Catégorie : Divers

  • BMW 550i Touring E61 et autres plaisirs discrets : quand l’underdog a plus de saveur que la star

    BMW 550i Touring E61 et autres plaisirs discrets : quand l’underdog a plus de saveur que la star

    Depuis son lancement dans les années 1980, la BMW M5 s’est imposée comme la référence ultime de la Série 5. Puissance démesurée, comportement affûté, aura mythique : elle a toujours incarné le sommet de la gamme. Mais avec le temps, le statut de Q-car — cette élégance discrète qui cachait une mécanique volcanique — s’est dilué. Les dernières générations sont devenues si extrêmes qu’elles en perdent une partie de leur charme originel. Plus lourdes, plus complexes, difficilement exploitables au quotidien… et désormais proposées à plus de 110 000 €. De quoi redonner une vraie légitimité aux versions dites « inférieures », bien plus vivables.

    La surprise d’un parking : une 550i au lieu d’une banale 520d

    C’est en apercevant, dans un simple parking, une Série 5 Touring E61 chaussée de jantes imposantes qu’un doute est né. De loin, on pense à une sobre 520d. Mais en s’approchant, la découverte est autrement plus enthousiasmante : il s’agit d’une 550i. Un modèle pour lequel beaucoup ont toujours eu un faible. Pourquoi ? Parce qu’il concentre presque toutes les qualités d’une M5… sans ses excès.

    Quand la M5 se montrait trop excessive

    Au milieu des années 2000, la M5 E60 faisait figure de bête sauvage. Un V10 5,0 litres hurlant à 8250 tr/min, une boîte robotisée SMG mal-aimée et une soif insatiable pour le sans-plomb 98. Lors d’un essai presse en 2005, l’auto n’avait tenu qu’une centaine de kilomètres sur un circuit routier avant qu’une équipe d’assistance ne soit contrainte de refaire le plein, son réservoir étant identique à celui d’une 520d. Puissante, démoniaque, mais peu adaptée au quotidien.

    Face à elle, la 550i jouait la carte du V8 atmosphérique de 4,8 litres. Moins extrême, plus souple, bien plus endurante sur route, et disponible avec une boîte automatique classique ou même une manuelle. Avec ses 361 chevaux, elle offrait des performances largement suffisantes, un confort accru et, surtout, une discrétion bienvenue face aux regards indiscrets… ou à l’attention des forces de l’ordre.

    L’attrait des secondes lignes

    La 550i Touring E61 n’est pas un cas isolé. Dans l’histoire automobile, les modèles juste en dessous du sommet ont souvent un charme particulier.

    • Volkswagen Golf GTI vs Golf R : la GTI se montre plus légère, plus joueuse, moins coûteuse à entretenir.
    • Peugeot 205 XS vs 205 GTi : la XS, avec son 1.4 vif et sa boîte courte, exige de conserver l’élan, offrant une expérience de pilotage plus pure qu’une GTi.
    • Ford Fiesta XR2i vs RS Turbo : quand la XR2i reste homogène et agréable, la RS Turbo sombre dans un torque steer caricatural.
    • Audi R8 V8 vs V10 : plus équilibrée et plus agile, la version huit cylindres séduit les puristes davantage que sa déclinaison V10 trop lourde.
    • BMW M340i vs M3 : aujourd’hui, la M340i s’impose comme l’héritière spirituelle de la fameuse 335d reprogrammée, en conjuguant performances de haut niveau et polyvalence.

    Dans chaque cas, les versions « en dessous » parviennent à séduire par leur authenticité, leur facilité d’usage et leur rapport plaisir/quotidien imbattable.

    La rareté comme ultime atout

    Il existe aussi un paradoxe de la collection : la star survit souvent mieux que son ombre.

    L’éloge de l’underdog

    Les versions phares brillent par leurs chiffres de puissance, leurs performances brutes et leur statut. Mais elles s’avèrent souvent trop chères, trop lourdes, trop compliquées, trop tape-à-l’œil. Les variantes juste en dessous, elles, combinent équilibre, discrétion et authenticité. Elles incarnent ce que l’automobile peut avoir de plus attachant : de la performance suffisante, du plaisir de conduite réel, et ce petit supplément d’âme qui naît quand on choisit l’underdog.

