Catégorie : Constructeurs

  • FAI15 : Le match des Vision Gran Turismo

    FAI15 : Le match des Vision Gran Turismo

    Kazunori Yamauchi a un rêve : organiser un salon de l’auto uniquement avec « ses » Vision Gran Turismo… Au Festival Automobile International, actuellement à Paris, ce désir prend doucement forme.

    « Accepteriez-vous de concevoir pour nous votre version de Gran Turismo ? » C’est par cette simple question que le créateur de Gran Turismo a interpelé la plupart des grands constructeurs mondiaux.

    Mercedes, BMW, Mitsubishi, Volkswagen, Nissan, Aston-Martin, Toyota, Subaru, Chevrolet, Infiniti, Mazda et Alpine ont déjà présenté leur réalisation.

    Avant de voir les Audi, Bertone, Daihatsu, Ford, GM Design, Honda, Hyundai, Italdesign Giugiaro, Jordan, Lamborghini, Lexus, MINI, Nike, Peugeot, SRT, Tesla et Zagato, trois des voitures modélisées sont physiquement présentes face à l’Hôtel des Invalides, jusqu’à dimanche.

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    Exposée en première mondiale, l’Alpine Vision Gran Turismo est la grande star de l’événement. Au-delà de la nouveauté, la réalisation des équipes qui planchent sur la future Berlinette est à couper le souffle.

    Terriblement éloigné d’un modèle de série, ce concept car est une parfaite réalisation avec suffisamment de détails pour qu’elle soit identifiée Alpine et une vraie cohérence pour qu’un tel vaisseau reste assimilé à une voiture. C’est le vrai coup de cœur des Vision Gran Turismo !

    L’Aston Martin DP-100 peine à montrer son appartenance en dehors de son blason, même si la silhouette est un modèle d’appel à la vitesse. Quand à la BMW, elle est – au contraire de l’anglaise – trop proche d’autres lignes de la marque. Pour un jeu vidéo, on aurait aimé un peu plus de folie !

  • Toyota GT86 : moderne, dans la lignée de ses aïeules

    Toyota GT86 : moderne, dans la lignée de ses aïeules

    Toyota 2000 GT, Toyota S800, Toyota Celica, Toyota Supra, Toyota GT86 : la lignée est assurée avec la petite dernière de chez Toyota. Construite avec Subaru, la GT86 n’en est pas moins une digne héritière de ses aïeules précédemment nommées.

    Toyota GT86, Toyota 2000GT, Toyota S800
    Toyota GT86, Toyota 2000GT, Toyota S800

    La GT86 est un coupé 2+2, voué au plaisir de conduire, de piloter même. Moteur 2 litres de 200 cv, propulsion, répartition des masses avant-arrière à 53%-47%, centre de gravité bas et différentiel à glissement limité font d’elles une des références de sa catégorie.

    Elle n’est pas sans rappeler la 2000GT, la Supra. Avec une roue à chaque coin, elle s’en retrouve bien équilibrée. A bord, l’environnement est bien bien. Les sièges maintiennent bien. On se sent bien dans cette sportive financièrement accessible. J’ai particulièrement aimé me retrouver « le cul par terre », tant cette GT86 est basse. Quel plaisir !

    Le volant, le levier de vitesse, les pédales aussi sont bien placées, leurs ergonomies sont bien étudiées. Rien ne choque, si ce n’est la qualité japonaise, fidèle à son mythe, mais en progression tout de même. Petit caprice, j’ai beaucoup aimé les palettes de la boîte semi-automatique. Elles « tombent » bien sous les doigts, derrière le volant, les mais bien placées à 9h15, 10h20.

    En route, la GT86 se montre être d’une efficacité, d’une simplicité rare, surtout avec les palettes de la boîte semi-automatique au volant. Elle est facile à conduire, facile à tenir, facile à emmener, mais une fois dans le vif du sujet, il faut se montrer très précis pour ne pas perdre l’efficacité. Dans le vite, la GT86 est assez précise, nous rappelant parfois qu’elle est l’héritière des modèles sportifs des années 70. En bref, c’est une propulsion. Dans le serré, elle en devient joueuse, train avant précis et train arrière baladeur. Il faut du doigté pour que cette belle Japonaise ne se dandine pas trop du popotin. Ne pas arriver trop vite, ne pas accélérer trop tôt. C’est un régal, elle est vraiment amusante, elle nous ravit et provoque le sourire, vraiment ! Son moteur et ses 200cv « donnent » bien, quand sa boîte (peut être un poil longue) est bien étagée.

