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  • Kangoo Jamboree : la passion débordante des Japonais pour le Renault Kangoo

    Kangoo Jamboree : la passion débordante des Japonais pour le Renault Kangoo

    Au pied majestueux du Mont Fuji, une passion singulière prend vie chaque année : le Kangoo Jamboree, plus grand rassemblement de Renault Kangoo au monde. Depuis 14 ans, des milliers de passionnés japonais se réunissent pour célébrer le ludospace français qui a conquis leur cœur. L’édition 2023, particulièrement spéciale, a été marquée par la présentation du Nouveau Grand Kangoo au public japonais.

    Le Kangoo, connu pour son design unique avec une porte latérale coulissante, est devenu une « success story » mondiale, avec plus de 4,4 millions d’exemplaires vendus au cours des 25 dernières années, dans 50 pays à travers le monde. Depuis 1997, la manufacture de Maubeuge, dans les Hauts-de-France, accorde une attention particulière à la fabrication des exemplaires destinés au Japon, où l’engouement pour le Kangoo a atteint des sommets extraordinaires.

    Le Japon, parmi tous les pays qui ont adopté le Kangoo, se distingue par la passion unique qu’il voue à ce ludospace. Dès 2009, les admirateurs japonais ont pris l’initiative de créer un rassemblement annuel, le Kangoo Jamboree, pour partager leur amour du véhicule avec le plus grand nombre. Ce qui a commencé avec une centaine de participants est maintenant devenu une véritable fête automobile, attirant plus de 5 000 visiteurs pour admirer près de 2 000 Kangoo exposés.

    L’édition 2023 du Kangoo Jamboree a été inaugurée par le président de Renault Japon, Junpei Ogawa, accompagné de Heinz-Jürgen Löw, responsable des véhicules utilitaires du groupe. Cet événement a également été l’occasion de révéler le Nouveau Renault Grand Kangoo et la série limitée « Urban Grey », spécialement développée pour le marché japonais.

    Heinz-Jürgen Löw, Directeur Véhicules Utilitaires de la marque Renault, a exprimé son honneur de participer au Kangoo Jamboree édition 2023 : « C’est un honneur pour moi de participer au Kangoo Jamboree édition 2023 et de révéler Nouveau Renault Grand Kangoo pour la première fois au public japonais. Je tenais à remercier tous les fans qui participent à ce rassemblement et qui partagent leur passion de Kangoo et les valeurs de ce véhicule : la famille, la modularité et l’innovation. Je suis convaincu que la 3ème génération va être aussi populaire que les précédentes et que nous continuerons de célébrer ce véhicule lors du Kangoo Jamboree ! »

    Le Kangoo Jamboree demeure un témoignage vibrant de l’attachement des Japonais au Renault Kangoo. Cette passion débordante promet un avenir brillant pour le ludospace emblématique sur l’archipel nippon. Le Kangoo continue de rouler sur les routes japonaises non seulement comme un moyen de transport, mais aussi comme une véritable icône célébrée année après année au pied du Mont Fuji.

  • La McLaren 750S « 3-7-59 Theme » : hommage aux victoires historiques de McLaren

    La McLaren 750S « 3-7-59 Theme » : hommage aux victoires historiques de McLaren

    Sous le ciel ensoleillé de la Velocity Invitational en Californie, McLaren a récemment dévoilé l’un de ses projets les plus élaborés à ce jour, la McLaren 750S « 3-7-59 Theme ». Cette supercar, fruit du travail minutieux de McLaren Special Operations (MSO), célèbre le 60e anniversaire de la marque en rendant hommage à ses victoires historiques dans la Triple Couronne, à savoir l’Indianapolis 500, le Grand Prix de Monaco et les 24 Heures du Mans.

    La présentation de cette œuvre d’art roulante s’est déroulée avec la présence éminente de personnalités telles que Lando Norris, pilote actuel de l’écurie McLaren F1, Pato O’Ward, pilote de McLaren en IndyCar, et l’ancien pilote de McLaren F1, Derek Bell.

    Michael Leiters, Chief Executive Officer, McLaren Automotive : « En célébrant le 60ème anniversaire de la création de McLaren, nous réfléchissons sur notre héritage, qui consiste à repousser les limites, à la fois, dans le sport automobile et, plus récemment, dans l’excellence des supercars et des hypercars. Le thème 3-7-59 s’inspire de ces deux domaines, comme une vitrine de performances extrêmes qui rend hommage à notre succès dans la ‘Triple Crown’. Le projet le plus ambitieux jamais réalisé par McLaren Special Operations est une expression étonnante de l’expertise de pointe de McLaren en matière de peinture, sur une supercar qui établit une nouvelle référence dans sa catégorie ».

