Catégorie : Expérience

  • Quand la blague tourne au drame : Dominique Chapatte blessé par une caméra cachée de Michael Youn

    Quand la blague tourne au drame : Dominique Chapatte blessé par une caméra cachée de Michael Youn

    Une anecdote désormais bien connue a refait surface depuis que Michael Youn en parlent lors de ses apparitions chez des YouTubeurs : l’un de ses canulars du Morning Live a coûté une fracture à Dominique Chapatte, animateur emblématique de Turbo sur M6. Voici la vérité derrière cette histoire, racontée par l’intéressé et confirmée par plusieurs médias.

    Une caméra cachée devenue fardeau

    Lors d’une édition bon enfant de la conférence de rentrée de M6, l’équipe du Morning Live—dont Michael Youn, Vincent Desagnat et Benjamin Morgaine faisaient partie—avait décidé de piéger plusieurs animateurs. Pour Chapatte, l’idée était simple : jouer les policiers à moto et l’interpeller à la sortie des studios. Selon le récit de Youn :

    « Pendant qu’il va donner son identité à un autre flic, je rentre dans sa voiture et je lui vole. Malheureusement, la vitre était ouverte et il s’est accroché à la vitre. »

    Le comique a poursuivi son chemin… entraînant Chapatte dans un accident inopiné, qui a conduit à une fracture de l’épaule et une hospitalisation.

    Un regret qui perdure

    Michael Youn l’a reconnu : il a pensé avant tout à l’effet de la séquence à la télévision — et bien trop peu à la sécurité du présentateur. Le geste qui a profondément écorné leur relation n’est pas la plaisanterie, mais le fait de ne jamais s’être rendu à l’hôpital pour présenter ses excuses. Selon lui, Chapatte reste amer — à juste titre.

    « Il m’en veut encore, à raison. Il ne m’en voulait pas pour la caméra cachée, mais parce que je ne m’étais pas déplacé à l’hôpital pour le voir ».

    Dans les interviews, Michael Youn formule généralement ses excuses : « Bonjour Dominique, je voulais te dire que je suis désolé. Même si tu m’en veux encore. »

    Une leçon à méditer

    Au-delà de l’anecdote, cet épisode invite à réfléchir : jusqu’où peut-on aller dans les caméras cachées ? Et comment arbitrer entre volonté de spectacle et responsabilité humaine ? L’incident avec Chapatte est un bon rappel qu’une blague peut avoir des conséquences physiques graves et laisser des traces dans la vie réelle.

    Le récit ne date pas d’hier : Michael Youn raconte cet incident comme un souvenir intégré à son passé, mais les blessures — physiques et émotionnelles — demeurent.

  • Alfa Romeo Junior Elettrica brille à Hockenheim : endurance, efficience et performance au rendez-vous !

    Alfa Romeo Junior Elettrica brille à Hockenheim : endurance, efficience et performance au rendez-vous !

    2 500 kilomètres en un week-end, une course de 24 heures et une victoire en catégorie : l’Alfa Romeo Junior Elettrica a marqué les esprits lors de l’ADAC E-Competition 2025 sur le circuit d’Hockenheim. Une démonstration éclatante des qualités d’endurance, d’efficacité et d’efficience du modèle 100 % électrique de la marque italienne.

    Une course hors normes pour les électriques

    L’ADAC E-Competition, organisée depuis 2022, est une épreuve d’endurance inédite qui met à rude épreuve les véhicules électriques et leurs équipages. L’objectif ? Couvrir un maximum de tours en 24 heures avec une contrainte majeure : une seule borne de recharge pour deux véhicules, délivrant une puissance maximale de 19 kW. Avec 31 équipes engagées, dont neuf dans la catégorie des modèles dotés d’une batterie de moins de 72 kWh, la stratégie de recharge et l’efficience énergétique étaient au cœur de la compétition.

    Dans ce contexte exigeant, Alfa Romeo a aligné deux Junior Elettrica, qui ont décroché la première et la troisième place dans leur catégorie, tout en se hissant en haut du classement général.

    Des conditions extrêmes, une performance remarquable

    Sur une piste où le thermomètre est resté en dessous de zéro et où la neige a recouvert l’asphalte au lever du jour, les Alfa Romeo Junior Elettrica ont fait preuve d’une remarquable constance. À une vitesse moyenne de 80 km/h, elles ont affiché une consommation de seulement 18,5 kWh/100 km, démontrant un équilibre parfait entre performance et sobriété énergétique.

