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  • Publicité : Hyundai Genesis

    Publicité : Hyundai Genesis

    Non, il n’est pas possible de voir la Muraille de Chine depuis la Lune ! En revanche, depuis l’orbite terrestre, tout ou presque est visible. C’est parfois très utile pour se déplacer grâce au système GPS, parfois plus difficile à apprécier lorsque l’idée est de faire du renseignement.

    Pour ceux qui ont la chance de partir en orbite, une activité désormais ouverte à tous les (riches) explorateurs, la vue de la Terre depuis l’espace est une expérience inoubliable.

    Une dizaine de touristes ont déjà séjourné dans la station spatiale internationale (ISS). Virgin Galactic commercialise des voyages de quelques heures à une centaine de kilomètres d’altitude pour regarder la planète sous un nouvel angle et passer quelques minutes en apesanteur. Près d’un millier de personnes, dont quelques stars, auraient déjà payé 150 000 euros pour réserver leur place.

    C’est avec ce rêve de voir la Terre depuis l’espace que Hyundai a invité la fille d’un spationaute américain à passer un message à son père, lancé en orbite dans l’ISS.

    Stephanie, 13 ans, a dessiné son message sur une feuille de papier… Onze conducteurs de Hyundai Genesis ont ensuite été en charge de sa retranscription dans un lac asséché du Nevada.

    « Steph loves you! » s’étale sur l’équivalent d’une fois et demie Central Park et entre dans le Livre des Records comme le plus grand message écrit avec des pneumatiques.

    La Hyundai Genesis est commercialisée en France. Grande berline de la marque coréenne, elle est proposée avec un moteur V6 3,8 litres de 315 chevaux et une transmission à quatre roues motrices.

    Voici la vidéo :

    Sponsorisé par Be On

  • Essai Hyundai i20 : en souplesse

    Essai Hyundai i20 : en souplesse

    Qu’il doit être difficile de concevoir une citadine avec l’ambition de devenir une référence. Hyundai avait certainement cet objectif en développant la i20. Tout est pensé pour en faire une bonne voiture et c’est réussi.

    J’avais déjà avoué que mon premier avis était souvent tranché en moins de cinq kilomètres lorsque je m’installais au volant d’une voiture. C’est un sentiment très personnel, souvent porté par mon humeur. Avec cette i20, c’était gagné !

    Les ventes de la précédente i20 en Europe ne reflétaient pas la puissance de Hyundai en tant que constructeur mondial. Il fallait donc de la nouveauté, même un électrochoc. Mais comment lancer une révolution dans un segment aussi cerné que celui des citadines ?

    Le bon équilibre

    Présenter un modèle trop singulier, ce serait s’exclure d’un marché très consensuel. Être sur la défensive reviendrait à se cacher dans la masse. L’équation est bien difficile…

    hyundai-i20-arriere

    Avec cette nouvelle i20, Hyundai dévoile une voiture à la silhouette soignée, capable de passer partout, en restant actuelle. Sans extravagance, le design traversera certainement les années. Le montant arrière, laqué noir, apporte une touche d’originalité. La longueur (4 035 millimètres) et surtout son empattement de 2 570 mm aident à asseoir le dessin et participent à l’excellente habitabilité. Et pour la touche d’originalité, quelques teintes sont vraiment attirantes : Red Passion de l’essai ou Mandarine Orange, Iced Coffee, Sleek Silver, Star Dust, Aqua Sparkling… Mention poésie inutile au marketing.

    A l’intérieur, les choix sont un peu plus marqués. Les sièges sont confortables et la planche de bord est bien dessinée. Le plus simplement du monde : l’ambiance est très agréable. Sans en faire des tonnes, ça permet de se sentir bien dans l’auto. On peut regretter toutefois la qualité de l’écran central, d’une autre génération. L’idée de proposer un support pour utiliser les fonctions de son téléphone peut être particulièrement bonne. D’abord destiné à réduire le coût d’achat de la voiture, elle est parfaite pour les possesseurs d’un téléphone compatible.

    hyundai-i20-interieur

    L’idée d’avoir un réel équipement multimédia est forcément préférable… Mais ce système d’intégration du téléphone offre beaucoup d’avantages. Les ultra-connectés aimeront. Ce sera vraisemblablement un vrai problème pour les autres.

    L’équipement est riche et le fait payer. Détecteur de collision, alerte de franchissement de lignes : on atteint des standards d’une gamme supérieure.

    Une Hyundai i20 pleine de souplesse

    En attendant l’arrivée d’un petit moteur 1,0 litre turbocompressé de 120 chevaux, j’ai roulé avec le 1,2 litre 84 chevaux associée à une boîte manuelle à cinq rapports. L’ensemble est d’une géniale souplesse, en ville comme sur route.