    La « 3-7-59 Theme » a réclamé plus de 1 200 heures, nécessaires pour donner vie à cette œuvre d’art roulante. Cette livrée complexe est un véritable hommage aux victoires mémorables de McLaren, symbolisées par les chiffres de course victorieux : le 3 de l’Indianapolis 500 de 1974, le 7 du Grand Prix de Monaco de 1984, et le 59 des 24 Heures du Mans de 1995.

    Cette thématique unique a été méticuleusement intégrée dans une palette de plus de 20 couleurs, formant un collage visuel sur la carrosserie de la 750S. Chaque teinte raconte une histoire, capturant l’esprit et l’essence des moments historiques qui ont forgé la renommée de McLaren dans le monde du sport automobile.

    La présence de Lando Norris souligne l’importance de cette création dans l’histoire et l’avenir de McLaren. La « 3-7-59 Theme » n’est pas simplement une voiture, c’est une œuvre d’art roulante qui témoigne du dévouement et de l’excellence qui définissent l’ADN de McLaren.

    La McLaren 750S « 3-7-59 Theme » s’inscrit comme une pièce maîtresse dans l’histoire de McLaren, une voiture qui célèbre un passé glorieux. Fusion entre l’ingénierie de pointe et la créativité artistique, cette supercar incarne véritablement l’esprit de McLaren.

  • United Colors of une révolution en F1

    United Colors of une révolution en F1

    En 1985, lorsqu’une firme italienne de pulls fait l’acquisition d’une équipe de Formule 1, elle ouvre la de nouvelles perspectives, laissant entrevoir une volonté de perturber l’ordre établi. C’était l’une des caractéristiques de Benetton, que ce soit à travers des produits accrocheurs, une publicité provocante ou des partenariats de sponsoring hauts en couleur. Il est évident, d’après les interviews réalisées dans cet ouvrage de référence signé Damien Smith, ancien rédacteur en chef de Motor Sport, que cette approche novatrice s’est également reflétée dans le domaine de la course automobile. Smith les qualifie de « rebelles de la Formule 1 ».

    Ce n’était pas la première incursion de Benetton dans la F1… La première fois, c’était en 1983 avec Tyrrell lorsque le nouveau responsable de la communication Davide Paolini a soufflé l’idée à Luciano Benetton de s’intéresser à la discipline. Paolini se souvient : « J’ai obligé les mécaniciens de Tyrrell à porter des chemises roses pour attirer les photographes. » Cependant, l’avenir ne résidait pas chez Tyrrell, qui ne voulait pas passer au turbo. C’est alors au tour d’Alfa Romeo d’arborer des chemises vertes, encore plus vives pour les mécaniciens. Mais l’année 1985 marque la fin de cette ère Alfa. Qu’importe, il y avait un plan. Et ce plan passait par Toleman.

    Dans la présentation des origines de Toleman, Smith insère une photo de la DFVW de Colin Hawker, la berline surpuissante propulsée par un moteur Cosworth. Un moment de nostalgie qui souligne l’événement qui a attiré le groupe Toleman dans le monde de la course : les directeurs Alex Hawkridge et Ted Toleman ont alors formé une équipe de F2 et recruté un designer sud-africain nommé Rory Byrne. L’auteur a recueilli un large éventail de témoignages – Hawkridge, Byrne, le designer John Gentry et Derek Warwick. Tous parlent de la progression de l’équipe vers la F1 et de la façon dont le « prometteur » est devenu « étonnant », lorsque le nouveau venu Ayrton Senna a failli remporter la victoire à Monaco en 1984.

    Les optimistes vous diront que les problèmes sont des opportunités… En 1985, Toleman a lutté pour avoir des pneumatiques et l’équipe est passé tout près de la disparition malgré les excellentes qualités de la TG185. C’est là que Benetton est intervenu avec 2 millions de livres sterling et de grandes idées !