    « L’efficience n’était pas l’unique paramètre de cette épreuve », explique Artur Prusak, triple champion FIA en éco-rallye et vainqueur à Hockenheim. « Il s’agissait aussi de trouver le meilleur rendement sur un tracé aux nombreuses relances et de ne pas être gêné par le trafic. La météo a ajouté une difficulté supplémentaire avec des températures négatives toute la nuit et une tempête de neige au petit matin. »

    Malgré ces conditions hostiles, l’Alfa Romeo Junior Elettrica a su briller par son équilibre et sa tenue de route. « La voiture était parfaitement adaptée au circuit et très agréable à piloter en conduite dynamique. Les projecteurs adaptatifs Full-LED Matrix nous ont également beaucoup aidés durant la nuit », ajoute Prusak.

    Une efficience record face aux catégories supérieures

    Si l’Alfa Romeo Junior Elettrica a dominé sa catégorie, c’est bien son classement général qui impressionne : après 24 heures, elle termine à seulement 55 kilomètres du vainqueur toutes catégories, une Tesla dotée d’une batterie bien plus imposante. En termes d’efficience pure, la Junior Elettrica s’impose comme l’un des véhicules les plus sobres de la compétition.

    « Si l’on prend en compte la capacité des batteries au départ, l’Alfa Romeo a été la plus efficiente durant ces 24 heures », souligne Artur Prusak. Un constat qui valide pleinement les choix techniques opérés par la marque italienne pour son modèle électrique.

    Avec cette performance remarquable sur un circuit emblématique du sport automobile, Alfa Romeo prouve que son passage à l’électrique ne se fait pas au détriment du plaisir de conduire ni de l’endurance. La Junior Elettrica s’impose déjà comme une référence en matière d’efficience et d’efficacité, tout en incarnant l’ADN sportif de la marque italienne.

  • The Grand Tour : Star System

    The Grand Tour : Star System

    Stars médiatiques mondiales comme aucune autre existe dans le domaine, Jeremy Clarkson, James May et Richard Hammond reviennent pour une seconde saison de The Grand Tour, diffusé exclusivement sur Amazon Prime. J’ai vu le premier épisode.

    Un écran géant posé au rez-de-chaussée du C_42 sur les Champs-Élysées, quelques sièges installés… Voilà une nouvelle façon de consommer la « télévision ». Où l’on veut, quand on veut. Sur grand écran, sur tablette ou smartphone.

    Face à la poussée de ces nouveaux modes de consommation, Amazon – le géant de la distribution de tout en ligne – a lancé Amazon Prime. Et pour faire face aux chaines habituelles de télévision, mais aussi aux offres de MyCanal ou Netflix, il a fallu trouver des produits d’appel. The Grand Tour en est un.

    Amazon Prime est une partie de l’écosystème déployé par Amazon. Il permet d’être livré en un jour ouvré sur les boutiques du site, d’un stockage sur Amazon Drive et de beaucoup d’autres choses, dont un accès illimité à un service de streaming de films et séries…

    Le grand produit d’appel est donc The Grand Tour, d’origine britannique et pensé « pour » le marché américain. Le trio révélé par la BBC pousse seulement un peu plus son concept. Sans le cacher.

    Selon Amazon, la première saison a battu des records d’audience avec le meilleur démarrage jamais réalisé par une série. Moi-même, je me suis connecté à Amazon Prime pour suivre la première saison de The Grand Tour !

    Cette seconde saison s’inscrit dans la lignée de ce que l’on connait déjà. Beaucoup de voyages et beaucoup de discussions entre les trois stars… À friser des longueurs dans le premier épisode.

    Un très grave accident pour lancer la Saison 2

    Dans le premier épisode, Jeremy Clarkson, James May et Richard Hammond sont en Suisse pour rouler en Lamborghini Aventador S, Honda NSX et Rimac Concept One. L’heure s’achève par le court récit du très grave accident de Richard Hammond à l’arrivée d’une course de côte.

    L’affaire avait fait le tour du monde lors du tournage. Le présentateur s’en est sorti avec deux genoux brisés et la Rimac a brûlé durant cinq jours. Point très positif, le montage ne s’étale pas sur les faits, mais ne les cache pas. Les images sont dures, mais la séquence est courte. Pour en savoir plus, rendez-vous sur DriveTribe…

    Tous les épisodes sont prometteurs. En revanche, le retour du tour de circuit par des célébrités – avec Jaguar en partenaire – va très rarement parler au spectateur français.

    L’épisode 2, mis en ligne la semaine prochaine, nous emmènera entre New York et les chutes du Niagara avec un duel entre une Ford GT et des transports en commun. La Mercedes-AMG GT R fera aussi une apparition.

