Catégorie : Enchères

  • Commissaire-priseur : Porsche 930/935 Turbo Coupé

    Commissaire-priseur : Porsche 930/935 Turbo Coupé

    Voici encore un modèle un peu spécial trouvé dans le catalogue de la vente Bonhams qui aura lieu demain à Spa-Francorchamps… Cette Porsche Type 930/935 Turbo Coupé avait été très spécifiquement commandé par Mansour Ojjeh.

    « Votre Porsche, à la fois unique et historique, a non seulement été l’un des clous de l’exposition, mais a aussi été l’exemple type du large éventail de personnalisation qu’offre Porsche Exclusive depuis 25 ans. »

    Il s’agit d’un extrait de la lettre de remerciement au propriétaire actuel de la voiture pour avoir prêté sa Porsche 911 Turbo unique, la première voiture construite par la division Porsche Exclusive, créée pour construire des voitures sur mesure pour les personnalités.

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    Celui qui a commandé cette Porsche un peu particulière s’appelle Mansour Ojjeh.

    Fils d’un entrepreneur d’Arabie Saoudite né en Syrie et d’une mère française, Mansour Ojjeh a hérité de TAG. Contaminé par le virus de la course automobile, il a impliqué la marque d’horlogerie dans l’écurie Williams dès 1979 avant d’être partenaire de McLaren et de financer le développement d’un moteur F1 confié à Porsche.

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    L’entreprise fut un succès avec des titres gagnés par Nikki Lauda en 1984 puis Alain Prost en 1985.

    Profitant de ses contacts, Mansour Ojjeh a commandé un modèle assez spécial à Porsche. Sur une base de Porsche 930 Turbo, il a choisi une carrosserie de 935 adaptée à la compétition et un moteur de 375 chevaux.

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    A l’intérieur, un arceau, un harnais, automatique, des sièges Recaro, un tableau de bord en bois, un verrouillage central ont été ajoutés. Pour tenir le cap, des suspensions abaissées, des amortisseurs et des stabilisateurs de compétition ont été installées.

    Elle a ensuite été la propriété de plusieurs collectionneurs et sera vendue demain. Estimation entre 300 000 et 400 000 euros.

  • Commissaire-priseur : Toyota 2000 GT

    Commissaire-priseur : Toyota 2000 GT

    Alors que Toyota commence à rencontrer le succès en compétition, la marque décide de produire une voiture sportive capable de rivaliser avec les meilleures réalisations mondiales… L’extraordinaire 2000 GT va atteindre cet objectif.

    Dans les années 1960, les constructeurs japonais multiplient les tentatives pour se confronter aux européens et aux américains. Certains choisissent d’acquérir des licences de voiture conçues à l’étranger. Mais Toyota vise un autre dessein.

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    Une équipe est spécialement mise en place pour réfléchir à la première supercar japonaise. Des Jaguar, Lotus, Triumph (…) sont importées, disséquées. Le projet prend forme.

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    Dans le même temps, Yamaha est abandonné par Nissan dans une étude similaire. En quelques semaines, Toyota et Yamaha s’associent. Les études de Toyota sont appliquées par Yamaha qui développe le moteur et s’occupe de la construction des prototypes.

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    La Toyota 2000 GT est dévoilée lors du Salon de Tokyo 1965. Succès. Un an plus tard, la 2000 GT est au Salon de San Francisco. Des journalistes américains l’essaient et sont conquis.

    Mais le coupé Toyota se révèle bien trop cher. En quatre ans, 351 exemplaires sont produits. L’un d’eux – vraisemblablement l’un des 200 encore existants – est en vente aujourd’hui à Monaco par RM Auctions. Estimation : entre 545 000 et 620 000 euros.

  • Commissaire-priseur : Ferrari 166 Inter Coupé

    Commissaire-priseur : Ferrari 166 Inter Coupé

    C’est l’un des tout premiers coupés construits par Ferrari. Cette 166 Inter Coupé date de 1949. Elle sera mise en vente par Bonhams lors du Goodwood Festival of Speed le 27 juin.

    Alors que le premier prototype de Ferrari portant le Cheval Cabré remonte à 1947 et que les premières productions sont sorties des ateliers en 1948, l’assemblage de cette Ferrari 166 Inter Coupe a débuté le 28 novembre 1949.

    Equipée d’un moteur 2 litres V12, elle a été vendue à Augusto Caraceni, frère de Domenico Caraceni, réputé être le père de la couture italienne.

    Plusieurs autres propriétaires sont répertoriés dont le Comte de Castelbarco.

    Seulement 37 châssis de 166 Inter ont été produits. La plupart ont été confiés à des carrossiers. Le modèle (027S) mis en vente a été dessiné par Touring of Milan.