    Les récits de l’ascension d’une équipe vers le succès peuvent être similaires, mais c’est une histoire avec de nombreux points de vue internes : Pat Symonds raconte une astuce sournoise avec la boîte noire turbo BMW, Byrne confirme les 1300 chevaux, le directeur d’équipe Peter Collins déplore que « mettre Cosworth à niveau était comme arracher des dents ». La fiabilité du moteur était un problème récurrent, mais Gerhard Berger, Teo Fabi et Thierry Boutsen ont tous brandi le drapeau multicolore avec un succès variable… Mais le premier objectif était de générer des retombées pour l’entreprise, avec un spécialiste du marketing propulsant le nom Benetton dans ce que l’on appelle aujourd’hui le lifestyle. Cela, associé à des publicités très provocantes, parfois interdites, Benetton a acquis ce profil audacieux que son patron recherchait.

    La petite équipe s’est surpassée. Thierry Boutsen, Alessandro Nannini ont défilé. Gerhard Berger a décroché des victoires. Puis, un homme d’affaires aux cheveux ébouriffés appelé Flavio Briatore (« Flav l’Empaleur » plaisante Smith) a pris le poste de directeur d’équipe, et Michael Schumacher est arrivé… Et le palmarès s’est construit : deux championnats du monde et le titre des constructeurs pour l’équipe, dans les deux décennies controversées de Briatore en tant qu’homme sauvage de la F1. Smith est impressionné, le qualifiant d’une « efficacité dévastatrice » et d’ »un gagnant de la F1 de qualité platine ».

    Bien que Briatore ait été imposé, l’équipe s’est rapidement installée dans l’ambiance familiale qu’avait connue Tolman, et Smith affirme que cela reste le cas dans la forme actuelle de l’équipe en tant qu’Alpine. (C’est l’équipe qui a porté tellement d’étiquettes qu’elle est souvent désignée de nos jours simplement par son site d’implantation – ‘l’équipe d’Enstone’.)

    « Ils étaient vraiment de bons propriétaires », déclare le directeur technique Symonds avec une affection sincère pour la famille, expliquant que Luciano Benetton était fasciné par la technologie, ce qui explique en partie son attrait pour la F1.

    Cela ne signifie pas que tout était toujours « gentil » : Collins raconte comment on lui a demandé de se séparer de Johnny Herbert et de partir à son tour ; comment un John Barnard susceptible déclare qu’il se fiche éperdument qu’ils ne l’aiment pas. Flav commente : « Si vous envoyez John en Suisse, vous aurez une guerre le lendemain ! »

    Pat Symonds, fidèle de Benetton, dont la présence en F1 a été longue et significative, est un pilier tout au long du livre, et un parfait conteur pour la recherche de Smith. Tissés parmi les courses – et de nombreuses photos de qualité – il y a une excellente citation sur chaque page et des bulles pétillantes qui maintiennent l’intérêt. À propos de l’incendie de stand à Hockenheim en 1994, Smith parle à la plupart des personnes impliquées, y compris Steven Tee, qui a capturé cette célèbre photo. « Tout ce que je pouvais voir dans le viseur, c’était un éclair orange. »

    Benetton a suscité de nombreuses « questions de légalité » et Smith laisse chacun s’exprimer sur la cause de l’incendie, les planches illégales, les programmes de lancement, le titre controversé de 1994, le diplomate Damon Hill raconte : « Ils étaient prêts à faire beaucoup pour repousser les limites… » Comme pour maintenir l’énergie, Smith attend jusqu’au déclin post Schumacher pour décrire les fêtes et les vacances de l’équipe. Un mécanicien commente : « Si vous ne reveniez pas avec une gueule de bois, c’était mal vu. »

    Benetton semble avoir pris la place de Hesketh en tant qu’équipe décalée. Il y avait moins de plaisir en ce qui concerne les résultats et les affaires de l’équipe en 1997, lorsque David Richards a été envoyé de manière inattendue pour remplacer Flavio. « C’était comme dans l’un de ces films de gangsters », déclare Richards. « Il a levé les yeux de son bureau et il m’a dit : ‘Je me demandais qui ça allait être.’ » Mais Benetton avait besoin d’un partenaire moteur, et Renault avait besoin d’une équipe pour son retour en F1, dirigé par Flavio Briatore, le retour. À partir de 2002, Benetton est devenu Renault et un chapitre s’est refermé. La conclusion de Smith est une interview avec Alessandro Benetton qui explique pourquoi une entreprise familiale de vêtements est devenue championne de F1, et pourquoi le directeur d’équipe Joan Villadelprat estime que « Benetton était un endroit spécial. Tout le monde là-bas aimait Benetton, tout le monde a passé de bons moments. » Une décennie et demie de bons moments qui ne pouvaient pas être mieux transmis…