    Vous remarquerez que je n’ai pas parlé des places arrières : elles ne sont existantes que pour les contorsionnistes, les petites tailles. Mais la GT86 est-elle une familiale? Non. Elle est là pour que nous prenions du plaisir, et joue son rôle à la perfection.

     

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    Toyota GT86
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    Toyota GT86
  • Toyota en WRC : merci Ove Andersson !

    Toyota en WRC : merci Ove Andersson !

    5h00 du matin à Paris… En ligne devant la conférence de presse de Toyota qui annonce le programme du groupe japonais en sport mécanique pour les années à venir. L’occasion de se rappeler pourquoi (et comment) Toyota est devenue une marque associée au rallye.

    Suédois taciturne, Ove Andersson était un équilibriste au volant. Saab 96, Lancia Fulvia, Ford Escort TC, il s’était révélé bien avant de rejoindre Alpine-Renault pour conquérir un premier titre « International » des marques en 1971. S’il y avait eu une distinction pour les pilotes, Ove Andersson aurait été champion du monde avec quatre victoires en huit courses cette saison-là…

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    Et puis il a changé de voie. Il a créé le Toyota Team Europe qui a survécu à la crise du pétrole de 1973. La petite équipe a joué avec ses faibles moyens extorqués au Japon et à quelques importateurs convaincus.

    Durant des années, il a accepté son sort, il a rongé son frein. Longtemps, il a attendu le feu vert – et des budgets – du Japon pour concevoir une voiture à quatre roues motrices.

    Son attachement à Toyota et son flegme ont fini par convaincre les Japonais. Il faut dire qu’Ove Andersson savait faire plier ses interlocuteurs. Il était réputé pour ses longs silences. Le Suédois réfléchissait toujours avant chaque réponse. Et la réflexion prenait du temps. Mais il ne laissait jamais la moindre question sans trancher, personnellement.

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    Il a attiré Toyota en rallye. Il a fait gagner Toyota en Championnat du Monde (1993 et 1994). Il était encore à la tête de l’équipe lorsque la marque a été exclue des compétitions pour avoir enfreint la réglementation technique (1995)… Et il a encore convaincu Toyota de revenir et les a mené à un nouveau titre (1999).

    Toyota avait une telle confiance en lui que le constructeur lui a également confié son engagement aux 24 Heures du Mans avec les exceptionnelles GT-One, puis en F1…

    Si Toyota n’a jamais cessé d’être lié au rallye, c’est grâce à monsieur Ove Andersson ! Et l’annonce de ce matin est un nouveau chapitre du livre qu’il a ouvert.

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    Installé en Afrique du Sud, il trouva la mort en 2008 (à 70 ans), lors d’un rallye historique alors qu’il pilotait une Volvo PV444.

  • FAI15 : BMW M1 Hommage

    FAI15 : BMW M1 Hommage

    Lorsque l’on parle de culte automobile, la BMW M1 arrive assez vite. Un vrai culte, car ce modèle n’avait pas trouvé son public lors de sa commercialisation. Ce n’est qu’avec les années que l’on a pu mesurer à quel point cette voiture avait marqué son époque. C’est tellement vrai que BMW avait produit un concept en son hommage en 2008 !

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    Contrairement à d’autres constructeurs qui cherchent à revisiter leur passé, BMW n’a eu qu’à lifter les traits de l’extraordinaire M1 pour en faire un modèle « actuel ».

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    Présentée lors du Concours d’Elegance de Villa d’Este en 2008, ce concept jouait sur l’idée du néo-rétro…

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    Aération sur la lunette arrière, prises d’air, logos, le lien de parenté est évident avec des dimensions identiques. Et c’est magnifique !

  • FAI15 : Porsche Panamericana

    FAI15 : Porsche Panamericana

    Certains concepts sont vraiment clivants ! En voici un qui n’a jamais réussi à réunir les avis : cette Porsche Panamericana est vraiment très spéciale.