    L’estimation est comprise entre 950 000 et 1 200 000 euros.

  • Commissaire-priseur : Aston Martin DBS

    Commissaire-priseur : Aston Martin DBS

    L’Aston Martin DBS vue dans la série britannique Amicalement Vôtre (The Persuaders!) sera mise aux enchères le 17 mai lors d’une vente Aston Martin organisée par Bonhams.

    Conduite par Roger Moore (Lord Brett Sinclair) dans la série, cette DBS a été produite en 1970 et adaptée pour le tournage. Roger Moore en 2003 et Tony Curtis en 2008 ont apposé leur autographe sur cet exemplaire si spécial.

    Lors de l’écriture de scénario des 24 épisodes de la série, Aston Martin a été approché par les producteurs pour fournir une voiture à Roger Moore. Ce dernier a montré un vif intérêt pour la DBS alors que Tony Curtis se voyait confier une Dino 246 GT.

    Au moment du tournage, Aston Martin venait de présenter sa DBS V8. Mais aucun prototype ne pouvait être mis à disposition des producteurs. La marque anglaise a donc maquillé une DBS six cylindres en DBS V8. Un mécanicien était dépêché durant toutes les scènes nécessitant la voiture.

    Après 24 épisodes, cette DBS comptait déjà près de 10 000 kilomètres. Elle fut rendue à Aston Martin qui l’a remise en état avant de la vendre à un propriétaire privé. Jusqu’ici, ce modèle jaune Bahama a été détenu par cinq propriétaires différents sans jamais avoir été mise aux enchères et sans la moindre annonce.

    Au milieu des années 90, elle a été restaurée dans les ateliers d’Aston Martin. Elle a participé à plusieurs concours d’élégance.

    L’estimation est comprise entre 421 et 662 000 euros.

    Dans la série, la DBS porte la plaque d’immatriculation BS 1 (pour Brett Sinclair 1) sauf dans le deuxième « Les Pièces d’Or » où la vraie plaque (PPP 6H) n’avait pas été cachée.

  • Commissaire-priseur : Aston Martin Atom

    Commissaire-priseur : Aston Martin Atom

    Les Aston Martin nées avant la fusion avec Lagonda sont très rares. Lors de la vente Bonhams du Goodwood Festival of Speed, une Atom datant de 1939 sera en vente.

    Prototype unique vieux de 75 ans, cette Aston Martin Atom est reconnue pour être l’un des plus anciens concept-cars.

    Une carrosserie en aluminium repose sur un châssis tubulaire avec une suspension à roues avant indépendantes. Le moteur est le premier 2 litres de la DB1 couplé à une boîte de vitesses semi-automatique.

    Cette Atom était une étude visant à la plus petite et la plus légère berline possible. Directeur Général d’Aston Martin à l’époque, Gordon Sutherland a parcouru plus de 150 000 kilomètres à son volant. Depuis, le cap des 400 000 kilomètres a été atteint.

    Aucune estimation n’a été révélée.

  • Commissaire-priseur : Bentley 4 ½ Litre

    Commissaire-priseur : Bentley 4 ½ Litre

    Historique ! Ce modèle 4 ½ litre a marqué l’histoire de Bentley. Alors que la marque collectionnait les victoires aux 24 Heures du Mans dans ses premières années, elle fut à l’origine de la célèbre phrase de Walter Owen Bentley : « There’s no remplacement for displacement. »

    Pour vendre des voitures, les plus grands constructeurs se devaient de briller en compétition. Bentley avait choisi les 24 Heures du Mans. Après deux victoires avec la 3 Litre, Bentley optait pour une cylindrée plus importante pour gagner en puissance.

    Et pourtant, une initiative privée allait à l’encontre de l’idéologie Bentley. Henry Birkin, star des pilotes britanniques de l’époque, demande alors à d’anciens mécaniciens de la marque de monter un compresseur à l’image de la technologie déjà utilisée par Mercedes-Benz.

    Cinq modèles doivent être produits pour les 24 Heures du Mans. Finalement 55 des 720 4 ½ litre adoptent un compresseur. Et si Walter Owen Bentley tente de s’opposer au projet, il laisse faire lorsque son principal soutien financier, Woolf Barnato, y participe.

    Véritablement pensée pour Le Mans, les versions compressées Blower ne brillent pas à cause d’une faible fiabilité. W. O. Bentley se régale en voyant son moteur atmosphérique s’imposer en 1928 pour la troisième des six victoires de la marque dans la Sarthe.

    Ce châssis livré en 1930 a été entièrement restauré.

    Estimation entre 700 et 850 000 euros lors de la vente Tecno Classica du 29 avril.

  • Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Commissaire-priseur : Ferrari 166 MM/55

    Voici le modèle qui a atteint un sommet lors de la vente Artcurial qui s’est tenue au cœur du Salon Rétromobile 2014 la semaine dernière. Une Ferrari 166 MM/55 a été adjugée pour 2 550 000 euros.

    Après la Tipo 125 S, la 166 est le second modèle à porter l’écusson Ferrari. Présenté en 1948, il s’est imposé sur les routes du Mille Miglia puis aux 24 Heures du Mans.

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    Au total, 70 exemplaires de la 166 ont été construits, carrossés par Touring, Vignale ou Stabilimenti Farina, en barquette, berlinette et cabriolet.

    Le châssis vendu à Rétromobile est sorti des ateliers le 1er avril 1953 avec un moteur V12 de 2 litres, puis envoyé à la Carrozzeria Vignale. Un mois plus tard, la voiture est livrée au Garage Francorchamps pour être réceptionnée par son acquéreur Jacques Herzet.

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    Après une première saison sportive sur des épreuves en Belgique et en Amérique du Sud, Herzet confie sa voiture à Martial Oblin pour en faire une barquette. Durant les trois années suivantes, son propriétaire la pilote sur des courses belges et l’expose au Salon de Bruxelles 1955.

    A partir de 1957, cette Ferrari 166 MM change de mains à plusieurs reprises. Une restauration totale est entreprise en 2012 pour la remettre en configuration Salon de Bruxelles. A Rétromobile 2014, elle fut la voiture la plus chère vendue aux enchères.

  • Découverte : Bugatti Type 35

    Découverte : Bugatti Type 35

    S’il existe une marque automobile française à part entière, c’est sans conteste Bugatti. Cette fois, découverte rapide de la Bugatti Type 35, une voiture de course des années 20.

    Produite de 1924 à 1931 dans les ateliers de Bugatti de Molsheim (Alsace), elle est une propulsion, mue par deux moteurs selon les modèles : le 4 cylindres ou 8 cylindres, allant de 1 496 à 2 260 cm3, offrant de 60 à 140 cv. Le moteur des Type 35, 37 et 39 était d’ailleurs ce qui donnait le nom aux modèles : 35A, 35C, 35T, 35B, 37, 37A, 39 et 39A.

    Faiblement puissante, elle se distingue tout de même, se targuant d’un palmarès des plus conséquents de l’histoire du sport automobile, avec plus de 2000 victoires. La Type 35 c’est d’ailleurs cinq victoires d’affilée à la Targa Florio, course disputée en Sicile, sur le circuit des Madonies, de 1906 à 1977. La Type 35 y remporte les millésimes 1925, 1926, 1927, 1928 et 1929, avec les pilotes italiens Meo Costantini et Emilio Materassi, et le Français Albert Divo. Dans les années 30, la Type 35 passe sa révérence face à Mercede-Benz et Alfa-Roméo, dont les programmes de recherche et développement sont soutenus par les gouvernements respectifs. Début des années 30, la seconde guerre mondiale approche, le sport et l’automobile sont de fantastiques vecteurs de propagande. L’industrie allemande s’en trouvera fortement aidée, mais c’est une toute autre histoire…

    Une 1928 Bugatti Type 37A Grand Prix sera en vente prochainement aux enchères, lors du prochain Concours d’Elegance de Amelia Island, en Floride.

    Photos anciennes : DR.Photos modernes : RM Auctions.

  • Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Commissaire-priseur : Citroën ECO 2000

    Citroën vend les bijoux de famille ! Le département Citroën Héritage se sépare d’un prototype unique « ECO 2000 ». Présenté en 1982, il avait pour vocation d’explorer de nouvelles voies pour permettre, dès la seconde moitié de la décennie, de proposer un véhicule dont la consommation aurait été inférieure à 3 litres / 100 km.

    Quatre prototypes ont été réalisés : SA 103, SA 109, SA 117 et SL 10. C’est le tout premier qui est mis en vente le mois prochain lors de Rétromobile.

    Selon Citroën, il s’agit d’une « première synthèse des travaux théoriques entrepris, principalement axée sur le poids et l’esthétique. La volonté de n’exclure aucune solution a priori est illustrée par l’adoption d’une architecture de type « propulsion ». Dans le souci de gagner du temps, le moteur bicylindre à plat a été retenu. »

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    Le prototype ne pèse que 430 kg, avec un Cx de 0,267 et une consommation de 3,5 litres aux 100 km. Le moteur de 704 cm3 développe 26 ch DIN et la voiture atteint 140 km/h en pointe.

    Cette Citroën ECO 2000 réclame une restauration pour être remise sur la route et est immatriculable en carte grise de collection.

    Aucun prix de réserve et estimation entre 10 000 et 15 000 euros.