  • « Ferrari », un biopic sur Enzo Ferrari attendu pour Noël

    « Ferrari », un biopic sur Enzo Ferrari attendu pour Noël

    Après plus de trente ans de gestation, le biopic tant attendu sur Enzo Ferrari, le fondateur de la marque automobile italienne, sortira enfin en salles à Noël. Le film, intitulé simplement « Ferrari », est réalisé par Michael Mann, un cinéaste américain connu pour ses films d’action et ses biopics.

    L’histoire se déroule en 1957, une période difficile pour Enzo Ferrari. Son fils Dino est décédé, sa société est au bord de la faillite et sa femme Laura, qui a découvert son infidélité, lui fait la vie dure.

    Adam Driver, qui a notamment incarné Kylo Ren dans la saga Star Wars, incarne Enzo Ferrari. Penelope Cruz joue Laura Ferrari et Shailene Woodley joue Lina Lardi, la maîtresse d’Enzo et la mère de son fils illégitime.

    Le film a été tourné en Italie et en Espagne. Les scènes de course ont été réalisées avec des voitures Ferrari et Maserati d’époque.

    « Ferrari » est un film à ne pas manquer pour les fans d’automobile et d’histoire. Il offre une plongée fascinante dans la vie tumultueuse d’un homme qui a marqué l’histoire du sport automobile.

    Voici quelques détails supplémentaires sur le film :

    • Le film est basé sur le livre « Enzo Ferrari: The Man and the Machine » de Brock Yates.
    • Michael Mann a travaillé sur le projet pendant plus de trente ans.
    • Le film a été tourné en Italie et en Espagne.
    • Les scènes de course ont été réalisées avec des voitures Ferrari et Maserati d’époque.

     

  • Mute The Hot Rod de Renault : la résurrection électrique d’une légende

    Mute The Hot Rod de Renault : la résurrection électrique d’une légende

    Dans les années 20 et 30, l’Europe était prise d’assaut par la fièvre des records de vitesse, et Renault ne pouvait pas rester à l’écart de cette passion palpitante. C’est ainsi qu’est né le projet « Mute The Hot Rod », une réinterprétation audacieuse de l’époque dorée des voitures de course.

    La recette originelle du hot rodding était simple : prenez une voiture de série, retirez tout ce qui est superflu, optimisez le moteur, et lancez-vous sur la piste. C’est exactement ce qu’a fait Renault avec « Mute The Hot Rod ». Ce projet ambitieux a nécessité environ 25 heures de travail acharné, où chaque composant de la voiture a été minutieusement examiné et retravaillé.

    La première étape a consisté à démonter la carrosserie, le moteur, la boîte de vitesses et le train roulant. Seuls le châssis, la partie avant de la carrosserie et la colonne de direction ont été conservés. Le moteur d’origine et quelques autres pièces mécaniques ont trouvé une nouvelle vie dans une autre 6 CV de la collection. Ainsi, « Mute The Hot Rod » conserve une partie de son ADN d’origine tout en embrassant la technologie moderne.

    Le châssis a été renforcé pour accueillir une boîte de vitesses provenant d’un Trafic propulsion, couplée à un arbre de transmission et à un pont arrière issu d’une Renault 12 4×4. À l’avant, un essieu de Renault KZ10 Primaquatre de 1932 a été installé, équipé d’amortisseurs à gaz, tandis que l’arrière est dépourvu de toute suspension. Les jantes de 15 pouces proviennent d’une Renault Frégate, ajoutant une touche vintage à ce hot rod moderne.

    Cependant, « Mute The Hot Rod » ne se contente pas d’une restauration mécanique. Le design de Renault a été mis à contribution pour créer un saute-vent s’étirant depuis le capot moteur, un arrière original et un intérieur minimaliste, tous fabriqués par un tôlier formeur. Au salon Rétromobile à Paris, il a été présenté en cours de réalisation, avec seulement un voile de spray inox sur la carrosserie nue, laissant présager l’excitation qui entourait ce projet.