    L’extrême attention apportée à la souplesse de l’ensemble entraine immanquablement un réel manque de nervosité. Les 84 chevaux et 122 Nm de couple peinent à apporter le surcroit de sécurité parfois nécessaire… C’est mou même pour une voiture de 980 kilogrammes (poids à vide).

    Le châssis est au diapason. La souplesse de l’ensemble participe autant à la bonne expérience de cet essai.

    L’AUTO est-elle cult ?

    Quatrième constructeur mondial, Hyundai ne se cache plus pour conquérir des parts de marché sur un segment particulièrement concurrentiel en Europe. L’i20 est un produit abouti, tout à fait capable de s’immiscer au coeur des références de la catégorie. Il faudra néanmoins attendre le nouveau moteur turbo essence pour être pleinement convaincu. Désormais en quête d’une position de référence, Hyundai ne fait plus de cadeau tarifaire. Ce n’est pas un point faible, mais ce n’est plus un atout.

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    J’aime
    L’ambiance intérieure
    Les teintes de carrosserie
    La souplesse de conduite

    J’aime moins
    Le manque de couple du moteur 1,2 litre 84 chevaux

    Quelques données :
    Modèle essayé : Hyundai i20 1.2 84 Creative
    Tarif : 17 700 euros
    Moteur : 4 cylindres en ligne, 1 248 cm3
    Puissance (ch/kW) : 84 / 62 à 6 000 tours/minute
    Couple : 122 Nm à 4 000 tours/minute
    Transmission : roues avant motrices, boîte de vitesses mécaniques à 5 vitesses
    L/l/h (mm) : 4 035 / 1 734 / 1 474
    Poids à vide : 980 kg
    Capacité du coffre (l.) : 326 – 1 042
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 6,0 / 4,1 / 4,8 / 5,8
    Emissions de CO2 : 119 g/km
    0 – 100 km/h (s) : 13,1
    Vitesse maxi : 170 km/h

  • WRC 2015 : Citroën/DS, Volkswagen, Hyundai et Ford sont prêts

    WRC 2015 : Citroën/DS, Volkswagen, Hyundai et Ford sont prêts

    Demain matin, le WRC reprendra ses droits avec le Rallye Monte-Carlo, après 2 mois de pause. Les quatre constructeurs engagés dans cette compétition extrême sont prêts, avec leurs meilleurs pilotes, copilotes et leurs montures bien sûr. Voici donc les livrées de chacun de ses bolides, à savoir Hyundai i20 WRC, Ford Fiesta RS WRC, Citroën DS 3 WRC et Volkswagen Polo WRC. A ses teams officiels viennent aussi quelques pilotes privés, tels que le Polonais Robert Kubica ou l’Ukrainien Yuriy Protasov.

    En images, revue des troupes, avant le départ de la première spéciale, demain 20h21.

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     Volkswagen Polo R WRC (2015) Volkswagen Polo R WRC (2015)

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    citroen ds3 wrc protasov

  • Dessin : Hyundai Greenspeed Gator

    Dessin : Hyundai Greenspeed Gator

    Quasiment tous les constructeurs ont tenté d’inventer les véhicules dédiés à la « mobilité » de demain durant cette dernière décennie. Face à des bulles plus ou moins formées, Hyundai s’est attaché à une autre notion en présentant son Greenspeed Gator lors de la compétition de design LA Adventure du Los Angeles Auto Show 2006.

    hyundai-greespeed-gator-02

    La marque coréenne s’est inspirée des dragsters en cachant ses moteurs électriques abreuvés d’hydrogène dans ses énormes roues arrière. Un peu de folie, c’est toujours bon !

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  • Essai Hyundai Veloster Turbo : attirante

    Essai Hyundai Veloster Turbo : attirante

    Certains modèles évoquent des souvenirs. Des souvenirs d’enfance de l’idée que l’on se faisait de la voiture rêvée… Après quelques centaines de kilomètres au volant de la Hyundai Veloster Turbo, j’ai retrouvé ces sensations. Petit, j’ai rêvé de la conduire.

    Enfant, j’usais la banquette arrière d’une Alfa Romeo… Une voiture qui savait se faire remarquer avec un vrai moteur sans que ce soit une version sportive. Je me suis fait à l’idée que je conduirai, plus tard, un modèle avec « un peu de puissance mais pas trop » et une gueule sympa.

    hyundai-veloster-turbo-essai

    Côté look, la Hyundai Veloster Turbo ne cache rien. Bas et large, ce « coupé » (on y reviendra) montre sa large calandre, deux ouvertures sur le capot, des boucliers travaillés, un extracteur et deux grosses sorties d’échappement centrées. C’est saisissant.