    Alors oui, toutes nos félicitations à la BMW 550i Touring E61, et à toutes ces « secondes meilleures » qui, au quotidien, se révèlent parfois bien plus désirables que les reines de la gamme.

  • Kei Cars à l’italienne : Walter de Silva propose une révolution urbaine

    Kei Cars à l’italienne : Walter de Silva propose une révolution urbaine

    Depuis des décennies, les kei cars dominent le paysage urbain japonais avec leur format ultra-compact, leur faible coût et leurs avantages fiscaux. Ces véhicules, conçus pour maximiser l’espace intérieur tout en restant sous 3,50 mètres de longueur, séduisent grâce à leur praticité. Aujourd’hui, une telle approche pourrait inspirer l’Europe, où la mobilité urbaine nécessite des solutions plus durables et adaptées aux contraintes des villes modernes.

    Un concept éprouvé au Japon

    Nées dans les années 1950, les kei cars représentent encore aujourd’hui environ un tiers du marché automobile japonais, soit près de 1,74 million de ventes annuelles. Leur succès repose sur des réglementations favorables : dimensions réduites, moteurs limités à 660 cm³, et des incitations fiscales. Ces véhicules, souvent exonérés d’obligations comme la possession d’un garage, répondent parfaitement aux besoins des métropoles encombrées.

    Une opportunité pour l’Europe

    Walter De Silva, figure emblématique du design automobile, milite pour l’introduction d’un concept similaire adapté à l’Europe. Dans un contexte où les SUV lourds et encombrants dominent, l’idée d’un véhicule compact, électrifié et économiquement accessible pourrait marquer une rupture. Selon le designer, il s’agit de repenser l’automobile pour qu’elle réponde aux défis des villes européennes : réduction de la pollution, diminution de l’encombrement, et optimisation des coûts.

    Un cadre réglementaire en gestation

    En Italie, un document émis par le ministère de l’Économie et des Finances envisage la création d’une nouvelle catégorie de véhicules urbains. Ces modèles, similaires aux kei cars, combineraient légèreté, modularité et efficience énergétique. Ils seraient dotés de petites batteries, d’une capacité d’environ 20 kWh, suffisantes pour des trajets urbains et suburbains. Une telle approche permettrait de réduire les émissions sur l’ensemble du cycle de vie, tout en diminuant les coûts de production et d’achat.

    Les défis d’une transition

    Pour réussir, ce projet devra relever plusieurs défis. L’un des enjeux majeurs concerne la sécurité, un critère indispensable pour que ces véhicules puissent rivaliser avec les voitures traditionnelles. De Silva souligne que des avancées comme les systèmes ADAS et des structures légères mais résistantes sont essentielles. Par ailleurs, la modularité serait un atout majeur : un châssis adaptable permettrait d’ajouter des batteries supplémentaires pour élargir le champ d’utilisation au-delà des villes.

    Une révolution nécessaire

    Au-delà de l’innovation technique, l’introduction de ces véhicules pourrait relancer un marché automobile européen en stagnation. Les kei cars européennes, accessibles et attractives, pourraient séduire une clientèle diverse, allant des jeunes urbains aux seniors. Comme le souligne De Silva, « pour changer les choses, il faudra réécrire les règles du jeu ».

    En combinant réglementation, soutien public et design intelligent, l’Europe a une opportunité unique de réinventer la mobilité urbaine. Les kei cars italiennes pourraient non seulement redéfinir nos rues, mais aussi inspirer une transition globale vers des véhicules plus durables et adaptés à notre époque.

    Qui est Walter de Silva ?

    Walter de Silva est une figure emblématique du design automobile, ayant marqué l’industrie par son style innovant et son approche visionnaire. Né en Italie en 1951, il débute sa carrière chez Fiat avant de rejoindre Alfa Romeo, où il façonne des modèles emblématiques comme les Alfa 156 et 147, célébrés pour leur élégance et leur caractère sportif. En 1999, il est recruté par le groupe Volkswagen, où il supervise le design des marques Audi, SEAT et Volkswagen. Sous sa direction, Audi connaît un renouveau stylistique grâce à des créations comme l’Audi A5 et la R8, qui incarnent un équilibre parfait entre sophistication et performance. De Silva est également à l’origine de la calandre « Single Frame » d’Audi, devenue une signature incontournable. En tant que directeur du design pour l’ensemble du groupe Volkswagen, il a influencé des véhicules phares comme la Golf VII et la Lamborghini Miura concept. Son approche mêle rigueur fonctionnelle et sensibilité artistique, enracinée dans la tradition italienne. Aujourd’hui, Walter de Silva continue de partager sa vision à travers des projets indépendants, promouvant des idées innovantes comme les véhicules urbains compacts pour répondre aux défis de la mobilité contemporaine.