    Retour en Europe pour le troisième épisode avec un itinéraire entre Saint-Tropez et Turin en Bugatti Chiron, avec un essai de Kia Stinger GT… Une course dans un parking est également alléchante. La suite reste sous embargo. Sachez que l’on passera en Croatie, au Royaume-Uni, à Dubaï et aux États-Unis dans les prochaines semaines pour découvrir des Audi, Jaguar, Lada, McLaren, Subaru et Volkswagen… Entre autres.

    Illustrations : ©Amazon Prime Video

  • Un art de vivre avec Jaguar

    Un art de vivre avec Jaguar

    Savez-vous comment bien choisir votre prochain véhicule sans tomber dans l’ennui le plus total ? Trouvez le modèle qui va vous plaire, vous correspondre… Celui qui va vous arracher un sourire à chaque fois que vous le verrez, que vous vous installerez dans l’habitacle, celui qui vous rendra fier.

    Cette semaine, j’étais invité à la troisième édition des Awards de l’Innovation organisés par le magazine Auto Moto. Autour de différentes catégories – design, aides à la conduite, environnement… – il y avait « Art de Vivre ».

    L’expression fait rêver les directeurs marketing. Imaginez que l’on puisse acheter un produit et vivre en conséquence… Une idée folle ? Pas forcément ! Et réalisable à tous les prix. Combien ont changé leur façon d’être en prenant le volant d’une 2CV, d’une 4L, d’un Combi, d’une Jaguar, d’une Porsche ou d’une Ferrari ?

    Neuf modèles étaient sélectionnés pour cette catégorie art de vivre. Le jury n’a pas attribué le moindre point à la Mitsubishi Eclipse Cross, à peine plus à la MINI John Cooper Works, la Skoda Kodiaq, la FIAT 500 Anniversario… Dans le top 5, on trouve la Volkswagen California, l’Aston Martin Vanquish S Volante.

    Le trio de tête illustre très bien toutes les composantes de l’art de vivre, sur le thème des goûts et des couleurs. Une Jaguar F-Type Cabriolet, une Citroën E-Mehari et une Abarth 695 Rivale 175e Anniversaire…

    Les goûts et les couleurs

    La Citroën E-Mehari : très peu pour moi. Je n’ai jamais eu de coup de foudre pour la Mehari d’origine. Cette version électrique ne m’évoque vraiment rien. Ni pour son style, malgré une très grosse campagne Courrèges, ni sa technique. Ce n’est pas mon art.

    L’Abarth est un bijou. Je lui trouverais tous les défauts du monde que je me battrais pour la garder et continuer d’aligner les kilomètres. Ce succès dans la catégorie Art de Vivre est amplement mérité : je veux une petite voiture, mais je veux une Abarth. Je ne veux pas forcément me faire remarquer, mais je veux me démarquer. 180 chevaux dans une « Cinque », Akrapovic, une boîte robotisée d’un autre âge, des vibrations de plaisir. Un petit outil qui transforme l’essence en joie. L’Abarth, point.

    Et comme nous avons opposé les sportives italiennes aux sportives anglaises durant des décennies, il fallait bien composer avec la présence de Jaguar. La marque a déploré un passage à vide dans le giron de Ford… Aujourd’hui, c’est du passé et la F-Type est un symbole de cette renaissance.

    Etait-il possible de donner une descendance aux Type D et Type E ? L’idée de créer une Type F était forcément très risquée pour la lignée. Mais elle a marqué une rupture avec les XJ et XK et c’est un plébiscite depuis 2013. Pour avoir roulé au volant des versions V6, V8 et SVR, sur route et sur circuit, la machine est exceptionnelle… Et elle représente encore bien plus.

    C’est là que l’idée d’art de vivre se colle parfaitement à l’idée de devenir un conducteur de Jaguar.

    Choisie par le jury, la Jaguar F-Type Cabriolet de 300 chevaux est proposée à 66 760 euros. Le ticket d’entrée pour une authenticité, une image, un plaisir, un design, une émotion. Certains y verront l’expression de la voiture anglaise par excellence. Je trouve que l’on va bien au-delà. Évidemment, elle restera toujours un « Jag’ ». Mais la F-Type renverse – selon moi – l’image de l’Anglaise. Et si c’était – en plus d’un art de vivre – le meilleur cabriolet dans cette gamme de prix ?

    Plus d’infos :  Awards Auto Moto / Jaguar F-Type

  • MotorVillage : les irréductibles romains

    MotorVillage : les irréductibles romains

    La Grande Récré est arrivée sur les Champs-Elysées… Qu’un magasin de jouets s’installe sur la plus emblématique des rues parisiennes à quelques semaines de Noël n’a rien d’une info marquante. Sauf qu’il prend la place du Rendez-vous Toyota. Avec, aussi, le départ annoncé de Mercedes, il n’y a plus que quatre constructeurs automobiles sur l’Avenue, trois français et le Groupe FCA.