    Au Salon de Francfort 1989, Porsche dévoile cette Panamericana. Déjà à l’époque, la marque allemande cherchait à mélanger un coupé, un cabriolet, un Targa et un 4×4…

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    Développée sur la base d’une Porsche 964 avec une transmission intégrale, elle laissa apparaître (mais pas trop) des codes du Type 993.

    Chez Porsche, le projet n’était pas une simple étude de style. Le designer Harm Lagaay a longtemps poussé pour avoir la permission d’en faire une voiture de petite série. Mais l’époque n’était pas propice chez Porsche et l’idée fut abandonnée.

    Maintenant que les résultats sont bien meilleurs, il se pourrait que la présence de cette Porsche Panamericana venant du musée réveille des projets… Pourquoi pas une voiture pour concurrencer une éventuelle TT Allroad ?

     

  • FAI15 : Ferrari F12 TRS

    FAI15 : Ferrari F12 TRS

    Plusieurs mois de travail et 3 millions d’euros… Un client s’est offert une Ferrari F12berlinetta très personnalisée : un modèle unique qui fait désormais le tour des salons et qui est en ce moment à Paris pour le Festival Automobile International.

    Ferrari veut des modèles de plus en plus exclusifs. En plus d’une maîtrise de la production, ses voitures se veulent aussi de plus en plus personnalisées pour coller aux désirs des clients.

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    Parmi les derniers modèles très médiatisés, une F12berlinetta commandée par un propriétaire qui a voulu rester anonyme, est devenue une icône.

    La F12 TRS est une réinterprétation de la 250 Testa Rossa de 1957. L’équipe de Flavio Manzoni du centre de style Ferrari a transformé la berlinetta en barquette. Il n’y a plus de toit, mais un cockpit entouré d’un vitrage opaque.

    Même si la ligne est très actuelle, elle laisse transparaître des évocations des carburateurs de la Testa Rossa, de ses culasses rouges, des bosselages dans le prolongement des baquets…

    Le résultat est saisissant et toujours aussi performant pour une voiture de 1,6 tonne : 3,1 secondes pour atteindre 100 km/h et 8,1 secondes pour aller à 200 km/h… Mais la F12 TRS est quand même plus souvent exposée que sur la route !

  • Skoda Fabia Armando Gomes : la première Art Car tchèque

    Skoda Fabia Armando Gomes : la première Art Car tchèque

    La liste des Art Car s’allonge doucement chez AUTOcult.fr. Aujourd’hui, quel constructeur n’a pas son Art Car ? Alex nous présentait semaine dernière la R5 Street Art, réalisée à l’invitation de Perrier. Les BMW, originelles Art Car du père Poulain, sont légion, tout comme celle de Koons, dernière du nom à cette heure.

    Cette fois, Škoda se lance dans le grand jeu de l’émotion artistique et automobile. C’est le graffeur, le « street-arteur » portugais Armando Gomes qui est chargé du projet. Dessinant, graffant, directement sur la belle Tchèque, de ses mains, armé d’aérosols, il habille la petite de Mlada Boleslav de couleurs vives. Le résultat est plutôt réussi, bien que les goûts et les couleurs… Vous me suivez, peut être que vous n’aimerez pas. Cela dit, le projet d’avoir réalisé cette Fabia Art Car très street-art n’est pas sans raison : Lisbonne est une des plus grandes places du street art mondial. C’est là aussi que la Fabia fut révélée à la presse mondiale, mais cela est presque accessoire.

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  • La McLaren F1 de Mr Bean en vente !

    La McLaren F1 de Mr Bean en vente !

    Des stars au volant de Supercars, il y en a toujours eu… Les articles de la catégorie « Insolite » de quelques gros sites regorgent de ces histoires qui passent sans s’accrocher. Et puis il y a Rowan Atkinson (Mr Bean) et sa McLaren F1 !

    L’acteur comique, fan d’automobiles, a récemment mis en vente sa McLaren F1 chez un négociant londonien… J’ai cru comprendre qu’il faudrait débourser un peu plus de 10 millions d’euros pour commencer à discuter (!).

    Dans Classic and Sports Car, Mr Bean avait expliqué son intérêt pour ce modèle légendaire : « Lorsque je l’ai achetée en 1997, c’était assez fou, car je m’attendais vraiment à ce qu’elle perde de la valeur. »

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    A l’époque, la McLaren F1 était vendue 540 000 livres sterling (en jouant avec les conversions en 1997 : 4 765 000 FF, soit 726 000 euros lors du passage à la monnaie unique).