  • Équipez votre camping-car pour des aventures inoubliables

    Équipez votre camping-car pour des aventures inoubliables

    Le camping-car incarne la liberté, l’aventure et l’exploration. Pour que chaque voyage soit aussi confortable que possible, il est essentiel de bien équiper votre camping-car avec les accessoires adaptés. Que vous soyez un novice ou un vétéran de la route, cet article vous guidera à travers les accessoires indispensables pour optimiser votre expérience de voyage en camping-car.

    Le confort en route

    L’un des aspects les plus importants du voyage en camping-car est le confort, surtout en période estivale. Il est donc crucial de maintenir une température agréable à l’intérieur du véhicule. Un climatiseur camping car est un investissement précieux pour éviter la chaleur accablante et garantir des nuits de sommeil réparatrices. Ce type d’équipement est conçu pour s’adapter aux spécificités des camping-cars, offrant une installation facile et une efficacité énergétique optimisée.

    Cuisine et alimentation

    Voyager en camping-car signifie souvent cuisiner ses propres repas. Pour cela, il est essentiel d’avoir une cuisine bien équipée. Voici quelques accessoires indispensables :

    1. Réchaud Portable : un réchaud à gaz portable est parfait pour préparer des repas en extérieur. Optez pour un modèle compact et facile à ranger.
    2. Ustensiles de Cuisine : assurez-vous d’avoir une sélection d’ustensiles de cuisine durables, y compris des casseroles, des poêles et des couteaux.
    3. Réfrigérateur Portable : gardez vos aliments et boissons au frais avec un réfrigérateur portable, particulièrement utile pour les longs trajets.

    Sécurité et maintenance

    La sécurité doit toujours être une priorité lorsque vous êtes sur la route. Voici quelques accessoires de sécurité essentiels :

    1. Extincteur : un petit extincteur peut faire la différence en cas d’incendie.
    2. Trousse de Premiers Secours : une trousse bien équipée est indispensable pour traiter les petites blessures et les urgences médicales.
    3. Outils de Base : un ensemble d’outils de base, comprenant des clés, des tournevis et un marteau, est essentiel pour effectuer des réparations mineures.

    Divertissement et technologie

    Pour rendre les longs trajets plus agréables, pensez à équiper votre camping-car de gadgets technologiques et de divertissement :

    1. Télévision et antenne satellite : profitez de vos émissions préférées même en déplacement.
    2. Chargeurs solaires : gardez vos appareils électroniques chargés grâce à des panneaux solaires portables.
    3. Système audio : un bon système audio peut transformer votre camping-car en salle de concert roulante.

    Organisation et rangement

    L’espace étant limité dans un camping-car, une organisation efficace est cruciale. Voici quelques astuces pour maximiser votre espace de rangement :

    1. Boîtes de rangement : utilisez des boîtes de rangement empilables pour organiser vos affaires.
    2. Poches de rangement suspendues : ces poches peuvent être accrochées aux portes et aux murs pour un accès facile à vos objets essentiels.
    3. Crochets et étagères : installez des crochets et des étagères pour accrocher des vêtements, des serviettes et d’autres articles.

    Accessoires extérieurs

    Pour profiter pleinement de votre environnement extérieur, pensez à ces accessoires :

    1. Auvent rétractable : un auvent vous offre un espace ombragé et protégé de la pluie pour profiter de l’extérieur.
    2. Mobilier de camping : des chaises pliantes, une table portable et un tapis de sol sont parfaits pour créer un espace de vie extérieur confortable.
    3. Barbecue portable : pour des repas conviviaux en plein air, un barbecue portable est un must-have.