  • Festival Automobile : au pays des merveilles

    Festival Automobile : au pays des merveilles

    Face à l’Hôtel National des Invalides, un chapiteau de 3 000 m² est dédié à la passion automobile jusqu’à la fin de la semaine. De l’Alfa Romeo 4C, élue plus belle voiture de l’année hier soir, à l’Art Car réalisée par Costa pour OAK Racing en passant par Peugeot Onyx et bien d’autres, voici ce que vous pourrez découvrir.

    Préambule : il y a très peu de « protections » autour des différents concept cars présentés lors de cette exposition. Certains sont même très simplement présentés sans le moindre filin.

    Aucune grande nouveauté mais, pour beaucoup, ce sera l’occasion de voir « en vrai » des modèles d’exception qui ne trouvent généralement leur place que dans des salons.

    Peugeot est présent avec Onyx, 308 R Concept, 208 T16 Pikes Peak et 908 HDI FAP sur le stand RM Auctions. Onyx a vieilli depuis sa première présentation. Le cuivre s’est oxydé (c’est une volonté de la marque) et donne une nouvelle teinte au concept. Très réussi !

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    Ambiance particulièrement sportive chez Citroën avec C-Elysée WTCC (la voiture actuellement développée par Sébastien Loeb, Yvan Muller et Jose Maria Lopez) et DS3 R5 (la petite soeur de la WRC) qui accompagnent C-Cactus (à moins d’une semaine de la révélation du modèle de série) et Wild Rubis.

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    Twin’Z et Twin’Run sont présents pour continuer à propager l’idée que la troisième génération de Twingo arrivera cette année. Initiale Paris est aussi exposé.

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    Les BMW Gran Lusso Pinifarina, Opel Monza Concept, Kia Provo sont également présentées.

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    Il y a aussi d’autres choses plus exotiques comme l’Icona Vulcano ou la Giugiaro Parcour Concept.

    Quelques modèles en phase de commercialisation sont aussi exposés. Porsche montre son Macan et la 918 Spyder. Aston Martin présente une Vanquish Volante, BMW expose une i3 et une place de choix est réservée à Alfa Romeo pour sa 4C élue hier plus belle voiture de l’année.

    Déjà vue et présentée sur AUTOcult.fr, OAK Racing affiche à nouveau son Art Car basée sur une Morgan-Nissan LM P2.

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    Avant une vente aux enchères, RM Auctions aligne quelques modèles en vente : Mercedes 300 SL, Porsche 956 Groupe C, Gordini Type 24S, Peugeot 908 HDI FAP et Porsche 917-30 Can Am.

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    Le Festival Automobile International est ouvert du 29 janvier au 2 février. Tarif : 10 euros, tarif réduit : 6 euros et gratuit pour les moins de 10 ans.

  • Commissaire-priseur : Saab 96L

    Commissaire-priseur : Saab 96L

    Bonhams prépare une vente exceptionnelle au Grand Palais le 6 février prochain. Au cœur d’un catalogue regorgeant de modèles aussi rares que hors de prix, j’ai fondu face à cette « simple » Saab 96L berline, estimée entre 8 et 12 000 euros.

    La Saab 96 est la dernière évolution de la « 92 », toute première automobile produite par la marque à partir de 1947. Assemblée en 1976, cette « 96 » était largement dépassée mais conservait son style suédois incomparable.

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    Cette Saab 96L Berline, équipée d’un moteur Ford V4 de 1,5 litre, a connu trois propriétaires. 10 000 kilomètres ont été parcourus ces douze dernières années. Une restauration a été entreprise en 2011.

    Estimation : 8 000 à 12 000 euros.

  • Commissaire-priseur : Ascari F-GT

    Commissaire-priseur : Ascari F-GT

    La toute première Ascari de compétition est proposée aux enchères lors de l’Autosport International qui se tiendra au NEC de Birmingham le 11 janvier prochain.

    Nom du premier pilote à s’octroyer deux titres de Champion du Monde de F1, Ascari est aussi un constructeur britannique. Officiellement, la marque Ascari est issue de « Anglo Scottish CAR Industries ».

    Au début des années 1990, Lee Noble (qui fondera plus tard Noble Automotive) crée l’Ascari F-GT. La voiture est présentée en 1995. 17 exemplaires sont produits. Le Néerlandais Karl Zwart, à l’origine du projet, engage une F-GT en Championnat Britannique GT et gagne à Silverstone. Cette voiture a passé trois saisons sur les circuits avant d’être remisée dans les ateliers d’Ascari.

    Restaurée en version 1997, cette Ascari F-GT GT1, équipée d’un moteur Chevrolet de 6 litres, est proposée aux enchères le samedi 11 janvier lors du NEC Autosport de Birmingham.

    Estimation de 71 à 84 000 euros.