    Après des mois de travail acharné, l’équipe de « The Originals Renault – La Collection » a atteint le moment tant attendu : la présentation au public de « Mute The Hot Rod » terminé et prêt à rouler sur de nombreux événements. Cette étape marque le point culminant du projet, où chaque pièce a été soigneusement restaurée ou remplacée pour créer un hot rod 100% électrique d’un nouveau genre.

    Le montage de « Mute The Hot Rod » est un processus minutieux qui exige un assemblage méticuleux de chaque composant. Les experts de « The Originals Renault – La Collection » ont passé des heures à ajuster la carrosserie, le moteur, la boîte de vitesses et le train roulant. Chaque boulon a été serré avec précaution, chaque ajustement vérifié et revérifié pour garantir la sécurité sur la route.

    Ce qui distingue vraiment « Mute The Hot Rod », c’est sa conversion en un véhicule électrique. Le moteur thermique d’origine a été remplacé par un groupe motopropulseur électrique, offrant des performances supérieures tout en préservant l’esprit du hot rodding. Cette électrification a permis de redonner vie à une icône tout en contribuant à la transition vers une mobilité plus respectueuse de l’environnement.

    Une fois terminé, « Mute The Hot Rod » a été présenté dans sa livrée finale au Mans Classic 2023, un événement incontournable pour les passionnés de voitures classiques. Revêtu d’un élégant bleu, il a captivé l’attention du public et des médias présents. Les sourires des visiteurs ont été la meilleure récompense pour l’équipe qui a travaillé avec dévouement sur ce projet.

    L’aventure de « Mute The Hot Rod » ne s’est pas arrêtée là. Quelques semaines plus tard, il a fait ses premiers tours de roues au Goodwood Festival of Speed en Angleterre, un événement prestigieux célébrant la vitesse et l’histoire de l’automobile. Le spectacle qu’il a offert, aux côtés des supercars de renommée mondiale, a enthousiasmé les spectateurs du monde entier.

    « Mute The Hot Rod » est bien plus qu’une simple restauration automobile. C’est une réinterprétation audacieuse de l’histoire du hot rodding, alliant le charme du passé à la technologie moderne. Ce hot rod électrique incarne la passion de Renault pour l’innovation et la préservation de son héritage automobile, tout en propulsant l’avenir de la mobilité vers des horizons électriques excitants.

  • King Drift en Hyundai Ioniq 5 N

    King Drift en Hyundai Ioniq 5 N

    Si le nom de Keiichi Tsuchiya ne vous dit rien, une collection de chaînes YouTube, dont GT Channel et Best MOTORing Official, pourrait provoquer des heures devant les écrans. Le nom Keiichi Tsuchiya est important en soi, car Tsuchiya représente un catalyseur de la culture du drift.

    Communément appelé le Drift King, Tsuchiya détient des références en tant que pilote des 24 Heures du Mans, mais la plupart le connaissent pour sa conduite « touge ». Explorer l’impact que l’expression touge (qui signifie passer en japonais) a eu aux États-Unis vaut sa propre anthologie, mais il ne fait aucun doute que Tsuchiya est le visage des exploits sur des chemins de traverse pour de nombreux passionnés.

    Et certains constructeurs automobiles aiment profiter de ce style de vie, croyez-le ou non. Même si je suis sûr que l’équipe juridique de Hyundai a eu du mal avec une représentation pro-drift, la branche performance N-line de Hyundai s’est associée au Drift King lui-même pour promouvoir sa nouvelle Ioniq 5 N. Et les résultats sont naturellement pleins de fumée de pneus.

    Installé au Sydney Motorsports Park en Australie, le Drift King s’exprime aujourd’hui avec la Ioniq 5 N. Mais il prend rapidement l’habitude d’envoyer l’électrique dans de larges dérives.

    Avec 601 chevaux et 745 Nm de couple en fonctionnement normal, il n’est pas tout à fait surprenant que la Ioniq 5 N soit prête à glisser avec le Drift King. Mais ce sont en réalité les changements de vitesse et l’agilité de la voiture qui permettent à Tsuchiya de se sentir chez lui. Cela ne ressemble pas à une voiture de près de 2180 kg.

  • Une mini MINI électrique

    Une mini MINI électrique

    La MINI Cooper version 100 % électrique de nouvelle génération est en route… Mais une autre nouvelle Mini, bien plus mini, arrive via le préparateur David Brown Automotive. Comme de coutume, c’est beau et très cher.