    Voyager en camping-car peut être une expérience enrichissante et confortable, à condition d’être bien équipé. En investissant dans les bons accessoires, comme un climatiseur pour camping-car, vous pouvez transformer votre véhicule en une maison sur roues, prête à vous emmener dans des aventures mémorables. Pour plus d’informations sur les accessoires de camping-car, consultez des ressources fiables et spécialisées, et n’hésitez pas à personnaliser votre équipement en fonction de vos besoins spécifiques et de votre style de voyage.

  • Une voiture peut-elle être végane ?

    Une voiture peut-elle être végane ?

    Cherchant davantage à réduire les coûts qu’autre chose, certains constructeurs commencent à multiplier les communications autour de pièces véganes dans leur modèle, en lieu et place du cuir historique de provenance animale. Encore du bullshit ?

    Le véganisme est en plein essor. La vie à base de plantes est considérée comme une manière plus durable de prendre soin de la planète. Point positif : l’origine des matériaux utilisés dans les produits de tous les jours suscite plus d’intérêt que jamais.

    Mais comment l’automobile gère-t-elle cette question. Premier élément réglementaire : aucun animal ne peut être tué pour sa peau, c’est la loi. Le cuir naturel présent dans les voitures provient d’élevages de viande. Et pour résumer simplement, plus le cuir est beau et fait de larges pièces, plus on peut penser que la bête a bien vécu, en extérieur et avec un minimum de contraintes. Mais pour les véganes, même ce recyclage sous forme d’upcycling reste intolérable.

    Une voiture peut-elle être végane ?

    Non, répond The Vegan Society. Cet organisme s’est intéressé au sujet et la conclusion est sans appel. Au-delà des matières utilisées dans l’habitacle, l’acier du châssis peut recevoir de la graisse animale lors de la lubrification et les pneumatiques sont vulcanisés avec d’autres formes de graisses.

    Aux États-Unis, PETA a établi une liste de modèles aux intérieurs véganes, c’est-à-dire sans cuir sur les sièges, le volant ou le levier de commande de boîte de vitesses. Sans surprise, cette liste répertorie les modèles les plus bas de gamme… Mis à part la Polestar 2.

    Mieux vaut du vrai cuir que des matières transformées (sauf pour les véganes)

    Un vrai végane évitera le cuir naturel. Pourtant, les alternatives sont souvent une ineptie environnementale. One 4 Leather rappelle : « Aucun animal n’est tué pour votre siège d’auto. Ce cuir est un sous-produit de la viande bovine et de l’élevage laitier, et tant qu’un pourcentage massif de la population mondiale mange de la viande, il y aura toujours des déchets qui pourront être mis à profit. »

    Ce cuir, aussi beau soit-il, est d’abord un déchet qu’il convient d’utiliser au mieux au lieu de produire une matière supplémentaire. Car, dans ce cas, le « cuir » vegan (qui n’est pas du cuir) est très souvent fabriqué à partir de matières plastiques… Donc issu du raffinage du pétrole.

     

  • Cinq montres à tachymètre

    Cinq montres à tachymètre

    Tag Heuer Carrera

    Créée en 1963, la collection Carrera fut la première chez Heuer à disposer de son propre nom de marque. La Carrera représentait une avancée en termes de design. Inspiré par les pilotes et les fans de sports automobiles, Jack Heuer avait besoin d’un nom qui évoque parfaitement l’esprit de la course automobile. Quoi de mieux alors que le nom Carrera, emprunté à la légendaire Carrera Panamericana ?

    Jack Heuer estimait que le nom Carrera, facile à prononcer et identifiable partout dans le monde, illustrait bien la rupture vis-à-vis des chronographes existants. La première Carrera 12 était animée par le calibre Valjoux 72, aussi installé dans la Rolex Daytona. Le vif succès remporté par la Heuer Carrera ouvrit la voie à d’autres succès.

    Le design du chronographe a évolué au fil des ans tout en restant fidèle à l’esprit de la collection. Avec le tachymètre, dans la série des « Carrera Sport », mon choix 2021 se porte sur la CBN2A1B.BA0643 : cadran noir et compteurs noirs sur un calibre Manufacture Heuer Calibre 02.

    Tarif : 5 450 euros

    Omega Speedmaster

    Pour tous, c’est la Moonwatch. Et pourtant, lors de son développement, l’Omega Speedmaster était pensée pour les pilotes de course !