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    Tellement saisissant que des passants m’ont posé des multitudes de questions… « C’est une Honda ? » Non, une Hyundai ! « Et il y a trois portes mais cinq portes ? » C’est pile au milieu ! J’ai cru devenir concessionnaire. Et je crois avoir réussi à convaincre un futur client d’aller en essayer une très vite…

    hyundai-veloster-turbo-profil

    4 portes ?
    Un Coupé quatre portes ? Non, ce Veloster n’a pas cédé à la mode allemande du moment. Hyundai a simplement joué avec certains codes. Beaucoup de clients de ce genre de jouets préfèrent les 3 portes. Mais la présence, voire l’arrivée, d’un bébé peut largement compliquer l’utilisation d’un tel modèle. Une porte arrière a donc été greffée, uniquement côté droit ! C’est simple, astucieux et surtout pratique.

    hyundai-veloster-turbo-avant

    Clé main libre, bouton Engine Start… Le moteur est moins bruyant que la silhouette est tape à l’œil. Le levier de commande de boîte est court, le 1,6 T-GDI de 186 chevaux monte vite dans les tours en gagnant quelques décibels.

    186 chevaux, c’est pleinement suffisant pour se faire plaisir en respectant les limitations drastiques de notre ère… Certes, il en manque beaucoup pour se frotter aux références sportives de la catégorie mais les premières sensations légales sont très présentes.

    hyundai-veloster-turbo-187

    Le châssis semble pouvoir encaisser quelques dizaines de chevaux supplémentaires. Et les aides – ESP en tête – se déclenchent prématurément. Ce doit être extrêmement frustrant sur circuit mais c’est une belle piqure de rappel pour les bons pères de famille (rappelez-vous la portière arrière droite !).

    hyundai-veloster-t

    La direction participe à cette expérience portée par la commande de boîte et le pédalier. Et le rayon de braquage est une référence.

    Ce fameux bon père de famille sera également conquis par le confort proposé par l’habitacle du Veloster Turbo. Sièges baquets en cuir chauffants et électriques, toit panoramique et ouvrant, écran 7 pouces avec radar de recul, huit haut-parleurs dont un subwoofer.

    hyundai-veloster-turbo-arriere

    L’AUTO est-elle cult ?
    Certes, il paraît difficile de qualifier cette Hyundai Veloster Turbo de voiture parfaite. J’aurais aimé un peu plus de chevaux, un ESP moins présent, un son un peu plus valorisant… Mais c’est un vrai plaisir de se mettre au volant. J’ai été conquis. A 27 650 euros, elle se situe entre les citadines et les berlines compactes sportives. Moins radicale, elle est surtout dotée d’une gueule d’enfer et d’une polyvalence rare.

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Modèle essayé : Hyundai Veloster Turbo
    Tarif : 27 650 euros
    Moteur : Essence, 4 cylindres, turbo, 1 591 cm3
    Puissance : 186 chevaux / 137 kW à 5 500 tours/minute
    Couple : 265 Nm de 1 500 à 4 500 tours/minute
    Transmission : aux roues avant, boîte mécanique à 6 rapports
    L/l/h (mm) : 4 250 / 1 805 / 1 399
    Poids à vide : 1 313 kg
    Capacité du coffre (l.) : 320 – 1 015
    Vitesse maximale : 214 km/h
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 9,3 / 5,5 / 6,9 / 8,3
    Emissions de CO2 : 157 g/km

  • Essai Hyundai ix35 Fuel Cell : le premier élément

    Essai Hyundai ix35 Fuel Cell : le premier élément

    Comment combiner les avantages du véhicule électrique avec ceux d’une voiture à moteur essence ou Diesel ? Comme beaucoup d’autres constructeurs, Hyundai travaille sur la pile à combustible et l’hydrogène. Deux ix35 Fuel Cell roulent déjà en France.

    hyundai-ix35-fuel-cell-arriere

    Rouler en silence, sans vibration, sans émission de particules nocives… Un moteur électrique possède des avantages indéniables. En revanche, les désagréments liés à la batterie, tant pour l’autonomie que pour le lieu ou le temps de recharge, sont un vrai frein à son développement.

    hyundai-ix35-fuel-cell-avant

    En intégrant une pile à combustible et un réservoir d’hydrogène à l’état gazeux, la Hyundai ix35 Fuel Cell apporte une vraie solution. En faisant le plein (un seul lieu en France et fermé au public), il est possible de faire bien plus de 500 kilomètres. Lors de l’essai, 140 kilomètres ont été couverts. L’autonomie est passée de 510 à 385 kilomètres.

    hyundai-ix35-fuel-cell-reservoir

    Dans la pile, l’hydrogène passe au-dessus de l’anode. Le proton et l’électron sont séparés. L’électron part vers le circuit électrique et fait tourner le moteur. Le proton récupère l’électron à la cathode et forme une molécule d’eau (H20) en rencontrant l’oxygène envoyé par le filtre à air. Le pot d’échappement ne rejette donc que de la vapeur d’eau.