    « Mais elle ne s’est pas dépréciée, bien loin de là. J’ai évité d’acheter des Aston Martin et des Ferrari et j’ai sauvé une fortune ! »

    Et si cette voiture est aussi emblématique, c’est que l’acteur britannique a eu deux accidents largement médiatisés. Le premier dès 1999 lorsqu’il a percuté l’arrière d’une petite Metro. Douze ans plus tard, il a perdu le contrôle de sa McLaren sur une route du Cambridgeshire. Après un tête-à-queue, la F1 s’est retrouvée coupée en deux. Le moteur et le train arrière d’un côté, et le reste, dont le conducteur à l’omoplate cassé, de l’autre.

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    La McLaren F1 est alors repartie à Woking pour être reconstruite pour une facture de plus de 1,2 million d’euros. A cette époque, Rowan Atkinson avait assuré qu’il n’était pas un collectionneur et qu’il ne cherchait pas à profiter de sa McLaren pour réaliser une plus-value. « Ma F1 n’a que 17 ans, mais c’est déjà un classique comme une Bugatti Type 59 ou une Alfa 2,9. C’est une partie de ma vie. »

  • Alpine Vision Gran Turismo existe !

    Alpine Vision Gran Turismo existe !

    Invitée, comme d’autres constructeurs, à participer au projet Vision Gran Turismo, la marque Alpine est allée beaucoup plus loin que la simple modélisation d’un objet virtuel : Alpine Vision Gran Turismo existe et elle est visible au Festival Automobile International cette semaine, puis à Retromobile la semaine prochaine !

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    Pour les 60 ans d’Alpine, la renaissance de la marque s’accélère. Un peu plus de deux ans après l’annonce de la production d’une nouvelle voiture, Alpine compte déjà deux titres en European Le Mans Series et un concept car Alpine A110-50. Cette semaine, s’ajoute Alpine Vision Gran Turismo, une maquette issue d’une réalisation spécifique pour le célèbre jeu vidéo de PlayStation.

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    Sans les contraintes d’une voiture de série, les designers ont pu multiplier les rappels aux anciennes gloires Alpine. Les phares avant évoquent l’Alpine A110 et les longues dérives sont un clin d’œil aux A210 et A220 engagées aux 24 Heures du Mans dans les années 1960.

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    Concernant le comportement dynamique dans le jeu, on nous promet que cette Vision Gran Turismo sera une passerelle entre l’efficacité de l’Alpine A450b, qui s’est illustrée l’an passé aux 24 Heures du Mans, et le caractère joueur promis à la Berlinette du XXIe siècle, toujours programmée pour 2016 !

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  • Leçon royale en Land Rover

    Leçon royale en Land Rover

    Après l’annonce de la mort du Roi Abdallah, un ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Arabie Saoudite a partagé une petite anecdote savoureuse d’une rencontre entre celui qui était encore prince héritier et la Reine d’Angleterre.

    En 1998, le prince Abdallah est en visite officielle au Royaume-Uni. Il rencontre la Reine à Balmoral en Ecosse. Elisabeth II l’invite à participer à une excursion en Land Rover au cœur du domaine royal.

    D’abord réticent, il accepte et prend place sur le siège passager, tandis que son traducteur s’installe à l’arrière. La Reine défie alors son hôte…

    En Arabie Saoudite, les femmes ne sont pas autorisées à conduire. Elisabeth II s’installe donc au volant, met le contact et donne une leçon au futur roi des Saoudiens.

    Selon Sir Sherard Cowper-Coles, diplomate présent à l’époque et devenu ambassadeur du Royaume-Uni à Riyad par la suite, Elisabeth II aurait tout fait pour impressionner Abdallah par sa conduite sportive. Le Prince aurait insisté auprès de son traducteur pour faire ralentir la reine, aussi concentrée sur sa conduite que sur la discussion qu’elle poursuivait sans relâche.