    Le surnom « Moonwatch » fut attribué à la Speedmaster lorsqu’en 1962 la NASA l’a soumise à une batterie de tests. Omega est sorti vainqueur d’une finale face à une Bulova, une Longines-Wittnauer, une Rolex et une Waltham.

    Si le design a évolué au fil de génération, il est récemment revenu à un dessin très proche des années 1960. Mon choix se porte sur la Moonwatch Professionnal Co-Axial Master Chronometer Chronograph 42 mm 310.30.42.50.01.002.

    Tarif : 7 000 euros (tarif de base à 4 700 euros).

    Rolex Cosmograph Daytona

    C’est le plus célèbre, le plus emblématique. Commercialisé depuis 1963, il aurait dû s’appeler « Le Mans »… Mais pour mieux pénétrer le marché américain, Rolex a choisi Daytona. Et, à partir de 1964, tous les vainqueurs des 24 Heures de Daytona l’ont reçu en dotation.

    La Rolex Daytona est sans nul doute la montre sportive de collection par excellence et le chronographe contemporain le plus populaire au monde. Les Daytona vintage ont d’ailleurs un charme qui les rend uniques et des tarifs qui battent des records lors de chaque transaction.
    La Daytona reste un chronographe qui séduit au-delà du monde du sport automobile. Problème : la production est très, très largement inférieure à la demande. Il est impossible de s’en procurer un exemplaire neuf et les prix de l’occasion sont indécents.

    Mon choix 2021 est une Cosmograph Daytona Or Gris 116519LN.

    Tarif : 37 100 euros (tarif de base à 12 400 euros).

    Zenith El Primero

    En 1969, Zenith écrit une page d’histoire de l’horlogerie. La marque suisse présente le tout premier chronographe automatique au monde, baptisé El Primero.

    Le calibre référencé 3019 PHC est un véritable chef-d’œuvre qui pose les bases de la famille de mouvements El Primero. Les composants pour la fonction chronographe sont directement intégrés au calibre. Résultat : le mouvement est plus fin que la plupart des calibres chronographes à remontage manuel de l’époque avec une fréquence d’oscillation de 36 000 alternances par heure.

    Moins enclin au marketing, Zenith a perdu la main face aux mastodontes Rolex, Tag ou Omega, mais l’El Primero revient à la mode auprès d’un public de connaisseurs.

    Mon choix 2021 : Chronomaster El Primero Open 03.2040.4061/69.M2040

    Tarif : 9 200 euros (tarif de base à 7 800 euros)

    Chopard Mille Miglia

    Sans atteindre la notoriété d’une Daytona, la Mille Miglia est aussi une montre qui est devenue historique dans le monde du sport automobile grâce au partenariat de la maison Chopard avec les organisateurs de l’épreuve italienne voulu par Karl-Friedrich Scheufele.

    Mouvement certifié par le COSC sur base de Valjoux, design vintage modernisé, la Mille Miglia reprend tous les codes.

    Mon choix 2021 : Mille Miglia Classic Chronograph 168589-3003

    Tarif : 5 500 euros (tarif de base 4 930 euros)

  • Dix pages de sport auto dans Car Life

    Dix pages de sport auto dans Car Life

    Le vingtième numéro de Car Life est dans les kiosques avec une Porsche 911 GT2 RS en couverture.

    L’édito de Paul Belmondo sur la F1 ouvre cet ultime numéro de l’année 2017. Au rayon des essais, le menu est riche avec la Porsche 911 GT2 RS, le Range Rover Velar, la Maserati GranCabrio, la Ferrari GTC4Lusso et la Kia Stinger.

    A voir également, dix road-trips pour l’hiver et un dossier très amusant sur cinquante modèles de légende sous le titre « Les pires voitures de l’histoire ».

    Derrière ma signature, vous retrouverez deux sujets centrés sur le sport automobile : un focus sur le phénomène GT à l’occasion des vingt-cinq ans de SRO et une visite des ateliers de Hyundai Motorsport en Allemagne.

  • Exclusive Drive revient du 23 au 25 mars

    Exclusive Drive revient du 23 au 25 mars

    Exclusive Drive revient sur le circuit du Mans pour la sixième édition, les 23, 24 et 25 mars 2018. Véritable centre d’essais géant, l’évènement a reçu la visite de près de 10 000 personnes l’an passé et 950 gentlemen drivers. Plus de 7 000 essais sur piste ou sur route, et des baptêmes ont été organisés.