    hyundai-ix35-fuel-cell-moteur

    Chaque plein d’environ 5 kilogrammes d’hydrogène à l’état gazeux dans un réservoir spécifique placé dans le coffre ne prend que trois minutes (contre un peu moins de deux minutes pour de l’essence ou le Diesel).

    hyundai-ix35-fuel-cell-air-liquide

    Sur le papier, nous avons donc trouvé une solution d’avenir. Sauf que…

    Sauf qu’il n’existe pas de station permettant de faire le plein d’hydrogène en France. Un unique point existe à Sassenage à l’intérieur d’un site sécurisé.

    hyundai-ix35-fuel-cell-interieur

    En France, Hyundai s’est donc associé à Air Liquide pour faire rouler deux ix35 Fuel Cell, parfaitement homologuées et immatriculées.

    L’idée de cette collaboration est bien de lancer une vaste entreprise de lobbying en s’appuyant sur les contacts d’Air Liquide au cœur de l’Etat. Car si l’idée de la pile à combustible n’est pas nouvelle, elle n’a jamais réussi à s’imposer.

    hyundai-ix35-fuel-cell-h2o

    A l’image de ce qui empêche le véhicule électrique de se développer, l’hydrogène rencontre les mêmes difficultés… Il n’existe aucun lieu pour faire le plein.

    Aucun constructeur ne veut proposer un modèle si l’infrastructure n’est pas en place. Personne ne veut déployer une infrastructure s’il n’existe pas de marché déjà existant. Cercle vicieux qui ne peut être cassé que si les pouvoirs publics, en France comme dans d’autres pays, prennent réellement l’initiative de déployer le réseau et d’accompagner les marques.

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    En 2014, 176 voitures dotées de piles à combustible sont en circulation en Europe dont 40 Hyundai iX35 visibles en Allemagne, en Belgique et au Danemark. Elles se partagent 23 stations de recharge. On estime à un millier le nombre de points de ravitaillement, uniquement en France, pour aider au déploiement de la technologie. Pour rappel, il existe 1 700 stations proposant du GPL en France…

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    Au volant, cette ix35 Fuel Cell se comporte comme un SUV qui aurait adopter un moteur électrique. Il souffre simplement d’un fort embonpoint (+220 kg à 1 830 kg à vide) qui font peiner les 100 kW du moteur électrique (comprenons 136 chevaux). Accélération et reprises sont particulièrement calmes et la tenue de route est aussi en rapport avec la masse importante et le volume du prototype.

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    Un train différentiel remplace l’habituelle boîte de vitesses. Il permet de rouler dans un  mode Drive à un seul rapport puis de jouer avec deux autres options : E pour économique avec une cartographie différente ou L visant à forcer le chargement des batteries par la récupération de l’énergie cinétique.

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    L’AUTO est-elle cult ?

    Voiture homologuée, la Hyundai ix35 Fuel Cell n’en reste pas moins un véhicule de démonstration, voire un prototype.  La marque ne communique d’ailleurs pas sur la valeur d’un tel modèle. Cette quatrième génération d’études n’est qu’une étape supplémentaire dans le développement de la technologie. En 2017, une nouvelle voiture sera proposée à des professionnels et l’idée est de profiter d’une infrastructure enfin existante pour s’attaquer au marché des particuliers en 2020 ou 2021…

    hyundai-ix35-fuel-cell-face

    Quelques données :

    Moteur : électrique
    Puissance électrique : 100 kW / 136 chevaux
    Couple électrique : 300 Nm
    Transmission : train différentiel
    L/l/h (mm) : 4 410 / 1 820 / 1 670
    Poids à vide : 1 830 kg
    Capacité du coffre (l.) : 465 / 1 436
    Vitesse maximale : 160 km/h
    0-100 km/h : 12,5 secondes
    Consommations mixte / essai (kg / 100 km) : 0,95
    Emissions de CO2 : 0 g/km

  • Genève : 5 concepts (ou pas) à retenir

    Genève : 5 concepts (ou pas) à retenir

    A Genève, il y a beaucoup de nouveaux modèles prêts à envahir les concessions, quelques voitures de rêves et des dizaines de concept visant à tester des options… Voici un top 5 de ce qui est pleinement réussi !

