Catégorie : Culture

  • Sur base de Jumper, le Citroën HY renait de ses cendres

    Sur base de Jumper, le Citroën HY renait de ses cendres

    Nous l’avons tant attendu. Ne comptant pas sur Citroën pour honorer dignement son passé (j’ai la dent dure mais c’est parce que je l’aime), David Obendorfer (qui avait redessiné la Fiat 127) et Fabrizio Caselani, deux designer italiens ont fait renaître le HY de ses cendres.

    Sur la base d’un Citroën Jumper, ces deux Italiens ont dessiné, créé, conçu un kit complet permettant de transformer l’actuel utilitaire Jumper en un HY, reprenant les codes du modèle lancé il y a 70 ans aujourd’hui. On retrouve donc ici un HY contemporain, original et au rendu superbe, sur base de Jumper, comme illustré ici :

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    La tristesse ? Que ce kit de transformation HY ne soit vendu qu’en Italie. Espérons que quelques irréductibles Gaulois fassent revivre dans nos contrées celui qu’on a appelé le Tub. Cela dit, le kit ne sera produit qu’à 70 exemplaires, pour les 70 ans du modèle, par la firme FC automobili. Les places seront chères. On voit d’ici le succès commercial, les nombreuses boutiques et food-truck s’équipant du bel HY version 2017. J’en suis jaloux tiens, j’aimerais tellement me balader avec un tel engin aux couleurs des TissusPapi

    Un modèle repéré par Julien Jodry, designer au magazine Auto-Moto, et que je vous invite à suivre. Merci à lui !

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  • Pourquoi Kodiaq ?

    Pourquoi Kodiaq ?

    Oui, les noms de voitures ont une signification. Même que les 0, au centre des numéros de Peugeot étaient prévus pour qu’on puisse y glisser la manivelle utilisée pour démarrer le moteur. C’est dire si cela date. Alors cette fois, pourquoi Kodiaq ?

    Le Kodiak, avec un K à la fin nota benne, est un ours, qui se révèle être le plus gros animal terrestre carnivore. L’un d’eux aurait mesuré plus de 3 mètres de haut pour plus d’une tonne. Belle bête. Ajoutez à cela une solide carcasse, de la puissance et l’esprit de famille et vous retrouverez le cahier des charges du nouvel SUV Skoda Kodiaq. A noter que Kodiak est aussi une ville d’Alaska, et cela ne fait que renforcer l’aspect aventurier.

    Ils sont forts comme des ours, les Tchèques, quand même. Et vous savez maintenant pourquoi Kodiaq, avec un Q cette fois.

  • Alpine dans Paris : c’était un rendez-vous

    Alpine dans Paris : c’était un rendez-vous

    J’en parlais il y a quelques temps, nous croisions quelques exemplaires du prototype Alpine dans les rues de France, d’Europe. Cette fois, la belle Dieppoise s’est offerte une jolie balade dans la capitale, via l’Arc de Triomphe et direction Boulogne-Billancourt, siège du groupe Renault et lieu et place du showroom Alpine, nommé Studio Alpine Boulogne-Billancourt (@alpineboulogne). C’était un rendez-vous.

    Un rendez-vous des plus décalés entre personnages majeurs de la marque Alpine. On aura remarqué, entre autres, Michael Van Der Sande, Directeur Général d’Alpine et membre du Comité de Direction de Renault, Antony Villain, directeur du Design Alpine et Dave Twohig, ingénieur en chef, en charge du développement des projets Alpine.

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    – Et là, à droite, l’Arc de Triomphe et on arrive à Boulogne-Billancourt. – T’es sur ? – Nan, et toi ?
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    Alpine voit enfin le bout du tunnel, la révélation arrive.
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    « Je t’ai vuuuuu » – Dave Twohig, ingénieur en chef, en charge du développement des projets Alpine.
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    « Ah t’es là ! » – Michael Van Der Sande, Directeur Général d’Alpine et membre du Comité de Direction de Renault
  • Pourquoi la Vaillante portera le numéro 13 lors des prochaines 24 Heures du Mans ?