    Avec ses 35 000 m2 d’exposition, Exclusive Drive est un show permanent en piste avec des voitures modernes, classiques ou de compétition de 9h00 à 21h00, sur 3 jours. Dès aujourd’hui les passionnés, gentlemen ou simples spectateurs peuvent réserver leurs places ou leurs activités en ligne sur www.exclusivedrive.fr !

    Plateforme marketing & presse pour les marques, centre d’essais super size pour les inconditionnels de l’automobile, ou encore pur plaisir de la conduite sportive pour les propriétaires de GT, Exclusive Drive permet d’essayer de belles voitures, dans de bonnes conditions de sécurité, et de tester leurs limites. Mais c’est aussi une exposition de plus de 35 000 m2 avec un accès libre à la Pit Lane, et des activités gratuites pour le grand public.

    40 exposants dont 15 constructeurs proposaient l’an passé les derniers modèles de leurs gammes à l’essai. Plus de 70 modèles étaient présentés sur Exclusive Drive par les différentes marques. De Alfa Romeo, à Porsche en passant par Abarth, Aston Martin, BMW, Caterham, Ford US (American Car City), Jaguar, Lamera Cup, Land Rover, Legends Cars Cup, Lexus, Mini France, Mit Jet 1300, Tesla…

    LES NOUVEAUTES 2018

    Cette année l’accent est mis sur le « sport chic » avec le concours d’élégance ! Organisé le dimanche de 12h à 14h sur la grille de départ, il est ouvert aux propriétaires de GT & anciennes selon une liste d’éligibilité. L’inscription, se fait à l’avance en ligne à partir de 80 €, sur le site de l’évènement. Sur place, un Jury de personnalités et de professionnels attribuera cinq prix récompensés par des lots de qualité, dont un week-end au Byblos de St Tropez, et une soirée au Lido …

    Les amateurs de Drift seront gâtés pour cette sixième édition ! Exclusive Drive propose aux invités & grand public, une découverte du drift pour maitriser la glisse. Enfin, pour ses deux soirées, Exclusive Drive sort le grand jeu en proposant un dîner gourmand et festif, orchestré par un chef étoilé le vendredi et par le chef du Byblos de St Tropez le samedi.

    LES ACTIVITES

    – Essais constructeurs : les constructeurs-exposants proposent à l’essai pour leurs invités & aux personnes intéressées les nouveaux modèles de leurs marques sur la piste du Bugatti ou sur la route. L’inscription se fait sur place, directement auprès des constructeurs, dans la limite des places disponibles.

    – Roulages Gentlemen : les propriétaires de GT ou de classiques peuvent prendre la piste avec leurs propres véhicules sur le circuit Bugatti en choisissant des sessions de roulage de 20 minutes du vendredi au dimanche de 8H à 21H, suivant une liste de véhicules éligibles, à partir de 155€.

    – Découverte de la compétition : pour ceux qui souhaitent découvrir le pilotage compétition, ou tout simplement se faire plaisir avec des émotions fortes … des sessions de roulage au volant de voitures de compétition sont disponibles à partir de 115€.

    – Courses de Karting : les spectateurs, les gentlemen, ou encore les invités des constructeurs peuvent s’inscrire et participer à des courses de karting sur le tracé International Alain Prost. Horaires, infos & réservations en ligne / Sessions à partir de 7 ans.

    – Baptêmes de piste : pour se glisser en passager dans le baquet d’un prototype LM Pescarolo sur le tracé du Bugatti avec aux commandes un pilote professionnel…

    – Compétition de Golf : néophytes ou amateurs pourront participer au tournoi de Golf Exclusive Drive sur le parcours du Golf des 24H du Mans.

    – Animations gratuites : avec le ticket d’entrée de 20€ les spectateurs pourront s’initier à la pétanque chic, au Pit Stop Challenge, au Crazy Kart, au 4X4 (Land Rover Expérience), ou encore au Drift, ou tout simplement visiter l’exposition de voitures mythiques & le village exposants…

     

  • Quels sont les meilleurs pneus hiver ?

    Quels sont les meilleurs pneus hiver ?