    Maserati Alfieri
    Maserati n’a pas vraiment l’habitude de présenter des concept-cars dans les salons. A Genève, la marque italienne dévoile l’Alfieri : un coupé racé imaginé pour dessiner la remplaçante de la Granturismo. Maserati veut doper ses ventes, l’Alfieri est là pour le montrer.

    maserati-alfieri

    Jeep Renegade
    Autre surprise de ce salon de Genève… Jeep présente le Renegade, un SUV compact avec une très grosse empreinte « Jeep ». La taille est parfaitement en adéquation avec la mode européenne. D’accord, ce n’est pas un concept… Il va sortir très bientôt !

    jeep-renegade

    Volvo Concept Estate
    On l’avait déjà vu en photos, on l’admire encore davantage sur le salon de Genève. Encore une fois, Volvo joue très juste dans ses concepts. Quasiment rien à ajouter à part : commercialisez-le !

    volvo-concept-estate

    Hyundai Intrado
    Récemment récompensé pour ses travaux, Peter Schreyer montre son idée de ce que pourrait être la remplaçant de la Hyundai iX35 avec son concept Intrado. C’est très travaillé mais tout à fait simple. Du design pur, à l’extérieur comme à l’intérieur.

    hyundai-intrado

    Mazda Hazumi
    Annoncé comme un vrai concept ne visant qu’à donner une idée de ce que sera la Mazda2, Hazumi semble être très proche d’une réalité commerciale. Et si Mazda décide de s’inspirer pleinement de ce design (surtout à l’intérieur), ça promet !

    mazda-hazumi

  • Pub Super Bowl 2014 : Hyundai

    Pub Super Bowl 2014 : Hyundai

    Pour la septième année consécutive (comme Audi), Hyundai sera présent ce soir lors du Super Bowl. Les deux films, pour l’Elantra et la Genesis, ont déjà été présentés. Les deux ont été réalisés par Innocean.

    Pour l’Elantra, Hyundai a choisi Johnny Galecki (le Docteur Leonard Hofstadter de la série The Big Bang Theory) et Richard Lewis (un comédien de stand –up) dans un film baptisé Nice, déjà vu près de 12 millions de fois sur youtube.

    Le second, plus familial, est nommé Dad’s sixth sense pour la promotion de la Genesis. Un peu plus d’un million de vues sur youtube.

  • Comment le patron de Hyundai a échappé à la prison

    Comment le patron de Hyundai a échappé à la prison

    D’abord qualifié d’insipide sans vision réelle de l’avenir, Chung Mong Koo a porté Hyundai à la quatrième place mondiale derrière Toyota, General Motors et Volkswagen. Sa force fut de modifier l’approche de l’entreprise dans la conception de ses modèles. Mais il a aussi dû faire face à de profonds problèmes judiciaires.

    Ils étaient peu à croire en Chung Mong Koo lorsqu’il est arrivé à la tête de Hyundai Motor en 1999. Aux commandes du département après-vente du constructeur, il n’avait jamais montré de réelles qualités de manager. Lors de sa nomination, le fils de Chung Ju Yung, le fondateur du conglomérat, avait même été qualifié d’insipide par la presse économique.

    Mais il a fait preuve d’un rare talent de visionnaire. Il a forcé ses équipes à atteindre le même niveau de qualité que Toyota. Une mission accomplie qui lui a permis d’être nommé parmi les meilleurs managers de l’année 2004 selon Business Week.

    Alors que toute la stratégie de Hyundai était tournée vers les méthodes de production, il a convaincu ses équipes de travailler sur la réputation de la marque et la qualité perçue des modèles.

    chung-mong-koo-hyundai-genesis

    En 2006, la famille de Chung Mong Koo traverse une période très difficile. Le patron de Hyundai et ses proches sont visés par une enquête du bureau du procureur. Ils sont accusés d’avoir créé une caisse noire d’une centaine de millions d’euros. Malgré une interdiction de sortie du territoire, Chung quitte la Corée du Sud en avril.

    Il est arrêté le 28 avril et accusé de détournement de fonds et de corruption. Il est reconnu coupable le 7 février 2007 et condamné à trois ans de prison.

    Chung fait appel et il est laissé en liberté. Le 6 septembre 2007, le juge décide de suspendre la peine compte-tenu de l’énorme impact économique que l’incarcération pourrait avoir. Il la transforme en travaux d’intérêts généraux et en donation d’un milliard de dollars à des œuvres de charité.

    Le 15 août 2008, à l’occasion de la fête d’indépendance, le ministère de la justice ordonne l’annulation de toutes les charges et des sentences pour permettre à Chung Mong Koo de continuer à contribuer au développement de Hyundai Motor et de l’économie coréenne.

    Et Chung a continué de faire progresser son groupe jusqu’à entrer dans le top 50 des personnes les plus influentes de Bloomberg en 2012.

  • 2014 : Messages aux capitaines de l’industrie automobile

    2014 : Messages aux capitaines de l’industrie automobile

    Début d’année… Il est temps d’exposer ses bonnes résolutions. Comme nous savons pertinemment que nous ne les tiendrons jamais, nous avons préféré adresser de courts messages aux grands de ce monde automobile pour bien commencer 2014. Les voici :

    Message à Carlos Ghosn (Renault et Nissan)
    Tous nos vœux pour la Chine ! Le succès sur le premier marché mondial est capital pour l’avenir de la marque. Mais il est aussi important de penser à la France (oui, c’est un Français qui dit ça). Renault a été le fleuron de l’industrie nationale et une vitrine sociale. Que Renault redevienne cette entreprise très française, dans son ADN, son style, ses produits, ses usines. Donnez une identité aux Renault (pas seulement en agrandissant le logo). Faites-nous une vraie Twingo à la touche française. Capitalisez sur les immenses succès de Renault Sport F1. Qui achète une Renault pour son moteur ? Et on veut aussi sentir le retour imminent d’Alpine ! Communiquez, faites-nous rêver !