    David Brown Automotive, dont vous vous souvenez peut-être pour le curieux mashup Speedback, a dévoilé son premier modèle électrique. Et malgré les conventions familières du genre EV, il pèse en réalité le même poids que l’ancien.

    Surnommée Mini eMastered, cette Mini électrique troque son ensemble essence contre une batterie de 18,8 kWh et un moteur électrique de 96 chevaux, tous deux rangés sous le capot. Cela lui donne une autonomie de 180 miles, ainsi qu’un poids à vide de seulement 640 kg, ce qui lui permet de s’en tirer avec une très petite batterie par rapport aux normes modernes des véhicules électriques.

    Une vitesse de pointe de 150 km/h lui permet de conserver la convivialité d’une voiture moderne, tandis qu’un sprint de 8,5 secondes de 0 à 100 km/h lui donne suffisamment d’agilité pour suivre le trafic moderne.

    Mais l’échange de groupe motopropulseur n’est qu’une partie d’un programme plus vaste. La société basée à Silverstone a transformé l’intérieur de l’Austin Mini, plutôt spartiate, en une expérience rétro, qui conserve encore un certain lien avec le modèle d’antan. Une certaine mesure de retenue a été exercée en transformant une Mini classique en un modèle de luxe, doté d’un écran d’infodivertissement Pioneer de 7 pouces et de la climatisation.

     

    Si vous avez encore le sentiment tenace d’avoir déjà vu quelque part une petite Mini neuve, vous pensez probablement à la Mini Remastered Oselli Edition, dévoilée en 2021 par la même société. Ce modèle, cependant, utilisait un BMC Série A alésé à 1 450 cm3, lui donnant une puissance fringante de 123 ch.

    La Mini eMastered, en revanche, ne se préoccupe pas autant des chiffres de puissance que de l’autonomie, qui se situe carrément aux côtés de la MINI Cooper SE électrique sortante avec sa batterie beaucoup plus grosse. Mais c’est une BMW moderne, ne l’oublions pas, avec des éléments comme des zones de déformation et des airbags.

    Néanmoins, comme ces véhicules seront destinés aux acheteurs des quartiers les plus chics de Londres, les vitesses routières ne seront probablement pas trop ambitieuses.

    La seule chose qui n’est pas petite dans cette voiture, c’est le prix. Avec l’autocollant indiquant 143 000 euros au taux de change actuel, la Mini eMastered donnera aux acheteurs la possibilité d’acheter au moins trois Mini Coopers électriques bien optionnées…

  • Equipe Bleue et AUTOcult gagnent la Roma Eco Race

    Equipe Bleue et AUTOcult gagnent la Roma Eco Race

    À l’occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité, EQUIPE BLEUE et AUTOcult ont gagné la première édition de la Roma Eco Race, épreuve du Trofeo Green Challenge Cup organisé par la fédération italienne Aci Sport !

    Suivant le précepte d’Ambroise de Milan « si fueris Rōmae, Rōmānō vīvitō mōre », EQUIPE BLEUE a engagé une FIAT 500e au départ de la première édition de la Roma Eco Race.

    Nouvelle épreuve tracée entre Rome et Castel Gandolfo, le rallye partait de Solum Roma et suivait l’historique Via Appia vers les magnifiques lacs Albano et de Nemi, avant de revenir à Rome durant la seconde journée.

    Quinze équipages, à bord de voitures à énergies alternatives (100 % électriques ou hybrides), étaient alignés au départ de la Roma Eco Race et du Memorial Fiammetta La Guidata.

    Alexandre Stricher : « Pour cette première édition, le défi était intéressant. Entre Rome et Castel Gandolfo, au cœur de la circulation, assurer chacun de ses pointages étaient la clé pour s’imposer. Nous avons pris la première place du classement dans le deuxième secteur de régularité et nous avons pu creuser l’écart durant toute la première étape. Nous terminons avec près de quatre fois moins de points de pénalité que le deuxième du classement, un record. »

    Avec l’unique équipage étranger engagé, EQUIPE BLEUE signe une nouvelle victoire et remporte le trophée du Memorial Fiammetta La Guidara : « Un grand merci à l’équipe organisatrice et aux partenaires qui ont participé à la création de cette première Roma Eco Race. Les lieux étaient magnifiques et particulièrement adaptés à la promotion d’une mobilité décarbonée. L’ambiance de la région et le plaisir de rouler 100 % électrique dans les petites ruelles de Castel Gandolfo, de Frascati ou d’Albano Laziale ont marqué notre expérience. Il est certain que la progression de la part de voitures 100 % électriques dans la région renforcera son attractivité. »

  • L’Aston Martin DB5 fête ses 60 ans

    L’Aston Martin DB5 fête ses 60 ans

    L’Aston Martin DB5, l’un des modèles les plus cultes au monde, fête ses 60 ans en 2023. Aston Martin a célébré l’événement en présentant une DB5 aux côtés d’une DB12, le dernier modèle de la marque.