    En Suisse, comme en France, il n’y a aucune obligation de rouler avec des pneus « hiver » durant la période la plus froide de l’année. Pourtant, une jurisprudence affirme qu’un défaut de maîtrise du véhicule peut être la conséquence d’absence de pneus hiver…

    Le TCS, plus grand club de mobilité en Suisse, a réalisé un test des pneus hiver. 35 modèles aux dimensions 165/70 R14 81T et 205/55 R16 91H ont été testés.

    Dix-huit critères d’essais proches de la pratique ont permis d’établir un classement. Le comportement routier de chaque pneu a été analysé sur différentes pistes comprenant des chaussées sèches, mouillées, enneigées et verglacées. Le bruit, la consommation de carburant et l’usure figuraient également parmi les critères d’essai.

    Trente des trente-cinq pneus soumis à cette procédure de test détaillée et exigeante ont obtenu la mention « recommandé » ou mieux. Seize pneus aux dimensions 165/70 R14 81T ont été pris en considération. Trois modèles ont décroché la mention « très recommandé » (Goodyear UltraGrip 9, Michelin Alpin A4 et Dunlop SP Winter Response 2) et neuf autres la note « recommandé » en raison de légères faiblesses ponctuelles.

    Les dimensions 205/55 R16 91H était représentées par 19 pneus dans ce test. Deux produits ont été qualifiés de « très recommandés » (Continental ContiWinterContact TS850 et Yokohama W drive V905) et 16 ont reçu la mention « recommandé ».

    Pour calculer vos distances de freinage selon les conditions de route, n’hésitez pas à tester le calculateur proposé par vendezvotrevoiture.fr.

    Conduire en hiver
  • Les nouveautés automobiles attendues en 2016    

    Les nouveautés automobiles attendues en 2016    

    À l’approche de la nouvelle année, les géants automobiles se préparent à présenter leurs nouvelles innovations, lors d’événements internationaux. Au tout début de l’année 2016, du 11 au 24 janvier, aura lieu le plus grand salon automobile aux États-Unis, le North American International Auto Show (NAIAS), à Détroit. La marque Acura y dévoilera son concept Precision. Il s’agit d’un design particulièrement futuriste à l’allure dynamique, avec une forme d’ailes sur les côtés et un toit fuyant très allongé vers l’arrière.

    De son côté, BMW prévoit de sortir spécialement pour l’occasion, la version sportive de la BMW X4, la M40i. Elle est composée d’un kit M aérodynamique et de jantes de 19 pouces, ainsi que d’un six-cylindres en ligne 3.0, qui a été poussé à 360 chevaux. Elle est capable de passer de 0 à 100 km/h en 4,9 secondes.

    En mars prochain, Mercedes commercialisera son nouveau coupé-cabriolet, le SLC. Il s’agit d’un restylage du SLK, actuellement disponible. Le véhicule présente des évolutions esthétiques à ses extrémités. En entrée de gamme, le SLC 180 présente un quatre-cylindres en ligne 1.6, d’une puissance de 146 chevaux.

    Niveau haute catégorie, Hyundai s’apprête à sortir Genesis, sa marque de luxe, avec son tout premier modèle : la Genesis G90. Cette grande berline de 5,20 m de long affiche un standard de qualité supérieur, avec un habitable constitué de cuir nappa et de boiseries.

    Et la France dans tout ça ? Citroën sort du lot avec sa concept-car E-Mehari, véhicule 100 % électrique à toit ouvrant et dont l’habitacle est complètement waterproof. Elle est en mesure de parcourir jusqu’à 200 km avec une seule charge de batterie.

    Vous êtes à l’affût des nouvelles technologies et souhaitez troquer votre ancienne auto contre l’un des modèles prochainement en vente sur le marché ? Les sites vendezvotrevoiture.fr, ou encore vendresavoiture.fr, proposent des service de rachat de voiture d’occasion gratuits, rapides et à prix avantageux. Organisez sans tarder la reprise de votre auto, vous pourrez ainsi disposez d’une base solide pour acquérir le bolide qui vous fait de l’œil !

  • L’unique panneau STOP de Paris

    L’unique panneau STOP de Paris

    Parfois, certaines choses nous surprennent réellement. Celle ci nous a parue tellement extraordinaire que nous avons voulu la partager avec vous. Saviez-vous que dans Paris, il n’y avait qu’un seul panneau Stop ? Et oui. Aussi fou que cela puisse paraitre, notre chère capitale ne dénombre qu’un panneau Stop.