    Renault Twin'Run

    Message à Carlos Tavares (PSA Peugeot Citroën)
    Bienvenue ! Je préfère adresser directement ce message à Carlos Tavares plutôt qu’à Philippe Varin… Je suis vraiment confiant quant au positionnement des marques. Peugeot, DS et Citroën ont le potentiel pour trouver leur public. C’est surtout sur les plans capitalistique et industriel qu’il faut souhaiter le meilleur à PSA Peugeot Citroën. Obligez l’Etat français à prendre ses responsabilités comme les Etats-Unis l’ont fait avec General Motors. Et que le développement de la production se fasse par les usines françaises.

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    Message à Sergio Marchionne (FIAT et Chrysler)
    Nous comprenons parfaitement que l’idée de fusion entre FIAT et Chrysler soit un énorme chantier. Mais est-il nécessaire de sacrifier les plans produits de trop nombreuses marques ? Alfa Romeo a quasiment manqué une génération complète de modèles. Lancia voit son identité disparaître et FIAT est une gamme de 500. Pensez d’abord aux produits. Que les marques italiennes aient une vraie identité italienne et que les marques américaines aient une vraie identité américaine. Qu’importe qui a conçu le châssis. L’idée d’une Alfa Romeo Duetto partagée avec Mazda est à dupliquer entre FIAT et Chrysler.

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    Message à Mary Barra (General Motors)
    Félicitation pour votre nomination. L’arrivée d’une femme à la Direction Générale du deuxième groupe mondial est forcément marquante. Maintenant que les célébrations sont terminées, soyons clairs : le genre, l’âge, la couleur, la religion, la nationalité ou les préférences sexuelles n’ont aucune importance. C’est la loi du libéralisme (ou du communisme le plus basique, selon vos goûts). Maintenant, il va falloir profiter du travail effectué ces dernières années et nous faire oublier les disparitions de Pontiac, Saturn, Hummer, Saab ou Oldsmobile… Et même de Chevrolet Europe ! Et pour ça, il va falloir être très, très fort avec Opel sur notre continent.

    Mary-Barra

    Message à Martin Winterkorn (Volkswagen)
    Le Groupe Volkswagen semble se porter tellement bien qu’il parait difficile d’en souhaiter davantage. Peut-être de faire conserver à Porsche son identité, d’en retrouver une pour Seat et de considérer Bugatti comme une danseuse. La marque alsacienne peut perdre de l’argent dans le groupe tant qu’elle nous fait rêver. Car on veut de nouveaux concepts !

    iaa_bugatti

    Message à Norbert Reihofer (BMW)
    Après les M, les X et les i, vous annoncez des tractions à carrosserie de monospace avec des moteurs de trois cylindres. Il est compréhensible de cumuler les modèles pour conquérir des parts de marché mais il est nécessaire de conserver une réelle identité. On voit bien la différence fondamentale entre une M et une i… Autant ne pas mélanger un monospace au reste des « Série » avec une dénomination déjà utilisée. Mercedes s’est parfois un peu perdu ces dernières années avec ce jeu. Soyez vigilent car vos clients le seront !

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    Message à Norbert Zetsche (Mercedes)
    Le vieillissement de la gamme est en train d’être totalement effacée sous l’impulsion de la famille Classe A. Mercedes-Benz devient presque jeune et branché. On ne peut pas qu’apprécier ! Continuez.

    Mercedes-GLA

    Message à Akio Toyoda (Toyota)
    Toyota a accéléré le développement de l’industrie automobile en commercialisant la Prius en 1997. Toyota a surmonté des énormes problèmes de rappels, Toyota a oublié les catastrophes de Fukushima et Toyota a répondu aux critiques d’une gamme trop sobre avec les GT86 et Lexus LFA. On ne peut que vous demander de nous inventer l’avenir. C’est aussi ça le rôle du numéro 1 mondial : recommencez l’exploit de la Prius !

    Toyota_FCV

    Message à Alan Mulally (Ford)
    Merci d’avoir refusé l’offre de Microsoft. Restez à la tête de Ford tant que vous le pouvez ! Il reste encore du travail pour appliquer la vision globale de mobilité imaginée par Henry Ford. De nouvelles carrosseries, de nouvelles motorisations, de nouvelles façons de se déplacer, voilà ce qu’on attend de Ford. Mark Fileds aura la patience nécessaire au numéro 2 qui rêve d’être numéro 1, non ?

    ford_ecosport_suv_01

    Message à Chung Ju-yung (Hyundai)
    En cette année de Coupe du Monde de Football, nous allons voir du Hyundai partout… C’est l’occasion de poursuivre cette croissance globale exceptionnelle. Que Hyundai soit le nouveau Toyota, avec un peu plus de rêve. (Et engagez Bryan Bouffier sur la i20 WRC !)