    La DB5 a été dévoilée en 1963. Elle est devenue une icône de la culture britannique, du design et de l’innovation. Elle a également contribué à la réputation d’Aston Martin en tant que marque de luxe britannique synonyme de style, de performance et d’exclusivité. La DB5 a été utilisée dans plusieurs films de James Bond, ce qui a encore accru sa popularité. Il est aujourd’hui l’une des voitures les plus désirables au monde.

    Voici quelques faits sur la carrière de la DB5 :

    • Présentée au salon de l’automobile de Frankfurt en 1963.
    • Propulsé par un moteur six cylindres en ligne de 4,0 litres développant 282 ch.
    • Vitesse de pointe de 240 km/h.
    • Visible dans plusieurs films de James Bond, dont Goldfinger et Thunderball.
    • L’une des voitures les plus collectionnées au monde.
  • 5 raisons de choisir une Volkswagen T-Roc

    5 raisons de choisir une Volkswagen T-Roc

    Parmi les SUV compacts les plus intéressants de ces dernières années, la Volkswagen T-Roc fait partie des modèles les plus intéressants alliant design sportif, performances impressionnantes et adaptabilité. Si vous n’êtes pas du tout renseigné sur ce modèle, il est grand temps de vous mettre à la page. Découvrez dans notre article du jour 5 bonnes raisons d’économiser pour vous offrir une Volkswagen T-Roc. Bonne lecture !

    1. Un design audacieux

    La première chose que nous constatons en jetant un coup d’œil à la Volkswagen T-Roc est évidemment son design particulièrement audacieux, sportif et agressif. Son allure robuste, ses lignes dynamiques et ses détails élégants en font une voiture charismatique qui ne laisse personne indifférent. Il est d’ailleurs possible de personnaliser votre véhicule pour être encore plus spécial et exprimer votre style unique. Un modèle d’occasion Volkswagen T-Roc vous intéresse ? Allez faire un tour sur le site du concessionnaire auto By My Car sans plus tarder !

    2. Une grande adaptabilité

    Bien que la Volkswagen T-Roc soit un SUV compact de taille réduite, vous bénéficiez en son sein d’un intérieur spacieux qui s’adapte à tous vos besoins. Vous pouvez ainsi voyager avec 4 autres passagers, mais aussi rabattre les sièges arrière pour profiter d’un espace encore plus généreux où installer vos bagages. C’est un véhicule idéal pour les trajets en famille, les road trips en amoureux ou encore les escapades en plein air car vous avez la possibilité d’installer un coin nuit et de dormir à même votre véhicule.

    3. Un vaste choix de motorisations

    Faites le point sur vos besoins et vos préférences pour sélectionner la motorisation qui vous correspond. La Volkswagen T-Roc est appréciée pour ses performances et peut répondre à différentes envies de conduite. C’est à vous de choisir entre un moteur essence ou diesel dont la puissance peut être plus ou moins élevée selon vos attentes. Retenez que certains modèles offrent aussi des versions à transmission intégrale pour que vous puissiez bénéficier d’une meilleure adhérence quel que soit le terrain.

    4. Des équipements technologiques de haute pointe

    L’une des bonnes raisons pour lesquelles vous avez tout intérêt à choisir une Volkswagen T-Roc est le nombre d’équipements technologiques qu’elle propose et qui optimisent votre expérience de route. Votre confort, votre sécurité et votre connectivité sont largement améliorés et vous profitez de moments de conduite uniques et particulièrement agréables. Entre système d’infodivertissement avec écran tactile, connectivité smartphone, systèmes d’aide à la conduite ou encore régulateur de vitesse automatique, vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer.