    Pourquoi la Vaillante portera le numéro 13 lors des prochaines 24 Heures du Mans ?

    Pourquoi la Vaillante portera le numéro 13 lors des prochaines 24 Heures du Mans ?

    La question est lancée et la réponse est plus succincte. Il s’agit ni plus ni moins d’un hommage à la BD « le 13 est au départ », cinquième album de la série Michel Vaillant. Le 13, c’est Michel Vaillant, bravant les interdits et ce numéro tant redouté par tous, superstitieux en tête. Autre fait, le 13 est le numéro habituel d’une des deux Rebellion depuis quelques années, complété du numéro 12. Cette fois, ce sera le 31 qui complètera le 13. Tout s’explique donc.

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    La couverture de l’album Michel Vaillant « le 13 est au départ » paru en 1963.
  • Pour rouler en Porsche… Citation.

    Pour rouler en Porsche… Citation.

     Pour rouler en Porsche, avant la course il faut être businessman. Pendant la course il faut être SuperMan. Après la course, il faut être Gentleman.

    Yannick Bodson, pilote de rallyes belge. Humble.

    PS :  oui, ce n’est pas Yannick Bodson en photo, mais je l’ai trouvé jolie.

  • L’autre SEAT Ibiza

    L’autre SEAT Ibiza

    Six ans après l’arrivée de la SEAT Ibiza sur le marché, Giorgetto Giugiaro donne vie à un concept baptisé SEAT Proto C. En 1990, cette création pose les traits des futures générations d’Ibiza.

    L’étroite collaboration entre SEAT et Giorgio Giugiaro a largement perduré après la commercialisation de l’Ibiza. À la fin des années 1980, Italdesign travaille sur les nouvelles silhouettes espagnoles avec les Proto T, TL (vers la Toledo) et C (vers l’Ibiza).

    Avec le Proto C, Giugiaro révolutionne l’idée de l’Ibiza. Les angles droits sont abandonnés pour de nouvelles courbes. Le concept est dévoilé au Salon de Paris 1990 autour d’une plateforme empruntée au groupe Volkswagen.

    Loin d’être mûr pour une commercialisation, le Proto C mesure 3,91 mètres de longueur et 1,67 mètre de largeur pour une hauteur de seulement 1,12 mètre. Hormis un toit particulièrement bas, les dimensions se révèlent être très proches de la seconde génération de SEAT Ibiza avec un mélange de gabarit de berline à hayon et de monospace.

    Signature d’Italdesign, le toit est translucide, avec des vitrages affleurant.

    On retrouve également les petites vitres descendantes, selon un principe que la Subaru Alcyone / SVX (elle aussi signée ItalDesign) s’apprête justement à mettre en production… Un principe qui permet d’alléger le mécanisme des vitrages, mais aussi d’optimiser le Cx. La SEAT Proto C annonce d’ailleurs une valeur de 0,25.

    À l’avant, l’ensemble bouclier / calandre est remplacé par un soft-nose. Un principe de conception que l’on retrouvera de façon fréquente quelques années plus tard. C’est en fait la partie arrière qui aura le plus d’écho, puisque l’on y retrouve en grande partie les lignes qui seront celles de la deuxième version de la Seat Ibiza en 1993.

  • Trente-trois ans de SEAT Ibiza

    Trente-trois ans de SEAT Ibiza

    Au début des années 1980, l’avenir de SEAT est loin d’être assuré. Le gouvernement espagnol et FIAT peinent à trouver une solution pour faire perdurer le constructeur catalan.

    Même si l’économie espagnole allait pouvoir profiter de son intégration progressive dans la Communauté Economique Européenne, FIAT n’était plus en position d’investir dans SEAT. Le groupe italien se désengageait en 1982 après trente années de collaboration, laissant d’autres constructeurs s’intéresser à la marque espagnole.