    Où trouver ce stop ?

    L’unique panneau Stop de Paris se trouve dans la XVIème arrondissement, sur le quai Saint-Exupéry. Il sécurise la sortie d’une entreprise de matériaux de construction. Autant dire que peu de Parisiens l’empruntent quotidiennement.

    Un panneau Stop et quoi d’autres ?

    A Paris, c’est la priorité à droite qui préfigure, ou le classique feu tricolore. Mais Paris a aussi une exception. Sur le rond point des Champs-Elysées, la priorité n’est pas la même que sur les autres ronds-points français. Là où les voitures arrivant du rond-point ont la priorité habituellement sur les ronds-points, sur celui qui est surmonté de l’Arc de Triomphe, ce sont les rues arrivant sur le rond-point qui ont la priorité. Et oui ! Un petit truc bon à savoir ! ;-)

     

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  • Nouveauté : Seat 20V20

    Nouveauté : Seat 20V20

    Vous vous posiez des questions au sujet du positionnement de Seat au cœur de la nébuleuse Groupe Volkswagen ? Espérons que le concept 20V20 soit la réponse !

    A la fin des années 1990, Seat était destinée à devenir une marque sportive. Son engagement en compétition à travers le Championnat du Monde des Rallyes et l’arrivée de versions un peu plus musclées lui conféraient cette image… Et puis la crise est passée par là. La sévère chute des ventes s’est transformée en perte de repères.

    Le marché espagnol a touché le fond et rebondit… Désormais en reconquête, Seat veut s’affirmer autour d’une nouvelle notion : Enjoyneering.

    Pour le modèle Cupra, l’analogie est facile… Mais pour le reste, il fallait de nouveaux emblèmes. La Leon X-Perience donne une piste, le concept 20V20 ouvre la voix.

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    Présenté la semaine passée à Genève, le 20V20 est un SUV qui évoque les nouvelles orientations stylistiques de Seat.

    Visuellement, pas d’extravagance. Bien que présenté sous la forme d’un concept, le 20V20 semble pouvoir être commercialisé sous cette forme à court terme. La silhouette est très clairement affutée.

    A l’intérieur, on sent l’empreinte du groupe. La qualité est clairement en hausse avec une multitude de matériaux très qualitatifs, du cuir, de l’aluminium et du verre.

    Sous le capot, Seat annonce des moteurs essence TSI jusqu’à 300 chevaux, des Diesel TDI jusqu’à 240 chevaux et un groupe plug-in hybride.

    Le 20V20 est bien le futur de Seat comme l’a annoncé Jürgen Stackmann, le Président du constructeur espagnol : « C’est notre référence et notre modèle pour les cinq prochaines années. »

  • Nouveauté : Opel Corsa

    Nouveauté : Opel Corsa

    Comment qualifier une nouvelle voiture ? Faut-il que la plateforme soit vraiment nouvelle ? Peut-on considérer qu’un simple lifting entraine un changement de génération ? Opel vise entre les deux avec la « nouvelle » Corsa.

    Il y a quelques mois, General Motors et PSA avaient signé un accord pour développer leurs citadines en commun. Le projet n’a jamais vu le jour… Opel a donc dû sortir une nouvelle Corsa par ses propres moyens.

    Faire du neuf avec du vieux

    Pas de nouvelle plateforme, pas de modules chers aux autres marques allemandes, Opel a repris sa Corsa et l’a remise au niveau. La tâche est importante. La marque compte sur sa citadine pour un quart de ses ventes… Et le segment est surchargé en Europe.

    Centre de gravité abaissé, suspensions et direction revues… Le comportement routier diffère totalement de l’ancienne génération. Et si les Diesel restent les 1,3 litre 75 et 95 chevaux, un 3 cylindres essence de 1,0 litre turbo de 115 chevaux emprunté à l’ADAM est tout à fait dans l’air du temps.

    Si le profil ne progresse pas, les faces avant et arrière héritent d’un coup de jeune. Le dessin de la calandre et des phares ne laissent aucun doute sur l’origine de cette nouvelle Corsa…

    Premier prix à 11 990 euros… Et 17 990 euros pour la version 1,0 litre turbo.