    5. Un gage de sûreté et de fiabilité

    Si vous ne le savez pas encore, notez que Volkswagen est connue pour la fiabilité encore plus, et le modèle T-Roc en est la preuve. Ce véhicule solide, résistant et robuste se distingue de par la qualité de ses matériaux de construction et sa durabilité à long terme. Prenez soin de votre Volkswagen T-Roc régulièrement et vous pourrez bénéficier d’une expérience de conduite fiable et sans soucis.

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    Alors, qu’attendez-vous pour vous renseigner sur les différents vendeurs proposant le Volkswagen T-Roc ?

  • Darwinisme : MINI

    Darwinisme : MINI

    La MINI est une petite voiture emblématique qui a marqué l’histoire de l’automobile. Conçue par Alec Issigonis pour British Motor Corporation (BMC), elle a été produite pour la première fois en 1959. La Mini a connu un succès immédiat, notamment en Grande-Bretagne, où elle est devenue une voiture populaire pour les jeunes et les familles.

    La première génération

    La première génération de Mini était disponible en deux versions : la Morris Mini Minor et l’Austin Seven. Ces deux voitures étaient équipées d’un moteur quatre cylindres de 850 cm3 qui développait 34 ch. La Mini était une voiture très compacte, avec une longueur de seulement 3,05 mètres. Elle était également très maniable, ce qui en faisait une voiture idéale pour la ville.

    La Mini a connu un succès commercial important, avec plus de 5 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle a également été très populaire dans le monde du sport automobile, notamment en rallye. La Mini Cooper S a remporté le Rallye de Monte-Carlo à trois reprises, en 1964, 1965 et 1967.

    La deuxième génération

    En 2001, la Mini a été relancée par BMW, qui avait racheté Rover Group, la société mère de BMC. La nouvelle MINI était plus grande et plus puissante que la première génération, mais elle conservait le même style et la même maniabilité.

    La deuxième génération de MINI a été un succès commercial, avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus dans le monde entier. Elle est toujours produite aujourd’hui, et elle est disponible en une variété de versions, notamment la MINI Cooper, la MINI Cooper S et la MINI John Cooper Works.

  • Assurance auto : comment trouver la meilleure offre ?

    Assurance auto : comment trouver la meilleure offre ?

    L’assurance auto est une obligation légale pour tous les propriétaires de véhicules à moteur. Elle permet de couvrir les dommages matériels et corporels causés à autrui en cas d’accident.

    Dans cet article, nous vous proposons un guide complet sur l’assurance auto. Nous vous expliquerons les différents types d’assurance auto, les garanties qui sont proposées, et comment choisir la meilleure offre.

    Les différents types d’assurance auto

    Il existe trois principaux types d’assurance auto :

    L’assurance au tiers simple : elle couvre uniquement les dommages matériels causés à autrui en cas d’accident.
    L’assurance au tiers étendu : elle couvre également les dommages corporels causés aux passagers de votre véhicule.
    L’assurance tous risques : elle couvre tous les dommages causés à votre véhicule, y compris les dommages causés par vous-même.

    Les garanties proposées

    En plus de la responsabilité civile, les assurances auto proposent une variété de garanties facultatives. Ces garanties peuvent couvrir des dommages supplémentaires, tels que :

    La protection juridique : elle vous permet d’être représenté par un avocat en cas de litige.
    L’assistance 0 km : elle vous permet d’être dépanné en cas de panne ou d’accident, même si vous êtes à plus de 0 km de chez vous.
    La garantie bris de glace : elle couvre les frais de réparation ou de remplacement des vitres de votre véhicule.
    La garantie vol : elle couvre le vol de votre véhicule.

    Comment choisir la meilleure offre

    Pour choisir la meilleure offre d’assurance auto, vous devez comparer les tarifs et les garanties proposés par les différentes compagnies d’assurance. Vous pouvez utiliser un comparateur d’assurance auto en ligne pour vous faciliter la tâche.

    Voici quelques critères à prendre en compte lors de votre comparaison :

    Le tarif : bien entendu, le tarif est un critère important. Cependant, il ne faut pas le négliger au détriment des garanties.
    Les garanties : il est important de choisir une assurance auto qui couvre tous vos besoins.
    Les conditions générales : prenez le temps de lire attentivement les conditions générales avant de souscrire une assurance auto. Cela vous permettra de connaître les exclusions de garantie et les plafonds d’indemnisation.

    L’assurance auto est un contrat important qui vous protégera en cas d’accident. En suivant les conseils de cet article, vous pourrez trouver la meilleure offre pour votre situation.