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    Message à Takanobu Ito (Honda)
    Vous étiez à la tête du R&D de Honda avant de devenir le grand patron du groupe. On veut que Honda soit un constructeur leader dans les nouvelles technologies. On veut du VTEC de nouvelle génération. On veut qu’une Honda soit un emblème de la technologie japonaise. Une NSX qui serait plus qu’une simple rivale de l’actuelle production, de nouveaux modèles qui ne seraient pas inscrits dans le présent mais dans l’avenir. Je rêve d’un croisement entre une Civic et ASIMO !

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  • Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Francfort : ce qu’il ne faut pas rater !

    Les journées presse sont terminées… Désormais, le Salon de Francfort va être ouvert au public. Voici ce qu’il faudra voir si vous passer quelques heures dans cette immensité dédiée à la mécanique (et à la mécanique allemande).

    Entrée par le Hall 2… Ce premier bâtiment est entièrement consacré à l’univers Mercedes. Conférence de presse lancée par un DJ très funk avec batteur, saxophoniste et trompettiste à bretelles. La marque à l’étoile travaille sa nouvelle image jeune, branchée, très dandy.

    L’ambiance change avec l’arrivée de l’homme à la moustache. Si Mercedes veut se rajeunir par le design de ses nouveaux modèles (voire nouvelles niches), Dieter Zetsche place l’ingénierie au cœur des priorités avec une longue présentation de la voiture autonome, sans grand intérêt dans le contexte de journées presse dédiées aux premières mondiales et à la découverte de concepts (c’est dit !). Heureusement, des GLA et surtout l’arrivée du concept Classe S Coupé ont redonné des raisons de se promener autour des voitures.

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    Départ vers le Hall 3. Volkswagen y impose sept marques avec Skoda, Seat, Bentley, Bugatti, Lamborghini et Porsche (en plus de Volkswagen !).

    Chez VW, l’ambiance est très « e » avec une longue liste de modèles électriques et hybrides à venir autour des Golf R et Golf Sportsvan dont l’allure est pourtant moins « sportive » que l’ancienne Plus.

    Petit moment sympa chez Skoda lorsque Jozef Kaban, patron du design extérieur de la marque, a pris une tablette – reliée à un écran géant – pour dessiner la partie avant de la Rapid Spaceback, l’une des premières mondiales du salon. En face, Seat mise beaucoup sur la Leon ST.

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    Chez Bugatti, on s’arrête devant la Jean Bugatti Vitesse Legend Edition. « La même en mieux. » Pas de grande nouveauté non plus chez Lamborghini et Porsche qui déclinent des versions déjà existantes ou connues.

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    Dans le 3.1, Mitsubishi est voisin de Chang’an. La seule marque chinoise venue à Francfort présente un gros SUV, le CS75, sans la moindre ambition de le vendre en Europe !

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    Passage par l’Agora où s’est installé Audi. L’A3 Cabriolet et A8 sont mis en avant mais ce sont les Sport quattro concept et nanuk quattro concept qu’il faut aller voir dans un environnement très réussi de ville retournée.

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    Changement d’ambiance dans le Hall 5. Quelques préparateurs stars accompagnent les « Britanniques » Jaguar, Land Rover et Aston Martin, Infiniti et Volvo.

    Chez Jaguar, il faut s’arrêter devant la C-X17. Comme pour d’autres, l’idée est d’explorer le marché très porteur des SUV. Et contrairement à d’autres, le concept est très réussi avec une vraie filiation au sein de la marque. Plus loin, Infiniti et Volvo présentent deux des plus belles réalisations du salon.

    En Allemagne, Infiniti a profité de ses accords avec Red Bull Racing pour faire venir Sebastian Vettel. Le triple Champion du Monde de F1 était présent pour dévoiler la très belle Q30. Et Infiniti a clôturé sa journée par une soirée assez jet-set.

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    Chez Volvo, c’est le Concept Coupe qui a attiré tous les regards. Garée sous une extraordinaire P1800, cette nouveauté hybride reste très loin d’être commercialisable en l’état mais on ne peut que pousser Volvo à avancer sur cette voie.

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    L’Italie et Hyundai sont installés dans le Hall 6. Rien d’inoubliable chez Lancia, Maserati, Fiat, Abarth, Alfa Romeo ou Jeep. Hyundai présente sa nouvelle i10.