    Le prix du mètre carré peut atteindre 20 000 euros par an. C’était trop pour Toyota et Mercedes. Ouvertes respectivement en 1998 et 1980, les deux vitrines quittent les lieux.

    Si Renault (depuis 1910), Citroën (depuis 1927) et Peugeot sont historiquement présents, les étrangers lâchent prise. Et pourtant, le 2 Rond-Point des Champs Elysées sent toujours bon l’essence et la gastronomie…

    La vitrine du Groupe FCA anime la partie basse des Champs avec des expositions régulières et deux restaurants. Sur la rue, le Fiat Caffè pour déguster une pizza ; au dernier étage, un incontournable : le NoLita, l’une des meilleures adresses italiennes en France, sous la direction de Vittorio Beltramelli.

    Quelques mots pour vous faire rêver autour de la truffe : monochrome de langoustines du Guilvenec, carottes, orange, safran et truffes noires ; risotto à la truffe noire de Norcia, artichauts poivrades et Parmesan Reggiano ; Spaghetti « alla chitarra » à la truffe noire de Norcia…

    MotorVillage n’est pas une concession. On ne vous vend pas de voiture. On vous fait entrer dans l’univers italien de FCA. Le mot n’est pas galvaudé : c’est une expérience.

    Pour préparer Noël, l’exposition actuelle montre une Alfa Romeo 33 TT 12 – une barquette de 1975 – aux côtés d’une FIAT 600 Multipla de 1968 et d’une plus récente FIAT 500C. Dans les étages, on trouve une FIAT Abarth 595 SuperSport de 1964 et une Alfa Romeo Giulietta Sprint de 1954.

    Plus bas, une Abarth 124 Spider, une FIAT 500X, une Alfa Romeo Stelvio et une Jeep Compass laissent davantage apparaître les gammes actuelles.

    Plus d’infos : www.motorvillage.fr

  • Renault Sport F1 les AFOL

    Renault Sport F1 les AFOL

    Brique par brique… Lego aurait pu disparaître sous la poussée des entreprises numériques. Au lieu de ça, les Danois sont devenus les premiers fabricants de jouets au monde en 2014 et l’offensive continue. Les plus petits et les moins jeunes continuent d’assembler des briques. Et quelques-uns collectionnent les automobiles.

    Le saviez-vous ? Tentez de trouver quel est le plus grand manufacturier de pneumatiques dans le monde en nombre d’unités vendues dans le Livre des Records… Le Groupe Michelin ? Pirelli, Bridgestone ou GoodYear ? Rien de cela, c’est Lego !

    Depuis 2006, Lego produit plus de 300 millions de pneus par an, 12 par seconde, avec des tailles allant de 14 à 110 millimètres, quand les « vrais » manufacturiers ne dépassent pas 200 millions d’exemplaires.

    Lego est très présent sur le marché des automobiles à monter soi-même avec ses collections Speed Champions (voitures sportives ou de course pour les enfants), Creator (véhicules emblématiques pour les enfants) et Technic avec une extraordinaire Porsche 911 GT3 RS.

    Au-delà de cette offre disponible dans tous les magasins, Lego s’associe à Renault Sport F1 et l’Atelier Renault pour proposer une série de créations exceptionnelles qui ravira les collectionneurs.

    Pour les AFOL

    Evidemment, acheter une boîte Speed Champions pour le Noël de votre enfant n’a aucune difficulté… Evidemment, votre enfant (selon l’âge) vous demandera un coup de main pour participer au montage… Evidemment, vous trouverez ça un peu trop simple et vous aurez une pointe de frustration… Vous êtes en route vers un avenir d’AFOL, Adult Fan of Lego.

    Vous pourrez vous attaquer aux Creator et aux Technic. Et pour aller plus loin, Renault va vous accompagner.

    Loin des boîtes vendues dans les magasins spécialisés, l’Atelier Renault lance une opération spéciale en fin d’année avec une R.S.17 échelle 1 est exposée sur les Champs-Elysées : 600 000 briques montées par un expert en trois semaines.

    Mais, pour les AFOL qui veulent surtout manipuler les briques eux-mêmes, Lego sort des boîtes sous licence « Certified Professional » avec un set de 100 pièces dans l’esprit Speed Champions (1 000 exemplaires à 44 euros) et un autre de 828 pièces type Creator Expert (100 exemplaires à 375 euros). Beaucoup plus inédite, une version du concept F1 2027 a également été conçue en édition limitée à 40 exemplaires.