    L’Etat entame alors des discussions avec des groupes japonais, mais c’est Volkswagen qui signe – en premier – un accord industriel. À cette époque, SEAT reste une marque indépendante et son premier modèle post ère-FIAT est l’Ibiza.

    Deux ans plus tard, le Groupe Volkswagen s’empare de la majorité des parts de SEAT et, en 1990, SEAT devient la première marque étrangère à être totalement contrôlée par Volkswagen.

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    Cette toute première Ibiza est un concentré d’ingénierie européenne. Dans ses publicités, SEAT affirme « un style italien et des moteurs allemands ». Le dessin est l’œuvre d’Italdesign sous la direction de Giorgetto Giugiaro. La base technique est héritée de la SEAT Ronda, elle-même basée sur l’ancienne FIAT Ritmo. Les moteurs et les boîtes de vitesses sont issus d’une collaboration avec Porsche, sous licence « System Porsche » et l’industrialisation est préparée par Karmann.

    Le saviez-vous ?

    Au-delà de la collaboration technique entre SEAT et Porsche, l’Ibiza pouvait afficher « System Porsche » sur ses moteurs contre un droit de 7 marks par véhicule.

    À l’origine de la première génération de Volkswagen Golf, Giorgetto Giugiaro avait proposé un dessin pour sa remplaçante. Refusé par Volkswagen qui lui a préféré un projet interne, le coup de crayon a rebondi chez SEAT.

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    L’Ibiza ne se présente pas comme les traditionnelles citadines. Ses proportions la placent entre les reines des villes et les berlines compactes. En une décennie, SEAT en produit 1 308 461 exemplaires, de la version de base de 44 chevaux à une Sport Line de 110 chevaux sortie quelques mois avant les Jeux Olympiques de Barcelone.

    La seconde SEAT Ibiza est dévoilée au Salon de Barcelone 1993. SEAT est en pleine croissance. La marque inaugure sa nouvelle usine de Martorell et l’Ibiza est un porte-drapeau. Les lignes évoluent avec la disparition des angles trop prononcés. Sous le capot, Volkswagen place ses TDI 90, puis 110 chevaux, tandis que la 1.8i GTI 16V atteint 130 chevaux. L’Ibiza se cherche une image plus sportive et s’engage en Championnat du Monde des Rallyes, d’abord avec une kit-car atmosphérique basée sur l’Ibiza avant de tenter l’aventure WRC avec la Cordoba.

    Au fil des années, SEAT continue d’affirmer ses prétentions sportives avec la première Cupra de 150 chevaux, puis 156 chevaux avec un ESP (une première dans le segment), jusqu’à l’arrivée de la Cupra R développée par SEAT Sport de 180 chevaux, limitée à 200 exemplaires.

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    Les chiffres sont encore meilleurs que pour la précédente génération. En dix ans, 1 522 607 voitures sont livrées.

    Walter de Silva est en charge de la troisième Ibiza qui arrive en 2002. La progression continue, tant en termes de puissance, qu’en termes de réussite commerciale. Le plus gros des TDI affiche désormais 160 chevaux et des versions sportives FR de 150 chevaux et Cupra de 180 chevaux continuent d’ancrer l’Ibiza dans un environnement proche de la compétition. En sept ans, 1 221 200 exemplaires sont vendus.

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    En 2008, SEAT commence à ajuster son offre. Pour répondre aux nouveaux besoins des clients, l’Ibiza ne cherche plus seulement à viser l’amateur de chevaux. Les lignes plus géométriques sont signées Luc Donckerwolke et de nouvelles technologies apparaissent. En plus des TDI, l’Ibiza est désormais équipée d’une boîte automatique DSG et une version Ecomotive passe l’homologation de consommation à 3,7 litres / 100 km en cycle mixte.

    Un break ST fait son apparition en 2010, tandis que les Cupra continuent d’ajouter une touche de sportivité à la gamme avec la SC de 180 chevaux équipée de phares à LED.