    Ferrari propose sa 458 Speciale. Sur le papier, c’est très convaincant. Mais ce n’est pas franchement une nouvelle voiture.

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    On entre dans la seconde partie du salon après, déjà, quelques kilomètres de marche. Le Hall 8 est celui des marques françaises, avec un peu de japonaises et Opel.

    Arrivée au cœur de l’espace réservé à Citroën où la Cactus Concept, DS Wild Rubis et C-Elysée WTCC sont les plus en vue. Le stand met en valeur les nouveaux modèles. La marque aux chevrons continue d’être parfaitement en ligne avec ses ambitions commerciales. Le Cactus s’avère plutôt massif et encore très éloigné de ce que l’on peut attendre d’un modèle de série. Mais j’aime !

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    Un couloir DS est particulièrement réussi avec toute la gamme et un artisan en train de travailler du cuir devant les passants.

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    On continue chez Peugeot sur un stand moins impressionnant. Là, il faut vendre la nouvelle 308. Belle déclinaison 308 R, même chose pour la 208 Hybrid FE. Et l’Onyx, toujours apprécié, est encore là.

    Petit espace pour Dacia qui montre son Duster mis à jour. On passe Subaru pour filer chez Toyota, attiré par la Yaris Hybrid-R. C’est une vraie belle réussite avec, sous le capot, le nouveau Global Racing Engine 1,6 litre turbo de 300 chevaux et une commande de boîte du plus bel effet.

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    Chez Lexus, difficile de dire que le LF-NX Crossover Concept n’est pas réussi. Mais il est profondément conceptuel ! Nissan prouve encore sa faculté d’innovation. La marque japonaise propose une montre Nismo Watch qui pourrait faire un tabac chez les early adopters. Le X-Trail est la grosse nouveauté produit mais la vraie réussite vient du concept Friend-Me.

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    A Francfort, Opel joue à domicile et joue plutôt bien ! La nouvelle Insignia est accompagné du Monza Concept qui est l’une des révélations de ce salon.

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    Fin de ce Hall très fourni avec Renault. Nouvelle identité pour la Mégane (très légère), présence de Twin’Run et surtout Initiale Paris. Il faut avouer que le produit semble très abouti. L’intérieur ne sera sans doute pas aussi « futuriste », l’arrière sera peut-être retouché mais, dans l’ensemble, ce crossover pourrait rapidement donner une nouvelle vie à l’Espace.

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    Les jambes sont lourdes ? On attaque le Hall 9. Chez Ford, on est accueilli par les Coupes aux Grandes Oreilles. Enfin, la réplique ! Le S-Max Concept dispute la vedette à la Mondeo Vignale. Pas d’extravagance. Ford joue beaucoup sur les performances de son moteur EcoBoost avec une série d’animations.

    Chez Kia, on voit la nouvelle Soul et surtout le concept Niro.

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    Chez Honda, on met en avant les Civic Tourer et Type R au milieu du rappel de l’engagement sportif de la marque avec une Civic WTCC et une vielle McLaren-Honda.

    Touche sportive aussi chez Chevrolet avec les Camaro, Corvette Stingray et l’escargot de Turbo.

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    La touche américaine continue avec Cadillac et la très marquante Elmiraj… Un nom très « Golfe » pour une voiture qualifiée par le New York Times d’un peu britannique, un peu française et très américaine.

    Petit clin d’oeil chez Mazda avec la présence de Mazda 3 venue directement d’Hiroshima lors d’un long road-trip de 15 000 kilomètres. Trois des huit voitures, un peu sales, sont visibles à Francfort.

    Hall 11… C’est le dernier (enfin, ça dépend de votre entrée) et il est dédié au monde BMW. Les i3 et i8 prennent une place importante. Pour la première fois, l’i8 est présentée dans sa version définitive. Et ça ne déçoit pas. Série 4, Série 5, X5, eDrive… BMW a frappé fort à Francfort ! Et l’ambiance « bois » autour de la gamme i est très réussie.

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    Rolls-Royce et MINI nous font terminer la visite. Plein de personnalisation, dans des thèmes différents, pour les deux marques. Chez MINI, belle ambiance urbaine, des MINI actuelles, des MINI d’époque, mais pas de MINI de nouvelle génération. Non, MINI est NOT NORMAL et va créer son propre buzz à l’automne pour présenter son nouveau modèle. D’ici-là, on attendra avec les hot-dogs et les glaces (toutes petites, pardon mini) !

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    Voilà pour le résumé de deux jours virtuels à Francfort… A vous !

  • Publicité :  les débuts de Hyundai

    Publicité : les débuts de Hyundai

    Arrivée en France en 1992, la marque coréenne Hyundai se fait connaître avec une série de courtes publicités destinée à créer de la notoriété. Et ces spots demeurent très actuels… Hormis le 3615 code HY bien sûr !

    Et Hyundai était jusqu’à récemment « Hyundaille ».