouvelle robe pour sa Celebration. On découvre ainsi une Alpine aux couleurs rappelant celles des Alpine Renault A110 engagées lors du Championnat du Monde des Rallyes 1973 et 1974. Le toit est rouge, les portes d’un dégradé de lignes blanches rappellent l’ancien losange de la Régie.
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Nelson Panciatici, pilote Alpine au volant de l’Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration 60 ans Dieppe
Les quatre Alpine Renault A110 alignées sur le parc fermé du rallye Tour de Corse 1973. Le lien avec la Celebration révélée ce weekend est direct.
Cette hommage « rallye » à Dieppe n’a pas été choisi par hasard. C’est dans cette commune de Normandie qu’étaient construites les Alpine tout d’abord mais aussi là qu’elles étaient préparées dans l’objectif de disputer le Championnat du Monde des Rallyes.
1973, Alpine remporte pas moins de six manches sur les treize disputées. Andruet enlève le Rallye Monte Carlo, Nicolas le Tour de Corse, Darniche le Maroc et Thérier remportent le Portugal, l’Acropole et le Sanremo. Ces quatre là, on les appelle les 4 mousquetaires. Ils règnent sur le WRC 1973 sans partage. Ensemble, ils remportent le Championnat du Monde des Rallyes 1973, premier du nom.
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – Tour de Corse 1973
Alpine Renault A110 1800 – Jean-Luc Therier : Marcel Callawaert – Tour de Corse 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – RAC Rally 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – RAC Rally 1973
Alpine Renault A110 – Darniche – Rallye du Maroc 1973
Alpine Renault A110 – Bernard Darniche : Alain Mahe- Rallye du Maroc 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas : Michel Vial – Austrian Alpine Rally 1973
Alpine Renault A110 – Bernard Darniche : Alain Mahe – Rallye du Maroc 1973
Photo : Vincent Capillaire. DPPI. Renault Media. DR. Sylvain Demeyer.
Avec quelques jours d’avance et suite à l’énorme fuite des clichés sur le blog italien Carpassion.it (voir en fin d’article), Renault révèle sa nouvelle Mégane à la hâte. On sent bien qu’ici, Renault la fait light pour rattraper la chose. Il faut dire que ce modèle emblématique de la gamme ne devait être présenté que la semaine prochaine, lors du salon de Francfort.
Malgré ce raté, Renault n’arrête pas ces derniers mois, présentant ses modèles sur un rythme effréné. Il y eut l’Espace, Kadjar, Talisman et Talisman Estate avant cette Mégane. On trouve là une Mégane changée, aux proportions nouvelles, plus basse de 25mm, plus large à l’avant de 47mm et de 39mm à l’arrière et un empattement nouveau, augmenté de 28 mm en comparaison à la génération précédente. Le style est en lien direct avec celui de la Talisman, avec entre autres, les feux avant en « C » ou à l’arrière, les feux qui se rejoignent autour du losange.
Le modèle présenté est ici celui de la ligne GT. Le haut de gamme chez Mégane pour le moment (exit la finition Initiale Paris?) et il y a fort à parier que la version R.S. ne tardera pas à arriver. Cela dit, on peut dire que pour une fois, la version GT a un style sportif.
Pour le moment, aucune annonce quant aux motorisations et finitions. Rendez-vous semaine prochaine, à Francfort.
Dévoilée par un blog italien, Nouvelle Renault Mégane sera révélée lors du salon de Francfort.
Dévoilée par un blog italien, Nouvelle Renault Mégane sera révélée lors du salon de Francfort.
Dévoilée par un blog italien, Nouvelle Renault Mégane sera révélée lors du salon de Francfort.
Où sera Alpine l’an prochain ? Du bleu oui, mais pour le moment difficile d’annoncer la couleur.
Si Carlos Ghosn avait annoncé l’arrivée de l’Alpine pour 2016, en juillet 2015, Bernard Olliver, PDG de la marque a reporté le projet à 2017. Nous en sommes là côté série, et depuis la Celebration, la retenue est de rigueur chez Renault. Seulement, pour une marque comme Alpine, la série ne fait pas tout. On travaille dur chez Alpine et chez Signatech, la structure officiant sportivement pour Alpine, on n’enfile pas les perles non plus. C’est sur, l’Alpine A450b sera conservée jusqu’à la fin de saison. Le prototype Oreca 03R est bien connu de l’équipe et elle table sur l’expérience pour finir en beauté sa saison FIA WEC bien mal lancée.
Seulement, l’an prochain arrive à grands pas. Alors, Philippe Sinault confiait à nos confrères de Endurance-Info que toutes les pistes sont ouvertes pour l’an prochain. ELMS, FIA WEC, LMP2 et même LMP1 non hybride. Rien n’est fait, pas même la continuation du programme n’est assuré, mais les Bleus de chez Signatech ne baissent pas les bras et oeuvrent à 2016.
Pour le LMP2, Alpine ne fait pas partie des constructeurs sélectionnés par la FIA pour la construction d’un prototype. La marque bleue devra donc s’équiper d’une des quatre barquettes disponibles sur le marché, en la modifiant en fonction de la règlementation. Pour le moment, on se dirigerait sur une Oreca 05, qui évoluerait pour coller au mieux au design Alpine.