    Depuis la disparition d’Abdallah, Elisabeth II est la plus vieille souveraine-pilote du monde…

  • Rallye Monte Carlo Histo : les R16 et R12 Gordini officielles

    Rallye Monte Carlo Histo : les R16 et R12 Gordini officielles

    A l’occasion du 50ème anniversaire de la Renault 16, Renault engage au Rallye Monte-Carlo Historique deux modèles emblématique des années 60 et 70 : la Renault 12 Gordini et la Renault 16 TS. Présentation.

    Première voiture française à carrosserie berline-break à hayon, la Renault 16 relevait d’un rôle important auprès des Renault 8 Gordini et Renault 12 Gordini engagées par la firme au losange : elles officiaient comme véhicule d’assistance rapide, fin des années 60, début 70.

    A cette époque, les rallyes étaient de véritables marathon, les mécaniciens intervenant sur le bord des routes, entre les secteurs chronométrés. Avec ses 1100 kilomètres, le Rallye Monte-Carlo Historique relève lui aussi du marathon. Une course longue de plusieurs jours, dans laquelle les conditions climatiques de course sont rarement clémentes, entre neige, pluie, verglas et brouillard.

    Pour la marque Renault qui a remporté la classique monégasque pas moins de 6 fois, dont deux avec Alpine en 1971 et 1973, le rendez-vous est important. En chef de file, Jean Ragnotti, ambassadeur Renault et vainqueur du Rallye Monte-Carlo en 1981 sur R5 Turbo. Au volant de la R12 Gordini portera le numéro 1 et sera copiloté par un autre grand pilote Renault : Michel Duvernay. Il remportait en 1981 de la Coupe de France Renault Cross Elf et la Coupe Renault 5 GT Turbo en 1986. Une seconde R12 Gordini sera engagée par Team Renault Classic pour Alain Serpaggi, autre pilote emblématique Renault et Alpine.

    Le Rallye Monte-Carlo Historique se déroulera du 28 au 4 février. Cette 18ème édition aura 6 villes départ : Copenhague, Glasgow, Reims, Turin, Bah Homburg et Barcelona. Le Team Renault Classic prendra son départ de Reims, le vendredi 30 janvier 2015 dès 19h00, Place du Forum. Les vérifications administratives et techniques se déroulant la veille, à Reims, Parc des Expositions. Le rallye verra son arrivée au petit matin du mercredi 4 février, après une dernière étape disputée sur deux secteurs chronométrés qui ont fait les grandes heures du « Monte-Carl’ » : « Lucéram – Col Saint-Roch – Lantosque » et « La Bollène-Vésubie – Col de Turini – Sospel. » Longue de 168 km, cette étape se disputera de nuit, comme à l’époque. Tout un mythe.

    Equipages Team Renault Classic :

    – N° 1 : Jean Ragnotti au volant d’une Renault 12 Gordini. Il est co-piloté par Michel Duvernay, vainqueur en 1981 de la Coupe de France Renault Cross Elf et de la Coupe Renault 5 GT Turbo en 1986,
    – N°12 : Alain Serpaggi accompagné par Jean-Pierre Prevost à bord d’une Renault 12 Gordini
    – N° 16 : Michel Leclère, vainqueur du « Premier Pas Dunlop Coupe Gordini » en 1969  qui le mena ensuite en Formule 1. Il sera accompagné de Laurent Lamat et de Gilles Dubois (gagnants du concours organisé par la FCRA, Fédération Française des Clubs Renault et Alpine) à bord d’une R16 TS
    – N°18 : Thierry Emptas et François Forgeoux,  un habitué de l’épreuve, à bord de la seconde R16 TS.

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  • Alpine Renault A110 : le shooting photo de Mathieu Bonnevie

    Alpine Renault A110 : le shooting photo de Mathieu Bonnevie

    Dans l’exceptionnel décor du circuit de Reims-Gueux, le photographe Mathieu Bonnevie a su nous faire découvrir une auto que nous connaissions déjà bien : l’Alpine Renault A110. Les clichés sont léchés, les chromies parfaites. Ce photographe s’est démené pour produire un reportage de qualité lors de ce shooting. Plusieurs dizaines de clichés sont découvrir ici, tandis que sa page facebook est ici. Prenez votre temps, ouvrez bien vos yeux, on se rend compte ici de la finesse qu habite cette auto, sa légèreté, sa fragilité.

    Merci à Ugo pour la trouvaille.

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