    Cette version disparaîtra des concessions dans quelques mois pour laisser la place à une cinquième SEAT Ibiza… Jusqu’à maintenant, 5,4 millions d’Ibiza ont été produites, dont 80 % ont été exportés.

  • Dirt4 débarque le 9 juin

    Dirt4 débarque le 9 juin

    La longue série des Colin McRae Rally / Dirt va voir un nouvel épisode arriver. Après Colin McRae Rally, Colin McRae Rally 2.0, Colin McRae Rally 3, Colin McRae Rally 04, Colin McRae Rally 2005 puis les Dirt, Dirt 2, Dirt 3, Dirt: Showdown et Dirt Rally, c’est au tour de Dirt4 de voir le jour.

    L’annonce a été faite jeudi 26 pour une sortie est prévue le 9 juin 2017 sur PlayStation 4, Xbox One et PC. Sur ce nouvel opus, on retrouvera l’habituel mode carrière (auquel je ne joue jamais), du rallye, avec 5 pays disponibles : Australie, Espagne, Michigan, Suède et Pays de Galles ainsi qu’une cinquantaine de voitures de rallyes, dont Ford Fiesta R5, Mitsubishi Lancer Evolution VI, Subaru WRX STI NR4 ou encore Audi Sport quattro S1 E2. Cinq rallyes, on avouera que ça fait light… Exit l’Allemagne, le Monte-Carlo, qui étaient des petits bijoux de réalisme du précédent Dirt.

    Belle évolution tout de même avec Your Stage. Dans ce mode, le joueur paramètre quelques réglages, choisit ses options et le jeu lui créé une spéciale sur mesure. Il faudra attendre de voir cela en direct tout de même, car je reste un peu sur la défensive. J’aurais aimé qu’on puisse créer nous même une spéciale. On aurait pu créer le tracé de notre trajet maison > boulot, histoire de pouvoir au moins une fois passer la 6 entre le bus et la camionnette UPS en double file.

    Outre le rallye, Dirt4 possède la licence officielle du FIA RX. De nombreux tracés et voitures de rallycross seront donc présents dans ce nouvel épisode de la série mythique des Colin McRae Rally / Dirt. Espérons tout de même que ce circus ne prenne pas trop de place sur le rallye, le vrai.

    On en reparle.

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  • Il redémarre un VW Combi après 40 ans d’abandon : RESURRECTION

    Il redémarre un VW Combi après 40 ans d’abandon : RESURRECTION

    Lorsqu’un passionné découvre puis redémarre un VW Combi de 1955 dans les Alpes françaises, au coeur d’une épaisse forêt, cela donne une belle histoire comme on aime. A travers un film long de quasiment un quart d’heure, il nous conte et raconte l’histoire de ce sauvetage hors du commun, entre grâce, passion automobile, beaux paysages et défi humain. A voir et à revoir.

  • Citation : Johnny Hallyday

    Citation : Johnny Hallyday

    Comme beaucoup d’autres stars avant lui, Johnny Hallyday cède à la tentation de participer au Rallye Paris-Dakar. Le 28 décembre 2001, il prend le départ d’Arras au volant d’un Nissan, avec l’expérimenté René Metge à ses côtés.

    Suivi par une meute de journaliste sur tout le parcours, les faits et gestes du chanteur sont enregistrés. À Tichit, au sud de la Mauritanie, il lance une phrase pleine de bon sens qui va marquer l’histoire de l’épreuve et amuser la France entière, collée devant sa télévision pendant que d’autres affrontent leur traversée du désert…

    « Tu te rends compte : si on n’avait pas perdu une heure et quart, on serait là depuis une heure et quart. »

    Pour son unique participation au Dakar, Johnny Hallyday atteint l’arrivée à la 49e place du classement général, avec 52 classés.

  • Aston Martin refait l’histoire

    Aston Martin refait l’histoire

    Pour le second semestre de l’année 2017, Aston Martin va produire une série de 25 exemplaires de sa célébrissime DB4 G.T. à Newport Pagnell.