L’endurance n’est pas la seule clé sportive pour Alpine. Pas de rallyes, c’est sûr, du moins officiellement, Comme nous le confiait Bernard Ollivier, PDG d’Alpine, lors des dernières 24 heures du Mans. Un engagement en rallyes n’est plus aujourd’hui possible pour une victoire au haut niveau : il est impossible de gagner le WRC avec une voiture « de série ». Cela ne veut pas dire non plus que la compétition client est improbable pour une Alpine engagée en GT. Le GT d’ailleurs, la réponse serait peut être là pour le circuit. Bernard Ollivier ne s’en cache pas : il rêve de voir une Alpine en GT, en GT3, face aux Ferrari, Lamborghini, Aston Martin, Porsche sur la classique mancelle. « Alpine a la légitimité d’être là » comme dit le PDG d’Alpine. Et on veut bien le croire.
Et si Alpine passait à l’Oreca 05 l’an prochain ? Ici, une livrée réalisée par nos soins. Celle des essais?
Sa ligne n’était plus un secret. Les photos sorties officieusement telle un teasing par Citroën ou les fuites dans la presse peut être orchestrées par Citroën aussi, trahissaient bien les courbes et formes du concept car Cactus M. M comme Méhari, cela n’est plus un secret. Cela fait d’ailleurs du bien de voir Citroën retrouver la voie de son histoire. Bref, passons, le passé c’est le passé Darling, ça parasite le présent.
Cette fois, on trouve là les lignes globales du Cactus. Les face avant et face arrière ne changent pas. Concept M est ici un coupé, deux places, cabriolet. Ce n’est là qu’un concept car, qu’une étude, restant au final assez proche du Cactus habituel. Cela dit, il est marrant de se dire que les Airbump du C4 Cactus ressemblent étrangement aux nervures de la carrosserie de la Méhari. C’est ici un hasard mais c’est tout de même un beau clin d’oeil. D’ailleurs, contrairement aux C4 Cactus, les Airbump sont peintes aux couleurs de la carrosserie sur ce Cactus M. Le ligne s’en retrouve plus classique, plus habituelle, le style baroudeur fait le reste.
D’ailleurs, une question se pose. Quel avenir pour un tel véhicule? Le Cactus deviendrait-il la base de nombreuses versions ? Il manque une version utilitaire, possible avec le C15 Cactus. La nouvelle Méhari serait la avec le Concept M. Et après ? Un SUV 3 portes, telle la Mini Paceman ? Un vrai 4×4, en remplacement du C4 Aircross insipide ? Allez. Go. La voie m’a l’air pas mal. Mais attention aux véhicules un peu spéciaux : on se rappelle que la C3 Pluriel ne fut un réel succès commercial.
Imaginez Sophia Loren engagée en compétition automobile. Au volant d’une rutillante Mercedes 300 SL, rien que ça. C’est pourtant ce qu’il s’est passé, en 1956, au « Rally del Cinema », à Rome. Ce rallye n’est vraisemblablement ce qu’on appelle de nos jours un rallye. C’était à l’époque un évènement organisé tel une balade, un rallye de régularité, un rendez-vous glamour et people pour les acteurs et actrices du cinéma italien des années 50. Sur le tracé, comme au départ de Rome ou à l’arrivée à SanRemo, la foule est présente en masse pour apercevoir leurs stars favorites. Parfois sur le parcours, des barrages sont mis en place par les fans pour approcher les acteurs.
Rally del Cinema 1956
Rally del Cinema 1956
Il faut dire qu’à cette époque, Roma et la CineCitta sont parmi des endroits au monde les plus en vus pour le tournage de films ainsi que leur production.Rossano Brazzi, Nino Conti, Isa Miranda, Maria Frau, Sandro Pallavicini, Elena Giusti, Alberto Farnese, Pamela Matthews, Cesare Danova. Ces noms ne sont pas forcément connus aujourd’hui mais à l’époque, il y a plus de 60 ans, ils étaient de véritables stars du cinéma italien. Heureusement pour notre (ma) petite culture, Sophia Loren est présente sur ce rallye. Engagée au volant d’une rutillante Mercedes-Benz 300 SL Gullwing coupé, elle y est LA star.
Lors d’une discussion avec le journaliste Cédric Faiche, nous nous sommes posés la question de savoir ce que seraient le design des prochaines voitures et si la vague du retro design allait continuer.
On l’a vu, les années 50 ont eu leur heure de gloire ces dernières années, avec la MINI depuis 2001 ou la Fiat 500 depuis 2007. Cette fois, pas d’initiative de la part de Fiat mais celle du designer indépendant David Obendorfer. Il a fait revivre en 2013 une des Fiat les plus emblématiques des années 70/80, la Fiat 127.
On retrouve là un design assez moderne reprenant les codes de celle qui devait remplacer la Fiat 850. On pourrait même se dire que cette étude rend la 127 plus jolie qu’elle l’était à l’époque.
Chez Fiat, il serait intéressant que cette 127 new age soit produite. Elle permettrait à la marque italienne de trouver un nouveau style, une nouvelle tendance, dans la lignée de la « nouvelle » 500. Chez Lancia aussi, on devrait y penser. La Delta, la Fulvia ou la Stratos n’attendent que vivre une nouvelle vie.