    Lancée en 1959, l’année de l’unique victoire d’Aston Martin aux 24 Heures du Mans, la DB4 G.T. est une évolution de la DB4. Plus courte, plus légère et plus effilée, avec un moteur 6 cylindres en ligne 3,7 litres, la DB4 G.T. entrait dans la catégorie des Supercars de l’époque.

    75 DB4 G.T. ont été produites entre 1959 et 1963 et seulement huit étaient des modèles Lightweight. La plupart existe encore et chaque exemplaire est évalué à plus de 3 millions d’euros.

    Les 25 nouvelles DB4 G.T. seront assemblés selon les plans des huit Lightweight par l’équipe d’Aston Martin Works selon un mélange de techniques ancestrales et de solutions modernes. Cette série 2017 bénéficiera d’un travail particulier sur les performances moteur, le comportement, le freinage et la sécurité.

    Pour souligner l’authenticité de ce modèle réédité, les numéros de série vont suivre la dernière DB4 G.T. originale – châssis 0202R.

    Cette renaissance va également permettre aux installations de Newport Pagnell de redevenir une usine d’assemblage. Aucune voiture n’y avait été produite depuis la dernière Vanquish S de 2007.

    Sous le capot, le moteur six cylindres en ligne dessiné par Tadek Marek fait passer 340 chevaux sur les roues arrière à travers une transmission manuelle à quatre rapports et un différentiel à glissement limité. Comme sur le modèle d’origine, le court empattement fait de la DB4 G.T. une stricte deux places au cœur d’un châssis tubulaire recouvert de minces panneaux d’aluminium.

    Si ces 25 modèles ne seront pas homologués pour la route, Aston Martin développe un programme de deux saisons sur circuit. À la manière des « tracks only » proposés par d’autres constructeurs (et Aston Martin pour la Vulcan), les clients pourront rouler dans un environnement spécialement créé avec une équipe technique et des pilotes instructeurs, dont Darren Turner, pilote Aston Martin en GT.

    Le tarif de ces nouvelles Aston Martin DB4 G.T. devrait dépasser 1,5 million d’euros.

  • Une nouvelle Art Car BMW à l’occasion des Rolex 24 Hours of Daytona

    Une nouvelle Art Car BMW à l’occasion des Rolex 24 Hours of Daytona

    BMW présentait hier sa nouvelle Art Car, 19ème du constructeur allemand, qui disputera les prochaines Rolex 24 Hours of Daytona

    Je vous l’accorde, les 24 heures de Daytona se dérouleront les 28 et 29 janvier prochains mais c’est bien hier que la 19ème BMW Art Car a été révélée. Comme annoncé en juin dernier, c’est l’Américain John Baldessari qui a réalisé la livrée de la belle, une des BMW M6 GTLM engagées sur la classique américaine. Enfin, « la belle », difficile de dire cela. Il semblerait que là, nous avons atteint le paroxysme de l’art contemporain, la définition parfaite de « prendre des ronds et n’en foutre pas une ». Une voiture blanche avec trois pois de couleurs et un aileron bleu, on ne peut pas dire que ce soit de l’art, même si certains d’entre vous tenteront de me convaincre du contraire : « tu comprends, c’est un artiste. » Oui c’est celaaaa oui. Comme Dominique Besnehard lançait à Chantal Lauby dans le film La cité de la peur : « je n’écrirai rien sur ce film c’est une merde », je me dis que j’aurais du en faire autant ici.

    Les autres Art Car valent véritablement le coup, elles.

    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
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    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
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    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
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    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Baldessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Balessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    John Balessari BMW M6 GTLM Art Car #19.
    BMW art car John Baldessari Daytona 2017
    John Baldessari, créateur de la 19ème BMW Art Car
    BMW art car John Baldessari Daytona 2017
    John Baldessari, créateur de la 19ème BMW Art Car